FR2981629A1

FR2981629A1 - Dispositif antivol pour velo.

Info

Publication number: FR2981629A1
Application number: FR1159599A
Authority: FR
Inventors: Patrick Lesueur
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2011-10-24
Filing date: 2011-10-24
Publication date: 2013-04-26
Anticipated expiration: 2031-10-24
Also published as: FR2981629B1

Abstract

L'invention a pour principal objectif de fournir un dispositif antivol pour vélo permettant à la fois de sécuriser le cadre et les roues du vélo. La solution proposée par l'invention est un dispositif antivol pour un vélo comportant un cadre sur lequel sont montées des roues, ledit ensemble antivol comprenant : - une armature rigide (2) destinée à être fixée sur un bâti, - un moyen antivol du cadre du vélo (5) agencé sur l'armature rigide (2), Ce dispositif antivol est remarquable en ce qu'il comprend également un moyen antivol d'au moins une roue du vélo (15) agencé sur l'armature rigide (2), ledit moyen antivol d'au moins une roue du vélo comprenant : - un doigt (16) agencé sur l'armature rigide (2) et destiné à traverser au moins une roue du vélo démontée du cadre, - un élément de blocage configuré pour s'opposer au retrait de la ou des roues du doigt (16).

Description

DISPOSITIF ANTIVOL POUR VELO. Description Domaine technique de l'invention. L'invention a pour objet un dispositif antivol pour vélo permettant de protéger à la fois le cadre et les roues contre le vol. L'invention concerne le domaine technique des dispositifs antivol pour vélo, et plus particulièrement celui des dispositifs antivol destinés à être fixés sur un bâti du type mur, poteau, sol, etc. État de la technique. On connait les dispositifs antivol pour vélo du type câble, chaîne ou autres, fermés par un verrou ou un cadenas. Les antivols de ce type, s'ils sont portables, ont également l'inconvénient d'être facilement sécable, par exemple avec une pince coupe boulon. En outre, lorsqu'ils ne sont pas attachés à un poteau, ou une barrière, ces antivols empêchent uniquement l'utilisation du vélo, en bloquant une roue par exemple, mais pas à une personne mal intentionnée de voler le vélo en le portant. Dès lors, ce type d'antivols est mal adapté contre le vol d'un vélo stationné dans une cave ou un garage. Pour pallier ces inconvénients, les dispositifs antivols décrits dans les documents GB 2 449 243 (ARNOLD C B; ARNOLD MARK; ARNOLD L), WO 30 2006/026758 (DUTT Kane), US 5 887 461 (HEFFLEY George A.), GB 2 306 421 (EDGE Neil Dennis & INGRAM Leslie William), DE 9 214 916 (ERICH UEBLER AUTOZUBEHOERFABRI), BR 7 200 249 (PAULO CESAR MARTINS DINIZ), DE 9 116 355 (HT - INVENT AG), AU 4 791 590 (FAY LORRAINE CORK), BR 6 201 409 (SANTO MARIO DO ESPIRITO FILHO), WO 8 301 646 (OLSSON MADELEINE; MATTESSON BENGT), comprennent une armature rigide destinée à être fixée sur un bâti et un moyen antivol du cadre du vélo agencé sur l'armature rigide. Ainsi, l'antivol est solidement attaché au bâti et le vélo ne peut plus être volé. Cependant, si les dispositifs antivol de ce type permettent d'empêcher le vol du vélo dans son entier, seul le cadre du vélo est fixé à l'antivol. Or, les roues du vélo, et notamment la roue avant, sont souvent sujettes au vol. En effet, seul un boulon doit être dévissé pour détacher la roue du cadre d'un vélo. Face à cet état de fait, l'invention a pour principal objectif de fournir un dispositif antivol pour vélo permettant à la fois de sécuriser le cadre et les roues du vélo. L'invention a également pour objectif de fournir un dispositif antivol pour vélo de conception simple, facile d'utilisation et peu onéreux.

