CH267127A - Machine à écrire fonctionnant au moteur. - Google Patents

Machine à écrire fonctionnant au moteur.

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CH267127A
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Corporation Underwood
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    • B41JTYPEWRITERS; SELECTIVE PRINTING MECHANISMS, i.e. MECHANISMS PRINTING OTHERWISE THAN FROM A FORME; CORRECTION OF TYPOGRAPHICAL ERRORS
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    • B41J29/54Locking devices applied to printing mechanisms
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    • B41J29/64Locking devices applied to printing mechanisms and automatically actuated by a function of the printer to lock the keyboard
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    • B41J23/06Mechanical power drives with driven mechanism arranged to be clutched to continuously- operating power source by snatch rolls

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  • Character Spaces And Line Spaces In Printers (AREA)
  • Common Mechanisms (AREA)

Description


  Machine à écrire fonctionnant au moteur.    La présente invention a pour objet sune  machine à écrire fonctionnant au moteur et  comprenant un bâti, un chariot pouvant se  mouvoir en direction transversale sur ledit  bâti, un certain nombre de mécanismes de  frappe susceptibles d'être actionnés par des  organes opérateurs, à raison d'un organe opé  rateur par mécanisme de frappe, qui les obli  gent d'effectuer un cycle opératoire donnant  une frappe unique chaque fois qu'in tel organe  opérateur est amené de sa position de repos  à une position dans laquelle il se trouve en  prise avec un organe moteur, ces organes opé  rateurs étant automatiquement remis en posi  tion de repos au cours dudit cycle, et un  organe Moqueur qui est susceptible d'être     ma-          nceuvré,

      afin de bloquer les organes opéra  teurs quand le chariot arrive à la fin d'une  liane et qui, étant     man#uvnré,    vient en prise  avec une partie de chaque organe opérateur  pour interdire l'engagement de celui-ci avec  l'organe moteur.  



  La machine à écrire selon l'invention est  caractérisée en ce que ledit organe Moqueur  est normalement placé dans une position telle  qu'il n'entrave pas le mouvement des organes  opérateurs au cours duquel ceux-ci sont ame  nés en prise avec l'organe moteur, dle sorte  que les organes opérateurs ne sont pas gênés  par l'organe Moqueur lors de leur déplace  ment et ne provoquent pas de déplacement  de celui-ci, dont la mise en position active est    effectuée durant une phase tardive dudit  cycle opératoire.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemples, une forme d'exécution de la ma  chine à écrire faisant l'objet de l'invention,  ainsi qu'une variante d'une partie de cette  forme d'exécution.  



  La fig. 1 est une vue schématique en pers  pective, depuis l'avant de la machine, mon  trant un certain nombre d'organes supportés  par le bâti, parmi lesquels les organes de  frappe au moteur et le dispositif de blocage  en bout de ligne y relatif, et montrant aussi  les commandes par touches du rappel arrière,  du tabulateur et d'autres     man#uv    res, avec le  mécanisme d'enclenchement les concernant-.  



  La     fig.    2 est une vue en     perspective,        dans     le même sens que la     fig.        1.,    montrant le cha  riot de la machine avec le mécanisme     mar-          1eur,    ainsi qu'un mécanisme de changement  de     ligne    et de retour du chariot. La figure  comprend certaines pièces déjà. portées sur la  précédente et peut être avantageusement con  sultée en même temps.  



  La     fig.    3 est une vue de côté, partie en  élévation, partie en coupe, des organes de  frappe qui ont     reé..u    l'impulsion du moteur et  continuent leur mouvement jusqu'à la. frappe  par la vitesse acquise, en toute indépendance  du propre mouvement de retour de l'organe  opérateur correspondant..  



  La     fig.    q est une     vue    en perspective,     prise     de l'avant, sur laquelle on voit une grille de      blocage des organes opérateurs, mise en posi  tion d'interdiction par l'action d'un méca  nisme de changement de ligne et d'arrêt de  marge.  



  La fig. 5 est une vue latérale en élévation  d'organes situés pratiquement au centre de  la machine, et comprenant surtout les organes  de servo-frappe et d'avance du chariot, tous  placés en position de repos.  



  La fig. 6 est une sue partielle de front de  la machine, montrant le chariot au cours de  sont déplacement, la     man#uvre    de certains  organes étant bloquée de ce fait.  



  Enfin, la fig. 7 est une vue schématique fron  tale d'une variante du mécanisme     enclencheur     des touches dont il a déjà été parlé à propos  de la fig. 1.  



  En se reportant particulièrement mainte  nant aux fig. 1 et 5, on voit le bâti de la  machine portant la référence 10, avec ses  deux parois latérales 11. Le chariot 12, visi  ble sur la fig. 5, est guidé dans ses mouve  ments d'avance et de recul par l'agencement  habituel des glissières 13, solidaires du bâti.  Le chariot a deux supports latéraux 14 pour  le rouleau, et un enrouleur à ressort, non  figuré ici, fait avancer automatiquement le  chariot pendant la frappe, par l'intermédiaire  d'Lun système à échappement généralement dé  signé par l'indice 16 et d'une façon qui sera  décrite plus avant.  



