CH314823A - Transporteur - Google Patents

Transporteur

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CH314823A
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Inventor
Raymond Deburgh Albert
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Deburgh Maria Luisa
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B65CONVEYING; PACKING; STORING; HANDLING THIN OR FILAMENTARY MATERIAL
    • B65GTRANSPORT OR STORAGE DEVICES, e.g. CONVEYORS FOR LOADING OR TIPPING, SHOP CONVEYOR SYSTEMS OR PNEUMATIC TUBE CONVEYORS
    • B65G17/00Conveyors having an endless traction element, e.g. a chain, transmitting movement to a continuous or substantially-continuous load-carrying surface or to a series of individual load-carriers; Endless-chain conveyors in which the chains form the load-carrying surface
    • B65G17/002Conveyors having an endless traction element, e.g. a chain, transmitting movement to a continuous or substantially-continuous load-carrying surface or to a series of individual load-carriers; Endless-chain conveyors in which the chains form the load-carrying surface comprising load carriers resting on the traction element
    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
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    • B65G2201/02Articles

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Intermediate Stations On Conveyors (AREA)

Description


  
 



  Transporteur
 Des transporteurs sont actuellement utilisés couramment dans des usines ou ateliers, mais des questions d'encombrement et de volume de production qui ont décidé et justifié l'usage de transporteurs connus ont été la cause que leur usage pratique a été limité surtout à des établissements industriels qui ont un volume de production important et qui disposent d'un plancher libre de grande étendue pour qu'on puisse y installer le transporteur.



  Pour des établissements plus petits, dont la surface libre a une étendue relativement petite et dont l'importance de production est assez réduite, il n'a pas été trouvé pratique et rémunérateur, jusqu'ici, de se servir d'installations de transport complètes et continues.



   L'invention a pour but de remédier aux inconvénients précités.



   Le transporteur faisant l'objet de   l'inven-    tion est caractérisé en ce qu'il comprend au moins un porte-ouvrage destiné à etre entraîné le long d'une voie principale qui le supporte par un mécanisme d'entraînement, cette voie comprenant au moins une voie de dérivation sur laquelle le porte-ouvrage peut être arrêté pour qu'on puisse faire subir à l'ouvrage les opérations voulues pendant que le mécanisme d'entraînement poursuit sa marche, le porteouvrage avec l'ouvrage qu'il supporte pouvant ensuite être ramené sur la voie principale pour être déplacé le long de ladite voie par le mécanisme d'entraînement.



   Le dessin ci-annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution préférée du transporteur objet de l'invention.



   La fig. 1 montre, en plan schématique, le transporteur constituant cette forme d'exécution.



   Les fig. 2, 3, 4, 5 et 6 montrent, à plus grande échelle et respectivement en coupe longitudinale suivant 2-2 de la fig. 1, en coupe transversale suivant 3-3 de la fig. 1, en coupe longitudinale suivant 4-4 de la fig. 1, en coupe horizontale suivant 5-5 de la fig. 3, et en coupe verticale suivant 6-6 de la fig. 3, ce même transporteur.



   La fig. 7 montre, en vue de côté plus ou moins schématique, un mécanisme utilisé pour faciliter un changement de direction d'un plateau porte-ouvrage, placé sur le transporteur, depuis un trajet plus ou moins horizontal vers un trajet incliné vers le haut.



   La fig. 8 montre, semblablement, un mécanisme pour déplacer des objets depuis un étage d'un immeuble à un étage plus bas ou pour faire descendre ces objets entre des points qui se trouvent à des niveaux différents et qui sont très écartés   l'un    de l'autre.  



   La fig. 9 est une coupe transversale suivant 9-9 de la fig. 8.



   La fig. 10 montre, en plan plus ou moins schématique, un mécanisme pour faire tourner la pièce transportée suivant un angle de 900 pendant qu'elle continue son trajet normal.



   Le transporteur, tel que montré, est constitué par des rails 1 et 2, formés par des cornières parallèles et écartées (fig. 3) sur lesquelles sont montées des rangées de rouleaux 3. Ceux-ci tournent librement autour de pivots fixés sur les ailes verticales de ces cornières tout en étant écartés les uns des autres avec des intervalles tels qu'un nombre approprié de ces rouleaux 3 supporte un plateau 4 qui sert de support à un ouvrage.



   Les plateaux 4 sont entraînés le long des rails 1 et 2 par une bande sans fin constituée par une chaîne 5 (fig. 3 et 6) qui comporte une série de galets 6 reliés entre eux par des maillons 7. Les galets 6 tournent autour d'axes horizontaux 8 portés par les extrémités adjacentes de chaque paire de maillons 7, ces extrémités étant également articulées à ces axes de manière à pouvoir se déplacer angulairement par rapport à ces axes. Les extrémités opposées des maillons sont articulées aux extrémités adjacentes d'autres maillons 7 à l'aide de pivots verticaux 9, de sorte que le transporteur peut fléchir à la fois dans le sens horizontal et dans le sens vertical.

