FR2749894A1

FR2749894A1 - Dispositif d'actionnement pour embrayage a friction

Info

Publication number: FR2749894A1
Application number: FR9707223A
Authority: FR
Inventors: Hans Jurgen Drexl; Manfred Wehner; Joachim Lindner; Jorg Willert; Wolfgang Grosspietsch; Herbert Voit; Thomas Otto
Original assignee: Fichtel and Sachs AG
Current assignee: ZF Friedrichshafen AG
Priority date: 1996-06-12
Filing date: 1997-06-11
Publication date: 1997-12-19
Anticipated expiration: 2017-06-11
Also published as: GB2314137B; FR2749894B1; DE19716600A1; ES2150832A1; ES2150832B1; BR9703786A; GB9712131D0; GB2314137A; US6116399A; JP3434669B2; JPH1047381A

Abstract

Pour un dispositif d'actionnement d'un embrayage à friction (2) agencé dans le train d'entraînement d'un véhicule automobile, comportant un agencement d'asservissement en position (74, 52) avec un agencement de cylindre pneumatique (56) agissant sur un agencement de débrayage (48), ledit agencement d'asservissement en position pouvant être actionné via une soupape de commande (74) reliée à une source pneumatique en dépendance d'une grandeur de référence représentant une position de consigne et une grandeur réelle représentant la position axiale de l'agencement de débrayage, on propose conformément à l'invention que l'agencement de cylindre pneumatique (56) soit agencé à l'intérieur de la cloche de boîtier (84), et que la soupape de commande (74) soit agencée à l'extérieur de la cloche de boîtier ou du moins en partie à l'intérieur de la cloche de boîtier, mais de façon accessible ou/et démontable depuis l'extérieur lorsque la cloche de boîtier est reliée au moteur.

Description

1i 2749894 La présente invention se rapporte à un dispositif

d'actionnement pour un embrayage à friction agencé dans une cloche de boîtier dans le train d'entraînement d'un véhicule automobile, en particulier d'un véhicule automobile utilitaire, entre un moteur à combustion interne et une transmission, comportant un agencement de débrayage mobile sensiblement coaxialement par rapport à l'embrayage à friction pour actionner l'embrayage à friction; un agencement d'asservissement en position présentent un agencement de cylindre pneumatique qui agit sur l'agencement de débrayage et qui est susceptible d'être actionné via une soupape de commande reliée à une source pneumatique en dépendance d'une grandeur de référence représentant une position de consigne et d'une grandeur réelle représentant la position axiale de

l'agencement de débrayage.

Un tel dispositif d'actionnement est connu par exemple du document DE 33 21 578 C2. Le dispositif d'actionnement connu présente un servoamplificateur de force à dépression en tant qu'agencement d'asservissement en position. Le servo-amplificateur monté à la manière d'un amplificateur de freinage à dépression est réalisé de façon intégrale avec un cylindre pneumatique et une soupape de commande et il est agencé à l'extérieur de la cloche de boîtier. Deux chambres de travail du cylindre pneumatique sont séparées l'une de l'autre par un piston guidé en déplacement axial et par un diaphragme élastique. La chambre de travail réalisée sous forme d'une chambre sous dépression est raccordée à un système de tubulures d'aspiration du moteur à combustion interne. L'autre chambre de travail servant de chambre de commande peut être reliée au moyen de la soupape de commande soit à la chambre sous dépression, soit à l'atmosphère via une ouverture de compensation de pression. L'actionnement du servo-amplificateur à dépression s'effectue via une barre de commande venant en butée contre un corps de la soupape de commande et mobile axialement via une came entraînée par moteur électrique. Un déplacement axial de la barre de commande a pour conséquence une commutation de la soupape de commande, de telle sorte que le piston suit avec

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amplification de force les mouvements de la barre de commande. Le mouvement du piston agit via un cylindre émetteur hydraulique sur un cylindre récepteur relié au cylindre émetteur et agencé à l'extérieur de la cloche de boîtier; ledit cylindre récepteur agit à son tour sur une fourchette de débrayage associée à l'agencement de débrayage. Un actionnement de secours de l'embrayage lors d'un arrêt du moteur à combustion interne, donc lors d'une absence de dépression, est possible par le fait que la barre de commande peut agir directement sur

le piston via le corps de la soupape de commande.

Certes, grâce à sa disposition à l'extérieur de la cloche de boîtier, l'agencement d'asservissement en position du dispositif d'actionnement connu est relativement simple à entretenir et le cas échéant à réparer, mais l'ensemble du dispositif d'actionnement est relativement complexe sur le plan mécanique à cause de la transmission de force à la cloche de boîtier, qui est nécessaire pour actionner l'agencement de débrayage. La complexité mécanique relativement élevée va de pair avec des coûts de fabrication d'autant plus élevés, et dans certaines conditions également avec une sécurité de fonctionnement insuffisante pour certaines exigences. De plus, à cause des composants nécessaires pour transmettre la force d'actionnement jusque dans la cloche de boîtier, l'exactitude du positionnement de l'agencement d'asservissement en position est restreinte, par exemple à cause du jeu

de montage ou similaire.

On connaît du document DE 29 23 487 C2 un dispositif pour actionner le dispositif de débrayage d'un embrayage à friction de véhicule automobile via un milieu sous pression hydraulique ou pneumatique (fluide sous pression), qui présente un cylindre annulaire à fluide sous pression agencé concentriquement par rapport à l'arbre d'entrée de transmission entre un dispositif de débrayage et un support solidaire du boîtier à l'intérieur de la cloche de boîtier. Le cylindre annulaire à fluide sous pression est délimité en direction du dispositif de

débrayage par un piston à diaphragme annulaire flexible.

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On connaît du document DE 32 19 768 Ai un cylindre annulaire pneumatique agencé également dans la cloche de boîtier mais agissant directement sur la plaque de pression de l'embrayage à friction, qui est sous pression pour l'opération d'embrayage, donc tant que la pédale d'embrayage n'est pas enfoncée, et qui presse par son piston annulaire la plaque de pression précontrainte en direction du cylindre annulaire contre le disque d'embrayage et celui-ci contre le volant d'inertie. A cet effet, de l'air comprimé fourni par une source d'air comprimé est amené via une vanne de dosage susceptible d'être actionnée par la pédale d'embrayage jusque dans le cylindre annulaire pneumatique, tant que la pédale d'embrayage n'est pas enfoncée. Lorsque la pédale d'embrayage est enfoncée, la surpression dans le cylindre annulaire pneumatique peut s'échapper vers l'extérieur via une liaison pneumatique entre le cylindre annulaire pneumatique et la vanne de dosage à travers une ouverture de sortie de la vanne de dosage agencée à l'extérieur de la cloche de boîtier. On n'a pas prévu de rétroaction de la position du piston annulaire du cylindre annulaire pneumatique ou

de la plaque de pression vers la vanne de dosage.

De plus, on connaît un dispositif d'actionnement du type mentionné en introduction qui, sous forme d'une unité intégrale comportant le cylindre pneumatique, un cylindre récepteur hydraulique et la soupape de commande, est agencé à l'extérieur sur la cloche de boîtier. Le piston du cylindre pneumatique est agencé sur un élément de barre formant le piston du cylindre récepteur hydraulique, et l'élément de barre est relié à un poinçon qui pénètre dans l'intérieur de la cloche de boîtier et qui attaque une fourchette de débrayage associée à l'agencement de débrayage. On a raccordé au cylindre récepteur hydraulique un cylindre émetteur susceptible d'être actionné via une pédale d'embrayage et une entrée de commande de la soupape de commande. La soupape commande, en dépendance de la pression hydraulique appliquée à l'entrée de commande, l'amenée d'air comprimé dans le cylindre pneumatique ou l'évacuation d'air hors du cylindre pneumatique, de telle sorte qu'une pression hydraulique prédéterminée par un agencement à ressort de pression s'établit à l'entrée de commande. Le cylindre récepteur hydraulique sert ici de

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cylindre de mesure qui détecte la position de l'élément de barre et ainsi indirectement la position de l'agencement de débrayage (exception faite de certaines inexactitudes imputables par exemple au jeu des articulations et des joints). Certes, grâce à la disposition de l'unité citée à l'extérieur sur la cloche de boîtier, ce dispositif d'actionnement connu

est relativement simple à entretenir et à réparer, mais il est relati-

vement complexe sur le plan mécanique à cause de la transmission de force nécessaire jusque dans la cloche, de sorte qu'il en résulte les

mêmes inconvénients que dans le document DE 33 21 578 C2.

Un objectif sous-jacent à l'invention est de proposer un dispositif d'actionnement du type indiqué susceptible d'être positionné exactement. Un autre objectif sous-jacent à l'invention est de proposer un dispositif d'actionnement du type indiqué, qui présente une structure simple, qui

est économique à fabriquer et sûr en fonctionnement.

Un autre objectif sous-jacent à l'invention est de proposer un dispositif d'actionnement du type indiqué, que l'on peut entretenir et réparer de

façon simple et ainsi économique.

Pour atteindre l'un au moins de ces objectifs, on propose conformément à l'invention que l'agencement de cylindre pneumatique soit agencé à l'intérieur de la cloche de boîtier, et que la soupape de commande soit agencée à l'extérieur de la cloche de boîtier ou du moins en partie à l'intérieur de la cloche de boîtier, mais qu'elle soit accessible depuis l'extérieur, en particulier démontable, lorsque la

cloche de boîtier est reliée au moteur à combustion interne.

Étant donné que l'agencement de cylindre pneumatique est agencé à l'intérieur de la cloche de boîtier conformément à l'invention, une transmission de la force d'actionnement d'embrayage depuis l'extérieur de la cloche à l'intérieur de la cloche n'est pas nécessaire. On peut donc

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renoncer à des éléments de transmission mécaniques ou hydrauliques correspondants, de sorte que l'on économise des coûts en correspondance. En même temps, on obtient une exactitude de positionnement élevée, car grâce au fait qu'une transmission de force n'est pas nécessaire depuis l'extérieur vers l'intérieur de la cloche, le risque d'un jeu de montage dans des composants de transmission de force mécaniques n'existe pas. Grâce à la structure simple qui en

résulte, on atteint en outre une sécurité de fonctionnement élevée.

Grâce à l'agencement conforme à l'invention de la soupape de commande, le dispositif d'actionnement est en outre simple à entretenir et à réparer. La soupape de commande est précisément une pièce très sensible aux perturbations du dispositif d'actionnement, car par exemple des particules de saleté entraînées dans le fluide sous pression pneumatique, en particulier dans l'air comprimé, peuvent salir la soupape de commande et la mettre hors service. La soupape de commande est accessible et/ou démontable pour l'entretien ou pour une réparation, sans être obligé de détacher la cloche de boîtier du moteur à combustion interne, qui est formée en règle générale par un secteur d'un boîtier de transmission. Ceci exigerait beaucoup de temps et serait d'autant plus coûteux. (Lorsque l'on parle dans ce qui suit d'air comprimé, ceci ne s'entend pas dans un sens restrictif; on peut utiliser également toute autre sorte de fluide sous pression pneumatique, en particulier également un fluide pneumatique présentant une pression plus faible que la pression ambiante d'une source sous dépression.) L'agencement de cylindre pneumatique agencé dans la cloche de boîtier est extrêmement fiable par comparaison avec des agencements de cylindre récepteur hydrauliques connus agencés dans la cloche de

boîtier, car on peut tolérer sans aucun problème certaines non-

étanchéités dans des agencements de cylindre pneumatiques, ce qui n'est cependant pas possible dans les agencements de cylindre récepteur hydrauliques agencés dans la cloche de boîtier. Dans les agencements de cylindre récepteur hydrauliques, des travaux de réparation et d'entretien exigeraient de détacher la cloche de boîtier du

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moteur à combustion interne, selon la réalisation de l'agencement de cylindre récepteur hydraulique. Dans le cas de l'agencement de cylindre pneumatique, de tels travaux de réparation et d'entretien sont nécessaires uniquement dans des cas exceptionnels, et on peut de toute façon présupposer des durées de vie qui dépassent les durées de vie

du/des disque(s) d'embrayage.

On propose que la soupape de commande comporte un agencement de soupape réglable entre un premier état de commande reliant l'agencement de cylindre pneumatique à la source pneumatique et un second état de commande reliant l'agencement de cylindre pneumatique à une ouverture de compensation de pression, qui peut être commuté entre les deux états de commande, en dépendance d'une grandeur différentielle associée à la grandeur réelle et à la grandeur de référence. Une position de l'agencement de soupape sera associée à chaque état de commande. Un troisième état de commande de soupape, dans lequel l'agencement de cylindre pneumatique n'est relié ni à la source pneumatique ni à l'ouverture de compensation de pression ou commute en alternance entre des positions de l'agencement de soupape, n'est pas forcément nécessaire. (L'agencement d'asservissement en position dans l'ensemble pourra cependant prendre

un état correspondant).

Cependant, l'agencement de soupape peut également être réglé dans un troisième état de commande, en dépendance de la grandeur différentielle, dans lequel l'agencement de cylindre pneumatique est de préférence fermé de façon sensiblement étanche sur le plan pneumatique, qu'il n'est donc relié ni à la source pneumatique ni à l'ouverture de compensation de pression. Une certaine position de l'agencement de soupape sera alors associée au troisième état de commande. Cependant, le troisième état de commande peut se caractériser également par le fait que l'agencement de soupape prend en alternance la position associée au premier état de commande et la

position associée au second état de commande.

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L'une au moins des grandeurs que sont la grandeur de référence, la grandeur réelle et le cas échéant la grandeur différentielle peut être une grandeur hydraulique, pneumatique, mécanique ou électrique, en particulier une pression, un volume, une force, un trajet, un angle, un courant ou bien une tension. On propose que la soupape de commande présente un premier raccord de signal pour recevoir un signal de référence indiquant la grandeur de référence, en particulier depuis un agencement de pédale d'embrayage, et un second raccord de signal pour recevoir un signal de valeur réelle indiquant la grandeur réelle d'un agencement d'élément émetteur associé à un agencement de débrayage. Le signal de référence peut être un signal hydraulique, pneumatique, mécanique, électrique ou optique représenté en particulier par une pression, un volume, une force, un

trajet, un angle, un courant, une tension ou par une intensité lumineuse.

Afin de convertir par exemple un signal optique en une grandeur électrique ou mécanique, on peut associer au premier raccord de signal des organes convertisseurs pour convertir le signal de référence en une grandeur de référence. Il en est de même pour le signal de valeur réelle. De même, le signal de valeur réelle peut être un signal hydraulique, pneumatique, mécanique, électrique ou optique représenté en particulier par une pression, un volume, une force, un

trajet, un angle, un courant, une tension ou par une intensité lumineuse.

On peut associer au second raccord de signal des organes convertisseurs pour convertir le signal de valeur réelle en une grandeur réelle, par exemple pour convertir un signal hydraulique en une grandeur mécanique ou électrique ou pour convertir un signal

mécanique en une grandeur électrique ou hydraulique.

De façon particulièrement avantageuse, on propose que l'agencement d'asservissement en position comporte un dispositif de régulation de positionnement qui règle la position de l'agencement de débrayage en dépendance du signal de référence, du signal de valeur réelle et d'une courbe caractéristique de positionnement prédéterminée. La courbe caractéristique de positionnement peut associer à chaque signal de

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référence une certaine position de consigne de l'agencement de débrayage. Dans cette association, il s'effectue en quelque sorte une représentation des signaux de référence sur des positions de consigne associées. Dans ce cas, il peut s'agir une représentation linéaire ou également d'un représentation non linéaire. Par exemple, un rapport progressif ou dégressif peut exister entre le signal de référence et la position de consigne et ainsi de la position réelle qui s'établit sous

l'influence du dispositif de régulation de position.

Dans ce contexte, il est particulièrement préférable que la courbe caractéristique de positionnement associe à chaque signal de référence une position de consigne de l'agencement de débrayage, de telle sorte que l'on associe à une plage de position de consigne limitée sensiblement par une position du début de la transmission de couple de rotation et par une position embrayée pour la transmission de couple de rotation sensiblement maximum, une plage de signal de référence

relativement plus grande qu'aux autres plages de position de consigne.

Grâce à ceci, on atteint d'une part que l'embrayage puisse être fermé comparativement vite jusqu'à la position du début de la transmission de couple de rotation (point de friction), en partant de la position débrayée, et d'autre part que la plage connue comme zone de modulation entre ce point du début de la transmission de couple de rotation et la position embrayée pour la transmission d'un couple de rotation sensiblement maximum soit en quelque sorte écartée dans le ,,plan de signal de référence", de telle sorte qu'une fermeture,,douce" de l'embrayage en dépendance du couple de rotation du moteur appliqué est possible. Cette réalisation représente un intérêt surtout pour des dispositifs d'actionnement actionnés par la pédale d'embrayage. L'agencement d'asservissement en position peut comprendre un circuit de réglage de position électrique présentant un émetteur de valeur mesurée électrique qui détecte la position de l'agencement de débrayage directement ou indirectement. Une telle réalisation est judicieuse en particulier lorsque l'on prévoit une transmission

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commandée par voie électrique, en particulier une transmission automatique ou une transmission à boite de vitesses automatisée par

des servomoteurs.

L'agencement d'asservissement en position peut également comprendre un agencement de réglage de position mécanique présentant un élément émetteur couplé mécaniquement qui détecte la position de l'agencement de débrayage directement ou indirectement. On peut utiliser comme élément émetteur par exemple un câble Bowden relié à l'agencement de débrayage ou similaire, qui attaque un siège de

soupape pour un corps de la soupape de commande.

L'agencement d'asservissement en position peut également comprendre un agencement de réglage de position hydraulique qui présente un agencement de cylindre de mesure hydraulique qui détecte directement ou indirectement la position de l'agencement de débrayage et qui présente en particulier un seul cylindre de mesure. Un tel agencement de réglage de position présente l'avantage qu'une compensation d'abrasion automatique du disque d'embrayage est possible de manière simple, par le fait que la quantité de remplissage du fluide hydraulique, en particulier de l'huile hydraulique, se compense via un perçage dit renifleur du cylindre émetteur vers le récipient de réserve. Lorsque l'on parle dans ce qui suit d'huile sous pression ou d'huile hydraulique, ceci ne s'entend pas dans un sens restrictif; on peut également utiliser

n'importe quel autre fluide sous pression hydraulique.

Dans un agencement d'asservissement en position comportant un agencement de réglage de position, la soupape de commande peut comprendre un agencement de soupape réglable entre un premier état de commande reliant l'agencement de cylindre pneumatique à la source pneumatique et un second état de commande reliant l'agencement de cylindre pneumatique à une ouverture de compensation de pression, qui peut être commuté entre les deux états de commande en dépendance d'une force différentielle entre une force réelle

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correspondant à la pression hydraulique dans l'agencement de cylindre

de mesure et une précharge.

On propose que la soupape de commande et l'agencement de cylindre de mesure forment une unité structurelle fixée de façon détachable sur l'agencement de cylindre pneumatique. Grâce à ceci, on obtient que l'agencement de cylindre de mesure soit également facilement accessible et démontable de préférence conjointement avec la soupape de commande, afin de remplacer par exemple des joints d'étanchement

ou similaires dans le cas de fuites.

Il est particulièrement judicieux que l'agencement de cylindre de mesure soit accouplé, de façon sensiblement rigide, ou susceptible d'être accouplé via un élément d'accouplement à l'agencement de débrayage ou au côté de l'agencement de débrayage vers l'agencement de cylindre pneumatique. L'élément d'accouplement peut être fermement relié par exemple à l'agencement de débrayage ou être relié seulement de façon lâche ou détachable à l'agencement de cylindre de mesure. L'unité structurelle formant la soupape de commande et l'agencement de cylindre de mesure sont alors particulièrement simples à détacher de l'agencement de cylindre pneumatique. Grâce à un accouplement relativement rigide entre l'agencement de cylindre de mesure et l'agencement de cylindre pneumatique, le système pneumatique est amorti. Grâce à ceci, on s'oppose au risque d'apparitions d'oscillations ou de sur-oscillations en raison de la compressibilité du fluide pneumatique (en particulier de l'air) lors de

l'actionnement de l'agencement de cylindre pneumatique.

On propose qu'un piston mobile sensiblement parallèlement par rapport à l'axe d'embrayage de l'agencement de cylindre de mesure soit précontraint en direction de l'embrayage à friction, de préférence contre l'élément d'accouplement relié fermement à l'agencement de débrayage. A l'égard d'un accouplement rigide entre l'agencement de cylindre pneumatique et l'agencement de cylindre de mesure, on peut également prévoir un piston mobile sensiblement parallèlement à l'axe il 2749894 d'embrayage de l'agencement de cylindre de mesure, qui est accouplé en déplacement ou susceptible d'être accouplé en déplacement à l'agencement de débrayage via l'élément d'accouplement relié

fermement à l'agencement de débrayage.

En variante, l'agencement de cylindre de mesure et l'agencement de

cylindre pneumatique peuvent également former une unité structurelle.

Dans ce cas, on propose que la soupape de commande soit retenue de façon détachable sur la cloche de boîtier et reliée via des canaux et/ou des conduites à l'agencement de cylindre de mesure et à l'agencement

de cylindre pneumatique.

Lorsque l'agencement de cylindre de mesure et l'agencement de cylindre pneumatique forment une unité structurelle, la soupape de commande peut en variante également être fixée de façon détachable

sur l'unité structurelle.

Dans toutes les variantes citées ci-dessus, on obtient en résultat les avantages cités ci-dessus qui consistent en une possibilité d'entretien et

de réparation simple de la soupape de commande.

L'agencement de cylindre de mesure peut être réalisé sous forme d'un agencement de cylindre émetteur agissant sur l'agencement de débrayage, qui est relié ou susceptible d'être relié par voie hydraulique à un cylindre émetteur actionné en particulier par la pédale d'embrayage, pour un actionnement de secours de l'embrayage. Grâce à ceci, il est possible d'ouvrir l'embrayage de manière simple, en particulier pour faire démarrer le moteur à combustion interne, lorsque le véhicule automobile a été stationné avec une vitesse engagée et que la source pneumatique n'est actuellement pas fonctionnelle, en particulier qu'elle ne fournit pas d'air comprimé, en raison de l'arrêt du moteur à combustion interne. Cependant, on peut également renoncer sans aucun problème à un actionnement de secours, par exemple dans une transmission automatique qui dégage forcément la vitesse lors du

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stationnement du véhicule, donc lorsque le moteur à combustion interne ne tourne pas. En principe, on a également la possibilité de dégager une vitesse passée lorsque le moteur à combustion interne ne tourne pas, sans actionner l'embrayage, en profitant des passages à zéro du couple qui apparaissent lors d'un court actionnement répété du

démarreur du moteur à combustion interne.

On propose d'agencer des organes limiteurs de la pression hydraulique qui s'opposent à une montée de la pression hydraulique dans le

système hydraulique au-delà d'une valeur maximum prédéterminée.

Cette réalisation est particulièrement intéressante lorsque l'agencement de cylindre de mesure n'est pas conçu pour un actionnement de secours de l'embrayage, donc pas sous forme d'un agencement de cylindre récepteur. Grâce à ceci, on évite un endommagement du dispositif d'actionnement, en particulier de l'agencement de cylindre de mesure et le cas échéant d'un élément d'accouplement ou similaire, au cas o la source pneumatique ne fournirait pas de fluide pneumatique ou que la

soupape de commande serait défectueuse.

