FR2523060A1 - Chariot avec porte-marchandises - Google Patents

Abstract

AVEC LES CHARIOTS DEPOURVUS DE NIVEAU DE CHARGEMENT INFERIEUR SE POSE LE PROBLEME DE TRANSPORTER EN TOUTE SECURITE DES CAISSES DE BOISSONS OU DES ARTICLES DE MEME VOLUME. LES MODELES DE CHARIOTS QUE L'ON CONNAISSAIT JUSQU'A MAINTENANT N'APPORTAIENT QU'UNE SOLUTION PROVISOIRE A CE PROBLEME. CETTE INVENTION PROPOSE DONC UN MODELE DE CHARIOT 1 EQUIPE D'UN PORTE-MARCHANDISES 17, QUI S'APPUIE A PROXIMITE DE L'EXTREMITE AVANT DU PANIER 8 AUSSI BIEN SUR LE PANIER 7 QUE SUR UN SUPPORT 22 FIXE AU PANIER 7, QUE L'ON PEUT ENLEVER DU PANIER 7 EN LE FAISANT BASCULER DANS LE SENS DE DEPLACEMENT DU CHARIOT. CE TYPE DE CHARIOT S'EMBOITE DE LA MEME FACON QUE CELUI QU'ON CONNAISSAIT JUSQU'A MAINTENANT, SANS QU'IL SOIT NECESSAIRE DE RECOURIR A DES MANIPULATIONS SUPPLEMENTAIRES ET IL PERMET EGALEMENT DE TRANSPORTER UN ENFANT DANS LE SIEGE POUR ENFANT, QUE LE PORTE-MARCHANDISES SOIT CHARGE OU QU'IL SE TROUVE DANS LA POSITION DE REPOS RELEVE SUR LE PANNEAU AVANT DU PANIER.

Description

L'invention concerne un chariot à emplettes qui est constitué pour l'essentiel d'un châssis et d'un panier fixé au châssis, dont le panneau arrière est conçu sous la forme d'un volet que l'on peut faire rentrer à l'intérieur du panier en le faisant basculer, de façon à pouvoir emboiter au moins les paniers des chariots, lorsque l'on glisse plusieurs chariots de même modèle les uns dans les autres.

A proximité du panneau avant du panier, on a prévu un dispositif qui permet de disposer d'un porte-marchandises supplémentaire.

On connait des chariots à emplettes équipés de porte-marchandises supplémentaires dans de nombreuses versions. C'est ainsi que les porte-marchandises se trouvent par exemple près du châssis ou près du panier. On trouve depuis peu également des chariot dont les sièges pour enfants sont conçus de façon à pouvoir déposer par exemple une caisse de boissons sur le volet du panier, qui fait partie du siège pour enfant, et sur d'autres éléments appartenant au panier. L'inconvénient de cette conception est très clair, car si un enfant est assis dans le siège pour enfant, on ne peut pas transporter de caisse de boissons avec le chariot, et si au contraire on transporte une caisse de boissons, il est impossible de transporter un enfant dans le siège pour enfant.

C'est la raison pour laquelle on a créé dans le passé également des chariots qui sont équipés à l'avant du panier d'un porte-marchandises supplémentaire. Avec ce type de chariot, on peut concevoir d'aménager dans le panier un dispositif de siège pour enfant de sorte que l'on puisse aussi bien transporter un enfant que d'autres marchandises, des caisses de boissons par exemple en dehors du panier à proprement parler qui recueille les marchandises achetées.

Le fascicule de brevet allemand DE-OS 27 42 958 décrit un chariot destiné à des magasins de libre-service, qui est pourvu dans le fond de son panier de tiges de guidage ou d'autres systèmes de guidage, sur lesquels on peut tirer vers l'avant par exemple une grille-support pour la mettre en position de fonctionnement, et la refaire glisser après usage dans ou sous le panier. Dans la description de ce brevet Jugée très générale, on regrette cependant l'absence de caractéristiques relatives aux solutions proposées pour savoir comment l'on pourrait disposer des systèmes de guidage de ce type sur les paniers de marchandises fabriqués à partir de panneaux en fils métalliques.Personne n'ignore que les systèmes de guidage, qui se présentent sous forme de glissières coulissantes avec des panneaux en fils métalliques, sont relativement difficiles à fabriquer, et doivent être mis en place avec le minimum d'encombrement, surtout avec le type de chariot mentionné, avec lequel il faut, pour encastrer les chariots, emboiter très près les uns des autres les paniers, dont la forme va en rétrécissant vers l'avant. La seule chose qui reste à craindre, c'est que l'on augmente la profondeur d'emboîtement avec des chariots de ce type équipés de glissières coulissantes, étant donné que l'on ne peut plus emboîter les chariots de façon aussi serrée.

