CH673203A5

CH673203A5 -

Info

Publication number: CH673203A5
Application number: CH4463/86A
Authority: CH
Inventors: Michel Mabboux; Fabrice Legon; Marchi Jean-Louis De
Original assignee: Salomon Sa
Priority date: 1985-11-15
Filing date: 1986-11-08
Publication date: 1990-02-28
Also published as: FR2604067A2; IT1213535B; JPS62120801A; JPH0775561B2; IT8622299A0; FR2604067B2

Description

DESCRIPTION

Dans le brevet d'invention N° 80.08948 et son addition N° 83.09449, on a décrit une chaussure de ski constituée par une tige articulée sur un bas de coque, la tige elle-même étant en deux parties: une partie arrière, ou capot arrière, qui est articulée sur le bas de coque de façon à basculer vers l'arrière pour permettre l'introduction du pied dans la chaussure; une partie avant, ou manchette, articulée au bas de coque en recouvrant ce dernier en particulier dans la zone allant du pli de flexion au cou-de-pied, la forme enveloppante de cette partie inférieure antérieure de la manchette correspondant au dessus du bas de coque. Cette partie inférieure de la manchette comporte une lumière allongée ou rainure s'étendant transversalement sur une partie au moins du pourtour du dessous de la zone allant du pli de flexion au cou-de-pied.

Dans cette rainure peut coulisser un curseur qui joue le rôle d'une butée, mobile, de transmission des efforts lorsque la tige de la chaussure est sollicitée en flexion vers l'avant.

La présente invention vise à l'obtention d'un bon verrouillage en position et à une manipulation aisée de ce curseur.

L'invention sera comprise en se reportant à la description qui va suivre et aux dessins schématiques annexés donnant, à titre d'exemple et non limitativement, quelques modes préférés de réalisation du curseur.

La figure 1 est une vue en perspective représentant une chaussure de ski selon la présente invention.

La figure 2 est une vue de détail, en perspective avec coupe partielle, illustrant un mode préférentiel de réalisation du curseur.

La figure 3 est une vue schématique, en coupe, du dispositif de la figure 2.

Les figures 4 à 6 sont trois vues schématiques, en coupe, illustrant trois variantes de réalisation.

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La figure 7 illustre, vu en perspective éclatée, un mode de réalisation d'un curseur de réglage selon un autre mode de réalisation de l'invention.

La figure 8 est une vue en perspecitve d'une chaussure de ski comportant le dispositif de réglage de la flexion représenté dans la figure 7.

La figure 9 montre un détail de la liaison du poussoir du curseur avec le verrou.

Les figures 10 et 10a représentent, schématiquement, le sens des déplacements respectifs du poussoir et du verrou, la figure 10a étant une vue en élévation selon E de la figure 10 du curseur.

La figure 11 représente une variante de réalisation de la liaison poussoir-verrou.

Les figures 12 à 14 illustrent un autre mode de réalisation du curseur dans lequel le verrou se déplace selon un mouvement circulaire dans un plan parallèle à celui du poussoir, la figure 12a représentant notamment le sens des déplacements respectifs du poussoir et du verrou par rapport à un plan de référence.

La figure 1 représente une chaussure de ski 1 analogue à celle représentée aux brevets sus-indiqués (brevet N° 80.08948 et son addition N° 83.09449). Cette chaussure 1 comporte un bas de coque 2 sur lequel sont articulés, par un axe 3, d'une part, un capot arrière 4 et une manchette 5, ce capot arrière 4 et cette manchette 5 étant serrés l'un contre l'autre par un système à crans 6 et constituant ainsi la tige de la chaussure.

A la partie inférieure de la manchette 5, qui recouvre la partie supérieure du bas de coque 2, est disposée une rainure transversale 7 dans laquelle coulisse un curseur 8. Ce curseur a pour but de transmettre à la partie inférieure 5a de la manchette 5 le mouvement de flexion de ladite manchette. On voit que, lorsque le curseur 8 est en fond de rainure 7, les deux bords de ladite rainure peuvent plus facilement se rapprocher l'un de l'autre, au niveau du cou-de-pied, que lorsque le curseur 7 se trouve au milieu de la ramure, justement sur le cou-de-pied. Le déplacement du curseur 7 rend donc la manchette 5 plus ou moins rigide en flexion vers l'avant.