Les organes limiteurs de pression hydraulique peuvent comprendre un dispositif de précontrainte mettant sous précontrainte un piston d'un agencement de cylindre en direction d'une diminution de volume de la chambre cylindrique côté système hydraulique et/ou une soupape qui relie le côté pression au côté réserve du cylindre émetteur ou qui s'ouvre à l'encontre d'une précontrainte. Dans ce contexte, on propose que le dispositif de précontrainte agisse entre le piston et un élément de tige de piston associé de l'agencement de cylindre de mesure, de telle sorte que celui-ci remplit une fonction double. Ceci présente l'avantage de réduire le besoin en place et d'économiser des

composants qui feraient augmenter les coûts de fabrication.

Pour actionner l'agencement de débrayage, on peut prévoir en supplément un agencement de cylindre récepteur hydraulique, que l'on peut actionner au moyen d'un cylindre récepteur actionné de préférence par une pédale. Dans ce contexte, il est particulièrement

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préférable que l'agencement de cylindre pneumatique soit accouplé de telle sorte à l'agencement de cylindre récepteur hydraulique et/ou à l'agencement de débrayage, qu'il est démontable indépendamment de l'agencement de cylindre récepteur, pour actionner l'agencement de débrayage. Par exemple, la réalisation peut être telle que l'agencement de cylindre récepteur déplace axialement l'agencement de cylindre pneumatique (dans son ensemble) pour actionner l'agencement de débrayage. Cependant, l'agencement de cylindre récepteur peut également actionner l'agencement de débrayage par expansion de

l'agencement de cylindre pneumatique.

Dans ce contexte, on propose de prévoir des organes formant seuil de force qui permettent l'actionnement hydraulique de l'agencement de cylindre récepteur sensiblement uniquement après avoir dépassé un seuil de force d'actionnement agissant sur le cylindre émetteur. Cette réalisation est particulièrement avantageuse en particulier lorsque la soupape de commande est pilotée par voie hydraulique via le cylindre émetteur actionné par pédale, pour actionner l'agencement de cylindre pneumatique. Grâce à l'agencement d'asservissement en position, uniquement de faibles pressions apparaissent ici dans le système hydraulique, et le seuil de force d'actionnement peut être choisi de telle sorte qu'il est supérieur aux pressions hydrauliques qui apparaissent lorsque l'agencement d'asservissement en position est en fonctionnement. Ainsi, dans le fonctionnement normal, l'agencement de cylindre récepteur ne contribue pas sensiblement à générer la force de débrayage de l'embrayage, de sorte que celui-ci peut être agencé sans problème également dans la cloche de boîtier, par exemple également sous forme d'un cylindre annulaire récepteur sensiblement concentrique par rapport à l'axe d'embrayage, sans que la sécurité de fonctionnement et les durées de vie du dispositifd'actionnement soient influencées de façon négative. Etant donné que l'agencement de cylindre récepteur n'est normalement pas alimenté en pression ou seulement de façon négligeable, les composants de l'agencement de cylindre récepteur, en particulier les joints d'étanchement et similaires, ne s'usent pas, de sorte que l'on peut négliger la probabilité de

l'apparition de fuites.

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Au cas o la source pneumatique n'était pas fonctionnelle ou que l'agencement d'asservissement en position était défaillant, par exemple à cause d'une soupape de commande encrassée, l'agencement de cylindre récepteur permet un actionnement de secours de l'embrayage. A cet effet, le cylindre émetteur doit être actionné avec une force d'actionnement dépassant le seuil de force d'actionnement, pour

actionner par voie hydraulique l'agencement de cylindre récepteur.

Les organes formant seuil de force peuvent comprendre un dispositif de précontrainte mettant sous précontrainte un piston de l'agencement

de cylindre récepteur et/ou un agencement à piston séparateur-et-

cylindre agencé entre l'agencement de cylindre récepteur et le cylindre émetteur et présentant un piston de séparation sous précontrainte et/ou une soupape agencée entre l'agencement de cylindre récepteur et le cylindre émetteur et s'ouvrant à l'encontre d'une précontrainte. De plus, on propose en variante ou comme mesure supplémentaire d'agencer une soupape de commutation pilotable dans une liaison hydraulique entre le cylindre émetteur et l'agencement de cylindre récepteur. De préférence, la soupape de commutation peut être commandée en dépendance de la pression de fonctionnement de la source pneumatique. En variante au fait que l'agencement de cylindre récepteur sert uniquement à l'actionnement de secours, l'agencement de cylindre récepteur hydraulique peut également servir d'agencement de cylindre

de mesure.

L'agencement de cylindre pneumatique peut comprendre un cylindre annulaire pneumatique sensiblement concentrique par rapport à l'axe d'embrayage. De plus, l'agencement de cylindre pneumatique peut comprendre en variante ou en supplément une pluralité de cylindres pneumatiques, qui sont agencés en répartition autour de l'axe d'embrayage, de préférence pour exercer une force coaxiale par rapport à l'axe d'embrayage sur l'agencement de débrayage, en particulier à des c2749894 distances angulaires périphériques égales les uns des autres, et en particulier à des distances égales par rapport à l'axe d'embrayage. De toute façon, grâce aux réalisations mentionnées, on atteint avec avantage que la force agissant depuis l'agencement de cylindre pneumatique sur l'agencement de débrayage soit dirigée sensiblement parallèlement à l'axe et qu'elle ne cause aucun couple de renversement dans l'agencement de débrayage. Il suffit donc de guider l'agencement de débrayage uniquement axialement, sensiblement sans support à l'encontre de couples de renversement. Un support à billes prévu entre une partie de débrayage stationnaire et une partie de débrayage tournant avec l'embrayage, ou le roulement à billes ou palier à roulement formé par l'ensemble de ces composants, est sollicité de façon régulière sur toute la périphérie; il n'a donc pas non plus besoin d'encaisser des couples de renversement. Les exigences d'autant plus faibles en ce qui concerne le montage de l'agencement de débrayage ou la réalisation du roulement à billes permettent des avantages à l'égard

des coûts.

L'agencement de cylindre récepteur hydraulique peut comprendre un cylindre annulaire récepteur sensiblement concentrique par rapport à l'axe d'embrayage. De plus, l'agencement de cylindre récepteur hydraulique peut comprendre en variante ou en supplément une pluralité de cylindres récepteurs, qui sont agencés en répartition autour de l'axe d'embrayage, de préférence pour exercer une force coaxiale par rapport à l'axe d'embrayage sur l'agencement de débrayage, en particulier à des distances angulaires périphériques égales les uns aux autres et à des distances égales par rapport à l'axe d'embrayage. Il en résulte les mêmes avantages que dans l'agencement de cylindre

pneumatique décrit ci-dessus.

L'agencement de cylindre pneumatique et l'agencement de cylindre récepteur hydraulique peuvent avantageusement former une unité structurelle. Lorsque l'on prévoit tant un cylindre annulaire récepteur qu'un cylindre annulaire pneumatique, il est préférable que le cylindre annulaire récepteur et le cylindre annulaire pneumatique soient agencés coaxialement l'un dans l'autre. En particulier lorsque le cylindre annulaire récepteur et le cylindre annulaire pneumatique forment une unité structurelle, il est préférable que le cylindre annulaire récepteur

entoure radialement à l'extérieur le cylindre annulaire pneumatique.

Grâce à ceci, le milieu hydraulique (fluide hydraulique) peut être amené au cylindre annulaire récepteur de façon plus simple sur le plan structurel radialement depuis l'extérieur via un raccord hydraulique

correspondant du cylindre annulaire.

Lorsque le cylindre annulaire récepteur et le cylindre annulaire pneumatique sont agencés coaxialement l'un dans l'autre, il est en outre préférable que le cylindre annulaire récepteur dépasse au-delà du cylindre annulaire pneumatique en direction de l'axe d'embrayage vers l'embrayage à friction, et/ou que le cylindre annulaire pneumatique dépasse au-delà du cylindre annulaire récepteur en direction de l'axe d'embrayage vers la transmission. Lorsque le cylindre annulaire pneumatique dépasse au-delà du cylindre annulaire récepteur en direction de l'axe d'embrayage vers la transmission, le raccord pneumatique du cylindre annulaire pneumatique peut s'effectuer radialement depuis l'extérieur, de façon similaire comme dans le cylindre annulaire récepteur, sans que des perçages ou canaux compliqués, en particulier des canaux longs soient nécessaires (réduction du risque d'oscillations causées par l'élasticité de la colonne

d'air dans les conduites pneumatiques).

En particulier dans ce contexte, on propose en outre d'agencer de façon étanchée et mobile un élément de piston annulaire pneumatique dans un cylindre annulaire pneumatique délimité radialement par deux parois cylindriques annulaires s'étendant coaxialement à une distance radiale, ledit élément formant conjointement avec l'une des parois cylindriques annulaires en supplément un cylindre en gradins hydraulique annulaire étanché. Le cylindre annulaire pneumatique et le

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cylindre annulaire récepteur hydraulique forment alors une unité économique à fabriquer, et on peut obtenir de façon simple l'agencement relatif indiqué ci-dessus du cylindre annulaire

pneumatique et du cylindre annulaire récepteur.

Conformément à une variante avantageuse, on propose qu'un piston annulaire du cylindre annulaire récepteur forme une paroi cylindrique du cylindre annulaire pneumatique. De plus, on propose qu'un piston annulaire du cylindre annulaire pneumatique forme une paroi cylindrique du cylindre annulaire récepteur. On obtient une unité particulièrement compacte comportant les deux cylindres annulaires lorsque le piston annulaire du cylindre annulaire récepteur est agencé de façon étanchée et axialement mobile sur le piston annulaire du cylindre annulaire pneumatique formant une paroi cylindrique du cylindre annulaire récepteur et sur une paroi cylindrique opposée du

cylindre annulaire récepteur.

Conformément à une autre variante avantageuse, le cylindre annulaire pneumatique peut présenter deux parois cylindriques annulaires axialement mobiles l'une par rapport à l'autre et s'étendant coaxialement à une distance radiale, dont chacune porte une paroi frontale annulaire pénétrant respectivement jusqu'à l'autre paroi cylindrique annulaire, pour délimiter une chambre de compression, et l'agencement de débrayage est retenu sur une première paroi des deux parois cylindres annulaires et des moyens de fixation sont retenus sur la seconde paroi des deux parois cylindres annulaires, pour fixer le cylindre annulaire pneumatique dans la cloche de boîtier. La réalisation citée est particulièrement avantageuse dans ce que l'on appelle des,, embrayages à enfoncement", dans lesquels l'agencement de débrayage est déplacé pour le débrayage en direction de

l'embrayage, et elle permet des unités structurelles très compactes.

Les moyens de fixation comprennent de préférence un talon tubulaire cylindrique annulaire sur le côté de la paroi frontale de la seconde paroi cylindrique annulaire, qui est axialement détourné de

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l'agencement de débrayage, sur lequel la première paroi cylindrique annulaire est guidée radialement de façon axialement mobile. Grâce à la réalisation décrite, on obtient un guidage radial particulièrement fiable de la première paroi cylindrique annulaire sans investir beaucoup de travail. Grâce au talon tubulaire, le cylindre annulaire pneumatique est en outre déplacé à distance de la paroi de cloche de boîtier en direction du centre de la cloche de boîtier s'étendant en élargissement radial depuis la transmission en direction du moteur, de sorte que le cylindre annulaire pneumatique peut être mis en place également dans le cas de différentes structures géométriques et

relations de place de la cloche de boîtier.

On propose d'agencer des joints d'étanchement destinés à étancher la chambre de compression sur la paroi frontale de la première paroi cylindrique annulaire d'une part, et dans la région de l'extrémité de la première paroi cylindre annulaire, qui est éloignée de l'agencement de débrayage d'autre part, lesdits joints s'appuyant avec étanchement contre des surfaces de coulissement de la seconde paroi cylindrique annulaire et du talon tubulaire cylindrique annulaire. Grâce à ceci, on atteint que seuls la seconde paroi cylindrique annulaire et le talon tubulaire doivent être usinés avec une précision comparativement élevée pour réaliser les surfaces de coulissement, tandis que pour la fabrication de la première paroi cylindrique annulaire une précision nettement plus faible suffit, on peut donc utiliser une pièce coulée

largement non usinée.

De préférence, la seconde paroi cylindrique annulaire entoure radialement à l'extérieur la première paroi cylindrique annulaire. La soupape de commande peut alors être agencée à l'extérieur sur la seconde paroi cylindrique annulaire, et la liaison pneumatique entre le cylindre annulaire pneumatique et la soupape de commande peut s'effectuer par un perçage simple dans la seconde paroi cylindrique annulaire. Si, inversement, la première paroi cylindrique était disposée radialement à l'extérieur, la soupape de commande agencée sur cette première paroi cylindrique annulaire disposée à l'extérieur serait 19 d2749894 entraînée lors de l'actionnement du cylindre annulaire pneumatique, ce qui signifierait plus de travail pour la liaison pneumatique vers la soupape de commande et pour le pilotage de la soupape de commande, mais ce qui serait en principe également possible. Le talon tubulaire peut être réalisé en une seule pièce avec la seconde paroi cylindrique

annulaire et avec sa paroi frontale.

Il est particulièrement avantageux que l'agencement de cylindre pneumatique comporte un cylindre annulaire pneumatique qui porte, sur son côté axialement détourné de l'agencement de débrayage et coaxialement un talon tubulaire pourvu, à l'extrémité éloignée du cylindre annulaire, de moyens de fixation destinés à la liaison vers la cloche de boîtier, en particulier pour le centrage intérieur ou extérieur, et que les moyens de fixation forment, le cas échéant conjointement avec du moins une région partielle du talon tubulaire, un adaptateur de

fixation fabriqué de façon séparée du cylindre annulaire pneumatique.

Grâce à ceci, l'utilisation du même agencement de cylindre pneumatique est possible de façon particulièrement simple dans différentes symétries et relations de place de la cloche de boîtier. Étant donné que l'agencement de cylindre pneumatique peut être fabriqué en correspondance en grande série, il en résulte de grands avantages à

l'égard des coûts de fabrication.

L'adaptateur de fixation peut présenter un talon de guidage pour la fixation radiale et/ou axiale du talon tubulaire. Ainsi, on peut renoncer à des mesures de fixation séparées du talon tubulaire et ainsi de

l'agencement de cylindre pneumatique.

Un accumulateur élastique susceptible d'être mis sous contrainte au moyen de l'agencement de cylindre pneumatique peut être associé à l'agencement de débrayage et il peut être déclenché pour un actionnement de secours de l'embrayage à friction. Grâce à ceci, un actionnement de secours de l'embrayage à friction devient possible, sans qu'un agencement de cylindre récepteur hydraulique correspondant soit nécessaire. Bien qu'un agencement de cylindre

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récepteur hydraulique servant à l'actionnement de secours exige extrêmement peu d'entretien et qu'il soit insensible aux réparations, comme mentionné, il existe éventuellement des préjugés contre un agencement de cylindre récepteur hydraulique agencé dans la cloche de boîtier. L'accumulateur élastique décrit permet ici une variante favorable. La source pneumatique peut être une source de dépression pneumatique ou bien une source de pression pneumatique fournissant un gaz sous pression. On préfère une source de pression pneumatique par rapport à une source de dépression pneumatique, car ceci permet

des sections transversales plus petites pour le cylindre pneumatique.

Pour ce qui concerne l'embrayage à friction pour lequel est prévu le dispositif d'actionnement, il peut s'agir d'un embrayage tiré ou d'un embrayage "enfoncé". Dans l'embrayage tiré, l'agencement de débrayage est déplacé pour un débrayage en direction vers la transmission, tandis que dans un embrayage enfoncé, l'agencement de débrayage est déplacé pour un débrayage en direction vers le moteur à

combustion interne.

Le dispositif d'actionnement convient particulièrement pour des véhicules automobiles utilitaires dans lesquels une source de pression pneumatique est habituellement de toute façon prévue. Lorsque l'on parle ici de véhicules automobiles utilitaires, on se rapporte surtout à

des camions, des bus, des véhicules tous terrains lourds et similaires.

Cependant, les voitures particulières ne sont pas exclues en tant que

domaine d'utilisation pour le dispositif d'actionnement.

Lorsque l'on a parlé ci-dessus du fait que la soupape de commande est du moins accessible conformément à l'invention, ceci signifie que la soupape de commande est accessible pour des travaux d'entretien et de réparation du moins avec les outils prévus à cet effet, de telle sorte que l'on peut effectuer les travaux d'entretien ou de réparation du moins

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dans le cas normal sans procéder à des préparations importantes, c'est-

à-dire en particulier sans démonter la cloche de boîtier du moteur à

combustion interne (donc sans ouvrir le train d'entraînement).

L'invention se rapporte en outre à un dispositif d'actionnement pour un embrayage à friction agencé dans une cloche de boîtier dans le train d'entraînement d'un véhicule automobile, en particulier d'un véhicule automobile utilitaire, entre un moteur à combustion interne et une transmission, comportant un agencement de débrayage mobile sensiblement axialement par rapport à l'embrayage à friction pour actionner l'embrayage à friction; un agencement d'asservissement en position présentant un agencement de cylindre de fluide sous pression qui agit sur l'agencement de débrayage et qui est susceptible d'être actionné via une soupape de commande reliée à une source de fluide sous pression en dépendance d'une grandeur de référence représentant une position de consigne et d'une grandeur réelle représentant la

position axiale de l'agencement de débrayage.

Conformément à l'invention, on propose que l'agencement de cylindre

de fluide sous pression soit agencé à l'intérieur de la cloche de boîtier.

En ce qui concerne le fluide sous pression, il peut s'agir d'un fluide sous pression pneumatique (surtout d'un gaz comprimé présentant une pression supérieure à la pression ambiante d'une source de pression pneumatique ou éventuellement également un fluide pneumatique avec une pression inférieure à la pression ambiante d'une source de dépression, par exemple une conduite d'aspiration d'un moteur à combustion interne) ou également d'un fluide de pression hydraulique (liquide hydraulique). A l'égard de la source de fluide de pression, il peut donc s'agir d'une source de pression pneumatique, d'une source de

dépression pneumatique, ou d'une source de pression hydraulique.

De préférence, la soupape de commande est agencée à l'extérieur de la cloche de boîtier ou du moins en partie à l'intérieur de la cloche de boîtier, mais elle est accessible, en particulier démontable, depuis l'extérieur dans le cas de cloches de boîtier reliées au moteur à

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combustion interne et à la transmission. Il en résulte les avantages

mentionnés auparavant.

De préférence, pour actionner l'agencement de débrayage, on prévoit en supplément un agencement de cylindre récepteur hydraulique qui peut être actionné au moyen d'un cylindre émetteur susceptible d'être actionné en particulier par une pédale. A cet effet, on se réfère

également aux explications ci-dessus.

On préfère que la soupape de commande comporte un agencement de soupape réglable entre un premier état de commande reliant l'agencement de cylindre de fluide sous pression à la source de fluide sous pression et un second état de commande reliant l'agencement de cylindre de fluide sous pression à une ouverture de compensation de pression, qui peut être commuté entre les deux états de commande, en dépendance d'une grandeur différentielle associée à la grandeur réelle et à la grandeur de référence, et l'agencement de soupape est réglable de préférence en dépendance de la grandeur différentielle dans un troisième état de commande, dans lequel l'agencement de cylindre de fluide sous pression est fermé de façon sensiblement étanche au fluide sous pression. La soupape de commande et/ou l'agencement d'asservissement en position peut être réalisé(e) en correspondance de la soupape de commande ou de l'agencement d'asservissement en position du dispositif d'actionnement décrit auparavant avec

l'agencement de cylindre pneumatique.

Ce dernier aspect s'applique également tout généralement au dispositif d'actionnement conforme à l'invention avec l'agencement de cylindre de fluide sous pression. Le dispositif d'actionnement présentant l'agencement de cylindre de fluide sous pression peut être réalisé en correspondance du dispositif d'actionnement décrit auparavant et présentant l'agencement de cylindre pneumatique, et les indications structurelles pour l'agencement de cylindre pneumatique peuvent être transposées sans problème à l'agencement de cylindre de fluide sous

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pression, l'agencement de cylindre de fluide sous pression est donc à

réaliser en correspondance de l'agencement de cylindre pneumatique.

L'invention se rapporte en outre à une unité structurelle de cylindre d'actionnement, en particulier pour un dispositif d'actionnement conforme à l'invention, comportant un agencement de cylindre de fluide sous pression, en particulier un agencement de cylindre pneumatique, et comportant en outre de préférence un agencement de cylindre récepteur hydraulique ou un agencement de cylindre de mesure et le cas échéant une soupape de commande, l'un des agencements de cylindre au moins étant prévu pour l'agencement concentrique autour d'un axe d'embrayage. L'agencement de cylindre de fluide sous pression ou pneumatique est réalisé conformément à l'invention en correspondance de l'agencement de cylindre pneumatique ou de l'agencement de cylindre de fluide sous pression décrit auparavant. L'agencement de cylindre récepteur hydraulique ou de mesure est réalisé de préférence en correspondance de l'agencement de cylindre récepteur hydraulique ou de l'agencement de cylindre de mesure hydraulique décrit auparavant. La soupape de commande est réalisée de préférence en correspondance de la soupape de commande

décrite auparavant.

L'invention sera expliquée plus en détail dans ce qui suit en se

rapportant à plusieurs exemples de réalisation illustrés dans les figures.

