FR3070855A1

FR3070855A1 - Fauteuil roulant pour personne handicapee

Info

Publication number: FR3070855A1
Application number: FR1770954A
Authority: FR
Inventors: Eric Beau
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2017-09-12
Filing date: 2017-09-12
Publication date: 2019-03-15
Anticipated expiration: 2037-09-12
Also published as: FR3070855B1

Abstract

La présente invention concerne les fauteuils roulants, notamment pour personne handicapée. Ce fauteuil comporte essentiellement un châssis 10, un siège 11, une paire de roues 12 montées en rotation autour d'un axe 13, une petite roue 14 montée rotative par rapport au châssis 10 et située en avant Av de façon que les points de roulement 15, 16 des trois roues définissent un plan, un levier rigide 20 défini entre une première et une seconde extrémités 21, 22, la seconde 22 étant conformée en moyens de roulement, des moyens pour monter la première extrémité 21 autour d'un axe 23 perpendiculaire au plan 17 de façon que la seconde extrémité 22 soit située dans l'espace Ar et à une distance Di non nulle du plan 17, un repose-pied 30 et des moyens pour monter le repose-pied en coopération avec l'extrémité 22 de façon que sa surface de repos 31 soit parallèle au plan 17. Application, notamment, aux fauteuils roulants guidés et poussés par une personne accompagnatrice.

Description

FAUTEUIL ROULANT POUR PERSONNE HANDICAPEE

La présente invention concerne les fauteuils roulants, notamment pour personne handicapée, et plus particulièrement les fauteuils équipés de moyens qui aident à leur déplacement quand ils sont guidés et poussés par une personne accompagnatrice, lorsque l’état et/ou l’âge de la personne handicapée assise dans le fauteuil ne lui permettent pas de le faire ellemême.

Il est déjà connu des fauteuils pour personne handicapée équipés de moyens qui aident à leur déplacement, mais uniquement de façon qu’ils puissent être roulés et guidés par la personne handicapée.

En revanche, il n’existe réellement pas de fauteuil roulant équipé de moyens qui aident à son déplacement lorsqu’il est roulé et guidé par une personne accompagnatrice, c’est-à-dire une autre personne que la personne handicapée.

Il est vrai qu’il existe au moins un fauteuil qui comporte des moyens pour le faire rouler et le guider par une personne accompagnatrice, c’est-àdire une personne autre que la personne handicapée. Ce fauteuil comporte un véhicule auxiliaire qui est solidarisé à l’arrière du châssis du fauteuil, par exemple une bicyclette ou un vélomoteur ou analogue, ce qui rend sa structure très complexe et l’ensemble très onéreux. De plus, le véhicule auxiliaire doit obligatoirement être démonté pour que le fauteuil puisse être utilisé par la personne handicapée quand elle est seule.

Aussi, la présente invention a-t-elle pour but de pallier les inconvénients mentionnés ci-dessus des fauteuils roulants existant actuellement, en proposant un fauteuil roulant présentant une structure simple, peu onéreuse, qui ne rend pas le fauteuil inesthétique et qui lui permet d’être roulé et guidé, aussi bien par la personne handicapée ellemême que par une personne accompagnatrice.

Plus précisément, la présente invention a pour objet un fauteuil roulant, notamment pour personne handicapée, comportant :

• un châssis, • un siège pour recevoir une personne, ledit siège étant monté en coopération avec ledit châssis, • une paire de grandes roues, ces deux grandes roues étant montées en rotation autour d’un même premier axe de part et d’autre dudit châssis, et • au moins une petite roue de guidage, cette petite roue étant montée rotative par rapport au châssis et située en avant par rapport aux dites grandes roues de façon que les points de roulement des au moins trois roues définissent un premier plan dit “plan de roulement normal”, caractérisé par le fait qu’il comporte en outre :