Divulgation de l'invention. La solution proposée par l'invention est un dispositif antivol pour un vélo comportant un cadre sur lequel sont montées des roues, ledit dispositif antivol comprenant : - une armature rigide destinée à être fixée sur un bâti, - un moyen antivol du cadre du vélo, agencé sur l'armature rigide, Ce dispositif antivol pour vélo est remarquable en ce qu'il comprend également un moyen antivol d'au moins une roue du vélo, agencé sur l'armature rigide, ledit moyen antivol d'au moins une roue du vélo comprenant : - un doigt agencé sur l'armature rigide et destiné à traverser au moins une 5 roue du vélo démontée du cadre, - un élément de blocage configuré pour s'opposer au retrait de la ou des roues du doigt. Ainsi, le moyen antivol de la roue permet de sécuriser une ou plusieurs 10 roues en la ou les démontant du vélo et en la ou les fixant sur l'armature rigide au moyen d'un doigt et d'un élément de blocage. Selon une caractéristique avantageuse de l'invention permettant de facilement mettre en place la roue sur le doigt, ce dernier est agencé mobile sur 15 l'armature rigide entre : - une position d'ouverture dans laquelle le doigt est éloigné de l'armature rigide de manière à permettre la mise en place de la ou des roues sur ledit doigt, et - une position de fermeture dans laquelle l'extrémité du doigt est en contact 20 avec l'armature rigide, de manière à ce que ladite armature rigide s'oppose au retrait de la ou des roues dudit doigt. Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant de bloquer le doigt en position de fermeture, l'élément de blocage comprend : 25 - une première platine perforée agencé sur le socle ou l'armature rigide, - une deuxième platine perforée agencée sur l'extrémité du doigt de sorte que la deuxième platine perforée soit disposée en vis-à-vis de la première platine perforée lorsque ledit doigt est en position de fermeture, la première et la deuxième platine perforée comprenant chacune une perforation agencée de 30 manière à ce que la perforation de la première platine perforée soit en vis-à-vis de la perforation de la deuxième platine perforée lorsque ledit doigt est en position de fermeture, - un cadenas dont l'anse est destinée à traverser les deux perforations de la première et la deuxième platine perforée.

Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention de bloquer le doigt en position de fermeture, l'élément de blocage comprend : - une serrure percée d'une auberonnière agencée sur le socle ou l'armature rigide, respectivement sur l'extrémité du doigt, - un auberon agencé en saillie sur le doigt, respectivement sur le socle ou l'armature rigide, et destiné à pénétrer dans l'auberonnière lorsque ledit doigt est en position de fermeture, un pêne mobile, intégré à la serrure, étant configure pour bloquer ou débloquer l'auberon à l'intérieur de l'auberonnière.

Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant de réduire l'effort à exercer pendant la fermeture par rapport à une solution dans laquelle la ou les roues doivent être déplacées avec le doigt mobile pendant ladite fermeture, l'élément de blocage comprenant un bras agencé mobile sur l'armature rigide entre : - une position d'ouverture dans laquelle le bras est éloigné du doigt de manière à permettre la mise en place de la ou des roues sur ledit doigt, et - une position de fermeture dans laquelle le bras est en contact avec le doigt, de manière à ce que ledit bras s'oppose au retrait de la ou des roues dudit doigt.

Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention de bloquer le bras en position de fermeture, l'élément de blocage comprend également : une première platine perforée agencée sur le doigt, une deuxième platine perforée agencée sur le bras de sorte que la deuxième platine perforée soit disposée en vis-à-vis de la première platine perforée lorsque ledit bras est en position de fermeture, la première et la deuxième platine perforée comprenant chacune une perforation agencée de manière à ce que la perforation de la première platine perforée soit en vis-à-vis de la perforation de la deuxième platine perforée lorsque ledit bras est en position de fermeture, - un cadenas dont l'anse est destiné à traverser les deux perforations de la première et la deuxième platine perforée. Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention de bloquer le bras en position de fermeture, l'élément de blocage comprend également : - une serrure percée d'une auberonnière agencée sur le doigt, respectivement sur le bras, - un auberon agencé en saillie sur le bras, respectivement sur le doigt, et destiné à pénétrer dans l'auberonnière lorsque ledit bras est en position de fermeture, un pêne mobile, intégré à la serrure, étant configuré pour bloquer ou débloquer l'auberon à l'intérieur de l'auberonnière. Selon encore une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant de sécuriser le cadre du vélo en s'adaptant aux diverses dimensions et forme des cadres de vélo vendus dans le commerce, le moyen antivol du 20 cadre du vélo comporte : - un socle agencé sur l'avant de l'armature rigide et destiné à recevoir le cadre du vélo, - un mors supérieur agencé mobile sur l'armature rigide entre : o une position d'ouverture dans laquelle le mors supérieur est éloigné du 25 socle de manière à permettre la mise en place du cadre du vélo sur ledit socle, et o une position de fermeture dans laquelle le mors supérieur est proche du socle de manière à s'opposer au retrait du cadre de vélo dudit socle, - un élément de blocage configuré pour maintenir le mors supérieur dans sa 30 position de fermeture.

Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant de combiner le mouvement du doigt et du mors supérieur, ledit doigt peut être fixé sur le mors supérieur.

Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention permettant d'éviter toute dégradation de la roue lors de sa mise en place sur le doigt, ce dernier comporte un revêtement en matière souple.

Description des figures. D'autres avantages et caractéristiques de l'invention apparaîtront mieux à la lecture de la description d'un mode de réalisation préféré qui va suivre, en référence aux dessins annexés, réalisés à titre d'exemples indicatifs et non limitatifs et sur lesquels : - la figure 1 représente schématiquement un exemple de réalisation du dispositif antivol pour vélo objet de l'invention dans lequel le mors supérieur et le doigt sont dans leurs positions d'ouverture, - la figure 2 représente schématiquement l'exemple de réalisation du dispositif antivol de la figure 1, dans lequel le mors supérieur et le doigt sont dans leurs positions de fermeture. Modes de réalisation de l'invention.