   En constituant la chaîne de cette manière, on supprime la nécessité de faire intervenir des pignons à chaîne ou des galets ou guides supplémentaires dans les courbes formées par le transporteur dans le sens horizontal ou vertical.   I1    est à noter également que la chaîne est logée dans un passage formé entre des profilés 33 et 34, en forme d'U, qui servent au guidage et au support de la chaîne.



  Les ailes horizontales de ces profilés servent, par l'intermédiaire des galets 6, à guider la chaîne dans le sens vertical et les bords verticaux adjacents de ces ailes horizontales agissent sur des manchons 35 engagés sur les pivots verticaux 9 de la chaîne pour guider celle-ci dans le sens horizontal. Les profilés 33 et 34, en forme d'U, constituent ainsi un logement pour la chaîne tout en formant, en même temps, un facteur de sécurité avantageux puisque l'ensemble de la chaîne mobile est accessible seulement par les fentes étroites existant en haut et en bas entre ces profilés.



   Certains des pivots verticaux 9 sont prolongés vers le haut, comme montré en 10, et supportent une pince élastique 11, en forme d'U, entre les branches de laquelle est engagé un ergot 12 qui fait saillie sur la face inférieure de chaque plateau 4 afin que celui-ci puisse être entraîné par la chaîne 5 pour suivre le trajet du transporteur. De plus, chaque plateau peut tourner individuellement autour de l'axe -de l'ergot 12 correspondant, de sorte que l'ouvrage, porté par ce plateau, peut être orienté à volonté pour venir occuper la position la plus avantageuse pour le travail que   l'on    veut faire sur cet ouvrage.



   Pour faciliter la rotation des plateaux autour des axes verticaux de leurs ergots 12, on peut prévoir des postes avec des dispositifs à table tournante.   I1    est évident que d'autres moyens pourraient être prévus en des endroits
 appropriés.



   La chaîne 5 est guidée aux endroits où   l'on    veut obtenir des changements de direction dans le sens vertical ou horizontal.



   L'entraînement de la chaîne peut être assuré par une ou plusieurs roues dentées qui, si on le désire, peuvent également constituer des roues de guidage. De préférence, on prévoit un entraînement à chenille, c'est-à-dire un mécanisme comprenant un organe moteur formé par une chaîne de longueur réduite (non montrée) qui est simultanément en contact avec plusieurs des pivots verticaux 9 par les manchons 35 ou par des manchons centraux 36.



   On voit sur la fig. 1 que le transporteur comporte plusieurs plateaux 4 qui forment des supports pour les ouvrages et qui sont normalement répartis, avec un écartement prédéterminé, le long des rails 1 et 2, sur toute leur longueur. On place sur ces plateaux, en un poste 13, des ouvrages 14 qui doivent subir certaines opérations; Le long du brin 15 de la chaîne, qui est entraînée dans le sens de la flèche 16, on établit un nombre quelconque de  postes de travail.

   Dans le cas où certaines opérations nécessitent plus de temps que celui permis par le mouvement continu ou intermittent du transporteur le long d'un poste de travail, on fait intervenir une voie de garage ou de dérivation pour écarter temporairement de la voie principale un plateau portant l'ouvrage en engageant en même temps, sur cette voie principale, un plateau qui porte un ouvrage pour lequel une opération de longue durée a déjà été faite. De cette manière, le transporteur reste toujours chargé d'ouvrages qui sont entraînés devant les divers postes successifs.



   Pour le brin 17 de la chaîne 5, on a indiqué trois postes de dérivation 18, 19 et 20, le poste 19 se trouvant d'un côté de la voie principale et les postes 18 et 20 de l'autre côté. Chacun de ces postes comprend des tronçons de rails la et 2a qui sont parallèles à ceux du brin 17 de la chaîne 5, ces tronçons étant reliés par des raccords parallèles lb et 2b ainsi que   lc    et 2c, de longueurs réduites et égales, aux rails 1 et 2 de la voie principale, de sorte que le plateau porte-ouvrage 4 peut facilement être glissé depuis la voie principale sur la voie de dérivation.

   Pour empêcher qu'un plateau ait tendance à   s 'écarter    de son trajet normal pour s'engager sur une voie de dérivation, les raccords de rails, de longueur réduite, sont de préférence orientés vers l'arrière par rapport à la direction d'avancement de la chaîne 5, de sorte qu'il est nécessaire que l'ouvrier fasse d'abord avancer le plateau sur une courte distance pour dégager son ergot 12 hors de la pince   1 1    et déplace le plateau latéralement et un peu vers l'arrière pour l'amener au poste de dérivation 18, 19 ou 20. A ce poste, le plateau reste à la position à laquelle l'ouvrier le laisse puisque la voie de dérivation ne comporte pas de moyens pour entraîner le plateau.



