FR2899851A1 - Dispositif d'arrimage d'un vehicule sur un plan porteur lors de son transport par un autre vehicule - Google Patents

Abstract

Dispositif (1) pour arrimer un véhicule lors de son transport sur un plan porteur (9) par une de ses roues ou à partir d'un point d'ancrage au châssis, caractérisé en ce qu'il se compose des moyens suivants :. une sangle (2) ou analogue présentant une extrémité d'accrochage (5) prévue pour s'engager avec un mécanisme de mise et de retenue en tension (3), une extrémité de mise en tension (6), et un fourreau glissant (7) d'appui sur un pneu ;. un mécanisme de mise et de retenue en tension de la sangle (2) possédant un axe d'enroulement (10) de longueur suffisante pour offrir de nombreuses positions transversales d'enroulement de la sangle pour une mise en tension dans l'alignement de la roue ou dans l'alignement du point d'ancrage ; et. un bloc d'accrochage et de renvoi de mouvement (4) traversé par la sangle (2).Cette invention intéresse le transport de véhicules routiers sur camions ou sur wagons.

Description

L'invention se rapporte à un dispositif bivalent d'arrimage d'un véhicule

lors de son transport sur un plan porteur d'un autre véhicule. Elle se situe dans le domaine du transport des véhicules sur des plans de chargement de camions ou de wagons. Lors du transport des voitures et autres véhicules routiers sur des camions ou des wagons spécifiques à cet usage, on arrime aux plans porteurs les véhicules transportés pour garantir leur immobilisation pendant le trajet. Cette nécessité provient des mouvements souvent brusques et d'une certaine amplitude du châssis du camion ou du wagon dus au roulage et aux imperfections des routes. Pour ce faire, il existe deux façons principales de procéder à l'arrimage. La première consiste à arrimer le véhicule par ses roues et plus exactement par ses pneus en laissant ainsi ses suspensions débattre librement. La deuxième, comme indiqué ci-après, met en oeuvre des liens entre le châssis du véhicule et le plan porteur sur lequel repose le véhicule. Les suspensions du véhicule transporté sont alors comprimées par une forte tension du lien permettant de le garder tendu quels que soient les mouvements de châssis du camion ou du wagon. Dans le premier cas, l'arrimage du véhicule par ses roues s'effectue soit sur les roues, soit plus généralement au moyen d'un lien plat venant porter à immobilisation directement sur le pneu ou par l'intermédiaire d'une pièce intermédiaire en liaison avec une sangle. La sangle est tendue entre un point fixe bas d'extrémité situé par exemple en avant du pneu, en général par accrochage sur ou dans la structure du plateau porteur, et un autre point fixe bas situé par exemple près et en arrière du pneu. On réalise à l'aide d'un dispositif tendeur une tension suffisante de la sangle pour immobiliser la roue. Ce système a été perfectionné largement au cours des nombreuses années le séparant de sa création.

Ainsi, l'inconvénient dû au mouvement de la sangle résultant de sa mise en tension et du léger affaissement du pneu a été supprimé par l'utilisation de fourreaux coulissants ou de gaines ou par des structures à passant ou mobiles en pivotement sur le pneu. Ce type d'arrimage présente de nombreux avantages. Le premier concerne la légèreté de l'ensemble qui ne constitue qu'un surpoids minime pour le camion et apporte une bonne aisance et une rapidité de mise en oeuvre. Un autre avantage concerne le peu de force nécessaire au montage car une immobilisation suffisante du véhicule existe pour des tensions moyennes dont la résistance à vaincre n'est que celle de la résistance du pneu. Finalement, le coût de l'ensemble apparaît tout à fait raisonnable. Le second moyen est encore beaucoup employé dans certains pays. Les liens utilisés sont principalement des chaînes qui traditionnellement procuraient la meilleure résistance mécanique. Ce second moyen présente deux inconvénients importants. D'une part les chaînes constituent une masse supplémentaire à transporter et à mettre en oeuvre, d'autre part leur poids et la nécessité de comprimer les suspensions représentent de la fatigue et des risques pour les opérateurs.