       L'agencement    des organes relatifs à la       frappe    des caractères par la force motrice  comporte un nombre élevé de mécanismes de  frappe, composés chacun d'une tige à carac  tères pivotés 17, mue par un levier 19 au  quel elle est reliée par une tige de connexion  20, tous les leviers étant pivotés sur un axe  rectiligne commun 21 et rappelés en position  de repos par des ressorts 22. Les tiges à ca  ractères forment une rangée     incurvée    et sont  pivotées sur un axe pris dans une pièce 18  en forme de segment circulaire; leur dispo  sition est telle qu'elles viennent toutes frap  per le rouleau en un point commun.

   Chaque  mécanisme de frappe travaille     sous    l'action  d'un mécanisme opérateur 23, comprenant un    poussoir 24 retombant verticalement et mis en  contact glissant avec le levier 19, et un organe  opérateur constitué par une bielle de poussée  25, articulée sur le poussoir et se dirigeant  vers l'arrière. Des ressorts 26 rappellent les  bielles ainsi que leurs poussoirs 24, en tirant  les bielles à la fois vers le haut et vers l'ar  rière et leur faisant occuper une position de  repos visible sur la fig. 5, lesdits poussoirs  butant alors contre le fond d'encoches 27, mé  nagées pour les recevoir dans une traverse  28 de la machine, tous les poussoirs étant  pivotés sur un axe commun 29.

   A l'arrière,  les bielles de poussée     portent    contre la partie  horizontale d'une plaque transversale 30 de  section rappelant quelque peu sun Z, une des  branches (lui Z tombant à l'arrière de la ma  chine et présentant des encoches servant de  guide aux bielles 25 dans leur mouvement vie  va-et-vient à la fois horizontal et vertical.

    Chacune de ces bielles porte à sa partie  arrière un cliquet 33 articulé sur elle, disposé  pour     pouvoir    être     engagé    avec un organe  transmetteur de force, motrice 34, tournant  continuellement, ledit engagement     avant    lieu  en abaissant la bielle autour de son point  d'articulation sur le poussoir     \_'4.    Pour abais  ser ainsi cette bielle, on dispose d'un levier  35 muni     d'mie    touche, ce levier portant un  crochet vertical 36 dont le bec accroche une       patte    repliée 37 de la bielle opératrice.

   La  manière de raccorder le crochet au levier est  telle que le     premier    peut osciller par     rapport     au second, à la fois dans le sens vertical et  aussi     d'arrière    en avant, ceci dans des buts  bien connus. Lorsqu'un cliques- a été     abaissé    et  accroché     par        l'arbre    moteur denté 31, l'effort  sur les dents du cliquet fait. culbuter celui-ci,  mais sa rotation étant limitée, ce     cliquet.    est  entraîné en avant., ainsi que la bielle     clLii    le  porte et qui transmet alors le mouvement au  mécanisme de frappe.

   Peu avant la     frappe     du caractère,     Lui        plan    incliné 38, formé par  le dessous de la bielle 25, vient porter contre  une butée 41, et la bielle se soulève donc en  dégageant le     cliquet        d'avec    l'arbre moteur.     Oii     remarquera que le     ni        éeanisine    opérateur 21,  25     revient    immédiatement à. sa position de      repos, tandis que la frappe se produit grâce  à l'énergie emmagasinée par la tige à carac  tères, celle-ci revenant au repos sous l'action  du ressort 22 du levier.

   Quant à la bielle 25,  elle vient s'appuyer, dès que le     cliquet    33 est  libéré, contre la partie inférieure horizon  tale 32 de la barre transversale 30, cela sous  l'effet du ressort 26, et elle reste en contact  avec ladite barre toute en revenant en posi  tion de repos.  



  Les leviers de touche 35     pivotent    sur un  axe commun 53, logé dans une traverse 54  portée par le bâti, cette traverse étant enco  chée pour recevoir les différents leviers.  l'avant de la machine, les leviers 35 sont gui  dés par des rainures 49 d'une pièce 50 en  forme de peigne, et sont rappelés contre le  fond de ces rainures par des ressorts 55, pla  cés près du pivot des leviers et devant la tra  verse 54. Au moment où la tige portant le  caractère à frapper approche du rouleau, elle  heurte une barre universelle 42 (voir fig. 5)  qui actionne le mécanisme d'échappement 16,  dont nous avons parlé. Les liaisons entre la  barre universelle et le mécanisme d'échappe  ment comprennent un équipage clé renvoi 43  et une bielle 44 reliant cet équipage à l'échap  pement.