  Cette voie de dérivation peut avantageusement comporter un ou plusieurs dispositifs à table tournante, comme ceux dont il est question plus haut, afin qu'on puisse faire tourner le plateau et l'ouvrage qu'il porte pour leur donner l'orientation la plus avantageuse pour les opérations qui sont à faire au poste de dérivation où le plateau est arrêté.



   On suppose que les opérations à exécuter sur l'ouvrage au poste de dérivation demandent trois fois plus de temps que celles que   l'on    doit faire aux postes ordinaires. Dans ce cas, il est avantageux de prévoir trois postes de dérivation 18, 19 et 20 où trois ouvriers travaillent sur des ouvrages distincts pour exécuter les mêmes opérations. De cette manière, on peut conserver un avancement continu des plateaux chargés d'ouvrages vers les autres postes qui se trouvent au-delà des trois postes de dérivation. On suppose, par exemple, que l'ouvrier du poste 20 a écarté le plateau 4a de la partie 5a du transporteur. Dans ce cas, la place vide est occupée immédiatement par le plateau   4b    qui porte l'ouvrage sur lequel cet ouvrier a passé plus de temps.



   Quand l'ouvrier, qui travaille à l'ouvrage porté par le plateau 4a, a fait à peu près le tiers de son travail, l'ouvrier qui se trouve au poste 19 doit être prêt à écarter de la voie principale un plateau portant un ouvrage auquel il doit travailler et à renvoyer sur la voie principale un plateau portant un ouvrage auquel il a travaillé. De même, quand l'ouvrier du poste 20 a fait à peu près les deux tiers de son travail, celui du poste 18 doit être prêt à écarter de la voie principale un plateau portant un ouvrage auquel il doit travailler et à remplir l'intervalle vide avec le plateau portant l'ouvrage auquel il a fini de travailler.

   Par conséquent, les trois ouvriers aux postes 18, 19 et 20 sont capables de maintenir le transporteur chargé avec des ouvrages qui doivent passer par les différents postes qui se trouvent au-delà de celui, désigné par 20, où s'est fait un travail de plus longue durée.



   Ces postes de dérivation permettent également la formation d'ouvriers non expérimentés et qui ont donc besoin de plus de temps pour effectuer les opérations nécessaires. De même, ces postes de dérivation permettent d'exécuter des vérifications et inspections approfondies des ouvrages auxquels on a travaillé.



   Un poste de dérivation, utilisé comme poste d'apprentissage pour un nouvel ouvrier, est très important. Le nouvel ouvrier peut ainsi travailler sans interrompre le rythme de la pro  duction et il peut passer n'importe quel temps à son travail sans gener la production régulière.



  Ceci est obtenu en dégageant un plateau, portant l'ouvrage à faire, hors de la voie de production régulière et en l'amenant au poste de dérivation. L'espace libre formé par le plateau écarté est occupé alors par un plateau qui porte l'ouvrage auquel a travaillé le nouvel ouvrier.



  On fournit ainsi constamment des ouvrages aux postes suivants, quel que soit le temps que le nouvel ouvrier a mis pour terminer son travail.



  Ce poste de dérivation, servant à l'apprentissage, peut être un poste auxiliaire adjoint à un poste régulier, de sorte que la production peut continuer pour la raison qu'un ouvrier expérimenté occupe ce poste régulier et travaille aux pièces qui passent par ce poste.



   Un autre avantage important, obtenu grâce à ce poste de dérivation, est qu'il évite des pertes de temps d'une   main-d'ceuvre    coûteuse quand on se sert d'un transporteur réglé pour un mouvement progressif et quand on doit faire un travail difficile ou quand des délais imprévus se présentent pour un travail ou encore quand un travail n'est pas achevé à un poste pendant le temps accordé en empêchant ainsi les autres opérations qui doivent être faites en un ou plusieurs postes subséquents.



   Par exemple, le plateau   4b    qui se trouve au poste de dérivation 20 peut porter un ouvrage pour lequel les opérations, qui doivent être faites à ce poste, sont terminées. L'opérateur, qui travaille au poste qui précède immédiatement le poste de dérivation 20, s'il ne peut faire son travail à son poste pour une raison quelconque, peut faire glisser son travail inachevé à l'endroit du poste 20, où se trouve le plateau 4a et refouler le plateau 4b, portant un ouvrage terminé sur la voie principale, pour fournir du travail aux postes suivants.