Le fascicule du brevet allemand DE-OS 27 42 958 révèle d'autre part que l'on peut relever une grille-support de sa position de service pour la mettre sur le même plan que le panneau avant du panier de marchandises et que des systèmes de crans connus de tout le monde doivent veiller à ce que la grille-support reste fixée dans sa position d'arrimage, tant qu'on ne l'utilise pas: Dans sa position de service, la grille-support est maintenue par des taquets. La description ne précise pas si l'on peut en fin de compte emboîter un chariot de ce type, dont la grille-support se trouve en position de service, dans un autre chariot du même type.Il faut supposer que la grille-support escamotée ne permet absolument pas un emboîtement des chariots ou qu'elle augmente inutilement la profondeur d'emboîtement, ou que,-lorsque l'on enlève le chariot de derrière du chariot de devant, le taquet avant de la grille-support dirigée vers le haut vient s'accrocher sur le volet arrière du panier, qui s'abaisse en même temps que l'on retire le chariot, ce qui fait qu'il faut d'abord lever le volet du panier pendant un court instant pour que l'on puisse retirer le chariot de derrière du chariot qui le précède. Ce système est très malcommode.

Le fascicule du brevet allemand DE-PS 1 605 491 décrit un chariot, dont le bac récepteur (panier) est pourvu à ses extrémités supérieures de rails de guidage, qui sont incurvés vers l'intérieur et vers le bas, et constituent des glissières de guidage ; ce chariot possède un deuxième bac récepteur pourvu d'un plateau, de panneaux latéraux et d'un panneau avant, que l'on peut faire coulisser dans les glissières mentionnées précédemment, ce qui permet d'accroltre la capacité du premier bac récepteur mentionné précédemment, si l'on enlève le deuxième bac récepteur. Cette solution également ne peut pas être mise en oeuvre sans un coût de fabrication relativement élevé, si l'on utilise des paniers fabriqués à partir de grilles en fils métalliques.Nous savons du reste, par expérience, que les rails de guidage ont tendance à se déformer après un assez long usage. D'autre part, la poussière peut se déposer très facilement dans les rails de guidage recourbés, solution inacceptable pour des chariots pour de simples raisons d'hygiène.

Le certificat d'utilité allemand DE-GM 76 26 532.2 décrit d'autre part un chariot, qui est équipé d'un porte-marchandises à proximité de l'espace d'emboîtement qui reste lorsque l'on emboite deux chariots de même type avec leurs paniers. Avec cette solution il faut mentionner l'inconvénient suivant : lorsque l'on utilise le porte-marchandises dès le début des achats, l'espace situé en-dessous du porte-marchandises est difficile et malcommode à remplir. D'autre part, le porte-marchandises a pour effet de réduire l'espace utile du panier, qu'il soit en position de service ou qu'il soit rabattu.

Enfin, le fascicule du brevet américain 3,706,460, présente un chariot qui offre près du panier un emplacement ouvert vers l'arrière, adapté à la forme du panier et est coulissable, ce qui fait qu'on peut le détacher du panier en tirant vers l'avant pour le mettre dans sa position de service, et qu'on peut le refaire glisser complètement vers l'arrière sur le panier. Le caractère onéreux de cette solution est dû au fait que l'on doit prévoir des glissières dans la zone supérieure des panneaux latéraux du panier et des roulettes dans la partie de l'emplacement, de façon à pouvoir le déplacer. Si l'on suit la description du fascicule du brevet, cet emplacement comprend également un nombre relativement important de fils métalliques, qui ne permettent pas d'avoir une fabrication d'un coût avantageux. Cette solution alourdit en plus le chariot dans de grandes proportions, ce qui est préjudiciable à une facilité de manipulation.

