Machine comptable. L'invention a pour objet une machine comptable comprenant un chariot porte-papier mobile, susceptible de se déplacer d'une posi tion de fermeture à une position d'ouverture et vice versa, un mécanisme d'impression, un evlindre du chariot qui tourne sur un axe l ixe clé manière à rester constamment en po sition d'impression, une trémie d'introduc tion du papier par l'avant, des galets de pres sion inférieurs qui maintiennent le papier autour du cylindre et un mécanisme de com mande pour déplacer le chariot, caractérisée par un organe de contrôle commun pour con trôler ledit.
mécanisme de commande de façon que ce dernier déplace la trémie d'introduc tion du papier par l'avant et les galets de pression inférieurs de l'une à l'autre de leurs deux positions.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine comptable faisant l'objet. de l'invention, seules les parties de cette machine nécessaires à la compréhension de l'invention étant repré sentées et décrites, la machine complète étant représentée et décrite dans le brevet suisse N 281791..
La fig. 1 est une perspective de l'ensem ble de cette forme d'exécution.
Fig. 2 est une vue par l'avant d'une par tie d'un mécanisme de commande par moteur. Fig. 3 est une vue en plan correspondante. Fig. 4 est une coupe vue de la droite d'une partie du mécanisme de machine à écrire élec trique.
Fig. 5 est une vue de la droite de l'em brayage du mécanisme d'introduction par l'avant.
Fig. 6 est un détail montrant quelques pièces supplémentaires de ce mécanisme d'em brayage.
Fig. 7 est une coupe du chariot porte- papier montrant phis particulièrement le mé canisme d'introduction par l'avant en sa po sition de fermeture.
Fig. 8 est une vue détaillée de galets de pression antérieurs et dua dispositif servant à les supporter et à les déplacer.
Fig. 9 est une coupe du chariot montrant le dispositif d'introduction dans sa position d'ouverture.
Fig. 10 est une y-Lie partielle d'un inter- verrouillage prévu entre le mécanisme d'in troduction par l'avant et un dispositif de dé placement du ruban de machine à écrire.
Fig. 11 est une vue en plan d'une partie du mécanisme d'actionnement du dispositif d'introduction.
Fig. 12 est une coupe du chariot montrant des guides de la feuille de journal et des cartes de compte ainsi que des galets de pres sion supérieur et inférieur et le dispositif actionnant ces galets.
Fig. 13 est une vue analogue, mais mon trant les galets de pression supérieur et infé- rieur dans leur position d'ouverture ou dé gagée.
Fi-. 11 est. une vue latérale des guides de la carte de compte dans la position d'impres sion.
Fig. 17 est une élévation par l'avant de leviers sensibles ou explorateurs coopérant avec les tabulateurs de chariot pour assurer la commande des fonctions.
Fig. 16 est un détail montrant une partie du mécanisme précédent.
Fig. 17 est une élévation par la gauche du mécanisme de commande du ruban.
Fig. 18 montre un détail cln mécanisme du ruban de machine à écrire et du levier manuel permettant d'assurer le fonctionne ment de ce mécanisme.
Fig. 19 est une vue partielle du mécanisme de ruban tel que représenté en fig. 21.
Fig. 20 est un autre dé_ tail du mécanisme d'avancement du ruban.
Fig. 21 est une élévation latérale du mé canisme de ruban et de sa commande au moyen d'un levier manuel et au moyen des glissières de commande des totalisateurs.
Fig. 22 est une vue analogue, par la gau che, de ce mécanisme.
Fig. 23 est une vue partielle vue de la droite.
Fig. 21 est une vue latérale de droite mon trant l'interverrouillage entre les touches de machine à écrire et le mécanisme d'intro duction.
Fig. 25 est une perspective d'un détail du mécanisme d'embrayage du dispositif d'intro duction.
Fig. 26 est une vue partielle de l'inter- verrouillage disposé entre le mécanisme d'in troduction par l'avant et le clavier de ma chine à écrire.
Fig. 27 montre le dispositif d'interver- rouillage entre le mécanisme d'introduction et l'embrayage principal de la machine.
Fig. 28 est une élévation latérale mon trant les touches motrices et le mécanisme correspondant. Fig. 29 représente également les touches motrices ainsi que le mécanisme qui com mande le déclenchement de la machine.
Fig. 30 est une vue latérale de droite de ce mécanisme.
Fi-. 31 montre certaines touches de com mande disposées à droite du clavier de ma chine comptable.
Fig. 32 est une coupe de l'embrayage prin cipal représenté en fig. 30.
Fig. 33 est une vue représentant le dispo sitif grâce auquel les barres motrices et le chariot mobile peuvent commander le méca nisme d'introduction par l'avant.
Fig. 31 est un antre détail de ce méca nisme.
D'une manière générale, la. machine re présentée comprend: un chariot mobile por tant les documents à inscription, chariot qui porte une série de tabulateurs réglables des tinés à commander les diverses fonctions; un clavier de machine comptable comportant des touches de commande pour assurer les fonc tions de la machine; des touches pour l'enre gistrement de données en addition ou non- addition; des barres motrices assurant le dé clenchement de la machine pour son fonction nement ainsi que certaines fonctions; un cla vier de machine à écrire et plusieurs totali sateurs addition-soustraction. Entra:înemerit <I>par</I> vtoteur.
Les différents mécanismes d'entraînement sont actionnés par un moteur électrique 220 (fig. 2 et 3) fixé sous la base 213 de la ma chine. Le moteur 220 tourne de fagon conti nue quand on se sert de la machine et il peut être arrêté au moyen d'un interrupteur 221 (fig. 3) qui peut. être actionné, à l'avant, de la machine, au moyen d'un levier 222 (voir aussi fig. 1) connecté à l'interrupteur.
A l'extrémité avant de l'arbre 223 du moteur (fig. 2) est fixée une vis sans fin 221 en prise avec une roue dentée correspondante 225 gou pillée sur un arbre 226 supporté dans des coussinets (non représentés) aménagés dans un carter 227 fixé par des boulons 228 au carter du moteur 220 et par des boulons 229 à la base 213. Par conséquent, chaque fois que le moteur est. en action, l'arbre 226 est entraîné à, une vitesse démultipliée par la vis sans fin 224 et la roue dentée 225.
A son extrémité clé droite, l'arbre 226 porte un en grenage 240 (fig. 2, 3 et 30) en prise avec deux pignons 241 (fig. 3) et 242 (fig. 30). Le pignon 241 est fixé à lin manchon 243 monté à rotation sur un long goujon fixé sur la partie de droite du carter 227. Près de l'extrémité de droite du manchon 243 est fixée une poulie 244 présentant une gorge en forme de V et constituée par deux rebords 245 et 246. La poulie 244 est entraînée par la rota ; tion du manchon 243, mais elle est. toutefois libre de se déplacer sur une longueur limitée dans le sens longitudinal.