Le dispositif antivol (1) objet de l'invention permet de protéger un vélo contre le vol. Un vélo est un véhicule terrestre comportant un cadre sur lequel sont montées des roues, en général au nombre de 2, mais pouvant également être au nombre de 3 ou plus. Un cadre de vélo se présente généralement sous la forme d'un assemblage de tubes dont la section est généralement circulaire, mais peut également être ovale, hexagonale, octogonale, carrée, etc. La section peut avoir une longueur et une largeur variant de 3 cm à 10 cm. Les roues ont également une section dont la longueur et la largeur peuvent varier de 2 cm à 5 cm.

En se rapportant aux figures 1 et 2, le dispositif antivol (1) comprend une armature rigide (2) destinée à être fixée sur un bâti du type mur, poteau, sol, etc. Cette armature rigide (2) se présente généralement sous la forme d'un assemblage de profilé. Elle peut avoir une largeur variant de 10 cm à 100 cm, une hauteur variant de 20 cm à 150 cm et une profondeur variant de 10 cm à 100 cm. L'armature rigide (2) est au moins dimensionnée de manière à supporter le poids d'un vélo. Les profilés formant l'armature rigide (2) peuvent avoir une section carrée, cylindrique, en forme de I, en forme de L, en forme de U, ou autres, et peuvent avoir une largeur variant de 5 mm à 100 mm, une longueur variant de 50 mm à 1000 mm et une épaisseur variant de 1 mm à 10 mm. Ils peuvent être réalisés en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et peuvent être obtenus par moulage, extrusion, pliage, laminage, découpage, etc. Les profilés sont préférentiellement assemblés par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, ou soudure par MIG-TIG, mais peuvent également être assemblés par emmanchement en force, par collage, par rivetage, par vissage, etc. L'armature rigide (2) peut être équipée d'un moyen de fixation au bâti. Ce moyen de fixation peut comporter une ou plusieurs platines de fixation (3). Les platines de fixation (3) se présentent sous la forme d'une plaque de forme circulaire, carrée, rectangulaire, ovale, ou autre. Elles peuvent être réalisées en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et être obtenues par usinage, moulage, laminage, découpage, etc. Les platines de fixation (3) sont généralement assemblées aux profilés formant l'armature rigide (2) par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, ou soudure par MIG-TIG, mais peuvent également être assemblées par emmanchement en force, par collage, par rivetage, par vissage, etc. Les platines de fixation (3) peuvent avoir une épaisseur variant de 5 mm à 30 mm, une longueur et une largeur ou un diamètre variant de 100 mm à 300 mm. Les platines de fixation (3) peuvent comprendre des ouvertures (4) réparties régulièrement, ou pas, sur le pourtour de la platine, et configurées pour permettre le passage de vis de fixation, de goujons et d'écrous, de rivets, de rondelles, etc. Ces ouvertures (4) peuvent se présenter sous la forme de trous cylindriques et/ou des trous oblongs et/ou des fentes ou autres. Les ouvertures (4) ont une largeur et une longueur variant de 1 cm à 10 cm. Elles peuvent être obtenues par usinage, découpage, fraisage, moulage, etc. La surface d'appui des platines de fixation (3) peut être soit horizontale de manière à pouvoir les fixer contre le sol, soit verticale, de manière à pouvoir les fixer contre un mur, un poteau, ou autres. Lorsque le bâti est un poteau, le moyen de fixation peut également se présenter sous la forme de sangles métalliques configurées pour enserrer le poteau et un ou plusieurs profilés formant l'armature rigide (2).

Le dispositif antivol (1) comprend également un moyen antivol du cadre du vélo (5), ci-après appelé moyen antivol du cadre (5), et agencé sur l'armature rigide (2). Le moyen antivol du cadre (5) est configure pour rendre solidaire le cadre de l'armature rigide (2) de sorte qu'il soit impossible de retirer ledit cadre de ladite armature rigide et donc de voler le vélo. Le moyen antivol du cadre (5) est agencé sur la partie avant de l'armature rigide (2) de manière à être facilement accessible par l'utilisateur. Le moyen antivol du cadre (5) peut avoir une largeur variant de 1 cm à 30 cm, une hauteur variant de 1 cm à 20 cm et une profondeur variant de 1 cm à 20 cm.