L'invention a pour but de concevoir, pour un chariot du type mentionné au début, un dispositif sous forme d'un porte-marchandises qui soit réalisable avec un minimum d'éléments, qu'il ne soit pas nécessaire de procéder à des modifications coûteuses sur le panier, que le porte-marchandises ne prenne pas la plaCe précieuse de l'espace du panier, que le portemarchandises permette également d'emboîter et de séparer facilement en tirant des chariots de même type, comme on a l'habitude de le faire, c'est-à-dire sans qu'il soit nécessaire de recourir à des manipulations supplémentaires, que le porte-marchandises n'ait pas de conséquences fâcheuses sur la profondeur d'emboitement des chariots, que le risque de salissure excessive soit exclu, que l'on puisse tout simplement disposer le porte-marchandises sur des paniers fabriqués de préférence en panneaux de fils métalliques, à condition qu'il ne gêne en aucune façon le transport d'un enfant, qu'il soit chargé ou non.

A cet effet, suivant l'invention, le porte-marchandises s'appuie aussi bien sur le panier que sur un support fixé au panier, que l'on peut enlever du panier en le faisant basculer dans le sens du déplacement du chariot.

Un autre point déterminant qui contribue à résoudre le problème posé.

est que les extrémités supérieures avant des panneaux latéraux sont saillantes par rapport à la limite supérieure du panneau avant.

Les avantages particuliers de cette invention sont les suivants le dispositif destiné à recueillir un supplément de marchandises est constitué uniquement d'un porte-marchandises plat et d'un support concu en forme de patte, ce qui fait que le coût de fabrication reste relativement faible en raison du nombre peu élevé de pièces utilisées, ce qui est d'une importance considérable pour les articles de grande série, comme c'est le cas des chariots, la modification unique, mais fonctionnelle qu'il est indispensable d'apporter au panier, est de situer plus bas la limite supérieure du panneau avant du panier, de sorte qu'on nta pas besoin de lever si haut les marchandises, comme par exemple, une caisse de boissons, que l'on veut mettre sur le porte-marchandises, les extrémités supérieures avant libres des panneaux latéraux font parfaitement fonction de butées latérales d'arrêt qui protègent les marchandises des chutes, que le porte-marchandises et le support épousent la forme du panneau avant du panier, lorsqu'ils sont en position de repos, ce qui permet de gagner de la place, ou se trouvent sur le même plan que le panneau avant du panier, ce qui fait que le volume du panier ne s'en trouve pas du tout réduit ou très peu, et que la profondeur d'emboitèment de deux paniers reste la même, qu'ils soient équipés d'un porte-marchandises ou non.

L'autre avantage déterminant qui reste à mentionner, c'est que, lorsqu'on emboîte deux chariots, on peut laisser tout simpiement le porte-marchandises dans la position de service, étant donné qu'il heurte le volet arrière du chariot précédent qui vient fermer le panier, ledit volet faisant basculer le porte-marchandises de cette position dans sa position de repos, ce qui fait qu'il n'est pas nécessaire de faire des manipulations supplémentaires pour procéder à l'opération d'emboîtement. il nty a pas de risque de salissure excessive car le porte-marchandises, de meme que les autres pièces du chariot sont fabriqués de préférence en fils atalliques.

Ceci ne présente pas de difficulté d'installer le porte-marchandises sous une forme articulée par charnière que l'on connaît et/ou sous une forme simple avec des glissières de guidage placées sur les montants du panier fabriqué à partir de panneaux en fils métalliques.

Nous allons expliquer cette invention dans le détail à l'aide de quelques exemples de réalisation.

La fig. 1 montre un chariot avec porte-marchandises représenté en
perspective, la fig. 2 montre une partie du chariot (voir figure 1) représentée
d'une façon schématique en coupe latérale, la fig. 3 montre une variante des figures 1 et 2, la fig. 4 montre une version du porte-marchandises.