Un ressort de pres sion 247 est disposé autour du manchon 243 et presse contre le rebord 246 de la poulie, tendant ainsi à rattraper le jeu d'une cour roie 249 en forme de V qui passe sur la poulie et qui sert à actionner la machine à écrire électrique. Le manchon 243 et les pièces con nexes sont retenus sur le goujon au moyen d'une vis 248 placée à l'extrémité du goujon.
L'engrenage 240 est en prise avec le pignon 2-12 monté élast.iquement sur une roue à crans <B>250</B> (fig. 30 et 32), au moyen d'une bague (le caoutchouc 251 fixée au pignon 242 et fixée également à une bague métallique 252 solidaire de la roue 250. Cette dernière est montée rotative sur un arbre principal 253 -tu moyen de roulements à billes 254.
Le pignon 242 et la roue à crans 250 peu ; vent venir en prise avec l'arbre à cames prin cipal 253 pour entraîner ce dernier dans des cycles d'opérations. Les organes d'embrayage nécessaires comprennent un disque 255 muni d'un moyen 256 fixé sur l'arbre 253. Un bras i de contrôle 257 de l'embrayage est monté fou sur l'une des faces du moyeu 256, et ce bras tend à tourner dans le sens dextrorsum (en l'ig. 30) au moyen d'un ressort 258 fixé par ailleurs au disque 255.
Le bras 257 est re tenu normalement ait moyen d'un bras de dé clenchement 259 dont l'extrémité coopère avec un doigt 260 du bras 257. Ce bras de déclen chement 259 est fixé à l'extrémité de gauche d'un arbre 271 tournant dans le bâti de la machine et qui peut, en se mouvant dans le sens dextrorsum, livrer le bras 257 à l'action du ressort 258. Cette rotation de l'arbre 271 est déclenchée au moyen de différentes barres motrices ainsi que sous )'influence d'autres mécanismes de commande que l'on décrira plus loin.
La partie supérieure du bras 257 présente une partie dentée 272 engrenant avec une tête dentée 273 formée sur un chien d'embrayage 274 pivotant sur le disque 255, près de la périphérie de ce dernier. Le chien 274 tra verse le disque 255 et est placé sur le trajet d'une série de crans 275 prévus sur la péri phérie de la roue 250. La partie inférieure du chien 274 est aplatie de façon qu'il échappe à la roue 250 et à ses crans lorsqu'il est dans la position représentée à la fig. 30.
Cependant, lorsque le bras de déclenchement 259 est écarté du doigt 260, le bras 257 tourne dans le sens dextrorsum grâce au ressort 2,58, et le chien 274 tourne dans le sens senëstror- sum, de manière à amener le bord gauche du chien 274 à s'engager. avec un des crans 275 de la roue 250 qui est constamment en rota tion, entraînant ainsi le disque 255 et l'arbre principal 253 dans une rotation dans le sens dextrorsum (fig. 30).
Le mouvement du bras 257 de commande de l'embrayage est limité sur le moyeu 256 au moyen d'épaulements 276 du bras 257 qui coopèrent avec les flans de la tête 273 formée sur le chien 274. Pour maintenir ce dernier en place, sa moitié supé rieure est saisie par un coussinet<B>277</B> fixé sur le disque 255.
L'arbre 271 porte, fixé sur sa partie de droite, un levier coudé 278 (fig. 28) dont la partie postérieure porte un galet 279 et la partie antérieure fourchue s'engage avec un goujon 280 disposé sur un levier 281. Celui-ci est fixé à l'extrémité de droite d'un arbre 282 supporté par le bâti latéral 215 et, à l'autre extrémité, par un support (non représenté). Le levier 281 et l'arbre 282 tendent à tourner dans le sens senestrorsum (en fig. 28) grâce à un ressort 285 tendu entre ce levier et un goujon fixe du bâti 215.
Le ressort 285 tend ainsi constamment à. faire tourner le bras de déclenchement 259 dans le sens dextrorsum pour le dégager du doigt 260 et provoquer de ce fait la rotation de l'arbre principal 253 dans le sens dextrorsum (lorsque l'on regarde la machine par la droite).
L'arbre principal 253 s'étend transversa lement sur la largeur de la. machine au-dessous de la base 213 et est supporté par des roule ments à billes disposés dans des supports dont un siège est représenté en fig. 23, fixés sous la base.
L'arbre 253 (fig. 28) porte, sur un man chon de celui-ci, une came 290 pour le bras de déclenchement 259, qui est fixée à l'extré mité de droite de l'arbre principal 253 et tourne normalement à l'unisson avec ce der nier. La came 290 présente -un bossage pou vant coopérer avec le galet 279 porté par le levier 278 à la fin d'une révolution de l'arbre, ce qui entraîne l'arbre 271 dans le sens senes- trorsum pour ramener le bras de déclenche ment 259 sur le trajet du doigt 260 porté par l'embrayage et, ramener celui-ci à sa position de repos.
L'arbre 271 et le bras 259 sont re tenus dans leur position de repos, contre l'ac tion du ressort 285, au moyen d'un mécanisme spécial que l'on décrira plus loin en ce qui concerne les barres motrices.
On voit, d'après ce qui précède, que l'ar bre principal 2.53 est entraîné positivement par le moteur électrique 220 pour effectuer une révolution dans le sens dextrorsum (vue de la droite de la machine) chaque fois que 1-'embrayage est, enclenché.
En se référant à la fig. 2, on voit un arbre 301 couplé en 302 à l'arbre 226 entraîné par le moteur 220. Cet arbre 301 est supporté var une paire de supports 303 d'un bâti en fonte 304 fixé sous la base 213 par des vis 305. Clvcriot porte-papier.
Comme on le voit aux fig. 1 et 7, le chariot porte-papier comprend un bâti constitué lui même par deux embouts 1261 constitués par une partie interne 1262 et une partie externe. Ces embouts 1261 sont supportés par une traverse 1264 .en forme de Z (fig. 7), par une traverse 1265 en forme de [. et une traverse 1266 en forme de<B>I,</B> auxquelles les embouts sont fixés de faon appropriée.