Il est évidemment très important pour le confort de l'usager que le changement de position du curseur puisse se faire facilement et, d'autre part, qu'une fois mis en place, il ne puisse pas se déplacer de façon inopportune.

En se reportant aux figures 2 à 6, on voit que le curseur 8 est constitué par un corps 9 dans lequel coulisse un poussoir 10 contretenu par un ressort 11, ledit poussoir commandant le déplacement d'un moyen de verrouillage 12 dont l'extrémité vient se loger dans l'un ou l'autre d'une série de logements 13 pratiqués dans l'un des rebords de la rainure 7.

En se reportant à la figure 2, on voit que le corps 9 du curseur 10 comporte, de préférence, deux rails de guidage 14 et 15 situés de chaque côté dudit corps 9. Ces rails sont creux et, dans l'exemple représenté, ont une paroi présentant une contre-dépouille. A l'intérieur de ces deux rails 14 et 15 coulissent les deux rebords de la rainure 7. Dans la partie centrale du corps 9 est disposé un verrou 12 qui coulisse dans une rainure 16, perpendiculaire aux rails 14 et 15, c'est-à-dire perpendiculaire à la direction de déplacement du curseur 8. Ce verrou 12 est muni d'un ergot 17 qui fait saillie dans une fenêtre 18 pratiquée dans le poussoir 10. Cette fenêtre est dirigée obliquement par rapport à la direction A de déplacement du poussoir 10 dans le corps 9 du curseur 8, cette direction A étant parallèle aux rails 14 et 15 et perpendiculaire à la rainure 16.

On comprend que, lorsque le poussoir est actionné selon la direction A, l'ergot 17 se déplace dans la fenêtre 18, ce qui fait reculer le verrou 12 qui se dégage du logement dans lequel il se trouvait. On peut alors faire coulisser le curseur 8 pour amener le verrou 12 en face d'un autre logement 13.

Les figures 4 à 6 représentent trois variantes de réalisation. Selon la variante représentée à la figure 4, le verrou 12 repose sur un plan incliné 19 ménagé dans le poussoir 10 et descend le long de ce plan incliné 19, lorsque le poussoir 10 est actionné. Selon la variante représentée à la figure 5, le verrou 12 est une bille, ce qui lui permet de descendre plus facilement le long du plan incliné 19. Selon la variante représentée à la figure 6, le verrou 12 est un ergot qui repose sur une surface 20 en deux parties : une partie 20a, qui maintient l'ergot en saillie hors du corps 9, et une partie 20b, qui comporte un 5 évidement dans lequel vient se loger ledit ergot. Bien évidemment, dans ce cas, il faut disposer des moyens élastiques (non représentés) qui fassent rentrer ledit ergot dans son logement 20b lorsque ce logement est amené en face de l'ergot.

Dans l'exemple représenté à la figure 1, la partie inférieuree de la io manchette 1 comporte une rainure 7 et le corps 9 du curseur comporte deux rails 14 et 15 pour les deux rebords de la ramure 7; mais il est bien évident que la manchette peut ne pas comporter de rainure, le corps 9 ne comportant alors qu'un seul rail dans lequel' coulisse le rebord inférieur de la manchette 5, le curseur 8 étant alors 15 interposé directement entre la manchette 5 et le bas de coque 2.

Par ailleurs, selon une disposition constructive préférentielle, le verrou 12 du curseur 8 comporte une face latérale biseautée 22 et une face latérale droite 23, et ledit curseur 8 est disposé dans la rainure 7 de telle sorte que la face biseautée 22 du verrou 12 soit 20 dirigée vers le haut. Ainsi le skieur peut, par simple poussée du doigt du bas vers le haut, régler la raideur de la flexion de la tige de la chaussure sans risque de voir le curseur redescendre en position «souple» lors de parcours accidentés, dans un champ de bosses par exemple, du fait que le verrou 12 coopère en permanence avec sa 25 face droite 23 dans le cran 13.