Le chariot représenté sur la figure 1 est constitué pour l'essentiel d'un châssis 2 et d'un panier 7 aménagé sur le châssis 2, qui va en rétrécissant vers l'avant et dont l'extrémité arrière est constituée par un volet 4, que l'on peut faire basculer à l'intérieur du panier, ce qui permet d'emboîter deux chariots de même modèle 7. On trouve une poignée 6 Juste au-dessus de l'axe de rotation du volet 5. A l'opposé de la poignée 6, donc à l'extrémité avant 8 du panier 7 orienté dans le sens de déplacement du chariot, le panneau avant du panier 9 ne monte pas Jusqu'aux deux extrémités supérieures avant 11 des panneaux latéraux 10. La limite supérieure du panneau avant du panier 9, qui est constituée par un fil métallique transversal 15, disposé horizontalement, longe au contraire ces extrémités à une certaine distance.Les arêtes supérieures 12 des panneaux latéraux 10 et du fil métallique transversal 15 constituent ainsi une ouverture dégagée vers le haut 14 avec une section transversale en forme de U. Le fil transversal 15 est encadré par deux boucles 18 de forme allongée, qui font partie d'un porte-marchandises 17 qui se présente sous la forme d'un panneau, qui lui-même s'appuie sur le fil transversal 15 (voir figure), quand il n'est pas en service, et délimite à la fois la zone de pivotement du support 22.A la limite 19 du portemarchandises 17, qui se trouve dans le sens de déplacement du chariot 1, on a prévu de façon fonctionnelle des oeillets 20 raccordés aux boucles 18, qui sont articulés avec un fil métallique transversal 23 disposé à l'horizontal, qui lui-même fait partie d'un support 22 en forme de U, dont les extrémités des branches 24 sont situées sur l'axe commun horizontal 16 et logées dans la zone inférieure du panneau avant du panier 9, autour duquel elles s'articulent.

Sur la figure 2, on reconnaît l'extrémité avant 8 du panier 7 avec le porte-marchandises 17 et le support 22. Celui-ci peut pivoter autour de l'axe 16, qui se trouve dans la zone inférieure du panneau avant du panier 9, depuis le panneau avant du panier 9 dans le sens de déplacement du chariot et revenir à son point de départ. Dans la zone supérieure 25 du support 22, on trouve le fil métallique transversal 23 sur lequel s'articule également le porte-marchandises 17. Les boucles 18, qui font partie du porte-marchandises 17 et sont orientées dans le sens de déplacement, encadrent le fil métallique transversal 15 qui constitue la limite supérieure du panneau avant du panier 9.

Ces boucles constituent avec ce fil métallique une glissière de guidage. Si l'on fait pivoter le support 22 de sa position de service vers le panneau avant du panier 9 en position de repos, le porte-marchandises 17 situé sur le fil métallique transversal 15 coulisse en glissant vers l'intérieur du panier, et on voit sur la figure que plus on déplace le support 22 vers le panneau avant du panier 9, plus le porte-marchandises s'incline vers le bas.

Quand le support 22 vient buter contre le panneau avant du panier 9, le porte-marchandises 17 occupe une position verticale et vient s'adapter sur la paroi intérieure du panneau avant du panier 9, ce qui permet de gagner de la place, et l'arete 21 du porte-marchandises 17, qui est dirigée du fil métallique transversal 15 vers le haut, recouvre au moins partiellement l'ouverture 14 du panier 7, ce qui fait que, en position de repos1 l'extrémité avant 8 du panier 7 est constituée par le panneau avant du panier 9 et par l'arête supérieure 21 du porte-marchandises 17 et que cela permet d'avoir un panier 7 délimité de tous les côtés. Ce système a comme avantage que le panier 7 peut être rempli Jusqu'aux deux extrémités avant supérieures 11 des panneaux latéraux 10 avec des marchandises, dans la mesure où on laisse le porte-marchandises 17 dans la position de repos.Le blocage automatique qui se fait entre le porte-marchandises 17 et le fil métallique transversal 15, ainsi que le temps de pivotement allant dans le sens des aiguilles d'une montre, du porte-marchandises 17 et du support 22, tournant autour de l'axe 16 du support 22, que l'on peut imaginer conformément au croquis, font que le porte-marchandises 17 et le support 22 restent automatiquement dans leur position, qui permet de bloquer l'ouverture 14. Il suffit de mettre en oeuvre une faible force pour remettre en position de service le support 22,en le prenant par le haut et en le déplaçant du panier 7 dans le sens de déplacement, en même temps que le porte-marchandises 17, qui glisse de nouveau sur le fil métallique transversal 15, grâce aux boucles 18 dont il est pourvu, ce qui permet de maintenir le support 22 grâce au portemarchandises 17.L'extrémité supérieure 26 du support 22, qui relie les deux branches 27, présente un coude de sorte qu'elle est dirigée vers le haut, lorsque le support 22 est en position de service : elle est disposée au-dessus du plan constitué par le porte-marchandises 17 et constitue ainsi une butée pour la marchandise qui se trouve sur le porte-marchandises 17. il est très pratique que l'extrémité supérieure du support 26 se termine un peu en-dessous de la limite supérieure 13 des panneaux latéraux 10, de sorte que, lorsqu'on emboîte ou enlève en tirant deux chariots identiques 1, le volet arrière 4 du chariot de devant 1 s'appuie sur la partie avant des panneaux latéraux 10 du chariot de derrière 1, ce qui fait que l'extrémité supérieure 26 du support 22 du chariot de derrière 1 ne peut Jamais venir s'accrocher avec le volet 4 du chariot de devant 1.On peut de cette façon faire coulisser facilement les chariots 1 et les séparer en tirant tout aussi aisément, comme on a l'habitude de le faire.