Il résulte de ces inconvénients un besoin économique et de sécurité du travail pour un dispositif d'arrimage au châssis qui soit léger, efficace et

facile à mettre en oeuvre. La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients et de rajouter d'autres avantages en proposant un dispositif d'arrimage à double usage mettant en oeuvre une sangle permettant d'arrimer un véhicule sur un plan porteur et ceci aussi bien pour chaque sangle par une de ses roues qu'à partir d'au moins un point d'ancrage sur le châssis. De façon générale, la présente invention se compose d'une sangle ou analogue équipée de moyens d'accrochage et de contact complétés par un dispositif de mise en tension à monter sur le plan porteur, de préférence en extrémité et en sous face de celui-ci. Le dispositif d'arrimage à double usage se compose des éléments indiqués ci-dessus et détaillés ci-après : une sangle et plus généralement un lien dont une extrémité porte un crochet de retenue dans une ouverture du plan porteur par exemple sous forme de tôles perforées et dont l'autre extrémité est libre et mise en tension, la sangle comportant un moyen de contact avec le pneu dans lequel elle se déplace et par lequel elle porte sur celui-ci pour l'immobiliser, - un dispositif de mise et de retenue en tension à actionnement manuel possédant un axe de longueur suffisante pour offrir de nombreuses positions transversales d'enroulement de la sangle pour une mise en tension dans l'alignement de la roue ou dans l'alignement du point d'ancrage au châssis, un bloc mobile d'accrochage et de renvoi de mouvement formé de deux pièces dissociables s'encastrant ou s'imbriquant l'une dans l'autre. Ce dispositif d'arrimage présente les avantages cumulés d'un arrimage par sangle à la roue et de celui d'un arrimage à un point d'ancrage au châssis sans présenter les inconvénients de surpoids et de difficulté de mise en oeuvre. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à la lecture de la description détaillée qui va suivre, description faite en référence aux dessins annexés, dans lesquels : • la figure 1 est une vue en perspective d'ensemble du dispositif d'arrimage selon l'invention ; • la figure 2 est une vue en perspective d'un bloc d'accrochage et de renvoi selon l'invention dont les deux pièces dissociables sont reliées par la sangle du dispositif d'arrimage ; • la figure 3 est une vue de dessous en perspective d'un dispositif de mise et de retenue en tension pour l'invention représenté monté sous un plan porteur ; • la figure 4 est une vue de dessus en perspective de deux dispositifs de mise et de retenue en tension pour l'invention représentés chacun monté sous un plan porteur distinct d'un même véhicule ; • les figures 5 et 6 sont des vues schématiques en perspective de parties d'un véhicule immobilisé sur un plan porteur simultanément par une de ses roues et par un point d'ancrage au châssis à l'aide de deux dispositifs d'arrimage selon l'invention ; • la figure 7 est une vue schématique de profil d'une roue immobilisée sur un plan porteur par le dispositif d'arrimage selon l'invention ; ^ la figure 8 est une vue schématique de profil d'une roue immobilisée à l'extrémité d'un plan porteur par le dispositif d'arrimage selon l'invention ; et • la figure 9 est une vue schématique de profil d'un châssis de véhicule immobilisé sur un plan porteur par le dispositif d'arrimage selon l'invention au niveau d'un point d'ancrage au châssis.

Le dispositif d'arrimage selon la présente invention va maintenant être décrit de façon détaillée en référence aux figures 1 à 9. Les éléments

équivalents représentés sur les différentes figures porteront les mêmes références numériques. Le dispositif d'arrimage 1, tel que représenté dans son ensemble sur la figure 1, se compose de façon générale d'un lien et plus particulièrement d'une sangle 2 ou analogue, d'un mécanisme de mise et de retenue en tension 3 du lien et d'un bloc d'accrochage et de renvoi de mouvement 4 traversé par la sangle 2.