Comme schématisé sur les figures 1 et 2, le moyen antivol du cadre (5) comporte un socle (6) destiné à recevoir le cadre du vélo. Le socle (6) est agencé sur l'avant de l'armature rigide (2). En pratique, le socle (6) peut comprendre un profilé sur lequel est destiné à reposer le cadre du vélo. Ce profilé a préférentiellement une section en forme de V de manière à pouvoir recevoir des cadres de différentes formes et dimensions. En outre, la section en forme de V permet d'obtenir, avec le socle (6), un contact linéique de part et d'autre du cadre, lorsque ledit cadre est en position sur ledit socle, de sorte que ledit cadre soit stable sur ledit socle. Le profilé peut cependant avoir une section en forme de U, de H, etc. Le socle (6) peut avoir une largeur variant de 1 cm à 20 cm, une longueur variant de 1 cm à 30 cm et une épaisseur variant de 1 mm à 10 mm. Le socle (6) peut être réalisé en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et peut être obtenu par moulage, extrusion, pliage, laminage, découpage, etc. Le profilé est préférentiellement fixé sur l'armature rigide (2) par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, ou soudure par MIG-TIG, mais peut également être fixé sur ladite armature rigide par collage, par rivetage, par vissage, etc. De manière à éviter de dégrader le cadre du vélo lorsque ledit cadre est mis en place sur le socle (6), ce dernier peut comporter un revêtement (7) en matière souple. Ce revêtement (7) peut être réalisé en mousse, en caoutchouc, en polymère expansé, ou tout autre matériau convenant à l'homme du métier. Dans des variantes de réalisation non représentées, le socle (6) peut comprendre plusieurs profilés alignés de manière à ce que le cadre du vélo repose sur l'ensemble des profilés. Ces profilés sont du type de ceux précédemment décrits pour le socle (6). Ils peuvent être chacun différent ou tous identiques. Le moyen antivol du cadre (5) comporte également un mors supérieur (8) destiné à maintenir le cadre du vélo contre le socle (6). Le mors supérieur (8) est généralement agencé en vis-à-vis du socle (6), au dessus dudit socle. En pratique, le mors supérieur (8) peut comprendre un profilé destiné à se positionner contre le cadre du vélo. Ce profilé a préférentiellement une section en forme de V de manière à pouvoir se positionner sur des cadres de différentes formes et dimensions. En outre, la section en forme de V permet d'obtenir, avec le mors supérieur (8), un contact linéique de part et d'autre du -10- cadre, lorsque ledit mors supérieur est en position contre ledit cadre, de sorte que ledit cadre soit stable entre ledit mors supérieur et le socle (6). Le profilé peut cependant avoir une section en forme de U, de H, etc. Le mors supérieur (8) peut avoir une largeur variant de 1 cm à 20 cm, une longueur variant de 1 cm à 30 cm et une épaisseur variant de 1 mm à 10 mm. Le mors supérieur (8) peut être réalisé en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et peut être obtenu par moulage, extrusion, pliage, laminage, découpage, etc.

Le mors supérieur (8) est agencé mobile sur l'armature rigide (2) entre : - une position d'ouverture, schématisé sur la figure 1, dans laquelle le mors supérieur (8) est éloigné du socle (6) de manière à permettre la mise en place du cadre du vélo sur ledit socle, et - une position de fermeture, schématisé sur la figure 2, dans laquelle le mors supérieur (8) est proche du socle (6), de manière à s'opposer au retrait du cadre de vélo dudit socle. Le mors supérieur (8) peut être mobile sur l'armature rigide (2) au moyen d'une articulation (9). Cette dernière peut se présenter sous la forme d'une ou plusieurs charnières comme représentées sur les figures 1 et 2, d'une ou plusieurs coulisses, d'une ou plusieurs glissières, ou toute autre articulation convenant à l'homme du métier. Il peut être actionné manuellement ou au moyen d'un vérin, d'un moteur, d'une vis sans fin, ou autres. L'articulation (9) peut être protégée contre la dégradation au moyen d'un cache (10). Ce dernier se présente généralement sous la forme d'une ou plusieurs plaques et/ou d'un ou plusieurs profilés agencés au niveau de l'articulation (9) de manière à empêcher l'introduction d'outils du type pince coupante, tournevis, ou autres, contre ladite articulation. Le cache (10) peut être réalisé en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et peut être obtenu par moulage, extrusion, pliage, laminage, découpage, etc. Il peut avoir une largeur variant de 1 cm à 20 cm, une longueur variant de 1 cm à 30 cm et une épaisseur variant de 1 mm à 10 mm. Le cache (10) peut être fixé sur l'armature rigide (2), sur le socle (6), sur le mors supérieur (8) ou sur une partie de l'articulation (9). Il est préférentiellement fixé par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, ou soudure par MIG-TIG, mais peut également être fixé par collage, par rivetage, par vissage, etc. Dans exemple de réalisation schématisé sur les figures 1 et 2, le cache (10) se présente sous la forme d'un profilé en V agencé en vis-à-vis de la charnière. Le profilé est fixé sur le mors supérieur (8) et empêchent l'introduction d'outils contre la charnière. De manière à éviter de dégrader le cadre du vélo lorsque le mors supérieur (8) est mis en place contre ledit cadre, ledit mors supérieur (8) peut comporter un revêtement (11) en matière souple. Ce revêtement (11) peut être réalisé en mousse, en caoutchouc, en polymère expansé, ou tout autre matériau convenant à l'homme du métier.

Dans des variantes de réalisation non représentées, le mors supérieur (8) peut comprendre plusieurs profilés agencés en vis-à-vis des profilés formant le socle (6). Ces profilés sont du type de ceux précédemment décrits pour le mors supérieur (8). Ils peuvent être chacun différent ou tous identiques.