Les figures 7 à 10a montrent un mode de conception de la cinématique de verrouillage du curseur 8 dans lequel le verrou 12 est pivotant autour d'un axe 30 orienté perpendiculairement à la direction de déplacement 31 du poussoir 10, tel que représenté à la figure 4. 30 Dans cet exemple, le déplacement en rotation du verrou 12 est obtenu au moyen d'une liaison par cran 33 et dent 32 d'un type analogue à un engrenage à crémaillère. Le verrou 12, monté pivotant dans le corps 9 du curseur 8, comporte un plat 34 à son extrémité 35 qui se présente sensiblement sous la forme d'un demi-cylindre qui 35 traverse le rail 14 provenant du corps 9 dudit curseur. Le rebord latéral 36 de la rainure 7, tel que visible sur la figure 1, est pourvu d'une série d'encoches inclinées 37 dont la face est en vis-à-vis du rail de guidage 14 et donc de l'extrémité 35 du verrou 12. Selon l'invention, le plat 34 du verrou 12 est orienté angulairement dans le 40 plan transversal par rapport à la position de la dent 33 de sorte que le demi-cylindre constitué par l'extrémité 35 dudit verrou se dégage des encoches inclinées 37 lorsque le poussoir 10, déplacé selon le sens de la flèche 31, entraîne dans le sens des aiguilles d'une montre en pivotement le verrou 12. En maintenant le poussoir 10 contre 45 l'action des ressorts 11, on peut alors faire coulisser le curseur 8 dans la lumière 7 de la chaussure jusqu'à la position de réglage choisie. Il suffit ensuite de relâcher le poussoir 10 qui, en revenant à sa position initiale sous l'effet de poussée des ressorts 11, entraîne avec lui la dent 32 du verrou 12, qui pivote alors dans le sens inverse de celui 50 des aiguilles d'une montre; l'extrémité 35 dudit verrou 12 vient alors en prise dans celle correspondante des encoches 37. On remarquera en figure 9 que le verrou 12 est avantageusement limité dans l'amplitude de son mouvement rotatoire autour de son axe 31 par l'intermédiaire des plats de dégagement 40 réalisés de part et d'autre de la 55 dent 32; de cette manière, lorsque le curseur 8 n'est pas monté dans la rainure 7 de la chaussure 1, le poussoir 10 reste relié au corps 9 et au verrou 12. Comme on vient de le décrire, la liaison cinématique du poussoir 10 avec le verrou 12 est réalisée au moyen d'une dent 32 et d'un cran 33, la dent 32 étant portée par le verrou 12 et le cran 33 60 par le poussoir 10. On peut bien sûr concevoir une disposition inverse telle que représentée en figure 11. Dans ce cas le poussoir 10 comporte une dent 32' qui coopère avec un cran 33' obtenu dans le cylindre qui constitue le verrou 12. Dans un tel cas de figure, la retenue du poussoir 10 par rapport au corps 9 du curseur 8, lorsque 65 ce dernier n'est pas monté dans la rainure 7 de la chaussure 1, peut être obtenue au moyen d'une cale de guidage 41, solidarisée du corps 9 par une goupille 42, qui obstrue le passage de la dent 32' au-delà dudit verrou.

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De préférence, l'axe de rotation 31 du verrou 12, tel que visible dans la figure 10a, est sensiblement parallèle au plan «P» transversal du poussoir 10.