Avec le chariot représenté sur les figures 1 et 2, le porte-marchandises 17 décrit un arc de cercle, lorsque l'on fait basculer le support 22, de sorte qu'une partie du porte-marchandises 17 depasse dans l'espace utile du panier 7 au cours du pivotement. Si l'on veut éviter cet effet, il faut concevoir un chariot 1 (conformément à la figure 3), dont le porte-marchandises vient s'articuler sur le fil métallique transversal 23 du panneau avant du panier 9 et dont les boucles 18 du porte-marchandises 17 encadrent le fil métallique transversal 23 au niveau du support 22 à la façon d'une glissière de guidage. Si l'on fait basculer alors le support 22 de sa position de service en direction du panneau avant du panier 9, le portemarchandises 17 pivote vers le haut en tournant autour de l'axe constitué par le fil métallique transversal 23.Dans ce cas également l'ouverture dégagée 14 du panier 7 est masquée par le porte-marchandises 17, lorsqu'il est en position de repos. il est indiqué dans ce cas de prévoir aux extrémités supérieures avant 11 des panneaux latéraux 10 des systèmes de crans sous forme d'encoches 32, par exemple, dans lesquels viennent s'encliqueter des parties saillantes 29 situées sur le-côté de l'extrémité supérieure 26 du support 22. L'extrémité inférieure 28 du support 22 est située avec ce modèle, sur le panneau avant du panier 9, autour duquel elle s'articule au moyen d'une glissière de guidage, ce qui fait que; lorsque la patte-support 22 vient s'encliqueter dans les encoches 32, cette patte-support se trouve soulevée d'une hauteur a.Si l'on veut basculer le support 22 et le porte-marchandises 17 de la position de repos dans la position de service, il faut soulever le support 22 de la hauteur a, puis le faire basculer dans le sens du déplacement.

Avec des paniers assez petits 7, il peut arriver que la surface du porte-marchandises 17 ne suffise pas pour transporter par exemple une caisse de boissons. On peut imaginer dans ce cas conformément à la figure 1 d'aménager sur les parois intérieures des panneaux latéraux 10 de petites avancées 30 sous forme de pattes, qui sont disposées sur le même plan que le porte-marchandises 17. Ces avancées 30 constituent des supports supplémentaires.pour les caisses de boisssons ou des articles de même volume.

D'après la conception d'un modèle de l'invention, on peut concevoir non pas de prolonger le support 22 au-delà du porte-marchandises 17 vers le haut de façon à constituer une butée, mais de prévoir à l'extrémité du porte-marchandises 17 dans le sens du déplacement un rebord coudé 31 dirigé vers le haut. Lorsque le porte-marchandises 17 ne sert pas, ce rebord coudé serait disposé en-dessous des extrémités supérieures avant 11 des panneaux latéraux, afin de ne pas gêner l'opération d'emboîtement de deux chariots 1.

Les modèles représentés sur les figures 1 à 4 ne sont donnés qu'à titre d'exemple. On peut parfaitement imaginer de concevoir au moins le porte-marchandises 17 comme unepièce d'un seul tenant et fabriqué en plastique, qui peut être raccordé au panier 7 et au support avec un système de charnières et des glissières de guidage, tout comme les porte-marchandises mentionnés précédemment.

On peut également concevoir de pourvoir le porte-marchandises 17.de butées latérales, parallèles aux panneaux latéraux 10 et dépassant du niveau du porte-marchandises 17, ce qui est avantageux dans les cas où, pour des raisons particulières de conception du panier 7, la limite supérieure 15 du panneau avant du panier 9 est disposée à une distance relativement faible au-dessus des extrémités supérieures avant 11 des panneaux latéraux 10 ou au même niveau que celles-ci, ce qui ne constitue qu'une petite ouverture ou même aucune ouverture 14.

