BE415070A - - Google Patents

Description

       

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  Machine pour la fabrication de corps tubulaires. 



     La.   présente invention se rapporte à la fabrication de corps tubulaires de toute section transversale désirée et formés en repliant une matière en feuille dans une seule di- rection, et elle se rapporte en particulier à une nouvelle machine pour la fabrication de tels corps d'une manière par- tiellement ou totalement automatique. 



   La présente invention vise principalement un appareil relativement simple et bon marché, de construction robuste, grâce auquel la formation d'un corps tubulaire en repliant 

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 une matière en feuille autour alun noyau ou d'un organe façon- neur de n'importe quelle section transversale appropriée, peut facilement être exécutée avec rapidité et précision et grâce auquel la feuille repliée peut être maintenue dans la forme que l'on désire lui donner, pendant que des organes d'emboîtement longitudinaux lui sont appliqués. 



   L'invention vise également une machine construite sur la base de l'appareil mentionné ci-dessus et destinée à la fabri- cation automatique en série des corps indiqués ci-dessus. 



   L'invention vise encore un dispositif pour appliquer et fixer les organes d'emboîtement longitudinaux, ce   dispo-   sitif étant un accessoire dudit appareil ou de la machine dont l'appareil forme la principale partie. 



   D'autres buts de la présente invention apparaîtront au cours de la description détaillée qui va suivre. 



   Le nouvel apparéil pour la fabrication de corps tubu- laires, selon la présente invention, comporte essentiellement une table porte-matrice entre laquelle et un noyau se produit un mouvement relatif de va-et-vient; la dite table présente deux glissières de rabattement qui sont obligées de s'éloigner et de se rapprocher l'une de l'autre dans un plan   perpendicu-     laire à   celui dans lequel se produit le mouvement relatif de   va-et-vient   entre la table et le noyau, et ce mouvement des glissières se produit de préférence d'une manière synchroni- sée, déterminée à l'avarice, par rapport au déplacement relatif de la table. 



   Les surfaces actives de la table et des glissières de rabattement forment ensemble, lorsque la table et les glis- sières se trouvent aux extrémités de leurs courses de travail, une matrice de contour creux, géométriquement semblable au contour du noyau, lequel est, à ce moment, placé concentrique- 

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 ment dans la matrice formée par les trois parties mentionnées ci-dessus, et espacé de cette matrice d'une distance égale à l'épaisseur de la matière en feuille qui doit être utilisée pour former le corps tubulaire. 



   Le terme "corps   tubulaire"   employé dans cette descrip- tion, désigne un corps creux ouvert à ses extrémités,constitué par une paroi en une matière en feuille présentant une ou plusieurs couches, et dont la section transversale est un contour fermé de n'importe quelle configuration. 



   Dans la majorité des cas, ce contour sera géométrique, par exemple polygonal, circulaire ou elliptique et pour cette raison, on s'est contenté de décrire dans la présente descrip- tion, l'invention en se rapportant à de telles configurations géométriques, il est cependant bien entendu que l'invention n'est pas limitée à ces formes. Les corps tubulaires fabriqués par la machine, objet de la présente invention, peuvent être utilisés tels quels ou ils peuvent être munis d'un fond et d'un couvercle, ou de l'une de ces deux parties seulement, de manière à pouvoir servir de récipient. 



   L'appareil de formation tel qui brièvement décrit ci- dessus, peut être utilisé pour lui-même (dans ce cas, l'orga- ne d'emboîtement peut être appliqué et fixé à la main aux bords longitudinaux du corps obtenu) ou bien il peut être utilisé en combinaison avec des dispositifs ou des appareils adéquats, comme base d'une machine à fabriquer des corps creux, partiellement ou totalement automatique. Par exemple, l'appareil de formation peut être utilisé en association avec une presse mécanique ou une autre machine analogue, avec ou sans des moyens automatiques ou   semi-automatiques   pour placer ou présenter les noyaux dans leur position correcte par rapport à la table de l'appareil.

   Les dits moyens peuvent 

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 avoir la forme d'une courroie ou d'une chaîne sans fin ou d'une plateforme à mouvement alternatif munie de noyaux sail- lants, ou bien ils peuvent encore être du type   à   revolver. 



   Pendant le cycle des opérations de formation du corps, la table de l'appareil de formation ou bien le noyau peuvent constituer un point fixe, c.à.d. que le noyau peut s'approcher de la table ou alternativement la table peut s'approcher du noyau. 



   Néanmoins, l'invention vise de préférence une machine complète de formation disposée sur la base de l'appareil de formation mentionné ci-dessus. 



   Cette machine comporte en combinaison: un ou plusieurs des appareils de formation indiqués ci-dessus, un dispositif pour présenter les noyaux, des moyens pour appliquer et fixer les organes d'emboîtement ou pour n'effectuer que l'une de ces opérations seulement, des moyens habituels pour entraîner ces parties et des moyens appropriés de coordination action- nés à partir des moyens d'entraînement habituels ou par ces moyens de manière à assurer la coordination des opérations de toutes les parties de la machine. 



   Au dessin annexé: 
La fig. 1 est une vue perspective d'une forme de réali- sation préférée d'un appareil conforme à l'invention. 



   La fig. 2 est une élévation en bout, partiellement en coupe, de l'appareil de la fig.l. 



   La fig. 5 est une élévation en bout, partiellement en coupe, de la moitié d'un appareil légèrement modifié. 



   La fig. 4 est un plan de l'appareil de la   fig.l,     certai-   nes parties étant arrachées. 



   Les figs. 5a à, 5e sont des schémas montrant les opéra- tions de l'appareil de formation. 

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   La fig. 6 est une -vue latérale d'une machine complète pour la fabrication de corps tubulaires, construite sur la base de l'appareil représenté   à   la fig.l. 



   La fig. 7 est une vue en bout d'une partie de la machine. 



   La fig. 8 est une vue perspective du dispositif à révol- ver qui constitue une partie de la machine de la fig.6. 



   La fig ; 9 est un plan montrant une forme de réalisation préférée des moyens d'actionnement de la cloche du dispositif à revolver. 



   La fig. 10 est une vue frontale à grande échelle a'un support du noyau, qui dans certains cas, fait partie de l'appareil de formation. 



   Les figs. 11 et 12 sont respectivement une élévation latérale et une élévation frontale d'une forme préférée du noyau, munie d'un dispositif pour relâcher le corps formé. 



   La fig. 13 est une coupe longitudinale et la fig. 14 un plan avec certaines parties arrachées, d'une glissière modifiée. 



   La fig. 15 est une vue frontale du dispositif pour appli- quer et fixer l'organe d'emboîtement, du type représenté à la fig. 6. 



   La fig. 16 est une vue schématique en perspective du dispositif de la fig. 15. 



   La fig. 17 est une vue latérale de ce même dispositif tel qu'on le voit de la droite de la fig. 15, et la fig. 18 est un plan par dessous du dispositif de la fig. 15. 



   Selon les figs. 1, 2 et 14, l'appareil de formation qui est indiqué d'une manière générale par le chiffre de référence 10,comporte une base fixe 11 de laquelle fait saillie un pilier creux 12 de guidage. La jambe 13 d'une 

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 plaque 14 porte-matrice,'est montée de manière à pouvoir   coulis-   ser dans un chemin de guidage 12a du pilier 12 de guidage et axialement par rapport à ce pilier. La plaque 14 et la jambe 13 forment un tout qui sera désigné ci-après comme la table porte-matrice ou brièvement la table et cette dernière a pratiquement en coupe verticale la forme d'un T, comme on le voit de la fig.2.La plaque présente une cavité 15 disposée en son centre dans la surface éloignée de celle qui porte la jambe 13.

   Si l'on examine une section transversale de la cavi- té   15,   la surface effective de celle-ci, qui peut être une partie intégrale de la surface de la plaque 14 (fig.l) ou de la surface exposée d'une chemise 15a (fig.2), à une configu- ration qui correspond   à   une partie du contour du corps tubu- laire à former, généralement plus ou moins de la moitié de ce contour. Au dessin annexé, l'appareil, les parties et la machine ont été représentés comme s'adaptant   à   la fabrication de corps cylindriques, de telle sorte que la section transversale de la surface de travail de la cavité 15, est un demi- cercle.

   Cette cavité s'étend sur toute la longueur de la plaque 14, et elle est destinée à recevoir un noyau 17 tant soit peu plus long qu'elle et dont le rayon est égal à celui de la cavité moins l'épaisseur de la matiè re en feuille avec laquelle le corps doit être formé. 



   Deux glissières complémentaires 18 et 18a sont montées de chaque c8té de la cavité 15 et ces glissières sont dispo- sées pour s'approcher et s'éloigner mutuellement l'une de   l'autre,   dans une direction transversale par rapport à la dite cavité. Chacune des glissières, comme par exemple celle 18, comporte essentiellement un châssis 19 dans lequel un sabot rabatteur 20 est monté de manière-à pouvoir coulisser, ce sabot présentant une face active 21 qui est dirigée vers 

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 la cavité 15 et qui présente une configuration en section transversale, géométriquement semblable à une partie de la fraction du contour du noyau qui ne doit pas correspondre à la cavité 15. En général cette partie est,pratiquement la moitié de la fraction du contour du noyau.

   De cette manière, la cavité et les deux sabots 20 et 20a forment, lorsque ces derniers sont dans leur position active, une étampe ou une matrice dont la section transversale correspond au contour externe du corps que l'on désire former, c.à.d. au contour du noyau   17   lorsque ce dernier est recouvert de la matière en feuille. La grandeur circonférentielle des surfaces internes réelles de la matrice composée comme décrit, n'est pas exac- tement égale au périmètre externe du corps, car pour appliquer l'organe d'emboîtement, il est nécessaire qu'un espace suffi- sant existe pour permettre de placer le dit .organe d'emboîte- ment alors que la matière en feuille est encore fermement maintenue par les organes 18 et 18a.

   Dans la présente descrip- tion, l'appareil a été décrit et représenté au dessin comme servant à la fabrication de corps tubulaires dans lesquels l'organe d'emboîtement a une forme telle que les parties marginales et longitudinales de chaque côté du joint doivent être placées en ayant leurs faces internes en contact et doi- vent être dirigées vers l'extérieur dans une direction radiale, tangentielle ou intermédiaire de manière   à   pouvoir recevoir le dit organe d'emboîtement. Pour cette raison, la grandeur périphérique des surfaces internes de la matrice composée, sera égale, dans le cas représenté, au périmètre externe du corps que l'on désire former moins deux fois l'épaisseur de la matière en feuille. 



   Aussitôt que la matière en feuille enveloppe le noyau 17 et jusqu'à ce que l'organe d'emboîtement soit appliqué à cette matière, les parties marginales du corps précédemment formé, 

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 mais n'ayant pas encore reçu l'organe   d'emboîtement,   sont pressées ensemble et maintenues dans une position adéquate pour recevoir le dit organe, par les bords internes 22 et 22a des parois supérieures 23 et 23a des châssis 19 et 19a, les dites parois supérieures étant celles qui sont éloignées de la plaque 14. 



   Outre la paroi supérieure 23, chaque châssis 19 et 19a comporte une base   24   faisant face à la paroi   25   et en contact avec la plaque 14, ainsi qu'une paroi latérale 25 qui relie la paroi 2" et la base 24,de telle sorte que chaque châssis présente une section transversale de la forme d'un U couché dont la branche qui est la plus éloignée de la plaque 14 est plus longue que l'autre ou base   24   et dont l'ouverture est dirigée vers la cavité 15. La base   24   est munie de moyens per- mettant de la fixer à la plaque 14 de manière à pouvoir cou- lisser, ces moyens étant par exemple une queue d'aronde 26 qui, dans la forme de réalisation représentée, entre dans les rainures 27 entaillées dans la surface de la plaque   14.   



   Comme on l'a   déjà,   indiqué et pour le but qui sera expli- qué   ci-après,   les sabots 20 et 20a sont montés de manière   à   pouvoir coulisser à l'intérieur des châssis 19 et 19a. Ils sont normalement maintenus dans une position dans laquelle la partie supérieure du sabot fait légèrement saillie du bord 22 du châssis respectif, par des moyens appropriés comme par exemple les ressorts   28   placés entre la face interne 29 de la paroi latérale 25 et la face latérale   50   du sabot,   c.à.d,   la face éloignée de la surface active 21.

   Pour maintenir les ressorts   à   leur place, des tiges 31 de guidage peuvent être prévues dont les extrémités éloignées des sabots sont libres de coulisser dans des ouvertures ménagées dans la paroi latérale   25   du châssis 19, alors que leurs autres extrémités 

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 peuvent être vissées dans les sabots (voir fig.2). 



     La.   partie des sabots qui se trouvent derrière la surface active   21   et qui se termine dans la face latérale 30, est d'une épaisseur telle qu'elle s'ajuste dans l'espace entre la paroi supérieure   23   et la base   24   du châssis.

   Pour s'assurer que le châssis et le sabot prennent toujours les mêmes posi- tions relatives lorsque les ressorts 28 ne sont pas comprimés, et pour limiter le mouvement relatif du sabot et du châssis, des moyens de limitation adéquats sont prévus qui, dans la forme de réalisation représentée, consistent en des saillies 32 formées sur la face supérieure 33 du sabot,   c.à.d.   la face qui fait contact avec la face interne de la paroi supérieure 23 du châssis, cette face interne présentant des rainures 34 entaillées en elle, dans lesquelles les dites saillies sont destinées à se déplacer. Cette construction sert principale- ment à limiter la distance de séparation entre le châssis et le sabot.

   Pour limiter le rapprochement de ces parties l'une de   l'autre,   on fait usage de l'épaulement 35 formé entre la partie du sabot adjacente de la surface active 21 et la partie qui comprend la face latérale 30, la partie mentionnée en premier lieu étant d'épaisseur suffisante pour faire contact avec la plaque 14 et étant munie de queues d'aronde qui cou- lissent dans les mêmes rainures   27   que mentionné ci- dessus. 



  La distance entre la face latérale 30 et l'épaulement 35 est telle que le sabot, lorsqu'il se trouve dans sa position normale lorsque les ressorts 28 ne sont pas comprimés) s'étend légèrement à l'intérieur de l'espace entre la paroi supérieure 23 et la base   24   du châssis, la distance entre le bord libre de la face   24   et l'épaulement 35 étant égale, lorsque cela est possible, à la distance entre le bord 22 et le bord supérieur de la surface active 21.      

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   De préférence, les glissières 18 sont également manies de guides 36 montés sur la face externe de la paroi supérieure 25. Ces guides sont destinés à conduire les feuilles 37 de matière à leur position correcte par rapport à la cavité   15.   



   L'appareil de formation 10 est complété par les moyens d'actionnement de la table et des glissières 18. Dans la forme de réalisation représentée, la table est destinée à s'approcher et à s'éloigner d'un plan dans lequel se trouve le noyau 17, mais rien n'empêche que cette disposition soit inversée, c.à.d. que la table soit maintenue stationnaire alors que le noyau 17 est obligé de s'éloigner ou de s' approcher de la table. Dans les deux cas, le but et le fonctionnement des glissières 18 sont les mêmes. 



   Cependant, dans la majorité des cas, il est plus avanta- geux que la table soit la partie mobile au cours du cycle des opérations de formation du corps. Pour cette raison, l'appareil sera décrit ci-après comme étant de ce type, mais l'invention ne doit pas être limitée d'aucune manière, de ce fait, à ce que l'on peut appeler un appareil à table allant et venant ;    eneffet, on désire également inclure dans la présente invention   le type d'appareil dont le noyau a un mouvement alternatif, les modifications nécessaires à la réalisation de ce dernier type et portant sur les moyens   d'aotionnement,   rentrant très bien dans les compétences d'un hommé de la partie.

   On compren- dra également facilement qu'il existe plusieurs types de moyens pour actionner non seulement les tables, mais également les glissières, que les mouvements de ces dernières soient dépendants ou non ou soient synchronisés ou non avec les mouvements de la table. 



   La nature des moyens d'actionnement choisis, dépendra de la manière aont l'appareil de formation doit être utilisé. 

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  Comme on l'a déjà indiqué, l'appareil peut être employé comme la partie inférieure d'une presse actionnée à la main. Dans ce cas, un jeu de bielles peut être employé pour soulever et pour abaisser la table et un ou plusieurs jeux Indépendants de leviers peuvent être utilisés pour actionner les glissières 18   et 18a.   Ces derniers jeux peuvent être indépendants l'un de l'autre ou seulement indépendants du jeu de bielles com- mandant la table. Comme variante de réalisation, le jeu de bielles et les leviers peuvent être reliés entre eux de manière effective, de telle sorte que   l'ouvrier   peut actionner la table et les glissières 18, simultanément, en actionnant un seul levier de Sommande. 



   Si l'appareil de formation est conçu pour être incorporé dans une machine complète destinée   à   fonctionner d'une manière presque totalement automatique, on peut adopter le même sys- tème de base pour l'actionne ment par le jeu de bielles. Néan- moins, une plus grande efficacité ainsi qu'une forme de trans- mission et une construction plus simple sont réalisées en adoptant des moyens d'actionnement rotatifs qui, selon la forme de réalisation préférée représentée au dessin, sont une combinaison de cames   et   de leviers. 



   Cette combinaison comprend un arbre entraîné 38 qui passe à travers le pilier creux 12 et la jambe 13 dans une direction parallèle à la plaque 14 et perpendiculairement à la cavité 15. Les parois latérales 39 et 39a du pilier creux 12 sont perforées de manière à recevoir le dit arbre 38 et à former deux paliers   40   (voir fig.2). 



   La jambe 13, comme on le voit le mieux de la fig. 4, est creuse pour être légère et présente une rainure allangée   42   ménagée dans chacune de ces parois latérales 41 et 41a; cette rainure 42 laisse passage à l'arbre 38 tout en permettant le 

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 mouvement ascendant et descendant de la table. L'arbre 58 porte une came 43, 43a près de chaque face latérale du pilier creux 12 et à l'extérieur de celui-ci; cette came présente une surface de came 44 excentrique par rapport à l'arbre   58.   ainsi qu'un bord 45 éloigné du pilier 12 qui constitue égale- ment un chemin de came. 



   La plaque 14 qui s'étend latéralement   au-delà,   du pilier 12, porte deux rouleaux 46 de came partiellement enfoncés dans la face de la plaque éloignée de celle présentant la cavité 15,et montés sur des chevilles 47. Ces rouleaux sont destinés à rester constamment en contact avec la surface de came 44 des organes 43 et 43a ou même de préférence à reposer sur cette surface 44. Pour cette raison, lorsque l'arbre 38 tourne, les cames 43 et 43a qui tournent avec l'arbre, soulè- vent en premier lieu la tablè   à   une vitesse qui dépend naturel- lement de la forme de la surface 44, et ensuite permettant è la table de tomber par son poids une fois que les rouleaux ont dépassé la partie de cette surface 44 qui est la plus éloignée de l'arbre 38.

   Si on le désire, un deuxième rouleau   46b   (voir fig.5) peut être monté sur une prolongation 50a d'une cheville 50 qui s'étend parallèlement à l'arbre 38 et du.côté diamètralement opposé au rouleau 46, de telle sorte que ce deuxième rouleau   46b   repose contre la surface 44 en un point inférieur. 



   La cheville 50 est fixée à l'extrémité inférieure de la jambe 13 et monte et descend avec celle-ci. Pour ce faire, une rainure allongée 42a est ménagée dans la paroi latérale du pilier 12. On comprendra que, grâce   à   cette construction, la table sera effectivement abaissée penaant son mouvement descendant. Pour diminuer le frottement et le soulèvement ou le support du poids mort, on prévoit de préférence un contre- 

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 poids 48 pour la table. Ce contre-poids 48 peut être porté par l'extrémité libre d'un levier 49 de contre-poids qui passe à travers l'une des parois du pilier 12 qui sont paral- lèles à l'arbre 38, ainsi   qu'également à   travers la paroi correspondante de la jambe 13.

   Pour plus de clarté, la paroi   @   du pilier et la jambe à travers lesquelles passe ainsi le levier du contre-poids, seront désignés ci-après comme les parois postérieures, et l'extrémité de l'appareil qui comprend l'une ou l'autre de ces parois, sera appelée l'extrémité posté- rieure. L'extrémité perpendiculairement opposée sera appelée l'extrémité antérieure et les parois latérales ainsi que les extrémités latérales seront indiquées ci-après comme droites et gauches, lorsque l'on regarde directement vers l'extrémité frontale. Ainsi,dans la   fig.l,   la paroi latérale visible 39 est la paroi latérale droite et l'extrémité visible est l'ex- trémité antérieure. 



   L'extrémité antérieure du levier 49 du contrepoids est accouplée de manière à pouvoir pivoter à une cheville 50 qui passe à travers l'extrémité de la jambe 13, éloignée de la plaque 14, en un point au-dessous des rainures 42. Le point d'appui du levier 49 est   constitué   par une tige 51 parallèle à la base 11 et solidaire de ce levier. La tige 51 est suppor- tée de manière à pouvoir pivoter dans deux paliers 52   t   52a (fig. 4) qui s'étendent vers l'extérieur à partir du pilier 12 sur chaque coté d'une ouverture allongée 53 formée dans la paroi postérieure 54 du pilier et coincidant pratiquement avec une deuxième ouverture 55 également allongée, ménagée dans la paroi postérieure 56 de la jambe 13.

   Ces ouvertures 53 et 54 donnent au levier 49 le jeu nécessaire pendant les mouvements ascendants et descendants de la table. 



   Dans cette forme de réalisation de l'appareil de forma-- 

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 tion, les organes coulissant 18 et 18a sont également mûs par les cames   45   et 43a par l'intermédiaire d'une paire de sec- teurs 57, 58 et respectivement 57a. 58a pour chaque organe 18   et 18a.   Ces secteurs présentent des dents à leurs bords incurvés et sont pivotés à leurs extrémités éloignées de ces bords, sur des tasseaux 59 faisant saillie vers l'extérieur des parois latérales 25 et   25a   des châssis 19 et 19a. Les dits tasseaux 59 sont placés de telle sorte que les bords dentés des secteurs 57, 58 ou 57a, 58a, de chaque paire sont continuelle- ment en prise.

   Les secteurs antérieurs 57 et 57a portent un arbre 60 pendant verticalement, et qui leur est solidaire en un point intermédiaire et cet arbre passe   à   travers un palier 61 saillant de la face latérale de la plaque 14 et s'étendant approximativement   jusqu'au   niveau du point du bord interne du chemin de came 45 le plus près des rouleaux 46 et 46a. 



