FR3065406A1 - Module d'accoudoir a fixer sur le dossier d'un siege de vehicule automobile - Google Patents
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Abstract
Un module d'accoudoir (10) pour siège de véhicule automobile (1) comprend un bras d'accoudoir (12) destiné à supporter le bras d'un occupant d'un siège de véhicule automobile (1), une bielle (14), fixée de manière rotative au bras d'accoudoir (12), au voisinage d'une première extrémité (14a) de la bielle (14), autour d'un axe sensiblement transversal par rapport au siège de véhicule automobile (1), et destinée à être fixée de manière rotative, au voisinage de la deuxième extrémité (14b) de la bielle (14), autour d'un axe sensiblement transversal par rapport au siège de véhicule automobile (1), à une armature de dossier (4) du siège de véhicule automobile (1).
Description
Domaine technique
La présente invention concerne un module d’accoudoir à fixer sur le dossier d’un siège de véhicule automobile et un siège de véhicule automobile muni d’un tel module d’accoudoir.
État de la technique
Dans le domaine automobile, il est connu un siège de véhicule automobile comprenant une assise et un dossier, le dossier étant monté pivotant par rapport à l’assise autour d’un axe de direction transversale par rapport au siège.
Il est connu de munir ce type de siège de véhicule automobile d’un accoudoir permettant à un occupant du siège de reposer son bras sur l’accoudoir.
Un tel accoudoir est généralement monté sur le dossier, apte à pivoter autour d’un axe de direction transversale par rapport au siège.
Cette seule rotation de l’accoudoir ne permet pas de garantir le confort de l’occupant du siège de véhicule.
Résumé de l’invention
L’objectif de la présente invention est donc de fournir un module d’accoudoir pour siège de véhicule automobile visant à améliorer le confort de son occupant.
Ce but de l’invention est atteint au moyen d’un module d’accoudoir pour siège de véhicule automobile, comprenant :
- un bras d’accoudoir destiné à supporter le bras d’un occupant d’un siège de véhicule automobile, et
- une bielle, fixée de manière rotative au bras d’accoudoir, au voisinage d’une première extrémité de la bielle, autour d’un axe sensiblement transversal par rapport au siège de véhicule automobile, et destinée à être fixée de manière rotative, au voisinage d’une deuxième extrémité de la bielle, autour d’un axe sensiblement transversal par rapport au siège de véhicule automobile, à une armature de dossier du siège de véhicule automobile.
Ainsi, avantageusement, les deux liaisons pivots, entre la bielle et l’armature de dossier, d’une part, et entre la bielle et le bras d’accoudoir, d’autre part, permettent de réaliser une plus grande variété de positions de réglage du bras d’accoudoir. Ainsi, l’occupant a plus de possibilités de trouver une position de l’accoudoir qui lui confère le confort recherché qu’avec un accoudoir de l’art antérieur.
Selon des modes de réalisations préférés, le module d’accoudoir selon l’invention présente une ou plusieurs des caractéristiques suivantes, prises seules ou en combinaison :
- le bras d’accoudoir est de longueur réglable ;
- le bras d’accoudoir a un premier et un deuxième membres, le deuxième membre étant apte à être translaté par rapport au premier membre ;
- le module d’accoudoir comprend en outre une interface homme-machine sur le bras d’accoudoir ;
- l’interface homme-machine est sur le deuxième membre du bras d’accoudoir, de préférence au voisinage d’une extrémité avant du deuxième membre du bras d’accoudoir ;
- au moins l’un parmi, de préférence tous parmi,
- l’angle entre la bielle et l’armature de dossier,
- l’angle entre la bielle et le bras d’accoudoir, et
- la longueur du bras d’accoudoir, est/sont modifiable/s ;
- au moins l’un parmi, de préférence chacun parmi,
- l’angle entre la bielle et l’armature de dossier,
- l’angle entre la bielle et le bras d’accoudoir, et
- la longueur du bras d’accoudoir, est modifiable au moyen d’une commande mécanique, d’une commande électrique, ou d’une combinaison d’une commande mécanique et d’une commande électrique ;
- au moins l’un parmi, de préférence chacun parmi,
- l’angle entre la bielle et l’armature de dossier,
- l’angle entre la bielle et le bras d’accoudoir, et
- la longueur du bras d’accoudoir, est modifiable mécaniquement, notamment manuellement, et est maintenu en position ou, au contraire, libéré par une commande mécanique, une commande électrique ou une combinaison d’une commande mécanique et d’une commande électrique.