   Celui-ci comprend un ensemble pi  voté 45, avec les rocbets habituels 46, dont  l'un est, en position normale, engagé avec la  roue d'échappement 47 et retient le chariot.  La roue d'échappement 47 est assujettie sur  un axe 48 qui porte aussi un pignon 51 engre  nant avec une crémaillère 5<B>2</B> supportée par le  chariot. On comprend aisément que le chariot  avance d'un caractère à chaque mouvement  de la barre universelle 42, juste avant que la  tige à caractère donne la frappe, et comme  le mécanisme opérateur 24, 25 était déjà li  béré de son     engagement    avec l'organe moteur  34, il s'ensuit due le chariot avance toujours  après que la bielle 25 s'est soulevée, puis est  revenue au repos en s'appuyant sous la tra  verse 30, c'est-à-dire comme on le voit sur la  fig. 3.

   Après le retour dl'un mécanisme opé  rateur, la patte 37 de la bielle occupe une  position inactive par rapport au crochet 36,  et ces deux pièces restent séparées tant que    le levier portant le crochet reste abaissé; plus  précisément, au moment où l'on laisse revenir  la touche 35 et son levier, le crochet est légè  rement déplacé vers l'arrière, puisque son bec  doit franchir la patte pour venir se replacer  au-dessus, et lorsque la touche est remontée,  le bec     crochette    à nouveau la patte 37.  



  Le déplacement du chariot pour les espaces  entre les mots se produit. par l'action d'un  mécanisme opérateur comprenant un organe  analogue à la bielle 25, ce mécanisme étant  conçu pour actionner l'échappement 16 à  l'aide des liaisons nécessaires et par la     ma-          noeuvre    de la touche d'espacement, d'une ma  nière non figurée ici.  



  Aux supports de rouleau du chariot est  fixée une crémaillère 57     (fig.    2), au long de  laquelle sont placés, aux endroits voulus, des  margeurs 58, 59, marquant respectivement les  limites     jusques    auxquelles le chariot peut être  avancé ou reculé.  



  Un bras de contrebutée     6.1,    pivoté en un  certain point 62 du bâti, comme on le voit  sur les     fig.    1, 4 et. 6, s'élève verticalement; il  porte normalement à sa partie supérieure un  doigt. d'arrêt. 65 qui se trouve entre les mar  geurs et sur leur chemin, ledit     doigt    passant  au travers d'une ouverture 66 d'une plaque 67  fixée à une potence 68, elle-même solidaire du  bâti 10.

   Le bras 64 est mortaisé en bas, à l'en  droit de son     pivot    62, afin de pouvoir être  abaissé, ce qui permet. d'effacer le doigt 65  en dessous du chemin clés margeurs 58, 59,  un     ressort    72 maintenant toutefois normale  ment ce bras 64 en position haute, le bas de  la mortaise s'appuyant contre le pivot, et ce  même ressort maintenant. aussi l'extrémité du  doigt 65 contre le bord droit de ].'ouver  ture 66.  



  Pendant l'avance     clii    chariot et au moment  où     i1    atteint bientôt la limite qui lui est assi  gnée par la position du margeur 58, ce der  nier bute contre le doigt 65 et le levier 64  est entraîné vers la gauche. Ceci se produit  lorsque le chariot, atteint ].'endroit extrême  où l'on peut frapper     -Lui    caractère, comme on  le voit sur la     fig.    4, et provoque le change-      ment de position d'une pièce dentée 73, qui  constitue une grille de blocage en bout de  ligne, vers une position active interdisant aux  organes opérateurs 25 tout engagement avec  l'arbre moteur 34.

   Cette grille possède des  dents 74 qui se trouvent normalement placées  entre les bielles 25 à leur partie     arrière    et  qui viennent au contraire talonner ces bielles,  en s'opposant à leur inclinaison par l'action  du crochet 36. La grille en question est mon  tée pour coulisser sur la barre transversale  54 et, à cet effet, elle est pourvue à ses extré  mités de mortaises î5, au travers desquelles  passent des vis de guidage 76 prises dans la  barre. Le bras 64 la fait coulisser au moyen  d'un système articulé comprenant un levier  77 et     une    pince 78 qui en fait     partie,    le pivot  du levier étant fixé en 81 sur le bâti. Un res  sort 82 referme la pince 77-78, dans laquelle  le bras 64 se trouve saisi.

   En situation nor  male, le bras 64, lorsqu'il est déplacé par le  margeur 58, fait mouvoir d'un seul tenait  le levier et sa pince fermée, mais si la grille  coulissante 73 est arrêtée dans son déplace  ment, le bec 78 de la pince s'ouvre, et il n'y  a donc pas de forçage du levier 77, susceptible  d'endommager le mécanisme. De tels mouve  ments inactifs du levier 77 peuvent également  se produire lorsque, par exemple, on déplace  le chariot à la main, tout en appuyant pra  tiquement au même instant sur une touche  à caractère.  



