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"Machine à fabriquer les coudes plissés en tôle "
Le coudage d'un tube en tôle est obtenu en le pin- gant par des plis excentriques et suivant un pas donné va- riant avec le diamètre du tube.
Actuellement, cette opération est faite mécanique.. ment, soit par des machines automatiques, soit par des machi- nes fonctionnant à la main. Ces deux types sont d'ailleurs imparfaits en ce sens qu'ils ne livrent que des produits in- complètement terminés,
En effet, aux machines automatiques on présente un cylindre de tôle on agrafé qui a reçu au poinçon une mar- @ que indiquant le diamètre du coude à faire.
Quand celui-ci sort de l'appareil, il doit être mis en forme pour être cali- bré afin de lui donner la conicité nécessaire à son emboîte- ment ; il est ensuite percé et on procède au rivetage. Dans
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les machines main non seulement ces quatre " 5.,'MA"" les machines a main non seulement ces quatre opéra.tio;, .
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accessoires sont à faire mail il faut, par matage, enlever un bourrelet produit par la machine et qui est l'amorce d'un pli comme on le verra plus loin.
Ces quatre ou cinq opérations vont être réduites à une seule par la machine objet de la présente invention, cette machine livrant des coudes plissés en tôle grâce à un dispositif qui assure le calibrage parfait, le perçage et le marquage au diamètre voulu, de sorte que, seul, le rivetage reste à faire.
Dans les dessins ci-annexés, on a représenté : d'une part, une machine type montrant l'ensemble des dispo- sitions adoptées pour obtenir le résultat recherché, d'autre part, une tell(,, qu'établie en pratique.
La fig.l représente la machine type en élavation.
Un tube de tôle y est engagé; le levier de manoeuvre ayant été déplacé etramené au point mort..
La fig.2 montre, une vue de face à gauche etune coupe AA à. droite; le tracé mixte indiquant comment s'ouvrent et se ferment les'mâchoires.
La fig.3 représente une coupe longitudinale BB au moment ou, pour la deuxième fois, une pression a été opérée sur le levier. Ce dernier est laissé dans la position verti- cale confie on le voit sur la figure 4 qui représente une vue arrière montrant le mécanisme d'entrainement.
La fig.5 représente, vu de face, le dispositif de calibrage, de perçage et de marquage simultanés représenté également de profil! sur la. figure 1 et en coupe sur la figu- re 3.
Les fies.6 à 9 s'appliquent à la machine établie d'après les données ci-dessus exposées.
La figure 6 représente la machine en élévation.
La fig.7 est une vue de face à gauche et une coupe
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AA à droite.
La fig.8 est une vue arrière de la maohine suivant une coupe BB.
La fig. 9 représente une vue en plan du dispositif de déclenchement qui assure l'automaticité du système suppo- sé arrête au moment indiqué pour la figure 6.
En se reportant à ce dessin, on voit que la machine se compose, en principe, d'un bâti 1 portant à l'arrière un support de mécanisme 2 et, à l'avant, le support des mâohoi- res 3. Sur le support 2, un guide 4, creux, est fixé,sur lequel coulisse le dispositif 5 de calibrage, de perçage et de marquage simultanés. Ce dernier reçoit un mouvement d'aven- cement par l'intermédiaire de la coulisse 6 portant une cré- maillère 7 et entraînée par le levier de commande 8 au moyen de l'arbre 9 et de la boite à cliquet 10.
Sur le support 3 est fixé un berceau 11 sur lequel s'articulent par leur base deux mâchoires 12 et 13. Deux ge- nouillères 14 et 15 portées par le bâti 3 permettent à une autre paire de mâchoires 16 et 17 articulées également sur un beroeau 18 d'être plaquées contre les mâchoires 12 et 13 au moyen des tirants 19 et 20 qui.reçoivent leur mouvement des excentriques 21 et 22 calés sur l'arbre 9.
Sur cet arbre 9, un excentrique 23 communique un mouvement alternatif à une boite d'embrayage 24 calée au moyen de la clavette 25 sur un arbre 26 qui passe à l'inté- rieur du guide tubulaire 4.