Dans celles-ci: la figure 1 montre une coupe à travers un embrayage à friction comportant un dispositif d'actionnement conforme à l'invention selon un premier exemple de réalisation, avec un plan de coupe longitudinale axiale passant par l'axe d'embrayage; la figure 2 montre: à la figure 2a schématiquement plusieurs possibilités d'agencement pour la soupape de commande ou servo-soupape d'un dispositif d'actionnement conforme à l'invention présentant une unité structurelle de cylindre d'actionnement désignée comme cylindre récepteur assisté concentrique à la figure, par exemple selon la figure 3;

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à la figure 2b un dispositif d'actionnement conforme à l'invention selon un second exemple de réalisation comportant une soupape de commande agencée sur la cloche de boîtier de l'embrayage et une unité structurelle de cylindre d'actionnement, par exemple selon la figure 3 et à la figure 2c une coupe à travers la soupape de commande de la figure 2b; la figure 3 montre un exemple de réalisation d'une unité structurelle de cylindre d'actionnement qui présente un cylindre annulaire de fluide sous pression, en particulier un cylindre annulaire pneumatique, et un cylindre annulaire récepteur hydraulique, la figure 4 montre à la figure 4a et à la figure 4b deux variantes du dispositif d'actionnement conforme à l'invention selon la figure 2b; la figure 5 montre une coupe à travers un autre mode de réalisation d'une unité structurelle de cylindre d'actionnement comportant un cylindre annulaire de fluide sous pression, en particulier un cylindre annulaire pneumatique, et un cylindre annulaire récepteur hydraulique; la figure 6 montre une coupe à travers un autre mode de réalisation d'un dispositif d'actionnement conforme à l'invention ou une unité structurelle de cylindre d'actionnement comportant un cylindre annulaire de fluide sous pression, en particulier un cylindre annulaire pneumatique, et un cylindre annulaire récepteur hydraulique réalisé sous forme d'un cylindre en gradin, présentant une soupape de commande intégrée; la figure 7 montre une vue en coupe schématique d'un autre exemple de réalisation d'un dispositif d'actionnement conforme à l'invention, comportant un cylindre annulaire de fluide sous pression, en particulier un cylindre annulaire pneumatique, qui se passe d'un agencement de cylindre récepteur hydraulique; la figure 8 montre une coupe à travers un autre exemple d'une unité structurelle de cylindre d'actionnement conforme à l'invention comportant un cylindre annulaire de fluide sous pression, en particulier un cylindre annulaire pneumatique pour un dispositif d'actionnement

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conforme à l'invention, qui se passe d'un agencement de cylindre récepteur hydraulique; la figure 9 montre une modification schématique du dispositif d'actionnement conforme à l'invention de la figure 7, qui présente un cylindre récepteur hydraulique pour un actionnement de secours de l'embrayage; la figure 10 montre aux figures 1Oa et lob des modifications ou compléments du dispositif d'actionnement de la figure 9, et à la figure Oc la manière de réaliser un actionnement de secours de l'embrayage en prévoyant un accumulateur élastique; la figure 11 montre une modification de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement de la figure 5, dans laquelle le cylindre annulaire récepteur hydraulique sert uniquement à l'actionnement de secours; la figure 12 montre une coupe à travers une combinaison agencée dans une cloche de boîtier de l'embrayage, composée d'un cylindre annulaire récepteur hydraulique avec plusieurs cylindres de fluide sous pression individuels, en particulier des cylindres annulaires pneumatique; la figure 13 montre schématiquement une vue sur le dispositif de débrayage d'un embrayage en direction depuis le moteur à combustion interne vers la transmission, une combinaison agencée dans une cloche de boîtier, composée de deux cylindres à fluide sous pression individuels, en particulier des cylindres pneumatiques et de deux cylindres récepteurs hydrauliques individuels; la figure 14 montre une autre modification du dispositif d'actionnement conforme à l'invention et montré à la figure 7; la figure 15 montre dans les figures 15a et 1l5b deux autres variantes du dispositif d'actionnement conforme à l'invention, en correspondance de la figure 2b; et la figure 16 montre: à la figure 16a schématiquement le circuit de réglage d'un exemple de réalisation comportant un dispositif d'actionnement conforme à l'invention comportant un dispositif de réglage de position, et

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à la figure 16b une courbe caractéristique de positionnement signal de référence/position de consigne, selon laquelle peut s'effectuer le positionnement de l'agencement de débrayage du dispositif

d'actionnement de la figure 16a.

L'embrayage à friction 2 montré à la figure 1 est agencé dans un boîtier 4 qui, en raison de sa forme, est également désigné comme cloche ou comme cloche de boîtier. La cloche 4 comporte un secteur de boîtier 6 qui peut être formé par un secteur de paroi d'une transmission non illustrée. Un autre secteur 8 du boîtier peut être formé par exemple par

un secteur de paroi de boîtier d'un moteur non illustré.

En ce qui concerne l'embrayage à friction 2, il s'agit ici d'un embrayage tiré à deux disques d'un mode de construction habituel, de sorte qu'il n'est pas nécessaire d'expliquer l'embrayage plus en détail. On indiquera par conséquent seulement en abrégé les composants

d'embrayage importants et les composants associés à l'embrayage.

L'embrayage comporte deux disques d'embrayage 10 et 12 auxquels on a associé des amortisseurs de charge 14 et des amortisseurs de course à vide 16. L'embrayage comporte en outre une plaque de pression 18 agencée sur le côté transmission de l'embrayage et une plaque de

pression intermédiaire 20 agencée entre les deux disques d'embrayage.

Le volant d'inertie 22 côté moteur est suggéré en tirets à la figure 1. De plus, on a suggéré en tirets un palier pilote 24 et un arbre d'entrée de transmission 28 qui est en liaison solidaire en rotation avec les disques

d'embrayage 10 et 12.

La plaque de pression 18 est mise sous précontrainte par des ressorts à lame tangentiels 30 en direction vers la transmission. A l'état embrayé de l'embrayage, la plaque de pression 18 est pressée par un ressort à membrane 32 contre le disque d'embrayage 12 côté transmission, celui- ci contre la plaque de pression intermédiaire 20, celle-ci contre le disque d'embrayage 10 côté moteur, et celui-ci contre le volant d'inertie 22. Le ressort à membrane 32 présente plusieurs languettes de ressort à membrane 34 qui s'étendent radialement vers l'intérieur en

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direction de l'arbre d'entrée de transmission 28 et dont les extrémités libres situées radialement à l'intérieur sont fixées ou engagées sur ou dans un anneau de débrayage 46 tournant avec l'embrayage (désigné le cas échéant également comme anneau de dispositif de débrayage 46) d'unagencement de débrayage 48. Le long de la bordure périphérique située radialement à l'extérieur, le ressort à membrane 32 s'appuie en direction vers la transmission via un anneau d'appui 36 contre le boîtier d'embrayage 38 lui-même qui tourne avec les plaques de

pression 18 et 20 et avec le volant d'inertie 22.

Pour l'actionnement, donc pour l'opération de débrayage de l'embrayage, les extrémités libres des languettes de ressort à membrane 34 sont tirées en direction vers la transmission, en déplaçant l'anneau de débrayage 46 au moyen d'une unité structurelle de cylindre d'actionnement 52 à expliquer encore plus en détail, en direction vers la transmission. La plaque de pression 18 n'est alors plus pressée par le ressort à membrane 32 contre le disque d'embrayage 12, et elle est déplacée par les ressorts à lame tangentiels 30 désignés également comme ressorts de "mise à l'air" en éloignement du volant d'inertie 22 vers la transmission, de sorte que la coopération en friction entre les disques d'embrayage, le volant d'inertie et les plaques de pression est annulée. Dans ce qui suit, on expliquera plus en détail l'agencement de

débrayage 48 et l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52.

L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52 présente un cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 et un cylindre annulaire pneumatique 56. Le cylindre annulaire pneumatique est formé par deux parois cylindriques annulaires 58 et 60 qui s'étendent coaxialement par rapport à une distance radiale (coaxialement par rapport à l'axe d'embrayage A) et qui sont axialement mobiles l'une par rapport à l'autre, et qui présentent, pour délimiter le cylindre annulaire en direction axiale, une paroi frontale annulaire 62 ou 64 s'étendant respectivement jusqu'à l'autre paroi cylindrique annulaire, en une seule pièce avec la paroi cylindre annulaire respective. A leur bordure

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périphérique libre, les parois frontales portent chacune un joint d'étanchement qui s'appuie avec étanchement contre l'autre paroi

cylindrique annulaire respective, comme on le voit à la figure 1.

La paroi cylindrique annulaire 60 fait partie d'une pièce de corps stationnaire 66 fixée sur la cloche de boîtier, qui présente des perçages 68 servant de conduites pneumatiques, qui débouchent dans la

chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56.

La paroi cylindrique annulaire 58 axialement mobile est guidée axialement le long d'un secteur de paroi cylindrique annulaire de la pièce de corps 66, et elle est rigidement reliée à une autre paroi cylindrique annulaire 70 axialement mobile et s'étendant coaxialement qui porte sur sa face périphérique intérieure un anneau de débrayage

47 qui ne tourne pas avec la rotation de l'embrayage.

La paroi cylindrique annulaire 70 porte dans sa région d'extrémité côté transmission et radialement à l'extérieur une unité d'étanchement annulaire qui s'appuie avec étanchement contre une paroi cylindrique annulaire stationnaire 72 de la pièce de corps 66, qui s'étend coaxialement et qui est radialement à l'extérieur en vis-à-vis de la paroi cylindrique annulaire 70. La paroi cylindrique annulaire 72 porte à son tour dans sa région d'extrémité côté moteur radialement vers l'intérieur une autre unité d'étanchement annulaire qui s'appuie avec étanchement contre la face périphérique radialement extérieure de la paroi

cylindrique annulaire 70.

Les parois cylindriques annulaires 70 et 72 et lesdits unités d'étanchement annulaires délimitent la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54. Le cylindre annulaire récepteur hydraulique est donc formé par la paroi cylindrique annulaire stationnaire 72 de la pièce de corps 66, par la paroi cylindrique annulaire 70 axialement mobile et rigidement reliée à la paroi cylindrique annulaire 58 du cylindre annulaire pneumatique 56, et par

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lesdites unités d'étanchement annulaires. La pièce de corps 66 présente d'autres perçages 69 servant de canaux hydrauliques, qui débouchent dans la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur

hydraulique 54.

Sur l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52 comportant le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54, le cylindre annulaire pneumatique 56 et ainsi la pièce de corps 66, on a monté de façon détachable une soupape de commande 74 qui présente un raccord d'air comprimé 76 qui est en liaison pneumatique avec une source d'air comprimé, un raccord hydraulique 78 qui est en liaison hydraulique avec un cylindre émetteur susceptible d'être actionné par une pédale, une sortie d'air comprimé non illustrée à la figure 1 et une sortie hydraulique 80. La sortie hydraulique 80 est raccordée via les perçages 69 à la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54. Il en est de même pour la sortie d'air comprimé de la soupape de commande 74; cette sortie est raccordée via les perçages 68 à la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56. La sortie hydraulique 80 et le raccord hydraulique 78 sont en liaison hydraulique l'un avec l'autre via une chambre hydraulique 86 de la soupape de commande 74, qui représente une entrée de commande de la soupape de commande 74, indépendamment de l'état de commande de la soupape de commande. La sortie d'air comprimé est en liaison pneumatique avec le raccord d'air comprimé 76 ou avec une ouverture de compensation de pression 84 vers l'intérieur de la cloche de boîtier 4, en dépendance de l'état de

commande de la soupape de commande 74.

Le mode de fonctionnement de la soupape de commande 74 sera expliqué en détail en se rapportant au mode de réalisation de la figure 6, dans lequel on a prévu une soupape de commande du même type. Cependant, on indique ici toute de suite que la soupape de commande travaille selon le principe dit de "balance de pression" et qui relie, lors d'une pression hydraulique augmentée par rapport à une pression de consigne dans la chambre hydraulique 86 formant l'entrée

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de commande, le raccord d'air comprimé 76 à la sortie d'air comprimé, et qui relie, lors d'une pression hydraulique inférieure à la pression de consigne dans la chambre hydraulique 86, la sortie d'air comprimé à l'ouverture de compensation de pression 84. Lorsque la pression hydraulique dans la chambre hydraulique 86 correspond à la pression de consigne ou le cas échéant à une plage de pression de consigne, la sortie d'air comprimé est fermée, c'est-à-dire que la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique est fermée

vers l'extérieur et vers la source d'air comprimé.

Comme on voit en particulier à la figure 1, le cylindre annulaire pneumatique 56 et le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 sont mécaniquement accouplés l'un à l'autre, de telle sorte qu'une augmentation de volume de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56 est possible uniquement lors d'une augmentation de volume simultanée de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54, et inversement. Il en est de même pour une diminution de volume de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 ou du cylindre annulaire pneumatique 56. Le volume de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 est ainsi une mesure pour le volume de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56 et ainsi pour la position axiale de la paroi cylindrique annulaire 58 et ainsi de

l'agencement de débrayage 48.

Lors d'un actionnement du cylindre émetteur raccordé au raccord hydraulique 78 par la pédale d'embrayage, la pression dans la chambre hydraulique 86 augmente par rapport à la pression de consigne. Ceci a pour conséquence que la soupape de commande 74 fait entrer de l'air comprimé dans le cylindre annulaire pneumatique 56, de sorte que son volume dans la chambre annulaire augmente avec un déplacement correspondant de la paroi cylindrique annulaire 58, de la paroi cylindrique annulaire 70 et ainsi de l'agencement de débrayage 48 en direction vers la transmission. Les extrémités libres des languettes de

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ressort à membrane 34 sont tirées ce faisant par l'anneau de débrayage

46 en direction vers la transmission.

Dans ce mouvement de déplacement entre autres également de la paroi cylindrique annulaire 70, la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 augmente en correspondance, et les modifications des volumes des deux chambres cylindriques annulaires présentent un rapport ferme l'une par rapport à l'autre. Grâce à l'augmentation de volume du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54, l'huile sous pression peut s'écouler hors de la chambre hydraulique 86 en direction de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54, de sorte que la pression dans la chambre hydraulique 86 est réduite jusqu'à atteindre la pression de consigne. Lorsque la pression de consigne est atteinte, l'amenée d'air comprimé vers le cylindre annulaire pneumatique 56 est interrompue, de sorte que le mouvement de déplacement des pièces mentionnées est arrêté. Lorsque l'on n'enfonce plus la pédale d'embrayage, l'huile hydraulique peut s'écouler hors de la chambre hydraulique 86 à travers le raccord hydraulique 78 en direction vers le cylindre émetteur. Grâce à ceci, la pression dans la chambre hydraulique 86 est réduite au-dessous de la valeur de consigne, de sorte que la soupape de commande 74 établit maintenant la liaison entre la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56 et l'ouverture de compensation de pression 84. Grâce à la force élastique du ressort à membrane 32 ou de ses languettes 34, l'agencement de débrayage 48, conjointement avec les pièces mentionnées mobiles en direction axiale, est tiré (à l'encontre de la force d'un ressort de précontrainte 88 dans la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56) en direction vers l'embrayage (donc vers la gauche à la figure 1), suite à quoi les volumes des chambres cylindriques annulaires du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 et du cylindre annulaire pneumatique 56 diminuent. Grâce à la réduction de volume de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur

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hydraulique 54, de l'huile sous pression est pressée via les perçages 69 en retour dans la chambre hydraulique 86, de sorte que la pression augmente à nouveau ici, jusqu'à ce que la pression hydraulique atteigne la pression de consigne. Grâce à ceci, la liaison pneumatique entre l'ouverture de compensation de pression 84 et la sortie d'air comprimé de la soupape de commande 74 est à nouveau fermée, de sorte que le mouvement de déplacement de l'agencement de débrayage 48, conjointement avec les chambres cylindriques annulaires 58 et 70,

*est arrêté.

Grâce à la soupape de commande 74 et à l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52, on réalise un agencement de réglage de position hydraulique, dans lequel le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 représente un cylindre de mesure qui détecte la position de l'agencement de débrayage 48. La mesure pour la position de l'agencement de débrayage est représentée par le volume du cylindre annulaire récepteur hydraulique désigné dans ce qui suit également comme cylindre de mesure. Ce volume représente en quelque sorte une grandeur réelle qui représente la position axiale de l'agencement de débrayage. De la même façon, le volume d'huile sous pression refoulé hors du cylindre émetteur lors de l'actionnement de la pédale d'embrayage représente une mesure pour la position de consigne axiale de l'agencement de débrayage, ce volume refoulé représente donc une grandeur de référence représentant la position de consigne de

l'agencement de débrayage.

Tant que l'agencement d'asservissement en position formé par la soupape de commande 74, par le cylindre annulaire pneumatique 56 et par le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 (cylindre de mesure) travaille de la manière décrite, donc en particulier tant que l'air comprimé est appliqué au raccord d'air comprimé 76, les pressions hydrauliques apparaissant dans le système hydraulique sont si petites qu'elles ne suffisent pas à l'actionnement du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54, car les forces de poussée hydrauliques agissant sur l'agencement de débrayage 48 ne peuvent pratiquement

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pas surmonter la force élastique du ressort à membrane 32. Le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 sert donc, dans les conditions mentionnées, uniquement de cylindre de mesure et il ne contribue pas sensiblement aux forces de poussée déplaçant l'agencement de débrayage 48. Au cas o la soupape de commande 74 n'est pas fonctionnelle, par exemple parce qu'aucun air comprimé n'est appliqué au raccord d'air comprimé 76 lorsque le moteur n'est pas en marche, le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54 est cependant conçu de telle sorte que, grâce à un actionnement d'autant plus fort de la pédale d'embrayage, donc grâce au fait qu'on génère une pression hydraulique d'autant plus élevée, un actionnement de l'embrayage dans le sens d'un actionnement de secours est possible au moyen du cylindre annulaire

récepteur hydraulique 54.

Dans l'exemple de réalisation de la figure 1, on indiquera en supplément qu'il est prévu un émetteur de valeur mesurée électrique 89 qui détecte la position de l'agencement de débrayage et qui envoie le résultat de mesure correspondant par exemple à une unité de commande électronique qui surveille les fonctions de l'embrayage. En ce qui concerne l'unité de commande, il peut s'agir également d'une

unité de commande d'une transmission automatique ou semi-

automatique. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de prévoir une pédale d'embrayage, et le cylindre émetteur pourrait également être actionné via un agencement d'actionnement correspondant, en particulier par

voie électrique.

En ce qui concerne la soupape de commande 74, on ajoutera encore que celle-ci n'est agencée que partiellement à l'intérieur de la cloche de boîtier 4 et qu'elle dépasse par son extrémité côté raccord d'air comprimé hors de la cloche de boîtier 4. Dans la région de la soupape de commande 74, on a prévu une ouverture dans la cloche de boîtier 4, à travers laquelle la soupape de commande est accessible depuis l'extérieur et, si besoin est, démontable, sans que l'on soit obligé

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d'ouvrir la cloche de boîtier dans son ensemble, donc sans ouvrir le

train d'entraînement.

En ce qui concerne l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52, que l'on peut également désigner comme,,cylindre récepteur assisté concentrique", on mentionnera encore que l'on peut également prévoir un cylindre annulaire d'huile sous pression au lieu du cylindre annulaire pneumatique 56. La soupape de commande 74 serait alors à remplacer par une soupape pilotable par voie hydraulique, qui convient pour régler l'amenée ou l'évacuation d'huile sous pression vers ou hors

du cylindre annulaire d'huile sous pression.

La figure 2a montre schématiquement la structure principale de plusieurs exemples de réalisation décrits ici du dispositif d'actionnement conforme à l'invention. La soupape de commande désignée dans le dessin comme servo-soupape est pilotée par voie

hydraulique au moyen d'un cylindre émetteur hydraulique. La servo-

soupape raccordée de préférence à l'air comprimé, le cas échéant également à une source d'huile sous pression commande via deux conduites de liaison une unité structurelle de cylindre d'actionnement (désignée comme cylindre récepteur assisté concentrique à la figure 2b), qui comporte un cylindre annulaire récepteur hydraulique servant le cas échéant de cylindre de mesure et/ou de cylindre d'actionnement de secours, et un cylindre annulaire de fluide sous pression, en particulier un cylindre annulaire pneumatique. Les deux cylindres annulaires sont agencés concentriquement par rapport à l'arbre d'entrée de transmission. La cloche de boîtier est symbolisée par

des lignes en tirets 4', 4" et 4"' pour trois variantes à la figure 2a.

Comme illustré, la servo-soupape peut être agencée dans la cloche de boîtier (4'), à l'extérieur de la cloche de boîtier (4"') et en partie à l'intérieur et en partie à l'extérieur de la cloche de boîtier (4"). Dans chaque position, la servo-soupape devrait être accessible et/ou démontable depuis l'extérieur, afin de permettre une réparation ou un

entretien simple de la servo-soupape.

Dans ce qui suit, on expliquera d'autres exemples de réalisation du dispositif d'actionnement conforme à l'invention ou de composants

individuels de dispositifs d'actionnement conformes à l'invention.

Dans ce cas, on utilisera dans la description de l'exemple de réalisation

respectif les mêmes chiffres de référence pour des composants ayant le même effet ou des composants analogues à ceux de l'exemple ou des exemples de réalisation décrit(s) déjà auparavant. Dans ce cas, on expliquera respectivement uniquement les différences par rapport au mode ou aux modes de réalisation déjà décrit(s), et on se rapportera

pour le reste expressément à la description qui précède des autres

modes de réalisation. Pour distinguer les modes de réalisation, les chiffres de référence des modes de réalisation décrits dans ce qui suit seront désignés par des lettres minuscules, en commençant avec la

lettre a et dans l'ordre alphabétique.

Dans l'exemple de réalisation montré à la figure 2b, la soupape de commande 74a est agencée de façon détachable sur la face extérieure de la cloche de boîtier 4a, et par conséquent, on peut l'atteindre de manière particulièrement simple pour des travaux d'entretien ou de réparation. La soupape de commande 74a illustrée en coupe à la figure 2c présente la même structure que la soupape de commande 75 du premier exemple de réalisation selon la figure 1. On a raccordé à son raccord hydraulique 78a, via une conduite hydraulique 90a, un cylindre émetteur hydraulique 92a que l'on peut actionner au moyen d'une pédale d'embrayage 94a. Le cylindre émetteur 92a est en liaison, de manière connue, via un perçage renifleur et via une conduite

hydraulique avec un récipient de réserve de fluide hydraulique 96a.

Grâce à ceci, on obtient de manière simple une compensation automatique de l'abrasion de l'embrayage. Une source d'air comprimé 98a illustrée symboliquement est raccordée via une conduite

pneumatique 100a au raccord d'air comprimé 76a.

Le second exemple de réalisation présente également une unité structurelle de cylindre d'actionnement 52a réalisée de façon intégrale, qui comporte un cylindre annulaire récepteur hydraulique et un

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cylindre annulaire pneumatique. Les cylindres annulaires sont agencés concentriquement par rapport à l'arbre d'entrée de transmission ou par rapport à l'axe de transmission A. La liaison entre les cylindres annulaires et la soupape de commande est établie par deux conduites menant depuis l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52a jusqu'à la soupape de commande 74a, à savoir une conduite hydraulique 102a et une conduite pneumatique 104a. La conduite pneumatique 104a qui n'est dans le fond pas visible dans la vue selon la figure 2b est illustrée en décalage (en correspondance d'une soupape

de commande tournée de 90 , ligne de contour en tirets de la soupape).

Dans l'embrayage illustré seulement en partie dans la figure 2b, il s'agit d'un embrayage tiré, tout comme dans l'exemple de réalisation de la

figure 1. L'utilisation d'un embrayage enfoncé est également possible.

Une unité structurelle de cylindre d'actionnement avantageuse qui mettre être mise en place par exemple dans le dispositif d'actionnement de la figure 2b (on utilisera par conséquent également des chiffres de référence avec la lettre a), est illustrée à la figure 3. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52a (convenable pour l'actionnement d'un embrayage tiré) comporte une pièce de corps 106a stationnaire dans la cloche de boîtier, qui présente une paroi cylindrique annulaire 108 coaxiale par rapport à l'axe d'embrayage A ou par rapport à l'axe d'entrée de transmission. Une paroi cylindrique annulaire 1 10a, qui est axialement mobile et également coaxiale à l'axe d'embrayage A, porte sur son tronçon d'extrémité côté embrayage, sur la face périphérique radialement extérieure, un palier de roulement 112a (le cas échéant également désigné comme roulement à billes), au moyen duquel l'anneau de débrayage 46a tournant avec l'embrayage est monté en

rotation sur la paroi cylindrique annulaire 1 1Oa.