   Quand le plateau 4a occupe la position montrée sur la fig. 1, un surveillant ou un réparateur voit que l'ouvrage placé sur ce plateau doit être achevé, qu'une pièce doit être remplacée, etc. On peut faire intervenir des moyens qui, par le mouvement dudit plateau, déclenchent automatiquement l'entrée en jeu   d'un    signal lumineux ou sonore, l'apparition d'un signal visible, tel qu'un drapeau ou autre, qui indique au surveillant ou au réparateur qu'il doit intervenir à ce poste de dérivation. Quand le travail au plateau 4a est terminé, ce plateau est amené, à l'endroit occupé par le plateau   4b    sur la fig. 1, par le surveillant ou le réparateur, où il est disponible dans le cas où une nouvelle difficulté se présenterait.



   Des compteurs automatiques peuvent être adjoints au poste de dérivation pour indiquer le nombre de fois que des ouvriers se sont servis de ce poste en dérivation et si ce nombre est anormal, on peut se rendre compte que le temps accordé pour le travail est insuffisant ou que l'opérateur ne convient pas à l'ouvrage, ou que trop de pièces défectueuses sont utilisées, ou encore que le travail précédent n'a pas été fait proprement.



   Un poste de dérivation est très important en ce sens qu'il permet l'usage de transporteurs réglés pour des mouvements progressifs pour des assemblages de pièces et autres usages.



   Plusieurs postes peuvent être établis le long du brin 21 du transporteur qui peut être rendu aussi long que nécessaire pour qu'on puisse y incorporer les postes voulus. Pour économiser de la place, le transporteur peut revenir sur luimême en formant un brin 22 le long duquel sont établis un ou plusieurs postes.



   Pour l'exemple montré, le brin 22 traverse un four montré schématiquement en 23. Pour que l'ouvrage reste dans le four suffisamment longtemps tout en permettant l'usage d'un four qui est relativement court, on peut prévoir des moyens pour serrer les plateaux les uns contre les autres pendant qu'ils traversent le four, c'est-à-dire qu'on les met en contact bout à bout en supprimant les intervalles libres entre eux.



   En serrant les plateaux, comme montré sur la fig. 1, pour le brin 22 du transporteur, il est possible, dans les proportions montrées sur le dessin, de loger six plateaux complets dans le four alors qu'avec leur écartement normal on ne pourrait introduire que quatre plateaux et demi dans le four. On gagne ainsi à peu près un tiers du temps pour le traitement dans le four. Ceci est obtenu de manière telle que la  partie du transporteur qui sort du four porte néanmoins sa charge complète de plateaux qui portent des ouvrages et qui ont leur écartement normal.



   Le serrage des plateaux est obtenu en guidant la chaîne 5 vers le bas par rapport à son plan de déplacement normal entre les rails 1 et 2, comme indiqué en 24 sur la fig. 2. Dès que la chaîne 5 a été abaissée d'une hauteur suffisante pour que les pinces 11, qui entraînent les plateaux, se soient dégagées des ergots
 12 solidaires de ces derniers, la chaîne est guidée suivant un trajet parallèle aux rails 1 et 2 portant les rouleaux 3. Sur la fig. 2, le brin 25 de la chaîne 5 est montré comme ayant été abaissé par rapport à sa position normale entre les rails 1 et 2, les pinces   1 1    étant dégagées des ergots 12. Par conséquent, le brin 25 se déplace librement sous les plateaux qui continuent à être supportés par des rails établis à un niveau plus élevé.

   Pour engager à nouveau les pinces   1 1    sur les ergots 12, la chaîne est guidée vers le haut, comme montré en 26, pour occuper sa position normale par rapport aux plateaux.



   Sur la fig. 2, les plateaux 4 logés dans le four sont en contact bout à bout. L'entraînement des plateaux dans le four se fait pas à pas par suite de l'introduction de chaque plateau suivant dans le four, le plateau entrant venant en contact et refoulant devant lui le plateau engagé précédemment dans le four, ce qui oblige le plateau qui se trouve à l'extrémité de décharge du four de sortir de celui-ci.



   Les supports des rouleaux des plateaux sont, de préférence, constitués de manière telle qu'ils offrent une résistance minimum à l'avancement des plateaux en évitant ainsi des dépenses d'énergie excessives. La facilité avec laquelle se fait le mouvement peut être telle que l'introduction d'un plateau dans le four a une tendance à transmettre une force vive suffisante à toute la rangée de plateaux qui se trouvent dans le four pour que ces derniers puissent avancer sur une distance plus grande que celle nécessaire pour l'engagement du dernier plateau dans le four. Un dispositif de freinage par friction peut être utilisé pour empêcher ce déplacement libre ou excessif.

   En même temps, il est important d'éviter des résistances excessives à l'avancement des plateaux dans le four car elles auraient une tendance à provoquer un fonctionnement irrégulier ou par à-coups du transporteur par suite de l'effet de réaction exercé sur celui-ci chaque fois qu'un plateau est engagé dans le four et que les plateaux logés dans celui-ci avancent d'un pas. Par ailleurs, une résistance excessive à l'avancement des plateaux dans le four nécessiterait une construction plus massive de la chaîne 5, des pivots 10 portant les pinces 11 et des ergots 12 montés sur les plateaux.