A son extrémité avant, l'arbre 26 communique le mouvement qu'il reçoit de l'excentrique 23 à un pignon à cames 27 qui pousse-vers la périphérie un jeu de boudins 28. Ces derniers sont guidés entre deux bagues 29 et 30 et ont une forme telle qu'ils émergent des bagues suivant une oirconfé- renoe excentrée de quelques millimètres au sommet.
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Le dispositif 5 com unique son mouvement par l'in-
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t2=r;édi;ir> de l'arbre 31 à un taquet d'<9mbrajraje 3^ et gaz un taquet de débrayage 33.
Les mâchoires sont fermées au moyen desverrous 34- et 35. Leurs axes montés sur excentriques permettent de ré- gler le serrais exactement.
La confection d'un coude s'opère de la manière suivante :
La machine, convenablement équipée pour le genre de coude à faire, on engage entre les deux paires de mâchoi- res une feuille de tôle roulée en ayant soin de placer les bords en des sus.L'extrémité de ce cylindre s'engage dans une rainure circulaire 36 ménagée dans le plateau du dispositif 5. Au moyen de la. vis 37,ou par tout autre procédé on fait baisser le coulisseau 38 qui pince solidement le tube et le perfore également au moyen d'un poinçon qu'il porte à sa base.
Le déchet tombe dans une petite boite 39 placée immé- diatement au-dessous et qu'il ne sera nécessaire de vider qu'après plusieurs heures de travail, En même temps qu'elle serre et perce le tube, la vis 37 applique fortement sur celui-ci à l'opposé du trou de rivet, une marque 40 donnant l'indication du diamètre du coude, mouvement qui lui est communiqué par les biellettes 41 et le levier à came 42.
Cette opération terminée, on ferme les mâchoires 12 et 13 qui viennent serrer le tube, puis on saisit le le- vï.er 8 et, aidé par le contrepoids 43, on le pousse comme l'indique la flèche de la figure 1. A ce moment, sollicitée par l'excentrique 23 calé sur l'arbre 9, la boîte 24 pivote, entraine l'arbre 26 qui fait tourner le- pignon 27. Les cames que ce dernier porte font monter les boudins 28 qui viennent emboutir le tube de tôle. Un évidement 44 a été ménagé à cet effet dans les mordaches des mâchoires 12 et 13.
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Pendant que s'opère ce mouvement, l'arbre 9 qui porte une denture entraine vers l'arrière la bofte 10. A ce moment, on ouvre les mâchoires 12 et 13, puis on abaisse le levier 8, le cliquet 45 engrène alors sur la crémaillère 7 solidaire de la coulisse 6 et du dispositif 5 poussant le tu- be de tôle en avant et amenant la partie emboutie entre les deux paires de mâchoires. Dans le même temps, l'excentrique 23 agissant sur le pignon 27 a fait effacer les boudins 28.
On ferme alors les deux paires de mâchoires et on rejette le levier 8 vers l'arrière (voir figs.3 et 4); les mêmes effets se reproduisent et en plus les excentriques 21 et 22 qui, tout à l'heure, avaient agi à vide font basculer les mâchoires 16 et 17 grâce aux tirants 19 et 20 et aux ge- nouillères 14 et 15. Le léger emboutissage du tube est à ce moment-là pincé entre les deux jeux de mâchoires et est rele- vé en un pli excentrique au tube lui-même, ce qui a pour ef- fet de relever de quelques degrés l'extrémité restée libre.
Afin que le tube ne s'écrase pas à l'endroit du pli, une ron- delle 46 et un ressort de rappel 47 suivent les mouvements des mâchoires 16 et 17.
On ouvre les deux paires de mâchoires, on baisse le levier 8 et on recommence l'opération autant de fois qu'il est nécessaire pour obtenir le coude à l'angle désiré.