Entre la paroi cylindrique annulaire 108a et la paroi cylindrique annulaire 1 10Oa située radialement plus à l'intérieur est formée une chambre annulaire dans laquelle s'étend depuis le côté embrayage une pièce intermédiaire 114a séparée et fixée sur la pièce de corps 106a,

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avec un secteur de paroi cylindrique annulaire concentrique par rapport à l'axe d'embrayage A. La surface périphérique radialement extérieure du secteur de paroi cylindrique annulaire 116a et la surface périphérique radialement intérieure du secteur de paroi cylindrique annulaire 11 Oa sont agencées respectivement à une distance radiale, de sorte que dans la position axiale montrée à la figure 3 de la paroi cylindrique annulaire 11 Oa, elles délimitent respectivement une chambre annulaire ou un secteur de chambre annulaire en direction radiale. La paroi cylindrique annulaire 1 1 Oa porte à son extrémité éloignée de l'agencement de débrayage 48a (côté transmission), sur la surface périphérique extérieure, une paroi frontale annulaire 118a s'étendant jusqu'à l'autre paroi cylindrique annulaire 108a, qui est rigidement reliée à l'extrémité côté transmission d'une paroi cylindrique annulaire a concentrique par rapport à l'axe d'embrayage A. Les dimensions radiales de la paroi cylindrique annulaire 120a sont telles que la paroi cylindrique annulaire 120a s'adapte entre la paroi cylindrique annulaire 108a et le secteur de paroi cylindrique annulaire 116a. Dans la chambre annulaire entre le secteur de paroi cylindrique annulaire 116a et la paroi cylindrique annulaire 108a, on a agencé en outre un joint d'étanchement 122a sur le côté de la paroi cylindrique annulaire 120a plus proche de l'embrayage, qui présente des lèvres d'étanchéité dirigées en direction de l'embrayage. Le joint d'étanchement 122a forme conjointement avec la paroi cylindrique annulaire 120a un piston annulaire d'un cylindre annulaire récepteur hydraulique 54a délimité par ce piston annulaire, par la paroi cylindrique annulaire

108a et par la partie intermédiaire 114a.

De plus, entre la paroi cylindrique annulaire 120a axialement mobile et servant de piston annulaire, la paroi frontale 1 1 8a, la paroi cylindrique annulaire 1l1 Oa, le secteur de paroi cylindrique annulaire 1 1 6a et un joint d'étanchement 124a qui est appuyé en direction de l'embrayage par une pièce de support annulaire agencée entre le secteur de paroi cylindrique annulaire 1 1 6a et la paroi cylindrique annulaire 1 1Oa, un

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cylindre annulaire pneumatique 56a est en outre délimité, qui est étanché vers l'extérieur et en particulier en mettant en place un autre joint d'étanchement 128a vers le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54a. Pour une meilleure séparation du système pneumatique et du système hydraulique, la paroi cylindrique annulaire 108a présente une ouverture de mise à l'air 130a grâce à laquelle de l'air comprimé s'échappant hors de la chambre annulaire pneumatique, en passant le joint d'étanchement 128a, peut s'échapper via des canaux libres entre la paroi cylindrique annulaire 120a et le joint d'étanchement 122a, ainsi via un passage de mise à l'air libre entre la paroi cylindrique annulaire 120a et la paroi cylindrique annulaire 108a,

vers l'ouverture de mise à l'air 130a.

Le secteur de paroi cylindrique annulaire 116a sert de piston annulaire stationnaire pour le cylindre annulaire pneumatique présentant des

parois cylindriques axialement mobiles (parois 1 lOa et 120a).

Étant donné que la paroi cylindrique annulaire 120a et le secteur de paroi cylindrique annulaire 1 1 6a remplissent chacun une fonction double, à savoir de servir d'une part de piston annulaire d'un cylindre annulaire et de délimiter d'autre part l'autre chambre cylindrique annulaire respective, l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52a

montrée est particulièrement compacte.

L'amenée d'air comprimé vers le cylindre annulaire pneumatique 56a s'effectue via des canaux ou des perçages 68a dans la pièce intermédiaire 114a, et l'amenée de l'huile sous pression vers le cylindre annulaire émetteur hydraulique s'effectue via un perçage 69a dans la

pièce de corps 106a.

La description qui précède montre que dans cette unité structurelle de

cylindre d'actionnement 52a également, les volumes des deux cylindres annulaires peuvent être augmentés uniquement conjointement ou bien qu'ils peuvent être diminués uniquement

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conjointement. Le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54a peut servir en correspondance également de cylindre de mesure, tout comme dans le premier exemple de réalisation, et il est également

conçu pour permettre un actionnement de secours de l'embrayage.

La figure 4a montre un autre exemple de réalisation d'un dispositif d'actionnement conforme à l'invention. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52b présente également un cylindre annulaire pneumatique concentrique par rapport à l'axe d'embrayage A, mais non pas forcément un cylindre annulaire récepteur hydraulique. Dans cet exemple de réalisation, la soupape de commande 74b est pilotée électriquement par une unité de commande électronique 140b. L'unité de commande 140b reçoit par un émetteur de valeur de consigne 142b susceptible d'être actionné par la pédale d'embrayage 94b, par exemple un potentiomètre, un signal de valeur de consigne électrique, et par un émetteur de valeur mesurée électrique 144b un signal de valeur électrique réelle représentant la position axiale de l'agencement de débrayage 48b. A cet effet, l'émetteur de valeur mesurée électrique 144b est accouplé à l'agencement de débrayage 48b. Les lignes de connexion électriques entre l'unité de commande 140b, l'émetteur de valeur de consigne 142b, la soupape de commande 74b pilotable par voie électrique et l'émetteur de valeur mesurée électrique 144b sont illustrés par des lignes 148b représentant des lignes électriques, au niveau desquelles la direction de circulation des signaux est indiquée par des flèches. L'unité de commande 140b pilote la soupape de commande 74b de telle sorte que la position axiale de l'agencement de débrayage 48b est réglée à la position de consigne déterminée par le signal de valeur de consigne. On réalise donc un circuit de régulation électrique. La figure 4b montre un autre exemple de réalisation. Dans cet exemple de réalisation, l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52c comporte à son tour un cylindre annulaire pneumatique, mais non pas forcément un cylindre annulaire récepteur hydraulique. Dans l'exemple de réalisation de la figure 4b, la soupape de commande 74c agencée à

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l'extérieur sur la cloche de boîtier 4c, tout comme dans l'exemple deréalisation de la figure 2b et dans l'exemple de réalisation de la figure 4a, est actionnée au moyen d'un câble Bowden 160c susceptible d'être actionné au moyen de la pédale d'embrayage 94c, et la longueur étirée de l'âme de câble Bowden (câble de traction) lors de l'appui sur la pédale d'embrayage 94c représente la grandeur de consigne ou de référence pour le débrayage de l'agencement de débrayage 48c. La position axiale de l'agencement de débrayage 48c est balayée purement mécaniquement au moyen d'un autre câble Bowden 162c et elle est rétroactive vers la soupape de commande 74c, o s'effectue la comparaison entre la valeur réelle et la valeur de consigne (valeur de référence), dans ce cas la comparaison entre deux trajets (égalisation de trajet). Le câble Bowden 160c peut attaquer par exemple un siège de soupape mis sous précontrainte, d'un corps de soupape monté de façon axialement mobile dans le siège de soupape, et il peut déplacer axialement celui-ci lorsque la pédale d'embrayage 94c est actionnée, suite à quoi une liaison pneumatique entre la source d'air comprimé 98c et la conduite pneumatique 104c s'ouvre. Ensuite, l'agencement de débrayage 48c est tiré en direction vers la transmission. Le câble Bowden 162c peut attaquer par exemple le corps de soupape mis sous précontrainte en sens opposé, de telle sorte que l'âme de câble de Bowden cédant lors du débrayage de l'agencement de débrayage 48c en direction vers la transmission permet un rapprochement du corps de soupape et du siège de soupape vers sa position relative axiale d'origine, jusqu'à ce que la liaison pneumatique entre la source d'air

comprimé 98c et la conduite pneumatique 104c soit à nouveau fermée.

Il en est de même lorsque la pédale d'embrayage 94c est à nouveau relâchée et qu'elle se déplace par exemple sous la force d'un ressort à nouveau dans sa position d'origine. Les câbles Bowden sont symbolisés à la figure 4b par des câbles de traction guidés sur des galets. Dans les exemples de réalisation décrits jusqu'ici, il s'agissait de dispositifs d'actionnement pour des embrayages tirés ou d'unités structurelles de cylindre d'actionnement pour de tels dispositifs d'actionnement. Dans ce qui suit, on décrira un exemple de réalisation

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d'une unité structurelle de cylindre d'actionnement 52d pour un

embrayage enfoncé, en se rapportant à la figure 5.

L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52d présente également un cylindre annulaire pneumatique 56d concentrique par rapport à l'axe d'embrayage A et un cylindre annulaire récepteur hydraulique 54d concentrique à celui-ci et agencé radialement plus à l'intérieur. Les deux cylindres annulaires sont réalisés avec des parois cylindriques stationnaires et avec un élément de piston annulaire 170d ou 172d

mobile par rapport aux parois cylindriques.

On a prévu comme pièces stationnaires de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52d surtout trois pièces annulaires 174d, 176d et 178d agencées coaxialement par rapport à l'axe d'embrayage A et coaxialement les unes dans les autres. Les pièces annulaires présentent chacune une paroi cylindrique annulaire (ou secteur de paroi cylindrique annulaire) 180d, 182d ou 184d, qui sont coaxiales par rapport à l'axe d'embrayage A et coaxiales les unes par rapport aux autres. La pièce annulaire stationnaire 178d située radialement le plus à l'intérieur présentant la paroi cylindrique annulaire 184d est réalisée

de façon tubulaire ou en forme d'une douille.

Entre la paroi cylindrique annulaire 180d située radialement le plus à l'extérieur de la pièce annulaire 174d située radialement le plus à l'extérieur et la paroi cylindrique annulaire 182d radialement médiane de la pièce annulaire 176d radialement médiane, l'élément de piston annulaire 172d du cylindre annulaire pneumatique 56d est monté avec étanchement de façon mobile en direction axiale. L'élément de piston annulaire 172d comporte une paroi cylindrique annulaire 190d également coaxiale par rapport à l'axe d'embrayage A et s'appuyant avec un joint d'étanchement 186d et un anneau coulissant 188d contre la surface périphérique radialement extérieure de la paroi cylindrique annulaire 182d. A l'extrémité côté embrayage de la paroi cylindrique annulaire 190d, une paroi frontale annulaire 192d réalisée en une seule pièce avec la paroi cylindrique annulaire 190d s'étend radialement vers

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l'intérieur et comporte un anneau de débrayage stationnaire 47d, un support de billes 112d ainsi qu'un second anneau de montage 46d retenu en rotation sur l'anneau de débrayage stationnaire 47d et tournant éventuellement avec l'embrayage qui est identique à l'anneau de débrayage 46d. A son extrémité côté transmission, la paroi cylindrique annulaire 190d est réalisée en une seule pièce avec une paroi frontale 194d s'étendant radialement vers l'extérieur vers la paroi cylindrique annulaire stationnaire 180d et avec un secteur de paroi cylindrique annulaire d d'étendant coaxialement par rapport à l'axe d'embrayage A en direction vers la transmission sur l'extrémité radialement extérieure de la paroi frontale 194d, qui s'appuie de façon axialement mobile et avec étanchement au moyen d'une unité d'étanchéité annulaire 196d et d'un anneau coulissant annulaire 198d contre la surface périphérique intérieure de la paroi cylindrique annulaire 180d. L'amenée d'air comprimé (ou le cas échéant d'un autre fluide sous pression) s'effectue via un perçage 200d dans la pièce annulaire stationnaire 176d depuis le

côté transmission. Comme le montre la figure 5 et la description qui

précède, la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56d est délimitée par l'élément de piston annulaire 172d et par les deux pièces annulaires stationnaires 174d et 176d, la fonction de piston étant remplie sensiblement par la paroi frontale 194d. La plage de déplacement axiale de l'élément de piston annulaire 172d est

limitée par un anneau de butée 197d sur la pièce annulaire 174d.

On a réalisé entre la paroi cylindrique annulaire 1182d et la paroi cylindrique annulaire 184d une chambre annulaire dans laquelle est reçu de façon mobile en direction axiale un secteur de paroi cylindrique annulaire 202d de l'élément de piston annulaire 170d, qui présente la forme d'une douille ou d'un tube et qui est coaxial par rapport à l'axe d'embrayage A. De plus, du côté transmission du secteur de paroi cylindrique annulaire 202d, un joint d'étanchement 122d est reçu dans la chambre annulaire, qui remplit conjointement avec le secteur de paroi cylindrique annulaire 202d une fonction de piston pour le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54d. Comme on voit à la figure 5, la chambre annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique est limitée par le joint d'étanchement 122d et par les pièces annulaires stationnaires 176d et 178d. A cet effet, on a prévu des moyens d'étanchement (joints d'étanchement) correspondants qui agissent ente la pièce annulaire 178d et la pièce annulaire 176d. (I1 en est de même pour l'étanchement de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56d; à cet effet, on a prévu des moyens d'étanchement, en particulier un joint d'étanchement correspondant, agissant entre la pièce annulaire 174d et la pièce annulaire 176d.) A son extrémité côté embrayage, l'élément de piston annulaire 170d présente un secteur de paroi frontale annulaire 204d qui s'étend en direction radiale légèrement radialement vers l'extérieur et plus fortement radialement vers l'intérieur. Un ressort de compression 208d qui s'appuie via un élément intermédiaire annulaire 206d présentant une section transversale en forme de S contre la pièce annulaire 178d met sous précontrainte l'élément de piston annulaire 170d en direction vers la paroi frontale 192d de l'autre élément de piston annulaire 172d portant l'agencement de débrayage 48d, de sorte que le secteur de paroi frontale 204d bute contre la paroi frontale 192d et met ainsi sous précontrainte l'élément de piston annulaire en direction vers l'embrayage. Grâce à ceci, l'élément de piston annulaire 170d du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54d suit constamment le mouvement de l'élément de piston annulaire 172d du cylindre annulaire à force d'actionnement 56d. Tout comme dans les exemples de réalisations des figures 1 et 3, le cylindre annulaire récepteur hydraulique peut servir de cylindre de mesure pour une soupape de commande raccordée à l'unité structurelle de cylindre d'actionnement

52d, agencée par exemple à l'extérieur sur la cloche de boîtier.

L'élément de piston annulaire 170d pourrait également être relié en coopération de formes à l'élément de piston annulaire 172d et à l'agencement de débrayage 48d. Par exemple, un anneau de retenue

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210 Od en forme de pince visible à la figure 5, qui sert à fixer l'anneau de débrayage 47d sur l'élément de piston annulaire 172d et qui est à cet effet en engagement avec l'anneau de débrayage 47d et avec la paroi frontale 192d, pourrait être réalisé de telle sorte qu'il est en engagement avec le secteur de paroi frontale 204d de l'élément de piston annulaire 170d, au lieu d'être en engagement avec la paroi frontale 192d. Le secteur de paroi frontale 204d présente à cet effet un collier d'engagement pour un anneau de retenue correspondant, qui est réalisé exactement comme le collier d'engagement illustré à la figure

de la paroi frontale 192d pour l'anneau de retenue 21 Od.

Tout comme dans les exemples de réalisation des figures 1 et 3, le cylindre annulaire récepteur hydraulique est conçu pour servir à l'actionnement de secours de l'embrayage lors d'une sollicitation par une pression hydraulique d'autant plus élevée. L'amenée de l'huile sous pression vers le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54d s'effectue via un perçage 212d dans la pièce annulaire stationnaire 176d depuis le

côté transmission.

On comprendra que l'on peut prévoir des éléments coulissants agissant entre les pièces mobiles et stationnaires (comme les anneaux coulissants 188d et 198d) et des éléments de raclage, comme par exemple un anneau de raclage 214d montré à la figure 5. L'anneau de raclage 214d est reçu dans une gorge annulaire dans la surface périphérique intérieure de la paroi cylindrique annulaire 182d, et il attaque, par une lèvre de raclage dirigée approximativement en direction vers l'embrayage, la surface périphérique extérieure du secteur de paroi cylindrique annulaire 202d de l'élément de piston

annulaire 170d.

Un autre exemple de réalisation d'une unité structurelle de cylindre d'actionnement 52e pour un dispositif d'actionnement conforme à l'invention (à nouveau pour un embrayage enfoncé) est montré à la figure 6. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52e est réalisée de façon intégrale avec la soupape de commande 74e sous

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forme d'une unité structurelle. La soupape de commande 74e d'une part et l'agencement de cylindre d'actionnement d'autre part pourraient cependant également être réalisés sans problème sous forme d'unités structurelles séparées qui sont reliées ou peuvent être reliées de façon détachable l'une à l'autre. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52e comporte une pièce de corps stationnaire 230e susceptible d'être fixée sur la cloche de boîtier, qui présente une ouverture de passage cylindrique circulaire concentrique par rapport à l'axe d'embrayage A pour un arbre d'entrée de transmission non illustré. L'axe de transmission A n'est pas illustré à la distance radiale correcte par rapport au secteur montré à la figure 6

de la pièce de corps 230e.

La pièce de corps 230e présente un évidement cylindrique circulaire 232e vers l'axe de transmission A, qui est ouvert en direction vers l'embrayage et fermé en direction vers la transmission par un secteur de paroi frontale 234e de la pièce de corps. La largeur radiale de l'évidement 232e n'est pas constante le long de sa longueur axiale, mais elle se modifie en gradins. Vu depuis le côté embrayage, un tronçon médian 237e de l'évidement avec une dimension radiale réduite se raccorde à un tronçon 236e d'une dimension radiale maximum, et finalement se raccorde un tronçon d'extrémité 238e côté transmission de l'évidement avec la dimension radiale la plus petite. La modification de la dimension radiale de l'évidement cylindrique annulaire 232e entre le tronçon 236e et le tronçon 237e est provoquée par un gradin correspondant 240e sur un secteur de paroi cylindrique annulaire 242e de la pièce de corps 230e, qui limite l'évidement 232e radialement vers l'extérieur et qui est coaxial par rapport à l'axe d'embrayage A. Ce gradin est très important pour la fonction de l'exemple de réalisation décrit, comme on expliquera encore plus en

détail dans ce qui suit.

Un autre gradin est prévu dans un secteur de paroi cylindrique annulaire 244e coaxial par rapport à l'axe d'embrayage A, qui cause les

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différentes dimensions radiales des tronçons 237e et 238e de l'évidement 232e. Ce gradin n'est pas important pour la fonction de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52e, mais il permet un élargissement correspondant de l'ouverture de passage pour l'arbre d'entrée de transmission à l'extrémité d'ouverture de passage côté transmission. Le tronçon d'ouverture de passage élargi radialement en correspondance peut recevoir par exemple une pièce d'anneau de montage fixée sur la cloche de boîtier pour l'arbre d'entrée de transmission. Dans l'évidement cylindrique annulaire 232e, donc entre le secteur de paroi cylindrique annulaire 242e situé radialement à l'extérieur et le secteur de paroi cylindrique annulaire 244e situé radialement plus à l'intérieur, on a agencé de façon mobile en direction axiale un élément de piston annulaire pneumatique 256e. L'élément de piston annulaire 246e comporte un secteur de paroi cylindrique annulaire 248e situé radialement à l'intérieur, s'appuyant pour la majeure partie contre le secteur de paroi cylindrique annulaire 244e et coaxial par rapport à l'axe d'embrayage A, et un secteur de paroi cylindrique annulaire 250e situé radialement plus à l'extérieur et coaxial par rapport à l'axe d'embrayage A. Le secteur de paroi cylindrique annulaire 250e présente des colliers annulaires 252e, 253e, 254e, 255e, 256e et 257e dépassant radialement vers l'extérieur, qui présentent respectivement des surfaces périphériques extérieures cylindriques coaxiales par rapport à l'axe d'embrayage A. Les surfaces périphériques extérieures des colliers annulaires 252e, 254e, 256e et 257e servent de surfaces coulissantes qui s'appuient de façon mobile en coulissement contre un secteur de surface périphérique intérieure respectif du secteur de paroi cylindrique annulaire 242e. Les surfaces périphériques extérieures des colliers annulaires 254e, 255e, 256e et 257e s'appuient contre la surface périphérique intérieure citée dans la région des tronçons d'évidement 237e et 238e. La surface périphérique extérieure du collier annulaire 252e s'appuie contre la surface périphérique intérieure citée dans la région du tronçon d'évidement 236e à une distance axiale du

gradin 240e (donc sur son côté embrayage).

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Entre le collier annulaire 252e et le collier annulaire 253e suivant axialement en direction vers la transmission, un joint d'étanchement de gorge 258e est reçu dans une gorge périphérique de l'élément de piston annulaire 246e, qui est axialement délimitée par les deux colliers annulaires, et il étanche sensiblement une chambre annulaire réalisée entre le collier annulaire 253e et le collier annulaire 254e suivant axialement en direction vers la transmission, entre le secteur de paroi cylindrique annulaire 242e de la pièce de corps 230e et le secteur de paroi cylindrique annulaire 250e de l'élément de piston annulaire 246e en direction vers l'embrayage. Cette chambre annulaire représente la chambre annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52e. Ce cylindre annulaire récepteur hydraulique est réalisé sous forme d'un cylindre en gradins. A cet effet, il est agencé, dans la position montrée de l'élément de piston annulaire 246e qui est plongé le plus loin possible dans l'évidement 232e (qui prend donc sa position axiale la plus proche de la transmission), sur le côté embrayage du gradin 240e, et il forme conjointement avec le joint d'étanchement 258e appuyé dans sa gorge annulaire et avec le collier annulaire 252e un piston en gradin pour le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e. Le collier annulaire 253e en alignement par sa surface périphérique extérieure avec les surfaces périphériques extérieures des colliers annulaires 254e à 257e agencés plus près de la transmission, est agencé approximativement dans une région médiane axiale d'un perçage 260e servant d'ouverture d'amenée et d'évacuation de l'huile sous pression, qui est ménagé de façon directement limitrophe du gradin 240e sur le tronçon d'évidement 236e, et qui établit ainsi une liaison hydraulique entre la chambre annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e en direction

radialement vers l'extérieur.

La surface efficace du piston en gradins est seul le tronçon de surface annulaire du joint d'étanchement 258e qui dépasse radialement vers l'extérieur au-delà du collier annulaire 253e, car les forces de pression hydraulique agissant sur les colliers annulaires 253e et 254e s'annulent

mutuellement.

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En direction du fond d'évidement, donc en direction vers la transmission, la chambre annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e est étanchée par un joint d'étanchement 262e qui est reçu dans une gorge annulaire ménagée entre le collier annulaire 254e et le collier annulaire 255e axialement suivant en direction vers la transmission. De plus, sur le secteur de paroi cylindrique annulaire 250e, on a prévu un élément de raclage 214e agencé à son extrémité côté embrayage et attaquant la surface périphérique intérieure du secteur de paroi cylindrique annulaire 242e la pièce de corps 230e dans la région du tronçon d'évidement 236e, et on a prévu deux autres joints d'étanchement 264e et 266e qui servent à étancher le cylindre annulaire pneumatique 56e, à expliquer plus en détail dans ce qui suit, de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52e. Le joint d'étanchement 264e est agencé dans une gorge annulaire entre le collier annulaire 255e et le collier annulaire 256e axialement suivant en direction de la transmission, et le joint annulaire 266e réalisé avec deux lèvres d'étanchéité est retenu dans une gorge annulaire correspondante entre le collier annulaire 256e et le collier annulaire 257e le plus proche de la transmission. Les deux sont en contact étanche avec la surface périphérique intérieure du secteur de paroi cylindrique annulaire 242e et avec l'élément de piston annulaire

pneumatique 246e.

La chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56e est délimitée par le secteur de paroi cylindrique annulaire 244e, par le secteur de paroi frontale 234e, et par le secteur de paroi cylindrique annulaire 242e de la pièce de corps 230e, ainsi que par l'élément de piston annulaire pneumatique 246e. L'étanchement de cette chambre cylindrique annulaire s'effectue par le joint d'étanchement 266e déjà mentionné et par un autre joint d'étanchement 268e agissant entre le secteur de paroi cylindrique annulaire 248e de l'élément de piston annulaire 246e et le secteur de paroi cylindrique annulaire 244e de la pièce de corps 230e. Le secteur de paroi 248e de l'élément de piston annulaire 246e présente un gradin qui s'étend radialement plus vers l'extérieur que le gradin du secteur de paroi cylindrique annulaire 244e, de sorte que même lorsque l'élément de

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piston annulaire 246e est introduit entièrement dans l'évidement cylindrique annulaire 232e, une chambre annulaire libre située dans la région de ces gradins reste maintenue. Lorsque l'élément de piston annulaire 246e est introduit entièrement, cette chambre annulaire est en liaison avec un perçage 270e débouchant radialement vers l'extérieur dans l'évidement 232e, via des gorges non illustrées à la figure 6 ou similaires dans le secteur de paroi frontale 234e. On peut également prévoir de telles gorges dans un secteur de paroi frontale 272e de l'élément de piston annulaire 246e, qui s'appuie contre le secteur de paroi frontale 234e pour la position montrée de l'élément de piston annulaire 246e. Le perçage 270e sert d'ouverture d'amenée et d'évacuation d'air comprimé et il débouche dans l'évidement 232e dans sa région marginale agencée radialement le plus à l'extérieur et axialement le plus près de la transmission. Le perçage s'étend depuis cette région marginale en oblique radialement vers l'extérieur en

direction de l'embrayage.

La description de l'élément de piston annulaire 246e et du cylindre

annulaire récepteur hydraulique 54e ou du cylindre annulaire pneumatique 56e montre que l'élément de piston annulaire forme, conjointement avec les secteurs de paroi cylindrique annulaire 244e et 242e de la pièce de corps 230e, d'une part le cylindre annulaire pneumatique 56e, et d'autre part le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e. Leurs volumes peuvent être agrandis ou réduits uniquement conjointement. L'augmentation de volume ou la réduction de volume de la chambre annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e est dans ce cas dans un rapport prédéterminé constant par rapport à la modification de volume du cylindre annulaire pneumatique 56e. Le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e sert en correspondance, tout comme dans les exemples de réalisation décrits auparavant selon les figures 1, 3 et 5, de cylindre de mesure pour la soupape de commande 74e. En supplément, le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e sert à l'actionnement de secours de l'embrayage, dans le cas d'une défaillance de la soupape de commande ou dans le cas d'une absence d'air comprimé appliqué sur la soupape de commande.

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L'élément de piston annulaire 246e peut être réalisé sous forme d'une pièce en matière plastique, tel que c'est le cas dans l'exemple de réalisation de la figure 6. Les pressions hydrauliques apparaissant dans le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e lorsque la soupape de commande 74e est fonctionnelle sont si petites que la solidité de l'élément de piston annulaire 246e suffirait à elle seule. Pour un actionnement de secours de l'embrayage cependant, des pressions considérablement plus élevées dans le cylindre annulaire récepteur hydraulique sont nécessaires. L'élément de piston annulaire 246e porte par conséquent une douille de renforcement cylindrique annulaire 254e en métal concentrique par rapport à l'axe d'embrayage A, contre laquelle le secteur de paroi cylindrique annulaire 250e de l'élément de piston annulaire 246e s'appuie par sa face périphérique radialement

intérieure.

Pour une séparation particulièrement fiable entre le système hydraulique et le système pneumatique, on a prévu en supplément au joint d'étanchement 266e le joint d'étanchement 264e déjà mentionné, et l'élément de piston annulaire 246e présente entre les deux joints d'étanchement une ouverture de mise à l'air 130e à travers le secteur de paroi cylindrique annulaire 250e, à travers laquelle par exemple de l'air comprimé qui passe le joint d'étanchement 266e peut s'échapper. Le joint d'étanchement 264e empêche alors de façon fiable que l'air comprimé pénètre en direction vers le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e entre le secteur de paroi cylindrique annulaire 250e de l'élément de piston annulaire 246e et le secteur de paroi cylindrique

annulaire 242e de la pièce de corps 230e.

Avant d'expliquer la soupape de commande 74e, on ajoutera encore que l'agencement de débrayage 48e montré uniquement comme symbole est fixé sur l'élément de piston annulaire 246e dans la région radiale entre ses deux secteurs de paroi cylindrique annulaire 246e et 250e. Dans ce type d'agencement, l'agencement de débrayage 48e peut plonger entièrement ou partiellement dans l'évidement cylindrique

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annulaire 232e, de sorte qu'il en résulte une courte longueur structurelle axiale de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement

52e, y compris l'agencement de débrayage.

La soupape de commande 74e est reçue dans un perçage cylindrique circulaire à axe parallèle 280e de la pièce de corps 230e. le perçage 280e est fermé en direction vers la transmission par un secteur de paroi frontale 282e de la pièce de cors 230e, qui se transforme en secteur de paroi frontale 234e. Par rapport à l'axe de perçage B qui est parallèle à l'axe d'embrayage A et qui se trouve radialement à l'extérieur du secteur de paroi cylindrique circulaire 242e, le perçage est limité radialement vers l'extérieur par un secteur de paroi cylindrique annulaire 284e de la pièce de corps 230e, ledit secteur de paroi se

transformant dans le secteur de paroi cylindrique annulaire 242e.

La pièce de corps 230e présente trois autres perçages 286e, 288e et 290e dont le perçage 286e est en alignement avec le perçage 260e et dont le perçage 288e est en alignement avec le perçage 270e. Exprimé plus exactement, les perçages 286e et 260e peuvent être compris comme une partie d'un seul perçage recoupant le perçage 280e pour la soupape, et les perçages 288e et 270e peuvent être compris comme partie d'un seul perçage recoupant le perçage 280e pour la soupape. Le perçage 290e s'étend dans le même plan de perçage axial que les perçages 286e et 288e, et il s'étend en oblique radialement vers l'extérieur en direction de l'embrayage depuis le tronçon marginal du perçage 280e, qui se situe, par rapport à l'axe d'embrayage A, radialement le plus à l'extérieur et le plus proche de la transmission. Le perçage 290e sert de raccord d'air comprimé 76e, le perçage 286e sert de raccord hydraulique 78e, le perçage 270e sert de sortie d'air comprimé 82e, le perçage 260e sert d'entrée et de sortie hydraulique e (désigné brièvement également comme sortie hydraulique), et le perçage 288e sert d'ouverture de compensation de pression 84e de la

soupape de commande 74e.

La soupape de commande 74e comporte un élément de soupape 292e qui présente des perçages axiaux et radiaux par rapport à l'axe de soupape B, et qui est fixé dans le perçage 280e au moyen d'une partie de couvercle 294e refermant le perçage 280e en direction vers l'embrayage. La partie de couvercle 294e est axialement retenue à son tour par un anneau de retenue 296e qui s'engage dans une gorge annulaire du perçage 280e. La partie de couvercle 294e présente dans une gorge périphérique annulaire 298e un joint d'étanchement non

illustré qui assure un étanchement de l'intérieur du perçage 280e.

L'élément de soupape 292e présente à sa périphérie extérieure des gorges annulaires 299e, 300e et 301e dans lesquelles est reçu respectivement un joint d'étanchement non illustré, qui est en contact étanche avec la surface périphérique intérieure du perçage 280e, tout

comme le joint d'étanchement dans la gorge annulaire 298e.

Grâce aux joints d'étanchement dans les gorges annulaires 298e, 299e, 300e et 301e, on subdivise le perçage 280e en quatre régions, avec la coopération de la partie de couvercle 294e et l'élément de soupape 292e. La région axiale entre les joints d'étanchement dans les gorges annulaires298e et 299e sert de chambre hydraulique 86e via laquelle le raccord hydraulique 78e et la sortie hydraulique 80e sont en liaison hydraulique constante. A cet effet, la partie de couvercle 294e présente des colliers écarteurs 304e qui s'étendent radialement vers l'extérieur par rapport à l'axe de soupape B et entre lesquels sont prévus des canaux pour l'huile sous pression. De plus, on a prévu une chambre annulaire 306e sur la face radialement extérieure de l'élément de soupape 292e par rapport à l'axe de soupape B entre les joints d'étanchement agencés dans les gorges annulaires 298e et 299e, dans laquelle les perçages 286e et 260e débouchent. Des chambres annulaires correspondantes 308e, 310e et 312e sont également réalisées dans les autres régions du perçage. Le perçage 288e débouche dans la chambre annulaire 308e entre les joints d'étanchement agencés dans les gorges annulaires 299e et 300e, donc dans la chambre annulaire axialement la plus proche de la chambre annulaire 306e en

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direction de la transmission. Le perçage 270e débouche dans la chambre annulaire 310e, donc dans la chambre annulaire entre les

joints d'étanchement reçus dans les gorges annulaires 300e et 301e.

Ceci est la chambre annulaire axialement suivante à la chambre annulaire 308e en direction vers la transmission. Le perçage 290e débouche dans la chambre annulaire prévue entre le joint d'étanchement reçu dans la gorge annulaire 301e et le secteur de paroi frontale 282e, donc dans la chambre annulaire la plus proche de la transmission. Un corps de soupape axialement mobile 316e est reçu dans un évidement axial ou un perçage axial 314e de l'élément de soupape 292e, qui présente plusieurs gorges annulaires 318e, 319e et 320e pour des joints d'étanchement sur une surface périphérique extérieure cylindrique circulaire qui s'appuie de façon mobile en coulissement contre une surface périphérique intérieure cylindrique circulaire du perçage axial 314e. Les joints d'étanchement reçus dans les gorges annulaires ne sont pas illustrés. Les joints d'étanchement reçus dans les gorges annulaires 318e et 319e assurent conjointement avec le joint d'étanchement reçu dans la gorge annulaire 299e une séparation fiable de la chambre hydraulique 86e et de la chambre annulaire 306e par rapport aux autres régions du perçage 280e, qui contiennent de l'air ou

de l'air comprime.

Lorsque l'on ne tient pas compte du corps de soupape 316e, les deux chambres annulaires 308e et 310e sont en liaison mutuelle via des perçages radiaux 322e et 323e de l'élément de soupape, qui débouchent dans le perçage axial 314e de l'élément de soupape 292. Lorsque l'on tient compte du corps de soupape 316e, un joint d'étanchement mis en place dans une gorge annulaire 320e et non illustré permet conjointement avec le joint d'étanchement reçu dans la gorge annulaire 300e une séparation entre la chambre annulaire 308e et la chambre annulaire 310e. De plus, le joint d'étanchement reçu dans la gorge annulaire 301e assure une séparation principale entre la chambre

annulaire 312e et la chambre annulaire 310e.

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Cependant, la chambre annulaire 310e et ainsi la sortie d'air comprimé 82e peut être reliée au choix soit à la chambre annulaire 312e et ainsi au raccord d'air comprimé 76e, soit à la chambre annulaire 308e et ainsi à l'ouverture de compensation de pression 84e. Le corps de soupape 316e présente à cet effet un perçage borgne 324e axial par rapport à l'axe de perçage B depuis le côté transmission. Le perçage borgne 324e est fermé vers la chambre hydraulique 86e et il est constamment en liaison d'échange d'air avec la chambre annulaire 308e et ainsi avec l'ouverture de compensation de pression 84e, via des perçages radiaux 326e dans le corps de soupape 316e et via une chambre annulaire 328e réalisée entre le corps de soupape 316e et l'élément de soupape 292e. Dans la position montrée du corps de soupape 316e précontraint en direction vers l'embrayage par un ressort de compression 330e, l'extrémité côté transmission du perçage axial 324e du corps de soupape 316e est refermée par un élément de fermeture 334e également précontraint en direction vers l'embrayage par un autre ressort de compression 332e, qui est reçu dans un tronçon du perçage axial 314e de l'élément de soupape 292e et qui bute contre un collier annulaire 336e de l'élément de soupape 292e, qui dépasse radialement vers l'intérieur dans le perçage. L'élément de fermeture 334e qui est réalisé sous forme d'un élément d'étanchement ferme ce faisant, donc tant qu'il bute contre le collier annulaire 336e, simultanément la liaison pneumatique entre la chambre annulaire 312e ou le raccord d'air comprimé 76e et la chambre annulaire 310e ou la

sortie d'air comprimé 82e.

Lorsque le corps de soupape 316e est déplacé à l'encontre de la force du ressort 330 en direction vers la transmission, donc vers la droite à la figure 6, l'élément de fermeture 334e est soulevé du collier annulaire 336e, suite à quoi une ouverture annulaire s'ouvre entre le collier annulaire 336e et le tronçon d'extrémité du corps de soupape 316e, qui est près de la transmission, ladite ouverture reliant le tronçon du perçage axial 314e à la droite du collier annulaire 336e et le tronçon du

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perçage axial 314e à la gauche du collier annulaire 336a et ainsi le raccord d'air comprimé 76e et la sortie d'air comprimé 82e, de sorte que l'air comprimé peut s'écouler jusque dans le cylindre annulaire pneumatique 56e et l'élément de piston annulaire pneumatique 246e se débraie en direction vers l'embrayage hors de l'évidement cylindrique

annulaire 232e.

Lorsque le corps de soupape 316e est déplacé inversement, en particulier sous l'effet du ressort de compression 330e, en partant de la position montrée à la figure 6 vers la gauche, donc en direction vers l'embrayage, l'élément de fermeture 334e continue à s'appuyer avec étanchement contre le collier annulaire 336a sous l'effet du ressort de compression 332e, de sorte que la liaison entre le raccord d'air comprimé 76e et la sortie d'air comprimé 82e reste fermée. L'extrémité côté élément de fermeture du corps de soupape 316e et ainsi l'ouverture du perçage axial 324e du corps de soupape 316e s'éloignent ce faisant de l'élément de fermeture 334e, de sorte qu'une liaison est établie entre la sortie d'air comprimé 82e et l'ouverture de compensation d'air comprimé 84e via la chambre annulaire 310e, les perçages radiaux 322e et via la chambre annulaire 308e. Lorsque l'élément de piston annulaire 246a a été débrayé auparavant en direction de l'embrayage, donc lorsque de l'air comprimé est contenu dans la chambre annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56e, celui-ci peut maintenant s'échapper via ladite liaison pneumatique, de sorte que l'élément de piston annulaire pneumatique 246e s'embraie sous l'effet de la force du ressort à membrane 32e à nouveau jusque dans l'évidement 232e, jusqu'à ce que la liaison pneumatique citée soit à nouveau fermée par un déplacement correspondant du corps de soupape 316e en direction vers l'élément de fermeture 324e ou que le secteur de paroi frontale 272e de l'élément de piston annulaire 246e

bute contre le secteur de paroi frontale 234e de la pièce de corps 230e.

Le mode de fonctionnement de la soupape de commande 74e est comme suit. En supposant qu'un cylindre susceptible d'être actionné, en particulier par la pédale d'embrayage, est raccordé au raccord hydraulique 78e et que la pédale d'embrayage n'est pas enfoncée, une pression très faible règne dans la chambre hydraulique 86e, de sorte que le corps de soupape 316e est déplacé le plus loin possible axialement en direction vers l'embrayage, et que la liaison pneumatique est établie entre l'ouverture de compensation de pression 84e et la sortie d'air comprimé 82e. Une pression d'air ambiant correspondant règne dans la chambre cylindrique annulaire du cylindre

annulaire pneumatique 56e.

Lorsque l'on actionne maintenant le cylindre émetteur hydraulique par la pédale d'embrayage, de l'huile sous pression s'écoule jusque dans la chambre hydraulique 86e et elle déplace le corps de soupape 316e à l'encontre de la force du ressort de compression 330 en direction vers l'élément de fermeture 334e. Dans ce cas, une pression s'établit dans la chambre hydraulique 86e, qui correspond à la force du ressort de compression 330e dans la position axiale respective du corps de soupape 316e. La force de ressort exercée par le ressort de compression 330e sur le corps de soupape 316e augmente naturellement en raison de la compression montante du ressort de compression 330e lors du déplacement du corps de soupape 316e en direction vers l'élément de fermeture 334e. Lors d'un actionnement correspondant du cylindre émetteur, l'extrémité côté élément de fermeture du corps de soupape 316e atteint finalement l'élément de fermeture 334e appuyé contre le collier annulaire 336e, de sorte que le perçage axial 324e est fermé. Maintenant, une pression de consigne prédéterminée par la force du ressort de compression 330e règne dans la chambre hydraulique 86e. Lorsque l'on poursuit l'actionnement du cylindre émetteur, le corps de soupape 316e est déplacé, sous une augmentation correspondante de la pression dans la chambre hydraulique 86e, vers la droite, donc en direction vers la transmission, et l'élément de fermeture 334e est soulevé du collier annulaire 336e, de sorte que la liaison pneumatique est maintenant établie entre le raccord d'air comprimé 76e et la sortie d'air comprimé 82e. La pression dans la chambre hydraulique 86e correspond ici à la force axiale résultante sur le corps de soupape 316e en direction vers l'embrayage; cette force axiale qui en résulte se compose des contributions de force du ressort

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de compression 330e, du ressort de compression 332e et du fluide sous pression pneumatique (en particulier de l'air comprimé) sur l'élément

de fermeture 334e et sur le corps de soupape 316.

Dès que la liaison pneumatique est établie entre le raccord d'air comprimé 76e et la sortie d'air comprimé 82e et ainsi le cylindre annulaire pneumatique 56e, l'élément de piston annulaire pneumatique 246e est débrayé hors de l'évidement cylindrique annulaire 232e, comme décrit, en direction de l'embrayage. Dans ce cas, le volume du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e servant de cylindre de mesure augmente forcément, de sorte que l'huile sous pression peut s'écouler hors de la chambre hydraulique 86e jusque dans le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e. L'élément de piston annulaire 246e est débrayé si loin hors de l'évidement cylindrique annulaire 232e, jusqu'à ce que le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e ait reçu un volume d'huile sous pression qui correspond au volume d'huile sous pression refoulé hors du cylindre émetteur. Le corps de soupape 316e atteint alors à nouveau la position illustrée à la figure 6, dans laquelle le cylindre annulaire pneumatique est refermé, donc il n'existe aucune liaison entre la sortie d'air comprimé 82e vers la sortie d'air comprimé 76e et vers l'ouverture de compensation de pression 84e. La pression hydraulique règne alors dans la chambre hydraulique 86e, tant que la pédale d'embrayage reste enfoncée dans la position d'actionnement atteinte, ladite pression hydraulique correspondant à la force exercée par le ressort de compression 330e sur le corps de soupape 316e. Cette pression hydraulique règne dans tout le système hydraulique. Lorsque l'on relâche entièrement ou partiellement la pédale d'embrayage, l'huile sous pression s'écoule à travers le raccord hydraulique 78e en direction vers le cylindre émetteur, de sorte que le corps de soupape 316e est déplacé sous la force du ressort de compression 330e en direction vers l'embrayage et que la liaison pneumatique entre la sortie d'air comprimé 82e et l'ouverture de compensation de pression 84e s'ouvre. Maintenant, de l'air comprimé

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est évacué hors du cylindre annulaire pneumatique via la liaison pneumatique citée, suite à quoi l'élément de piston annulaire 246e s'embraie à nouveau sous la force du ressort à membrane 32e et avec une réduction de volume simultanée de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e. Grâce à ceci, l'huile sous pression est refoulée hors de sa chambre cylindrique annulaire jusque dans la chambre hydraulique 86e, ce qui s'oppose au déplacement axial indiqué du corps de soupape 316e en direction vers l'embrayage. Lorsque l'on maintient enfoncée la pédale d'embrayage dans une position intermédiaire, l'élément de piston annulaire 246e s'embraie aussi loin que l'huile sous pression refoulée hors du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e ait à nouveau déplacé le corps de soupape 316e jusque dans la position axiale montrée à la figure 6. La liaison pneumatique depuis le cylindre annulaire pneumatique 56e jusqu'à l'ouverture de compensation de pression 84e est en correspondance fermée à nouveau, et l'élément de piston annulaire 246e et ainsi l'agencement de débrayage 48e prennent une position intermédiaire axiale correspondante. Lorsque l'on relâche entièrement la pédale d'embrayage, la situation montée à la figure 6 est finalement atteinte dans le cas d'un embrayage usé au maximum, donc lorsque

l'élément de piston annulaire 246e est embrayé au maximum.

Au lieu de la description de fonction de la soupape de commande

expliquée ici et déjà auparavant en se rapportant au mode de réalisation de l'exemple de la figure 1, en se basant sur les volumes de

l'huile sous pression refoulés ou reçus, une description de fonction est

également possible en se basant sur une pression d'huile comprimée dans la chambre hydraulique 86 ou 86e et ainsi dans l'ensemble du système hydraulique associé. A chaque position axiale du corps de soupape 316e correspond exactement une pression hydraulique dans la chambre hydraulique 86 ou 86e, qui est déterminée par les forces agissant sur le corps de soupape 316e dans la position axiale respective. Étant donné que l'huile sous pression est sensiblement

incompressible, la description donnée ici à base des volumes d'huile

est plus judicieuse.

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Cependant, on ajoutera encore que dans l'observation qui précède, les forces de compression exercées de l'air comprimé sur le corps de soupape 316e ne sont pas encore entièrement prises en compte. Étant donné que lors d'un actionnement de l'embrayage, la force de compression exercée par le ressort à membrane 32e sur l'élément de piston annulaire 246e qui se débraie, la pression de l'air comprimé se modifie également en correspondance dans le cylindre annulaire pneumatique 56e. Cette pression agit également dans la région du ressort de compression 332e sur le corps de soupape 316e. Le corps de soupape 316e est donc pressé, lorsque l'embrayage est actionné, avec des forces de pression qui se modifient en direction vers l'embrayage, de sorte que la pression hydraulique qui s'établit dans la chambre hydraulique 86e se modifie en correspondance. On peut considérer

comme grandeur de référence (voir la description en se référant à

l'exemple de réalisation de la figure 1), au lieu du volume de l'huile hydraulique refoulée hors du cylindre émetteur, également la pression hydraulique régnant dans la chambre hydraulique 86e et ainsi à l'état

stationnaire également dans l'ensemble du système hydraulique.

Indépendamment de la manière de considérer ceci, le corps de soupape 316e est axialement déplacé dans l'élément de soupape 292e en dépendance de la différence entre la force exercée par l'huile hydraulique dans la chambre hydraulique 86e sur le corps de soupape en direction vers la transmission et la force qui résulte en direction vers l'embrayage en raison des forces exercées par les ressorts de compression 330e et 332e ainsi que par l'air ou l'air comprimé sur le corps de soupape 316e, et la soupape de commande 74e occupe les états de commande décrits (aucune liaison entre la sortie d'air comprimé 82e et le raccord d'air comprimé 76e et l'ouverture de compensation de pression 84e, liaison entre la sortie d'air comprimé 82e et le raccord d'air comprimé 76e, et liaison entre la sortie d'air

comprimé 82e et l'ouverture de compensation de pression 84e).

L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52e décrite se caractérise par le fait que l'usinage de la pièce de corps 230e est très

simple grâce à l'évidement cylindrique annulaire 232e comparative-

ment grand, en particulier également parce que pour réaliser le

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cylindre annulaire pneumatique 56e et du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e, seules deux pièces sont nécessaires (les joints

d'étanchement ne sont pas pris en considération ici).