   Pour éviter des dépenses d'énergie excessives et pour empêcher que des efforts trop importants sollicitent les organes du transporteur, une partie 27 de celui-ci, qui aboutit à l'entrée du four, peut être inclinée vers le haut (fig. 2).



  Une montée d'environ 30 cm sur une longueur de 1,80 m ou davantage peut être prévue sans qu'il en résulte une charge supplémentaire excessive pour la chaîne. Les rails 1 et 2 qui se trouvent dans le four sont alors inclinés vers le bas, comme montré sur la fig. 2, pour ramener le transporteur à son niveau normal.



   Les plateaux 4 qui se trouvent dans le four 23 descendent le long des rails inclinés par l'effet de la pesanteur, de sorte qu'on évite des sollicitations excessives des organes entraîneurs 10 et 12 et de la chaîne 5. L'inclinaison vers le bas doit être limitée ou les organes qui retardent ou freinent les plateaux doivent être agencés de manière telle que les plateaux chargés, en descendant la partie inclinée, ne se déplacent pas librement le long de la rampe mais nécessitent une poussée positive de la part du plateau entrant dans le four et des moyens qui entraînent celui-ci.



   Toutefois, l'effet de la pesanteur sur cette rampe est tel que l'inertie des plateaux qui se trouvent dans le four ne soit pas suffisante pour que des chocs soient transmis au transporteur quand le plateau admis dans le four vient en contact avec le plateau immédiatement précédent et qui se trouve dans le four. En faisant varier l'inclinaison de la partie des rails qui se trouvent dans le four on peut modifier la  résistance au mouvement des plateaux dans ledit four. Des supports quelconques, réglables en hauteur, peuvent être prévus pour faciliter le réglage de la pente des parties inclinées des rails. On peut également faire varier cette pente en introduisant des blocs ou cales sous les supports de ces rails au point le plus élevé du transporteur.



     I1    résulte de ce qui précède que les plateaux portant les ouvrages sont introduits un à un dans le four 23 et qu'ils sortent de celui-ci à la même vitesse que celle à laquelle ils ont été introduits dans le four, tout en permettant que chaque plateau, avec sa charge, puisse rester dans le four pendant une période de temps qui est plus grande que celle que met un pivot 10 de la chaîne 5 à traverser le four sur toute sa longueur. Ce délai dans l'avancement des plateaux résulte, évidemment, de la suppression des intervalles existant entre ceux-ci, ce qui a pour effet de serrer les plateaux les uns contre les autres pendant qu'ils se déplacent sur toute la longueur du four.



   A la sortie du four, le transporteur entraîne les plateaux, portant les ouvrages, par divers autres postes, par exemple pour la vérification, le marquage, l'étiquetage, l'emballage et autres opérations jusqu'à un poste de décharge.



   Une autre disposition permettant d'obtenir le serrage des plateaux les uns contre les autres, et qui peut être utilisée quand les plateaux chargés passent dans un four ou tout autre poste, est montrée, par exemple, pour le brin 28 qui aboutit à la plate-forme de décharge 29a (fig.



  1). On voit que les plateaux sont serrés les uns contre les autres par leurs bords latéraux au lieu de l'être par leurs bouts, comme pour le brin 22, ce qui permet d'accumuler un nombre beaucoup plus grand de plateaux chargés dans un espace ayant une longueur donnée. Toutefois, si   l'on    adoptait un tel serrage côte à côte à la place d'un serrage bout à bout, la durée du séjour de chaque plateau dans un four ou en tout autre endroit serait augmentée à un degré encore plus important.



   Pour obtenir le serrage côte à côte, les plateaux sont tournés de 900 par rapport à la longueur du transporteur. Ceci est obtenu avantageusement à l'aide d'un guide latéral 29 établi en un endroit où le transporteur forme un coude net de 900. On voit sur la fig. 1 que, lorsqu'un plateau s'approche du guide 29, un bord latéral de ce plateau vient en contact avec le guide qui est ainsi retenu à sa position longitudinale normale par rapport au transporteur, de sorte qu'il doit tourner d'environ 900 autour de l'axe de son ergot 12. Comme il peut arriver que le guide 29 ne fasse pas tourner le plateau de 900 exactement, on peut corriger sa position à l'aide de deux organes de friction 30 adjoints au transporteur et établis un peu au-delà du coude à angle droit formé par celui-ci.



   Ces organes de friction ont la forme de patins élastiques (fig. 4) montés sur des bras 31 établis latéralement sur les rails 1 et 2. Ces patins ont des bouts libres arrondis   31 a    qui offrent une résistance positive, plus ou moins grande, au déplacement de la partie indiquée du plateau.