On utilisera ci-après le terme sangle, sachant qu'il se veut plus général et couvre tous les types de liens adaptés. La sangle 2 ou analogue présente une extrémité d'accrochage 5 et une extrémité de mise en tension 6 prévue pour s'engager avec le mécanisme de mise et de retenue en tension 3 de la sangle. La sangle 2 ou analogue présente également un seul ou des moyen(s) de contact et d'appui avec le pneu par exemple sous la forme d'un fourreau glissant 7 d'appui sur un pneu ou de plusieurs barres transversales d'appui. Son extrémité d'accrochage 5 comporte préférentiellement un crochet 8 ou analogue permettant d'arrimer cette extrémité 5 de la sangle 2 au plan porteur 9 sur lequel repose le véhicule, en général par accrochage dans une ouverture de la structure du plan ou du plateau porteur 9. Le fourreau glissant 7 d'appui sur un pneu présente préférentiellement une longueur sensiblement égale à la moitié de la circonférence d'un pneu et permet d'éviter la transmission sur le pneu du mouvement de la sangle résultant de sa mise en tension et du léger affaissement du pneu. Il peut s'agir préférentiellement d'une gaine en matière très résistante, de préférence élastomère, dans laquelle est engagée la sangle 2 pour y coulisser. Le mécanisme de mise et de retenue en tension 3 de la sangle est prévu pour mettre en tension la sangle 2 après son immobilisation et son enroulement puis la maintenir en tension. Dans un mode de réalisation préféré de l'invention, représenté plus en détail sur les figures 3 et 4, le mécanisme de mise et de retenue en tension 3 comporte un axe d'enroulement 10 préférentiellement entraîné en rotation par un mécanisme de blocage 11 par exemple à cliquet ou analogue permettant également de verrouiller en position l'axe d'enroulement 10 pour empêcher sa rotation inverse et procéder ainsi à la mise en tension de la sangle 2 et à sa retenue en tension. Dans un mode de réalisation préféré de l'invention, le mécanisme de mise et de retenue en tension 3 comporte un axe d'enroulement 10 de longueur suffisante pour offrir de nombreuses positions transversales d'enroulement de la sangle 2 afin de pouvoir réaliser aussi bien une mise en tension dans l'alignement de la roue 12 que dans l'alignement du point d'ancrage 13 au châssis 14 du véhicule. Dans ce mode de réalisation préféré, la section de l'axe d'enroulement 10 est non circulaire et peut comporter un ou plusieurs élément(s) d'enroulement coulissant(s) 15 prévus pour retenir l'extrémité de mise en tension 6 de la sangle 2. Un tel élément d'enroulement coulissant 15 présente par exemple, un passage central à section non circulaire à travers lequel il est monté sur l'axe d'enroulement 10 et dont la section est de forme complémentaire à celle de cet axe 10 de sorte que la rotation de cet axe d'enroulement 10 entraîne l'élément d'enroulement coulissant 15 de façon solidaire en rotation en vue de l'enroulement de la sangle. Préférentiellement, le mécanisme de mise et de retenue en tension 3 est intégré dans la structure du plateau ou du plancher porteur du véhicule, de préférence à l'extrémité de celle-ci.

Le mécanisme de mise et de retenue en tension 3 est représenté comme faisant partie constructive de l'extrémité du plateau porteur 9 ou monté fixe sur celui-ci. Il est bien évident que celui-ci peut être réalisé dissociable du plateau ou du plancher porteur 9 du véhicule et venir s'y fixer temporairement à l'endroit adapté notamment à travers simultanément plusieurs perforations traversantes existant dans sa structure.

On peut ainsi envisager plusieurs variantes à mécanisme amovible de mise en tension 3 dont le bloc viendrait se monter ou se fixer temporairement sur le plan ou le plateau porteur en un endroit approprié. Le bloc d'accrochage et de renvoi de mouvement 4 est représenté en détail sur la figure 2. Dans un mode de réalisation préféré, ce bloc 4 comporte deux parties séparables, un support porte-crochet 16 et une pièce dissociable de renvoi 17. De préférence, le bloc d'accrochage et de renvoi de mouvement 4 est déplaçable, par exemple par coulissement, le long de la sangle 2. Dans un mode de réalisation préféré de l'invention, le support porte-crochet 16 présente sur sa face avant au moins un crochet pivotant 18. Le support porte-crochet 16 comporte à chacune de ses extrémités relevées une surface de roulement ou de glissement par exemple un axe de roulement ou une branche incurvée en U inversé 19 et 20 ou tout autre support sur lequel ou laquelle porte la sangle 2 à roulement ou à glissement ou à coulissement. Entre ces deux extrémités, le support est conformé à l'arrière en forme réceptrice 21 dans laquelle il reçoit à encastrement ou à imbrication la pièce dissociable de renvoi 17 permettant comme on le voit sur les figures, de réaliser avec la sangle 2 une boucle 22 avec un renvoi de mouvement haut. Le support porte-crochet 16 forme avec la sangle 2 un renvoi de mouvement bas lorsque le crochet 18 vient s'accrocher sur ou dans le plan porteur 9. La pièce dissociable de renvoi 17 comporte aussi une surface de glissement ou de roulement sur laquelle porte la sangle à glissement ou à roulement lors de ses mouvements de déplacement. Il peut s'agir d'une branche conformée en U ou un axe de roulement 23. La pièce dissociable de renvoi est destinée à venir se fixer au point d'ancrage 13 au châssis 14, soit directement, soit par l'intermédiaire d'un crochet 24 ou d'une pièce d'adaptation 25 montée sur ce crochet 24 existant dans le commerce pour constituer avec la sangle 2 un renvoi de mouvement haut. On décrira maintenant le fonctionnement du dispositif 1 selon l'invention pour l'arrimage d'un véhicule lors de son transport sur le plan porteur 9. Deux configurations d'arrimage sont possibles, représentées de manière simplifiée sur les figures 7 à 9. 1 ) L'arrimage par les roues pour lequel la sangle porte sur le pneu (figures 7 et 8). La sangle 2 est accrochée par l'extrémité d'accrochage 5 sur ou dans une ouverture du plan porteur 9. Elle porte sur le pneu de la roue 12 par son fourreau glissant 7 d'appui. Le bloc d'accrochage et de renvoi 4 est accroché par son crochet 18 à proximité du pneu de la roue 12. La pièce dissociable de renvoi 17 est dans le support porte-crochet 16.