• un levier rigide défini entre une première extrémité et une seconde extrémité conformée en moyens de roulement, • au moins un repose-pied avec une surface de repos sur laquelle peut reposer au moins un pied d’une personne accompagnatrice, • des moyens pour monter ledit repose-pied en coopération avec ladite seconde extrémité du levier de façon que ladite surface de repos dudit repose-pied soit sensiblement parallèle audit plan de roulement normal, et • des moyens pour monter la première extrémité du levier en rotation par rapport au châssis autour d’un deuxième axe sensiblement perpendiculaire au plan de roulement normal, de façon que :

(i) sa seconde extrémité soit apte à se situer dans l’espace sensiblement délimité par un plan passant par le premier axe et sensiblement perpendiculaire au plan de roulement normal, dans lequel ne se situe pas la au moins une dite petite roue, et que (ii) cette seconde extrémité du levier auquel est associé le repose-pied, soit à une distance non nulle du dit plan de roulement normal.

Selon une autre caractéristique de l’invention, le fauteuil comporte en outre des moyens de propulsion commandables montés en coopération avec le châssis.

D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront au cours de la description suivante donnée en regard des dessins annexés à titre illustratif, mais nullement limitatif, dans lesquels:

Les figures 1 et 2 représentent, de façon schématique, un mode de réalisation du fauteuil selon l’invention, respectivement dans deux états d’utilisation, la figure 1 représentant le fauteuil dans l’état dans lequel il est déplacé et guidé par la personne handicapée elle-même, la figure 2 représentant le fauteuil dans le cas où il est déplacé et guidé par une personne accompagnatrice, par exemple valide ou relativement valide, qui aide au déplacement de la personne handicapée assise dans le fauteuil.

Il est tout d'abord précisé que, sur les figures, les mêmes références désignent les mêmes éléments, quelle que soit la figure sur laquelle elles apparaissent et quelle que soit la forme de représentation de ces éléments.

De même, si des éléments ne sont pas spécifiquement référencés sur l’une des figures, leurs références peuvent être aisément retrouvées en se reportant à l’autre figure.

Il est aussi précisé que les figures ne représentent qu’un seul mode de réalisation de l’objet selon l’invention, mais qu’il peut en exister d’autres qui répondent à la définition de cette invention.

Il est en outre précisé que, lorsque, selon la définition de l’invention, l’objet de l’invention comporte “au moins un” élément ayant une fonction donnée, le mode de réalisation décrit peut comporter plusieurs de ces éléments. Réciproquement, si le mode de réalisation de l’objet selon l’invention tel qu’illustré comporte plusieurs éléments de fonction identique et si, dans la description, il n’est pas spécifié que l’objet selon cette invention doit obligatoirement comporter un nombre particulier de ces éléments, l’objet de l’invention pourra être défini comme comportant “au moins un” de ces éléments.

Il est précisé que lorsque, dans la présente description, une expression définit à elle seule, sans mention particulière spécifique la concernant, un ensemble de caractéristiques structurelles, ces caractéristiques peuvent être prises, pour la définition de l'objet de la protection demandée, quand cela est techniquement possible, soit séparément, soit en combinaison totale et/ou partielle.

Il est enfin précisé que, dans la présente description, si l'adverbe sensiblement est associé à un qualificatif d'un moyen donné, ce qualificatif doit être compris au sens strict ou approché.

Il est en outre souligné que, dans la présente description les qualificatifs “grande”, “petite” et “moyenne” associés aux roues n’ont qu’un but d’identification et de référencement des roues que comporte un fauteuil roulant selon l’invention. Ces qualifications ne doivent pas obligatoirement être prises comme définissant des grandeurs relatives, bien que, dans la majorité des réalisations, ce soit vrai.

En référence aux deux figures 1 et 2, la présente invention concerne un fauteuil roulant pour personne handicapée, plus particulièrement un fauteuil roulant équipé de moyens qui aident à son déplacement quand il est guidé et poussé par une personne accompagnatrice, soit une personne autre que la personne handicapée, que cette personne accompagnatrice soit valide ou moyennement valide.