Étant donné que le cylindre annulaire pneumatique 56e dépasse au- delà du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54e en direction de l'axe d'embrayage A vers la transmission, et que le cylindre annulaire récepteur hydraulique entoure radialement à l'extérieur le cylindre annulaire pneumatique, les deux cylindres annulaires peuvent être alimentés en huile hydraulique ou en air comprimé radialement depuis

l'extérieur au moyen de canaux courts (perçages).

Également en ce qui concerne la soupape de commande 74e, l'unité structurelle 52e montrée à la figure 6 présente une structure extrêmement simple et elle est ainsi économique à fabriquer, car il suffit de ménager quatre perçages au total (perçage 280e, perçage 286e + 260e, perçage 288e + 270e, perçage 290e) dans la pièce de corps 230e pour la soupape de commande 74e et dans les raccords ou canaux de liaison décrits. Par ailleurs, le tronçon de la pièce de corps 230e, qui présente la soupape de commande 74e pourrait être séparé du reste de la pièce de corps, par exemple après avoir ménagé les perçages, et on pourrait le fixer à nouveau de façon détachable à l'emplacement d'origine sur ledit reste du corps de soupape en prévoyant des organes d'étanchement correspondants, pour que la soupape de commande soit

accessible ou démontable plus aisément.

Un autre exemple de réalisation avantageux pour un dispositif d'actionnement conforme à l'invention ou pour une unité structurelle de cylindre d'actionnement conforme à l'invention est montré à la figure 7. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52f comporte un cylindre annulaire pneumatique 56f qui est formé par un évidement cylindrique annulaire 232f dans une pièce de corps stationnaire 230f,

ainsi que par un élément de piston annulaire pneumatique 246f.

L'élément de piston annulaire pneumatique 246f est mis sous précontrainte par des organes élastiques 350f en direction vers

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l'embrayage, et il porte des joints d'étanchement 253f pour étancher la

chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56f.

Dans le dispositif d'actionnement montré, il s'agit d'un dispositif d'actionnement pour un embrayage enfoncé, tout comme dans l'exemple de réalisation de la figure 6. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52f porte une unité structurelle de soupape de commande 354f fixée de façon détachable sur l'unité structurelle de cylindre d'actionnement, qui comporte une soupape de commande 74f à la manière de la soupape de commande des exemples de réalisation des figures 1, 2c et 6. L'unité structurelle de soupape de commande 354f est agencée de telle sorte qu'elle dépasse à travers une ouverture associée 356f dans la cloche de boîtier 4f au-delà de la face extérieure de la cloche. On a prévu le raccord d'air comprimé 76f et le raccord hydraulique 78f sur le secteur dépassant

vers l'extérieur de l'unité structurelle de soupape de commande 354f.

La pièce de corps 230f et l'unité structurelle de soupape de commande 354f présentent chacune un canal d'air 358f ou 360f, qui sont en liaison dans l'état assemblé de l'unité structurelle de soupape de

commande 354f sur l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52f.

Grâce à ceci, on établit une liaison entre la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56f concentrique par rapport à l'axe d'embrayage A et la sortie d'air comprimé 82f de la

soupape de commande 74f.

L'ouverture de compensation de pression de la soupape de commande 74f n'est pas illustrée dans le dessin, mais on voit un perçage radial 326f du corps de soupape mobile 316f, via lequel on peut établir la liaison entre la sortie d'air comprimé 82f et l'ouverture de

compensation de pression.

L'unité structurelle de soupape de commande 354f présente en outre un cylindre de mesure hydraulique 54f qui remplit la même fonction que

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62 'Ur le cylindre annulaire récepteur hydraulique respectif des exemples de réalisation décrits auparavant et qui est désigné par le même chiffre de référence, lors de l'actionnement de l'embrayage via un cylindre émetteur hydraulique au cas o une pression pneumatique suffisante est appliquée au raccord d'air comprimé 76f et que la soupape de commande 74f est fonctionnelle. Par contre, du moins dans l'exemple de réalisation montré à la figure 7, le cylindre de mesure 54f ne peut pas servir à l'actionnement de secours de l'embrayage, contrairement aux cylindres annulaires récepteurs hydrauliques décrits, lorsque la soupape de commande 74f n'est pas fonctionnelle ou qu'aucun air comprimé n'est appliqué à l'entrée d'air comprimé 76f, comme on

expliquera plus en détail dans ce qui suit.

Le cylindre de mesure 54f comporte un piston 364f pourvu d'un joint d'étanchement 362f sur une tige de piston 366f. Le piston mobile parallèlement à l'axe d'embrayage A est mis sous précontrainte par un ressort de compression 368f en direction vers l'embrayage, donc dans la direction de débrayage de l'agencement de débrayage 48f lorsque l'embrayage est actionné pour un débrayage. La chambre cylindrique intérieure du cylindre de mesure 54f est en liaison avec la sortie hydraulique 80f de la soupape de commande 74f. La tige de piston 366f dépasse à travers une ouverture dans l'unité structurelle de soupape de commande 354f au-delà d'un corps ou d'un boîtier 370f de l'unité structurelle de soupape de commande 354f en direction vers l'embrayage, et il bute par son extrémité libre et sous la force de compression d'un ressort de compression 368f contre un élément d'accouplement 372f (en forme de barrette ou de barre dans le mode de réalisation illustré) qui est fixé ou qui s'appuie contre l'agencement de débrayage 48f, ou plus exactement contre l'anneau de débrayage non tournant 47f, et qui s'étend depuis l'anneau de débrayage 47f radialement vers l'extérieur par rapport à l'axe d'embrayage A, vers la tige de piston 366f. La tige de piston 366f bute uniquement contre

l'élément d'accouplement 372f et elle n'est pas fixée sur celui-ci.

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Grâce à la précontrainte du piston 364f par le ressort de compression 368f, le piston 364f suit, en raison de son accouplement à l'agencement de débrayage 48f via l'élément d'accouplement 372f et via la tige de piston 366f, chaque mouvement de l'agencement de débrayage 48f ou de l'élément de piston annulaire pneumatique 246f. Une augmentation de volume du cylindre annulaire pneumatique 56f mène ainsi à une augmentation de volume du cylindre de mesure 54f, et une réduction de volume du cylindre annulaire pneumatique 56f mène ainsi à une réduction de volume correspondante du cylindre de mesure 54f. Le pilotage du cylindre annulaire pneumatique 56f via la soupape de commande 75f, ou plus exactement le réglage de la position axiale de l'agencement de débrayage 48f s'effectue ainsi de la même manière comme expliqué auparavant en se rapportant à l'exemple de réalisation

des figures 1, 3 et 6.

L'élément d'accouplement 372 et le cylindre de mesure 54f, y compris la tige de piston 366f ne sont pas conçus pour fournir les forces de pression ou à les transmettre sur l'agencement de débrayage, qui sont nécessaires lors d'une défaillance de la soupape de commande 74f ou

lors d'une absence de l'air comprimé, pour actionner l'embrayage.

Ainsi, dans le mode de réalisation montré à la figure 7, un actionnement de secours de l'embrayage n'est pas prévu. Par contre, on pourrait réaliser le cylindre de mesure, également dans l'agencement dans une unité structurelle séparée du cylindre annulaire pneumatique, ainsi que des éléments d'accouplement correspondants (tige de piston, élément d'accouplement) sans aucun problème de telle sorte qu'un

actionnement de secours serait possible.

Afin d'éviter des pressions hydrauliques trop élevées dans le cas d'une défaillance de la soupape de commande 74f ou dans le cas d'une absence d'air comprimé, on a prévu dans l'unité structurelle de soupape de commande 354f une protection anti-surcharge 374f, comportant un cylindre 376f relié à un raccord hydraulique 78f et un piston étanché 378f, qui est mise sous précontrainte par un ressort en dans le sens d'une réduction de volume du cylindre 376f. La précontrainte par un

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* ressort est dimensionnée de telle sorte que les pressions hydrauliques apparaissant lorsque la soupape de commande 74f travaille ne suffisent pas pour déplacer le piston 378f à l'encontre de la force d'un ressort (ressort 377f) dans le sens d'une augmentation de volume du cylindre 376f. Lorsque la soupape de commande 74f n'est pas fonctionnelle ou que l'air comprimé est absent au raccord d'air comprimé 76f, le cylindre 376f peut encaisser un volume d'huile sous pression qui correspond au volume d'huile sous pression refoulé au maximum hors du cylindre émetteur. Une apparition de pressions hydrauliques si élevées qu'elles pourraient mener à un endommagement de la soupape de commande 74f, de la tige de piston 366f ou de l'élément

d'accouplement 372f, est ainsi évitée de façon fiable.

La figure 8 montre une unité structurelle de cylindre d'actionnement 52g avantageuse pour un dispositif d'actionnement conforme à l'invention d'un embrayage enfoncé. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52g comporte un cylindre annulaire pneumatique 56g concentrique par rapport à l'axe d'embrayage A. La soupape de commande 74g agencée préférablement de façon détachable sur l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52g et accessible depuis l'extérieur de la cloche de boîtier est suggérée seulement schématiquement par des lignes en tirets et elle est reliée au moyen d'un élément d'accouplement 372g suggéré également par une ligne en tirets à un élément de paroi cylindre de piston pneumatique 390g de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52g, afin de retourner dans la position axiale de l'agencement de débrayage 48g vers la soupape de commande 74g. Cette rétroaction peut s'effectuer

également d'une autre manière, par exemple par voie électrique.

L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52g comporte en outre un élément de paroi cylindre de piston pneumatique 392g stationnaire et fixé du côté transmission au moyen d'un anneau adaptateur de fixation 394g et des vis de fixation 396g sur la cloche de boîtier non illustrée. L'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 390g réalisé en une seule pièce et l'élément de paroi cylindre de piston

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pneumatique 392g réalisé également en une seule pièce comportant chacun un secteur paroi cylindrique annulaire 398g ou 400g coaxial par rapport à l'axe d'embrayage A, qui sont agencés à une distance radiale l'un del'autre, ainsi qu'un secteur de paroi frontale 402g ou 404g qui s'étend depuis le secteur de paroi cylindrique annulaire respectif 398g ou 400g en direction radiale vers l'autre secteur de paroi cylindrique annulaire respectif 400g ou 398g. Le secteur de paroi cylindrique annulaire 398g et le secteur de paroi frontale 402g de l'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 390g et le secteur de paroi cylindrique annulaire 400g et le secteur de paroi frontale 404g de l'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 392g délimitent la chambre cylindrique annulaire (chambre de compression) du cylindre annulaire pneumatique 56g. Le secteur de paroi cylindrique annulaire 398g est ici situé radialement plus à l'intérieur par rapport au secteur de paroi cylindrique annulaire 400g, et le secteur de paroi frontale 402g est ici situé axialement plus près de l'embrayage par rapport au secteur de paroi frontale 404g. Des organes élastiques 368g agencés dans la chambre annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56g mettent sous précontrainte le secteur de paroi frontale 402g et ainsi l'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 390g en direction

vers l'embrayage.

Le secteur de paroi cylindrique annulaire 398g s'étend axialement en direction de l'embrayage au-delà du secteur de paroi frontale 402g et il porte à son extrémité côté embrayage, donc sur le côté orienté vers l'embrayage du secteur de paroi frontale 402g, l'agencement de

débrayage 48g.

L'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 392g comporte en outre un second secteur de paroi cylindrique annulaire 406g qui se raccorde au niveau de l'extrémité radialement intérieure du secteur de paroi frontale 404g à celle-ci en direction vers la transmission et qui s'étend également coaxialement par rapport à l'axe d'embrayage A. Ce secteur de paroi cylindrique annulaire 406g désigné également comme talon tubulaire présente sur sa surface périphérique intérieure une

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surface coulissante contre laquelle s'appuie avec étanchement un joint d'étanchement 408g agencé radialement à l'extérieur à l'extrémité côté transmission du secteur de paroi cylindrique annulaire 398g pour la

chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire pneumatique 56g.

Un second joint d'étanchement 410g étanchant la chambre annulaire est agencé sur un secteur périphérique extérieur du secteur de paroi frontale 402g, et il s'appuie contre la surface périphérique intérieure du secteur de paroi cylindrique annulaire 400g, qui est réalisée sous forme d'une surface coulissante. La paroi cylindrique annulaire 398g est ainsi guidée de façon axialement mobile le long de la paroi cylindrique annulaire 392g, et le secteur de paroi frontale 402g est ainsi guidé de façon axialement mobile le long de la paroi cylindrique annulaire 400g. La paroi cylindrique annulaire 392g est en engagement de retenue avec l'anneau adaptateur de fixation 394g, et une surface périphérique extérieure de la paroi cylindrique annulaire 392g s'appuie contre une surface périphérique annulaire de l'anneau adaptateur de fixation 394g et elle est ainsi radialement fixée. On peut prévoir en supplément une fixation axiale, par exemple des organes de liaison à baïonnette non illustrés dans la figure ou similaires sur l'anneau adaptateur de fixation 394g et sur le secteur de paroi cylindrique annulaire 392g. Une limitation axiale de la course de déplacement de l'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 390g s'effectue par un anneau de butée 412g agencé radialement à l'intérieur à l'extrémité côté embrayage du

secteur de paroi cylindrique annulaire 400g.

L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52g, comportant l'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 390g et l'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 392g, peut être utilisée dans différentes situations de montage, en utilisant respectivement un anneau adaptateur de fixation 394g adapté à la situation de montage respective. Dans ce contexte, le secteur de paroi cylindrique annulaire 392g est avantageux dans la mesure o il prévoit une distance axiale entre le cylindre annulaire pneumatique 56g et la cloche de boîtier, de

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sorte que le cylindre annulaire pneumatique 56g est monté près de la transmission en direction vers le centre de la cloche de boîtier en raison d'une région souvent très limitée en place de la cloche de boîtier. On ajoutera encore que l'élément de paroi cylindre de piston pneumatique 390g présente un perçage 68g dans le secteur de paroi frontale 404g, auquel la sortie d'air comprimé de la soupape de

commande 74g est raccordée.

La figure 9 illustre un autre exemple de réalisation d'un dispositif d'actionnement conforme à l'invention. Le dispositif d'actionnement comporte une unité structurelle de cylindre d'actionnement 52h et un unité structurelle de soupape de commande 354h agencée de façon détachable sur l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52h. En ce qui concerne leur mode de construction et de fonctionnement, les unités structurelles correspondent à l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52f et à l'unité structurelle de soupape de commande

354f de l'exemple de réalisation de la figure 7.

Contrairement à l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52f, l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52h n'est cependant pas fixée sur la cloche de boîtier du côté transmission, mais elle présente un tronçon de piston cylindrique 415h qui est reçu dans un évidement cylindrique 416h d'une pièce de retenue 417h fixée sur la cloche de boîtier. L'évidement 416h est ouvert en direction de l'embrayage et l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52h et ainsi le tronçon de piston 415h sont mis sous précontrainte en direction de la transmission par des organes de ressort de compression 418h qui attaquent un collier annulaire 420h de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52h, lequel dépasse radialement vers l'extérieur, et un collier annulaire 419h de la pièce de retenue 417h, qui est décalé en direction axiale par rapport audit collier annulaire en direction vers l'embrayage. Le tronçon de piston axialement mobile 415h et l'évidement 416h forment un cylindre annulaire récepteur hydraulique

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54'h qui sert uniquement à l'actionnement de secours de l'embrayage et qui est pour cela désigné comme cylindre d'actionnement de secours dans ce qui suit. Le cylindre d'actionnement de secours 54'h sert ainsi non pas de cylindre de mesure, comme le cylindre de mesure hydraulique de l'exemple de réalisation de la figure 7 ou les cylindres annulaires récepteurs hydrauliques des autres modes de réalisation décrits auparavant. Un cylindre de mesure hydraulique séparé correspondant au cylindre de mesure hydraulique 54f de l'exemple de réalisation de la figure 7 est prévu dans l'unité structurelle de soupape

de commande 354h.

Cependant, l'unité structurelle de soupape de commande 354h se distingue de l'unité structurelle de soupape de commande 354f de l'exemple de réalisation de la figure 7 par l'accouplement du cylindre de mesure hydraulique à l'agencement de débrayage. Selon l'exemple de réalisation de la figure 9, la tige de piston 366h est reliée en coopération de formes à l'élément d'accouplement 372f (de préférence de façon détachable; par exemple au moyen d'un goujon de liaison qui traverse un trou respectif dans l'élément d'accouplement et dans la tige de piston), de sorte que le piston du cylindre de mesure hydraulique et l'agencement de débrayage sont accouplés en déplacement l'un à l'autre. Accouplé en déplacement l'un à l'autre signifie ici que le piston du cylindre de mesure hydraulique suit chaque mouvement de l'agencement de débrayage. Ainsi, on peut renoncer à une précontrainte du piston du cylindre de mesure hydraulique par exemple via un ressort correspondant au ressort 368f. Grâce à l'accouplement mobile du piston du cylindre de mesure hydraulique à l'agencement de débrayage, on obtient un amortissement avantageux du système pneumatique, qui s'oppose à des sur- oscillations et à d'autres apparitions d'oscillations qui sont en relation avec la compressibilité

du fluide pneumatique (air comprimé).

Dans le fonctionnement normal, donc lorsque la soupape de commande de l'unité structurelle de soupape de commande 354h est fonctionnelle et que de l'air comprimé est appliqué sous une pression

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suffisante au raccord d'air comprimé de la soupape de commande, l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52h occupe constamment sa position extrême près de la transmission, et le tronçon de piston 415h plonge donc aussi loin que possible en direction vers la transmission (vers la droite à la figure 9) dans l'évidement 416h. Ceci est atteint d'une part par les organes de ressort 418h qui exercent une force relativement importante sur l'unité structurelle de cylindre

d'actionnement 52h, et d'autre part par une unité à piston séparateur-et-

cylindre 422h via laquelle le cylindre d'actionnement de secours 54'h est raccordé au moyen de conduites hydrauliques 424h et 425h à la conduite hydraulique 90h qui mène depuis le cylindre émetteur hydraulique 92h susceptible d'être actionné par la pédale d'embrayage vers l'unité structurelle de soupape de commande 354h et ainsi vers la soupape de commande. L'unité à piston séparateur-et-cylindre 422h présente une chambre cylindrique qui est subdivisée en une première chambre de travail et en une seconde chambre de travail par un piston

séparateur 426h monté en déplacement dans la chambre cylindrique.

Le piston séparateur 426h est mis sous précontrainte par un ressort de compression 428h dans le sens d'une réduction de la première chambre de travail et d'une augmentation de la seconde chambre de travail. La conduite hydraulique 425h depuis la conduite hydraulique 90h vers l'unité à piston séparateur-et-cylindre 422h est raccordée à la première chambre de travail, et la conduite hydraulique 424h entre l'unité à piston séparateur-et-cylindre 422h et le cylindre d'actionnement de secours 54'h est raccordée à la seconde chambre de travail. Les chambres de travail sont remplies avec de l'huile hydraulique, tout

comme les conduites hydrauliques.

Pour actionner le cylindre d'actionnement de secours 54'h, la pression dans le système hydraulique doit suffire pou déplacer le piston séparateur 426h à l'encontre de la force du ressort de compression 428h dans le sens d'une augmentation de la première chambre de travail et d'une réduction de la seconde chambre de travail, et pour déplacer le tronçon de piston 415h et ainsi l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52h à l'encontre de la force des organes de ressort de compression 418h en direction vers l'embrayage. Les forces

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de compression des organes de ressort de compression 418h et du ressort de compression 428h sont choisies de telle sorte que les pressions hydrauliques dans le système hydraulique, qui apparaissent normalement lorsque la soupape de commande est fonctionnelle et lors d'une pression pneumatique suffisante, ne suffisent pas pour actionner le cylindre d'actionnement de secours 54'h. Pendant ce fonctionnement normal, le tronçon de piston 415h est donc laissé dans sa position extrême côté transmission, de telle sorte que des organes d'étanchement comme les joints d'étanchement et similaires, qui

étanchent le cylindre d'actionnement de secours 54'h, ne s'usent pas.

Par contre, lorsque la soupape de commande est défaillante ou que la source de pression 98h ne fournit plus d'air comprimé, on peut augmenter la pression dans le système hydraulique par un actionnement d'autant plus fort du cylindre émetteur 92h par la pédale d'embrayage 94h, de telle sorte que les forces du ressort de compression 428h et des organes de ressort de compression 418h sont surmontées et que le tronçon de piston 415h peut être débrayé hors de l'évidement 416h avec un déplacement correspondant de l'ensemble de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52h en direction vers l'embrayage (et avec un déplacement correspondant du piston séparateur 426h). Les languettes de ressort à membrane 34h de l'embrayage du type enfoncé sont ainsi pressées en direction vers l'embrayage, de sorte que la plaque de pression ou les plaques de pression se soulèvent du disque d'embrayage ou des disques

d'embrayage, donc l'embrayage se débraie.

Au lieu de l'unité à piston séparateur-et-cylindre 422h ou également en supplément à celle-ci, on peut également prévoir une soupape de commutation dans la liaison hydraulique entre la conduite hydraulique h et le cylindre d'actionnement de secours 54'h, qui obture le flux de l'huile hydraulique en direction vers le cylindre d'actionnement de secours 54'h dans un premier état de commutation, et qui permet le flux de l'huile hydraulique en direction vers le cylindre d'actionnement

de secours 54'h dans un second état de commutation.

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La figure 1 Oa montre un mode de réalisation possible d'une soupape de commutation de ce type, qui est prévue à la place de l'unité à piston séparateur-et-cylindre 422h dans un dispositif d'actionnement selon la figure 9. La soupape de commutation 430k est raccordée au moyen de la conduite hydraulique 425k à la conduite hydraulique menant vers le cylindre émetteur 92h susceptible d'être actionné par la pédale d'embrayage, et elle est raccordée au moyen de la conduite hydraulique 424k au cylindre d'actionnement de secours 54'h. La soupape de commutation 430k illustrée seulement symboliquement est en outre raccordée à la source d'air comprimé 98k au moyen d'une conduite pneumatique 432k. Tant que la source d'air comprimé 98k fournit de l'air comprimé à une pression suffisante, il n'existe aucune liaison hydraulique via la soupape de commutation 430k entre les conduites hydrauliques 425k et 424k en direction vers le cylindre d'actionnement de secours. Dans la direction d'écoulement inverse, donc depuis le cylindre d'actionnement de secours en direction vers le cylindre émetteur, on a cependant prévu une liaison hydraulique via un clapet

anti-retour 434k de la soupape de commutation 430k.

Par contre, lorsque la source d'air comprimé 98k ne fournit pas de l'air comprimé ou bien seulement de l'air comprimé à une pression non suffisante, la soupape de commutation 430k établit une liaison entre les conduites hydrauliques 425k et 424k également en direction depuis

le cylindre émetteur vers le cylindre d'actionnement de secours.

Grâce à la soupape de commutation, on atteint qu'un actionnement du cylindre d'actionnement de secours est possible uniquement lorsque la source d'air comprimé 98k ne fournit pas d'air comprimé ou seulement de l'air comprimé à une pression non suffisante. Les pressions hydrauliques nécessaires pour actionner le cylindre d'actionnement de secours peuvent alors être réduites par rapport à l'exemple de réalisation de la figure 9, car on peut alors omettre les moyens formant seuil de pression, comme par exemple l'unité de piston séparateur de

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cylindre 422h et les organes de ressort de compression 418h, ou bien

on peut réduire leurs forces de précontrainte.