   Au cas où le plateau occupe un angle différent de 900 par rapport à la longueur du transporteur, le bord du plateau, qui vient en contact avec un patin 30, est retenu jusqu'à ce qu'une autre partie de ce bord arrive à l'autre patin 30 et soit en contact avec celui-ci. Le plateau, en étant entraîné, refoule alors les patins 30 vers le bas et, pour cette raison, ceux-ci sont, de préférence, élastiques afin qu'ils puissent être refoulés vers le bas pour permettre au plateau de passer librement pendant que le bord du plateau est sensiblement perpendiculaire à la longueur du transporteur.



   Comme chaque plateau doit être serré, côte à côte, contre les plateaux rapprochés préalablement, la chaîne 5 doit être abaissée de manière à être écartée du plateau, comme décrit plus haut à propos de la fig. 2. De même, la chaîne 5 est remise en contact avec des plateaux pour écarter ceux-ci les uns des autres, au-delà du poste en question.



   Pour ramener les plateaux à leur position longitudinale normale sur le transporteur, on a recours à un organe de guidage 32 (fig. 1) pour venir en contact avec une partie terminale du plateau afin qu'il puisse tourner autour  de l'axe de l'ergot 12 quand le plateau quitte le poste où les plateaux ont été serrés côte à côte les uns contre les autres. Le plateau est ainsi ramené à sa position normale sur le transporteur avec un écartement entre les plateaux qui convient à leur déchargement, ou à d'autres opérations que doivent subir les objets placés sur ces plateaux.



   Le serrage côte à côte des plateaux du brin 28 peut être utilisé, évidemment, pour les diverses raisons déjà indiquées et l'inclinaison du transporteur, tel que montré sur la fig. 2, peut être appliquée de pair avec ce serrage côte à côte pour régler le mouvement des plateaux au poste où se fait ce serrage et pour éviter une consommation d'énergie excessive pour les mouvements des plateaux serrés successifs quand un plateau arrive à ce poste.



   Dans certains cas, il est nécessaire de transporter l'ouvrage d'un étage d'un immeuble à un étage plus bas. Pour cela, la liaison entre le plateau et la chaîne est automatiquement interrompue ou rétablie, la descente du plateau fait intervenir le problème qui consiste à éviter que le plateau ne roule à grande vitesse jusqu'au bas de la pente, c'est-à-dire qu'il soit lancé jusqu'au-delà de l'endroit où sa liaison avec la chaîne doit être rétablie.



   Dans la fig. 8, les rails 1 et 2, portant les rouleaux 3 et établis sur le plancher 37 de l'étage supérieur, sont prolongés vers le bas et en pente en traversant une ouverture 38 pratiquée dans le plancher jusqu'à aboutir à des rails analogues établis dans le prolongement sur le plancher 39 de l'étage inférieur.



   Pour empêcher que les plateaux 4 puissent se déplacer au-delà de l'endroit où leur liaison avec la chaîne doit être rétablie, quand ils   ar-    rivent au bas de la pente 40, des organes de friction freinent le déplacement des plateaux avec leurs charges respectives. Ces organes de friction sont constitués par des moyens propres à empêcher ou à freiner la rotation des rouleaux 3 de cette pente 40. On peut également enlever les rouleaux 3 de cette pente 40 afin que les plateaux glissent directement sur celleci en étant en contact, avec frottement, avec les ailes supérieures des rails 1 et 2.

   Dans le cas où les rouleaux 3 sont enlevés, il est préférable que les ailes des rails soient établies à un niveau légèrement supérieur à leur niveau normal et qu'elles aient une largeur plus grande pour former des surfaces d'appui plus larges pour les faces inférieures des plateaux afin que   l'on    obtienne le degré de frottement voulu et que   l'on    empêche l'usure de ces faces inférieures.



   Une disposition préférée pour obtenir la résistance voulue, par frottement, au déplacement des plateaux le long des parties inclinées ou pentes du transporteur est de recouvrir ou masquer les rouleaux de la manière montrée sur la fig. 9. Ce recouvrement est fait à l'aide d'un profilé 41, en forme d'U, dont l'aile inférieure 42 est fixée, par des vis 43, à l'aile horizontale inférieure du rail 1 ou 2. L'aile horizontale supérieure 44 du profilé forme une face plane et large qui vient en contact, avec frottement, avec les faces inférieures des plateaux en freinant efficacement la descente de ceux-ci.



  La résistance ainsi produite est suffisante pour empêcher que le plateau puisse dépasser le pivot 10 et la pince 11 de la chaîne tout en n'étant pas assez grande pour exercer un effort excessif sur le transporteur. Le degré de frottement obtenu de cette manière peut évidemment être réglé en donnant à l'aile 44 du profilé 41 une largeur telle qu'elle procure le frottement voulu. Par ailleurs, on peut lubrifier les faces de glissement de ces ailes 44.