Les traverses 1264 et 7.265 sont fixées di rectement aux embouts, tandis que la traverse 7266 est fixée à chacune des extrémités d'un support 1267 relié à un bloc de caoutchouc 1268 qui, à. son tour, est fixé à un deuxième support 1269 fixé par des vis 1270 à l'em bout. Un certain jeu est. prévu entre les sup ports 1267 et 1269, et ce grâce à des ouver tures allongées prévues dans le support 1?67, dans lesquelles on place des bagues d'espace ment (non représentées) formées dans un métal légèrement plus épais que le support 1267 et sur lesquelles est fixé le support 1269 au moyen de vis 1270.
La traverse 1266 est ainsi libre dans son mouvement par rapport à l'élasticité du bloc de caoutchouc 1268, dans le sens de la lon gueur du rail. Par contre, elle ne peut pas se déplacer dans le sens vertical.
Le bâti ainsi constitué peut glisser sur le bâti de la machine comptable, grâce à un tube 1271 fixé sur la face inférieure de la traverse 1265 en forme de L, lequel tube co opère avec une série de galets 1272 fixés rota- tivement sur un rail 217. Le tube 1271 co opère également avec. une série de galets coni ques 1273 disposés de chaque côté du tube. Ceux qui sont placés à l'avant du tube sont. montés sur le rail 217 et ceux qui sont placés à l'arrière sont montés sur des piliers 1274 (fig. 11) fixés à l'arrière du rail 217.
La par tie avant du chariot est. supportée sur des ga lets 1275 disposés dans des rainures formées dans la traverse 1266 en forme de<B>I.</B>
Le chariot est entraîné élastiquement dans chacune de ses deux directions de mouvement, au moyen du pignon 361 (fi-. 2 et 7) en prise avec une crémaillère 362 fixée à la traverse 1264 en forme de<B>Z.</B> On fixe également sur cette crémaillère une paire de butées d'arrêt 1281, placées près des extrémités et coopé rant avec une patte 1282 (fig. 11) du support 348, dans le but de limiter le déplacement la téral du chariot et pour éviter qu'il s'échappe de son rail de guidage. Comme décrit dans le brevet suisse N 285831, le pignon 361 peut tourner dans une direction ou dans l'autre <B>,
</B>-ri iee au mécanisme hydraulique commandé par le moteur électrique 220. Par conséquent, lorsque le moteur fonctionne, le chariot est sollicité élastiquement à se mouvoir soit à gauche, soit à droite.
lIécaizisnie d'introduction <I>par</I> l'avant. Dans la machine représentée, on a prévu uii mécanisme entraîné par le moteur pour (légager certains des galets de pression et les écarter du cylindre et également pour éloi gner la trémie d'introduction du cylindre, pour permettre le passage d'une carte de compte ou de tout autre document comptable qu'il faut interligner par l'avant. Ce méca- nisme est bien connu par son nom anglais front feed .
Le mécanisme de front feed est entraîné par le moteur et peut être rendu actif sous la commande soit d'une touche placée à droite du clavier de la machine comptable, soit. des barres motrices, soit enfin du chariot 'lui- même. Comme représenté en.. fig. 2, 5 et 6, on emploie un mécanisme d'embrayage.
Un arbre 1673 (fig. 2) porté par un support. 1674 comprend, à son extrémité de gauche, une plaque de commande 1753 sollicitée dans le sens dextrorsum par un ressort 1754 (fig. 6) pour amener une extrémité d'encoche en con tact avec une butée 1755. La plaque 1753 porte un cliquet de non-répétition 1756 en contact, grâce à un ressort, avec un goujon 1757 porté par un bras de déclenchement 1758 supporté par un moyeu 1759. Le bras 1758 se termine par un doigt 1760 pouvant coopérer avec l'un ou l'autre de deux goujons 1761 ou 1762 montés sur un bras de com mande 1763.
Celui-ci est muni d'un moyeu 1764 monté fou sur un autre moyeu 1765 fixé à l'extrémité d'un disque 1766 (fig. 5), d'une part., et à suie paire de cames 1767, 1768, (l'autre part. Ces cames coopèrent avec des galets portés par un levier 1769 pivotant en 1770. Le disque 1766 supporte un petit arbre 1771 auquel est fixé un bras 1772 (fig. 6) comprenant une encoche susceptible de rece- voir un goujon 1773 porté par le bras 1763.
Le bras 1772 est sollicité dans le sens dextror- sum par un ressort 1774. Sur l'arbre 1771 et à l'extrémité opposée se trouve fixé un cli- quet 1775 coopérant avec un rochet 1776 en traîné par l'arbre 301. Le disque 1766 com prend deux parties évidées 1777 pouvant re cevoir un galet 1778 disposé à l'extrémité d'un bras 1779 pivotant en 1710 et sollicité vers le disque par un ressort. Le disque 1766 et les cames 1767, 1768 peuvent occuper deux positions normales suivant que le galet 1778 est engagé avec l'un ou l'autre des évide ments 1777.
Pour ces positions, c'est ou bien le goujon 1761 ou le goujon 1762 qui est en contact avec l'extrémité du doigt 1760 pour maintenir le bras 1772 dans la position repré sentée en fig. 6, contre l'action du ressort 1774. Lorsque le doigt 1760 est écarté du gou jon 1761 quand l'arbre 1673 a tourné dans le sens senestrorsum, le bras 1772 bascule dans le sens dextrorsum sous l'action du ressort 1774, de faon que le cliquet 1775 puisse pénétrer dans les dents du rochet 1776 et faire tourner le disque et les cames dans le sens dextrorsum (fig. 5).
Lorsque le goujon 1762 passe l'extrémité du doigt 1760, le bras 1772 pivote dans le sens senestrorsum pour dégager le cliquet du rochet, et le galet 1778 maintient le disque, les cames et le bras 1772 dans leur position de repos, de même que le bras de commande d'embrayage 1763.
On a prévu des dispositifs destinés à ra mener le doigt 1760 à la position de fig. 6, de faon qu'il puisse revenir en prise avec le goujon 1762, même si l'arbre 1673 est retenu dans sa position basculée dans le sens senestrorsum. On utilise à cet effet un levier de rappel 1796 (fig. 5) pivotant sur l'arbre 1673 et muni d'un goujon 1797 en prise avec une encoche du cliquet 1756.