Au lieu de l'unité à piston séparateur-et-cylindre 422h ou de la soupape de commutation 430k, ou également en supplément à celle-ci, on peut prévoir une unité de clapet anti-retour dans la conduite hydraulique entre la conduite hydraulique 90h et le cylindre d'actionnement de secours 54'h dans l'exemple de réalisation de la figure 9. Une unité de

clapet anti-retour convenable 4381 est montré dans la figure 10b.

L'unité de clapet anti-retour 4381 présente un clapet anti-retour 4341 qui correspond au clapet anti-retour 434k et qui permet une liaison de flux en retour depuis le cylindre d'actionnement de secours hydraulique 54'h vers le cylindre émetteur hydraulique 92h. En

supplément, l'unité de clapet anti-retour 4381 présente un clapet anti-

retour 4401 qui est agencé parallèlement au clapet anti-retour 4341 et qui présente une direction de flux inverse. Le clapet anti-retour 4401 s'ouvrant à l'encontre d'une précontrainte est conçu de telle sorte que, la précontrainte est donc dimensionnée de telle sorte qu'une liaison de flux entre la conduite hydraulique 4251 et la conduite hydraulique 4241 en direction vers le cylindre d'actionnement de secours et ainsi depuis le cylindre émetteur vers le cylindre d'actionnement de secours est établie ou existe uniquement lorsque la pression hydraulique à l'entrée du clapet anti-retour 4401 et ainsi la pression hydraulique dans le système hydraulique dépasse un certain seuil de pression hydraulique prédéterminé par la précontrainte. Un seuil de force d'actionnement pour la force d'actionnement agissant sur le cylindre émetteur correspond au seuil de pression hydraulique qui en résulte et qui doit

être dépassé pour actionner le cylindre d'actionnement de secours.

Une variante analogue à la possibilité d'actionnement de secours de l'embrayage dans un dispositif d'actionnement selon la figure 7, est

montrée schématiquement à la figure 1 Oc.

Tout comme dans l'exemple de réalisation de la figure 9, l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m s'engage par un tronçon

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415m dans un évidement 416m d'une pièce de retenue 417m fixée sur la cloche de boîtier, et elle est en principe axialement mobile dans cet évidement. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m est mise sous précontrainte en direction vers l'embrayage par un accumulateur élastique, dans l'exemple montré par une rondelle-ressort du type rondelle Belleville 450m ou similaire agencée dans

l'évidement 416m entre le tronçon 415m et la pièce de retenue 417m.

Pendant le fonctionnement normal, donc tant que la soupape de commande non illustrée ici est fonctionnelle ou que de l'air comprimé à une pression suffisante est disponible, l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m est retenue dans sa position extrême axiale plus éloignée de l'embrayage par un cliquet d'enclenchement 452m précontraint par ressort, qui attaque un collier annulaire 420m de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m, position dans laquelle le tronçon 415m est enfoncé le plus loin possible dans l'évidement 416m. Dans ce cas, la rondelle-ressort 450m est sous une contrainte telle que la force exercée par celle-ci sur l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m en direction vers l'embrayage suffit pour déplacer l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m pour un actionnement de secours de l'embrayage suffisamment loin en direction vers l'embrayage, dès que le cliquet d'enclenchement 452m

n'attaque plus le collier annulaire 420m.

Lorsque l'embrayage ne doit pas être actionné par secours au moyen de l'accumulateur élastique, le cliquet d'enclenchement 452, agencé en basculement sur la pièce de retenue 417m est dégagé du collier annulaire 420m par exemple au moyen d'un câble Bowden non illustré ou similaire, de sorte que la rondelle-ressort 450m déplace l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m en direction vers

l'embrayage et débraie l'embrayage en correspondance.

L'embrayage demeure alors dans cet état débrayé, jusqu'à ce qu'un actionnement normal de l'embrayage via le cylindre annulaire pneumatique de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m soit à nouveau possible. Grâce à un actionnement correspondant du

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cylindre annulaire pneumatique, l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m qui s'appuie contre le ressort à membrane 32m via l'agencement de débrayage 48m débrayant hors de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52m est déplacée en direction vers la transmission jusque dans la position d'origine dans laquelle le cliquet d'enclenchement 452m engage par l'arrière le collier annulaire 420m et la rondelle-ressort 450 est précontrainte. Le cliquet d'enclenchement 452m présente à cet effet une pente d'entrée qui est attaquée par le collier annulaire 420m et qui éloigne le cliquet d'enclenchement 452m radialement vers l'extérieur, de sorte que le collier annulaire 420m peut passer le tronçon d'engagement du cliquet d'enclenchement 452m et que celui-ci peut s'enclencher du côté embrayage du collier annulaire 420m. La figure 11 montre une variante de l'unité structurelle de cylindre d'actionnement de la figure 5. L'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52n de la figure 11 se distingue de l'exemple de réalisation de la figure 5 par le fait que l'élément de piston annulaire n est mis sous précontrainte en direction vers la transmission par un ressort de traction 460n attaquant le collier annulaire 460n de la paroi cylindrique annulaire stationnaire 184n. Pour mettre sous précontrainte l'élément de piston annulaire 172n en direction vers l'embrayage, on a prévu, au lieu du ressort de compression 208d de l'exemple de réalisation de la figure 5, des moyens formant ressort de compression 208n agencés dans la chambre cylindrique annulaire du

cylindre annulaire pneumatique 56n.

Lorsque le cylindre annulaire pneumatique est sollicité par de l'air comprimé, sans que le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54'n soit simultanément sollicité par l'huile sous pression, l'élément de piston annulaire 170n du cylindre annulaire pneumatique 56n demeure dans sa position axiale montrée à la figure 11, dans laquelle le volume de la chambre cylindrique annulaire du cylindre annulaire récepteur hydraulique 54'n est minimal. L'élément de piston annulaire 170n bute dans ce cas sous la force de traction du ressort de traction 462n contre

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une butée non illustrée. Le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54'n de l'exemple de réalisation de la figure 11 ne sert ainsi pas de cylindre de mesure pour une soupape de commande associée, contrairement au cylindre annulaire récepteur hydraulique 54d de l'exemple de réalisation de la figure 5, mais exclusivement de cylindre d'actionnement de secours pour un actionnement de secours de l'embrayage dans le cas d'une défaillance de la soupape de commande

ou lors d'une pression pneumatique insuffisante.

Le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54'n est raccordé au cylindre émetteur hydraulique associé, en particulier susceptible d'être actionné par la pédale d'embrayage, de préférence via des organes

formant seuil de pression, comme l'unité à piston séparateur-et-

cylindre 422h et l'unité de clapet anti-retour 4381 et/ou via une soupape

de commande telle que la soupape de commande 4301.

En ce qui concerne un actionnement de secours de l'embrayage, il ne résulte pas des différences essentielles en comparaison avec l'exemple de réalisation de la figure 5; il suffit de solliciter le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54'n avec une pression hydraulique d'autant plus élevée en raison du ressort de traction 462n ou des organes formant

seuil de pression éventuellement prévus.

Pour un positionnement exact de l'agencement de débrayage 48n, on a prévu en outre des organes de rétroaction convenables qui ramènent la position axiale de l'agencement de débrayage à la soupape de commande ou à l'unité de commande. De tels organes de rétroaction ne sont pas montrés à la figure 11, et on peut prévoir un cylindre de mesure hydraulique séparé pour la rétroaction, qui attaque par exemple l'agencement de débrayage 48n via des éléments d'accouplement mécaniques, on bien on peut prévoir une rétroaction électrique ou

mécanique, comme dans les exemples de réalisation de la figure 4.

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Un autre agencement de cylindre d'actionnement conforme à l'invention également pour un embrayage enfoncé est montré à la figure 12. L'agencement comporte un cylindre annulaire récepteur hydraulique 54p servant de cylindre de mesure et de cylindre d'actionnement de secours, qui est agencé concentriquement par rapport à l'axe d'embrayage A, ainsi que plusieurs cylindres pneumatiques individuels 56p qui sont agencés en répartition autour de l'axe d'embrayage A à des distances angulaires périphériques égales et à des distances égales par rapport à l'axe d'embrayage A. La figure 12 illustre deux cylindres pneumatique 56pl et 56p2. Le cylindre annulaire récepteur hydraulique 54p et les cylindres pneumatiques 56p attaquent une plaque annulaire 470p portant l'agencement de débrayage 48p. L'agencement pourrait également être inverse, avec un cylindre annulaire pneumatique et plusieurs cylindres récepteurs hydrauliques individuels. La position radiale des cylindres récepteurs

pourrait également être inverse.

Un autre agencement de cylindre d'actionnement conforme à l'invention est montré à la figure 13. Dans cet agencement, on a prévu deux cylindres récepteurs hydrauliques 54ql et 54q2 diamétralement en vis-à- vis par rapport à l'axe d'embrayage A, ainsi que deux cylindres pneumatiques 56ql et 56q2 diamétralement en vis-à-vis par rapport à l'axe d'embrayage A. Les quatre cylindres d'actionnement sont agencés autour de l'axe d'embrayage A en répartition à des distances angulaires périphériques égales et à des distances égales par rapport à l'axe d'embrayage A, et ils attaquent une plaque annulaire commune 470q portant l'agencement de débrayage non illustré. Les cylindres récepteurs hydrauliques 54ql et 54q2 servent de cylindre d'actionnement de secours et de cylindre de mesure hydraulique pour

une soupape de commande non illustrée.

Un autre exemple de réalisation avantageux pour un dispositif d'actionnement conforme à l'invention est montré à la figure 14. Le dispositif d'actionnement de la figure 14 se distingue de l'exemple de réalisation de la figure 7 uniquement par une autre réalisation de la protection anti-surcharge pour éviter des forces hydrauliques trop élevées. Dans l'exemple de réalisation de la figure 14, on a prévu deux agencements protecteurs anti-surcharge séparés, afin de montrer

différentes possibilités à l'égard de la réalisation de la protection anti-

surcharge. Dans la pratique, on peut également prévoir un seul des deux agencements protecteurs anti-surcharge à expliquer dans ce qui suit. Le premier agencement protecteur anti-surcharge est réalisé de façon similaire à la protection anti-surcharge 374f de l'exemple de réalisation de la figure 7 et il comporte une protection anti-surcharge 374r séparée de l'unité structurelle de soupape de commande 354r. La protection anti-surcharge 374r comporte un cylindre 376r relié à la conduite hydraulique 90r depuis le cylindre émetteur 92r susceptible d'être actionné par la pédale d'embrayage vers le raccord hydraulique 78f, et un piston étanché 378r qui est mis sous précontrainte dans le sens d'une réduction de volume de la chambre cylindrique du cylindre 376r, qui est reliée au système hydraulique. Le mode de fonctionnement est comme pour la protection anti-surcharge 374f de l'exemple de réalisation de la figure 7. La protection anti- surcharge 374f peut être prévue à un emplacement quelconque à l'intérieur de la course de pression hydraulique entre le cylindre émetteur 72r et la soupape de commande. Le second agencement protecteur anti-surcharge est formé par une réalisation spéciale du cylindre de mesure hydraulique 54r, ou plus exactement du piston 364r et de la tige de piston 366r. Tout comme dans l'exemple de réalisation de la figure 9, la tige de piston 366r est reliée en coopération de formes à l'élément d'accouplement 372r, en particulier en coopération de formes de façon détachable. La tige de piston 366r est ainsi accouplée en déplacement avec l'agencement dedébrayage 48r.

Le piston 364r est monté de façon étanchée et mobile sur la tige de piston 366r et il est mis sous précontrainte en direction vers l'extrémité

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de la tige de piston, qui est éloignée de l'élément d'accouplement 372r, par un ressort de compression hélicoïdal 490r agissant entre l'élément d'accouplement 372r et le piston 364r, extrémité à laquelle la tige de piston présente une butée 492r pour le piston 364r. La précontrainte par le ressort 490r est dimensionnée de telle sorte que les pressions hydrauliques, qui apparaissent lorsque la soupape de commande 74r travaille ou lors d'une pression pneumatique suffisante, ne suffisent pas pour déplacer le piston 364r du cylindre de mesure hydraulique 54r sensiblement à l'encontre de la force de ressort le long de la tige de piston 366r en direction vers l'élément d'accouplement 372r, donc dans le sens d'une augmentation de volume du cylindre de mesure hydraulique 54r. Le piston 364r occupe alors constamment sensiblement sa position de fin de course montrée à la figure 14, dans laquelle il s'appuie contre la butée 492r. Le mode de fonctionnement du cylindre de mesure hydraulique 54r est alors tout à fait comme dans l'exemple de réalisation de la figure 7 ou de la figure 9 (à l'égard de

l'amortissement du système pneumatique).

Par contre, lorsque la soupape de commande 74r n'est pas fonctionnelle ou que l'air comprimé au niveau du raccord d'air comprimé 76r est absent, le cylindre de mesure hydraulique 54r peut recevoir le volume de l'huile sous pression refoulée hors du cylindre émetteur 92r en particulier lors d'un actionnement d'autant plus fort de la pédale d'embrayage 94r, par un déplacement correspondant du piston 364r à l'encontre de la force du ressort 490r le long de la tige de piston 366r, de sorte que l'on évite de façon fiable un endommagement de la soupape de commande 74r, de la tige de piston 366r ou de l'élément d'accouplement 372r par des forces hydrauliques fortement

augmentées ou par des forces fortes agissant sur ceux-ci.

Une autre possibilité pour éviter des pressions hydrauliques trop élevées dans le cas d'une défaillance de la soupape de commande ou

dans le cas d'une absence de l'air comprimé est illustrée à la figure 1 Sa.

Le dispositif d'actionnement conforme à l'invention illustré ici

correspond largement au dispositif d'actionnement de la figure 2b.

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Dans l'exemple de réalisation de la figure 1Sa, on a prévu comme protection anti-surcharge une soupape anti-surcharge 494s qui est raccordée d'une part à la conduite hydraulique 90s depuis le cylindre émetteur hydraulique 92s vers la soupape de commande 74s et d'autre part à la conduite hydraulique entre la réserve de fluide hydraulique 96s et le cylindre émetteur 92s. La soupape anti-surcharge 494s réalisée sous forme d'un clapet anti-retour permet un flux de fluide hydraulique depuis la conduite hydraulique 90s vers le côté réserve du cylindre émetteur 92s uniquement lorsque la pression hydraulique dépasse un seuil de pression prédéterminé. Le seuil de pression est choisi de telle sorte que la soupape anti-surcharge permet un écoulement en retour du fluide sous pression hydraulique hors de la région de pression vers le côté réserve du cylindre émetteur lorsque la pression hydraulique apparaissant atteint une valeur inadmissiblement élevée à cause d'un pénurie de pression pneumatique ou à cause d'une

défaillance de la soupape de commande.

Contrairement à l'exemple de réalisation de la figure 2b, la rétroaction de la position de l'agencement de débrayage 48 vers la soupape de commande 74s dans l'exemple de réalisation de la figure Sa ne s'effectue pas via un agencement de cylindre de mesure hydraulique avec une conduite hydraulique correspondante entre l'unité structurelle de cylindre d'actionnement 52s et la soupape de commande 74s, mais via une tringlerie 496s qui est reliée à l'agencement de débrayage 48s et à une ou plusieurs pièces de la soupape de commande 74s, par

exemple à un siège de soupape.

Une autre variante du dispositif d'actionnement conforme à l'invention est illustrée à la figure 15b. Dans cet exemple de réalisation, la soupape de commande est pilotée par la pédale d'embrayage 94t via une tringlerie 498t pour prédéterminer la position axiale de consigne de l'agencement de débrayage 48t. La tringlerie 498t comporte plusieurs éléments de tringlerie reliés les uns aux autres via des articulations. Un élément de tringlerie du côté pédale d'embrayage est relié via une articulation à la pédale d'embrayage 94t, et un élément de

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tringlerie du côté soupape de commande est relié à une ou à plusieurs pièces de la soupape de commande, par exemple à un corps de soupape. La rétroaction de la position axiale réelle de l'agencement de débrayage 48t vers la soupape de commande 74t s'effectue ici également via une tringlerie 496t, tout comme dans l'exemple de

réalisation de la figure 15a.

La figure 16 montre par la figure 16a un schéma qui illustre le principe d'un dispositif d'actionnement conforme à l'invention, spécialement à l'égard du positionnement de l'agencement de débrayage. Outre l'agencement de cylindre de force en soi, en particulier l'agencement de cylindre pneumatique 56u, le dispositif d'actionnement comporte surtout la soupape de commande 74u qui actionne via un trajet de liaison y (grandeur de réglage Y) l'agencement de cylindre de force 56u en dépendance d'une grandeur de référence. La grandeur de référence est dérivée d'un signal de référence W qui est amené, dans l'exemple illustré, depuis une pédale d'embrayage 94u via un trajet de liaison w à la soupape de commande 74u. Pour convertir le signal de référence W en la valeur de référence, on peut associer des organes convertisseurs 500u au raccord de signal correspondant 78u de la

soupape de commande.

Le pilotage de l'agencement de cylindre de force 56u s'effectue en dépendance de la grandeur de référence représentant la position de consigne de l'agencement de débrayage, et d'une grandeur réelle représentant la position réelle de l'agencement de débrayage. La grandeur réelle est dérivée d'un signal de valeur réelle X qui est amené à la soupape de commande 74u depuis un agencement d'élément émetteur 504u associé à l'agencement de débrayage via un trajet de liaison x. On peut également associer au raccord de signal correspondant 80u de la soupape de commande 74u des organes convertisseurs 502u qui servent à convertir le signal de valeur réelle X

en la grandeur réelle.

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La soupape de commande 74u, l'agencement de cylindre de force, l'agencement d'élément émetteur 504u associé à l'agencement de débrayage et les trajets x, y forment un circuit de régulation qui règle la position de l'agencement de débrayage en correspondance des données prédéterminées du signal de référence W. Dans l'exemple de réalisation illustré, la régulation s'effectue par commutation de la soupape de commande 74u entre trois états de soupape, à savoir un état de commande de remplissage I dans lequel la source de fluide sous pression (en particulier la source pneumatique) est reliée via les raccords de soupape 76u et 82u à l'agencement de cylindre de force 56u, un état de commande de vidange II dans lequel l'agencement de cylindre de force 56u est relié via les raccords de soupape 82u et 84u à un volume de compensation (en particulier l'atmosphère), et un état de commande de retenue III dans lequel le fluide sous pression ne peut pas s'échapper hors de l'agencement de cylindre de force 56u via la soupape de commande 74u. Un état de commande de retenue séparé de la soupape de commande n'est pas forcément nécessaire. Dans la mesure o l'on a prévu un état de commande de retenue propre à la soupape de commande, celui-ci peut également être réalisé par une commutation permanente entre la liaison de remplissage 76u - 82u et la liaison de vidage 82u - 84u. Lorsqu'un état de commande de retenue propre à la soupape de commande n'est pas prévu, la fonction de retenue" du dispositif d'actionnement existe néanmoins par le fait qu'une commutation permanente de la soupape de commande entre l'état de commande de remplissage I et l'état de commande de vidange

II se produit dans certains états de fonctionnement.

Tant le signal de référence W indiquant la position de consigne que le signal de rétroaction ou de valeur réelle X peuvent être réalisés

indépendamment l'un de l'autre par tous types de signal convenables.

En ce qui concerne les signaux, il peut s'agir respectivement d'un signal hydraulique, pneumatique, mécanique, électrique ou optique, pour citer seulement les types de signaux les plus importants. Selon le type de signal, le signal respectif peut être représenté par une pression, un volume, une force, un trajet, un angle, un courant, une tension ou par une intensité lumineuse, pour citer à nouveau seulement les

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représentations de signaux physiques les plus importantes. Ce qui importe, c'est que le signal de référence W et le signal de valeur réelle X peuvent également être des signaux de différents types ou que le signal de référence W et le signal de valeur réelle X peuvent également être représentés par différentes grandeurs physiques. Lorsque le signal de référence et le signal de valeur réelle X sont de différents types ou sont représentés par différentes grandeurs physiques, une conversion des signaux en des grandeurs du même type (grandeur de référence ou grandeur réelle) peut s'effectuer grâce aux organes convertisseurs

mentionnés 500u et 502u.

On peut dériver une grandeur différentielle de la grandeur réelle et de la grandeur de référence, qui détermine l'état de commande de la soupape de commande 74u. Dans l'exemple illustré, la soupape de commande 74u prend l'état de commande de remplissage I lorsque la grandeur de référence est supérieure à la grandeur réelle, et l'état de commande de vidange II lorsque la grandeur de référence est inférieure à la grandeur réelle. Lorsque la grandeur de référence est égale à la grandeur réelle, la soupape de commande 74u de l'exemple de

réalisation de la figure 1 6a prend l'état de commande de retenue III.

En ce qui concerne la grandeur réelle, la grandeur de référence et le cas échéant la grandeur différentielle, il peut s'agir respectivement d'une grandeur hydraulique, pneumatique, mécanique ou électrique, en particulier d'une pression, d'un volume, d'une force, d'un trajet, d'un angle, d'un courant ou d'une tension, ou également d'une grandeur calculée qui existe de préférence sous forme d'une numérisation correspondante dans des régions de mémorisation d'un dispositif de commande électronique, en particulier d'un microprocesseur, de la

soupape de commande.

En ce qui concerne le signal de valeur réelle X, on ajoutera encore que celui-ci peut indiquer ou représenter, au lieu d'une indication directe de la position de débrayage absolue, également la course de débrayage, la force de débrayage ou le couple transmis par l'embrayage. En

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correspondance, le signal de référence W peut également indiquer la course de débrayage de consigne, la force de débrayage de consigne ou le couple à transmettre, au lieu de la position de consigne du dispositif

de débrayage.

Il est souvent judicieux dans la pratique qu'il n'existe aucune relation linéaire entre le signal de référence W et la position axiale de l'agencement de débrayage, qui s'établit sous la commande ou la régulation de la soupape de commande 74u. Par exemple, il est avantageux pour une opération d'embrayage douce manuelle par un actionnement correspondant de la pédale d'embrayage 94u, qu'une plage de position de consigne médiane de l'embrayage qui est limitée par une position du début de la transmission de couple de rotation S et par une position EK embrayée pour une transmission de couple de rotation sensiblement maximum, soit écartée par rapport aux autres plages de position de consigne dans les signaux de référence associés W. Une courbe caractéristique de positionnement correspondante qui associe à chaque signal de référence W une position axiale de consigne est illustrée à la figure 16b. Étant donné que cette position axiale de consigne de l'agencement de débrayage indiquée par le signal de référence W s'établit en raison de l'actionnement de l'agencement de cylindre de force 56u par la soupape de commande, et qu'elle correspond alors au signal de valeur réelle X, l'axe horizontal du diagramme indiquant la courbe caractéristique de positionnement est désigné par la référence X dans la figure 16b. L'axe vertical est désigné par la référence W. Grâce à une telle association entre le signal de référence W et la position de consigne de l'agencement de débrayage, on atteint d'une part, en partant de l'état débrayé, une fermeture rapide de l'embrayage jusqu'au point de friction S, et d'autre part l'écart déjà mentionné entre le point de friction S et la position embrayée EK qui permet une opération d'embrayage douce. La régulation de la position axiale de l'agencement de débrayage selon la courbe caractéristique peut être atteinte par un calcul correspondant ou par une conversion

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correspondante du signal de référence W dans les organes convertisseurs 500u ou du signal de valeur réelle X dans les organes

convertisseurs 502u.