  Il a été précédemment expliqué que le cha  riot avance pour la frappe après le désenga  gement du dernier organe opérateur 25 ayant  reçu une impulsion, c'est-à-dire lorsque la  bielle et son cliquet se sont écartés de l'arbre  moteur, la bielle portant alors contre la tra  verse 30. On voit donc que la bielle, en reve  nant au repos, n'offre     aucune    opposition au  coulissement de la grille 73 vers la position  active, soit celle dans laquelle ses dents 74  se placent sous les bielles 25     pour    interdire  un engagement ultérieur (voir la fig. 3). Les  espaces entre les dents de la grille sont juste  un peu plus larges qu'une épaisseur de bielle  et les dents bloquent donc les bielles 25 prati  quement au moment où le chariot arrive à    la fin d'une ligne.

   Il faut noter que ceci se  produit à l'instant où la tige à caractère  commence à revenir après son mouvement vers  le rouleau, donc assez longtemps avant qu'un  dactylographe puisse     man#uvrer    une autre  touche. La grille 73 prend donc sa. position de  blocage quelle que soit la lourdeur avec la  quelle on a     man#uvré    la dernière touche.  



  En supposant que l'on veuille frapper en  core après la limite imposée par le margeur  58, on peut appuyer sur la touche 83l de libé  ration du margeur (voir fig. 1) qui, par l'in  termédiaire d'un levier 84 appuyant sur un  ergot 85 du bras de contrebutée 64,     oblige     ce bras à. s'abaisser en     permettant    an     margeur     de passer, car le     doigt    65,     soi-unis    à la. tension  du ressort 72, s'efface temporairement et  passe     sois    le margeur. La. touche de libéra  tion 83 peut.     servir    aussi à permettre un mouve  ment de recul du chariot plus loin que la  limite assignée par le margeur de recul 59.  



  Le mécanisme de retour du chariot et d'in  terlignes, actionne par le moteur, ainsi que sa  commande seront décrits brièvement et dans  la     mesure    où cela est, nécessaire à la compré  hension de la présente invention.  



  Un moteur 86, tournant constamment, est  placé à la partie arrière gauche de la machine  (voir     fig.    1) et fait mouvoir un arbre 87, sur  lequel est usiné un pignon qui actionne     unie     roue dentée 88 portée par     uni    axe 91. Une  boîte 92, fixée au bâti, porte les, paliers des  arbres 87 et 91. Un tambour 93 peut norma  lement tourner fou sur l'axe 91, et une bande  de tirage 94 est attachée audit     tambour,    de  telle façon qu'elle s'enroule en tournant le       tambour    en     sens    inverse des aiguilles d'une  montre, par rapport à la fi-. 1.

   Pendant  l'usage de la machine, le moteur entraîne       continuellement    la roue 88 et. l'axe 91, mais  le tambour 93 reste     normalement        immobile.     La roue dentée 88 est munie de griffes 95, et     _     le tambour porte,     claveté    sur lui,     iii    manchon  denté d'embrayage 96     (fig.    6) qui tourne fou  sur l'axe 91, mais peut coulisser sir cet. axe  pour être débrayé ou embrayé avec la roue  88.

   Un arbre de     commande    de débrayage 97,  pivoté     sir    la boîte 92, porte une fourchette      98 engagée dans une gorge chu manchon 96, et  un bras de     man#uvre    101, qui sert à faire  osciller la fourchette pour embrayer et dé  brayer. La bande de tirage 94 passe sur des  poulies de guidage 102 et 103 (fig. 2) sup  portées par le bâti, puis sur une, poulie 104  pivotée à l'extrémité gauelhe, et le bout de  ladite bande est fixé à la poulie 104 et en  roulé sur elle, de manière telle qu'en tirant  sur la bande vers la droite, on fait tourner  la poulie dans le sens des aiguilles d'une  montre. Un pignon d'un angle 105 est soli  daire de la poulie 104 et engrène avec un  secteur denté 106 qui est pivoté à l'extrémité  gauche dit chariot 14.

   Ce secteur denté est  accouplé à une came 107 qui, en appuyant sur  un galet 109, fait mouvoir un levier 108 ra  mené par un ressort et portant un rochet d'in  terligne 111; celui-ci, en se dléplaçant, fait  tourner le rouleau en     agissant    sur une roue  112. La bande 94 avant été tirée vers la  droite, soit lorsque le manchon 96 est em  brayé avec les griffes 95, le secteur denté l06  prend un mouvement dle rotation limité et le  rochet 111 est poussé. Quand les organes 95  et 96 sont débrayés comme on l'expliquera  plus loin, le ressort 113 remet le secteur 106 en  position normale contre une butée 110, ce qui  a pour effet     d'enrouler    à nouveau une cer  taine longueur de bande sur la poulie 104.

    Pour conserver une tension régulière à la  dite bande, l'enrouleur 93 est muni d'un res  sort en spirale retenu dans un barillet 114,  et qui est plus faible que le ressort 113.  