Le fauteuil roulant comporte, de façon connue, un châssis 10, un siège 11 pour recevoir la personne handicapée, ce siège étant monté en coopération avec le châssis, une paire de grandes roues 12, par exemple à rayons ou analogues, ces deux grandes roues étant montées en rotation autour d’un même premier axe 13 de part et d’autre du châssis 10, et au moins une petite roue de guidage 14, cette petite roue étant montée rotative par rapport au châssis 10 et située en avant Av par rapport aux grandes roues 12, les points de roulement 15, 16 des au moins trois roues définissant un premier plan dit “plan de roulement normal” 17.

Selon une caractéristique essentielle de l’invention, le fauteuil comporte en outre, figures 1 et 2, un levier 20 défini entre une première extrémité 21 et une seconde extrémité 22, cette dernière étant conformée en moyens de roulement, au moins un repose-pied 30 avec une surface de repos 31 sur laquelle peut reposer au moins un pied d’une personne accompagnatrice, et des moyens pour monter de façon directe ou indirecte le repose-pied en coopération avec la seconde extrémité 22 du levier de façon que la surface de repos 31 soit parallèle, ou sensiblement parallèle, au plan de roulement normal 17 défini ci-avant.

Le fauteuil comporte en outre des moyens pour monter la première extrémité 21 du levier 20 en rotation par rapport au châssis 10 autour d’un deuxième axe 23 sensiblement perpendiculaire au plan de roulement normal

17, avantageusement en un point du châssis situé sensiblement entre les deux grandes roues 12, de façon que sa seconde extrémité 22 soit apte à se situer constamment dans l’espace Ar sensiblement délimité par un plan passant par le premier axe 13 et sensiblement perpendiculaire au plan de roulement normal 17, dans lequel ne se situe pas la au moins une petite roue 14 (pour que cette seconde extrémité puisse balayer l’espace Ar dans un plan parallèle au plan de roulement normal 17, dans un angle par exemple de cent degrés), et que, lorsque au moins la personne handicapée est assise sur le siège 11, cette seconde extrémité 22 du levier 20 à laquelle est associé le repose-pied 30 soit à une distance Di non nulle de ce plan de roulement normal 17.

Il est ainsi précisé que, notamment la masse du levier 20 et du repose-pied 30, la longueur du levier y compris les moyens pour monter sa première extrémité 21 en rotation par rapport au châssis 10, seront définis par l’homme du métier de façon que, si aucune personne se trouve sur le repose pied 30, la seconde extrémité 22 du levier soit constamment à la distance Di telle que définie ci-avant.

De façon préférentielle, le fauteuil comporte en outre des moyens de propulsion commandables montés en coopération, de façon directe ou indirecte, avec le châssis 10. Un mode de réalisation avantageux de ces moyens de propulsion commandables sera donné ci-après.

La seconde extrémité 22 du levier 20 conformée en moyens de roulement peut être réalisée de différentes façons (une simple bille, une chenille, etc.). Mais elle est avantageusement constituée d’une roue dite “roue moyenne” 25, figures 1 et 2, montée en coopération de rotation par rapport au levier autour d’un troisième axe 26 sensiblement parallèle au plan de roulement normal 17.

Quant aux moyens de propulsion commandables, ils peuvent eux aussi être réalisés de différentes façons. Mais, ils sont avantageusement constitués d’un moteur d’entraînement commandable monté en coopération avec la roue moyenne 25 pour l’entraîner en rotation autour du troisième axe 26. De façon préférentielle, pour des raisons d’encombrement et d’esthétique, le moteur d’entraînement commandable et avantageusement les moyens pour l’alimenter en énergie, comme des batteries, sont intégrés dans la roue moyenne 25.

De façon aussi préférentielle, les moyens pour monter la première extrémité 21 du levier 20 en rotation autour du deuxième axe 23 sont constitués d’une rotule 40 à un seul degré de rotation, comportant deux parties 41, 42, donc reliées entre elles par un seul axe de rotation, à savoir le troisième axe 23, l’une des deux parties 41 de la rotule étant montée solidaire du châssis 10 avantageusement par des moyens d’accrochage/décrochage, l’autre partie 42 de la rotule étant solidaire, ou faisant partie intégrante, de la première extrémité 23 du levier 20.