Lorsque la roue est loin du dispositif de tension 3 (figure 7), la sangle 2 s'étend sensiblement à plat jusqu'au dispositif de tension 3 sur l'axe 10 duquel, son extrémité de mise en tension 6 est enroulée dans une position alignée avec le pneu de la roue 12.

Lorsque la roue 12 est proche du dispositif de tension 3 (figure 8), la sangle 2 s'étend sensiblement verticalement jusqu'au dispositif de tension 3.

L'arrimage résulte de la mise en tension de la sangle 2. 2 ) L'arrimage par accrochage à un point d'ancrage au châssis du véhicule.

La sangle 2 est accrochée par son extrémité d'accrochage 5 sur ou dans le plan porteur 9 à une certaine distance du point d'ancrage 13. Le bloc d'accrochage et de renvoi 4 est accroché sur ou dans le plan porteur 9 par le crochet 18 du bloc support porte-crochet 16, approximativement au niveau du point d'ancrage 13. La pièce dissociable de renvoi 17 est accrochée au point d'ancrage soit directement, soit par l'intermédiaire du crochet 24 ou de la pièce d'adaptation 25 en formant la boucle plate 22 de renvoi entre les deux extrémités 19 du bloc support porte-crochet 16. La longueur de la sangle 2 permet d'assurer la liaison avec le dispositif de mise en tension 3 sur l'axe 10 duquel son extrémité de mise en tension 6 est enroulée en alignement avec le point d'ancrage 13, c'est-à-dire à une certaine distance de la position correspondant à la première configuration. La mise en tension et la retenue de la sangle 2 permettent l'arrimage. 1l doit être remarqué que le dispositif d'arrimage 1 de l'invention permet à lui seul d'effectuer les deux types d'arrimage d'un véhicule, quelle que soit la position de ses roues ou de ses points d'ancrage par rapport au plan porteur. D'autres modes de réalisation pourront être envisagés par l'homme du métier sans s'écarter du principe général de l'invention. On peut par exemple remplacer la sangle par tout autre élément de liaison lisse ou articulé souple et résistant, par exemple un câble, une chaîne ou une structure composite.

Claims (24)

REVENDICATIONS

1. Dispositif (1) pour arrimer un véhicule lors de son transport sur un plan porteur (9) par une de ses roues (12) et/ou à partir d'au moins un point d'ancrage (13) sur le châssis (14), caractérisé en ce qu'il se compose des moyens suivants : . un lien présentant une extrémité d'accrochage (5), une extrémité de mise en tension (6) prévue pour s'engager avec un mécanisme de mise et de retenue en tension (3), et un fourreau glissant (7) d'appui sur le pneu de la roue (12) ; . un mécanisme de mise et de retenue en tension (3) du lien possédant un axe d'enroulement (10) de longueur suffisante pour offrir de nombreuses positions transversales d'enroulement du lien afin de pouvoir réaliser une mise en tension dans l'alignement de la roue (12) mais aussi dans l'alignement du point d'ancrage (13) au châssis (14) du véhicule ; et . un bloc d'accrochage et de renvoi de mouvement (4) traversé par le lien apte à former un renvoi de mouvement bas et haut.

2. Dispositif d'arrimage selon la revendication 1, caractérisé en ce que le lien est une sangle (2).

3. Dispositif d'arrimage selon les revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que l'extrémité d'accrochage (5) du lien ou de la sangle (2) comporte un crochet (8) ou analogue permettant d'arrimer cette extrémité (5) du lien ou de la sangle (2) au plan porteur (9) sur lequel repose le véhicule.