Aux figures 12,12a et 13, on a représenté un autre mode de réalisation du curseur 8 dans lequel l'axe de rotation 30' du verrou 12 est perpendiculaire au plan «P» transversal du poussoir 10 tel que schématisé à la figure 12a. Le curseur 8 de la figure 6 comporte un verrou 12 pivotant dont l'axe de rotation 30' est solidaire du poussoir 10; de forme comparable à celle d'un cliquet, l'extrémité crantée 50 du verrou 12 est sollicitée à s'engager dans les encoches 51 sous l'action d'un élément élastique tel qu'un ressort-lame 52 solidaire du corps 9 du curseur 8. Les encoches 51 sont réalisées sur la tranche du rebord latéral de la rainure 7 et sont inclinées dans le même sens que celui 31 de déplacement du poussoir 10. Pour pouvoir déplacer le curseur 8 dans la rainure 7, on agit, comme dans les cas expliqués précédemment, sur le poussoir 10 selon le sens de la flèche 31 contre l'action des ressorts 11. Cependant, dans cet exemple de construction, le verrou 12 est entraîné dans le même sens de déplacement que le poussoir 10 par l'intermédiaire de son axe de rotation 30'; la présence d'une butée 53, ménagée sur le corps 9 du curseur 8 latéralement au verrou 12 et du côté opposé à la direction de dégagement selon la flèche 54 de l'extrémité crantée 50 des encoches 51, constitue le moyen d'actionnement en rotation du verrou 12 qui vient en appui contre celui-ci par sa partie profilée 53'; il va de soi que, pour provoquer la rotation du verrou 12, la butée 53 sera toujours disposée à distance de l'axe de rotation 30' dudit verrou dans une direction sécante à celle de déplacement 31 du poussoir, et de préférence sensiblement perpendiculaire à cette dernière. Comme on l'a vu dans la description des curseurs 8 des figures 7 à 11, des moyens de retenue du poussoir 10 par rapport au corps 9 sont envisagés; ainsi, dans ce cas de figure, les moyens de retenue sont constitués par un tourillon 38 matérialisant l'axe de rotation 30' du verrou 12, touril-5 Ion 38 qui coopère, par au moins une de ses extrémités, avec une lumière oblongue 56 réalisée dans la paroi du curseur dans laquelle il coulisse. Cette lumière 56 s'étend sur une longueur süffisante pour, d'une part, autoriser le déplacement selon 31 du poussoir jusqu'à déverrouiller le verrou 12 des encoches 51 et, d'autre part, ne pas gêner io l'engagement du cran 50 dudit verrou au fond desdites encoches.

Il est évident, figure 13, que le sens d'inclinaison des encoches 60 peut être prévu opposé à celui 31 de déplacement du poussoir 10' en gardant un mode de construction du curseur comparable à celui qui vient d'être décrit en référence aux figures 12 et 12a; en effet, il suffit 15 d'orienter l'extrémité crantée 50' en correspondance avec les encoches 60, la direction de dégagement 54 restant identique. La retenue du poussoir 10 par rapport au corps 9 du curseur 8 est, dans cet exemple de construction,' obtenue au moyen d'un ergot 61 qui coulisse dans une lumière 62.

20 Le curseur 8 de la figure 14 se distingue de ceux des figures 12 et 13 en ce que l'axe de rotation 31" du verrou 12 est porté et fixé sur le corps 9 dudit curseur. La transmission du mouvement — selon la flèche 31 — du poussoir 10 sur le verrou 12 est réalisée au moyen d'une dent 66 et d'un cran 65 respectivement solidaires dudit pous-25 soir 10 et du verrou 12; néanmoins, il reste entendu, comme on l'a vu en référence aux figures 9 et 11, que les moyens de transmission cran 65 - dent 66 peuvent être rattachés inversement au verrou et au poussoir.

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3 feuilles dessins

Claims

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REVENDICATIONS

1. Chaussure de ski du type comportant un bas de coque (2) sur lequel est articulée une tige comportant à l'avant une manchette (5) prenant appui, en flexion avant, par son rebord inférieur, sur ledit bas de coque (2), ledit rebord inférieur de la manchette (5) comportant une butée mobile de transmission des efforts pouvant être déplacée transversalement depuis le côté de la partie inférieure de la manchette (5) jusqu'à son milieu situé sur le cou-de-pied, ladite butée ayant la forme d'un curseur (8) déplaçable, caractérisée par le fait que ledit curseur (8) est constitué par un corps (9) dans lequel coulisse, selon une direction rectiligne, un poussoir (10) contretenu par un ressort (11), ledit poussoir (10) agissant sur un verrou (12).
2. Chaussure selon la revendication 1, dans laquelle le poussoir (10) provoque le déplacement du verrou (12) dans une direction perpendiculaire à son propre déplacement (A).
3. Chaussure selon la revendication 2, dans laquelle le verrou (12) comporte un ergot (17) se déplaçant dans une fenêtre (18) pratiquée dans le poussoir (10), obliquement à la direction de déplacement (A) de celui-ci.
4. Chaussure selon la revendication 2, dans laquelle le verrou (12) repose contre un plan incliné (19) ménagé dans le poussoir (10).
5. Chaussure selon la revendication 4, dans laquelle le verrou (12) est une bille roulant sur ledit plan incliné (19).
6. Chaussure selon la revendication 2, dans laquelle le verrou (12) est un ergot contretenu par un moyen élastique contre une surface (20) ménagée dans le poussoir (10), cette surface (20) étant en deux parties: une partie (20a) maintenant l'ergot en saillie hors du corps (9) du curseur (8) et une partie (20b) permettant audit ergot de s'escamoter à l'intérieur du corps (9).
7. Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, dans laquelle le corps (9) du curseur (8) comporte au moins un rail creux (14 ou 15) dans lequel coulisse le bord inférieur de la manchette (5).
8. Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, dans laquelle le curseur (8) coulisse dans une rainure (7) ménagée à la partie inférieure de la manchette (5), le corps (9) dudit curseur (8) comportant deux rails creux (14 et 15) dans lesquels coulissent les deux rebords latéraux de la rainure (7).
9. Chaussure selon la revendication 7 ou 8, dans laquelle le rebord coulissant dans au moins un des rails creux est muni d'une pluralité d'encoches (13) constituant des logements pour le verrou (12) du curseur (8).
10. Chaussure selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans laquelle le verrou (12) comporte une face latérale biseautée (22) tournée vers le côté haut de la chaussure, l'autre face latérale (23) étant droite.
11. Chaussure de ski selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le poussoir (10) provoque le déplacement du verrou (12)