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Claims

Revendications

1. Dispositif d'actionnement pour un embrayage à friction (2) agencé dans une cloche de boîtier (4) dans le train d'entraînement d'un véhicule automobile, en particulier d'un véhicule automobile utilitaire, entre un moteur à combustion interne et une transmission, comportant: - un agencement de débrayage (48) mobile sensiblement coaxialement par rapport à l'embrayage à friction pour actionner l'embrayage à friction (2); - un agencement d'asservissement en position (74, 52) présentant un agencement de cylindre pneumatique (56) qui agit sur l'agencement de débrayage et qui est susceptible d'être actionné via une soupape de commande (74) reliée à une source pneumatique (98), en dépendance d'une grandeur de référence représentant une position de consigne et d'une grandeur réelle représentant la position axiale de l'agencement de débrayage (48), caractérisé en ce que l'agencement de cylindre pneumatique (56) est agencé à l'intérieur de la cloche de boîtier (4), et en ce que la soupape de commande (74) est agencée à l'extérieur de la cloche de boîtier (4) ou du moins en partie à l'intérieur de la cloche de boîtier (4), mais de façon accessible, en particulier démontable depuis l'extérieur, lorsque la cloche de boîtier est reliée au moteur à combustion interne et à la transmission.

2. Dispositif d'actionnement selon la revendication 1, caractérisé en ce que la soupape de commande (74) comporte un agencement de soupape (292, 316, 334) réglable entre un premier état de commande (I) reliant l'agencement de cylindre pneumatique (56) à la source pneumatique (98) et un second état de commande (II) reliant l'agencement de cylindre pneumatique (56) à une ouverture de compensation de pression (84), qui peut être commuté entre les deux états de commande (I, II) en dépendance d'une grandeur différentielle

associée à la grandeur réelle et à la grandeur de référence.

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3. Dispositif d'actionnement selon la revendication 2, caractérisé en ce que l'agencement de soupape (292, 316, 334) est réglable en dépendance de la grandeur différentielle jusque dans un troisième état de commande (III) dans lequel l'agencement de cylindre pneumatique (56) est fermé de façon sensiblement étanche sur le plan pneumatique.

4. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisé en ce que l'une au moins des grandeurs que sont la grandeur de référence, la grandeur réelle et le cas échéant la grandeur différentielle, représente une grandeur hydraulique, pneumatique, mécanique ou électrique, en particulier une pression, un

volume, une force, un trajet, un angle, un courant ou une tension.

5. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisé en ce que la soupape de commande (74) présente un premier raccord de signal (78) pour recevoir un signal de référence (W) indiquant la grandeur de référence en particulier d'un agencement de pédale d'embrayage (94), et un second raccord de signal (80) pour recevoir un signal de valeur réelle (X) indiquant la grandeur réelle d'un agencement d'élément émetteur (54; 144b; 162c;

504u) associé à un agencement de débrayage (48).

6. Dispositif d'actionnement selon la revendication 5, caractérisé en ce que le signal de référence (W) est un signal hydraulique, pneumatique, électrique ou optique représenté en particulier par une pression, un volume, une force, un trajet, un angle, un courant, une tension ou par une intensité lumineuse, et en ce que des organes convertisseurs (500u) sont associés le cas échéant au premier raccord de signal (78u) pour

convertir le signal de référence (W) en la grandeur de référence.

7. Dispositif d'actionnement selon l'une ou l'autre des revendications 5

et 6, caractérisé en ce que le signal de valeur réelle (X) est un signal hydraulique, pneumatique, mécanique, électrique ou optique représenté en particulier par une pression, un volume, une force, un

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trajet, un angle, un courant, une tension ou bien une intensité lumineuse, et en ce que des organes convertisseurs (502u) sont le cas échéant associés au second raccord de signal (80u) pour convertir le

signal de valeur réelle (X) en la grandeur réelle.

8. Dispositif d'actionnement selon l'une ou l'autre des revendications 6

et 7, caractérisé en ce que l'agencement d'asservissement en position (74, 52) comporte un dispositif de régulation de position (74u, 504u) qui règle la position de l'agencement de débrayage (48) en dépendance du signal de référence (W), du signal de valeur réelle (X), et d'une

courbe caractéristique de positionnement prédéterminée.

9. Dispositif d'actionnement selon la revendication 8, caractérisé en ce que la courbe caractéristique de positionnement associe à chaque signal de référence (W) une position de consigne (W') de l'agencement de débrayage (48), de telle sorte que l'on associe à une plage de position de consigne limitée sensiblement par une position de début de transmission de couple de rotation (S) et par une position (EK) embrayée pour la transmission d'un couple de rotation sensiblement maximum, une plage de signal de référence relativement plus grande

qu'aux autres plages de position de consigne.

10. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que l'agencement

d'asservissement en position (74b, 52b, 140b, 144b) comporte un circuit de régulation de position électrique (140b) présentant un émetteur de valeur mesurée électrique (144b) qui détecte directement

ou indirectement la position de l'agencement de débrayage.

11. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications 1 à 9, caractérisé en ce que l'agencement

d'asservissement en position (74c, 52c) comporte un agencement de réglage de position mécanique présentant un élément émetteur (162c)

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accouplé mécaniquement qui détecte directement ou indirectement la

position de l'agencement de débrayage.

12. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications 1 à 9, caractérisé en ce que l'agencement

d'asservissement en position (74, 52) comporte un agencement de réglage de position hydraulique présentant un agencement de cylindre de mesure hydraulique (54), en particulier un unique cylindre de mesure (54) qui détecte directement ou indirectement la position de

l'agencement de débrayage.

13. Dispositif d'actionnement selon la revendication 12, caractérisé en ce que la soupape de commande (74) comporte un agencement de soupape (292, 316, 334) réglable entre un premier état de commande reliant l'agencement de cylindre pneumatique (56) à la source pneumatique (98) et un second état de commande reliant l'agencement de cylindre pneumatique (56) à une ouverture de compensation de pression (84), qui peut être commuté entre les deux états de commande, en dépendance d'une grandeur différentielle entre une force réelle correspondante à la pression hydraulique dans

l'agencement de cylindre de mesure (54) et une précharge (330, 332).

14. Dispositif d'actionnement selon l'une ou l'autre des revendications

12 et 13, caractérisé en ce la soupape de commande (74f) et l'agencement de cylindre de mesure (54f) forment une unité structurelle (354f) fixée de façon détachable sur l'agencement de

cylindre pneumatique (56f).

15. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications 12 à 14, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre

de mesure (54f) est accouplé ou susceptible d'être accouplé de façon sensiblement rigide à l'agencement de débrayage (48f), ou au côté agencement de débrayage de l'agencement de cylindre pneumatique

(56f), via un élément d'accouplement (372f).

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16. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des revendications

12 à 15, caractérisé en ce qu'un piston (364f) mobile sensiblement parallèlement à l'axe d'embrayage (A) de l'agencement de cylindre de mesure (54f) est précontraint en direction de l'embrayage à friction, de préférence contre l'élément d'accouplement (372f) relié fenmnement à

l'agencement de débrayage (48f).

17. Dispositif d'actionnmlement selon l'une quelconque des revendications

12 à 16, caractérisé en ce qu'un piston (364r) mobile sensiblement parallèlement à l'axe d'embrayage (A) de l'agencement de cylindre de mesure (54r) est accouplé en déplacement ou susceptible d'être accouplé en déplacement à l'agencement de débrayage (48h; 48r) via l'élément d'accouplement (372h; 372r) relié fermnnement à l'agencement de

débrayage (48h; 48r).

18. Dispositif d'actionnement selon l'tune quelconque des revendications

12 à 17, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre de mesure (54a) et l'agencement de cylindre pneumatique (56a) forment une unité structurelle (52a), et en ce que la soupape de commande (74a) est retenue de façon détachable sur la cloche de boîtier (4a) et en ce qu'elle est reliée via des canaux et/ou des conduites (102a, 104a) à l'agencement de cylindre de mesure (54a) et à l'agencement de cylindre

pneumatique (56a).

19. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des revendications

12 à 18, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre de mesure (54) et l'agencement de cylindre pneumatique (56) fonnent une uaité stnructurelle (52), et en ce que la soupape de commande (74) est fixée de

façon détachable sur l'unité structurelle (52).

20. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des revendications

12 à 19, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre de mesure (54) est réalisé sous fonrme d'un agencement de cylindre

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récepteur (54) agissant sur l'agencement de débrayage (48), qui est relié ou susceptible d'être relié par voie hydraulique à un cylindre émetteur (92) susceptible d'être actionné en particulier par une pédale

de l'embrayage, pour un actionnement de secours de l'embrayage (2).

21. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications 12 à 20, caractérisé en ce qu'il est prévu, en particulier

dans le cas d'un agencement de cylindre de mesure (54f; 54r) qui n'est pas réalisé sous forme d'un cylindre récepteur pour un actionnement de secours de l'embrayage (2), des organes limitant la pression hydraulique (374f; 374r; 54r; 494s), qui s'opposent à une augmentation de la pression hydraulique dans le système hydraulique

au-delà d'une valeur maximale prédéterminée.

22. Dispositif d'actionnement selon la revendication 21, caractérisé en ce que les organes limitant la pression hydraulique (374f; 374r; 54r; 494s) comportent un dispositif de précontrainte (377f; 377r; 490r) mettant sous précontrainte un piston (378f; 378r; 364r) d'un agencement de cylindre (376f; 376r; 54r) dans le sens d'une réduction de volume de la chambre cylindrique côté système hydraulique, et/ou une soupape (494s) reliant le côté pression au côté réserve du cylindre

émetteur (92s) et s'ouvrant à l'encontre d'une précontrainte.

23. Dispositif d'actionnement selon la revendication 22, caractérisé en ce que le dispositif de précontrainte (490r) agit entre le piston (364r) et un élément de tige de piston associé (366r) de l'agencement de cylindre

de mesure (54r).

24. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est prévu en

supplément un agencement de cylindre récepteur hydraulique (54) pour actionner l'agencement de débrayage (48), qui peut être actionné de préférence au moyen d'un cylindre émetteur (92) susceptible d'être

actionné par une pédale.

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25. Dispositif d'actionnement selon la revendication 24, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre pneumatique (56h; 56n) est accouplé à l'agencement de cylindre récepteur hydraulique (54'h; 54'n) ou/et à l'agencement de débrayage (48h; 48n), de telle sorte qu'il est extensible indépendamment de l'agencement de cylindre récepteur

(54'h; 54'n) pour actionner l'agencement de débrayage (48h; 48n).

26. Dispositif d'actionnement selon la revendication 25, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre récepteur (54'h) déplace axialement l'agencement de cylindre pneumatique (56h) pour actionner

l'agencement de débrayage (48h).

27. Dispositif d'actionnement selon la revendication 25, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre récepteur (54'n) actionne l'agencement de débrayage sous extension de l'agencement de cylindre pneumatique (56n).

28. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications 24 à 27, caractérisé en ce qu'il est prévu des organes

formant seuil de force (418h, 422h; 4401; 462n) qui permettent l'actionnement hydraulique de l'agencement de cylindre récepteur (54'h; 54'n) sensiblement uniquement après avoir dépassé un seuil de

force d'actionnement agissant sur le cylindre émetteur (92h).

29. Dispositif d'actionnement selon la revendication 28, caractérisé en ce que les organes formant seuil de force comportent un dispositif de précontrainte (418h; 462n) mettant sous précontrainte un piston (415h, 170n) de l'agencement de cylindre récepteur (54'h; 54'n) ou/et un agencement de piston séparateur de cylindre agencé entre l'agencement de cylindre récepteur (54'h) et le cylindre émetteur (92h) et présentant un piston séparateur précontraint (426h), ou/et une soupape (4401) agencée entre l'agencement de cylindre récepteur (54'n)

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et le cylindre émetteur (92h) et s'ouvrant à l'encontre d'une précontrainte.

30. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications 24 à 29, caractérisé en ce qu'il est prévu une soupape de

commutation pilotable (430k) dans une liaison hydraulique entre le

cylindre émetteur et l'agencement de cylindre récepteur.

31. Dispositif d'actionnement selon la revendication 30, caractérisé en ce que la soupape de commutation pilotable (430k) est pilotable en dépendance de la pression de fonctionnement de la source

pneumatique (98k).

32. Dispositif d'actionnement selon la revendication 22 ou l'une quelconque de celles qui en dépendent, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre récepteur hydraulique (54) sert d'agencement

de cylindre de mesure.

33. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que l'agencement de

cylindre pneumatique (56) comporte un cylindre annulaire pneumatique (56) sensiblement concentrique par rapport à l'axe

d'embrayage (A).

34. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que l'agencement de

cylindre pneumatique (56) comporte une pluralité de cylindres pneumatiques (56pl, 56p2) qui sont agencés en répartition autour de l'axe d'embrayage (A), en particulier à des distances angulaires périphériques égales les uns des autres et à des distances égales par rapport à l'axe d'embrayage (A), de préférence pour exercer sur l'agencement de débrayage (48p) une force coaxiale par rapport à l'axe

d'embrayage (A).

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35. Dispositif d'actionnement selon la revendication 24 ou l'une quelconque de celles qui en dépendent, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre récepteur hydraulique (54) comporte un cylindre récepteur (54) sensiblement coaxial par rapport à l'axe d'embrayage (A).

36. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que l'agencement de

cylindre récepteur hydraulique (54) comporte une pluralité de cylindres récepteurs (54ql, 54q2) qui sont agencés en répartition autour de l'axe d'embrayage (A), en particulier à des distances angulaires périphériques égales les uns des autres et à des distances égales par rapport à l'axe d'embrayage (A), de préférence pour exercer sur l'agencement de débrayage une force coaxiale par rapport à l'axe

d'embrayage (A).

37. Dispositif d'actionnement selon la revendication 24 ou l'une quelconque de celles qui en dépendent, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre pneumatique (56) et l'agencement de cylindre

récepteur hydraulique (54) forment une unité structurelle (52).

38. Dispositif d'actionnement selon les revendications 33 et 35 ou l'une

quelconque de celles qui en dépendent, caractérisé en ce que le cylindre annulaire récepteur (54) et le cylindre annulaire pneumatique

(56) sont agencés coaxialement l'un dans l'autre.

39. Dispositif d'actionnement selon la revendication 38, caractérisé en ce que le cylindre annulaire récepteur (54a; 54e) entoure radialement à

l'extérieur le cylindre annulaire pneumatique (56a; 56e).

40. Dispositif d'actionnement selon l'une ou l'autre des revendications

38 et 39, caractérisé en ce que le cylindre annulaire récepteur (54a; 54e) dépasse au-delà du cylindre annulaire pneumatique (56a; 56e) en direction de l'axe d'embrayage (A) vers l'embrayage à

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friction ou/et en ce que le cylindre annulaire pneumatique (56a; 56e) dépasse au-delà du cylindre annulaire récepteur (54a; 54e) en

direction de l'axe d'embrayage (A) vers l'embrayage.

41. Dispositif d'actionnement selon les revendications 33 et 35 ou l'une

quelconque de celles qui en dépendent, caractérisé en ce qu'il est prévu, dans un cylindre annulaire pneumatique (56e) radialement délimité par deux parois cylindriques annulaires (242c, 244e) s'étendant coaxialement à une distance radiale, un élément de piston annulaire pneumatique (246e) de façon étanchée et mobile qui forme conjointement avec l'une des parois cylindriques annulaires (242e) en

supplément un cylindre en gradin hydraulique annulaire étanché (54e).

42. Dispositif d'actionnement selon les revendications 33 et 35 ou l'une

quelconque de celles qui en dépendent, caractérisé en ce qu'un piston annulaire (120a) du cylindre annulaire récepteur (54a) forme une paroi

cylindrique (120a) du cylindre annulaire pneumatique (56a).

43. Dispositif d'actionnement selon les revendications 33 et 35 ou l'une

quelconque de celles qui en dépendent, caractérisé en ce qu'un piston annulaire (116a) du cylindre annulaire pneumatique (56a) forme une

paroi cylindrique (116a) du cylindre annulaire récepteur (54a).

44. Dispositif d'actionnement selon l'une ou l'autre des revendications

42 et 43, caractérisé en ce que le piston annulaire (120a) du cylindre annulaire récepteur (54a) est agencé de façon étanchée et axialement mobile sur le piston annulaire (116a) du cylindre annulaire pneumatique (56a), qui forme une paroi cylindrique (116a) du cylindre annulaire récepteur (54a), et sur une paroi cylindrique opposée (108a)

du cylindre annulaire récepteur (54a).

45. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que le cylindre annulaire

pneumatique (56g) comporte deux parois cylindriques annulaires

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(398g, 400g) axialement mobiles l'une par rapport à l'autre et s'étendant à une distance radiale et coaxialement, dont chacune porte une paroi frontale annulaire (402g; 404g) s'étendant respectivement jusqu'à l'autre paroi cylindrique annulaire (400g, 398g), pour délimiter une chambre de compression, et en ce que l'agencement de débrayage (48g) est retenu sur la première (398g) des deux parois cylindriques annulaires, et en ce que des organes de fixation (406g, 394g) pour fixer le cylindre annulaire pneumatique (56g) dans la cloche de boitier sont

retenus sur la seconde (400g) des deux parois cylindriques annulaires.

46. Dispositif d'actionnement selon la revendication 45, caractérisé en ce que les organes de fixation comportent un talon tubulaire cylindrique annulaire (406g) sur le côté de la paroi frontale (404g) de la seconde paroi cylindrique annulaire (400g), côté qui est axialement détourné de l'agencement de débrayage (48g), et en ce que la première paroi cylindrique annulaire (398g) est guidée radialement de façon

axialement mobile sur le talon tubulaire (406g).

47. Dispositif d'actionnement selon la revendication 45, caractérisé en ce que des joints d'étanchement (408g, 410g) destinés à étancher la chambre de compression sont retenus sur la paroi frontale (402g) de la première paroi cylindrique annulaire (398g) d'une part, et dans la région de l'extrémité de la première paroi cylindrique annulaire (398g), qui est éloignée de l'agencement de débrayage (48g) d'autre part, lesdits joints s'appuyant avec étanchement contre des surfaces coulissantes de la seconde paroi cylindrique annulaire (400g) et du

talon tubulaire cylindrique annulaire (406g).

48. Dispositif d'actionnement selon l'une ou l'autre des revendications

46 et 47, caractérisé en ce que la seconde paroi cylindrique annulaire (400g) entoure radialement à l'extérieur la première paroi cylindrique

annulaire (398g).

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49. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications 45 à 48, caractérisé en ce que le talon tubulaire (406g)

est réalisé en une seule pièce avec la seconde paroi cylindrique

annulaire (400g) et avec sa paroi frontale (404g).

50. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que l'agencement de

cylindre pneumatique (56a) comporte un cylindre annulaire pneumatique (56g) qui porte, sur son côté axialement détourné de l'agencement de débrayage (48g) et coaxialement, un talon tubulaire (406g) pourvu d'organes de fixation (394g) destinés à la liaison avec la cloche de boîtier à l'extrémité éloignée du cylindre annulaire, et en ce que les organes de fixation (394g) forment le cas échéant conjointement avec du moins une région partielle du talon tubulaire (406g) un adaptateur de fixation (394g) fabriqué séparément du

cylindre annulaire pneumatique (56g).

51. Dispositif d'actionnement selon la revendication 50, caractérisé en ce que l'adaptateur de fixation (394g) présente un talon de guidage

pour la fixation radiale ou/et axiale du talon tubulaire (406g).

52. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce qu'un accumulateur

élastique (450m) susceptible d'être contraint au moyen de l'agencement de cylindre pneumatique (52m) est associé à l'agencement de débrayage (48m), qui peut être déclenché pour l'actionnement de

secours de l'embrayage à friction.

53. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que la source

pneumatique (98) est une source de pression pneumatique (98)

fournissant du gaz sous pression.

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54. Dispositif d'actionnement pour un embrayage à friction (2) agencé dans une cloche de boîtier (4) dans le train d'entrainement d'un véhicule automobile, en particulier d'un véhicule automobile utilitaire, entre un moteur à combustion interne et une transmission, comportant - un agencement de débrayage (48) mobile sensiblement coaxialement par rapport à l'embrayage à friction pour actionner l'embrayage à friction (2); - un agencement d'asservissement en position (74, 52) présentant un agencement de cylindre de fluide sous pression (56) qui agit sur l'agencement de débrayage et qui est susceptible d'être actionné via une soupape de commande (74) reliée à une source de fluide sous pression (98) en dépendance d'une grandeur de référence représentant une position de consigne et d'une grandeur réelle représentant la position axiale de l'agencement de débrayage, caractérisé en ce que l'agencement de cylindre de fluide sous pression

(56) est agencé à l'intérieur de la cloche de boîtier (4).

55. Dispositif d'actionnement selon la revendication 54, caractérisé en ce que le fluide sous pression est un fluide sous pression hydraulique

ou pneumatique.

56. Dispositif d'actionnement selon l'une ou l'autre des revendications

54 et 55, caractérisé en ce qu'il est prévu, pour actionner l'agencement de débrayage (48), en supplément un agencement de cylindre récepteur hydraulique (54) qui peut être actionné de préférence au moyen d'un

cylindre émetteur (92) susceptible d'être actionné par une pédale.

57. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des

revendications 54, 55 et 56, caractérisé en ce que la soupape de

commande (74) est agencée à l'extérieur de la cloche de boîtier (4) ou du moins en partie à l'intérieur de la cloche de boîtier (4), mais de façon accessible, en particulier démontable, depuis l'extérieur lorsque la cloche de boîtier est reliée au moteur à combustion interne et à la transmission.

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58. Dispositif d'actionnement selon l'une quelconque des revendications

54 à 57, caractérisé en ce que la soupape de commande (74) comporte un agencement de soupape (292, 316, 334) réglable entre tm premier état de commande (I) reliant l'agencement de cylindre de fluide sous pression (56) à la source de fluide sous pression (98) et un second état de commande (II) reliant l'agencement de cylindre de fluide sous pression (56) à une ouverture de compensation de pression (84), qui peut être commuté entre les deux états de commande, en dépendance d'unme grandeur différentielle associée à la grandeur réelle et à la grandeur de référence, et en ce que l'agencement de soupape (292, 316, 334) est réglable, de préférence en dépendance d'une grandeur différentielle, dans un troisième état de commande (III) dans lequel l'agencement de cylindre à fluide sous pression (56) est refennrmé de façon sensiblement étanche aux fluides sous pression, et en ce que la soupape de commande (74) ou l'agencement d'asservissement en position (74,

52) présente les caractéristiques de l'une au moins des revendications 4

à 13.

59. Dispositif d'actiomnement selon l'une quelconque des revendications

54 à 58, caractérisé par au moins une des caractéristiques des

revendications 1 à 51, en réalisant l'agencement de cylindre de fluide

sous pression en conrrespondance de l'agencement de cylindre pneumatique.

60. Unité structurelle de cylindre d'actionnmement (52), pour un dispositif

d'actionnement selon l'une quelconque des revendications précédentes,

comportant un agencement de cylindre pneumatique (56) de fluide sous pression, un agencement de cylindre récepteur hydraulique ou un agencement de cylindre de mesure hydraulique (54) et une soupape de commande (74), ledit agencement de cylindre étant prévu pour

l'agencement concentrique autour d'un axe d'embrayage (A).