L’invention se rapporte par ailleurs à un siège de véhicule automobile comprenant :
- une assise avec une armature d’assise,
- un dossier avec une armature de dossier, et
- un module d’accoudoir tel que décrit ci-avant dans toutes ses combinaisons, la bielle étant fixée de manière rotative, au voisinage de la deuxième extrémité, à l’armature de dossier du siège de véhicule automobile.
L’armature de dossier peut être montée rotative par rapport à l’armature d’assise, autour d’un axe sensiblement transversale du siège de véhicule automobile.
L’armature d’assise peut comporter des pieds et des glissières tels que la position des pieds dans les glissières est modifiable par translation.
Brève description des figures
D’autres aspects, buts et avantages de l’invention apparaîtront à la lecture de la description qui suit, qui se rapporte aux dessins ci-annexés parmi lesquels les figures 1 et 2 représentent schématiquement une vue de côté d’un exemple de siège de véhicule automobile muni d’un module d’accoudoir dans deux positions différentes, données à titre d’exemples illustratifs uniquement.
Description détaillée
La figure 1 illustre un siège 1 de véhicule automobile. Le siège 1 comporte un dossier 2 et une assise 3. Le dossier 2 comporte une armature de dossier 4. L’assise 3 comporte une armature d’assise 5. L’armature de dossier 4 est montée sensiblement selon une liaison pivot autour d’un axe D, sur l’armature d’assise 5. L’armature d’assise 5 peut elle-même être montée sur le plancher 6 du véhicule automobile, par exemple par l’intermédiaire de glissières 7 du siège 1. En l’espèce, l’armature d’assise 5 comporte des pieds 8 qui sont reçus dans les glissières 7, de manière que la position des pieds 8 dans les glissières 7 puisse être modifiée par translation selon la direction F d’avancement normal du véhicule automobile. Ainsi, on peut régler la position du siège par rapport au volant (non représenté) du véhicule automobile, selon une direction longitudinale du véhicule automobile correspondant à la direction F d’avancement du véhicule automobile en fonctionnement normal. La hauteur des pieds 8 peut également être réglable.
Un dispositif d’articulation 9 permet ici de régler rinclinaison de l’armature de dossier 4 par rapport à l’armature d’assise 5 et de bloquer rinclinaison de l’armature de dossier 4. Un tel dispositif d’articulation 9 est bien connu de l’homme du métier. Par conséquent, à fin de concision de la présente description ce dispositif d’articulation 9 n’est pas décrit plus en détails ici.
Par ailleurs, le siège 1 est muni d’un module d’accoudoir 10.
Un tel module d’accoudoir 10 comprend essentiellement un bras d’accoudoir 12 destiné à supporter le bras d’un occupant du siège 1 de véhicule automobile et une bielle
14.
Par bielle, on entend ici toute pièce mécanique rigide adaptée à relier deux autres pièces mécaniques de manière que ces deux autres pièces mécaniques soient mobiles l’une par rapport à l’autre. Une bielle peut en particulier présenter, ou consister en, une portion s’étendant selon une direction principale d’extension, entre deux extrémités. Une bielle présente de préférence des dimensions fixes.
La bielle 14 est ici fixée au voisinage d’une première extrémité 14a, la plus en avant selon la direction F d’avancement normal du véhicule automobile, au bras d’accoudoir 12. À cette première extrémité 14a, la bielle est montée rotative sur le bras d’accoudoir 12, autour d’un axe sensiblement parallèle à une direction T transversale par rapport au siège 1. Cette direction transversale T est par exemple celle d’une droite normale au plan médian ou de symétrie du siège 1, plan contenant la direction F d’avancement normal du véhicule automobile. Par exemple, un premier pivot 16 d’axe parallèle à la direction transversale T est formé entre la bielle 14 et le bras d’accoudoir 12 au niveau de cette première extrémité 14a de la bielle 14, pour permettre la rotation relative de la bielle 14 par rapport au bras d’accoudoir 12.