  Un levier 118, monté sur Lun pivot 121 fixé  à la paroi de fond de la potence 68, est réuni,  par son bras 117 et au moyen d'une biellette  116, au bras de commande 101 de l'embrayage.  L'extrémité du bras 117 du levier 118 est nor  malement engagée dans un     verrou    à     crochet     122, lequel est pivoté extérieurement à la ma  chine, sur un bouton 119 fixé à la paroi la  térale 11 de droite. Le levier 118 et, par con  séquent, sa partie 117, étant ainsi immobilisés,  le ressort 115 ne peut pas déplacer le bras  101 et produire par là l'embrayage des pièces  95, 96, qui provoque le retour du chariot.

    Lorsque l'on presse sur la touche 123 du le-         vier    commandant le retour de chariot, un  ergot 124 situé à l'arrière dudit levier est  soulevé et ouvre le crochet 122, en libérant  ainsi le levier 118, ce qui produit l'embrayage  des pièces 95 et 96, par la traction exercée  par le ressort 115. Le tambour 93, tournant  maintenant par la force motrice, fait tourner  également la poulie 104 montée sur le cha  riot, et le mécanisme d'interlignes 106, 111  fonctionne. Après une certaine rotation de la  poulie, celle-ci se bloque et la bande, conti  nuant à tirer, exerce son effort sur le chariot  pour le remettre en tête de     ligne.     



  Quand le chariot atteint. la position que  lui     commande    le margeur de tête de ligne 59,  le levier 118 retourne automatiquement à sa  position précédente, et le débrayage se pro  duit entre les pièces 96 et 95, comme il est  décrit ci-après. Comme le montre la fig. 6, le  levier 118 a un prolongement vertical 125 sur  lequel pivote une biellette transversale 126,  elle-même reliée par un pivot 127 à un taquet       coudé    128, l'ensemble formant en quelque  sorte un verrou à articulation.

   Le taquet 128  coulisse à son extrémité gauche dans une mor  taise verticale pratiquée dans une paroi laté  rale de la potence 68, et s'appuie sur une bu  tée     731..    Ledit taquet porte un ergot 132     cou-          libsant    dans une mortaise 1.33 d'une biellette  131 le reliant au levier de contrebutée 61;       l'articulation    de ce levier sur la biellette     13-1     lui donne une aisance permettant un Mouve  ment vertical descendant lorsque l'on presse       ,;ur    la touche 83 pour dépasser la marge.  



  Le chariot se trouvant en position inter  médiaire, tel qu'on le voit sur la     fig.    2, le  verrou articulé 126, 128 est. presque     eoniplè-          tement    redressé, mais lorsque le levier 118 se  dégage du crochet 122, le verrou est replié et  remonte; l'ergot 132 du     taquet    128 réagit  alors dans l'angle gauche de la. mortaise de la       biellette        13-1,    mais cette dernière et le levier  de     contrebutée    61 restent immobiles par l'ac  tion du ressort 72, dans la position vue sur  la     fig.    2.

   Au-dessus de la potence 68 et s'ap  puyant sur le nez du taquet 128 est disposée  une barre à effet conditionnel 136, dont la  longueur est en rapport avec celle du chariot,      et qui peut être abaissée parallèlement à     elle-          même    et diagonalement à la machine, contre  l'effet de rappel d'un ressort 137; elle est mu  nie dans cette intention de mortaises 138,  taillées obliquement par rapport au chariot  et guidées par des tenons 141 qui sont fixés  à une partie du châssis du chariot.

   Lorsqu'au  moment du passage d'une ligne à l'autre, la  poulie 104 tourne par le tirage de la bande  94, ainsi qu'il a été indiqué ci-avant, un  ergot 142 de la poulie s'engage dans un cro  chet 143 pratiqué à l'extrémité de la barre  136 et donne à celle-ci un mouvement de  translation parallèle oblique qui l'abaisse; la  barre refoule le nez du taquet 135, l'ensem  ble articulé 126, 128 prend une forme prati  quement droite, et le levier de contrebutée 64  est déplacé vers la gauche contre l'action du  ressort 72, le ressort 115 étant phus fort que le  ressort 72.

   Rien ne s'opposant au glissement  vers la droite du chariot, la bande 94, après  avoir fait fonctionner le mécanisme d'inter  lignes, tire effectivement le chariot à droite  jusqu'au moment où le margeur 59 heurte  sa contrebutée 64 et la     pousse    contre le bord  droit de l'ouverture 66, ce qui déplace d'une  seule pièce le verrou articulé vers la droite,  car il ne peut aucunement plier puisque la  barre 136 est abaissée et met obstacle à. son  fléchissement. Ceci a pour résultat de faire  basculer le levier 118, et de produire le dé  brayage par le mouvement de la fourchette  98, la course de retour du chariot se termi  nant ainsi automatiquement.

   Si l'on a relâché  entre temps la touche 123, le levier 118 sera  verrouillé à nouveau par le crochet 122; si,  au contraire, la touche n'est pas encore reve  nue, un second crochet 144, également pivoté  sur le bouton 119, hors du panneau de droite  de la machine, tiendra le levier 118 en posi  tion correspondant au débrayage pendant le  relevage de la touche (voir fig. 1).  