Pourtant, quand le levier 8 s'est abattu pour re- oommenoer le dernier pli et que dans ce mouvement, la oré- maillère a entrainé le dispositif 5 en avant, l'arbre 31 lié à ce dernier, a amené le taquet 33 sur l'extrémité de la cla- vette 25 et a poussé celle-ci en avant. Les épaulements 48 de la olavette qui, jusqu'alors, se trouvaient en face des parties pleines de la boite 24 sont amenés face à des évide- ments 49 circulaires, ménagés dans cette bofte. Audai quand on formera le dernier pli du coude, l'excentrique entraînera bien la boite 24 mais celle-ci n'agira plus par l'intermédiai-'
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re de l'arbre 26 sur lës boudins 28. Il ne sera pas nécessai- re, comme dans les machines à main actuelles, de faire dispa- raitre ce bourrelet.
Le dernier pli formé on abat une dernière fois le levier, on ouvre les deux paires de mâchoires. On relève le coulisseau 38 et par surcroit on baisse la marque 40, Il ne reste plus qu'à tirer en avant sur le coude pour le dégager et une fois rivé il est prêt à être livré au commerce,
Pour remettre la machine en état de faire un nou- veau coude, on pousse sur la coulisse 6 jusqu'à ce que le ta- quet d'embrayage 32 vienne buter sur le. clavette 25 et la pousse. A ce moment, la boîte 24 entrainera de nouveau le système de montée des boudins quand elle y sera solliditée par l'excentrique 23.
Pour la compréhension du système, il n'a été figu- ré qu'une rainure circulaire 36, mais le plateau du disposi- tif 5 peut en comporter plusieurs. D'ailleurs, la machine a de;? éléments interchangeables comme la crémaillère 7, les boudins 28, les bagues 29,30 et 46, les mordaches des mâ- choires,... ce qui permet avec la même machine de faire tou- te la gamme des coudes utilisés couramment.
La machine industrielle (figs.6 à 9) se compose, en principe, d'un bâti 1 sur lequel tous les organes sont montés. Un arbre moteur 50 peut être mis en mouvement par un système démultiplicateurquelconque et figuré sur le dessin par deux roues dentées 51 et 52 actionnées par un volant 53 qu'une noix d'embrayage 54 permet d'isoler. A l'autre extré- mité de l'arbre, on a calé un excentrique 55 qui imprime un mouvement alternatif à l'arbre 9 par l'intermédiaire de la manivelle 56. Sur cet arbre 50 on a fixé deux cames circu- laires 57 qui, en agissant-sur le galet double 58 font pivo- ter l'arbre 59.et les manivelles 60 et 61 solidarisées par
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la bielle 62.
Les manivelles 60 et 61 tirant ou poussant les tiges 63 et 64 ferment ou ouvrent les mâchoires avant 16,17 et arrière 12,13; grâce aux cames avant 34 et arrière 35.
Pour aider à leur ouverture, deux ressorts 65 agissent res- pectivement sur chacune des deux paires de mâchoires. Les cames 34 et 35 possèdent, sur leurs faces se correspondant, des orabots dent le rôle sera exposé plus loin.
D'autre part, on voit que sur la coulisse 6 on a monté une tige 66 qui peut glisser à frottement doux dans deux paliers 67 et 68 et qu'un ressort 69 maintient au repos.
Sur cette tige- sont montés après réglage les taquets 70,71 et 72. Cette même coulisse porte un étrier 73 qui, par l'action exercée sur les leviers 74 et les tiges 75 pesant sur un épaulement ménagé sur les cames avant 34, dégage les orabots de ceux que possèdent les cames arrière 35 en comprimant un ressort 76 qui fera enclencher les deux paires de oames 34,35 aussit8t qu'un mouvement en avant de la coulisse 6 aura neu- tralisé l'action de l'étrier 73.
La tige 66, par son extrémité avant, peut agir sur un levier 77 et, par l'intermédiaire de la bielle 78, fera retmber la poignée à contrepoids 37. Cette poignée sert au perçage du tube à couder et à son marquage à l'aide du dispo- sitif 5 et grâce à une came 79 oalée sur son axe ; dans sa chu- te, elle heurtera par son épaulement 80 une butée 81 fixée sur une des biellettes 41 et fera remonter le poinçon de per- çage libérant ainsi le coude plissé.