Ce levier 1796 présente un bec qui, dans un cas, vient -en prise avec un galet 1780 porté par le disque 1766 et, dans un autre .cas, en prise avec un moyeu 1795 porté par le cli- quet 1775, de façon que le cliquet 1756 soit écarté du goujon 1757 et permette au bras de déclenchement 1758 d'être ramené à la posi- tion de fig. 6, bien que l'arbre<B>16733</B> et la plaque de commande 1753 soient maintenus dans leur position dans le sens senestrorsum. On voit que lorsque les pièces sont dans les positions représentées en fig. 6 et lorsque l'ar bre<B>1673</B> est basculé,
les cames 1767 et 1768 tournent d'un angle un peu inférieur à. 180' et restent dans cette position jusqu'à. ce que l'arbre soit à nouveau actionné. A ce moment, les cames tournent d'un angle un peu plus grand que 180 pour amener le goujon 1761 en prise avec le doigt 1760. Pour la position représentée en fig. 6, la trémie d'introduc tion est fermée (fig. 7) et lorsque l'arbre 1673 tourne dans le sens senestrorsum pour per mettre l'enclenchement de l'embrayage et la rotation des cames jusqu'à ce que le goujon 1762 vienne en contact avec le doigt 1760, la. trémie est ouverte, comme représenté en fig. 9.
Au cours de l'opération suivante de l'arbre 1673, les cames tournent jusqu'à ce que le goujon 1761 vienne en contact avec l'extrémité du doigt 1760, ce qui ferme la tré mie et prépare le chariot pour une opération d'impression. Le mécanisme de la trémie d'in troduction et son fonctionnement sont décrits phis loin.
Touche <I>de</I> commande <I>de la</I> trémie <I>du</I> chariot. Comme représenté à la fig. 33, on a prévu une touche 1781 commandant la trémie de chariot, touche qui est montée coulissante ver ticalement sur des goujons 1782 du support (non représenté). Cette touche est maintenue normalement dans sa position élevée par un ressort à boudin 1783 (fig. 31) agissant sur une goupille de la touche 1781, dont l'extré mité inférieure comprend un goujon 1784 en prise avec -un levier 1785 pivotant .en 1786.
La partie arrière de ce levier 1785 est munie de deux équerres 1787 et est reliée à deux cordes à piano 1788 et 1789. La corde à piano 1789 comprend une tête inférieure 1790 goupillée à un bras 1791 fixé à l'arbre 1673 de com mande de la trémie (voir aussi fig. 25).
Par conséquent, lorsque la touche 1781 est abais sée, le levier 1785 bascule dans le sens senes- trorsrun pour soulever la corde à piano 1789 et faire tourner l'arbre 1673 dans le sens senestrorsurn. Comme on l'a expliqué en re gard de la fig. 6, ce mouvement fait tourner la plaque de commande 1753 goupillée sur l'arbre 1673, pour mettre en prise l'embrayage de la trémie de chariot et provoquer, par l'arbre 301, le fonctionnement du mécanisme correspondant, ainsi qu'on v a le décrire.
D'après la fig. 5, on voit. que l'extrémité supérieure du levier 1769 est. articulée à une bielle 1792 (voir également fig. 3) reliée, d'autre part, à un bras 1793 fixé sur un arbre 1794 porté par la base 213 et par le support 348 (fig. 11). La fig. 11 montre également qu'in bras 1800 est filé sur l'arbre<B>179-1</B> et est relié à. une bielle 1801 au moyen d'un gou jon 1802 et d'un excentrique réglable 1803. On peut. donc régler la. bielle 1801 par rap port au bras 1800.
La bielle 1801 est fixée, d'autre part, .à un levier 1804 pivotant sur un goujon 1805 du support 348. Un goujon 1806 du levier 1804 sert de pivot. à une plaque 1807 munie de deux galets 1808 en contact. avec un rail 1809 (voir fig. 7) supporté par le chariot et se déplaçant avec lui. La plaque 1807 porte une goupille 1510 engagée dans une fente 1811 pré-me dans le support 3-18 pour le guidage de la plaque 1807 pendant son mouvement de va-et-vient au cours des opérations d'ouverture et de fermeture du chariot.
Comme le montrent les fig. 7 et 9, le rail 1809 est fixé à un tube 1812 au moyen d'une série de nervures 1813 disposées entre le rail et le tube. Ce dernier est supporté par la par tie interne 1262 du chariot et comprend des bras 1814 articulés, à leur extrémité supé rieure, à une bielle 1815. Le dessin repré sente uniquement le mécanisme de front feed pour la section de gauche du chariot, mais il est. évident qu'un mécanisme analogue est prévu pour la section de droite.
L'extrémité avant de la bielle 1815 est articulée en 1816 à une came 1817 portée par un palier. Lorsque le mécanisme d'introduc tion est dans sa position fermée, comme repré senté en fig. 7, c'est un bossage de la came 1817 qui coopère avec un galet 1819 porté par un bras 1820 fixé sur un arbre carré 1821. Ce dernier est supporté à ses deux extrémités par la partie interne 1262. Il sup porte une série d'étriers 1822 qui sont inter calés entre des étriers 1823 (fig. 8) pour les galets de pression.
Entre chaque étrier 1822, on a prévu un trou carré pratiqué dans des bras latéraux pour recevoir l'arbre carré 1821 et une ouverture circulaire est prévue près de l'extrémité extérieure de chacun de ces bras latéraux pour permettre l'aménagement d'un ressort à boudin 1824 que l'on passe au travers de ces ouvertures ainsi qu'au travers d'ouvertures similaires pratiquées dans les bras latéraux des étriers 1823. Ce ressort est accroché à ses deux extrémités dans une ou verture 1825 prévue dans chacun des bras 18.'30 portés par l'arbre carré 1821.
Entre les bras latéraux des étriers 1823 sont disposés des galets de pression 1826, en caoutchouc par exemple, et qui sont sollicités élastiquement vers la sui-face d'un cylindre 539, lorsque la trémie est. fermée (fig. 7). Les bras latéraux des étriers 1823 portant ces galets sont montés fous sur l'arbre carré 1821, grâce à des trous circulaires 1827.
Lorsque le mécanisme de tré mie est dans sa position fermée, le bossage de la came 1817 coopère donc avec le galet 1819 pour maintenir l'arbre carré 1821 dans la po sition représentée en fig. 7 et 8, dans laquelle position les étriers 1822 tendent à pousser le ressort 1824 vers le cylindre et à presser par conséquent les galets de pression 1826 contre ce dernier.
Par contre, lorsque le mécanisme de trémie est dans sa position ouverte, et ce à la suite du mouvement du rail 1809 vers l'ar rière de la machine, la came 1817 tourne dans le sens senestrorsum, de manière à présenter un évidement 1828 en face du galet 1819, de sorte que l'arbre carré 1821 tourne dans le sens senestrorsum" pour écarter les étriers 1822 du cylindre, ce qui éloigne à leur tour les galets de pression 1826.