Le moyen antivol du cadre (5) comporte encore un élément de blocage configuré pour maintenir le mors supérieur (8) en position de fermeture. Dans un premier mode de réalisation représenté sur les figures 1 et 2, l'élément de blocage comprend une serrure (12) percée d'une auberonnière (13) agencée sur le socle (6) ou l'armature rigide (2), respectivement sur le mors supérieur (8). L'élément de blocage comprend également un auberon (14) agencé en saillie sur le mors supérieur (8), respectivement sur le socle (6) ou l'armature rigide (2), et destiné à pénétrer dans l'auberonnière (13) lorsque ledit mors supérieur est en position de fermeture. Dans cette position, un pêne mobile, intégré à la serrure (12), est configuré pour bloquer ou débloquer l'auberon (14) à l'intérieur de l'auberonnière (13). Ce pêne est -12- manoeuvré mécaniquement par l'intermédiaire d'une clef, d'un coulisseau combiné à des roues chiffrées, ou autres, ou électroniquement par l'intermédiaire d'une serrure électronique à code, à carte, etc. L'auberon (14) peut être réalisé en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et peut être obtenu par moulage, pliage, découpage, etc. Il peut avoir une largeur variant de 3 mm à 70 mm, une longueur variant de 3 mm à 70 mm et une épaisseur variant de 1 mm à 10 mm. L'auberon (14) peut être directement intégré à l'armature rigide (2), le socle (6), ou le mors supérieur (8), ou être fixé sur ladite armature rigide, ledit socle, ou ledit mors supérieur, par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, soudure par MIG-TIG, collage, rivetage, vissage, etc. La serrure (12) se présente sous la forme d'un boitier parallélépipédique, cubique, cylindrique, ou autres. Elle peut avoir une largeur variant de 1 cm à 20 cm, une longueur variant de 1 cm à 30 cm et une épaisseur variant de 1 mm à 10 mm. La serrure (12) peut être fixée sur le mors supérieur (8), le socle (6), ou l'armature rigide (2), par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, soudure par MIG-TIG, collage, rivetage, vissage, ou autres. Dans un second mode de réalisation non représenté, l'élément de blocage comprend une première platine perforée agencée sur le socle (6) ou l'armature rigide (2). La platine perforée se présente sous la forme d'une plaque de forme circulaire, carrée, rectangulaire, ovale, ou autre. Elle peut être réalisée en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et peut être obtenue par moulage, laminage, pliage, découpage, formage, etc. Elle peut avoir une largeur variant de 1 cm à 20 cm, une longueur variant de 1 cm à 30 cm et une épaisseur variant de 1 mm à 10 mm. La platine perforée peut être directement intégrée au socle (6) ou à l'armature rigide (2) ou être fixée sur ledit socle ou ladite armature rigide par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, soudure par MIG-TIG, collage, rivetage, vissage, ou autres, ou encore être agencée mobile sur ledit socle ou ladite armature rigide au moyen d'une articulation du type charnières, coulisse, ou autres. L'élément de blocage comprend également une deuxième platine perforée agencée sur le mors -13- supérieur (8) de sorte que la deuxième platine perforée soit disposée en vis-à-vis de la première platine perforée lorsque ledit mors supérieur est en position de fermeture. La deuxième platine perforée est du même type, peut être obtenue de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixée, intégrée ou agencée sur le mors supérieur (8) de la même manière, que la première platine perforée. Les deux platines perforées comprennent chacune une perforation agencée de manière à ce que la perforation de la première platine perforée soit en vis-à-vis de la perforation de la deuxième platine perforée lorsque le mors supérieur (8) est en position de fermeture. Les perforations ont généralement une forme circulaire, mais peuvent également avoir une forme carrée, hexagonale, etc. Elles peuvent être obtenues par perçage, découpage, moulage, ou autres. Elles peuvent avoir une longueur et une largeur variant de 5 mm à 50 mm. L'élément de blocage comprend encore un cadenas dont l'anse est destinée à traverser les deux perforations des deux platines perforées. L'ouverture du cadenas peut être actionnée par une clef, des roues chiffrées, ou autres. Le dispositif antivol (1) pour vélo comprend également un moyen antivol d'au moins une roue du vélo (15), ci-après appelé moyen antivol d'au moins une roue (15), agencée sur l'armature rigide (2). Le moyen antivol d'au moins une roue (15) est configure pour rendre solidaires une ou plusieurs roues de l'armature rigide (2) de sorte qu'il soit impossible de retirer ladite ou lesdites roues de ladite armature rigide et donc de voler lesdites roues. Le moyen antivol d'au moins une roue (15) est agencé sur la partie avant de l'armature rigide (2) de manière à être facilement accessible par l'utilisateur. Le moyen antivol d'au moins une roue (15) peut avoir une largeur variant de 1 cm à 30 cm, une hauteur variant de 1 cm à 30 cm et une profondeur variant de 1 cm à 20 cm.