Dans le même mouvement, une des biellettes 41 por- - tant une masselotte 82 soulèvera l'extrémité inférieure du cliquet 83 qui, avançant dent par dent sur une crémaillère 84 et se trouvant libéré en comprimant le ressort 85,ne s'oppo- sera plus au retour au point mort du dispositif 5 ramené en arrière par un ressort 86 réglable en 87 ou par un tout autre système connu.
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Le fonctionnement est le suivant :
Le dispositif de calibrage, de perçage et de mar- quage simultanés étant revenu au point mort, on fixe un tube de tôle à l'aide du levier 37 et de la came 79 ou par tout autre procède connu. Le tube se trouve percé et marqué. La masselotte 82 en remontant, permet au ressort 85 d'agir sur le cliquet 83 qui engrènera,désormais,sur le crémaillère 84.
En revenant en arrière, la coulisse 6 a poussé l'étrier 73 sur les leviers 74 qui ont débrayé les Dames avant 34 des cames arrière 35.
L'ouvrier embrayant la noix 54 sur la roue 51 à l'aide du mouvement de sonnette 88 et de la commande 89 met la machine en mouvement.
L'arbre 9 commandé par l'excentrique 55 détermine la formation d'un bourrelet embouti sur le tube de tôle après que les mâchoires arrière 13 se sont fermées sur ce dernier grâce au mouvement des cames 35 actionnées par le galet double 58 roulant sur les cames circulaires 57. Ces der- nières poursuivant leur rotation, abaissent les cames .35 per- mettant au ressort 65 d'ouvrir les mâchoires 13. La coulisse 6 pousse en avant, à cet instant, le dispositif 5 qui amène le bourrelet embouti du tube entre les deux paires de mâchoi- res.
L'étrier 73 dégageant les leviers 74, le ressort 76 fait enclencher les cames 34 avec les cames 35 solidarisant les deux paires de mâchoires qui effectueront désormais les mêmes mouvements jusqu'au dernier plis après lequel va s'effec-, ture le débrayage de la machine.
Au moment où le dernier bourrelet embouti est ame- né entre les mâchoires, la coulisse 6 présente un taquet 71 juste derrière l'épaulement 90 du cliquet 45. Sollicité par la boite 10, ce dernier revient en arrière et, 'pivotant autour de son axe, passe sur le talon du taquet 71 qui possè-
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de une rampe, à cet effet.
La machine terminant son aotion par l'ouverture des mâchoires actionne encore le cliquet 45 en avant, mais celui-ci dont l'épaulement 90 est retombé juste derrière le talon du taquet 71 pousse ce dernier et la tige 66 en compri- mant le ressort 69. Le taquet 70 fait pivoter le levier 91 qui se présente au devant du cliquet 45 oblige le galet 92 à le franchir et dégage totalement la crémaillère 7 permettant le retour éventuel du système au point mort. En même temps, la partie supérieure du taquet 71 a heurté le levier de dé- brayage 88 et ce dernier, agissant sur la noix 54, a arrêté la ma chine .
Toujours à cet instant, la tige 66 poussant le levier 77 a fait retomber la poignée à contrepoids 37, ce qui a pour effet de soulever le cliquet 83 qui échappe à la crémaillère 84. Comme le dispositif 5 recule, tiré par le ressort 86, et que le coude s'est trouvé dégagé du poinçon de perçage, il ne reste plus qu'à se saisir de ce dernier, qui est terminé.
En reculant, la machine s'arme de nouveau pour une nouvelle fabrication; l'étrier 73 pousse les cames avant 34 et le taquet 72 ramène le levier 91 en sa position d'atten- te.
Cette machine automatique établie pour fonctionner à l'aide d'un moteur peut être actionnée à la main. Pour ce faire, il faut libérer la manivelle 56 de l'excentrique 55 en enlevant l'axe 93. Après avoir monté un levier dans un épaulement 94 ménagé sur la manivelle 56 et une poignée sur la came arrière 35, il suffit d'agir alternativement sur ces organes pour effectuer à la main le travail précédemment fourni par le moteur.
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"Sheet metal pleated elbow machine"
The bending of a sheet metal tube is obtained by pinching it with eccentric folds and following a given pitch varying with the diameter of the tube.