  Les crochets 122 et 144 ont des bras reve  nant à l'équerre et portant contre l'ergot 124  exactement à l'opposé l'un de l'autre, le con  tact constant étant assuré avec cet ergot par  un ressort à double action 145; les crochets  122 et 144 jouent, par conséquent, alternati-    vement leur rôle de retenue du levier, tou  jours par la traction du ressort 145 et cha  cun d'après la position occupée par la  touche 123.  



  On voit d'après ce qui précède que la barre  136 doit être déportée, et qu'il faut aussi un  mouvement vers la droite de la     contrebutée     64, pour que l'opération de débrayage se anse  par l'action du levier 118. Si le chariot était  déjà à la position extrême de recul lorsqu'on  appuie sur la touche 123, le levier 118, après  avoir été renversé, ferait fléchir l'ensemble       articulé    126, 128, dont le     liez    serait soulevé,  et puisque le levier de     contrebutée    serait     dé-          porté    à droite, le seul fonctionnement du méca  nisme     d'interlignes,

      avec abaissement     concom-          mitant    de la barre 136, suffirait à     provoquer     le retour du levier 118 à la position de dé  brayage. La liaison par ergot et mortaise 132,       1.34,    entre la biellette et le taquet, permet le  déplacement du levier de     contrebutée    64 sous  la poussée du margeur 58, et cela même si le  levier 118 se trouve en position normale,     c'est-          à-dire    accroché, ainsi qu'on peut le voir     sur     la     fig.    2.  



  On se rappellera que le levier de     contre-          butée    64 se meut vers la. gauche par le fait  même du déplacement de la barre 136, à con  dition toutefois que le chariot ne soit pas à sa  position de recul. Donc, puisque -Lui mouve  ment à gauche du levier 64     engendre    immé  diatement l'immobilisation des organes rece  vant l'effort moteur, comme on l'a dit, précé  demment, pendant l'avance du chariot et au  moment où il atteint bientôt la limite qui lui  est assignée par la position du margeur 58,  ce dernier bute contre le     doigt    65 et le levier  64 est entraîné vers la gauche.

   Ceci se pro  duit lorsque le chariot atteint     ].'endroit     extrême où l'on peut frapper un caractère,  comme on le voit sur la fi-. 4, et     provoque     le changement de position de la pièce dentée  73. Par suite du coulissement clé la     -gille    de  blocage, il résulte que tous les mécanismes  relatifs à la frappe des caractères sont positi  vement et infailliblement bloqués     pendant    la  course complète de retour du chariot. Voir la      fig. 6 sur laquelle le chariot est vu au cours  de ce mouvement.  



  En se reportant maintenant particulière  ment aux fig. 1 et 6, on verra que la touche  de recul du chariot 123 tourne sur l'axe 53,  et qu'elle est guidée comme les touches à ca  ractères par une rainure taillée dans la barre  54. De fanon semblable, il existe un levier 116,  monté contre le levier 123 dont l'extrémité  avant peut venir se placer en position abais  sée entre un butoir 148 et une série de cales  151, 152, insérées les unes contre les autres  entre ledit butoir et un autre     semblable    153,  situé à gauche du groupe des touches.

   Les  cales 151 sont figurées sous la forme de galets,  tandis que la cale 152 est une barrette de lon  gueur peu inférieure à la largeur du clavier;  toutes les cales reposent sur le fond plat d'une  sorte de gouttière, incomplètement figurée ici,  généralement désignée par l'indice 155 et com  portant lesdits butoirs 148 et 153. Du fait  que le levier commandant le recul du chariot,  123, porte un ergot 159 qui surplombe le le  vier 146, ce dernier s'abaisse en même temps  que l'autre et oblige toutes les cales 151 et  152 à se serrer vers la gauche pour former  bloc contre le butoir précité 153: Ledit serrage  des cales s'oppose au mouvement de certaines       parties    de la machine, si bien que des opéra  tions telles que le rappel arrière, la tabulation  et la mise en place des butées de tabulateur  ne peuvent être accomplies.

   On dira plus pré  cisément que le serrage des cales 151, 152 les  unes contre les autres empêche la     man#uvre     des touches commandant ces opérations. Il est  de fait que les mécanismes de rappel arrière  sont bien connus, et l'on n'a donc seulement  figturé ici qu'une touche 150 concernant ce  mécanisme, cette touche ne pouvant naturelle  ment pas être abaissée tant que la cale 151,  située à l'extrême gauche, est refoulée contre  le butoir 153, ainsi que cela se passe lorsque  le levier 146 est, au contraire, abaissé. De  même, comme les mécanismes de tabulateurs  sont aussi très connus, on a seulement estimé  nécessaire de figurer et décrire les pièces y  relatives qui intéressent le dispositif d'enclen  chement 148, 151, 152, 153.