À sa deuxième extrémité 14b, opposée à la première extrémité 14a et donc située la plus en arrière selon la direction F d’avancement normal du véhicule, la bielle 14 est fixée sur l’armature de dossier 4. Ici, à cette deuxième extrémité 14b, la bielle est rotative par rapport à l’armature de dossier 4, autour d’un axe sensiblement parallèle à la direction transversale T. Par exemple, un deuxième pivot 18, d’axe parallèle à la direction transversale T, est formé entre la bielle 14 et l’armature de dossier 4, au niveau de cette deuxième extrémité 14b de la bielle 14, pour permettre la rotation relative de la bielle 14 par rapport à l’armature de dossier 4.
Avec un tel module, l’inclinaison et la hauteur du bras d’accoudoir peuvent être réglés, en particulier de manière indépendante en ce sens qu’à une hauteur du bras d’accoudoir 12 peut correspondre plusieurs inclinaisons possibles du bras d’accoudoir 12. L’orientation de la bielle 14 dans le plan des figures 1 et 2, permet par exemple de définir la hauteur du bras d’accoudoir 12, tandis qu’en réglant l’orientation relative du bras d’accoudoir 12 par rapport à la bielle 14, toujours dans le plan des figures 1 et 2, l’occupant peut régler l’assiette du bras d’accoudoir recevant le bras de l’occupant. Le module d’accoudoir 10 permet ainsi d’obtenir une plus grande variété de réglages de la position du bras d’accoudoir 12, permettant ainsi d’améliorer le confort de l’occupant.
Il est rappelé que l’assiette - ou assiette longitudinale - du bras d’accoudoir 12 est, par définition, l’inclinaison d’un axe longitudinal du bras d’accoudoir 12 par rapport à un plan horizontal.
Par ailleurs, pour augmenter encore la variété de réglages possibles du module d’accoudoir 10, celui-ci a, selon l’exemple des figures 1 et 2, un bras d’accoudoir 12 de longueur réglable. Pour ce faire, ici, le bras d’accoudoir 12 a un premier membre 20 et un deuxième membre 22, tels que le deuxième membre 22 est apte à être translaté par rapport au premier membre 20. Par exemple, les premier et deuxième membres 20, 22 peuvent former une glissière, c'est-à-dire que le deuxième membre 22 ne peut qu’être translaté par rapport au premier membre 20, une portion du deuxième membre 22 étant par exemple reçu apte à être translaté dans une rainure complémentaire formée dans le premier membre 20. Ceci peut aussi être réalisé, par exemple, au moyen de premier et deuxième membres 20, 22 télescopiques. De manière générale, le premier et le deuxième membres 20, 22 peuvent être mobiles l’un par rapport à l’autre selon une direction longitudinale du bras d’accoudoir 12, correspondant par exemple à une direction longitudinale commune des premier et deuxième membres 20, 22.
Le module d’accoudoir 10 comporte également, selon l’exemple des figures 1 et 2, une interface homme-machine 24. Cette interface homme-machine 24 est par exemple au voisinage de l’extrémité la plus en avant, selon la direction L d’avancement normal du véhicule automobile, du bras d’accoudoir 12. En particulier, dans l’exemple illustré aux figures 1 et 2, l’interface homme-machine 24 est au voisinage de l’extrémité la plus en avant du deuxième membre 22 du bras d’accoudoir 12.
Cette interface homme-machine 24 peut notamment comporter des commandes, en particulier des commandes électriques :
de réglage de la position du siège 1, notamment de la position des pieds 8 dans les glissières 7, de la hauteur des pieds 8, de l’inclinaison relative de l’armature de dossier 4 par rapport à l’armature d’assise 5 autour de leur axe D de pivotement relatif ;
de réglage de la position du module d’accoudoir 10, notamment quand le réglage de ce dernier est réalisé à l’aide d’actionneurs ; de réglage de tout autre paramètre dans le véhicule automobile, comme par exemple le réglage de l’autoradio, du GPS, de la position des rétroviseurs extérieurs, du rétroviseur intérieur, de la position du volant par rapport au tableau de bord ;
des commandes telles que la fermeture centralisée des portières, le déclenchement des feux de détresse, ou toute autre commande accessible à l’homme de l’art.