Simultanément, la trémie proprement dite 1829, qui sert à l'introduction des documents comptables et qui comprend une plaque en matière transparente, est abaissée en position de fig. 9, ce qui complète le mouvement d'ou- verture du front feed . La trémie 1829 com prend, près de son bord inférieur, deux rai nures longitudinales 1830 dans lesquelles on peut insérer une substance colorante destinée à marquer de taon distincte deux traits sur la matière transparente, traits qui indiquent la ligne d'impression.
La trémie est fixée à chacune de ses extrémités, par des vis par exemple, à un support 1831 goupillé en 1832 à. 11n secteur 1833 supporté dans lm siège du palier.. Le secteur 1833 est muni d'une den ture en prise avec une denture correspon dante d'un pignon 1834 fixé sur -Lui arbre 1835 s'étendant sur la largeur du chariot: Les secteurs 1833 sont contraints de tourner en même temps que la trémie 1829 passe de sa position fermée à sa position ouverte et vice versa.
Un galet 1836 .est porté par le support 1831 pour coopérer avec une ouverture 1837 pratiquée dans la partie interne 1262 du cha riot, afin de limiter et guider le mouvement de la trémie 1829.
Le secteur 1833 porte un goujon qui co opère avec une fente pratiquée dans un accro- che-ressort 1838 fixé à un ressort à boudin 1839 attaché, d'autre part, à un verrou 1840. Celui-ci pivote sur un goujon 1845 porté par une bielle 1815 par l'intermédiaire d'une fente 1841 pratiquée dans le verrou et il co opère avec un goujon demi-rond 1842 soli daire de la partie interne 1262 du chariot. Un prolongement 1843 du verrou 1840 est en contact normalement avec un goujon 1844 porté par la bielle 1815.
Le mécanisme décrit fonctionne de la ma nière suivante: Lorsque le mécanisme de front feed est dans sa position fermée (fig. 7), le verrou 1840 est en prise avec le goujon 1842, ce qui maintient élastiquement la trémie 1829 dans sa position relevée, pour laquelle les galets 1808 sont dégagés de la force exercée par le poids de la trémie sur le rail 1809. Lorsque ce dernier est déplacé vers l'arrière de la machine, le goujon 1845 se meut vers la gauche, dans la fente 1841, ce qui fait basculer le verrou 1840 dans le sens dextrorslun et le dégage du goujon 1842.
Le ressort 1839 agit à ce moment comme unie bielle et déplace l'accroche-ressort 1838 vers l'avant de la machine (ou à gauche de fig. 7 et 9), permettant ainsi à la trémie 1829 de tomber sous l'effet de son propre poids, dans la position de fi g. 9. Le chariot étant ainsi ouvert, on peut introduire un document comp table 1850 par l'avant du cylindre, après quoi on peut fermer le mécanisme de front feed pour serrer ce document, comme représenté en fig. 7.
Si l'on désire déterminer exactement la ligne d'impression, on peut, le cas échéant, pousser la trémie 1829 vers le bas jusqu'à ce que le galet 1836 se trouve dans un des évide ments 1851 de l'ouverture 1.837. Lorsque la trémie est ainsi abaissée, le secteur 1833 tourne dans le sens senestrorsum, ce qui a pour effet de tendre le ressort 1839. De cette manière, lorsque la trémie est relâchée, le ressort fait tourner le secteur 1833 dans le sens dextrorsum pour soulever cette trémie dans sa position fermée de fig. 7.
Lorsque le mécanisme est dans sa position ouverte (fig. 9) et si l'on désire déterminer la ligne d'impres sion, il suffit de pousser la trémie 1829 vers l'arrière de la machine pour amener le galet 1836 dans l'évidement 1851, ce qui place la trémie dans la position convenable pour l'in dication de la ligne exacte à imprimer.
On voit par conséquent qu'avec le iront feed ouvert, la carte de compte 1850 est gui dée autour du cylindre 539 au moyen de la trémie 1829, des étriers 1823, des galets de pression 1826 et d'une plaquette incurvée 185\3 (fig. 12) fixée à la traverse 1265 en forme de L.
La carte de compte est ensuite guidée dans un passage 1853 (fig. 13) muni d'une lèvre supérieure 1854 servant à dévier la carte dans le passage, ainsi qu'une lèvre inférieure 1855 qui peut venir se placer au dessous du rebord de la plaquette 1852, de manière à retenir le passage 1853 dans la po sition convenable représentée en fig. 12. Ce passage 1853 est muni d'un bloc 1856 qui vient en prise avec la surface supérieure de la traverse 1264 pour empêcher que la lèvre 1855 ne se dégage de la plaquette 1852. Le passage 1853 est également maintenu en posi- tion au moyen de pinces à ressort 1857 en prise avec le rebord de la traverse 1264.
Le passage<B>1853,</B> représenté aux fig. 12 et 13, sert à guider le bord de droite de la carte de compte, et il est bien entendu qu'un gui dage similaire est prévu pour le bord de gauche.
Si l'on désire, en plus de la carte de compte 1850, imprimer une autre carte de compte ou une fiche, on peut naturellement prévoir des guides 1886, comme représenté en fig. 14. Ces guides peuvent être fixés sur la trémie 1829 au moyen de clips 1887 qui peu vent se fixer par-dessus le bord de la. trémie 1829. Une fiche 1888 peut être insérée dans les guides et être maintenue élastiquement en place au moyen de doigts à ressort 1895 qui pressent contre la face avant de la trémie 1829.
La fiche est ainsi maintenue en posi tion pendant l'impression et peut être retirée facilement lorsqu'on tire simplement les guides vers l'avant. 31éca,rzisine <I>de</I> -reteinte <I>du</I> bo-r-cler-eatt-jozt7-pal. La plupart des opérations comptables né cessitent l'emploi d'un bordereau-journal qui enregistre toutes les transactions ou écritures @,. effectuer par la machine.
Comme ce borde reau doit. recevoir toutes les écritures, c'est généralement le document due l'on. passe en premier lieu autour du cylindre, position dans laquelle il est maintenu par des galets de pression qui ne sont pas affectés par le méca nisme de front feed . Les fig. 12 et 13 mon trent un mécanisme grâce auquel le journal 1858 peut. être maintenu autour du cylindre et guidé par le chariot.