  L'extrémité libre de l'arbre 60 porte fixé à elle un bras radial 62 qui se termine par une griffe 63 dans laquelle un petit rouleau 64 est monté de manière à pouvoir tourner et pour être constamment en contact avec le chemin de came 45. Pour que le rouleau   64   puisse être maintenu en contact avec le chemin de came 45, des moyens appropriés sont prévus comme par exem- ple un ressort spiral ou à boudin (non représenté) qui peut être fixé entre l'arbre 60 et un point relativement fixe tel que par exemple le palier   61   et qui peut être logé à l'in- térieur de ce dernier. Les autres secteurs 58 et 58a de chaque paire portent fixés sur eux, en un point intermédiaire,,une cheville de support   65   montée de manière à pouvoir tourner dans une crapaudine 66 saillant de la face latérale de la plaque 14.

   Pour maintenir la feuille de matière 37 contre le noyau 17, alors que la table est soulevée, une plaque de sup- port 67 est prévue d'une longueur tant soit peu plus petite 

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 que celle de la plaque 14, la dite plaque   s'étendant   perpen- diculairement à la surface plane de la plaque 14, à travers une rainure longitudinale 68 entaillée dans la partie infé- rieure de la cavité 15. L'extrémité libre de la plaque 67, parallèle à la plaque 14, présente la même configuration que la partie de la surface active de la cavité 15 qui a été rem- placée par la rainure 68. Le bord opposé de la plaque repose librement sur une came   69   formée ou montée sur l'arbre 38 en un point intermédiaire au-dessous de la rainure 68.

   La lar- geur de la plaque 67, mesurée dans le sens de la hauteur du pilier 12, est telle que, lorsque le noyau 17 est dans sa position active, le bord libre de la plaque 67 sera normale- ment à une distance de la surface du noyau, égale à l'épaisseur de la matière en feuille. La came   69   est pratiquement circu- laire, mais elle présente une légère dépression ménagée en elle pour permettre à la plaque 67 de support d'être abaissée sur une petite distance alors qu'une nouvelle pièce de matière en feuille est amenée dans l'appareil.

   Lorsque la   nouvelle   feuille a été correctement placée et que le noyau 17 se trouve dans sa position active, la plaque 67 s'élève à sa position normale de manière à maintenir de nouveau la feuille fermement contre le noyau et   à   l'empêcher ainsi de se déplacer, alors que la plaque 14 se soulève. 



   Pour la clarté du mémoire, le fonctionnement de   l'appa-   reil de formation dont les détails viennent   d'être   donnés, sera expliqué maintenant avant de décrire la machine complète. 



  Une autre raison de donner ces explications maintenant, est que l'appareil de formation, même lorsqu' il est muni du système de cames et de secteurs pour l'actionner, peut être utilisé comme une unité, vu qu'il ne doit pas nécessairement faire partie d'une machine plus complète. Dans ces conditions, 

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 l'appareil comporte comme accessoire un dispositif de mise en place du noyau, de l'un des types mentionnés ci-dessus. 



  La matière en feuille peut être fournie à la main ou   à.   l'aide de n'importe quel dispositif ou appareil approprié d'alimen- tation. 



   Comme divers types d'appareils d'alimentation appropriés sont facilement concevables,, on estime inutile d'en donner ici une description détaillée. Les organes d'emboîtement peuvent également 'être appliqués et emboîtés à la main ou au moyen d'un dispositif approprié. Néanmoins, et spécialement dans certains cas et pour certains types de joints, il est préfé- rable d'utiliser un dispositif d'application et de fixation des organes d'emboîtement, du type représenté aux   figs.15   à 18. Ce dispositif qui a été conçu spécialement comme un ac- cessoire de l'appareil de formation, objet de la présente invention, est décrit en détails ci-après. 



   En considérant les remarques ci-dessus et en se référant spécialement aux figs. 1 à 5e inclusivement, on va décrire maintenant le fonctionnement de l'appareil de formation re- présenté à ces figures. 



   On suppose que l'arbre 38 est accouplé, de préférence par l'intermédiaire de dispositifs de commande qui peuvent être un embrayage, des poulies d'entraînement et folles, un dispositif de commande électrique ou autre dispositif analo- gue, à. une source de puissance appropriée non représentée à ces figures. Aux figs. 1, 2 et 5a, l'appareil est représenté avec ses parties dans les positions correspondant au point initial du cycle des opérations de formation. 



   Dans ces conditions, la plaque de support 67 est dans sa position normale et les cames 43 et 43a sont en contact avec les rouleaux 46   à.   la partie de la surface 44 qui est 

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 la plus près de l'arbre 58. Le chemin de came 45 est disposé de telle sorte par rapport à la surface de came 44, qu'au point initial du cycle des opérations de formation, le rouleau   64   est en contact avec une partie d'un tronçon sans effet du, chemin de roulement 45, ce tronçon étant dans un plan perpen- diculaire à l'arbre 38 et à une distance minimum de la paroi latérale correspondante du pilier 12. 



   Immédiatement âpres que l'arbre 38 a commencé de tourner, la dépressien de la came   69   se déplace au-dessous de la pla- que de support   67   qui tombe par son poids pour permettre la mise en place de la pièce 37 de matière en feuille. Lorsque ceci a été effectué, la plaque   67   retourne   à   sa position nor- male, comme déjà expliqué. 



   Les parties, comprenant maintenant la feuille 37, sont à ce moment dans la position représentée à la fig. 5a. Comme   l'arbre 88   continue à tourner, il entraine avec lui les cames 43 et 43a qui soulèvent régulièrement la plaque 14 vers le noyau 17. La feuille 37 qui repose alors sur la surface ex- terne des parois supérieures des châssis 19 et 19a entre les guides 34   et 34a,   commence   à   être repliée par l'effort des glissières de rabattement 20 et 20a, effort qui est exercé le long des bords longitudinaux de la feuille et dans la direc- tion dans laquelle la table se déplace. Cette opération est représentée à, la fig. 5b.

   Entre-temps, les rouleaux   64   ont poursuivi leur fonctionnement en contact avec la partie sans effet du chemin de came 45, de telle sorte que les glissières 20 et 20a restent encore dans leurs positions initiales par rapport à la plaque 14. A un moment approprié, par exemple un peu avant la position représentée à la fig. 5b, la partie active du chemin de came 45 commence à coulisser au-dessous des rouleaux 64. 

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   Cette partie active se trouve généralement dans un plan incliné par rapport   à   l'arbre 38, de telle sorte qu'à partir de son origine à n'importe quelle extrémité de la partie sans effet, la partie active du chemin s'éloigne progressivement de la paroi latérale correspondante du pilier 12. Ainsi, la partie active pousse les bras 62 vers l'extérieur à partir du pilier 12 d'abord graduellement et ensuite plus rapidement, pendant un court intervalle de temps. Le mouvement vers l'ex- térieur des bras 62, oblige les arbres 60 à tourner dans leurs paliers 61, en direction opposée, et de manière à éloigner les bords dentés des secteurs 57 et   57a   fixés aux arbres 60, de la plaque 14.

   Comme ces bords sont en prise avec les bords dentés des secteurs 58 et 58a, les bords dentés de ces der- niers sont également obligés de se déplacer vers l'extérieur, les secteurs 58 et 58a tournant sur leurs chevilles   65,   dans la direction opposée à celle des secteurs correspondants 57 et 57a. Comme les extrémités des secteurs éloignées de leurs bords dentés sont accouplées aux châssis 19 et 19a des glis- sières 18 et 18a, ces dernières, ainsi que les secteurs se déplacent de la manière décrite ci-dessus, sont poussées vers l'intérieur de la plaque 14, c.à.d. vers la cavité 15 et par conséquent vers la position active qui sera prise par le noyau 17. Cette position est représentée à la fig. 5 c, dans laquelle les glissières 18 et 18a sont représentées peu après le début de leur rapprochement l'une de l'autre. 



   Comme l'arbre 38 continue à tourner, la table continue à s'élever jusqu'à ce que toute la surface active de la cavi- té 15 fasse.contact avec la feuille 37 qui est ainsi pressée contre le noyau 17 par-dessous par la dite cavité et sur les côtés par les sabots 20 et 20a des glissières qui, lorsque la table arrive à la fin de sa course ascendante, ont atteint 

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 la limite de leur mouvement vers l'intérieur, comme   représen-   té à la fig. 5 d. 



     La.   partie de la surface de came 44 qui, lorsque les dif- férents organes sont dans la position représentée à la fig.5d, est en contact avec le rouleau 46, est concentrique à l'arbre 38, de telle sorte que la table est maintenue dans sa position pendant un court intervalle de temps. D'autre part, la partie correspondante du chemin de came 45 présente une inclinaison plus prononcée de manière à provoquer une rotation plus rapi- de des arbres 60.

   Les sabots 20 et 20a étant fortement mainte- nus contre le noyau, la feuille 37 étant interposée entre ces parties et presque complètement repliée autour du dit noyau, ne peuvent plus se déplacer vers l'intérieur par rapport à la plaque 14, de telle sorte que sous l'effet de l'augmenta- tion de l'effort des secteurs du fait de la dite modification du chemin de came 45, les châssis 19 et 19a sont obligés de se déplacer vers les sabots 20 et 20a contre l'action des res- sorts   28   et emboîtent ainsi les bords longitudinaux de la feuille 37 entre leurs bords 22 et 22a, comme représenté à la fig. 5e. Cette position représente. la fin du cycle ae for- mation en ce qui concerne   1'appareil   de formation.

   Les sec- tions de la surface de came 44 et du chemin de came 45 qui, à ce moment, sont en contact avec le rouleau 46 et le petit rouleau 64, sont constituées de manière à maintenir la table et les sabots avec leurs châssis, pendant un petit moment, dans leurs positions d'extrémité respectives, pendant qu'un dispositif d'application et de fixation, indiqué en 70 à la fig. 5e, est amené dans sa position active pour la mise en place et la fixation de l'organe d'emboîtement. 



   Au moment où le dispositif d'application 70 est sur le point d'arriver au niveau de la surface externe de la paroi 

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 supérieure du châssis 19 et 19a, le cycle de retour des orga- nes de formation de l'appareil 10 commence, les châssis 19 et 19a s'éloignent en premier lieu du noyau pour permettre au dispositif d'application de s'abaisser sur une courte distance pour appliquer l'organe d'emboîtement (indiqué par le chiffre de référence 71 à la fig.   5 e)   aux bords longitudinaux 72 du corps tubulaire qui est en train   d'être   formé. 'Une fois que la bande   'il.   est en place, le dispositif d' application 70 peut alors fonctionner pour presser ou pour emboîter la bande et ensuite pour libérer l'organe d'emboîtement et se retirer du noyau 17.

   La manière dont ces mouvements sont effectués sera expliquée ci-après lors de la description de la forme de réa- lisation préférée du dispositif d' application.   Entretemps,   les sabots se sont retirés tant soit peu rapidement du noyau et la table a été également abaissée à sa position initiale. 



  Les hommes du métier comprendront facilement que ces mouvements de retenue des organes de façonnage sont provoqués par la configuration des parties correspondantes des surfaces de came et des chemins de came 44 et 45 qui obligent les organes actifs de l'appareil à se déplacer dans des directions oppo- sées à celles décrites précédemment, mais d'une manière très semblable. 



   Une fois que le dispositif   d'application 70   s'est retiré du noyau, ce dernier peut être retiré de sa position   ac tive   et remplacé par un autre noyau. Alternativement, le même noyau peut être employé pour un nouveau cycle des opérations de formation, il est alors nécessaire d'enlever en premier lieu du noyau le corps tubulaire qui vient d'être terminé. 



   Dans ce qui précède, on s'est   référé à,   la mise en place   d'une   feuille de matière sur l'appareil au début du cycle des opérations de   formation.   Cette feuille peut être simple ou 

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 composée de plusieurs couches solidaires les unes des autres, de telle sorte que l'on peut obtenir un corps tubulaire pré- sentant une ou plusieurs couches. Si la formation du corps est exécutée comme on vient de le décrire et que le corps pré- sente plusieurs couches, celles-ci peuvent être fixées   ensem-   ble de manière à ne pas pouvoir se déplacer les unes par rapport aux autres.

   En dépit de ceci, il est possible de for- mer avec l'appareil selon la présente invention, des corps tubulaires ayant plus d'une couche, dans lesquels les diffé- rentes couches forment des tubes individuels télescopant les uns dans les autres. Cette construction sera désignée par corps à couches indépendantes. Alternativement, les différen- tes épaisseurs peuvent être fixées les unes aux autres seule- ment le long du joint longitudinal et au moyen du même organe d'emboîtement. Ce type sera appelé un corps à couches semi- indépendantes, tandis que le type obtenu d'une feuille com- posite sera appelé corps à plusieurs plis.. 



   Les corps à couches semi-indépendantes sont   fabriqués   en utilisant un organe d'emboîtement de section transversale appropriée et en employant au moins deux appareils de forma- tion de manière qu'avec un appareil la couche interne (soit à un seul pli, soit à plusieurs plis) puisse être formée sur un noyau et que le même noyau, recouvert de la couche ainsi formée, puisse être transporté à l'autre appareil, de manière recevoir la couche externe. Lorsque l'on désire fabriquer un -corps tubulaire ayant plus de deux couches, le même noyau peut être passé successivement dans autant d'appareils de formation que l'on désire obtenir de couches, ou bien il peut être passé dans deux appareils, alternativement dans l'un ou dans l'autre, jusqu'à ce que le nombre requis de couches soit atteint. 

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   On va donner maintenant une description d'une forme de réalisation préférée d'une machine complète pour la   fabrica-   tion automatique de corps tubulaires en une matière en feuil- le, basée sur l'appareil de formation décrit ci-dessus. Cette machine, qui est représentée à la fig.6, est destinée à la fabrication de corps tubulaires en deux couches semi-indépen- dantes, mais comme on le verra, elle peut être facilement adaptée pour la fabrication de deux ou même de trois corps à. couche unique (simple ou composite ) fabriqués en même temps. 



   La machine représentée aux figs. 6, 7 et 8 comporte deux appareils de formation 10 et 10' disposés perpendiculairement l'un à. l'autre autour d'un dispositif à révolver 73 portant les noyaux, monté de manière à pouvoir tourner sur un support cylindrique creux 74 dans la paroi cylindrique duquel une ouverture allongée 75 est formée en face de chaque appareil 10 et   10'   et s'étendant en direction axiale par rapport au support. Ces ouvertures offrent un passage pour les leviers 49 de contrepoids dont les contrepoids 48 peuvent être logés à l'intérieur du support. L'extrémité supérieure de ce dernier présente une bride 76 au centre de laquelle un moyeu cylindri- que 77 fait saillie. Ce moyeu agit conne un tourillon sur lequel la cloche 78 du dispositif à révolver peut tourner.

   Un certain nombre de bossages radiaux 79 font saillie de cette cloche, dans la forme de réalisation représentée ces bossages sont au nombre de huit et ils sont perforés axialement comme indiqué en 80 pour recevoir les extrémités des noyaux 17. éloignées des appareils 10 et 10'. La longueur axiale du moyeu 77 est légèrement plus grande que l'épaisseur de la cloche 78, de telle sorte que le moyeu se prolonge au-delà de cette der- nière de manière à servir de support intermédiaire pour le 

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 bras principal allongé 81 de la machine, dont l'extrémité 81a éloignée de l'appareil 10' repose sur un support 82 et est destinée à porter les dispositifs d'application et d'emboîte- ment des organes d'emboîtement, ou servant à l'une de ces deux opérations seulement,

   dispositifs indiqués d'une manière générale par les chiffres de référence 70 et 83 à la fig.6. 



  L'extrémité 81a du bras principal 81 et le support 82 forment ensemble une paroi de support pour l'engrenage par lequel la force est transmise aux différents organes mobiles de la ma- chine. Le jeu d'engrenage monté sur cette paroi sur le côté de celle-ci opposé au bras principal 81, comprend un pignon prin- cipal 84. une roue d'entraînement 85 pour le dispositif 83, accouplée au pignon par l'intermédiaire d'un engrenage de réduction 86 et une roue 87 de réduction et d'entraînement pour l'arbre auxiliaire 88.

   Le pignon 84, l'engrenage de   réduc-   tion 86 et la roue d'entraînement 85 ont leurs arbres alignés sur la ligne centrale de l'extrémité 81a du bras principal 81, mais la rôue de réduction et d'entraînement 87 a son arbre déplacé latéralement par rapport à cette ligne et vers l'appa- reil 10 par rapport à la machine en général, Pour permettre cela, le support 82 est tant soit peu élargi, comme représenté à la   fig.7.   



   L'extrémité de l'arbre 89 principal d'entraînement qui est la plus près de la machine et qui porte le pignon 84, est supportée par un palier 90 faisant partie du support 82.   L'au-   tre extrémité de l'arbre d'entraînement principal peut former une partie de l'arbre d'un moteur tel que par exemple le moteur électrique 91, ou bien elle peut   'être   directement ou indirectement accouplée à un tel moteur. 



   L'engrenage de réduction 86 est calé sur un arbre 92 court qui tourne dans un palier 93 prévu près du bord inférieur 

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 de l'extrémité 81a du bras principal 81. Dans certains cas, qui seront indiqués ci-après, la roue d'entraînement 85 peut présenter un arbre court monté d'une manière semblable à celle de l'arbre 92. Néanmoins, dans la forme de réalisation repré- sentée, l'arbre 94 pour la roue d'entraînement 85 s'étend jusqu'à l'extrémité opposée du bras principal passant à travers un palier 95 près de la roue 85, un palier intermé diaire 98 monté sur le bras principal 81 ou faisant partie de ce bras et un palier d'extrémité 97 monté sur le bras principal 81 près de l'extrémité éloignée de l'extrémité 81a. 



  L'extrémité de l'arbre 94 qui fait saillie du palier 97 est accouplée effectivement au dispositif   85   de fixation de l'organe d'emboîtement, au moyen d'un organe d'actionnement approprié tel que par exemple un excentrique 98 qui a pour but de soulever et d'abaisser le poinçon.22 du dispositif 83. 



   L'arbre auxiliaire 88 de la roue 87 de réduction et d'entraînement passe à travers un palier allongé 100 prévu dans la partie élargie du support 82, et son extrémité éloi- gnée de la roue 87 est supportée de manière à pouvoir tourner dans un palier 101 prévu dans la partie pendante 102 d'une feuille 103 qui fait saillie de la bride 76 du support 74 et qui est dirigée vers le support 82. Entre ce dernier et le palier 101 et de préférence près de ce palier, l'arbre auxi- liaire 88 porte un engrenage de transmission 104 qui est sem- blable   à   la roue 87 de réduction et d'entraînement et   qui   engrène avec une roue entraînée 105 montée sur l'arbre 38 qui entraîne l'appareil 10.

   Pour bien supporter l'extrémité de l'arbre 38 qui porte la roue 105, deux paliers 106 et   106a   à pied sont prévus, un de chaque côté de la dite roue 105. 



  L'extrémité opposée de l'arbre 38 qui se prolonge   au-delà   du côté de l'appareil 10 éloigné du support 82, porte un engre- 

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 nage conique 107 engrenant avec un engrenage semblable 107' fixé sur l'extrémité d'un arbre 38' de l'appareil 10' qui est le plus près de l'extrémité mentionnée en dernier lieu de l'arbre 38. 



   Pour que les noyaux 17 de la cloche 73 puissent être pré- sentés successivement aux appareils de formation 10 et 10', des moyens d'actionnement intermittents appropriés sont prévus dont les mouvements sont coordonnés avec ceux de ces appareils. 



  Les moyens d'entraînement intermittents peuvent être conçus de n'importe quelle forme adaptée, comme par exemple en se basant sur le principe de la croix de Malte. Néanmoins, une construction préférée est représentée aux figs.8 et 9, selon laquelle ces moyens consistent en une barre coulissante 109 recevant un mouvement alternatif à partir de l'arbre 38 et munie d'un cliquet 108 pivoté sur elle en 122, dont l'extrémité libre engrène successivement avec des dents.117 prévues sur la face de la cloche 73 près de   la. bride   76, de telle sorte que pour chaque course complète de la barre 109, la cloche 73 se déplacera d'un angle déterminé à l'avance dans le sens des aiguilles d'une montre sur les fig. 8 et 9.

   Pour bloquer le revolver en place pendant que le corps est formé sur l'un ou l'autre des noyaux, des moyens de blocage sont prévus qui coopèrent avec la face des dites dents éloignées de la face avec laquelle le cliquet est en contact. Ces moyens de blocage   sant   de préférence un corps plat 119 monté sur un pivot 120 fixé an un point approprié de la face du rayon 103 qui porte la barre 109. Ce corps plat présente un bras 121 dirigé vers l'extrémité de la barre coulissante 109 éloignée de l'arbre 38, lorsque la dite barre est au début de sa course active (position représentée à la fig.9). Le dit bras 121 présente sur son côté éloigné de la cloche 73, un bord de came 123 qui 

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 est en contact avec une cheville 118 prévue en un point inter- médiaire de la barre 109. 



     La.   bord de came 123 se termine à son extrémité la plus éloignée du cliquet, en un enfoncement arqué 124 qui est ménagé dans un épaulement droit,125, Une languette 126 fait saillie d'un point du corps 119 presque diamétralement opposé au bras 121; cette languette est pratiquement rectangulaire vue en plan et forme avec l'épaulement 125 et la cheville 118 l'organe de blocage effectif, comme on le verra de la description suivante du fonctionnement du dispositif.

   La barre coulissante 109 qui se trouve disposée transversalement à l'arbre 58. reçoit un mouvement alternatif le long d'une rainure 110 (fig. 8) entaillée dans la surface de la feuille 103 parallèle au plan de la cloche 73, au moyen d'une tige réglable 111 dont une extrémité est accouplée à l'extrémité de la barre 109 la plus près de l'arbre 38, tantlis que l'autre extrémité est accouplée   à   l'extrémité supérieure d'un levier oscillant 112 dont l'autre extrémité est montée sur une tige 113   suppor-   tée entre les pieds des paliers 106 et 106a.

   Le levier 112 porte en un point intermédiaire un petit rouleau 114 monté de manière à pouvoir tourner, qui est pressé par un ressort 115 contre le bord d'une came   ill   formée sur la face de la roue dtentrainement 105 la plus près de l'appareil 10 ou appliquée sur cette face, de telle sorte que lorsque l'arbre 38 tourne, le levier oscillant 112 est alternativement approché et éloigné de la tablette   105   en donnant un mouvement de va-et-vient à la barre coulissante 109 dans sa rainure 110.

   En commençant au point dans lequel les organes sont prêts à débuter leur course active (position représentée à la fig.9), l'extrémité libre du cliquet 108 est en contact avec une certaine dent 117a de la face 117b de la dent éloignée de l'arbre 38, le 

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 cliquet étant dévié vers la cloche 73 au moyen d'un ressort 127 porté par la barre 109 qui présente également un arrêt 128 pour limiter le mouvement vers l'extérieur du cliquet, de telle sorte que ce dernier, lorsque la barre 109 est mue vers l'arbre 38 (en descendant   à   la fig.