   On verra d'après    la fin. 1, que lorsque l'on presse sur la touche  de tabulateur 156, ceci a pour effet d'abaisser  un levier 157, transversal à la machine et pi  voté en 158, et d'incliner du même coup un  autre levier 161 sur lequel il porte, ce der  nier faisant fonctionner le tabulateur. Par con  tre, si les cales 151, 152 sont jointives, comme  il a été indiqué précédemment, le levier 161  et, conséquemment, le 157 et sa touche de  commande, sont bloqués contre toute     man#u-          v    re.

   D'une manière analogue, la touche 162  du sélecteur de butées de tabulateur ne peut  pas être     man#uvrée    quand les cales en ques  tion sont bloquées les unes contre les autres,  car une lame 163, solidaire d'un support de  touche 164, ne peut pénétrer entre les cales  151 qu'elle rencontre en s'abaissant. Il est  donc parfaitement clair que l'on ne peut  abaisser qu'une seule des touches 123, 150, 156  et 162 au même moment, et que toute Louche       manaeuvrée    bloque toutes les autres, ainsi que  le levier 146. La gouttière 151 comporte des  parois frontales postérieure et supérieure qui  ne sont. pas représentées, destinées à. retenir  les différentes cales, des passages étant pré  vus pour les divers leviers et pour la lame  163 qui doit également s'insérer entre les  cales.  



  Lorsque l'on a     manoeuvr    é la touche l23,  commandant le retour     dit    chariot, la four  chette 98 et son arbre     porteur    97 se dépla  cent en effectuant     l'embray        age;

      dans le but  de maintenir le levier 1.46 en position pen  dant le retour chi chariot, indépendam  ment de la     remontée    de la touche 123  v afférente, une bielle 165 reliée au bras  166 solidaire du bras 101, se trouve  en position haute et soulève l'extension  arrière 167 du levier 1.16, dont la partie  avant est. ainsi     maintenue    insérée entre les  cales     d'enclenchement.        Comme    on     petit.    le voir  sur la     fig.    1, le bout de la bielle 165 porte  à droite sur le bord inférieur d'une fente ver  ticale de guidage 168 pratiquée dans la. paroi  de droite 11 de la.

   machine, mais cette portée  a lieu sur une partie dégagée de la bielle, en  position normale, et son niveau s'en trouve  abaissé d'autant; dès que l'embrayage     se    pro-      duit (voir la fig. 6) la bielle, entraînée à  gauche, se rehausse également par la montée  d'une came 171 sur le fond de la     mortaise-          guide.     



  L'embrayage peut aussi avoir lieu lorsque  le chariot se trouve au bout d'une ligne d'écri  ture, ceci d'une façon non figurée ici et par  un déplacement automatique du crochet 122.  



  Dans un cas semblable, la bielle 165 fait  mouvoir l'extrémité 167 du levier 146 vers  le haut, ce qui fait entrer l'avant de ce der  nier dans la rangée des cales 151, 152 et blo  que les porte-touches 150, 156 et 162.  



  Si toutefois, les cales étaient déjà tassées  au moment où se produit le décliquetage en  122, par suite de la manipulation d'une des  touches 150, 156, 162, la bielle 165 serait  arrêtée     dans    sa course vers la gauche, car elle  serait alors coincée entre le dessous du levier  167 et le fond de son guide, par l'effet de la  came 171. Il est donc toujours nécessaire de  laisser revenir les touches 150, 156 et 162  avant de pouvoir procéder à un recul du  chariot.  



  On a déjà dit que le moteur 86 tourne  continuellement; l'arbre denté 34 peut évi  demment être animé de la même rotation con  tinue par l'intermédiaire d'une transmission  à courroie, non figurée, prenant le mouve  ment sur l'arbre 91.  



  Les mécanismes d'enclenchement et de blo  cage ci-dessus décrits, bien que remplissant  infailliblement leur tâche, n'apportent aucune  gêne à la     man#uvre    des touches à caractères  35, qui peuvent donc être manipulées à une  cadence régulière et ininterrompue,     c'est-          à-dire    avec phus de rapidité et moins de fati  gue pour l'opérateur. Par contre, les touches,  dont on se sert moins fréquemment, et dont  la     man#uvre    pourrait dans certaines condi  tions provoquer le dérangement de la machine,  ne peuvent être abaissées que lorsqu'on ne  court aucun risque.

   On remarquera que seul,  le mécanisme de frappe est bloqué en bout de  ligne, et que l'on a laissé à l'opérateur la pos  sibilité de     man#uv    rer l'une quelconque des  touches 83, 123, 150 on 156.    En conséquence, on peut effectuer le rap  pel arrière du chariot, ou dégager un mar  geur, en opérant ainsi au moyen de la, cou  lisse 73 le déblocage de la frappe. Si le retour  du chariot peut s'effectuer sans entraves, il  est possible de     man#uvrer    la touche corres  pondante. Insistons, enfin, sur le fait que l'on  ne doit abaisser qu'une seule à la fois de ces  touches spéciales.  