D'après fig. 12, le journal 1858 est. passé autour du cylindre 539 de'chaque côté d'une traverse 1859 en forme de V qui s'étend sur toute la largeur du chariot entre les embouts 1.261. Le journal est placé sur une tablette 1860 constituée par une série de bandes mé talliques disposées Horizontalement. La ta blette 1860 comprend, à chacune de ses extré- ;
nités, des plaques 1861 dirigées vers le haut ainsi que des bandes de guidage 1862 consti tuées par du métal replié en forme de<B>U.</B> Cha- tune des bandes 1862 présente un doigt re plié 1863 en prise avec une tige 1864 s'éten dant sur la largeur du chariot. Des étriers <B>1865,</B> pour les galets de pression, sont montés pivotant aux extrémités antérieures des bandes métalliques 1862, et ces étriers supportent des galets de pression 1866. Les étriers 1865 sont sollicités clans le sens dextrorsum au moyen (le ressorts de pression 1867 qui maintiennent ainsi les galets 1866 en contact élastique avec le cylindre 539, lorsque la tablette 1860 est dans sa position avant, représentée en fig. 12.
Les bandes 1862 sont, munies d'encoches rece vant une traverse carrée 1868 fixée, à chacune (le ses extrémités, à une bielle 1869 dont la partie inférieure est munie d'une fente 1870 destinée à recevoir un goujon 1871 fixé à la partie interne 1262 du chariot. Les bandes 1862 sont fixées sur la traverse carrée 1868 au moyen de pinces 1872. La bielle 1869 com prend, à. son autre extrémité, une lumière en prise avec un goujon 1873 (fig. 13) fixé à la partie 1262. La bielle présente également un goujon 1874 susceptible de coopérer avec un chemin de came 1875 pratiqué dans une pla quette d'extrémité 1876 pivotant sur le gou jon 1873.
Il va de soi qu'il existe deux de ces plaquettes d'extrémité 1876, reliées par une cornière 1877 ainsi que par une traverse carrée 1878 sur laquelle peuvent coulisser plusieurs supports de galets de pression 1879. C'es supports peuvent être déplacés le long de la traverse 1878 et peuvent être fixés dans toute position voulue au moyen d'une vis à molette 1880. Chaque support comprend un étrier pivotant 1881 qui porte un galet de pression 1882 pouvant être amené en contact avec la. surface du cylindre 539 lorsque le mé canisme est en position fermée (fig. 12).
Pour cette position, le galet de pression 1882 est en contact élastique avec le cylindre sous l'ac tion d'un ressort 1883 tendu entre la traverse de l'étrier et le dessus du support 1879. La plaque 1876 en forme de triangle peut pivo ter autour dit goujon 1873 au moyen d'un système de genouillère qui comprend un le vier 1884 articulé à une bielle 1885 reliée, d'autre part, à la bielle 1869. Lorsque cette genouillère est tendue, comme représenté en fig. 12, les plaquettes d'extrémité 1876 pivo tent dans le sens senestrorsum pour mainte nir les galets 1882 en contact avec le cylindre.
Lorsque la genouillère est brisée (fig. 13), les plaquettes d'extrémité pivotent dans le sens dextrorsum et soulèvent les galets 1882 pour écarter ces derniers du cylindre, ce qui permet de déplacer le bordereau-journal.
En même temps que les plaquettes d'extré mité pivotent dans le sens dextr orsum, le che min de came 1875 déplace la bielle 1869 vers l'arrière pour amener la traverse carrée 1868 et la tablette 1860 vers l'arrière de la machine.
Il s'ensuit que les galets de pression 1866 sont écartés à leur tour du cylindre (fig. 13) pour libérer complètement le bordereau-jour- nal. Ce dernier peut être retiré pour permet tre l'introduction d'une autre feuille, après quoi on peut abaisser le levier 1884, de ma nière à tendre la genouillère et ramener les galets 1866 et 1882 en position de retenue de la nouvelle feuille de journal.
<I>Barres motrices.</I>
La machine représentée comprend plu sieurs barres motrices disposées à droite du clavier, et ces barres servent à déclencher les opérations de la machine tout en commandânt également certaines fonctions principales ou accessoires, comme on le verra plus loin. Le mécanisme commandé par les diverses barres motrices pour provoquer l'enclenchement de l'embrayage est représenté aux fig. 29 et 30. Ainsi que cela est décrit plus en détail dans le brevet N 281791, ces barres motrices sont susceptibles d'assurer deux modes différents de fonctionnement, l'un par un enfoncement partiel et l'autre par l'enfoncement et la tenue de la barre dans sa position enfoncée.
Il est prévu -une barre motrice principale 2050, une barre motrice de saut<B>2051</B> et une barre mo trice verticale 2052, verticale signifiant que cette barre commande également l'espace ment de lignes. Ces trois barres coulissent sur des goujons 2053 portés par le bâti latéral 215. Pour les barres 2051 et 2052, il est prévu un coulisseau auxiliaire 2054 glissant sür les goujons 2053 et adjacents à ces tiges de barres motrices.
Chacun des coulisseaux comprend une fente verticale 2055 coopérant avec un téton 2056 porté par la tige de la barre cor respondante 2051 ou 2052, et ces coulisseaux sont maintenus en position supérieure par un ressort 2057 tendu entre le coulisseau et un goujon 2061 porté par lui verrou 2058 pivo tant en 2059 sur le bâti. Dans chacun des cas, le verrou 2058 peut coopérer avec une encoche 2060 pratiquée sur le bord du coulisseau pour maintenir celui-ci en position inférieure cha que fois que la barre correspondante est uti lisée.
De ce fait, chaque fois que l'une des barres 2051 ou 2052 est abaissée, le coulis- seau. correspondant est entraîné vers le bas pour être retenu par le verrou 2058, alors que la barre elle-même revient en position nor male sous l'action d'un ressort de rappel 2062.
Chaque coulisseau 2054 présente une équerre 2063 en contact avec un épaulement prévu sur une bielle 2064. De même, la barre motrice principale 2050 présente une équerre 2065 en contact avec un autre épaulement de cette bielle. Celle-ci est portée par une paire de leviers coudés 2066 pivotant en 2067 sur le bâti. La bielle 2064 est articulée à chacune de ses extrémités amx branches horizontales des leviers coudés, alors que leurs autres branches sont reliées par une bielle 2068 qui se déplace ainsi parallèlement par rapport à la bielle 2064.
La bielle 2064 porte un goujon 2070 sur lequel pivote un bras de pression 2071 muni d'un doigt 2072 en prise avec un goujon prévu sur la bielle 2064, sous l'action d'un ressort 2073. Ce bras de pression 2071 présente une équerre 2074 (voir aussi fig. 30) placée au- dessus de l'extrémité de gauche d'un levier 2075 pivotant sur un goujon 2076 fixé à une plaque de bâti auxiliaire 2083 (fig. 28), ce le vier étant sollicité dans le sens dextrorsum sous l'action d'un ressort 2077.