Currently, this operation is done mechanically, either by automatic machines or by hand-operated machines. These two types are moreover imperfect in the sense that they only deliver unfinished products,
In fact, automatic machines are presented with a stapled sheet cylinder which has received with a punch a mark indicating the diameter of the bend to be made.
When it comes out of the device, it must be shaped to be calibrated in order to give it the conicity necessary for its fitting; it is then pierced and riveting is carried out. In
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the hand machines not only these four "5., 'MA" "the hand machines not only these four opera.tio ;,.
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accessories are to be made, mail it is necessary, by matting, to remove a bead produced by the machine and which is the start of a fold as we will see later.
These four or five operations will be reduced to one by the machine which is the subject of the present invention, this machine delivering pleated elbows in sheet metal thanks to a device which ensures perfect calibration, drilling and marking at the desired diameter, so that , only the riveting remains to be done.
In the accompanying drawings, there is shown: on the one hand, a typical machine showing all the arrangements adopted to obtain the desired result, on the other hand, a tell (,, which is established in practice.
The fig.l represents the typical machine in pruning.
A sheet metal tube is engaged there; the operating lever having been moved and returned to neutral.
Fig.2 shows a front view to the left and a section AA through. right; the mixed line showing how the jaws open and close.
Fig.3 shows a longitudinal section BB at the time when, for the second time, pressure was applied to the lever. The latter is left in the vertical position as can be seen in FIG. 4 which represents a rear view showing the drive mechanism.
Fig. 5 shows, seen from the front, the device for simultaneous calibration, drilling and marking, also shown in profile! on the. figure 1 and in section in figure 3.
Fies. 6 to 9 apply to the machine established on the basis of the above data.
Figure 6 shows the machine in elevation.
Fig. 7 is a front view to the left and a section
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AA right.
Fig. 8 is a rear view of the maohine in a BB cut.
Fig. 9 represents a plan view of the triggering device which ensures the automaticity of the system supposed to stop at the moment indicated in FIG. 6.
Referring to this drawing, it can be seen that the machine consists, in principle, of a frame 1 carrying at the rear a support for the mechanism 2 and, at the front, the support for the jaws 3. On the support 2, a guide 4, hollow, is fixed, on which slides the device 5 for simultaneous calibration, drilling and marking. The latter receives an advancing movement via the slide 6 carrying a rack 7 and driven by the control lever 8 by means of the shaft 9 and the ratchet box 10.
On the support 3 is fixed a cradle 11 on which are articulated by their base two jaws 12 and 13. Two kneepads 14 and 15 carried by the frame 3 allow another pair of jaws 16 and 17 also articulated on a beroeau. 18 to be pressed against the jaws 12 and 13 by means of the tie rods 19 and 20 which receive their movement from the eccentrics 21 and 22 wedged on the shaft 9.
On this shaft 9, an eccentric 23 communicates a reciprocating movement to a clutch box 24 wedged by means of the key 25 on a shaft 26 which passes inside the tubular guide 4.
At its front end, the shaft 26 communicates the movement which it receives from the eccentric 23 to a cam pinion 27 which pushes a set of flanges 28 towards the periphery. The latter are guided between two rings 29 and 30 and have a shape such that they emerge from the rings following a confe- rence eccentric by a few millimeters at the top.
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The 5 com device unique its movement through the
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t2 = r; edi; ir> from shaft 31 to a <9mbrajraje 3 ^ cleat and gas a release cleat 33.
The jaws are closed by means of latches 34- and 35. Their axes mounted on eccentrics allow the clamp to be adjusted exactly.
The making of an elbow is carried out as follows:
The machine, suitably equipped for the kind of bend to be made, a rolled sheet of metal is inserted between the two pairs of jaws, taking care to place the edges on top. The end of this cylinder engages in a circular groove 36 formed in the plate of the device 5. By means of the. screw 37, or by any other process, the slide 38 is lowered which firmly clamps the tube and also perforates it by means of a punch which it carries at its base.