De façon avantageuse, les moyens d’accrochage/décrochage comportent par exemple des pattes aptes à s’accrocher avec au moins une portion du châssis au moyen de vis amovibles de façon que le levier puisse être facilement monté sur le châssis 10, ou démonté si nécessaire ou selon les besoins.

Le fauteuil comporte en outre, de façon connue en elle-même, au moins une poignée 50 solidaire du châssis 10, apte à être saisie par la personne accompagnatrice (schématiquement représentée et référencée par Pe) lorsqu’au moins un de ses pieds repose sur la surface de repos 31.

Le fauteuil selon l’invention s’utilise et fonctionne comme suit :

Il est présumé que le levier 20 est monté sur le châssis comme décrit ci-avant, et qu’aucune personne ne pose un pied ou ses pieds sur le reposepied ou les repose-pieds 30. De par la structure du fauteuil, la petite roue de guidage 14, ou les petites roues de guidage 14 quand elles sont au nombre de deux, reposent sur la surface du sol 17’, le plan de roulement normal 17 étant alors confondu avec la surface du sol, figure 1. Quant à la roue moyenne 25, elle est à la distance Di du sol 17’.

Lorsque le fauteuil roulant est dans cet état, la personne handicapée peut le conduire elle-même, comme elle le fait habituellement, par exemple en faisant tourner et pivoter les grandes roues 12, ou éventuellement à l’aide d’un joystick de façon connue quand elles sont motorisées, les petites roues 14 reposant sur le sol.

En revanche, quand, pour quelques raisons que ce soit, la personne handicapée ne peut pas, par exemple à cause de la nature du sol ou de son état de santé ou parce qu’elle ne veut pas conduire elle-même son fauteuil, elle peut faire appel à une personne accompagnatrice Pe. Cette personne accompagnatrice peut pousser et guider le fauteuil comme cela se fait d’habitude.

Mais, avec le fauteuil selon l’invention, elle peut monter sur le(s) repose-pied(s) 30 et tenir le fauteuil par la ou les poignées 50.

Le poids de cette personne Pe exercé sur la seconde extrémité 22 du levier 20 entraîne une rotation du levier (dans le sens dextrorsum De par référence à la représentation sur les figures 1 et 2) jusqu’à ce que la roue moyenne 25 repose sur le sol 17’ par son point 18 et du châssis 10 autour de l’axe de roulement 13 des grandes roues qui, elles, restent au contact en 15 avec le sol 17’. En revanche, les petites roues 14 se soulèvent et ne touchent plus le sol 17’, le plan de roulement 17, faisant alors, avec le plan du sol, un angle non nul, cf. la figure 2. La valeur de cet angle non nul dépend de la configuration structurelle du levier 20 et de son montage sur le châssis 10, le choix de cette configuration étant du domaine de l’homme du métier.

Lorsque le fauteuil est dans cet état, la personne accompagnatrice Pe peut commander la motorisation de la roue moyenne 25 et peut guider, en agissant sur les poignées 50, l’orientation du fauteuil grâce à la présence de la rotule 40 et de son axe de rotation 23.

De cette façon, ce que les fauteuils roulant de l’art antérieur ne permettent pas, la personne accompagnatrice Pe, valide ou même ayant un handicap léger, peut accompagner la personne handicapée assise dans le fauteuil et parcourir avec elle, sans se fatiguer et en toute sécurité, des chemins sur de relativement longues distances, ou des chemins sur un sol 17’ qui peut comporter des obstacles comme des pierres, du sable, des ornières, etc., qui ne sont pas de réels obstacles à l’avancement du fauteuil puisque les roues 12 et 25 peuvent être de relativement grand diamètre et même montées sur des pneumatiques, puisque les petites roues avant sont alors soulevées et ne prennent plus contact avec le sol 17’.

Bien entendu, si cela est nécessaire, le levier 20 peut être facilement découplé du châssis 10 pour utiliser le fauteuil de façon habituelle, bien qu’il puisse être laissé en place du fait de son faible encombrement, et sans réellement nuire à l’esthétique du fauteuil, ce que ne permettent pas les 5 fauteuils de l’art antérieur.