Le levier porte un goujon carré 2078 coopérant avec une en coche 2079 pratiquée dans la partie inférieure d'un coulisseau 2080 qui commande l'em brayage. Ce coulisseau peut se déplacer hori zontalement sur des goujons 2081 et 2082 portés par la plaque auxiliaire 2083 et porte un goujon 2084 en prise avec l'extrémité su périeure d'un bras 2085 fixé sur l'arbre 282. Par conséquent, le coulisseau est constamment sollicité vers l'avant par le ressort 285, ce mouvement étant. cependant. empêché norma lement par le goujon carré 2078 qui bute con tre l'arête postérieure de l'encoche 2079.
Cha que fois que l'une des barres motrices est. en foncée, cependant, la bielle 2064 et le bras de pression 2071 sont abaissés de facon que l'équerre 2074 vienne en prise avec l'extrémité du levier 2075 et écarte le goujon carré 207â de l'encoche, permettant ainsi au eoulisseau 2080 de se déplacer vers l'avant de la machine sous l'action du ressort 285. Simultanément, le bras de déclenchement. 259 est. dégagé du doigt 260 du bras de commande de l'em brayage, de sorte que ce dernier est enclenché pour provoquer un cycle d'opérations.
Mécanisme <I>de</I> no-lt: <I>répétition,</I> Il est généralement désirable que la ma chine soit arrêtée à la fin de chaque cycle, même si la barre motrice est maintenue abaissée par l'opérateur. Il est donc prévu des organes qui permettent au goujon carré 2078 de revenir en prise avec l'encoche 2079 du coulisseau 2080 lorsque ce dernier est rap pelé vers la fin du cycle, et ce, au moyen de la came de rappel 290 (fi-. 28).
On voit, d'après la fig. 30, que l'arête antérieure du bras 2085 est en contact avec l'équerre 2074, de sorte que le bras de pression 2071 bascule dans le sens dextrorsum contre l'action du ressort 2073 lorsque le coulisseau est libéré. II s'ensuit que l'équerre 2074 est. écartée de l'extrémité du levier 2075, laissant le ressort 2077 ramener le goujon Barré 2078 en prise avec l'arête inférieure du coulisseau 2080.
Lorsque celui-ci est rappelé, vers la fin du cycle, le goujon carré 2078 s'engage à. nou veau dans l'encoche 2079 pour maintenir le bras de décleneheinent 259 en prise avec le doigt 260, même si la barre motrice est main tenue enfoncée. Lorsque celle-ci est relâchée, le bras de pression 2071 revient à sa position supérieure et le ressort 2073 ramène l'équerre 2074 au-dessiLs de l'extrémité du levier 2075, c'est-à-dire que les pièces sont ramenées en position initiale représentée en fig. 30.
Il y a lieu de prévoir un interverrouillage entre le eoulisseau 2080 commandant l'em brayage et la touche 1781 d'ouverture du eha- riot. A cet effet, il est prévu une arête de blo- eage 2016 sur le coulisseau 2080, arête qui peut venir se placer au-dessous du goujon 20-17 porté par la tige de la touche 1781 (fig. 31) lorsque le coulisseau 2080 se dé place vers l'avant de la machine, ce qui em- 1)êche l'enfoncement.
de cette dernière pell- dant l'opération. Réciproquement, lorsque la touche 1781. est enfoncée, le coulisseau 2080 est bloqué et un cycle d'opérations ne peut pas être déclenché jusqu'à ce que la touche soit rappelée. Verrouillage <I>du dispositif</I> d'introduction. <I>des</I> documents.
Le support. 167-1 (fig. 2) ainsi qu'un sup port 924 (fig. 24) supportent un arbre<B>2115</B> servant au verrouillage du dispositif d'intro duction ou de trémie dit chariot. Sur cet. arbre est. fixé un bras 2116 (fig. 26) qui est en con tact avec le galet inférieur porté par le levier 1769.
L'arbre 2115 porte à son autre extré mité un bras 2117 (fig. 24 et 27) sollicité par iin ressort. 2118 dans le sens sellestrorsum. Près du bras 2117, un bras de verrouillage f119 est monté fou sur l'arbre 2115 et un res sort 2121 tend à le pousser en contact avec <B>1111</B> goujon 2120 porté par le bras 21.17.
Lors que le chariot est fermé, les pièces occupent les positions représentées en fig. 26 et 27, tandis que lorsqu'il est ouvert, le bras 2116 peut se déplacer dans le sens senestrorsum pour faire tourner l'arbre 2115 et amener le bras 2119 â la position représentée en traits mixtes en fig. 27. Dans cette position, le bras se trouve au-dessous du levier 278 et em- pêche le bras de déclenchement 259 (fig. 30) de s'écarter du doigt \?60, ce qui empêche l'en clenchement de l'embrayage principal.
Si, à ce moment, on actionne l'une quelconque des barres motrices (le bras de verrouillage 2119 étant dans la position en traits mixtes), le goujon carré 2078 (fig. 30) se dégage de l'en coche prévue dans le coulisseau 2080, permet tant à ce dernier de se déplacer légèrement vers la gauche sous l'action du ressort 285. A ce moment toutefois, le levier 278 est en prise avec l'extrémité du bras de verrouillage :3119 et le coulisseau ne peut pas se déplacer plais avant.
Lorsqu'on ferme la trémie de cha riot, le bras 2119 reste en position de blocage au-dessous chi levier 278, le ressort 2121 se tendant, lorsque le bras 2117 revient à la po sition de fig. 27. Cette condition crée un ver rouillage de la machine tant que le coulisseau 2080 est déplacé, mais le bras de déclenche ment 259 ne peut pas libérer le doigt 260, puisque l'extrémité postérieure du levier 278 est maintenue par le bras 2119. Pour parer à cet inconvénient, l'opérateur peut utiliser une touche de rappel 2122 (fig. 31) prévue à droite du clavier et qui porte un goujon 2123 en prise avec une partie fourchue d'un bras 2124 pivotant en 2125.
Le bras 2121 pré sente un épaulement 2126 pouvant coopérer avec un bec 2127 prévu à l'extrémité supé rieure du levier 281. De cette manière, lorsque la touche de rappel 2122 est enfoncée, le le vier 281 est basculé légèrement dans le sens dextrorsum, ce qui a pour effet de . soulever l'autre extrémité. du levier 278 suffisamment pour libérer le bras de verrouillage 2119, le quel, sous la tension du ressort, peut se dé placer dans le sens dextrorsum. Simultané ment, le bras 2085 est déplacé vers l'arrière de la machine (fi-. 30) pour rappeler le cou- lisseau 2080 et ramener le goujon carré 2078 dans l'encoche 2079.