   L'extrémité du transporteur du plancher inférieur 39, qui recueille les plateaux, peut comporter avantageusement des moyens propres à empêcher que le bord avant du plateau ne vienne en contact avec les rouleaux 3 ou ne soit retenu par ceux-ci, ce qui gênerait le mouvement d'avancement du plateau sur le transporteur. Pour y remédier, on place certains rouleaux 3, qui se trouvent en cet endroit, très près les uns des autres, comme montré en 45 sur la fig. 8.



   Un autre moyen, qui convient à cet effet, est de prolonger les profilés 41 jusqu'au-dessus des rouleaux 3 qui se trouvent en cet endroit et de recouvrir ces rouleaux d'un profilé analogue mais plus court. Des bandes ou  courroies sans fin, engagées sur une paire de rouleaux écartés tels que 3a et 3b (fig. 8), peuvent également servir à cet effet.

 

   Le problème, qui consiste à empêcher l'arrêt d'un plateau par contact avec un rouleau 3, quand la direction du transporteur change dans le sens vertical, est également à envisager quand le changement de direction se fait depuis un plan sensiblement horizontal vers le haut ou suivant une rampe, comme montré sur fa fig. 7.



  Pour empêcher que le bord avant du plateau 4 ne vienne en contact avec un rouleau 3 de manière à arrêter le plateau, on place les rouleaux 3 très près les uns des autres, comme montré en 45 sur la fig. 8. On peut également recouvrir les rouleaux initiaux de la rampe 46 d'un profilé 47 (fig. 7). Ce profilé 47 est analogue au profilé 41 de la fig. 9 et il est maintenu en place de la même manière. Comme on ne désire pas produire un frotteme 

Claims (1)