The waste falls into a small box 39 placed immediately below and which it will only be necessary to empty after several hours of work. At the same time as it tightens and pierces the tube, the screw 37 applies strongly to the latter opposite the rivet hole, a mark 40 giving the indication of the diameter of the bend, movement which is communicated to it by the rods 41 and the cam lever 42.
Once this operation is complete, the jaws 12 and 13 which clamp the tube are closed, then the lever 8 is grasped and, aided by the counterweight 43, it is pushed as indicated by the arrow in FIG. 1. A this moment, requested by the eccentric 23 wedged on the shaft 9, the box 24 pivots, drives the shaft 26 which rotates the pinion 27. The cams which the latter carries cause the flanges 28 which come to press the tube to rise. of sheet metal. A recess 44 has been made for this purpose in the jaws of the jaws 12 and 13.
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While this movement takes place, the shaft 9 which carries a toothing drives the box 10 backwards. At this moment, the jaws 12 and 13 are opened, then the lever 8 is lowered, the pawl 45 then engages on the rack 7 integral with the slide 6 and the device 5 pushing the sheet metal tube forward and bringing the stamped part between the two pairs of jaws. At the same time, the eccentric 23 acting on the pinion 27 caused the flanges 28 to erase.
The two pairs of jaws are then closed and the lever 8 is thrown backwards (see figs.3 and 4); the same effects are reproduced and in addition the eccentrics 21 and 22 which, earlier, had acted empty, tilt the jaws 16 and 17 thanks to the tie rods 19 and 20 and to the kneepads 14 and 15. The slight stamping of the tube is then clamped between the two sets of jaws and is raised in an eccentric fold to the tube itself, which has the effect of raising the end which remains free by a few degrees.
So that the tube does not collapse at the location of the fold, a washer 46 and a return spring 47 follow the movements of the jaws 16 and 17.
The two pairs of jaws are opened, the lever 8 is lowered and the operation is repeated as many times as necessary to obtain the bend at the desired angle.
However, when the lever 8 is lowered to re-start the last fold and when in this movement, the starter has driven the device 5 forward, the shaft 31 linked to the latter, has brought the cleat 33 on the end of the key 25 and has pushed the latter forward. The shoulders 48 of the bar which, until then, were located opposite the solid parts of the box 24 are brought to face circular recesses 49 made in this box. Audai when we form the last bend of the elbow, the eccentric will pull box 24 but it will no longer act through the intermediary.
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re of the shaft 26 on the flanges 28. It will not be necessary, as in current hand machines, to remove this bead.
When the last fold is formed, the lever is pulled down one last time, the two pairs of jaws are opened. We raise the slide 38 and in addition we lower the mark 40, It only remains to pull forward on the elbow to release it and once riveted it is ready to be delivered to the trade,
To restore the machine to making a new bend, push on slide 6 until clutch tab 32 abuts on. key 25 and pushes it. At this moment, the box 24 will again drive the system for raising the flanges when it is requested by the eccentric 23.
For the understanding of the system, only one circular groove 36 has been shown, but the plate of the device 5 may have several. Besides, the machine has? interchangeable elements such as the rack 7, the flanges 28, the rings 29, 30 and 46, the jaws of the jaws, ... which makes it possible with the same machine to make all the range of elbows commonly used.
The industrial machine (figs.6 to 9) consists, in principle, of a frame 1 on which all the components are mounted. A motor shaft 50 can be set in motion by a gear reduction system and shown in the drawing by two toothed wheels 51 and 52 actuated by a flywheel 53 that a clutch nut 54 allows to isolate. At the other end of the shaft, an eccentric 55 has been wedged which imparts a reciprocating movement to the shaft 9 by means of the crank 56. On this shaft 50 two circular cams 57 have been fixed. which, by acting on the double roller 58, pivot the shaft 59. and the cranks 60 and 61 secured by
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the connecting rod 62.
The cranks 60 and 61 pulling or pushing the rods 63 and 64 close or open the front jaws 16,17 and rear 12,13; thanks to the front 34 and rear 35 cams.
To help them open, two springs 65 act respectively on each of the two pairs of jaws. The cams 34 and 35 have, on their corresponding faces, orabots dent the role will be explained below.