   9), peut effective- ment tirer avec lui la cloche 73 qui est ainsi tournée d'un certain angle (dans le cas représenté d'un angle de 45 ) de manière à amener le nouveau noyau en regard de l'appareil 10 et à porter le noyau sur lequel un corps tubulaire vient d'être formé, en une position intermédiaire entre les deux appareils 10 et 10'. 



   Lorsque la barre s'approche de l'arbre 38, la cheville 118 se déplace le long du bord de came 123 vers et dans   l'en-   foncement arqué 124. ce qui empêche tout mouvement supplé- mentaire libre de la dite cheville, qui cependant est mainte- nant dans une position telle, par rapport au pivot 120 de l'or- gane de blocage 119, qu'un couple est mis en jeu pour agir sur cet organe de blocage de telle sorte que ce dernier est obli- gé de tourner (dans le sens des aiguilles d'une montre aux figs.

   8 et 9) en permettant ainsi à la cheville 118 de pour- suivre son rapprochement de l'arbre 38 et en obligeant la languette 126 de s'introduire dans l'espace entre les dents 117 au moment où la dite dent particulière 117a est arrivée à une position telle que la face 117c de la dent la plus près de l'arbre 38 peut venir en contact avec le bord de la lan- guette   126   éloigné de l'arbre 38.

   Lorsque l'organe de blocage 119 tourne sur son pivot 120, l'enfoncement 124 est déplacé hors du passage de la cheville 118 qui, en arrivant à la fin de sa course active, est en contact avec l'épaulement recti- ligne 125 et ainsi, pendant que la barre 109 est dans sa posi- tion la plus près de l'arbre 38, empêche l'organe de blocage 

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 119 de tourner en sens inverse pour revenir à la position re- présentée à la fig.9, de manière à libérer la cloche du revol- ver. 



   La came 116 a une forme telle qu'elle maintient la barre 109 dans sa position la plus rapprochée de l'arbre 38 pendant le cycle des opérations de formation des appareils 10 ou 10' et jusqu'à ce que les tables respectives soient retombées sur une distance suffisante pour que les noyaux puissent passer librement au-dessus d'elles. A ce moment, la came 116 oblige les parties commandées par elle, à revenir à leur position originale représentée aux figs. 8 et 9. Pendant le mouvement de retour, le cliquet 108 frappe contre la dent 117 directement derrière la dent 117a qu'il vient de quitter, mais, par suite de la flexibilité du ressort 127, le cliquet fera avancer la barre 109 (vers la droite dans la fig.9) et, après avoir passé la dent en question, retournera automatiquement à la position normale sous la poussée du dit ressort.

   En même temps, la che- ville 118 coulisse le long de l'épaulement 125 et s'écarte de l'arbre 38, jusqu'à ce qu'elle frappe le bord de came 123 de l'arbre 121 qui, du fait qu'il est libre, prête sous la pous- sée de cette cheville et oblige ainsi l'organe de blocage 119 à tourner sur son pivot en sens inverse des aiguilles d'une montre, pour revenir à sa position originale et pour retirer la languette 126 d'entre les dents 117, en laissant ainsi la cloche 73 libre de tourner lorsque la course de retour (acti- ve) a commencé, ce qui se produit immédiatement pour que les noyaux puissent être amenés aans leurs nouvelles positions approximativement au   moment)   où les nables   atteignent.   les points les plus bas de leurs courses. 



   Comme on l'A déjà indiqué, 11 est nécessaire pour certains type ae joints pour les   oora     .Longitudinaux   au corps tubulai- 

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 re, comme par exemple pour les joints obtenus par repliement des corps métalliques en feuilles ou pour les organes d'em- boîtement appliqués et partiellement fixés, qui doivent être aplatis sur le corps, de soumettre les dits bords ou les dits organes d'emboîtement à un coup de marteau relativement fort ou à un coup d'un autre organe tel que celui représenté en 99 à la fig.6. Il s'ensuit que dans ces conditions les noyaux sont soumis à un effort brusque combiné de pliage et de cisaillement qui peut provoquer une rupture.

   Pour éviter ce danger, il est judicieux, dans les cas indiqués, de prévoir un support pour l'extrémité libre'du noyau, support qui doit pou- voir s'écarter du passage des noyaux lorsque ces derniers sont en mouvement. 



   Un support spécialement destiné à être utilisé comme accessoire de l'appareil., objet de la présente invention, est représenté aux figs. 6 et 10, les organes d'actionnement de ce support étant représentés aux figs. 1, 2, 4 et 6, alors que dans les figs. 11 et 12 on a indiqué la forme spéciale de l'ex- trémité libre des noyaux pour que cette extrémité puisse co- opérer avec le dit support. Selon les figs. 6 et 10, le support consiste en un poteau 130 supporté librement, de manière à pouvoir tourner, et perpendiculairement à la base 11 de l'appareil 10 ou 10',au moyen d'un bossage 131 perforé axia- lement formé ou fixé sur la dite base 11.

   La partie supérieure du bossage 131 est amincie en 132,, de manière à recevoir la moitié annulaire inférieure 133 d'un accouplement   à   denture reliant l'autre moitié 154 qui est calée sur le poteau   130.   



  Les dents 133a de cet accouplement sont formées de telle sorte qui si le poteau 134 est empêché de tourner, il sera alterna- tivement soulevé et abaissé lorsque la moitié annulaire 133 tourne sur'la partie amincie 132. Un bras 135 s'étend vers 

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 l'extérieur de cette moitié annulaire et l'extrémité libre de ce bras est accouplée à l'extrémité d'une tige d'actionnement 136 (voir figs. 1, 2, 4 et 6) qui coulisse dans un guide de support 137 vissé à une des faces latérales (par exemple la face droite) du pilier 12 et dont l'autre extrémité est accou- plée à l'un des bras d'un levier coudé 138 pivoté sur un pivot 139 qui fait saillie latéralement de la dite face du pilier 12.

   L'autre bras du levier 138 est accouplé à l'extré- mité libre d'un bras d'actionnement 140 calé sur l'extrémité libre   d'une   tige 51 qui sert de point d'appui pour la barre 49 d'un contrepoids, à laquelle elle est fixée. 



   Le poteau 130   (fig.10)   porte à son extrémité libre éloi- gnée du bossage 131, une tête 141 parallélipipédique   'qui   pré- sente sur sa face éloignée du poteau, une ouverture rectangue laire 142 destinée à recevoir une partie de forme appropriée de l'extrémité libre des noyaux. Lorsque le poteau est placé sur le bossage 131, la tête 141 se trouvera entre deux tasseaux 143 qui font saillie à une hauteur appropriée de la face fron- tale de la plaque   14   (voir fig. 4) et empêchent la rotation du poteau et l'obligent à. s'élever et à descendre avec les oscil- lations de la moitié annulaire de l'accouplement à denture.

   Ces oscillations sont provoquées par le mouvement de va-et-vient de la tige 51 qui, à son tour, est provoqué par les mouvements as- cendants et descendants de la barre du contrepoids, comme on le verra facilement. Le bras d'actionnement 140 fixé à la tige 51 transmet les mouvements de va-et-vient de cette cernière par un levier coudé 138 à la tige d'actionnment 137 qui, par consé-   quent,   fait osciller le bras 135 lequel fait saillie de la moitié annulaire 133 de l'accouplement, les organes étant pro-   portionnés   de telle sorte que les mouvements angulaires du bras 135 sont d'amplitude suffisante pour que les dents de la 

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 moitié annulaire 133 soient retirées des espaces dans lesquels elles reposent normalement et soient amenées   au.-dessous   des dents de l'autre moitié,

   en soulevant ainsi le poteau, pour que le fond de l'ouverture rectangulaire 142 puisse venir en contact avec la partie inférieure de l'extrémité libre du noyau cor- respondant. 



   Comme on l'a déjà indiqué, les extrémitéslibres des noyaux ont une configuration spéciale qui leur permet de pé- nétrer dans l'ouverture 142. Cette configuration est représen- tée aux figs. 11 et 12 desquelles on voit que la moitié infé- rieure des noyaux est formée de manière   à   présenter une partie 144 pratiquement rectangulaire d'une largeur égale à celle de l'ouverture 142 et se trouvant à une hauteur telle que lorsque le poteau 133 est soulevé le plus haut possible, la face   infé-   rieure plane 145 de la partie 144 sera au même niveau que le fond de l'ouverture 142.

   La partie spécialement formée est également utilisée pour assurer le centrage parfait du noyau par rapport à la cavité 15, une partie permettant le centrage 14b (fig.l) convenablement entaillée en 14c pour s'ajuster étroitement avec l'extrémité façonnée des noyaux, étant prévue sur la face frontale de la plaque 14. 



   Les mouvements du poteau 130 et des parties qui l'action- lent, sont coordonnés avec ceux de la machine, de telle sorte que le poteau parvienne à sa position la plus élevée une fois qu'un noyau recouvert d'un corps tubulaire venant d'être formé et emboîté, mais pas encore terminé, a été placé au-dessus de la table à laquelle il reçoit le coup destiné à aplatir son joint et avant que le marteau ne soit actionné, ce qui fait que le noyau sera supporté à son extrémité libre au moment où il reçoit le coup de marteau. 



   Comme les hommes du métier le comprendront facilement, 

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 du fait que la matière en feuille est repliée étroitement autour du noyau et se trouve sous tension pendant toute l'opé- ration de formation du corps, ce dernier une fois terminé sera ajusté relativement étroitement sur le noyau, de telle sorte qu'il est difficile, spécialement dans les cas de corps à couches semi-indépendantes, dont la couche interne est très mince ou est en feuille métallique, de retirer le corps du noyau sans le détériorer. Pour cette raison, il est préfé- rable de prévoir des moyens de relâchement grâce auxquels un certain jeu, si petit soit il, peut être obtenu entre la cou- che interne du corps terminé et la surface du noyau.

   Comme on le voit des figs. 11 et 12, les dits moyens de relâchement consistent, selon la présente invention, en un coin allongé   146   monté de manière à pouvoir coulisser dans une rainure in- clinée   147   qui s'étend le long du noyau. La profondeur de la rainure 147 augmente en allant vers l'extrémité libre du noyau et le coin 146 présente des brides latérales 148 qui se dé- placent dans des rainures de guidage appropriées ménagées dans les parois latérales de la rainure 147; ces brides sup- portent ainsi le coin en même temps qu'elles lui permettent d'être retiré de la dite extrémité libre.

   Pour faciliter cette opération, le coin est muni, près de l'extrémité du noyau éloignée de son extrémité libre, d'une cheville 149 qui fait saillie latéralement et qui passe à travers une ouverture légèrement allongée 150 ménagée dans l'épaisseur du noyau près de son extrémité postérieure. Cette cheville 149 peut être accouplée à une extrémité d'un levier 151 de relâchement, pivoté en un point intermédiaire sur un pivot 152 prévu à la surface du noyau et maintenu normalement de telle façon que le coin 146 sera maintenu dans une position antérieure par un ressort tel que le ressort 153 qui s'étend 

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 entre le levier 151 et un point approprié de la cloche du revolver qui porte le noyau.

   L'extrémité libre du levier peut porter un rouleau 154 destiné à coopérer avec une sail- lie adéquate (non représentée) prévue sur une partie relati- vement stationnaire de la machine, comme par exemple le pied intermédiaire 155 du bras principal 81   (fig.6)   pour déplacer automatiquement le levier 151 de sa position normale dans une position dans laquelle l'extrémité inférieure du levier dé- placera le coin en s'éloignant de l'extrémité libre du noyau. 



  Par conséquent, la surface longitudinale externe du coin qui termine celle du noyau rainuré lorsque le coin est complète- ment poussé en avant, est abaissée par rapport à la surface du noyau et par conséquent diminue un peu le périmètre ef- fectif du noyau en diminuant ainsi la tension sur le corps terminé qui peut alors être séparé du noyau   à   l'aide de n'importe quel dispositif approprié, sans risquer d'abîmer les couches du corps. 



   Pour certains types de joints longitudinaux appliqués aux corps tubulaires, il est très désirable que les marges de la feuille repliée autour du noyau ou recouvrant le noyau, soient présentées au dispositif d'application de l'organe d'emboîtement ou au dispositif pour réunir ces marges, dans une position inclinée par rapport au plan normal qui comprend la ligne du joint. Dans ces cas, il est approprié d'employer deux organes coulissants de la même construction générale que les organes 18 et 18a, mais modifié comme indiqué aux figs. 15 et 14.

   Selon cette variante, la partie de la paroi supérieure 23' du châssis 19' qui, dans la forme de réalisa- tion décrite précédemment repose sur la surface supérieure du sabot 20', est soulevée par rapport à ce dernier pour per- mettre l'interposition d'une pièce auxiliaire 156 munie, à 

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 l'extrémité éloignée de la cavité 15, d'un arrêt   157   qui *'*** s'étend de la surface supérieure de cette pièce et qui est destiné à coulisser dans une rainure 158 en cul-de-sac formée dans la face interne de la paroi supérieure 25'.

     La.   pièce auxiliaire est normalement maintenue dans-une position retirée,        c.à.d.   en ayant l'arrêt 157 à la partie de la rainure 158, éloignée de la cavité 15, ceci étant obtenu au moyen d'un ressort de traction 159 qui s'étend entre l'extrémité posté- rieure de la partie 156 et un point fixe à l'intérieur du châssis 19'.

   La. partie 156 présente une rainure 160 sur sa face inférieure, c.à.d: la face opposée à celle qui porte l'arrêt 157; cette rainure 160 est destinée à coopérer avec une détente 161 montée de manière à pouvoir pivoter dans un creux 162 formé dans la partie supérieure du sabot 20', pour maintenir la partie   156   dans une position avancée par rap- port à la cavité 15, pendant que le châssis 19' est retiré au cours des derniers moments du cycle des opérations de for- mation   du   corps, comme on le verra ci-après.

   Pour que les marges de la feuille repliée puissent être guidées dans la position inclinée dont on a parlé, le bord interne 22' de la paroi-supérieure 23' du châssis 19' est incliné comme repré- senté à la fig.15 et on comprendra que le bord correspondant de l'autre châssis est incliné dans une direction parallèle à celle du   bord 22'.   Le bord correspondant 163 de la partie auxiliaire   156   a la même inclinaison que le bord respectif 22'. et la partie   156   est normal ement mise en place, de sorte que le bord 163 forme une continuation du bord 22'. 



   La tige 164 sur laquelle la détente 161 est montée, passe à travers le sabot 20' dans toute sa longueur, en saillant aux extrémités frontale et postérieure de ce dernier, où la dite tige porte un petit levier 165 (fig.14) calé sur 

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 elle, qui lorsqu'on l'abaisse, oblige la tige 164 à tourner pour retirer la détente 161 de la rainure 160. Pour que le ou les petits leviers 165 puissent être abaissés au moment voulu, un organe de poussée 166 peut être prévu comme indi- qué en traits interrompus , la fig.15, dans laquelle il est représenté monté sur l'extrémité antérieure (et également à l'extrémité postérieure si on le désire) du dispositif de mise en place et d'emboîtement de l'organe d'emboîtement. 



   Le type modifié de glissières qui vient d'être décrit, est destiné à être déplacé en s'approchant et en s'éloignant de la cavité 15, au moyen des mêmes dispositifs d'actionnement que décrit ci-dessus pour les glissières normales. Les mouve- ments des glissières modifiées sont, pendant les premières parties du cycle des opérations de formation, comme indiqué précédemment, l'effort d'avancement étant transmis directe- ment aux châssis de la manière indiquée ci-dessus et au moyen des ressorts   28   aux sabots, de telle sorte que les organes qui, au début du mouvement vers la cavité 15, sont dans les positions relatives représentées à la fig.13, peuvent garder ces positions relatives et avancer ensemble comme un tout. 



  Lorsque le sabot 20' est arrêté par le noyau recouvert de la feuille, le châssis 19' continue à se rapprocher de la cavité 15, en comprimant les ressorts 28 et en entraînant avec lui la pièce auxiliaire dans la position relative représentée au dessin. Pendant que la partie 156 est ainsi déplacée en avant, elle abaisse en premier lieu la détente 161 qui ne retourne à sa position normale que lorsque la rainure 160 est venue en regard d'elle. Ceci se produit lorsque le châssis et la pièce auxiliaire 156 sont arrivés à la fin de leur mou- vement vers la cavité 15,la pièce 156 étant ainsi maintenue effectivement en position active par rapport aux bords de la 

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 feuille repliée, tandis que le châssis 19' peut être retiré indépendamment.

   Ceci se produit lorsque le dispositif   d'appli-   cation et d'emboîtement est sur le point de faire glisser l'organe d'emboîtement sur les bords de la feuille repliée. 



  A ce moment, le châssis 19' est poussé en arrière par rapport à la cavité 15,par les ressorts   28   et en même temps il est poussé dans la même direction par les secteurs actionnés par le chemin de came, comme décrit précédemment, ce qui permet au dispositif d'application de l'organe d'emboîtement de faire coulisser l'embouchure de l'organe d'emboîtement sur une partie des marges qui sont alors partiellement maintenues entre les bords 163 des parties 156 et partiellement entre les côtés de l'organe   d'emboîtement.   Lorsque le châssis 19' est retiré de la cavité 15,   ies   ressorts 159 de la partie 156 sont étendus de telle sorte qu'un effort est exercé sur cette partie, effort qui tendra   à   la retirer de la cavité 15 à moins que la détente 161 soit en prise dans la rainure 160.

   Au moment où le dispositif d'application des organes d'emboîtement a glissé l'embouchure de ces organes sur les marges de la feuille repliée, l'organe de poussée   166   vient en contact avec les leviers 165 et les baisse, en retirant ainsi la   déten-   te 161 de la rainure 160 et en libérant la partie 156 qui, sous l'effort du ressort 159, est rapidement éloignée de la cavité 15 pour revenir à sa position originale par rapport au châssis. Le dispositif pour appliquer l'organe d'emboîtement peut alors abaisser cet organe de telle sorte qu'il embrasse complètement les marges. Les mouvements restant à effectuer par les glissières modifiées sont les mêmes que ceux décrits dans la première   partie de   cette description. 



   La machine qui vient d'être décrite est destinée à pro- duire des corps tubulaires terminés, c.à.a. présentant un joint 

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 entre les bords longitudinaux, ce joint étant terminé et aplati. 



  La nature de ce joint dépendra principalement de la matière des feuilles qui sont employées pour former le corps. Par exemple, dans le cas de tôle de fer étamée, le joint peut   être   formé en faisant se recouvrir les bords et ensuite en les soudant, si on le désire. Si le corps est formé d'une feuille de papier en une ou deux couches, le joint peut être obtenu à l'aide d'une matière adhésive, telle que de la colle ou de la paraffine so- lide. 



  Dans le cas où le corps tubulaire est formé par une feuille de papier ou par une feuille d'une autre matière non-métal- lique telle que par exemple de la cellophane, on emploie sou- vent une bande de matière plus rigide, généralement une bande de tôle de fer étamée mince, comme organe   d'emboîtement,   lequel est appliqué aux marges longitudinales et le joint est ensuite aplati, roulé, plié ou soudé. La machine décrite ci- dessus doit donc pouvoir être munie de n'importe quel type approprié de dispositif permettant d'obtenir l'un des genres de joints mentionnés ci-dessus.

   Il est cependant préférable de munir la machine d'un dispositif formant des joints à partir d'une bande ou d'un organe d'emboîtement appliqué, construit de manière à coopérer parfaitement bien avec les autres organes de la machine et destiné à être actionné direc- tement à partir de l'entraînement principal. Un dispositif de ce genre qui a été décrit et désigné jusqu'à maintenant comme dispositif de mise en place et de fixation de l'organe   d'em-     boîtement,   est représenté aux figs. 15 à 18 dans lesquelles il est muni, à titre d'exemple, de mâchoires destinées à appliquer et à emboîter des bandes présentant un ou plusieurs canaux longitudinaux et une ou plusieurs brides latérales. 



  On comprendra qu'avec des modifications correspondantes appor- 

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 tées aux moyens de maintien (mâchoires), le dispositif repre- senté aux fïgs. 15 à 18 peuvent facilement être adapté à l'application et à la fermeture d'autres genres de bandes. 



   Tomme on le voit des   figs.l5,   17 et 18, le dispositif pour appliquer et fixer l'organe d'emboîtement comporte une base carrée 167 qui est conçue de manière à être fixée par des boulons 168 sur le bras principal 81 de la machine (fig. 6) et qui porte une partie fixe 169 dont la section transversale est pratiquement rectangulaire et présente un coin biseauté. 



  Les diagonales de cette partie sont décalées d'environ 45  par rapport à celles de la base, de telle sorte que lorsque cette dernière est montée sur le bras principal 81 en ayant deux bords parallèles à la surface de la'plaque 14, mais en travers de la cavité 15, la ligne 170 rejoignant deux faces perpendiculaires de la dite partiè et diagonalement opposées au coin biseauté, s'étend parallèlement à l'axe de la cavité 15. Cette ligne sera appelée ci-après "le bord inférieur 170 de la partie du corps", les faces du corps qui forment le bord inférieur étant désignées respectivement: "face inférieure droite 171" et "face inférieure gauche 172" lorsqu'on les regarde à partir de l'extrémité libre de la dite partie du corps. La surface 173 formée par le coin biseauté du coin supérieur de la partie du corps, sera appelée "la surface biseautée". 



   Un organe ae support   174   est monté sur la face inférieure gauche 172, et une mâchoire oscillante 175 est montée sur la face de 1'organe 174 éloignée de la face 172 et parallèle à cette dernière, de manière à pouvoir pivoter, tandis que la face inférieure ae l'organe de support, c.à,.d.

   la face per- pendiculaire   à   la face 172 porte une mâchoire coulissante 176, L'organe de support et la mâchoire 'coulissante sont tous deux 

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 , fixés à leurs faces respectives, de telle sorte qu'ils peu- vent s'éloigner de ces faces perpendiculairement à celles-ci, mais ils peuvent seulement coulisser sur les faces, de telle sorte que l'organe de support ne peut que s'approcher et s'éloigner de la face inférieure 170, tandis que la mâchoire coulissante peut effectuer les mêmes mouvements par rapport au bord inférieur 177 de l'organe de support, éloigné de la partie du corps et parallèle du bord inférieur 170 de cette partie.

   Par exemple, l'accouplement entre l'organe de support et la mâchoire coulissante peut être réalisé au moyen de queues d'aronde 178 et 179 (fig.16) qui coulissent dans des rainures entaillées dans les surfaces respectives. L'organe de support qui a une section transversale pratiquement de la forme d'un L inversé, peut être muni a'arrêts réglables 180 pour limiter son mouvement   d'approchement   du bord inférieur 
170, ces arrêts étant destinés   à   faire contact avec la face supérieure gauche de la partie du corps.

   De préférence, les parties sont disposées pour que l'organe de support ait ten- dance à tomber par son propre poids vers le bord inférieur 170, mais si cela est nécessaire, comme par exemple lorsque l'organe de support est en une matière de faible poids spécifique, des moyens peuvent être prévus pour donner à cet organe une pous- sée effective qui vient assister son propre poids.