  On trouvera sur la fig. 7, la vue d'un mé  canisme modifié, dans lequel la cale longue  152 est remplacée par des galets supplémen  taires, entre lesquels peuvent pénétrer les  barres de touches à caractères 35. Avec ce dis  positif, il n'est possible, évidemment, que de       mannûuvrer    une seule touche à caractère à. la  fois, ce qui évite     l'accroeliage    entre elles des  tiges à caractères,     puisque        l'opérateur        lie    peut  les faire mouvoir trop précipitamment ou  même simultanément.

   Toutefois, cet arrange  ment modifié affecte sensiblement le toucher  des commandes, et il n'est donc     recommau-          dable        qu'aux        dact-        ,#logra.phes        ine%périnientés,     qui ne peuvent donner la frappe à une ca  dence     régulière.    En relation avec ladite fi.-- 7,  on précisera que la frappe à     l'extrémité    de la  ligne se trouve     effectivement    empêchée par  l'action de la grille de blocage 73, coulissant  comme nous l'avons indiqué. ,

Claims (1)

  1. REVEN DICATION: Machine à écrire fonctionnant au moteur et comprenant un bâti, un chariot pouvant se mouvoir en direction transversale sur ledit. bâti, un certain nombre de mécanismes de frappe susceptibles d'être actionnés par des organes opérateurs, à raison d'un organe opé rateur par mécanisme de frappe, qui les obli gent d'effectuer un cycle opératoire donnant.
    une frappe unique chaque fois qu'un tel organe opérateur est amené de sa position de repos à une position dans laquelle il se trouve en prise avec un organe moteur, ces organes opérateurs étant automatiquement remis en position de repos au cours dudit cycle, et un organe bloqueur qui est susceptible d'être ma- nceuvré, afin de bloquer les organes opéra teurs quand le chariot arrive à la fin d'une ligne et qui, étant man#uvré,
    vient en prise avec une partie de chaque organe opérateur pour interdire l'engagement de celui-ci avec l'organe moteur, caractérisée en ce que ledit organe bloqueur (73) est normalement placé dans une position telle qu'il n'entrave pas le mouve ment des organes opérateurs (25) au cours duquel ceux-ci sont amenés en prise avec l'or gane moteur (34), de sorte que les organes opérateurs (25) ne sont pas gênés par l'or gane Moqueur (73) lors de leur déplacement et ne provoquent pas de déplacement de celui- ci, dont la mise en position active est effectuée durant une phase tardive dudit cycle opéra toire. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine à écrire selon la revendication, caractérisée en ce que l'avancement du cha riot (14) de l'espace d'une lettre est amorcé par un mécanisme de frappe (17) au cours de son mouvement vers la position de frappe, cet avancement étant achevé durant le mouve ment de retour de l'organe opérateur qui avait causé l'actionnement de ce mécanisme de frappe, de sorte que la mise en position active de l'organe bloqueur (73), à l'arrivée du cha riot à la fin d'une ligne, est effectuée durant le mouvement de retour du même organe opé rateur. 2.
    Machine à écrire selon la sous-revendi cation 1, caractérisée en ce que l'organe blo- queur (73) est constitué par une coulisse den tée pouvant être mnan#uvrée de façon que ses dents (74) viennent bloquer les organes opé rateurs (25) et leur interdire l'engagement avec l'organe moteur (34). 3. Machine à écrire selon la sous-revendi cation 2, ayant un dispositif faisant revenir le chariot par l'action du moteur, caractérisée en ce qu'elle comprend un mécanisme (126, 132) grâce auquel le mouvement de retour du chariot par l'action du moteur provoque l'amenée de l'organe Moqueur (73) dans sa position active. 4.
    Machine à écrire selon la sous-revendi- cation 3, caractérisée en ce que ledit organe Moqueur (73) est maintenu en action pen dant tout le temps que dure le retour du cha riot. 5. Machine à écrire selon la revendication, ayant des touches à caractères permettant de mettre en prise les organes opérateurs avec l'organe moteur et un certain nombre de touches de commande, caractérisée en ce qu'elle comprend un dispositif (148-154), in dépendant de l'organe bloqueur (73) et nor malement inopérant, destiné à bloquer les dites touches de commande (83, 150, 156), mis en action par un organe (146, 147) actionné par celle (123) des touches de commande qui provoque le retour du chariot,
    et maintenu en action pendant tout le temps que dure le retour du chariot, temps pendant, lequel il interdit l'actionnement de n'importe laquelle des autres touches de conunande. 6. Machine à écrire selon la sous-revendi- cation 5, caractérisée en ce que ledit organe (l.46, 7.47) actionné par celle des touches de commande qui provoque le retour du chariot, est maintenu en position active par un moyen (l.65) répondant à l'actionnement de cette touche de commande du retour du chariot pendant tout le temps que dure ce retour. 7.
    Machine à écrire selon les sous-revendi- cations 4 et 5. 8. Machine à écrire selon les sous-reven- dications 6 et 7.
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