  1. REVENDICATION : Transporteur, caractérisé en ce qu'il comprend au moins un porte-ouvrage destiné à être entraîné le long d'une voie principale qui le supporte par un mécanisme d'entraînement, cette voie comprenant au moins une voie de dérivation sur laquelle le porte-ouvrage peut être arrêté pour qu'on puisse faire subir à l'ouvrage les opérations voulues pendant que le mécanisme d'entraînement poursuit sa marche, le porte-ouvrage avec l'ouvrage qu'il supporte pouvant ensuite être ramené sur la voie principale pour être déplacé le long de ladite voie par le mécanisme d'entraînement.
    SOUS-REVENDICATIONS : 1. Transporteur selon la revendication, caractérisé en ce que la voie de dérivation est reliée à la voie principale par des raccords qui permettent d'amener sur la voie de dérivation un porte-ouvrage et de ramener sur la voie principale un autre porte-ouvrage dans une position analogue à celle qu'occupait le premier porte-ouvrage.
    2. Transporteur selon la sous-revendication 1, caractérisé en ce que les raccords sont orientés vers l'arrière par rapport au sens d'avancement du porte-ouvrage sur la voie principale pour aboutir à la voie de dérivation en étant obliques, d'une part, par rapport à la voie principale et, d'autre part, par rapport à la voie de dérivation.
    3. Transporteur selon la revendication, caractérisé en ce que les porte-ouvrages ont une forme allongée et sont déplacés normalement par le mécanisme d'entraînement le long de la voie principale en étant écartés les uns des autres, et en ce qu'il comprend des moyens pour serrer les porte-ouvrages les uns contre les autres dans une zone déterminée de cette voie et pour les séparer ensuite à leur écartement normal à la sortie de ladite zone.
    4. Transporteur selon la sous-revendication 3, caractérisé en ce que la liaison entre les porte-ouvrages et le mécanisme d'entraînement cst assuré par un mécanisme à ergot et à pince élastique qui permet d'interrompre et de rétablir automatiquement cette liaison quand le porte-ouvrage cesse d'accompagner ledit mécanisme ou revient à celui-ci.
    5. Transporteur selon la sous-revendication 4, caractérisé en ce que l'ergot du mécanisme fait saillie sur la face inférieure du porteouvrage, en ce que cet ergot est vertical et peut pénétrer dans la pince élastique qui est fixée à la partie supérieure du mécanisme d'entraînement pour établir automatiquement la solidarité de mouvement entre le porte-ouvrage et le mécanisme d'entraînement, cette solidarité étant rompue automatiquement quand on écarte le mécanisme d'entraînement du porte-ouvrage et étant rétablie automatiquement quand ce mécanisme est rapproché dudit porte-ouvrage.
    6. Transporteur selon la sous-revendication 3, caractérisé en ce que la voie principale est inclinée vers le bas dans la zone où les porteouvrages doivent être serrés les uns contre les autres.
    7. Transporteur selon la sous-revendication 3, caractérisé en ce que les porte-ouvrages sont serrés les uns contre les autres bout à bout.
    8. Transporteur selon la sous-revendication 3, caractérisé en ce que les porte-ouvrages sont serrés les uns contre les autres côte à côte.
    9. Transporteur selon la sous-revendication 8, caractérisé en ce qu'à l'entrée de la zone déterminée de la voie principale sont établis des moyens de guidage qui font tourner les porte-ouvrages un à un de 900, afin que ces derniers, au lieu de continuer à avancer bout à bout, soient serrés les uns contre les autres côte à côte.
    10. Transporteur selon la sous-revendication 9, caractérisé en ce que les moyens de guidage sont constitués par un guide fixe établi à côté de la voie principale pour venir en contact avec un bord latéral du porte-ouvrage alors que cette voie principale forme à cet endroit un coude net de 900.
    11. Transporteur selon la sous-revendication 9, caractérisé en ce que des moyens de friction agissent sur le bord avant du porteouvrage, après que celui-ci a tourné d'un angle de 900 pour amener ce bord à une position transversale par rapport à la direction de la voie principale.
    12. Transporteur selon la sous-revendication 11, caractérisé en ce que les moyens de friction sont constitués par des patins élastiques établis de part et d'autre de la voie principale pour rectifier la position transversale du bord avant du porte-ouvrage et pour s'effacer en vue de laisser passer le porte-ouvrage, dont la position a été rectifiée, pendant que ce dernier est déplacé par le mécanisme d'entraînement.
    13. Transporteur selon la revendication, caractérisé en ce qu'il comporte une partie de. voie principale qui est inclinée vers le bas pour permettre le transport d'un ouvrage depuis un niveau supérieur à un niveau inférieur, cette partie inclinée comprenant des moyens agis sant par friction pour résister à la descente par l'effet de la pesanteur de chaque porte-ouvrage.
    14. Transporteur selon la sous-revendication 13, caractérisé en ce que le long de la partie inclinée de la voie est placé un organe fixe qui retient le porte-ouvrage par frottement.
    15. Transporteur selon la revendication, dans lequel la voie principale comporte des rails munis de rouleaux à axes horizontaux sur lesquels avancent les porte-ouvrages, caractérisé en ce que, lorsqu'un tronçon de la voie principale fait un angle inférieur à 1800 avec le tronçon suivant, des moyens interviennent pour empêcher que le bord avant d'un porteouvrage puisse s'engager entre les rouleaux du deuxième tronçon sur lequel il s'engage après avoir quitté le premier tronçon.
    16. Transporteur selon la sous-revendication 15, caractérisé en ce que les rouleaux du deuxième tronçon sont rapprochés plus fortement que pour leur écartement normal.
    17. Transporteur selon la-sous-revendica- tion 15, caractérisé en ce que les rouleaux du deuxième tronçon sont masqués par des organes fixes sur lesquels le bord avant du porteouvrage peut glisser.
    18. Transporteur selon la revendication, dans lequel la voie principale comporte deux rails munis de rouleaux à axes horizontaux sur lesquels avancent les porte-ouvrages, caractérisé en ce qu'en vue de faire tourner chaque porte-ouvrage d'un certain angle en un endroit déterminé de la voie, les rouleaux d'un rail sont remplacés par des organes de friction qui s'opposent à l'avancement du côté correspondant du porte-ouvrage pendant que l'autre côté de celui-ci continue à avancer.
    19. Transporteur selon la sous-revendication 18, caractérisé en ce que de l'autre côté de la voie les rouleaux sont remplacés par des roues baladeuses.
    20. Transporteur selon la sous-revendication 19, caractérisé en ce que des patins à friction, établis de part et d'autre de la voie audelà de l'endroit déterminé susdit, agissent sur le bord avant du porte-ouvrage pour ramener celui-ci à sa position normale.
    21. Transporteur selon la revendication, caractérisé en ce que l'on constitue la voie principale par deux profilés en U dont les ouvertures sont en regard et entre lesquels on loge une chaîne dont les maillons adjacents sont reliés entre eux, à une extrémité, par des axes horizontaux dont les extrémités portent des galets qui roulent sur les ailes inférieures et horizontales des profilés, les autres extrémités de ces maillons étant articulées entre elles par des pivots verticaux dont les bouts portent librement des manchons engagés dans les intervalles subsistant entre lesdits profilés.
    22. Transporteur selon la sous-revendication 21, caractérisé en ce que certains des pivots portent des pinces élastiques horizontales destinées à entraîner les porte-ouvrages par des ergots fixés sur leur face inférieure.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2306788A1 (fr) * 1975-04-11 1976-11-05 Bosch Gmbh Robert Systeme de transport pour l'enchainement de postes de travail paralleles en une chaine de travail

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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FR2306788A1 (fr) * 1975-04-11 1976-11-05 Bosch Gmbh Robert Systeme de transport pour l'enchainement de postes de travail paralleles en une chaine de travail

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