   Dans   l'ex-   emple représenté, ces moyens consistent en des ressorts de compression 181 qui appuient à une extrémité contre la surface externe 182 d'un court bras de l'organe de support et à l'autre extrémité contre un disque 183 porté par une tige 184 qui est entourée par le ressort 181 et qui passe librement à travers le dit bras court, une extrémité de la tige étant fixée à la partie du corps et l'autre extrémité étant munie d'un écrou 185 et d'un contre-écrou 186 qui permettent de régler la pression 

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 du ressort 181.

   Pour diminuer la charge sur les organes actifs du dispositif,  l'organe   de support peut être muni d'un contre- poids 187 porté par un bras 188 qui fait saillie du dit organe (ou   d'une   cheville 189 montée sur ce dernier) et qui prend appui sur un tasseau 190 faisant saillie de la partie du corps. 



   La mâchoire oscillante 175 est montée de manière à pou- voir tourner sur un arbre 191 qui passe   à   travers une protu- bérance incurvée 192 formée à la surface de la mâchoire voisi- ne de l'organe de''support, et est supportée en des points ap- propriés par des bossages 195 formés sur la partie inférieure de la face 194 de l'organe de support, éloignée de la face 172. 



  Les surfaces de la mâchoire oscillante et de l'organe de sup- port qui sont en regard l'une de l'autre, présentant des en- foncements appropriés pour se conformer aux protubérances et aux bossages, comme représenté à la fig.16. L'arbre 191 passe à travers la mâchoire oscillante longitudinalement au voisina- ge de l'extrémité inférieure de cette dernière, dont la partie supérieure est plus large, comme représenté en 195, de telle sorte que la mâchoire oscillante 175 tend normalement à tour- ner par son propre poids dans le sens inverse des aiguilles d'une montre aux figs. 15 et 16, de manière à amener son ex- trémité inférieure active en contact avec le bord inférieur 177 de l'orgue de support.

   Pour contrebalancer cette tendance, aes ressorts de traction 197 peuvent être prévus entre des tasseaux 198 fixés   à   la mâchoire 175 et des tasseaux sembla- bles 199 fixés à l'organe de support, de telle sorte qu'il existe normalement, dans le aispositif assemblé, un certain jeu entre l'extrémité inférieure 196 de la mâchoire oscillante et le bord 177 de l'organe de support, jeu dont la valeur peut être réglée au moyen de vis de réglage 200 qui passent à 

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 travers la dite mâchoire près de son extrémité   supé rieure.   



   Les parties agissantes du dispositif d'application et de fixation de l'organe   d'emboîtement,   seront décrites maintenant en se référant spécialement à la fig.16 dans laquelle un sim- pla jeu de ces parties est représenté, mais on comprendra cependant que ces parties peuvent être doublées, triplées, etc. de manière à obtenir une meilleure distribution des for- ces et des efforts, comme on le voit aux figs. 17 et 18. 



   Un arbre   201   est prévu comme organe principal d'entraî- nement; cet arbre passe   à   travers le corps 169 perpendiculai- rement à la base 167 et il porte près de son extrémité voisi- ne de cette base un levier de commande 202 calé sur lui et destiné à être accouplé   à   une tige de connexion 203 (voir   fig.6)   articulée à un levier coudé   204   pivoté sur le pivot   205   qui fait saillie latéralement du bras principal 81 portant la roue d'entraînement 85.

   Le levier 204 est destiné à rece- voir un mouvement d'oscillation dans le plan de la tige 205 et du levier de   commande     202,   au moyen d'une came 206 montée ou formée sur la face de la roue d'entraînement 85 adjacente du bras principal 81, et avec laquelle le deuxième bras 207 au levier   204,   qui peut être muni d'un rouleau de came 208, est normalement maintenu en contact au moyen de ressorts ap- propriés (non représentés).

   Le levier 202 est éloigné de l'or- gane de support   174   (vers la droite des figs. 15 et 16), dans sa position normale ou libre, et il n'effectue qu'un   mouve-   ment angulaire relativement petit limité par la grandeur d'une   tainure   209 transversale à la partie du corps, à travers la- quelle le dit levier s'étend vers l'extérieur   à   partir de cette partie. 



   Un bras de soulèvement 210 est monté librement sur l'ar- bre   201   et présente un trou par lequel passe cet arbre et qui   @   

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 est élargi selon deux surfaces diamétralement opposées de      manière   à   constituer deux ouvertures   211   pratiquement en forme de secteur, qui reçoivent deux cannelures   212   en forme de secteur, d'une seule pièce avec l'arbre et d'une longueur cir-   conférentielle   plus petite que celle des ouvertures 211. 



  L'arbre porte également un bras de came 213 et un bras de traction 214. Ce dernier présente des ouvertures 215 en forme de secteur semblables à celles du bras de soulèvement 210, dans lesquelles des cannelures 216 semblables aux   can-   nelures 212 pénètrent. Le bras de came 215 présente égale- ment des ouvertures en forme de secteur, mais les cannelures correspondantes   217   les remplissent complètement, de telle sorte que le bras de came peut être considéré comme étant calé sur l'arbre et obligé de tourner avec ce dernier. 



   Les cames et les bras de soulèvement sont placés dans l'épaisseur de la partie du corps dans laquelle des chanbres 218 sont prévues pour recevoir les dits bras et pour en per- mettre le mouvement. Les bras de traction 214 peuvent tous deux être placés du côté externe de la partie du corps ou, comme représenté, le bras frontal seulement peut être ainsi placé, tandis que le bras postérieur s'étend à travers un passage 219 formé dans l'épaisseur de la dite partie. 



   L'extrémité du bras 210, éloignée de l'arbre   201,   est accouplée à l'organe de support au moyen d'une bielle 220 et   d'un   bloc 221, fixé   à   l'organe de support par des vis 222 et muni à ses extrémités de tourillons 223 qui reçoivent les extrémités des bielles 220 éloignées des bras 210. 



   L'extrémité libre du bras de came 213 est configurée de manière à présenter un bord   224   pratiquement concentrique à l'arbre 201, mais présentant une partie   225   surélevée près de l'extrémité supérieure. Le bord   224   coopère avec un rou- 

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 leau de came 226 porté par une fourche   227   qui est vissée de manière réglable à la face interne de la mâchoire oscillante 175,   c.à.d.   à la face voisine de l'organe de support   174,   au moyen de la vis   228   qui passe à travers l'épaisseur de cette mâchoire et qui est munie d'un écrou de blocage 229 pour permettre le réglage de la fourche 227 de l'extérieur. 



   Le bras de traction 214 qui s'étend normalement dans une direction perpendiculaire à la face droite inférieure 171 de la partie corporelle, est accouplé, à son extrémité éloi- gnée de l'arbre   201,   à la mâchoire coulissante 176 au moyen d'un organe de connexion 230 auquel une détente 231 actionna- ble à la main, normalement sollicitée par un ressort 232 dans le sens ascendant, est montée de manière à pouvoir pivo- ter. Lorsque le levier 202 d'actionnement est dans sa posi- tion folle, le bout de la détente 231 repose sur la surface inférieure du bras allongé de l'organe de support 174 ou sur une prolongation latérale 233 de ce bras (voir figs. 15, 17 et 18).

   Le bras de traction 214 est dévié vers une position avancée dans laquelle la mâchoire coulissante 176 est la plus près du bord inférieur 177 de l'organe de support 174, au moyen d'un ressort de traction 234 qui s'étend entre des   bou-   tons 235 et 256 montés respectivement sur le bras de traction et sur l'organe de support. Le même bord inférieur 177 de l'organe de support sert à limiter le mouvement d'avancement du bras de traction, vu qu'il se prolonge sous forme d'une nervure pendante, de l'extrémité du bras allongé du dit organe, et sert ainsi comme arrêt pour le corps de la mâchoire coulis- sante, un appui 237 est également constitué pour le bout de la détente 231, dont le but sera expliqué ci-après et qui, dans l'exemple représenté, a la forme d'une pièce en L 238 vissée à la face frontale de la partie 169.

   Lorsque le bras 

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 de traction   214   est placé   à   l'intérieur de la dite partie, comme dans le cas du bras 214a, près de la base 167 (fig.17 et 18), il n'est pas nécessaire de prévoir la pièce 238, vu que la face inférieure droite 171 de la partie corporelle sert d'appui, comme on le verra au cours de la description du fonc- tionnement au dispositif. 



   Lorsque le levier d'actionnement 202 est dans sa position folle, la partie concentrique du bord   224     du   bras de came 213 est en contact avec le rouleau 226, dé telle sorte que ce der- nier et par conséquent la partie supérieure de la mâchoire oscillante 175, sont dans leur position la plus rapprochée de l'arbre   201   pour un réglage donné de la vis 228, le rouleau 226 étant effectivement poussé contre le dit bord 224 par les ressorts 197.

   Par conséquent, l'extrémité inférieure 196 de la mâchoire oscillante 175 est maintenue éloignée du bord in- férieur 177 de l'organe de support, de telle sorte que le ca- nal d'une bande que l'on désire appliquer au corps tubulaire, peut être introduit dans l'espace ou dans le jeu ainsi prévu, une bride de cette bande s'étendant alors vers l'extérieur et reposant contre l'extrémité inférieure   196   de la mâchoire os- cillante 175. 



   Le bras de soulèvement 210 est alors dans une position angulaire dans laquelle l'extrémité articulée de la bielle 220 se trouve au point le plus élevé de sa course, l'organe de support est en principe soulevé par rapport à la partie cor- porelle, de telle sorte que les arrêts réglables 180 sont dis- tants de la surface supérieure gauche de la partie corporelle et les ressorts 181 (s'ils existent) sont comprimés. Ceci est dû au fait que les cannelures 212 de l'arbre   201   sont   à   la fin de leur mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre et par conséquent sont en contact avec les épaulements des ou- 

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 vertures   211,   de telle sorte qu'elles empêchent l'abaissement de l'organe de support. 



   Comme la mâchoire coulissante 176 est fixée à l'organe de support, elle suivra ce dernier dans ses mouvements des- cendants et ascendants, et dans les conditions indiquées, elle sera dans sa position la plus élevée, c'est-à-dire la plus près de la face inférieure droite 171 de la partie corporelle. 



  Les parties sont proportionnées de telle sorte qu'à ce moment, la surface plane formée par l'extrémité du bras allongé de l'organe de support 174 ou tout au moins par une partie de ce dernier sur laquelle repose le bout de la détente 231, ne se prolongera pas au-delà de la face inférieure droite 171 de la partie 169 ou tout au moins au-delà de l'appui 237, et cette surface est de préférence à niveau avec cet appui. 



  On comprendra facilement que les épaulements des ouvertures 211 du bras de soulèvement 210 qui,   à   ce moment, sont en contact avec les cannelures 212, exercent une pression sur ces dernières du fait du poids de l'organe de support et de l'effort des ressorts comprimés 181, si ces derniers sont pré- vus. Cette pression est dirigée de telle sorte que si le bras de soulèvement n'est pas retenu par les cannelures 212, il tournera en sens inverse des aiguilles d'une montre en per- mettant ainsi à l'organe de support 174 d'être abaissé jus- qu'à ce que les arrêts 180 viennent en contact avec la sur- face supérieure gauche de la partie 169.

   Par conséquent, lors- que l'arbre 201 tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre, le bras de soulèvement le suit en maintenant les dits épaulements en contact avec les cannelures 212, de telle sorte qu'un espace libre sera créé en avant des cannelures dans la direction de leur rotation, et ainsi, lorsque l'or- gane de support 174 est arrêté dans son mouvement descendant 

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 par les arrêts 180, l'arbre   201   peut continuer à tourner jus- qu'à ce que les   cannelures   212 viennent en contact avec les épaulements de l'autre extrémité des ouvertures   211.   



   Pendant que le levier d'actionnement est dans sa position folle, le bras de traction 214 est maintenu à la fin da sa course près de l'organe de support sous l'impulsion des res- sorts 234 qui sont presque complètement contractés, la mâchoire coulissante 176 et la   détente 231   étant dans les positions décrites précédemment. Dans ces conditions, il exis- te un jeu entre le bord inférieur 177 de l'organe de support 174 et la lèvre saillante 239 de la mâchoire coulissante, jeu dans lequel une deuxième bride ou canal de la bande peut être placé de manière à, être supporté par la dite lèvre. 



   On remarquera que les ressorts 234 tendent à provoquer la rotation du levier de traction dans le sens des aiguilles d'une montre, de telle sorte que les épaulements des ouver- tures 215 correspondant à ceux des ouvertures   211   qui sont en contact effectif avec les cannelures 212, tendent à s'éloigner des épaulements 216.

   Les' ouvertures et les can- nelures sont proportionnées de telle sorte que lorsque les organes sont dans les positions indiquées, ainsi que dans le cas des ouvertures   215   du bras de traction 214. un espace ou un jeu se produira en avant des cannelures 216 dans la même direction que pour les cannelures 212, de telle sorte que lorsque l'arbre   201   tourne en sens contraire des aiguilles d'une montre, le bras de traction 214 ne se déplacera pas jusqu'à ce que les cannelures 216 aient atteint les épaule- ments des ouvertures 215 qui limitent le dit espace.

   A ce moment seulement l'ambre 201 peut commencer effectivement   à   faire tourner le bras de traction 214 contre l'action aes res- sorte 254' qui sont banuès et   maintiennent   ainsi les dits 

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 épaulements des ouvertures 215 en contact effectif avec les cannelures 216. 



     La   relation entre les ouvertures 211 et 215 et leurs cannelures correspondantes   212   et 216 est telle que les es- paces libres des ouvertures 211 ont une longueur circonféren- tielle un peu plus grande que celle des espaces libres des ouvertures   215,   de telle sorte que lorsque les cannelures 216 ont atteint leur position active par rapport au bras de trac- tion 214, les cannelures   212   pourront encore se déplacer en permettant à l'arbre de poursuivre le déplacement du bras de traction 214 verssa position éloignée de l'organe de support 174. 



   'Lorsque le levier d'actionnement 202 est déplacé en sens inverse des aiguilles d'une montre (course d'actionnement) sous la poussée de la came 206, transmise par la tige de connexion 203, le bras de came   213   tourne avec l'arbre 201, mais comme à ce moment la partie concentrique du bord   224   est en contact avec le rouleau 226, aucun effort n'est exercé sur la mâchoire oscillante 175. L'organe de support 174 tombe par son propre poids avec ou sans l'aide des ressorts 181, ce qui oblige le bras de soulèvement 210 à suivre les cannelures 212, tandis que ces dernières sont éloignées de leur position initiale. 



  Entre-temps, les cannelures 216 tournent librement dans les ouvertures 215 vers leur position active par rapport au bras de traction 214. 



   Lorsque l'organe de support est suffisamment tombé pour que les arrêts 180 viennent en contact avec la surface supé- rieure gauche de la partie corporelle, position dans laquelle la bande aura été appliquée aux bords du corps formé et dans laquelle l'extrémité 196 de la mâchoire oscillante, aussi bien que la lèvre   239   de la mâchoire coulissante, sont le plus 

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 près,du noyau,la partie soulevée   225   du bord   224   du bras de came 215 commence   à.   passer le rouleau 226 en poussant ainsi l'extrémité supérieure de la mâchoire oscillante vers l'extérieur contre la tension des ressorts 197.

   ce qui oblige l'extrémité inférieure 196 de la dite mâchoire à se déplacer vers le bord 177, de manière à comprimer le canal de la ban- de fermement contre la ou les marges qui se trouvent dans ce canal et ainsi à fixer la bande sur le corps formé. 



   Comme à ce moment la lèvre   239   de la mâchoire coulis- sante se trouve encore au-dessous de la deuxième bride ou canal de la bande en position pour supporter cette bande, il s'ensuit que l'organe de support ne peut pas s'élever dans ces conditions sans écarter du corps la bande qui y est appliquée, ainsi que le ou les bords pris dans le canal aplati. Par   conséquent,   sitôt que la bande a été fixée comme on vient de le décrire, les cannelures   216   commencent à en- trer en jeu pour provoquer la rotation de la barre de trac- tion   214   en sens inverse des aiguilles d'une montre, en reti-   rarit   ainsi la mâchoire coulissant 176 du bord 177. 



   On verra de ce qui précède   qu'à.   ce moment l'extrémité inférieure du bras allongé ae l'organe de support (avec le- quel ou avec une prolongation 233 duquel le bout de la aé- tente 231 a continué d'être en contact) fait alors saillie   au-delà   de la face inférieure droite 171 de la partie 169, de telle sorte que lorsque la mâchoire coulissante 176 est retirée du bord 177.

   la détente qui est amenée dans la même direction par l'organe de connexion 230 et qui n'est plus retenue par la dite extrémité inférieure du bras allongé, tourne dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 232 pour obliger son bout à s'approcher ainsi du niveau de la face inférieure droite 171 qui,   à   ce moment 

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 peut être considérée comme étant plus haute que la dite ex- trémité du 'bras allongé. Le bout de la détente 231 se trouve alors contre l'appui 237 qui est également à un niveau plus élevé que la dite extrémité inférieure. A ce moment, l'espace libre de l'ouverture 211 apparaît derrière les cannelures 212. 



   Le levier d'actionnement 202 commence alors sa course de retour et tourne dans le sens des aiguilles d'une montre en obligeant les cannelures 216 de s'éloigner de leur posi- tion active par rapport   à   l'ouverture   215   du bras de traction 214 qui, sous la poussée des ressorts 234, tourne dans la même direction que l'arbre   201   pour revenir à sa position initiale. 



  Par suite de la différence de niveau entre l'extrémité infé- rieure du bras allongé de l'organe de support et l'appui 237, la détente 231 en revenant à sa position initiale, est arrê- tée par la partie saillante du bras allongé, de telle sorte que ni le bras de traction   214,   ni la détente 231   ne   peuvent retourner à leur position initiale jusqu'à ce que l'organe de support se soit élevé. La disposition des organes est telle que la détente est ainsi maintenue dans une position dans la- quelle la lèvre 239 de la mâchoire coulissante est maintenue suffisamment éloignée de l'organe de support 174 pour laisser la bride ou le canal respectif de la bande complètement libre et pour permettre ainsi à l'organe de support de s'élever sans endommager la bande ou le corps tubulaire. 



   Lorsque l'arbre   201   continue à tourner dans son mouve- ment de retour, la partie relevée   225   du bord   224   du bras de came 213 s'éloigne du rouleau   224a   en permettant ainsi   à.   la mâchoire oscillante de revenir à sa position initiale sous l'effort des ressorts 197 et de libérer le canal aplati de la bande.

   A ce moment, les cannelures 212 viennent de nouveau en contact avec les épaulements des ouvertures   211   et   commu-   

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 niquent ainsi un mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre au bras de soulèvement de manière à élever l'organe de support vers sa position initiale, en retirant ainsi le bord inférieur 177 et la mâchoire oscillante 175'du corps tubulai- re auquel l'organe d'emboîtement ou la bande vient d'être appliqué. L'organe de support, en s'élevant, entraîne avec lui la mâchoire coulissante 176 qui est encore partiellement re- tenue.

   Lorsque la surface infériéure du bras allongé de l'organe de support vient au niveau de la surface d'appui   237, en   supprimant ainsi toute entrave à un nouveau mouvement de la détente 231, le bras de traction 214 est de nouveau dé- placé dans le sens des aiguilles d'une montre sous la poussée du ressort 234 pour amener la mâchoire coulissante dans sa position initiale. Lorsque ceci a été effectué, toutes les parties seront de nouveau dans leurs positions initiales et le dispositif d'application et de fixation de l'organe d'em-   boîtement   sera prêt à recommencer un autre cycle d'opérations. 



   On comprendra naturellement que le bord inférieur 177 de l'organe de support, aussi bien que la lèvre 239 de la mâchoi- re coulissante 175 et l'extrémité inférieure 196 de la mâ- choire oscillante, ont une longueur au moins aussi grande que les marges longitudinales de l'organe tubulaire et peu- vent, si on le désire, se prolonger au-delà de ces dernières à l'une ou aux deux extrémités. 



   Le dispositif d'application de l'organe d'emboîtement peut également être modifié pour servir en même temps comme organe de formation d'une partie du corps tubulaire, le dis- positif étant muni dans de tels cas des surfaces ou des brides de formation nécessaires, le long des organes d'application. 



   On remarquera que les sabots des glissières de   l'appa-   reil de formation peuvent, en particulier lors de la fabrica- 

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 tion de corps à contours polygonaux, être composés de préfé- rence de deux ou d'un plus grand nombre de parties, la sépa- ration entre celles-ci étant le long de plans longitudinaux de préférence parallèles au sommet de la table. 



   On a construit sur la base du nouvel appareil de forma- tion, objet de la présente invention, une machine complète capable de   fabriquet   des corps tubulaires finis, en une matière en feuille et d'une manière totalement automatique. D'après des essais pratiques, on a constaté qu'une machine de ce type est capable de fabriquer des corps tubulaires complètement finis, à raison de 3000 à 5600 pièces à l'heure. De plus, la partie caractéristique et essentielle de cette machine, qui est l'appareil de formation, peut être utilisée indépen- damment des autres organes ou seulement avec le dispositif d'application et de fixation de l'organe   d'emboîtemant.   



   On comprendra que la présente invention n'est pas limitée à la forme de réalisation représentée au dessin, mais que di- verses modifications peuvent être apportées à la construc- tion et aux parties de celle-ci, sans pour cela sortir de la nature et du cadre de l'invention telle qu'elle est définie aux revendications attenantes. 

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  Machine for the manufacture of tubular bodies.



     The present invention relates to the manufacture of tubular bodies of any desired cross-section and formed by folding sheet material in a single direction, and in particular relates to a new machine for the manufacture of such tubular bodies. in a partially or fully automatic manner.



   The main object of the present invention is a relatively simple and inexpensive apparatus of robust construction, whereby the formation of a tubular body by folding

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 a sheet material around the core or shaping member of any suitable cross-section, can easily be executed with speed and precision and whereby the folded sheet can be held in any desired shape. give, while longitudinal interlocking members are applied to it.



   The invention also relates to a machine constructed on the basis of the above-mentioned apparatus and intended for the automatic mass production of the bodies indicated above.



   The invention also relates to a device for applying and fixing the longitudinal interlocking members, this device being an accessory of said apparatus or of the machine of which the apparatus forms the main part.



   Other objects of the present invention will become apparent from the detailed description which follows.



   The new apparatus for the manufacture of tubular bodies, according to the present invention, essentially comprises a die-carrying table between which and a core occurs a relative reciprocating movement; said table has two folding slides which are forced to move away from and approach each other in a plane perpendicular to that in which the relative back-and-forth movement between the table occurs and the core, and this slide movement preferably occurs in a timed, stingy manner with the relative movement of the table.