Aux descriptions structurelle et fonctionnelle faites ci-dessus, il apparaît aisément que les buts de l’invention mentionnés au préambule de la présente description sont bien atteints.

Claims

REVENDICATIONS

1. Fauteuil roulant, notamment pour personne handicapée, comportant • un châssis (10), • un siège (11) pour recevoir une personne, ledit siège étant monté en coopération avec ledit châssis, • une paire de grandes roues (12), ces deux grandes roues étant montées en rotation autour d’un même premier axe (13) de part et d’autre dudit châssis (10), et • au moins une petite roue de guidage (14), cette petite roue étant montée rotative par rapport au châssis (10) et étant située en avant (Av) par rapport aux dites grandes roues (12) de façon que les points de roulement (15, 16) des au moins trois roues définissent un premier plan dit “plan de roulement normal” (17), caractérisé par le fait qu’il comporte en outre :

• un levier rigide (20) défini entre une première extrémité (21) et une seconde extrémité (22) conformée en moyens de roulement, • au moins un repose-pied (30) avec une surface de repos (31) sur laquelle peut reposer au moins un pied d’une personne accompagnatrice, • des moyens pour monter ledit repose-pied en coopération avec ladite seconde extrémité (22) du levier de façon que ladite surface de repos (31) dudit repose-pied (30) soit sensiblement parallèle audit plan de roulement normal (17), et • des moyens pour monter la première extrémité (21) du levier (20) en rotation par rapport au châssis (10) autour d’un deuxième axe (23) sensiblement perpendiculaire au plan de roulement normal (17), de façon que :

(i) sa seconde extrémité (22) soit apte à se situer dans l’espace (Ar) sensiblement délimité par un plan passant par le premier axe (13) et sensiblement perpendiculaire au plan de roulement normal (17), dans lequel ne se situe pas la au moins une dite petite roue (14), et que (ii) cette seconde extrémité (22) du levier (20) à laquelle est associé le repose-pied (30), soit à une distance (Di) non nulle du dit plan de roulement normal (17).
2. Fauteuil selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu’il comporte en outre des moyens de propulsion commandables montés en coopération avec ledit châssis.
3. Fauteuil selon l’une des revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que la seconde extrémité (22) du levier (20) conformée en moyens de roulement est constituée d’une roue dite “roue moyenne” (25), ladite roue moyenne étant montée en coopération de rotation par rapport audit levier autour d’un troisième axe (26) sensiblement parallèle au plan de roulement normal (17).
4. Fauteuil selon la revendication 3 quand elle dépend de la revendication 2, caractérisé par le fait que les moyens de propulsion commandables sont constitués par un moteur d’entraînement commandable monté en coopération avec ladite roue moyenne (25) pour l’entraîner en rotation autour dudit troisième axe (26).
5. Fauteuil selon la revendication 4, caractérisé par le fait que ledit moteur d’entraînement commandable est intégré dans ladite roue moyenne (25).
6. Fauteuil selon l’une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les moyens pour monter la première extrémité (21) du levier (20) en rotation autour du deuxième axe (23) sont constitués par une rotule (40) comportant deux parties (41, 42) reliées entre elles par un seul axe de rotation, à savoir ledit troisième axe (23), l’une des deux parties (41) de la rotule étant montée solidaire du châssis (10) par des moyens d’accrochage/décrochage, l’autre partie (42) de la rotule étant solidaire de la première extrémité (23) du levier (20).
7. Fauteuil selon la revendication 6, caractérisé par le fait que les moyens d’accrochage/décrochage comportent des pattes aptes à s’accrocher avec au moins une portion du châssis au moyen de vis

5 amovibles.
8. Fauteuil selon l’une des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu’il comporte au moins une poignée (50) solidaire du châssis, apte à être saisie par la personne accompagnatrice (Pe) dont au moins un pied
10 repose sur ladite surface de repos (31 ).

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