Ainsi, le réglage en position amélioré du module d’accoudoir 10 permet à l’occupant du siège 1 d’accéder plus aisément à ces commandes et/ou réglages, améliorant de la sorte, encore d’avantage, le confort d’utilisation du véhicule automobile pour l’occupant du siège. Ceci est encore plus vrai quand le bras d’accoudoir 12 est de longueur réglable et reçoit l’interface homme-machine 24 au voisinage de son extrémité avant, dans le sens F de fonctionnement normal du véhicule.
Comme cela est visible sur les figures, le module d’accoudoir 10 présente trois degrés de réglage en position - c'est-à-dire trois paramètres réglables/modifiables selon l’exemple illustré sur les figures 1 et 2, à savoir :
l’angle a de rotation relative de la bielle 14 par rapport à l’armature de dossier 4 ;
l’angle β de rotation relative de la bielle 14 par rapport au bras d’accoudoir 12 ; et la longueur X du bras d’accoudoir 12.
Il est à noter que ces trois degrés de réglage sont dans le plan des figures 1 et 2, c'est-à-dire dans un plan parallèle au plan médian du siège de véhicule automobile 1. Le module d’accoudoir 10 peut comporter ou, au contraire, être dépourvu de tout autre degré de réglage, notamment de tout degré de réglage provoquant un mouvement du module d’accoudoir 10 hors d’un plan parallèle au plan médian du siège de véhicule automobile 1.
Selon un premier exemple de réalisation, ces trois degrés de réglage α, β, X sont modifiables au moyen de commandes électriques, notamment au moyen de l’interface homme-machine 24. Ceci est possible, notamment, lorsque les trois degrés de réglage a, β et X sont modifiables à l’aide d’actionneurs à commande électrique. Les actionneurs peuvent notamment être des moteurs, en particulier des moteurs électriques, des vérins, en particulier des vérins électriques ou des vérins pneumatiques à commande électrique, ou tout autre actionneur accessible à l’homme de l’art.
Dans ce cas, le maintien en position relative de la bielle 14 par rapport à l’armature de dossier 4 et par rapport au bras d’accoudoir 12, ainsi que le maintien de la longueur X du bras d’accoudoir, peuvent être réalisés de différentes manières accessibles à l’homme de l’art. Notamment, ces maintiens en position peuvent être mécaniques, des frottements ou des butées dans les actionneurs mis en jeu pour régler les degrés de réglage assurant alors ces maintiens en position. Alternativement, ce maintien peut être réalisé à l’aide d’actionneurs électriques. Notamment, un électroaimant peut sélectivement être mis en œuvre pour permettre ou au contraire empêcher un ou plusieurs, notamment tous les degrés de réglage d’être modifiés, simultanément ou non.
Selon une variante, la modification des degrés de réglage est réalisée au moyen de commandes mécaniques. Par exemple, ces commandes mécaniques peuvent comporter un ou plusieurs leviers et/ou roues dentées. Alternativement, en l’absence de commandes mécaniques, la modification des degrés de réglage peut être réalisée manuellement en agissant directement :
- sur la bielle, notamment pour en modifier l’inclinaison par rapport à l’armature de dossier, et/ou
- sur le bras d’accoudoir pour le faire pivoter par rapport à la bielle, et/ou
- sur le deuxième membre du bras d’accoudoir, pour le faire translater par rapport au premier membre.
Dans les deux dernier cas évoqués, le maintien en position de la bielle et du bras d’accoudoir et le maintien de la longueur du bras d’accoudoir 12 peuvent être réalisés mécaniquement, en l’absence d’action de l’occupant pour modifier les degrés de réglage. Notamment, des frottements ou des butées peuvent être mises en jeu dans ce cas. Selon une autre variante, un dispositif mécanique de commande de blocage en position d’un ou plusieurs degrés de réglage peut être prévu. Celui-ci peut également prendre la forme d’un levier, d’une roue dentée ou d’un bouton poussoir. Alternativement un dispositif électrique de commande de blocage en position d’un ou plusieurs degrés de réglage peut également être mis en œuvre dans ce cas.