   The active surfaces of the table and of the folding slides form together, when the table and the slides are at the ends of their working strokes, a matrix of hollow contour, geometrically similar to the contour of the core, which is, as such moment, placed concentric-

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 ment in the die formed by the three parts mentioned above, and spaced from this die by a distance equal to the thickness of the sheet material which is to be used to form the tubular body.



   The term "tubular body" used in this description denotes a hollow body open at its ends, formed by a wall of sheet material having one or more layers, and the cross section of which is a closed contour of any. what configuration.



   In the majority of cases, this contour will be geometric, for example polygonal, circular or elliptical and for this reason, we have been satisfied with describing in the present description, the invention by referring to such geometric configurations, it However, it is understood that the invention is not limited to these forms. The tubular bodies produced by the machine, object of the present invention, can be used as such or they can be provided with a bottom and a cover, or with one of these two parts only, so that they can be used. of container.



   The forming apparatus as briefly described above, can be used on its own (in this case the interlocking organ can be applied and fixed by hand to the longitudinal edges of the resulting body) or else it can be used in combination with suitable devices or apparatus, as the basis of a partially or fully automatic hollow body making machine. For example, the forming apparatus can be used in conjunction with a mechanical press or other similar machine, with or without automatic or semi-automatic means for placing or presenting the cores in their correct position relative to the table of the machine. 'apparatus.

   The so-called means can

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 be in the form of an endless belt or chain or of a reciprocating platform provided with projecting cores, or they may also be of the revolver type.



   During the cycle of body training operations, the table of the training apparatus or the core may constitute a fixed point, i.e. that the kernel can approach the table or alternatively the table can approach the kernel.



   Nevertheless, the invention preferably relates to a complete training machine arranged on the basis of the training apparatus mentioned above.



   This machine comprises in combination: one or more of the training devices indicated above, a device for presenting the cores, means for applying and fixing the interlocking members or for carrying out only one of these operations, usual means for driving these parts and appropriate coordinating means operated from the usual driving means or by these means so as to ensure the coordination of the operations of all the parts of the machine.



   In the attached drawing:
Fig. 1 is a perspective view of a preferred embodiment of an apparatus according to the invention.



   Fig. 2 is an end elevation, partially in section, of the apparatus of FIG.



   Fig. 5 is an end elevation, partially in section, of one half of a slightly modified apparatus.



   Fig. 4 is a plan of the apparatus of FIG. 1, certain parts being broken away.



   Figs. 5a to, 5e are diagrams showing the operations of the training apparatus.

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   Fig. 6 is a side view of a complete machine for the manufacture of tubular bodies, built on the basis of the apparatus shown in fig.l.



   Fig. 7 is an end view of part of the machine.



   Fig. 8 is a perspective view of the revolving device which constitutes a part of the machine of FIG. 6.



   Fig; 9 is a plan showing a preferred embodiment of the means for actuating the bell of the gun device.



   Fig. 10 is an enlarged front view of a core support, which in some cases forms part of the training apparatus.



   Figs. 11 and 12 are respectively a side elevation and a front elevation of a preferred form of the core, provided with a device for releasing the formed body.



   Fig. 13 is a longitudinal section and FIG. 14 a plan with some parts torn off, of a modified slide.



   Fig. 15 is a front view of the device for applying and fixing the interlocking member, of the type shown in FIG. 6.



   Fig. 16 is a schematic perspective view of the device of FIG. 15.



   Fig. 17 is a side view of the same device as seen from the right of FIG. 15, and fig. 18 is a plan from below of the device of FIG. 15.



   According to figs. 1, 2 and 14, the forming apparatus which is generally indicated by the reference numeral 10, comprises a fixed base 11 from which protrudes a hollow guide pillar 12. Leg 13 of a

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 die holder plate 14 is mounted so as to be able to slide in a guide path 12a of the guide pillar 12 and axially with respect to this pillar. The plate 14 and the leg 13 form a whole which will be referred to hereinafter as the die-holder table or briefly the table and the latter has practically in vertical section the shape of a T, as can be seen from FIG. The plate has a cavity 15 disposed at its center in the surface remote from that which carries the leg 13.

   Looking at a cross section of cavity 15, the effective area thereof, which may be an integral part of the area of plate 14 (fig. 1) or of the exposed area of a liner. 15a (fig.2), to a configuration which corresponds to a part of the contour of the tubular body to be formed, generally more or less than half of this contour. In the accompanying drawing, the apparatus, parts and machine have been shown to adapt to the manufacture of cylindrical bodies, such that the cross section of the working surface of the cavity 15 is a semicircle.

   This cavity extends over the entire length of the plate 14, and it is intended to receive a core 17 which may be a little longer than it and whose radius is equal to that of the cavity minus the thickness of the material. in sheet with which the body is to be formed.



   Two complementary slides 18 and 18a are mounted on each side of the cavity 15 and these slides are arranged to approach and move away from each other, in a direction transverse to said cavity. Each of the slides, such as for example that 18, essentially comprises a frame 19 in which a reel shoe 20 is mounted so as to be able to slide, this shoe having an active face 21 which is directed towards

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 the cavity 15 and which has a configuration in cross section, geometrically similar to a part of the fraction of the outline of the core which must not correspond to the cavity 15. In general this part is, practically half of the fraction of the outline of the core .

   In this way, the cavity and the two shoes 20 and 20a form, when the latter are in their active position, a stamp or a die, the cross section of which corresponds to the external contour of the body that is to be formed, ie. d. around the core 17 when the latter is covered with the sheet material. The circumferential magnitude of the actual internal surfaces of the matrix composed as described, is not exactly equal to the external perimeter of the body, since in order to apply the interlocking member it is necessary that sufficient space exists for allowing said nesting member to be placed while the sheet material is still firmly held by members 18 and 18a.

   In the present description, the apparatus has been described and shown in the drawing as being used for the manufacture of tubular bodies in which the fitting member has a shape such that the marginal and longitudinal parts of each side of the joint must be placed with their internal faces in contact and must be directed outward in a radial, tangential or intermediate direction so as to be able to receive said interlocking member. For this reason, the peripheral size of the internal surfaces of the compound matrix will be equal, in the case shown, to the external perimeter of the body which it is desired to form minus twice the thickness of the sheet material.



   As soon as the sheet material envelops the core 17 and until the interlocking member is applied to this material, the marginal parts of the previously formed body,

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 but not yet having received the interlocking member, are pressed together and held in a suitable position to receive said member, by the internal edges 22 and 22a of the upper walls 23 and 23a of the frames 19 and 19a, said upper walls being those which are remote from the plate 14.



   Besides the upper wall 23, each frame 19 and 19a comprises a base 24 facing the wall 25 and in contact with the plate 14, as well as a side wall 25 which connects the wall 2 "and the base 24, so that each frame has a cross section in the shape of a lying U, the branch which is furthest from the plate 14 is longer than the other or base 24 and the opening of which is directed towards the cavity 15. The base 24 is provided with means enabling it to be fixed to the plate 14 in such a way as to be able to slide, these means being for example a dovetail 26 which, in the embodiment shown, enters the notched grooves 27 in the surface of the plate 14.



   As has already been indicated and for the purpose which will be explained below, the shoes 20 and 20a are mounted so as to be able to slide inside the frames 19 and 19a. They are normally maintained in a position in which the upper part of the shoe protrudes slightly from the edge 22 of the respective frame, by suitable means such as for example the springs 28 placed between the internal face 29 of the side wall 25 and the side face 50 of the shoe, i.e. the face remote from the active surface 21.

   To keep the springs in their place, guide rods 31 may be provided whose ends remote from the shoes are free to slide in openings made in the side wall 25 of the frame 19, while their other ends

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 can be screwed into the shoes (see fig. 2).



     The part of the shoes which are located behind the active surface 21 and which terminate in the side face 30, is of such thickness that it fits in the space between the top wall 23 and the base 24 of the frame. .

   To ensure that the frame and the shoe always assume the same relative positions when the springs 28 are not compressed, and to limit the relative movement of the shoe and the frame, adequate limiting means are provided which, in the embodiment shown, consist of protrusions 32 formed on the upper face 33 of the shoe, i.e. the face which makes contact with the internal face of the upper wall 23 of the frame, this internal face having grooves 34 notched in it, in which said projections are intended to move. This construction serves primarily to limit the separation distance between the frame and the shoe.

   To limit the approximation of these parts to one another, use is made of the shoulder 35 formed between the part of the adjacent shoe of the active surface 21 and the part which comprises the lateral face 30, the part mentioned first. the locus being of sufficient thickness to make contact with the plate 14 and being provided with dovetails which slide in the same grooves 27 as mentioned above.



  The distance between the side face 30 and the shoulder 35 is such that the shoe, when in its normal position when the springs 28 are not compressed) extends slightly inside the space between the upper wall 23 and the base 24 of the frame, the distance between the free edge of the face 24 and the shoulder 35 being equal, where possible, to the distance between the edge 22 and the upper edge of the active surface 21.

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   Preferably, the slides 18 are also handled by guides 36 mounted on the outer face of the upper wall 25. These guides are intended to lead the sheets 37 of material to their correct position relative to the cavity 15.



   The forming apparatus 10 is completed by the means for actuating the table and the slides 18. In the embodiment shown, the table is intended to approach and move away from a plane in which is located. kernel 17, but nothing prevents this arrangement from being reversed, i.e. that the table is kept stationary while the core 17 is forced to move away from or approach the table. In both cases, the purpose and the operation of the slides 18 are the same.



   However, in the majority of cases it is more beneficial if the table is the movable part during the cycle of body building operations. For this reason, the apparatus will be described hereinafter as being of this type, but the invention should not be limited in any way, therefore, to what may be called a table-top apparatus and from ; in fact, it is also desired to include in the present invention the type of apparatus whose core has a reciprocating movement, the modifications necessary for the realization of the latter type and relating to the aotation means, coming very well within the competence of a man of the game.

   It will also be easily understood that there are several types of means for actuating not only the tables, but also the slides, whether the movements of the latter are dependent or not or are synchronized or not with the movements of the table.



   The nature of the actuation means chosen will depend on how the training apparatus is to be used.

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  As already indicated, the apparatus can be employed as the lower part of a hand operated press. In this case, a set of connecting rods can be used to raise and lower the table and one or more Independent sets of levers can be used to operate the slides 18 and 18a. These latter sets can be independent of one another or only independent of the set of connecting rods controlling the table. As an alternative embodiment, the set of connecting rods and the levers can be effectively interconnected, so that the worker can operate the table and the slides 18, simultaneously, by operating a single control lever.



   If the training apparatus is designed to be incorporated into a complete machine intended to operate in an almost fully automatic manner, the same basic system can be adopted for actuation by the set of connecting rods. Nevertheless, greater efficiency as well as a form of transmission and simpler construction are achieved by adopting rotary actuating means which, according to the preferred embodiment shown in the drawing, is a combination of cams and cams. levers.



   This combination includes a driven shaft 38 which passes through the hollow pillar 12 and the leg 13 in a direction parallel to the plate 14 and perpendicular to the cavity 15. The side walls 39 and 39a of the hollow pillar 12 are perforated to receive. said shaft 38 and to form two bearings 40 (see fig.2).



   Leg 13, as best seen from fig. 4, is hollow in order to be light and has an allanged groove 42 formed in each of these side walls 41 and 41a; this groove 42 allows passage to the shaft 38 while allowing the

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 up and down movement of the table. The shaft 58 carries a cam 43, 43a near each side face of the hollow pillar 12 and on the outside thereof; this cam has a cam surface 44 eccentric with respect to the shaft 58. as well as an edge 45 remote from the pillar 12 which also constitutes a cam track.



   The plate 14 which extends laterally beyond the pillar 12 carries two cam rollers 46 partially driven into the face of the plate remote from that having the cavity 15, and mounted on pins 47. These rollers are intended for to remain in constant contact with the cam surface 44 of the members 43 and 43a or even preferably to rest on this surface 44. For this reason, when the shaft 38 rotates, the cams 43 and 43a which rotate with the shaft, lift - first blows the table at a speed which naturally depends on the shape of the surface 44, and then allowing the table to fall by its weight once the rollers have passed the part of this surface 44 which is the farther from the tree 38.

   If desired, a second roller 46b (see fig. 5) can be mounted on an extension 50a of a pin 50 which extends parallel to the shaft 38 and on the side diametrically opposite to the roller 46, so that this second roller 46b rests against the surface 44 at a lower point.



   The ankle 50 is attached to the lower end of the leg 13 and moves up and down with the latter. To do this, an elongated groove 42a is provided in the side wall of the pillar 12. It will be understood that, thanks to this construction, the table will be effectively lowered by its downward movement. In order to reduce the friction and the lifting or the support of the dead weight, a counter-

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 weight 48 for the table. This counterweight 48 can be carried by the free end of a counterweight lever 49 which passes through one of the walls of the pillar 12 which are parallel to the shaft 38, as well as to through the corresponding wall of the leg 13.

   For the sake of clarity, the wall of the pillar and the leg through which the counterweight lever thus passes will be referred to hereinafter as the posterior walls, and the end of the apparatus which comprises one or the other the other of these walls will be called the posterior end. The perpendicularly opposite end will be referred to as the anterior end and the side walls as well as the lateral ends will be shown hereinafter as right and left, when looking directly towards the front end. Thus, in Fig. 1, the visible side wall 39 is the right side wall and the visible end is the anterior end.



   The front end of the counterweight lever 49 is pivotably coupled to a pin 50 which passes through the end of the leg 13, remote from the plate 14, at a point below the grooves 42. The point of the lever 49 is formed by a rod 51 parallel to the base 11 and integral with this lever. The rod 51 is supported so as to be able to pivot in two bearings 52 t 52a (fig. 4) which extend outwardly from the pillar 12 on each side of an elongated opening 53 formed in the rear wall. 54 of the pillar and practically coinciding with a second opening 55, also elongated, made in the posterior wall 56 of the leg 13.

   These openings 53 and 54 give the lever 49 the necessary play during the upward and downward movements of the table.



   In this embodiment of the training apparatus

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 tion, the sliding members 18 and 18a are also moved by the cams 45 and 43a via a pair of sectors 57, 58 and 57a respectively. 58a for each organ 18 and 18a. These sectors have teeth at their curved edges and are pivoted at their ends remote from these edges, on cleats 59 projecting outwardly from the side walls 25 and 25a of the frames 19 and 19a. Said cleats 59 are placed so that the toothed edges of sectors 57, 58 or 57a, 58a, of each pair are continuously engaged.

   The front sectors 57 and 57a carry a shaft 60 hanging vertically, and which is integral with them at an intermediate point and this shaft passes through a bearing 61 projecting from the side face of the plate 14 and extending approximately to the level of the point of the inner edge of the cam track 45 closest to the rollers 46 and 46a.



  The free end of the shaft 60 carries fixed to it a radial arm 62 which ends in a claw 63 in which a small roller 64 is mounted so as to be able to rotate and to be constantly in contact with the cam track 45. In order that the roller 64 can be kept in contact with the cam track 45, suitable means are provided such as, for example, a spiral or coil spring (not shown) which can be fixed between the shaft 60 and a relatively point. fixed such as for example the bearing 61 and which can be housed inside the latter. The other sectors 58 and 58a of each pair are attached to them, at an intermediate point, a support pin 65 mounted so as to be able to rotate in a slider 66 projecting from the lateral face of the plate 14.

   To hold the sheet of material 37 against the core 17 as the table is raised, a support plate 67 is provided of somewhat shorter length.

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 than that of plate 14, said plate extending perpendicularly to the flat surface of plate 14, through a longitudinal groove 68 notched in the lower part of cavity 15. The free end of the plate 67, parallel to plate 14, has the same configuration as that part of the active surface of cavity 15 which has been replaced by groove 68. The opposite edge of the plate rests loosely on a cam 69 formed or mounted on. shaft 38 at an intermediate point below groove 68.

   The width of the plate 67, measured in the direction of the height of the pillar 12, is such that, when the core 17 is in its active position, the free edge of the plate 67 will normally be at a distance of the area of the core, equal to the thickness of the sheet material. The cam 69 is nearly circular, but has a slight depression formed therein to allow the support plate 67 to be lowered a small distance as a new piece of sheet material is fed into the apparatus. .

   When the new sheet has been correctly placed and the core 17 is in its active position, the plate 67 rises to its normal position so as to again hold the sheet firmly against the core and thus prevent it from sagging. move, while the plate 14 lifts.



   For the sake of clarity, the operation of the training apparatus, details of which have just been given, will now be explained before describing the complete machine.



  Another reason for giving these explanations now is that the training apparatus, even when provided with the system of cams and sectors for actuating it, can be used as a unit, since it does not necessarily have to be to be part of a more complete machine. In these conditions,

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 the apparatus comprises as an accessory a device for positioning the core, of one of the types mentioned above.



  The sheet material can be supplied by hand or by hand. using any suitable power device or appliance.



   As various types of suitable power supply apparatus are readily conceivable, it is considered unnecessary to give a detailed description thereof here. The interlocking members can also be applied and nested by hand or by means of a suitable device. Nevertheless, and especially in certain cases and for certain types of seals, it is preferable to use a device for applying and fixing the interlocking members, of the type shown in Figs. 15 to 18. This device which has specially designed as an accessory to the training apparatus, object of the present invention, is described in detail hereinafter.



   Considering the above remarks and with special reference to figs. 1 to 5e inclusive, the operation of the training apparatus shown in these figures will now be described.



   Assume that the shaft 38 is coupled, preferably through control devices which may be a clutch, drive and idler pulleys, an electrical control device or the like, to. a suitable power source not shown in these figures. In figs. 1, 2 and 5a, the apparatus is shown with its parts in the positions corresponding to the starting point of the cycle of training operations.



   Under these conditions, the support plate 67 is in its normal position and the cams 43 and 43a are in contact with the rollers 46 to. that part of the surface 44 which is

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 closest to the shaft 58. The cam track 45 is so disposed with respect to the cam surface 44, that at the initial point of the cycle of the forming operations, the roller 64 is in contact with a portion of the forming operation. 'an ineffective section of the raceway 45, this section being in a plane perpendicular to the shaft 38 and at a minimum distance from the corresponding side wall of the pillar 12.



   Immediately after the shaft 38 has started to rotate, the depression of the cam 69 moves below the support plate 67 which drops by its weight to allow the placement of the piece 37 of sheet material. . When this has been done, the plate 67 returns to its normal position, as already explained.



   The parts, now comprising the sheet 37, are at this time in the position shown in FIG. 5a. As the shaft 88 continues to rotate, it drives with it the cams 43 and 43a which regularly lift the plate 14 towards the core 17. The sheet 37 which then rests on the outer surface of the upper walls of the frames 19 and 19a between the guides 34 and 34a begin to be folded up by the force of the folding slides 20 and 20a, which force is exerted along the longitudinal edges of the sheet and in the direction in which the table moves. This operation is shown in, FIG. 5b.

   In the meantime, the rollers 64 have continued to operate in contact with the ineffective portion of the cam track 45, so that the slides 20 and 20a still remain in their initial positions relative to the plate 14. At an appropriate time. , for example a little before the position shown in FIG. 5b, the active part of the cam track 45 begins to slide below the rollers 64.

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   This active part is generally found in an inclined plane relative to the shaft 38, so that from its origin at any end of the ineffective part, the active part of the path gradually moves away from the corresponding side wall of the pillar 12. Thus, the active part pushes the arms 62 outwards from the pillar 12 first gradually and then more rapidly, for a short period of time. The outward movement of the arms 62 causes the shafts 60 to rotate in their bearings 61 in the opposite direction and so as to move the toothed edges of the sectors 57 and 57a attached to the shafts 60 away from the plate 14.

   As these edges engage the toothed edges of sectors 58 and 58a, the toothed edges of the latter are also forced to move outward, with sectors 58 and 58a rotating on their pegs 65 in the opposite direction. to that of the corresponding sectors 57 and 57a. As the ends of the sectors remote from their toothed edges are coupled to the frames 19 and 19a of the slides 18 and 18a, the latter, as well as the sectors move in the manner described above, are pushed inwardly. plate 14, i.e. towards the cavity 15 and consequently towards the active position which will be taken by the core 17. This position is shown in FIG. 5 c, in which the slides 18 and 18a are shown shortly after the start of their approach to one another.



   As the shaft 38 continues to rotate, the table continues to rise until the entire active surface of the cavity 15 makes contact with the sheet 37 which is thus pressed against the core 17 from below by. said cavity and on the sides by the shoes 20 and 20a slides which, when the table reaches the end of its upward stroke, have reached

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 the limit of their inward movement, as shown in fig. 5 d.



     The part of the cam surface 44 which, when the various members are in the position shown in fig. 5d, is in contact with the roller 46, is concentric with the shaft 38, so that the table is held in its position for a short time. On the other hand, the corresponding part of the cam track 45 has a more pronounced inclination so as to cause a faster rotation of the shafts 60.

   The shoes 20 and 20a being strongly held against the core, the sheet 37 being interposed between these parts and almost completely folded around the said core, can no longer move inwardly relative to the plate 14, so that under the effect of the increase in the force of the sectors due to said modification of the cam track 45, the frames 19 and 19a are forced to move towards the shoes 20 and 20a against the action of the springs 28 and thus fit the longitudinal edges of the sheet 37 between their edges 22 and 22a, as shown in FIG. 5th. This position represents. the end of the training cycle with regard to the training apparatus.

   The sections of the cam surface 44 and of the cam track 45 which, at this moment, are in contact with the roller 46 and the small roller 64, are formed so as to hold the table and the shoes with their frames, for a short time, in their respective end positions, while an application and fixing device, indicated at 70 in fig. 5th, is brought into its active position for the establishment and fixing of the interlocking member.



   As the application device 70 is about to reach the level of the outer surface of the wall

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 top of the frame 19 and 19a, the return cycle of the forming members of the apparatus 10 begins, the frames 19 and 19a first move away from the core to allow the applicator to lower onto a short distance to apply the interlocking member (indicated by the reference numeral 71 in Fig. 5e) to the longitudinal edges 72 of the tubular body which is being formed. 'Once the tape' it. is in place, the applicator 70 can then operate to squeeze or interlock the strip and then release the interlocking member and withdraw from the core 17.

   The manner in which these movements are effected will be explained below when describing the preferred embodiment of the application device. In the meantime, the hooves retreated somewhat quickly from the pit and the table was also lowered to its original position.



  Those skilled in the art will readily understand that these shapers retaining movements are caused by the configuration of the corresponding portions of the cam surfaces and cam tracks 44 and 45 which cause the active members of the apparatus to move in different directions. opposite to those previously described, but in a very similar fashion.



   Once the applicator 70 has withdrawn from the core, the latter can be removed from its active position and replaced with another core. Alternatively, the same core can be used for a new cycle of training operations, then it is necessary to first remove from the core the tubular body which has just been completed.



   In the foregoing, reference has been made to the placing of a sheet of material on the apparatus at the start of the cycle of training operations. This sheet can be simple or

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 composed of several layers integral with one another, so that a tubular body can be obtained having one or more layers. If the body shaping is carried out as just described and the body has several layers, these can be secured together so that they cannot be moved relative to each other.