Le moyen antivol d'au moins une roue (15) comprend un doigt (16) agencé sur l'armature rigide (2) et destiné à traverser une ou plusieurs roues du -14- vélo démontées du cadre. Une fois la ou les roues en place sur le doigt (16), celles-ci reposent sur ledit doigt au niveau de leur jante, ledit doigt traversant la roue entre deux rayons. Le doigt (16) se présente sous la forme d'une tige rectiligne ou courbe, tubulaire ou pleine, de section de forme circulaire, carrée, rectangulaire, ovale, ou autre. Il peut avoir une longueur variant de 5 cm à 40 cm, et une épaisseur variant de 5 mm à 30 mm. Il peut être réalisé en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et peut être obtenu par moulage, extrusion, pliage, découpage, formage, etc. De manière à éviter de dégrader la ou les roues du vélo lorsqu'elles sont mises en place sur le doigt (16), ce dernier peut comporter un revêtement (17) en matière souple. Ce revêtement (17) peut être réalisé en mousse, en caoutchouc, en polymère expansé, ou tout autre matériau convenant à l'homme du métier. Le moyen antivol d'au moins une roue (15) comprend également un 15 élément de blocage configuré pour s'opposer au retrait de la ou des roues du doigt (16). Selon un premier mode de réalisation représenté sur les figures 1 et 2, le doigt (16) peut être agencé mobile sur l'armature rigide (2) entre : 20 - une position d'ouverture dans laquelle le doigt (16) est éloigné de l'armature rigide (2) de manière à permettre la mise en place de la ou des roues sur ledit doigt, et - une position de fermeture dans laquelle l'extrémité du doigt (16) est en contact avec l'armature rigide (2), de manière à ce que ladite armature rigide 25 s'oppose au retrait de la ou des roues dudit doigt. Le doigt (16) peut être mobile sur l'armature rigide (2) au moyen d'une articulation (9). Cette dernière peut se présenter sous la forme d'une ou plusieurs charnières comme représentées sur les figures 1 et 2, d'une ou plusieurs coulisses, d'une ou plusieurs glissières, ou toute autre articulation 30 convenant à l'homme du métier. Il peut être actionné manuellement ou au moyen d'un vérin, d'un moteur, d'une vis sans fin, ou autres. L'articulation (9) -15- peut être protégée contre la dégradation au moyen d'un cache (10). Ce dernier est du même type, peut être obtenu de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixé, intégré ou agencé sur le doigt (16), le socle (6), ou l'armature rigide (2), de la même manière, que le cache précédemment décrit. De manière à combiner le mouvement du doigt (16) et du mors supérieur (8), ledit doigt peut être fixé sur ledit mors supérieur par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, soudure par MIG-TIG, collage, rivetage, vissage, etc. Ainsi, l'articulation (9) du mors supérieur (8) servira également d'articulation au doigt (16).