On the other hand, it can be seen that on the slide 6 a rod 66 has been mounted which can slide with gentle friction in two bearings 67 and 68 and that a spring 69 keeps it at rest.
On this rod are mounted after adjustment the cleats 70, 71 and 72. This same slide carries a caliper 73 which, by the action exerted on the levers 74 and the rods 75 weighing on a shoulder formed on the front cams 34, releases the orabots of those possessed by the rear cams 35 by compressing a spring 76 which will engage the two pairs of oames 34,35 as soon as a forward movement of the slide 6 has neutralized the action of the caliper 73.
The rod 66, by its front end, can act on a lever 77 and, by means of the connecting rod 78, will cause the counterweight handle 37 to retmber. This handle is used for drilling the tube to be bent and for its marking on the side. using the device 5 and thanks to a cam 79 offset on its axis; in its fall, it will strike by its shoulder 80 a stop 81 fixed on one of the rods 41 and cause the piercing punch to rise, thus freeing the pleated elbow.
In the same movement, one of the connecting rods 41 carrying a flyweight 82 will lift the lower end of the pawl 83 which, advancing tooth by tooth on a rack 84 and being released by compressing the spring 85, will not oppose more to the return to neutral of the device 5 brought back by a spring 86 adjustable at 87 or by any other known system.
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The operation is as follows:
The device for simultaneous calibration, drilling and marking having returned to neutral, a sheet metal tube is fixed by means of the lever 37 and of the cam 79 or by any other known procedure. The tube is drilled and marked. The weight 82 going up, allows the spring 85 to act on the pawl 83 which will now engage with the rack 84.
Going back, the slide 6 pushed the caliper 73 on the levers 74 which disengaged the front ladies 34 from the rear cams 35.
The worker engaging the nut 54 on the wheel 51 using the bell movement 88 and the control 89 sets the machine in motion.
The shaft 9 controlled by the eccentric 55 determines the formation of a stamped bead on the sheet metal tube after the rear jaws 13 have closed on the latter thanks to the movement of the cams 35 actuated by the double roller 58 rolling on them. circular cams 57. These latter continuing their rotation, lower the cams .35 allowing the spring 65 to open the jaws 13. The slide 6 pushes forward, at this instant, the device 5 which brings the pressed bead of the tube between the two pairs of jaws.
The caliper 73 disengaging the levers 74, the spring 76 causes the cams 34 to engage with the cams 35 securing the two pairs of jaws which will henceforth perform the same movements until the last bend after which the disengagement of the clutch takes place. the machine.
At the moment when the last stamped bead is brought between the jaws, the slide 6 has a latch 71 just behind the shoulder 90 of the pawl 45. Called upon by the box 10, the latter returns back and, pivoting around its axis, passes over the heel of the cleat 71 which has
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of a ramp, for this purpose.
The machine ending its action by opening the jaws again actuates the pawl 45 forward, but the latter whose shoulder 90 has fallen just behind the heel of the cleat 71 pushes the latter and the rod 66 by compressing the spring 69. The cleat 70 rotates the lever 91 which is in front of the pawl 45 forces the roller 92 to cross it and completely disengages the rack 7 allowing the possible return of the system to neutral. At the same time, the upper part of the cleat 71 struck the release lever 88 and the latter, acting on the nut 54, stopped the machine.
Also at this instant, the rod 66 pushing the lever 77 has made fall the counterweight handle 37, which has the effect of lifting the pawl 83 which escapes the rack 84. As the device 5 moves back, pulled by the spring 86, and that the elbow has been disengaged from the piercing punch, it remains only to grab the latter, which is finished.
In retreating, the machine arms again for a new production; the caliper 73 pushes the front cams 34 and the latch 72 returns the lever 91 to its waiting position.
This automatic machine established to work with a motor can be operated by hand. To do this, it is necessary to release the crank 56 from the eccentric 55 by removing the axis 93. After having mounted a lever in a shoulder 94 formed on the crank 56 and a handle on the rear cam 35, it suffices to act. alternately on these components to perform the work previously provided by the engine by hand.