   In spite of this, it is possible with the apparatus according to the present invention to form tubular bodies having more than one layer, in which the different layers form individual tubes telescoping into each other. This construction will be referred to as a body with independent layers. Alternatively, the different thicknesses can be fixed to each other only along the longitudinal joint and by means of the same interlocking member. This type will be called a semi-independent layered body, while the type obtained from a composite sheet will be called a multi-ply body.



   Semi-independent layered bodies are fabricated using an interlocking member of suitable cross section and employing at least two forming apparatuses so that with one apparatus the inner layer (either single ply or several plies) can be formed on one core and that the same core, covered with the layer thus formed, can be transported to the other apparatus, so as to receive the outer layer. When it is desired to manufacture a tubular body having more than two layers, the same core can be passed successively through as many forming apparatuses as it is desired to obtain layers, or it can be passed through two apparatuses, alternately. in one or the other, until the required number of layers is reached.

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   A description will now be given of a preferred embodiment of a complete machine for the automatic manufacture of tubular bodies from a sheet material, based on the forming apparatus described above. This machine, which is shown in fig. 6, is intended for the manufacture of tubular bodies in two semi-independent layers, but as will be seen, it can be easily adapted for the manufacture of two or even three bodies. at. single layer (single or composite) manufactured at the same time.



   The machine shown in figs. 6, 7 and 8 comprises two training devices 10 and 10 'arranged perpendicular to each other. the other around a revolving device 73 carrying the cores, mounted so as to be able to turn on a hollow cylindrical support 74 in the cylindrical wall of which an elongated opening 75 is formed in front of each apparatus 10 and 10 'and s' extending axially with respect to the support. These openings provide a passage for the counterweight levers 49, the counterweights 48 of which can be housed inside the support. The upper end of the latter has a flange 76 at the center of which a cylindrical hub 77 projects. This hub acts as a journal on which the bell 78 of the gun device can turn.

   A certain number of radial bosses 79 protrude from this bell, in the embodiment shown these bosses are eight in number and they are perforated axially as indicated at 80 to receive the ends of the cores 17. remote from the devices 10 and 10 '. . The axial length of the hub 77 is slightly greater than the thickness of the bell 78, so that the hub extends beyond the latter so as to serve as an intermediate support for the bell.

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 elongated main arm 81 of the machine, the end 81a of which, remote from the apparatus 10 ', rests on a support 82 and is intended to carry the devices for applying and fitting the fitting members, or serving for one of these two operations only,

   devices generally indicated by reference numerals 70 and 83 in fig. 6.



  The end 81a of the main arm 81 and the support 82 together form a support wall for the gear by which the force is transmitted to the various moving parts of the machine. The gear set mounted on this wall on the side thereof opposite to the main arm 81, comprises a main pinion 84. a drive wheel 85 for the device 83, coupled to the pinion by means of a reduction gear 86 and a reduction and drive wheel 87 for the auxiliary shaft 88.

   Pinion 84, reduction gear 86, and drive wheel 85 have their shafts aligned with the centerline of end 81a of main arm 81, but reduction and drive ring 87 has its shaft. moved laterally with respect to this line and towards the apparatus 10 with respect to the machine in general. To allow this, the support 82 is widened somewhat, as shown in fig.7.



   The end of the main drive shaft 89 which is closest to the machine and which carries the pinion 84 is supported by a bearing 90 forming part of the support 82. The other end of the shaft d The main drive can form part of the shaft of a motor such as for example the electric motor 91, or it can be directly or indirectly coupled to such a motor.



   The reduction gear 86 is wedged on a short shaft 92 which rotates in a bearing 93 provided near the lower edge

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 of the end 81a of the main arm 81. In certain cases, which will be indicated hereinafter, the drive wheel 85 may have a short shaft mounted in a manner similar to that of the shaft 92. However, in the embodiment As shown, the shaft 94 for the drive wheel 85 extends to the opposite end of the main arm passing through a bearing 95 near the wheel 85, an intermediate bearing 98 mounted on. the main arm 81 or forming part of this arm and an end bearing 97 mounted on the main arm 81 near the end remote from the end 81a.



  The end of the shaft 94 which projects from the bearing 97 is effectively coupled to the device 85 for fixing the interlocking member, by means of a suitable actuating member such as for example an eccentric 98 which has for aim of raising and lowering the punch. 22 of the device 83.



   The auxiliary shaft 88 of the reduction and drive wheel 87 passes through an elongated bearing 100 provided in the enlarged portion of the support 82, and its end remote from the wheel 87 is supported so as to be able to rotate in a rotating manner. bearing 101 provided in the pendant part 102 of a sheet 103 which projects from the flange 76 of the support 74 and which is directed towards the support 82. Between the latter and the bearing 101 and preferably close to this bearing, the shaft Auxiliary 88 carries a transmission gear 104 which is similar to reduction and drive wheel 87 and which meshes with a driven wheel 105 mounted on shaft 38 which drives apparatus 10.

   To properly support the end of shaft 38 which carries wheel 105, two foot bearings 106 and 106a are provided, one on each side of said wheel 105.



  The opposite end of shaft 38 which extends beyond the side of apparatus 10 remote from support 82 carries a gear.

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 bevel gear 107 meshing with a similar gear 107 'attached to the end of a shaft 38' of device 10 'which is closest to the last mentioned end of shaft 38.



   In order that the cores 17 of the bell 73 can be presented successively to the training apparatuses 10 and 10 ', suitable intermittent actuating means are provided whose movements are coordinated with those of these apparatuses.



  The intermittent drive means can be designed in any suitable shape, such as, for example, based on the principle of the Maltese cross. Nevertheless, a preferred construction is shown in Figs. 8 and 9, according to which these means consist of a sliding bar 109 receiving a reciprocating movement from the shaft 38 and provided with a pawl 108 pivoted on it at 122, of which the 'free end successively meshes with teeth 117 provided on the face of the bell 73 near the. flange 76, so that for each complete stroke of the bar 109, the bell 73 will move by a predetermined angle in a clockwise direction in figs. 8 and 9.

   To lock the gun in place while the body is formed on one or the other of the cores, locking means are provided which cooperate with the face of said teeth remote from the face with which the pawl is in contact. These locking means are preferably a flat body 119 mounted on a pivot 120 fixed at an appropriate point on the face of the spoke 103 which carries the bar 109. This flat body has an arm 121 directed towards the end of the sliding bar 109. remote from the shaft 38, when said bar is at the start of its active stroke (position shown in FIG. 9). Said arm 121 has on its side remote from the bell 73, a cam edge 123 which

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 is in contact with an ankle 118 provided at an intermediate point of the bar 109.



     The cam edge 123 terminates at its end furthest from the pawl, in an arcuate recess 124 which is formed in a straight shoulder, 125. A tongue 126 protrudes from a point of the body 119 almost diametrically opposite the arm 121. ; this tongue is practically rectangular when viewed in plan and, together with the shoulder 125 and the pin 118, forms the effective locking member, as will be seen from the following description of the operation of the device.

   The sliding bar 109 which is disposed transversely to the shaft 58 receives a reciprocating movement along a groove 110 (fig. 8) notched in the surface of the sheet 103 parallel to the plane of the bell 73, by means of 'an adjustable rod 111, one end of which is coupled to the end of the bar 109 closest to the shaft 38, while the other end is coupled to the upper end of a rocking lever 112 of which the other end is mounted on a rod 113 supported between the feet of bearings 106 and 106a.

   The lever 112 carries at an intermediate point a small roller 114 mounted so as to be rotatable, which is pressed by a spring 115 against the edge of a cam illustrated formed on the face of the driving wheel 105 closest to the apparatus. 10 or applied to this face, such that when the shaft 38 rotates, the rocking lever 112 is alternately approached and away from the shelf 105 giving a reciprocating movement to the sliding bar 109 in its groove 110 .

   Starting at the point where the members are ready to begin their active stroke (position shown in fig. 9), the free end of the pawl 108 is in contact with a certain tooth 117a of the face 117b of the tooth remote from the 'tree 38, the

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 pawl being deflected towards the bell 73 by means of a spring 127 carried by the bar 109 which also has a stop 128 to limit the outward movement of the pawl, such that the latter, when the bar 109 is moved towards shaft 38 (going down in fig.

   9), can effectively draw with it the bell 73 which is thus turned by a certain angle (in the case shown by an angle of 45) so as to bring the new core opposite the apparatus 10 and to carry the core on which a tubular body has just been formed, in an intermediate position between the two devices 10 and 10 '.



   As the bar approaches shaft 38, pin 118 moves along cam edge 123 towards and into arcuate recess 124, preventing further free movement of said pin, which however, is now in such a position, with respect to the pivot 120 of the locking member 119, that a torque is brought into play to act on this locking member so that the latter is obliquely oblique. to turn (clockwise in figs.

   8 and 9) thus allowing the pin 118 to continue its approach to the shaft 38 and forcing the tongue 126 to be introduced into the space between the teeth 117 when said particular tooth 117a has arrived. at a position such that the face 117c of the tooth closest to the shaft 38 can come into contact with the edge of the tongue 126 remote from the shaft 38.

   When the locking member 119 rotates on its pivot 120, the depression 124 is moved out of the passage of the ankle 118 which, on reaching the end of its active stroke, is in contact with the rectilinear shoulder 125 and thus, while the bar 109 is in its position closest to the shaft 38, prevents the locking member

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 119 to turn in the opposite direction to return to the position shown in fig.9, so as to release the bell from the gun.



   Cam 116 is shaped such that it maintains bar 109 in its position closest to shaft 38 during the cycle of forming operations of apparatus 10 or 10 'and until the respective tables have fallen back on. a sufficient distance so that the nuclei can pass freely over them. At this time, the cam 116 forces the parts controlled by it to return to their original position shown in Figs. 8 and 9. During the return movement, the pawl 108 strikes against the tooth 117 directly behind the tooth 117a it has just left, but, due to the flexibility of the spring 127, the pawl will advance the bar 109 (towards the line in fig. 9) and, after passing the tooth in question, will automatically return to the normal position under the pressure of said spring.

   At the same time, the pin 118 slides along the shoulder 125 and moves away from the shaft 38, until it hits the cam edge 123 of the shaft 121 which, because 'it is free, ready under the push of this peg and thus forces the locking member 119 to turn on its pivot counterclockwise, to return to its original position and to remove the tongue 126 between the teeth 117, thus leaving the bell 73 free to rotate when the return (active) stroke has started, which occurs immediately so that the cores can be brought to their new positions at approximately the time when the nables reach. the lowest points of their runs.



   As already indicated, 11 is necessary for certain types of joints for the ooras. Longitudinal to the tubular body.

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 re, as for example for the joints obtained by folding metal bodies in sheets or for the interlocking members applied and partially fixed, which must be flattened on the body, to submit said edges or said interlocking members to a relatively strong hammer blow or to a blow from another organ such as that shown at 99 in fig.6. It follows that under these conditions the cores are subjected to a combined sudden force of bending and shearing which can cause rupture.

   To avoid this danger, it is judicious, in the cases indicated, to provide a support for the free end of the core, which support must be able to move away from the passage of the cores when the latter are in motion.



   A support specially intended to be used as an accessory of the apparatus, object of the present invention, is shown in Figs. 6 and 10, the actuators of this support being shown in FIGS. 1, 2, 4 and 6, while in figs. 11 and 12 the special shape of the free end of the cores has been indicated so that this end can co-operate with said support. According to figs. 6 and 10, the support consists of a post 130 freely supported, so as to be able to rotate, and perpendicular to the base 11 of the apparatus 10 or 10 ', by means of a perforated boss 131 axially formed or fixed on said base 11.

   The upper part of the boss 131 is thinned at 132 ,, so as to receive the lower annular half 133 of a toothed coupling connecting the other half 154 which is wedged on the post 130.



  The teeth 133a of this coupling are formed such that if the post 134 is prevented from rotating, it will alternately be raised and lowered as the annular half 133 rotates on the thinned portion 132. An arm 135 extends towards

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 the outside of this annular half and the free end of this arm is coupled to the end of an actuating rod 136 (see figs. 1, 2, 4 and 6) which slides in a screwed support guide 137 to one of the lateral faces (for example the right face) of the pillar 12 and the other end of which is coupled to one of the arms of an angled lever 138 pivoted on a pivot 139 which projects laterally from said face pillar 12.

   The other arm of lever 138 is coupled to the free end of an actuating arm 140 wedged on the free end of a rod 51 which serves as a fulcrum for the bar 49 of a counterweight. , to which it is attached.



   The post 130 (fig. 10) carries at its free end remote from the boss 131, a parallelepipedal head 141 which has on its face remote from the post a rectangular opening 142 intended to receive a portion of suitable shape of the post. the free end of the nuclei. When the post is placed on the boss 131, the head 141 will be between two cleats 143 which protrude at a suitable height from the front face of the plate 14 (see fig. 4) and prevent rotation of the post and the post. 'force to. rise and fall with the oscillations of the ring half of the gear coupling.

   These oscillations are caused by the back and forth movement of the rod 51 which, in turn, is caused by the upward and downward movements of the counterweight bar, as will readily be seen. The actuating arm 140 fixed to the rod 51 transmits the reciprocating movements of this ring by an angled lever 138 to the actuating rod 137 which, consequently, oscillates the arm 135 which protrudes. of the annular half 133 of the coupling, the members being proportioned so that the angular movements of the arm 135 are of sufficient amplitude so that the teeth of the

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 annular half 133 are withdrawn from the spaces in which they normally rest and are brought below the teeth of the other half,

   thus lifting the post, so that the bottom of the rectangular opening 142 can come into contact with the lower part of the free end of the corresponding core.



   As already indicated, the free ends of the cores have a special configuration which allows them to penetrate the opening 142. This configuration is shown in FIGS. 11 and 12 of which it is seen that the lower half of the cores is formed so as to present a substantially rectangular part 144 of a width equal to that of the opening 142 and lying at a height such as when the post 133 is raised as high as possible, the planar bottom face 145 of part 144 will be at the same level as the bottom of opening 142.

   The specially formed part is also used to ensure perfect centering of the core with respect to the cavity 15, a centering part 14b (fig.l) suitably notched at 14c to fit closely with the shaped end of the cores, being provided on the front face of the plate 14.



   The movements of the post 130 and the parts which operate it are coordinated with those of the machine, so that the post reaches its highest position once a core covered with a tubular body coming from 'to be formed and nested, but not yet finished, has been placed above the table at which it receives the blow intended to flatten its joint and before the hammer is actuated, so that the core will be supported at its free end when it receives the hammer blow.



   As those skilled in the art will readily understand,

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 because the sheet material is folded tightly around the core and is under tension throughout the body-forming operation, the latter when completed will fit relatively tightly over the core, so that it is difficult, especially in the case of semi-independent layered bodies, the inner layer of which is very thin or made of metal foil, to remove the body from the core without damaging it. For this reason, it is preferred to provide a release means whereby some clearance, however small, can be obtained between the inner layer of the finished body and the surface of the core.

   As can be seen from figs. 11 and 12, said release means consist, according to the present invention, of an elongated wedge 146 mounted so as to be able to slide in an inclined groove 147 which extends along the core. The depth of the groove 147 increases towards the free end of the core and the wedge 146 has side flanges 148 which move into suitable guide grooves in the side walls of the groove 147; these flanges thus support the wedge at the same time as they allow it to be withdrawn from said free end.

   To facilitate this operation, the wedge is provided, near the end of the core remote from its free end, with a pin 149 which projects laterally and which passes through a slightly elongated opening 150 formed in the thickness of the core near from its posterior end. This peg 149 may be coupled to one end of a release lever 151, pivoted at an intermediate point on a pivot 152 provided on the surface of the core, and held normally so that the wedge 146 will be held in an anterior position by a spring such as spring 153 which extends

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 between the lever 151 and a suitable point on the bell of the revolver which carries the core.

   The free end of the lever can carry a roller 154 intended to cooperate with a suitable projection (not shown) provided on a relatively stationary part of the machine, such as for example the intermediate foot 155 of the main arm 81 (fig. 6) to automatically move the lever 151 from its normal position to a position in which the lower end of the lever will move the wedge away from the free end of the core.



  Consequently, the outer longitudinal surface of the wedge which ends that of the grooved core when the wedge is fully pushed forward, is lowered with respect to the surface of the core and therefore decreases the effective perimeter of the core a little by decreasing thus the tension on the finished body which can then be separated from the core using any suitable device, without risking damaging the layers of the body.



   For certain types of longitudinal joints applied to tubular bodies, it is very desirable that the margins of the sheet folded around the core or covering the core, be presented to the application device of the interlocking member or to the device for joining these. margins, in an inclined position relative to the normal plane which includes the joint line. In these cases, it is appropriate to use two sliding members of the same general construction as the members 18 and 18a, but modified as indicated in figs. 15 and 14.

   According to this variant, the part of the upper wall 23 'of the frame 19' which, in the embodiment described above rests on the upper surface of the shoe 20 ', is raised with respect to the latter to allow the interposition of an auxiliary part 156 equipped,

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 the end remote from the cavity 15, of a stop 157 which * '*** extends from the upper surface of this part and which is intended to slide in a dead-end groove 158 formed in the face internal of the upper wall 25 '.

     The auxiliary part is normally held in a withdrawn position, i.e. by having the stop 157 at the part of the groove 158 remote from the cavity 15, this being achieved by means of a tension spring 159 which extends between the posterior end of the part 156 and a point fixed inside the frame 19 '.

   The part 156 has a groove 160 on its underside, ie: the side opposite to that which carries the stop 157; this groove 160 is intended to cooperate with a trigger 161 mounted so as to be able to pivot in a hollow 162 formed in the upper part of the shoe 20 ', to maintain the part 156 in an advanced position with respect to the cavity 15, during that the frame 19 'is withdrawn during the last moments of the cycle of body shaping operations, as will be seen below.

   So that the margins of the folded sheet can be guided in the inclined position mentioned above, the inner edge 22 'of the upper wall 23' of the frame 19 'is inclined as shown in fig. 15 and it will be understood that the corresponding edge of the other frame is inclined in a direction parallel to that of the edge 22 '. The corresponding edge 163 of the auxiliary part 156 has the same inclination as the respective edge 22 '. and part 156 is normally in place, so that edge 163 forms a continuation of edge 22 '.



   The rod 164 on which the trigger 161 is mounted, passes through the shoe 20 'in its entire length, projecting at the front and rear ends of the latter, where said rod carries a small lever 165 (fig. 14) wedged on

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 it, which when lowered, forces the rod 164 to rotate to withdraw the trigger 161 from the groove 160. So that the small lever or levers 165 can be lowered at the desired time, a thrust member 166 can be provided as shown in broken lines, fig. 15, in which it is shown mounted on the anterior end (and also at the posterior end if desired) of the device for placing and fitting the organ nesting.



   The modified type of slides which has just been described is intended to be moved by approaching and away from the cavity 15, by means of the same actuating devices as described above for the normal slides. The movements of the modified slides are, during the first parts of the cycle of the forming operations, as indicated above, the forward force being transmitted directly to the frames in the manner indicated above and by means of the springs 28 to the shoes, so that the members which, at the start of the movement towards the cavity 15, are in the relative positions shown in Fig.13, can keep these relative positions and advance together as a whole.



  When the shoe 20 'is stopped by the core covered with the sheet, the frame 19' continues to move towards the cavity 15, compressing the springs 28 and driving with it the auxiliary part in the relative position shown in the drawing. As part 156 is thus moved forward, it first lowers the trigger 161 which only returns to its normal position when the groove 160 has come opposite it. This occurs when the frame and the auxiliary part 156 have come to the end of their movement towards the cavity 15, the part 156 being thus effectively maintained in the active position with respect to the edges of the cavity.

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 folded sheet, while the frame 19 'can be removed independently.

   This occurs when the applicator and nesting device is about to slide the nesting member over the edges of the folded sheet.



  At this time, the frame 19 'is pushed back with respect to the cavity 15, by the springs 28 and at the same time it is pushed in the same direction by the sectors actuated by the cam track, as previously described, which allows the application device of the interlocking member to slide the mouth of the interlocking member over part of the margins which are then partially held between the edges 163 of the parts 156 and partially between the sides of the 'interlocking organ. When the frame 19 'is withdrawn from the cavity 15, the springs 159 of the part 156 are extended so that a force is exerted on this part which force will tend to withdraw it from the cavity 15 unless the trigger 161 either engaged in the groove 160.

   At the moment when the device for applying the interlocking members has slid the mouth of these members on the margins of the folded sheet, the push member 166 comes into contact with the levers 165 and lowers them, thus withdrawing the relaxing 161 of the groove 160 and releasing the part 156 which, under the force of the spring 159, is rapidly moved away from the cavity 15 to return to its original position relative to the frame. The device for applying the interlocking member can then lower this member so that it completely embraces the margins. The movements remaining to be performed by the modified slides are the same as those described in the first part of this description.



   The machine which has just been described is intended to produce finished tubular bodies, ie. with a seal

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 between the longitudinal edges, this joint being completed and flattened.



  The nature of this seal will depend primarily on the material of the sheets which are used to form the body. For example, in the case of tinned sheet iron, the joint can be formed by overlapping the edges and then welding them, if desired. If the body is formed from a sheet of paper in one or two layers, the seal can be obtained using an adhesive material, such as glue or solid paraffin.



  In the case where the tubular body is formed by a sheet of paper or by a sheet of other non-metallic material such as, for example, cellophane, a strip of more rigid material is often employed, generally a strip of material. strip of thin tinned sheet iron, as an interlocking member, which is applied to the longitudinal margins and the joint is then flattened, rolled, folded or welded. The machine described above must therefore be able to be fitted with any suitable type of device making it possible to obtain one of the types of seals mentioned above.

   It is however preferable to provide the machine with a device forming joints from a strip or an applied interlocking member, constructed so as to cooperate perfectly well with the other members of the machine and intended to be actuated. directly from the main drive. A device of this type which has been described and designated until now as a device for positioning and fixing the engagement member, is shown in FIGS. 15 to 18 in which it is provided, by way of example, with jaws intended to apply and fit strips having one or more longitudinal channels and one or more lateral flanges.



  It will be understood that with corresponding modifications made

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 tees to the retaining means (jaws), the device shown in the figs. 15 to 18 can easily be adapted to the application and closure of other kinds of bands.



   As seen from Figs. 15, 17 and 18, the device for applying and securing the interlocking member comprises a square base 167 which is designed so as to be secured by bolts 168 to the main arm 81 of the machine. (Fig. 6) and which carries a fixed part 169, the cross section of which is practically rectangular and has a bevelled corner.