Dans l'exemple de réalisation représenté sur les figures 1 et 2, l'élément de blocage comprend une première platine perforée (18) agencée sur le socle (6) ou l'armature rigide (2). La première platine perforée (18) est du même type, peut être obtenue de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixée, intégrée ou agencée sur le mors supérieur (8) de la même manière, que les platines perforées précédemment décrites. L'élément de blocage comprend également une deuxième platine perforée (19) agencée sur l'extrémité du doigt (16) de sorte que ladite deuxième platine perforée soit disposée en vis-à-vis de la première platine perforée (18) lorsque ledit doigt est en position de fermeture. La deuxième platine perforée (19) est du même type, peut être obtenue de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixée, intégrée ou agencée sur le mors supérieur (8) de la même manière, que les platines perforées précédemment décrites. Les deux platines perforées (18, 19) comprennent chacune une perforation (20, 21) agencée de manière à ce que la perforation (20) de la première platine perforée (18) soit en vis-à-vis de la perforation (21) de la deuxième platine perforée (19) lorsque le doigt (16) est en position de fermeture. Les perforations (20, 21) sont du même type, peuvent être obtenues de la même façon, peuvent avoir des dimensions similaires, que les perforations précédemment décrites. L'élément de blocage comprend encore un cadenas dont l'anse est destinée à traverser les deux -16- perforations (20, 21) des deux platines perforées (18, 19). L'ouverture du cadenas peut être actionnée par une clef, des roues chiffrées, ou autres. Dans une variante de réalisation non représentée, l'élément de blocage comprend une serrure percée d'une auberonnière agencée sur le socle (6) ou l'armature rigide (2), respectivement sur l'extrémité du doigt (16). L'élément de blocage comprend également un auberon agencé en saillie sur le doigt (16), respectivement sur le socle (6) ou l'armature rigide (2), et destiné à pénétrer dans l'auberonnière lorsque ledit doigt est en position de fermeture. Dans cette position, un pêne mobile, intégré à la serrure, est configure pour bloquer ou débloquer l'auberon à l'intérieur de l'auberonnière. Ce pêne est manoeuvré mécaniquement par l'intermédiaire d'une clef, d'un coulisseau combiné à des roues chiffrées, ou autres, ou électroniquement par l'intermédiaire d'une serrure électronique à code, à carte, etc. L'auberon est du même type, peut être obtenu de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixé, intégré ou agencé sur le doigt (16), le socle (6), ou l'armature rigide (2), de la même manière, que l'auberon précédemment décrit. De même, la serrure est du même type, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixée, intégrée ou agencée sur le doigt (16), le socle (6), ou l'armature rigide (2), de la même manière, que la serrure précédemment décrite. Selon un deuxième mode de réalisation non représenté, le doigt (16) peut être fixé sur l'armature par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, soudure par MIG-TIG, collage, rivetage, vissage, etc. L'élément de blocage comprend alors un bras agencé mobile sur l'armature rigide (2) entre : - une position d'ouverture dans laquelle le bras est éloigné du doigt (16) de manière à permettre la mise en place de la ou les roues sur ledit doigt, et - une position de fermeture dans laquelle le bras est en contact avec le doigt (16), de manière à ce que ledit bras s'oppose au retrait de la ou des roues dudit doigt. -17- Le bras se présente sous la forme d'une tige rectiligne ou courbe, tubulaire ou pleine, de section de forme circulaire, carrée, rectangulaire, ovale, ou autre. Il peut avoir une longueur variant de 5 cm à 40 cm, et une épaisseur variant de 5 mm à 30 mm. Il peut être réalisé en fonte, en acier, en aluminium, en fibre de carbone, ou autres, et peut être obtenu par moulage, extrusion, pliage, découpage, formage, etc. Le bras peut être mobile sur l'armature rigide (2) au moyen d'une articulation du même type que celles précédemment décrites. Il peut être actionné manuellement ou au moyen d'un vérin, d'un moteur, d'une vis sans fin, ou autres. L'articulation peut être protégée contre la dégradation au moyen d'un cache. Ce dernier est du même type, peut être obtenu de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixé, intégré ou agencé sur le doigt (16), le socle (6), ou l'armature rigide (2), de la même manière, que le cache précédemment décrit. De manière à combiner le mouvement du bras et du mors supérieur (8), le bras peut être fixé sur ledit mors supérieur par soudure à l'arc, soudure au chalumeau, soudure par MIG- TIG, collage, rivetage, vissage, etc. Ainsi, l'articulation du mors supérieur (8) servira également d'articulation au bras. Dans un premier exemple de réalisation, l'élément de blocage comprend également une première platine perforée agencée sur le doigt (16). La platine perforée est du même type, peut être obtenue de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixée, intégrée ou agencée sur le mors supérieur (8) de la même manière, que les platines perforées précédemment décrites. L'élément de blocage comprend aussi une deuxième platine perforée agencée sur le bras de sorte que ladite deuxième platine perforée soit disposée en vis-à-vis de la première platine perforée lorsque ledit bras est en position de fermeture. La deuxième platine perforée est du même type, peut être obtenue de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixée, intégrée ou agencée sur le mors supérieur (8) de la même manière, que les platines perforées précédemment décrites. Les deux platines perforées comprennent chacune une perforation agencée de manière à ce que la -18- perforation de la première platine perforée soit en vis-à-vis de la perforation de la deuxième platine perforée lorsque le bras est en position de fermeture. Les perforations sont du même type, peuvent être obtenues de la même façon, peuvent avoir des dimensions similaires, que les perforations précédemment décrites. L'élément de blocage comprend encore un cadenas dont l'anse est destinée à traverser les deux perforations des deux platines perforées. L'ouverture du cadenas peut être actionnée par une clef, des roues chiffrées, ou autres.

Dans un deuxième exemple de réalisation, l'élément de blocage comprend une serrure percée d'une auberonnière agencée sur le doigt (16), respectivement le bras. L'élément de blocage comprend également un auberon agencé en saillie sur le bras, respectivement sur le doigt (16), et destiné à pénétrer dans l'auberonnière lorsque ledit bras est en position de fermeture.

Dans cette position, un pêne mobile, intégré à la serrure, est configure pour bloquer ou débloquer l'auberon à l'intérieur de l'auberonnière. Ce pêne est manoeuvré mécaniquement par l'intermédiaire d'une clef, d'un coulisseau combiné à des roues chiffrées, ou autres, ou électroniquement par l'intermédiaire d'une serrure électronique à code, à carte, etc. L'auberon est du même type, peut être obtenu de la même façon, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixé, intégré ou agencé sur le bras, ou le doigt (16), de la même manière, que l'auberon précédemment décrit. De même, la serrure est du même type, peut avoir des dimensions similaires, et peut être fixée, intégrée ou agencée sur le bras, ou le doigt (16), de la même manière, que la serrure précédemment décrite. Préférentiellement, et de manière à éviter leur démontage par une personne mal intentionnée, les divers éléments du dispositif antivol (1) objet de l'invention, qui sont fixés entre eux le seront par soudure, ou au moyen d'élément de fixation indémontable du type river, vis et écrous inviolables, etc.