4. Dispositif d'arrimage selon les revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le fourreau glissant (7) d'appui est une gaine en matière résistante dans laquelle est engagée le lien ou la sangle (2) pour venir y coulisser.

5. Dispositif d'arrimage selon lesrevendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le mécanisme de mise et de retenue en tension (3) est intégré dans la structure du plateau ou du plancher porteur du véhicule.

6. Dispositif d'arrimage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le mécanisme de mise et de retenue en tension (3) est intégré dans la structure du plateau ou du plancher porteur du véhicule à l'extrémité de celle-ci.

7. Dispositif d'arrimage selon la revendication 1, caractérisé en ce que le mécanisme de mise et de retenue en tension (3) est amovible.

8. Dispositif d'arrimage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le mécanisme de mise et de retenue en tension (3) vient se fixer temporairement sur ou dans une structure du plateau ou du plancher porteur du véhicule.

9. Dispositif d'arrimage selon la revendication 1, caractérisé en ce que le mécanisme de mise et de retenue en tension (3) comporte un axe d'enroulement (10).

10. Dispositif d'arrimage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que l'axe d'enroulement (10) est entraîné en rotation par un mécanisme à cliquet ou analogue (11).

11. Dispositif d'arrimage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que la section de l'axe d'enroulement (10) est non circulaire et comporte un ou plusieurs élément(s) d'enroulement coulissant(s) (15) prévus pour retenir l'extrémité de mise en tension (6) du lien ou de la sangle (2).

12. Dispositif d'arrimage selon la revendication précédente, caractérisé en ce qu'un élément d'enroulement coulissant (15) présente un passage central à section non circulaire à travers lequel il est monté sur l'axe d'enroulement (10) et dont la section est de forme complémentaire à celle de cet axe (10).

13. Dispositif d'arrimage selon la revendication 1, caractérisé en ce que le bloc d'accrochage et de renvoi de mouvement (4) comporte deux parties séparables, un support porte-crochet (16) et une pièce dissociable de renvoi (17).

14. Dispositif d'arrimage selon la revendication 1, caractérisé en ce que le bloc d'accrochage et de renvoi de mouvement (4) est déplaçable le long de la sangle (2).

15. Dispositif d'arrimage selon la revendication 13, caractérisé en ce que le support porte-crochet (16) présente sur sa face avant au moins un crochet pivotant (18).

16. Dispositif d'arrimage selon la revendication 13, caractérisé en ce que le support porte-crochet (16) comporte à chacune de ses extrémités relevées une surface de roulement ou de glissement sur laquelle porte la sangle (2) à roulement ou à glissement ou coulissement.

17. Dispositif d'arrimage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le support porte-crochet (16) comporte à chacune de ses extrémités relevées un axe de roulement ou une branche incurvée en U inversé {19 et 20) sur lequel ou laquelle porte la sangle (2) à roulement ou à glissement ou coulissement.

18. Dispositif d'arrimage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le support porte-crochet (16), est conformé à l'arrière entre ses deux extrémités relevées, selon une forme réceptrice (21) dans laquelle il reçoit à encastrement ou à imbrication la pièce dissociable de renvoi (17).

19. Dispositif d'arrimage (1) selon la revendication 13, caractérisé en ce que le support porte-crochet (16) permet de réaliser avec la sangle (2) une boucle (22) avec un renvoi de mouvement haut.

20. Dispositif d'arrimage (1) selon la revendication 13, caractérisé en ce que le support porte-crochet (16) forme avec la sangle (2) un renvoi de mouvement bas lorsque le crochet (18) vient s'accrocher sur ou dans le plan porteur (9).

21. Dispositif d'arrimage selon la revendication 13, caractérisé en ce que la pièce dissociable de renvoi (17) présente une branche conformée en U ou un axe de roulement (23) permettant le déplacement de la sangle (2).

22. Dispositif d'arrimage selon la revendication 13 caractérisé en ce que la pièce dissociable de renvoi (17) comporte un crochet (24) ou une pièce d'adaptation (25) pour se fixer au point d'ancrage (13) du châssis (14).

23. Application du dispositif selon les revendications de 1 à 22 à l'arrimage sur un plan porteur d'un véhicule par un pneu d'une de ses roues.

24. Application du dispositif selon les revendications de 1 à 22 à l'arrimage sur un plan porteur d'un véhicule par un point d'ancrage de son châssis.