  The diagonals of this part are offset by about 45 from those of the base, so that when the latter is mounted on the main arm 81 having two edges parallel to the surface of the plate 14, but across of the cavity 15, the line 170 joining two faces perpendicular to said part and diagonally opposite the bevelled corner, extends parallel to the axis of the cavity 15. This line will be called hereinafter "the lower edge 170 of the part of the body ", the faces of the body which form the lower edge being respectively designated:" lower right face 171 "and" lower left face 172 "when viewed from the free end of said part of the body. The surface 173 formed by the beveled corner of the upper corner of the body part, will be called "the beveled surface".



   A support member 174 is mounted on the lower left face 172, and an oscillating jaw 175 is mounted on the face of the member 174 remote from and parallel to the face 172, so as to be able to pivot, while the face lower than the support member, i.e., d.

   the face perpendicular to the face 172 carries a sliding jaw 176, the support member and the sliding jaw are both

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 , fixed to their respective faces, so that they can move away from these faces perpendicularly to them, but they can only slide on the faces, so that the support member can only s 'approach and move away from the lower face 170, while the sliding jaw can perform the same movements with respect to the lower edge 177 of the support member, away from the part of the body and parallel to the lower edge 170 of this part .

   For example, the coupling between the support member and the sliding jaw can be achieved by means of dovetails 178 and 179 (Fig. 16) which slide in grooves notched in the respective surfaces. The support member, which has a cross section substantially of the shape of an inverted L, may be provided with adjustable stops 180 to limit its movement towards the lower edge.
170, these stops being intended to make contact with the upper left face of the part of the body.

   Preferably, the parts are arranged so that the support member has a tendency to fall by its own weight towards the lower edge 170, but if this is necessary, as for example when the support member is made of a material. low specific weight, means can be provided to give this organ an effective thrust which comes to assist its own weight.

   In the example shown, these means consist of compression springs 181 which bear at one end against the outer surface 182 of a short arm of the support member and at the other end against a disc 183 carried by. a rod 184 which is surrounded by the spring 181 and which passes freely through the said short arm, one end of the rod being fixed to the body part and the other end being provided with a nut 185 and a counter -nut 186 which allow to adjust the pressure

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 of spring 181.

   To reduce the load on the active members of the device, the support member can be provided with a counterweight 187 carried by an arm 188 which projects from said member (or an ankle 189 mounted on the latter) and which is supported on a cleat 190 projecting from the part of the body.



   The oscillating jaw 175 is rotatably mounted on a shaft 191 which passes through a curved protuberance 192 formed on the surface of the jaw adjacent to the support member, and is supported in appropriate points by bosses 195 formed on the lower part of the face 194 of the support member, remote from the face 172.



  The surfaces of the oscillating jaw and of the support member which face each other, presenting suitable indentations to conform to the protuberances and the bosses, as shown in fig.16. The shaft 191 passes through the oscillating jaw longitudinally in the vicinity of the lower end of the latter, the upper part of which is wider, as shown at 195, so that the oscillating jaw 175 normally tends to turn. counterclockwise by its own weight in figs. 15 and 16, so as to bring its active lower end into contact with the lower edge 177 of the support organ.

   To counteract this tendency, tension springs 197 can be provided between cleats 198 fixed to the jaw 175 and similar cleats 199 fixed to the support member, so that there normally exists in the assembled device. , a certain clearance between the lower end 196 of the oscillating jaw and the edge 177 of the support member, the value of which can be adjusted by means of adjusting screws 200 which pass through

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 through said jaw near its upper end.



   The operating parts of the device for applying and fixing the interlocking member will now be described with special reference to fig. 16 in which a simple set of these parts is shown, but it will be understood however that these parts can be doubled, tripled, etc. so as to obtain a better distribution of forces and efforts, as seen in figs. 17 and 18.



   A shaft 201 is provided as the main drive member; this shaft passes through the body 169 perpendicularly to the base 167 and it carries near its end adjacent to this base a control lever 202 wedged on it and intended to be coupled to a connecting rod 203 (see fig. .6) articulated to an elbow lever 204 pivoted on the pivot 205 which projects laterally from the main arm 81 carrying the drive wheel 85.

   The lever 204 is intended to receive an oscillating movement in the plane of the rod 205 and the control lever 202, by means of a cam 206 mounted or formed on the face of the drive wheel 85 adjacent to the lever. main arm 81, and with which the second arm 207 at the lever 204, which may be provided with a cam roller 208, is normally kept in contact by means of suitable springs (not shown).

   The lever 202 is moved away from the support member 174 (to the right of Figs. 15 and 16), in its normal or free position, and it performs only a relatively small angular movement limited by the a size of a groove 209 transverse to the part of the body, through which said lever extends outwardly from that part.



   A lifting arm 210 is freely mounted on the shaft 201 and has a hole through which this shaft passes and which

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 is widened along two diametrically opposed surfaces so as to form two substantially sector-shaped openings 211 which receive two sector-shaped splines 212, integral with the shaft and of a circumferential length shorter than that of the openings 211.



  The shaft also carries a cam arm 213 and a draw arm 214. The latter has sector-shaped openings 215 similar to those of the lift arm 210, into which splines 216 similar to the splines 212 enter. The cam arm 215 also has sector-shaped openings, but the corresponding splines 217 fill them completely, so that the cam arm can be considered to be wedged on the shaft and forced to rotate with the latter. .



   The cams and the lifting arms are placed in the thickness of the part of the body in which the chanters 218 are provided to receive said arms and to allow their movement. Both pull arms 214 can be placed on the outer side of the body part or, as shown, the front arm only can be so placed, while the posterior arm extends through a passage 219 formed in the thickness. of the said part.



   The end of the arm 210, remote from the shaft 201, is coupled to the support member by means of a connecting rod 220 and a block 221, fixed to the support member by screws 222 and provided with its journal ends 223 which receive the ends of the connecting rods 220 remote from the arms 210.



   The free end of the cam arm 213 is configured to have an edge 224 substantially concentric with the shaft 201, but having a raised portion 225 near the upper end. The edge 224 cooperates with a wheel

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 the cam water 226 carried by a fork 227 which is adjustably screwed to the inner face of the oscillating jaw 175, i.e. to the face adjacent to the support member 174, by means of the screw 228 which passes through the thickness of this jaw and which is provided with a locking nut 229 to allow adjustment of the fork 227 of the outside.



   The traction arm 214 which normally extends in a direction perpendicular to the lower right face 171 of the body part, is coupled at its end remote from the shaft 201 to the sliding jaw 176 by means of a connection member 230 to which a trigger 231 actuatable by hand, normally biased by a spring 232 in the upward direction, is mounted so as to be able to pivot. When the actuating lever 202 is in its loose position, the tip of the trigger 231 rests on the lower surface of the elongated arm of the support member 174 or on a lateral extension 233 of this arm (see figs. 15). , 17 and 18).

   The tension arm 214 is deflected to an advanced position in which the sliding jaw 176 is closest to the lower edge 177 of the support member 174, by means of a tension spring 234 which extends between bolts. tones 235 and 256 respectively mounted on the traction arm and on the support member. The same lower edge 177 of the support member serves to limit the forward movement of the traction arm, since it extends in the form of a hanging rib, from the end of the elongated arm of said member, and thus serves as a stop for the body of the sliding jaw, a support 237 is also formed for the end of the trigger 231, the purpose of which will be explained below and which, in the example shown, has the form of an L-shaped piece 238 screwed to the front face of part 169.

   When the arm

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 of traction 214 is placed inside said part, as in the case of the arm 214a, near the base 167 (fig. 17 and 18), it is not necessary to provide the part 238, since the lower right face 171 of the body part serves as a support, as will be seen during the description of the operation of the device.



   When the actuating lever 202 is in its idle position, the concentric part of the edge 224 of the cam arm 213 is in contact with the roller 226, so that the latter and therefore the upper part of the oscillating jaw 175, are in their position closest to the shaft 201 for a given adjustment of the screw 228, the roller 226 being effectively pushed against the said edge 224 by the springs 197.

   Accordingly, the lower end 196 of the oscillating jaw 175 is kept away from the lower edge 177 of the support member, so that the channel of a strip which is desired to be applied to the tubular body , can be introduced into the space or into the play thus provided, a flange of this band then extending outwards and resting against the lower end 196 of the oscillating jaw 175.



   The lifting arm 210 is then in an angular position in which the articulated end of the connecting rod 220 is at the highest point of its travel, the support member is in principle raised relative to the body part, such that the adjustable stops 180 are spaced from the upper left surface of the body part and the springs 181 (if present) are compressed. This is because the splines 212 of the shaft 201 are at the end of their clockwise movement and therefore are in contact with the shoulders of the or-

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 vertures 211, so that they prevent the lowering of the support member.



   As the sliding jaw 176 is fixed to the support member, it will follow the latter in its descending and ascending movements, and under the conditions indicated, it will be in its highest position, that is to say the closer to the lower right side 171 of the body part.



  The parts are proportioned so that at this time, the flat surface formed by the end of the elongated arm of the support member 174 or at least by a part of the latter on which rests the tip of the trigger 231 , will not extend beyond the lower right face 171 of the part 169 or at least beyond the support 237, and this surface is preferably level with this support.



  It will easily be understood that the shoulders of the openings 211 of the lifting arm 210 which, at this moment, are in contact with the splines 212, exert pressure on the latter due to the weight of the support member and the force of the splines. compressed springs 181, if these are provided. This pressure is directed so that if the lift arm is not retained by the splines 212, it will rotate counterclockwise thereby allowing the support member 174 to be lowered. until the stops 180 come into contact with the upper left surface of part 169.

   Therefore, as the shaft 201 rotates counterclockwise, the lifting arm follows it keeping said shoulders in contact with the splines 212, so that a free space will be created. forward of the splines in the direction of their rotation, and thus, when the support member 174 is stopped in its downward movement

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 through the stops 180, the shaft 201 can continue to rotate until the splines 212 come into contact with the shoulders of the other end of the openings 211.



   While the actuating lever is in its idle position, the traction arm 214 is held at the end of its stroke near the support member under the force of the springs 234 which are almost completely contracted, the jaw sliding 176 and the trigger 231 being in the positions described above. Under these conditions, there is a clearance between the lower edge 177 of the support member 174 and the protruding lip 239 of the sliding jaw, in which clearance a second flange or channel of the band can be placed so as to be supported by said lip.



   It will be noted that the springs 234 tend to cause the traction lever to rotate clockwise, so that the shoulders of the openings 215 correspond to those of the openings 211 which are in effective contact with the splines. 212, tend to move away from the shoulders 216.

   The apertures and splines are proportioned so that when the members are in the positions shown, as well as in the case of the openings 215 of the draw arm 214, a gap or play will occur in front of the splines 216 in the same direction as for the splines 212, so that when the shaft 201 rotates counterclockwise, the pull arm 214 will not move until the splines 216 have reached the shoulders - Elements of the openings 215 which limit the said space.

   Only then can the amber 201 actually begin to rotate the draw arm 214 against the action of the springs 254 'which are clamped and thus hold the said

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 shoulders of the openings 215 in effective contact with the grooves 216.



     The relationship between the openings 211 and 215 and their corresponding splines 212 and 216 is such that the free spaces of the openings 211 have a circumferential length somewhat greater than that of the free spaces of the openings 215, so that when the splines 216 have reached their active position relative to the traction arm 214, the splines 212 will still be able to move allowing the shaft to continue to move the traction arm 214 towards its position away from the support member 174 .



   When the actuating lever 202 is moved counterclockwise (actuating stroke) under the thrust of the cam 206, transmitted by the connecting rod 203, the cam arm 213 rotates with the shaft 201, but since at this time the concentric portion of the edge 224 is in contact with the roller 226, no force is exerted on the oscillating jaw 175. The support member 174 falls by its own weight with or without the aid of the springs 181, which forces the lifting arm 210 to follow the grooves 212, as the latter are moved away from their initial position.



  Meanwhile, the splines 216 rotate freely in the openings 215 to their active position relative to the draw arm 214.



   When the support member has fallen enough for the stops 180 to contact the upper left surface of the body part, the position in which the tape will have been applied to the edges of the formed body and in which the end 196 of the the oscillating jaw, as well as the lip 239 of the sliding jaw, are the most

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 Near the core, the raised portion 225 of the edge 224 of the cam arm 215 begins at. pass the roller 226 thereby pushing the upper end of the oscillating jaw outwards against the tension of the springs 197.

   which forces the lower end 196 of said jaw to move towards the edge 177, so as to compress the channel of the strip firmly against the margin (s) which are in this channel and thus to fix the strip on the formed body.



   As at this point the lip 239 of the sliding jaw is still below the second flange or channel of the strip in position to support this strip, it follows that the support member cannot be pulled out. raise under these conditions without removing from the body the tape which is applied to it, as well as the edge or edges caught in the flattened canal. Therefore, as soon as the band has been secured as just described, the splines 216 begin to come into play to cause the drawbar 214 to rotate counterclockwise, in a counterclockwise direction. Thus, the sliding jaw 176 is removed from the edge 177.



   We will see from the above that. this moment the lower end of the elongated arm has the support member (with which or with an extension 233 of which the tip of the tent 231 has continued to be in contact) then protrudes beyond the lower right face 171 of portion 169, such that when sliding jaw 176 is withdrawn from edge 177.

   the trigger which is brought in the same direction by the connection member 230 and which is no longer retained by the said lower end of the elongated arm, turns clockwise under the action of the spring 232 to forcing its end to thus approach the level of the lower right face 171 which, at this time

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 can be considered to be higher than said end of the elongated arm. The end of the trigger 231 is then against the support 237 which is also at a higher level than the said lower end. At this time, the free space of the opening 211 appears behind the grooves 212.



   The actuating lever 202 then begins its return stroke and rotates clockwise, causing the splines 216 to move away from their active position relative to the opening 215 of the draw arm 214. which, under the pressure of the springs 234, rotates in the same direction as the shaft 201 to return to its initial position.



  As a result of the difference in level between the lower end of the elongated arm of the support member and the support 237, the trigger 231, on returning to its initial position, is stopped by the protruding part of the elongated arm. , so that neither the traction arm 214 nor the trigger 231 can return to their initial position until the support member has risen. The arrangement of the members is such that the trigger is thus maintained in a position in which the lip 239 of the sliding jaw is kept sufficiently far from the support member 174 to leave the respective flange or channel of the band completely free. and thereby to allow the support member to rise without damaging the strip or the tubular body.



   As the shaft 201 continues to rotate in its return motion, the raised portion 225 of the edge 224 of the cam arm 213 moves away from the roller 224a thereby allowing. the oscillating jaw to return to its initial position under the force of the springs 197 and to free the flattened channel of the strip.

   At this point, the grooves 212 again come into contact with the shoulders of the openings 211 and communicate.

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 thus initiate a clockwise movement of the lifting arm so as to raise the support member to its initial position, thereby removing the lower edge 177 and the oscillating jaw 175 'from the tubular body to which the interlocking member or the strip has just been applied. The support member, while rising, carries with it the sliding jaw 176 which is still partially retained.

   When the lower surface of the elongated arm of the support member comes level with the support surface 237, thus removing any impediment to further movement of the trigger 231, the pull arm 214 is again moved into position. clockwise under the thrust of the spring 234 to bring the sliding jaw to its initial position. When this has been done, all parts will be returned to their original positions and the engagement device application and attachment device will be ready to start another cycle of operations.



   It will of course be understood that the lower edge 177 of the support member, as well as the lip 239 of the sliding jaw 175 and the lower end 196 of the oscillating jaw, have a length at least as great as the legs. longitudinal margins of the tubular member and may, if desired, extend beyond these at either or both ends.



   The device for applying the interlocking member can also be modified to serve at the same time as a forming member of a part of the tubular body, the device being provided in such cases with forming surfaces or flanges. necessary, along the application members.



   It will be noted that the shoes of the slides of the training apparatus can, in particular during the manufacture

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 Or bodies with polygonal contours, preferably be composed of two or more parts, the separation between them being along longitudinal planes preferably parallel to the top of the table.



   On the basis of the novel forming apparatus, object of the present invention, a complete machine capable of manufacturing finished tubular bodies from sheet material in a fully automatic manner has been constructed. From practical tests it has been found that a machine of this type is capable of manufacturing completely finished tubular bodies at the rate of 3000 to 5600 pieces per hour. In addition, the characteristic and essential part of this machine, which is the training apparatus, can be used independently of the other members or only with the device for applying and fixing the interlocking member.



   It will be understood that the present invention is not limited to the embodiment shown in the drawing, but that various modifications can be made to the construction and to parts thereof, without departing from nature and within the scope of the invention as defined in the appending claims.

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Claims (1)