Claims

REVENDICATIONS1. Dispositif antivol pour un vélo comportant un cadre sur lequel sont montées des roues, ledit ensemble antivol comprenant : une armature rigide (2) destinée à être fixée sur un bâti, un moyen antivol du cadre du vélo (5) agencé sur l'armature rigide (2), caractérisé en ce qu'il comprend également un moyen antivol d'au moins une roue du vélo (15) agencé sur l'armature rigide (2), ledit moyen antivol d'au moins une roue du vélo comprenant : - un doigt (16) agencé sur l'armature rigide (2) et destiné à traverser au moins une roue du vélo démontée du cadre, - un élément de blocage configuré pour s'opposer au retrait de la ou des roues du doigt (16). 15
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le doigt (16) est agencé mobile sur l'armature rigide (2) entre : - une position d'ouverture dans laquelle le doigt (16) est éloigné de l'armature rigide (2) de manière à permettre la mise en place de la ou les 20 roues sur ledit doigt, et - une position de fermeture dans laquelle l'extrémité du doigt (16) est en contact avec l'armature rigide (2), de manière à ce que ladite armature rigide s'oppose au retrait de la ou des roues dudit doigt. 25
3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que l'élément de blocage comprend : - une première platine perforée (18) agencée sur le socle (6) ou l'armature rigide (2), - une deuxième platine perforée (19) agencée sur l'extrémité du doigt (16) 30 de sorte que la deuxième platine perforée (19) soit disposée en vis-à-vis de la première platine perforée (18) lorsque ledit doigt est en position de-20- fermeture, la première et la deuxième platine perforée (18, 19) comprenant chacune une perforation (20, 21) agencée de manière à ce que la perforation (20) de la première platine perforée (18) soit en vis-à-vis de la perforation (21) de la deuxième platine perforée (19) lorsque ledit doigt est en position de fermeture, - un cadenas dont l'anse est destinée à traverser les deux perforations de la première et la deuxième platine perforée (18, 19).
4. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que l'élément de blocage comprend : - une serrure percée d'une auberonnière agencée sur le socle (6) ou l'armature rigide (2), respectivement sur l'extrémité du doigt (16), - un auberon agencé en saillie sur le doigt (16), respectivement sur le socle (6) ou l'armature rigide (2), et destiné à pénétrer dans l'auberonnière lorsque ledit doigt est en position de fermeture, un pêne mobile, intégré à la serrure, étant configure pour bloquer ou débloquer l'auberon à l'intérieur de l'auberonnière.
5. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le doigt (16) est fixé sur l'armature, l'élément de blocage comprenant un bras agencé mobile sur l'armature rigide (2) entre : - une position d'ouverture dans laquelle le bras est éloigné du doigt (16) de manière à permettre la mise en place de la ou les roues sur ledit doigt, et - une position de fermeture dans laquelle le bras est en contact avec le doigt (16), de manière à ce que ledit bras s'oppose au retrait de la ou des roues dudit doigt.
6. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce que l'élément de blocage comprend également : - une première platine perforée agencée sur le doigt (16),- 21 - - une deuxième platine perforée agencée sur le bras de sorte que la deuxième platine perforée soit disposée en vis-à-vis de la première platine perforée lorsque ledit bras est en position de fermeture, la première et la deuxième platine perforée comprenant chacune une perforation agencée de manière à ce que la perforation de la première platine perforée soit en vis-à- vis de la perforation de la deuxième platine perforée lorsque ledit bras est en position de fermeture, - un cadenas dont l'anse est destinée à traverser les deux perforations de la première et la deuxième platine perforée.
7. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce que l'élément de blocage comprend également : - une serrure percée d'une auberonnière agencée sur le doigt (16), respectivement sur le bras, - un auberon agencé en saillie sur le bras, respectivement sur le doigt (16), et destiné à pénétrer dans l'auberonnière lorsque ledit bras est en position de fermeture, un pêne mobile, intégré à la serrure, étant configuré pour bloquer ou débloquer l'auberon à l'intérieur de l'auberonnière.
8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le moyen antivol du cadre du vélo (5) comporte : - un socle (6) agencé sur l'avant de l'armature rigide (2) et destiné à recevoir le cadre du vélo, - un mors supérieur (8) agencé mobile sur l'armature rigide (2) entre : o une position d'ouverture dans laquelle le mors supérieur (8) est éloigné du socle (6) de manière à permettre la mise en place du cadre du vélo sur ledit socle, et o une position de fermeture dans laquelle le mors supérieur (8) est proche du socle (6) de manière à s'opposer au retrait du cadre de vélo dudit socle,- 22 - - un élément de blocage configuré pour maintenir le mors supérieur (8) dans sa position de fermeture.
9. Dispositif selon la revendication 8 en combinaison avec l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que le doigt (16) peut être fixé sur le mors supérieur (8).
10. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le doigt (16) comporte un revêtement en matière souple.