Selon encore une autre variante, les degrés de réglages peuvent également être modifiés par une combinaison de commande(s) électrique(s) et mécanique(s).
La présente invention n’est pas limitée au seul mode de réalisation qui vient d’être décrit mais est au contraire susceptible de nombreuses variantes accessibles à l’homme de l’art.
i
Claims (10)
- REVENDICATIONS1. Module d’accoudoir (10) pour siège de véhicule automobile (1), comprenant :- un bras d’accoudoir (12) destiné à supporter le bras d’un occupant d’un siège de5 véhicule automobile (1), et une bielle (14), fixée de manière rotative au bras d’accoudoir (12), au voisinage d’une première extrémité (14a) de la bielle (14), autour d’un axe sensiblement transversal par rapport au siège de véhicule automobile (1), et destinée à être fixée de manière rotative, au voisinage d’une deuxième extrémité (14b) de la10 bielle (14), autour d’un axe sensiblement transversal par rapport au siège de véhicule automobile (1), à une armature de dossier (4) du siège de véhicule automobile (1).
- 2. Module d’accoudoir selon la revendication 1, dans lequel le bras d’accoudoir15 (12) est de longueur réglable.
- 3. Module d’accoudoir selon la revendication 2, dans lequel le bras d’accoudoir (12) a un premier (20) et un deuxième (22) membres, le deuxième membre (22) étant apte à être translaté par rapport au premier membre (20).
- 4. Module d’accoudoir selon l’une des revendications 1 à 3, comprenant en outre une interface homme-machine (24) sur le bras d’accoudoir (12).
- 5. Module d’accoudoir selon les revendications 3 et 4, dans lequel l’interface25 homme-machine est sur le deuxième membre (22) du bras d’accoudoir (12), de préférence au voisinage d’une extrémité avant du deuxième membre (22) du bras d’accoudoir (12).
- 6. Module d’accoudoir selon l’une quelconque des revendications précédentes,30 dans lequel au moins l’un parmi, de préférence tous parmi, l’angle (a) entre la bielle (14) et l’armature de dossier (4), l’angle (β) entre la bielle (14) et le bras d’accoudoir (12), et la longueur (X) du bras d’accoudoir (12), est/sont modifiable/s.
- 7. Module d’accoudoir selon la revendication 6, dans lequel au moins l’un parmi, de préférence chacun parmi, l’angle (a) entre la bielle (14) et l’armature de dossier (4), l’angle (β) entre la bielle (14) et le bras d’accoudoir (12), et la longueur (I) du bras d’accoudoir (12), est modifiable au moyen d’une commande mécanique, d’une commande électrique, ou d’une combinaison d’une commande mécanique et d’une commande électrique.
- 8. Module d’accoudoir selon la revendication 6, dans lequel au moins l’un parmi, de préférence chacun parmi, l’angle (a) entre la bielle (14) et l’armature de dossier (4),- l’angle (β) entre la bielle (14) et le bras d’accoudoir (12), et la longueur (JL) du bras d’accoudoir (12), est modifiable mécaniquement, notamment manuellement, et est maintenu en position ou, au contraire, libéré par une commande mécanique, une commande électrique ou une combinaison d’une commande mécanique et d’une commande électrique.
- 9. Siège de véhicule automobile (1) comprenant : une assise (3) avec une armature d’assise (5), un dossier (2) avec une armature de dossier (4), et un module d’accoudoir (10) selon l’une quelconque des revendications précédentes, la bielle (14) étant fixée de manière rotative, au voisinage de la deuxième extrémité (14b), à l’armature de dossier (4).
- 10. Siège de véhicule automobile selon la revendication 9, dans lequel l’armature d’assise (5) comporte des pieds (8) et des glissières (7) tels que la position des pieds (8) dans les glissières (7) est modifiable par translation et/ou la hauteur des pieds (8) est modifiable.1/1
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2017
- 2017-04-20 FR FR1753446A patent/FR3065406B1/fr active Active
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