REVENDICATIONS: 1.- Machine pour la fabrication de corps tubulaires en repliant une matière en feuille ou en enroulant cette matière sur un noyau, caractérisée en ce qu'elle comporte essentielle- ment un élément portant au moins un noyau, et au moins un appareil de formation pour replier ou enrouler la matière en feuille autour de ce noyau et comprenant essentiellement une <Desc/Clms Page number 52> plaque présentant une surface active aans laquelle se trouve une cavité de section transversale géométriquement semblable à une partie du contour transversal du noyau et égale à celle de cette partie lorsqu'elle est recouverte de la matière en feuille que l'on désire employer, deux glissières de rabatte- ment montées de manière à pouvoir coulisser sur la surface active de chaque côté de la cavité, ces glissières présentant, CLAIMS: 1.- Machine for the manufacture of tubular bodies by folding up a sheet material or by winding this material on a core, characterized in that it essentially comprises an element carrying at least one core, and at least one forming apparatus for folding or winding the sheet material around this core and essentially comprising a <Desc / Clms Page number 52> plate having an active surface in which there is a cavity of transverse section geometrically similar to a part of the transverse contour of the core and equal to that of this part when covered with the sheet material to be employed, two slides flaps mounted so as to be able to slide on the active surface on each side of the cavity, these slides having, sur leur côté le plus près de la cavité, une face formée de manière 1 avoir une section transversale géométriquement sem- blable à une fraction au moins de la partie du contour trans- versal du noyau, qui complète la partie correspondante de la cavité, et, sur leur côté éloigné de 1a surface active de la plaque, une surface de support destinée à recevoir la matière en feuille avant qu'elle soit repliée ou enroulée, la dite surface de support étant espacée du noyau, au moins suffisam- ment, pour permettre l'introduction de la feuille de natière entre la surface de support et le noyau, lorsque ce dernier est parallèle à la cavité et à l'extérieur du creux défini à la fois par les faces façonnées des glissières et par la cavité de la plaque, on their side closest to the cavity, a face formed so as to have a cross section geometrically similar to at least a fraction of that part of the cross contour of the core, which completes the corresponding part of the cavity, and , on their side remote from the active surface of the plate, a support surface for receiving the sheet material before it is folded or wound up, said support surface being spaced from the core, at least sufficiently, to allow the introduction of the natural sheet between the support surface and the core, when the latter is parallel to the cavity and outside the hollow defined both by the shaped faces of the slides and by the cavity of the plate , des moyens d'actionnement étant égale- ment prévus pour obliger les glissières à s'approcher et à s'éloigner de la dite cavité et d'autres moyens d'actionnement étant prévus pour provoquer un mouvement relatif d'approche- ment et de séparation, dans une direction perpendiculaire à la surface active de la plaque, entre le noyau et la plaque avec sa cavité. actuation means also being provided to force the slides to approach and move away from said cavity and other actuation means being provided to cause relative movement of approach and separation , in a direction perpendicular to the active surface of the plate, between the core and the plate with its cavity. 2.- Machine selon la revendication 1, dans laquelle les dites glissières sont constituées essentiellement par un châssis creux, ouvert du côté le plus près de la cavité et par un sabot monté de manière à pouvoir coulisser dans ce châssis et normalement poussé en une position avancée vers la <Desc/Clms Page number 53> cavité par des moyens élastiques, les dits sabots ayant leur face la plus près de la cavité formée de manière à, avoir une section transversale géométriquement semblable à une frac- tion au moins de la partie du conteur transversal du noyau qui complète la partie de celui-ci correspondant à la cavité. 2.- Machine according to claim 1, wherein said slides are essentially constituted by a hollow frame, open on the side closest to the cavity and by a shoe mounted so as to be able to slide in this frame and normally pushed into a position. advanced towards <Desc / Clms Page number 53> cavity by elastic means, said hoofs having their face closest to the cavity so formed as to, have a cross section geometrically similar to at least a fraction of the part of the transverse storyteller of the core which completes the part of that - here corresponding to the cavity. 3.- Machine selon la revendication 1, dans laquelle la plaque de l'appareil de formation présente une jambe pendante montée de manière à pouvoir coulisser dans une ouverture axiale d'un pilier de guidage creux et présentant dans les parois latérales parallèles à l'axe de la cavité, des rainu- res allongées s'étendant perpendiculairement à cet axe, la dite plaque portant sur la face opposée à celle présentant la cavité deux rouleaux rotatifs qui reposent sur la surface virtuellement cylindroidale de deux cames fixées à un arbre d'entrainement passant à travers le pilier et les rainures du pied, transversalement à la cavité et qui est supporté de manière à pouvoir tourner dans des paliers prévus dans l'épais- seur de la colonne. 3.- Machine according to claim 1, wherein the plate of the forming apparatus has a pendant leg mounted so as to be able to slide in an axial opening of a hollow guide pillar and having in the side walls parallel to the axis of the cavity, elongated grooves extending perpendicular to this axis, said plate bearing on the face opposite to that having the cavity two rotating rollers which rest on the virtually cylindroid surface of two cams fixed to a shaft of drive passing through the pillar and the grooves of the foot, transversely to the cavity and which is supported so as to be able to turn in bearings provided in the thickness of the column. 4.- Machine selon la revendication 3, dans laquelle la jambe pendante est évidée, une extrémité d'une barre de contrepoids étant articulée en elle, barre qui s'étend paral- lèlement à l'évidement axial de la ambe et à travers une des parois de la jambe perpendiculaire aux parois présentant les dites rainures allongées et à travers la paroi correspon- dante du pilier qui, aussi bien que la paroi de la jambe à travers laquelle s'étend la barre, présente une ouverture al- longée pour le passage de la dite barre qui porte, en un point se trouvant à l'extérieur du pilier, une tige fixe supportée dans des paliers et servant comme point d'appui pour la barre. <Desc/Clms Page number 54> 4.- Machine according to claim 3, wherein the hanging leg is recessed, one end of a counterweight bar being articulated therein, bar which extends parallel to the axial recess of the ambe and through a walls of the leg perpendicular to the walls having said elongated grooves and through the corresponding wall of the pillar which, as well as the wall of the leg through which the bar extends, has an elongated opening for the post. passage of said bar which carries, at a point located outside the pillar, a fixed rod supported in bearings and serving as a fulcrum for the bar. <Desc / Clms Page number 54> 5. - Machine selon la revendication 1, dans laquelle les moyens d'actionnement pour les glissières consistent en deux secteurs présentant des bords incurvés et dentés, montés de manière à pouvoir pivoter par leurs extrémités opposées aux dits bords, sur des oreilles saillant latéralement des dites glissières, ces secteurs présentant également un pivot fixe pendant d'un point intermédiaire de chaque secteur et se terminant dans un palier prévu sur la face latérale de la plaque de l'apparejl de formation, les dites oreilles étant espacées l'une de l'autre de telle sorte que lés bords aentés des secteurs sont constamment en prise, des moyens de la for- me de bras étant également prévus, 5. - Machine according to claim 1, wherein the actuating means for the slides consist of two sectors having curved and toothed edges, mounted so as to be able to pivot by their ends opposite to said edges, on lugs projecting laterally from the said slideways, these sectors also having a fixed pivot hanging from an intermediate point of each sector and ending in a bearing provided on the side face of the plate of the training apparatus, said ears being spaced apart from one another. the other so that the notched edges of the sectors are constantly engaged, means of the form of arms also being provided, effectivement associés avec au moins un pivot de chaque paire de secteurs pour faire tour- ner les dits pivots et par conséquent les secteurs. effectively associated with at least one pivot of each pair of sectors to rotate said pivots and consequently the sectors. 6.- échine selon les revendications 5 et 5, dans la- quelle le pivot porté par l'une de chaque paire de secteurs s'étend à travers son palier de support jusque vers la came du même côté, et présente un bras radial fixe se terminant en une fourche dams laquelle un rouleau est monté de manière pouvoir tourner et ést poussé élastiquement par des moyens appropriés élastiques, contre un chemin de came qui s'étena latéralement de cette came, ce chemin de came présentant un tronçon sans effet qui s'étend dans un plan pratiquement parallèle à la face latérale du pilier, et un tronçon actif pratiquement dans un plan incliné par rapport à la dite face latérale du pilier, de telle sorte que le point de ce chemin de came qui est le plus éloigné de la dite face latérale au pilier, 6.- chine according to claims 5 and 5, in which the pivot carried by one of each pair of sectors extends through its support bearing to the cam on the same side, and has a fixed radial arm terminating in a fork in which a roller is mounted so as to be able to turn and is elastically pushed by suitable elastic means, against a cam track which extends laterally from this cam, this cam track having an ineffective section which s 'extends in a plane substantially parallel to the lateral face of the pillar, and an active section substantially in a plane inclined with respect to said lateral face of the pillar, so that the point of this cam track which is furthest from the said side face of the pillar, coïncide pratiquement avec le point de la surface cylindroidale qui est le plus éloigné de l'arbre d'entraîne- ment. <Desc/Clms Page number 55> substantially coincides with the point on the cylindroid surface which is furthest from the drive shaft. <Desc / Clms Page number 55> 7.- Machine selon n'importe laquelle des revendications précédentes, dans laquelle des moyens de support sont prévus pour la ou les extrémités au noyau, qui font saillie de la plaque lorsque le noyau est au-dessus de la cavité, les dits moyens de support comprenant un poteau présentant une tête ayant une partie plane et la moitié d'un accouplement à dents en un point voisin de son autre extrémité, accouplement des- tiné à venir en prise avec une deuxième moitié annulaire, munie d'un bras latéral et montée de manière à pouvoir tour- ner sur une partie amincie d'un bossage fixe par rapport au pilier et perforé pour recevoir l'extrémité libre du dit poteau, 7.- Machine according to any preceding claim, wherein support means are provided for the end or ends to the core, which protrude from the plate when the core is above the cavity, said means of support comprising a post having a head having a flat part and half of a toothed coupling at a point close to its other end, the coupling intended to engage with a second annular half, provided with a lateral arm and mounted so as to be able to turn on a thinned part of a fixed boss relative to the pillar and perforated to receive the free end of said post, des moyens d'actionnement étant prévus et reliés avec le dit bras latéral pour faire osciller la moitié annu- laire de l'accouplement et des moyens d'arrêt faisant saillie de la face frontale de la plaque pour empêcher la rotation du poteau. actuating means being provided and connected with said side arm to oscillate the annular half of the coupling and stop means projecting from the front face of the plate to prevent rotation of the post. 8.- Machine selon les revendications 4 et 7, dans la- quelle les moyens d' actionnement pour la moitié annulaire de l'accouplement à dents comprennentune tige d'actionnement accouplée à une extrémité à l'extrémité libre du bras laté- ral et à l'autre extrémité au bras d'un levier coudé pivoté sur un pivot saillant latéralement du pilier, 1!autre bras de ce levier est accouplé à un levier calé sur la tige cons- tituant le point d'appui de la barre de contrepoids, cette tige d'actionnement étant supportée de manière à pouvoir cou- lisser en un point intermédiaire par un support de guidage fixé à la face latérale du pilier. 8. Machine according to claims 4 and 7, in which the actuating means for the annular half of the toothed coupling comprise an actuating rod coupled at one end to the free end of the side arm and at the other end to the arm of an angled lever pivoted on a pivot projecting laterally from the pillar, the other arm of this lever is coupled to a lever wedged on the rod constituting the fulcrum of the counterweight bar , this actuating rod being supported so as to be able to slide at an intermediate point by a guide support fixed to the lateral face of the pillar. 9.- Machine selon n'importe laquelle des revendications précédentes, dans laquelle l'organe portant le noyau a la forme d'un révolver qui est monté de manière à pouvoir tour- <Desc/Clms Page number 56> ner sur un moyeu saillant d'un support et qui est muni de plusieurs bossages radiaux perforés axialement pour recevoir une extrémité des noyaux, des moyens étant prévus pour en- traîner par intermittence le revolver en forme de cloche de cabestan. 9. A machine according to any one of the preceding claims, wherein the member carrying the core has the shape of a revolver which is mounted so as to be able to turn. <Desc / Clms Page number 56> ner on a hub projecting from a support and which is provided with several radial bosses perforated axially to receive one end of the cores, means being provided for intermittently dragging the revolver in the form of a capstan bell. 10. - échine selon la revendication 9, dans laquelle les moyens d'entraînement intermittents comprennent une barre à mouvement de va-et-vient, montée de manière à pouvoir cou- 1 isser dans une rainure s'étendant transversalement par rap- port au dit arbre d'entraînement, cette rainure étant entail- lée dans la surface d'une tablette saillant latéralement du support pour la cloche du dispositif à revolver, surface qui est parallèle à la face annulaire inférieure de la cloche, cette surface portant un organe de blocage pouvant pivoter, destiné à coopérer avec une face de plusieurs dents formées sur la dite face annulaire, 10. A chine according to claim 9, wherein the intermittent drive means comprises a reciprocating bar, slidably mounted in a groove extending transversely of the neck. said drive shaft, this groove being cut into the surface of a shelf projecting laterally from the support for the bell of the gun device, a surface which is parallel to the lower annular face of the bell, this surface bearing a locking device capable of pivoting, intended to cooperate with one face of several teeth formed on said annular face, cette barre à mouvement de va- et-vient portant un cliquet destiné à coopérer avec une face différente des dites dents et pivoté sur l'extrémité de la aite barre, éloignée de l'arbre entraîné, et normalement déplacé par un ressort dans une position formant un angle avec la dite barre et vers un arrêt monté sur cette dernière, cette barre présentant également fixée à elle, en un point inter- méaiaire, une cheville pour actionner l'organe de blocage et étant reliée à son extrémité éloignée du cliquet, au moyen d'une tige réglable, à un levier oscillant mû par une came calée sur l'arbre d'entraînement. this reciprocating bar carrying a pawl intended to cooperate with a different face of said teeth and pivoted on the end of the bar, remote from the driven shaft, and normally moved by a spring in a position forming an angle with said bar and towards a stop mounted on the latter, this bar also having fixed to it, at an intermediate point, a pin for actuating the locking member and being connected to its end remote from the pawl, by means of an adjustable rod, to an oscillating lever driven by a cam wedged on the drive shaft. 11.- Machine selon l'une des revendications précédentes pour la fabrication de corps tubulaires du type dans lequel le joint entre les bords longitudinaux est réalisé au moyen d'une bande aistincte, caractérisée en ce qu'elle comporte er, <Desc/Clms Page number 57> combinaison au moins un appareil de formation muni d'une plaque présentant une cavité et des glissières complémen- taires, des moyens d'actionnement pour la plaque et pour les glissières comprenant un arbre entraîné, un support rota- tif pour le noyau, des moyens d'actionnement intermittents pour le support du noyau, entraînés à partir de l'arbre entraî- né, 11.- Machine according to one of the preceding claims for the manufacture of tubular bodies of the type in which the seal between the longitudinal edges is made by means of a separate strip, characterized in that it comprises er, <Desc / Clms Page number 57> combination of at least one training apparatus provided with a plate having a cavity and complementary slides, actuating means for the plate and for the slides comprising a driven shaft, a rotating support for the core, means intermittent actuation for supporting the core, driven from the driven shaft, un support pour le porte-noyau muni d'un moyeu cylindri- que d'une épaisseur légèrement plus grande que celle au porte- noyau, un bras allongé pour le bâti de la machine, supporté en un point intermédiaire par le dit moyeu et à une extrémité par un support, un dispositif d'application et/ou de fixation de l'organe d'emboîtement, monté sur le dit bras de manière à s'étendre au-dessus de la dite cavité, parallèlement à celle- ci et des moyens d'entraînement comprenant un pignon d'entraî- nement, une roue d'entraînement pour le dit dispositif, une roue de réduction et d'entraînement montée sur un arbre auxiliaire qui s'étend entre le support pour le châssis et une tablette saillant du support du porte-noyau et qui, près de cette tablette, porte une roue de transmission en prise avec une roue entraînée calée sur l'arbre entraîné, a support for the core holder provided with a cylindrical hub of a thickness slightly greater than that of the core holder, an elongated arm for the frame of the machine, supported at an intermediate point by said hub and at one end by a support, a device for applying and / or fixing the interlocking member, mounted on said arm so as to extend above said cavity, parallel to the latter and to the drive means comprising a drive pinion, a drive wheel for said device, a reduction and drive wheel mounted on an auxiliary shaft which extends between the support for the frame and a protruding shelf the support of the core holder and which, near this shelf, carries a transmission wheel meshing with a driven wheel wedged on the driven shaft, des moyens appropriés étant prévus pour transmettre de la force de la roue d'entraînement au dit dispositif. suitable means being provided for transmitting force from the drive wheel to said device. 12.- Machine selon la revendication 11, aaris laquelle les moyens reliant la roue d'entraînement et le dispositif de fixation, consistent en un arbre s'étendant le. long du bras principal du bâti de la machine, dont,une extrémité est fixée à la dite roue d'actionnement, tandis que l'autre extrémité porte un excentrique d'entraînement pour une tête de marteau destinée à, aplatir les organes d'emboîtement après qu'ils ont été appliqués au corps tubulaire. 12.- Machine according to claim 11, aaris which the means connecting the drive wheel and the fixing device, consist of a shaft extending on. along the main arm of the machine frame, one end of which is fixed to said actuating wheel, while the other end carries a drive eccentric for a hammer head intended to flatten the interlocking members after they have been applied to the tubular body. 13.- Machine selon la revendication 11, dans laquelle <Desc/Clms Page number 58> les moyens reliant la roue d'entraînement avec le dispositif d'application et de fixation, comprennent une came formée sur la face de la roue d'entraînement dirigée vers l'extrémité libre du bras principal du bâti de la machine, ou appliquée à cette face, un levier coudé pivoté sur le bras principal au bâti 'et dont un bras est muni d'un rouleau normalement maintenu contre cette came et dont l'autre bras est relié par une tige à un levier d'actionnement saillant du disposi- tif d'application et de fixation. 13. A machine according to claim 11, wherein <Desc / Clms Page number 58> the means connecting the drive wheel with the application and fixing device, comprise a cam formed on the face of the drive wheel directed towards the free end of the main arm of the frame of the machine, or applied to this face, an angled lever pivoted on the main arm to the frame 'and one arm of which is fitted with a roller normally held against this cam and the other arm of which is connected by a rod to an actuating lever projecting from the device application and fixing. 14.- Dispositif d'application et de fixation de l' orga- ne d'emboîtement, d'une machine selon les revendications 11 et lu, caractérisé en ce qu'il comporte une base, une partie corporelle saillant perpendiculairement de cette base et présentant un organe de support fixé de manière à pouvoir coulisser à une de ses faces, cet organe présentant une mâchoire montée de manière à pouvoir coulisser à. 14.- Device for applying and fixing the interlocking organ, of a machine according to claims 11 and read, characterized in that it comprises a base, a body part projecting perpendicularly from this base and having a support member fixed so as to be able to slide on one of its faces, this member having a jaw mounted so as to be able to slide. une extré- mité et une mâchoire oscillante montée de manière à. pouvoir pivoter sur la face de l'organe de support éloignée de la face de celui-ci dirigée vers la face correspondante de la partie corporelle, une nervure pendante saillant de la aite extrémité de l'organe de support entre les bords actifs des mâchoires, un ressort s'étendant entre la mâchoire oscillante et l'organe de support pour maintenir le bord actif de la dite mâchoire éloigné de la nervure pendante, un arbre passant axialement à travers la partie corporelle et présen- tant un levier d'actionnement calé sur son extrémité la plus près de la barre, un bras de soulèvement, monté librement sur cet arbre et accouplé au moyen d'une bielle, à l'organe de support, an end and an oscillating jaw mounted so as to. be able to pivot on the face of the support member remote from the face thereof directed towards the corresponding face of the body part, a pendant rib projecting from the aite end of the support member between the active edges of the jaws, a spring extending between the oscillating jaw and the support member to keep the active edge of said jaw away from the hanging rib, a shaft passing axially through the body part and presenting an actuating lever wedged on its end closest to the bar, a lifting arm, freely mounted on this shaft and coupled by means of a connecting rod, to the support member, un bras de traction monté librement sur le ait ar- bre et accouplé par un organe de connexion à la mâchoire <Desc/Clms Page number 59> coulissante, des accouplements à mouvement perdu entre le bras de soulèvement et l'arbre et entre ce dernier et le bras de traction pour permettre un mouvement relatif limité entre les parties ainsi appliquées, une came calée sur le ait arbre, un rouleau fixé de manière réglable à la face de la mâchoire oscillante près de l'organe-support et destiné à coopérer avec la dite came, un ressort s'étendant entre l'organe- support et le bras de traction'pour maintenir normalement la mâchoire coulissante près de la dite nervure pendante, a traction arm mounted freely on the shaft and coupled by a connecting member to the jaw <Desc / Clms Page number 59> sliding, lost motion couplings between the lifting arm and the shaft and between the latter and the traction arm to allow limited relative movement between the parts so applied, a cam wedged on the shaft, a roller fixed in such a way adjustable to the face of the oscillating jaw near the support member and intended to cooperate with said cam, a spring extending between the support member and the traction arm 'to normally maintain the sliding jaw near the said hanging rib, un arrét réglable pour limiter le mouvement de l'organe-support et une détente libérable pour retenir momentanément la mâ- choire coulissante dans une position éloignée de la nervure pendante. an adjustable stop to limit the movement of the support member and a releasable trigger to momentarily retain the sliding jaw in a position remote from the hanging rib. 15.- Dispositif selon la revendication 14, dans lequel l'organe de support présente une section transversale en for- me de L inversé dont le court bras s'étend au-dessus de l'une des surfaces de la partie corporelle, la nervure pendante étant placée à l'extrémité au bras le plus long à travers lequel passe l'arbre portant la mâchoire oscillante et qui est évidé de manière appropriée pour recevoir une protubéran- ce incurvée pour le dit arbre, formée sur la face de la dite mâchoire, voisine de l'organe de support. 15.- Device according to claim 14, wherein the support member has a cross section in the shape of an inverted L, the short arm of which extends above one of the surfaces of the body part, the rib. pendant being placed at the end of the longer arm through which the shaft carrying the oscillating jaw passes and which is suitably recessed to receive a curved protuberance for said shaft, formed on the face of said jaw , close to the support member. 18.- Dispositif selon les revendications 14 et 15, dans lequel l'organe de support est fixé à la face de la partie corporelle, perpendiculaire à la face sur laquelle s'étend le court bras, au moyen de guides en queue d'aronde qui se dépla- cent dans des rainures entaillées dans la dite face perpendi- culaire, parallèle au bras allongé, et dans lequel la mâchoire coulissante est fixée semblablement à l'extrémité du dit bras allongé par des guides se déplaçant dans des rainures trans- <Desc/Clms Page number 60> versales au dit bras allongé, 17.- Dispositif selon les revendications 14 et 16, dans lequel la détente libérable pour la mâchoire coulissante a la forme d'un doigt pivoté sur l'organe de connexion et dépla- cé normalement vers la partie corporelle par un ressort, 18.- Device according to claims 14 and 15, wherein the support member is fixed to the face of the body part, perpendicular to the face on which the short arm extends, by means of dovetail guides which move in grooves notched in said perpendicular face, parallel to the elongated arm, and in which the sliding jaw is similarly attached to the end of said elongated arm by guides moving in transverse grooves. <Desc / Clms Page number 60> versales with said extended arm, 17.- Device according to claims 14 and 16, wherein the releasable trigger for the sliding jaw has the form of a finger pivoted on the connection member and displaced normally towards the body part by a spring, le dit doigt étant placé de telle sorte que lorsque les parties sont au point initial de leur mouvement actif, le bout du doigt repose sur l'extrémité libre du bras allongé de l'organe de support ou sur une prolongation latérale de cet organe, un appui étant prévu sur la face de la partie corporelle parallèle à la dite extrémité libre et la plus près de cette extrémité, pour recevoir et supporter le bout du doigt de détente dans sa position retirée. said finger being positioned so that when the parts are at the initial point of their active movement, the fingertip rests on the free end of the elongated arm of the support member or on a lateral extension of this member, a support being provided on the face of the body part parallel to said free end and closest to this end, to receive and support the tip of the trigger finger in its withdrawn position. 18.- échine pour la fabrication de corps tubulaires selon l'une des revendications 1 à 13, dans laquelle une pla- que de support est prévue pour la feuille de la matière dont sera fait le corps, qui s'étend dans une direction perpendi- culaire à la surface active de la plaque de l'appareil de formation et qui passe librement à travers une rainure lon- gitudinale découpée dans la partie inférieure de la cavité et qui repose sur une came prévue sur l'arbre entraîné en un point juste au-dessuus de la dite rainure, le bord de la plaque de support, éloigné de la came présentant la même con- figuration que la partie de la cavité remplacée par la rainu- re et la largeur de la plaque de support, mesurée dans la direction de la hauteur du pilier,étant telle que lorsque le noyau est dans sa position active, 18. A chine for the manufacture of tubular bodies according to one of claims 1 to 13, in which a support plate is provided for the sheet of the material of which the body will be made, which extends in a perpendicular direction. - circular to the active surface of the plate of the forming apparatus and which passes freely through a longitudinal groove cut in the lower part of the cavity and which rests on a cam provided on the driven shaft at a precise point above said groove, the edge of the support plate, remote from the cam having the same configuration as the part of the cavity replaced by the groove and the width of the support plate, measured in the direction of the height of the pillar, being such that when the core is in its active position, le bord libre de la plaque est normalement à une distance de la surface du noyau, égale à l'épaisseur de la feuille de matière. <Desc/Clms Page number 61> the free edge of the plate is normally at a distance from the surface of the core, equal to the thickness of the sheet of material. <Desc / Clms Page number 61> 19.- Machine selon l'une des revendications 1 à 13, dans laquelle chaque glissière comprend un châssis en forme de U monté de manière à pouvoir coulisser sur son côté sur la plaque de l'appareil de formation, en ayant son embouchure de, dirigée vers la cavité, le brasU éloigné de la dite pla- que étant plus long en direction transversale à la cavité que le bras parallèle reposant sur la plaque,,, un sabot monté de manière à pouvoir coulisser entre les dits bras et élargi dans la partie se trouvant entre l'extrémité du bras court et la cavité, de manière à reposer sur la plaque, cette par- tie étant munie de moyens de connexion du type en queue d'aronde qui coulissent dans des rainures entaillées dans la surface de la plaque transversalement par rapport à la cavité, 19.- Machine according to one of claims 1 to 13, wherein each slide comprises a U-shaped frame mounted so as to be able to slide on its side on the plate of the training apparatus, having its mouth of, directed towards the cavity, the armU remote from said plate being longer in the direction transverse to the cavity than the parallel arm resting on the plate ,,, a shoe mounted so as to be able to slide between said arms and widened in the part located between the end of the short arm and the cavity, so as to rest on the plate, this part being provided with connection means of the dovetail type which slide in grooves cut into the surface of the plate transversely to the cavity, les dits sabots étant normalement poussés vers la cavité au moyen de ressorts logés entre le sabot et la paroi du châssis qui réunit les bras long et court, le sabot présen- tant, pour limiter son mouvement vers la cavité, des arrêts saillant se déplaçant dans des rainures ménagées dans la face interne du long bras du châssis. said shoes being normally pushed towards the cavity by means of springs housed between the shoe and the wall of the frame which unites the long and short arms, the shoe having, in order to limit its movement towards the cavity, protruding stops moving in grooves in the inner face of the long arm of the frame. 20.- Machine selon la revendication 19, dans laquelle la glissière présente une partie auxiliaire disposée entre la partie du sabot la plus près de la cavité et la surface interne du bras allongé du châssis et qui est normalement maintenue en position retirée par rapport au châssis (posi- tion dans laquelle le bord de la partie auxiliaire le plus près de la cavité forme la suite dubbord correspondant du bras allongé du châssis), par un ressort de traction s'éter dant entre la partie auxiliaire et un point approprié du châssis, la dite partie présentant, sur son extrémité éloi- gnée de la cavité, un arrêt saillant se déplaçant dans une <Desc/Clms Page number 62> rainure de la dite surface du bras allongé, et sur sa face éloignée de la dite surface, 20.- Machine according to claim 19, wherein the slide has an auxiliary part disposed between the part of the shoe closest to the cavity and the internal surface of the elongated arm of the frame and which is normally maintained in the withdrawn position relative to the frame. (position in which the edge of the auxiliary part closest to the cavity forms a continuation of the corresponding edge of the elongated arm of the chassis), by a tension spring acting between the auxiliary part and a suitable point on the chassis, said part having, on its end remote from the cavity, a protruding stop moving in a <Desc / Clms Page number 62> groove of said surface of the elongated arm, and on its face remote from said surface, une rainure destinée à recevoir la pointe d'une détente fixée à une tige s'étendant parallèle- ment à la cavité et à travers le sabot et portant à ses ex- trémités saillantes un petit levier calé sur la tige, des moyens élastiques étant prévus pour pousser normalement la dite détente vers la dite surface du châssis, le bord du bras le plus long du châssis le plus près de la: cavité étant in- cliné par rapport à la surface de la plaque dans laquelle la cavité est ménagée. a groove intended to receive the point of a trigger fixed to a rod extending parallel to the cavity and through the shoe and carrying at its projecting ends a small lever wedged on the rod, elastic means being provided to normally push said trigger towards said surface of the frame, the edge of the longer arm of the frame closest to the: cavity being inclined with respect to the surface of the plate in which the cavity is formed.