Claims (14)

1. REVENDICATIONS

   basculer dans le sens de déplacement du chariot.

   panier (17) et que I'on peut détacher du panier (7) en le faisant

   d'une part et sur un support (22) d'autre part, qui est fixé au

   le fait que le porte-marchandises (17) s'appuie sur le panier (7)

   disposer d'un porte-marchandises supplémentaire, caractérisé par

   panneau avant du panier, on a prévu un dispositif qui permet de

   chariots de même modèle. les uns dans les autres. A proximité du

   moins les paniers des chariots, lorsque l'on glisse plusieurs

   du panier en le faisant basculer, de façon à pouvoir emboîter au

   sous la forme d'un volet que l'on peut rabattre vers l'intérieur

   d'un panier fixé au châssis, dont le panneau arrière est conçu

   =~==================-========;= 1. Chariot à emplettes constitué pour l'essentiel d'un châssis et
2. 2. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant la

   revendication 1, caractérisé par le fait que la Jonction du

   porte-marchandises (17) avec le panier (7) est prévue sous la

   forme d'une glissière de guidage coulissante et que celle avec

   le support (22) est prévue sous la forme d'une charnière.
3. 3. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant la

   revendication 1, caractérisé par le fait que la jonction du

   porte-marchandises (17) avec le panier (7) est prévue sous la

   forme d'une charnière et que la jonction avec le support (22)

   est prévue sous la forme d'une glissière de guidage coulissante.

   par rapport à la limite supérieure (15) du panneau avant du panier (9).

   supérieures avant (11) des panneaux latéraux (10) sont en saillie

   ouverture (14) est formée qui résulte du fait que les extrémités

   du panier (7) orientée dans le sens db déplacement du chariot une

   des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait qu'à l'extrémité (8)
4. 4. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une
5. 5. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une

   des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait qu'au moins une

   partie du porte-marchandises (17) masque au moins une partie de

   l'ouverture (14) lorsque le porte-marchandises n'est pas utilisé.
6. 6. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une

   des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait que le porte

   marchandises (17) occupe une position parallèle au plan du panneau

   avant du panier (9) lorsqu'il n'est pas utilisé.
7. 7. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une

   des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que le porte

   marchandises (17) présente un rebord coudé vers le haut (31) à

   l'extrémité orientée dans le sens de déplacement du chariot (1).
8. 8. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une

   des revendications 1 à 7,caractérisé par le fait que l'extrémité

   supérieure (26) du support (22) ou l'extrémité supérieure du

   coude (31) est située en-dessous de la limite supérieure (13)

   des panneaux latéraux (10), lorsque le porte-marchandises (17)

   n'est pas utilisé.
9. 9. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une

   des revendications 1 à 8, caractérisé par le fait que ltextrémité

   supérieure (26) du support (22) dépasse du plan constitué par le

   porte-marchandises (17) lorsqu'il est en position de service.
10. 10. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une

    des revendications 1 à 9, caractérisé par le fait que le support (22)

    est monté sur l'axe (16) au moyen d'une charnière ou d'une charnière

    et d'une glissière de guidage.
11. 11. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une

    des revendications 7 à 10, caractérisé par le fait que la zone

    de pivotement du support (22) dans le sens de déplacement du chariot

    est déterminée par l'articulation du support (22) par charnière sur

    le porte-marchandises (17).
12. 12. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une

    des revendications 1 à 11, caractérisé par le fait que l'on a

    prévu aux extrémités supérieures avant (11) des panneaux latéraux (10)

    des encoches (32) dans lesquelles est maintenu le support (22) quand

    il ne sert pas.
13. 13. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une des

    revendications 1 à 12, caractérisé par le fait que sur les surfaces

    intérieures des panneaux latéraux (10) sont aménagées des parties

    avancées (30) qui se trouvent au même niveau que le pofte-marchandises (17).
14. 14. Chariot à emplettes équipé d'un porte-marchandises suivant l'une des

    revendications 1 à 13, caractérisé par le fait que l'on a prévu des

    butées latérales sur le porte-marchandises (17).