dans un mouvement rotatoire d'axe (30, 30', 30") perpendiculaire à la direction du déplacement (31) dudit poussoir (10).
12. Chaussure de ski selon la revendication 11, caractérisée par le fait que, pour un déplacement rectiligne dans un plan «P» du poussoir (10), l'axe de rotation (30', 30") du verrou (12) est orienté perpendiculairement à ce plan.
13. Chaussure de ski selon la revendication 11, caractérisée par le fait que, pour un déplacement rectiligne dans un plan «P» du poussoir (10), l'axe de rotation (30) du verrou (12) est orienté parallèlement à ce plan.
14. Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications 11 à 13, caractérisée par le fait que le poussoir (10) et le verrou (12) coopèrent entre eux par l'intermédiaire de moyens d'actionnement tels qu'une denture (32, 32', 66) et un crantage (33, 33', 65) dont ils sont respectivement pourvus, la denture et le crantage étant orientés parallèlement à l'axe de rotation (30, 30") dudit verrou (12).
15. Chaussure de ski selon la revendication 12, caractérisée par le fait que le verrou (12) comporte un profil (53') qui prend appui sur une butée (53) du corps (9) du curseur lorsque le poussoir (10)

est manœuvré (31), la position relative de la butée (53) par rapport à l'axe de rotation (30') du verrou (12) étant orientée dans une direction sécante à celle (31) du déplacement du poussoir (10).
16. Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications 12,14 et 15, caractérisée par le fait que le verrou (12) est solidaire du poussoir (10) par l'intermédiaire de son tourillon (38) matérialisant l'axe de rotation (30').
17. Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications 11 à 15, caractérisée par le fait que le verrou (12) est porté par le corps (9) du curseur (8) par l'intermédiaire de son axe de rotation (30", 30).
18. Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications 13, 14 et 17, caractérisée par le fait que le verrou (12) est un axe cylindrique dont l'une (35) au moins de ses extrémités s'étend dans l'un des rails (14, 15), et comporte un plat (34) au droit de sa section transversale destiné à coopérer avec une série d'encoches (37) obtenues sur l'un au moins des bords latéraux de la rainure (7).
19. Chaussure de ski selon l'une quelconque des revendications 11 à 18, caractérisée en ce que le curseur (8) est amovible de ladite chaussure.
20. Chaussure de ski selon la revendication 19, caractérisée par le fait que le poussoir (10) du curseur (8) est retenu par un moyen d'arrêt (38, 61), qui coopère, dans le sens de la sollicitation du ressort (11), avec une butée (56, 62) réalisée dans le corps (9) dudit curseur (8).
21. Chaussure de ski selon la revendication 20, caractérisée par le fait que le moyen d'arrêt (38) du curseur (8) coopère avec le fond d'une lumière oblongue (56) aménagée dans le corps (9) du curseur (8).
22. Chaussure de ski selon la revendication 14, caractérisée par le fait que le verrou (12) du curseur (8) est pourvu d'un moyen d'arrêt (40) constitué par un plat qui vient en butée contre le poussoir (10) sous l'effet de poussée de ce dernier par son cran (33) contre la dent (32).