Si, à ce moment, l'opéra teur enfonce l'une des barres motrices, le cou- lisseau 2080 est libéré et se déplace sur toute sa course vers l'avant de la machine, puisque le bras de verrouillage 2119 n'est plus dans sa position d'arrêt.
Il y a lieu de noter également en fig. 31 que le bras 2124 présente un mitre épaule ment 2128 au-dessous duquel le bec 2127 est amené lorsque l'embrayage est enclenché. La touche de rappel 2122 se trouve donc ver rouillée pendant l'opération. En se référant à la fig. 4, on voit que la machine est équipée d'une machine à écrire avec mécanisme correspondant, lequel est dé crit complètement dans le brevet N 281791.
Le mécanisme d'introduction par trémie est aménagé de manière à, empêcher le fonc tionnement de l'une quelconque des touches de machine à écrire lorsque la trémie est ouverte. C'est ce mécanisme qui est décrit dans ce qui suit, tandis que la machine à écrire n'est indiquée que succinctement.
Les touches 444 de la machine à écrire sont fixées à des leviers de touche 451, 452 pi votant sur des tiges 453, 454. Chaque levier passe dans tune série d'ouvertures pratiquées dans le peigne d'une entretoise 435, et l'extré mité antérieure du levier émerge par des fentes 460 prévues dans une plaque de gui dage 439.
Une plaque plane 579 tourillonne en<B>581</B> sur les bâtis. latéraux de la machine à écrire. Sur le tourillon de gauche 581 est disposé un bras 582 muni, à son extrémité, d'un goujon 583 engagé dans une fente 584 pratiquée à l'extrémité d'une bielle 585 pivotant en 586. Le goujon 583 est sollicité vers l'arrière de la fente 584 sous l'action d'un ressort<B>587.</B> Interve-rrouillage entre <I>les</I> torcches <I>de</I> machine <I>à écrire, la trémie du chariot et le mécanisme</I> <I>de</I> déclenchement.
L'arbre de verrouillage 2115 porte égale ment un bras 2129 (fig. 26), dont tin goujon 2130 est en prise avec une fente pratiquée dans une bielle 2131. Normalement, le goujon 2130 est en contact avec l'extrémité de gau che de la fente sous l'action d'un ressort 2132. L'autre extrémité de la, bielle 2131 (fig. 24) est articulée à un bras 2133 pivotant sur un goujon 2134 fixé au flasque latéral de la. ma chine à écrire. Un prolongement 2135, soli daire du bras 2133, porte un goujon 2136 (fig. 4) disposé au-dessous d'tin bras 2137 fixé à la. tige 581 de la plaquette 579.
Le gou jon 2136 tend à être soulevé sous l'action d'1-in ressort 2147 (fig. 24), mais ce dernier est plus faible que le ressort 2132 qui main tient le goujon 2136 dans sa position inférieure représentée en fi-. 4, lorsque le chariot est fermé. Si l'on ouvre le chariot, le bras 2116 est déplacé dans le sens senestrorsum (fig. 26) sous l'action du ressort 2147, et le goujon 2136 soulève le bras 2137 de manière à amener la plaquette 579 au-dessous des touches de ma chine à écrire et empêcher qne celles-ci soient. utilisées lorsque le chariot est. en position ouverte.
Commande <I>des fonctions</I> au proyen <I>des</I> barres motrices.
En plus de leur rôle de déclencher un cycle d'opérations, les barres motrices rem plissent également celui de commander cer taines fonctions de la machine dont, la flexi bilité et l'automaticité se trouvent ainsi augmentées. Le mécanisme prévu à cet etfet (fig. 24, 33 et 34) comprend une glissière de commande 2183 qui vient en quelque sorte tâter les barres motrices et est elle-même sous l'influence d'un mécanisme sensible qui commande les fonctions de la machine.
La fig. 33 montre la glissière 2183 qui com prend des fentes oblongues qui lui permettent de se déplacer librement, sur des goujons 2081 et 2082. Un ressort 2184 tend à, tirer la glis sière vers l'avant, mais ce mouvement est. nor malement empêché par tune tige 2185 filée à l'extrémité supérieure d'un levier 2186 pivo tant en 2187 sur une plaque. La partie infé rieure du levier 186 est reliée, par une bielle 2188,à un bras de came 2213 pivotant sur un arbre 923. Ce bras porte deux galets coopé rant avec une double came 2190, 2191 fixée sur l'arbre principal 253.
A chaque cycle d'opérations, la tige 2185 est, ainsi déplacée vers l'avant et permet à la glissière 2183 de suivre ce mouvement sous l'action du ressort. 2184.
La glissière 2183 présente un épaulement 2270 pouvant coopérer avec un doigt sensi ble .'3271 formant l'extrémité d'un levier sen sible 2272 pivotant. sur un goujon _208. Ce levier est également commandé par le goujon 2211 monté sur le bras de came 2213. Le levier sensible 2272 est relié, par sa partie posté rieure, à la corde à piano 1788 qui, on l'a vu, agit sur l'arbre 1673 commandant l'ouverture du chariot., comme cela a été décrit en regard des<B>fi-. 5</B> et<B>6.</B>
La glissière 2183 présente trois épaule ments 2273, 2274 et 2275 pouvant coopérer avec les équerres 2063 et 2065 des barres mo t riees. Comme on le voit ici, l'enfoncement de la barre de saut 2051 ou de la barre verticale 2052 amène les équerres 2063 au-devant des épaulements 2273 et 2275, bloquant ainsi la .1 issière 2183. De ce fait, le doigt sensible 2271 ne peut. pas s'abaisser et l'ouverture du chariot ne se produit pas.
Si l'on enfonce la barre principale 2050, son équerre 2065 vient se placer au-devant de l'épaulement 2274, lorsque la barre est enfoncée à. sa deuxième position de retenue. La glissière est également bloquée et dans ce cas encore il n'y a pas d'ouverture du chariot.
Par contre, si la barre principale 2050 n'est enfoncée qu'à sa pre- niière position de toucher, l'épaulement 2274 vient se placer sous l'équerre et la glissière petit se déplacer d'un pas, amenant l'épaule ment 2270 au-dessous du doigt 2271 qui peut alors fonctionner et provoquer l'ouverture du chariot.
illéeanisme <I>de</I> sélection,.
Les fonctions de la machine peuvent âtre commandées par le chariot, qui comprend un mécanisme sensible qui vient en quelque sorte Miter des plaques de commande 1405 portées par les tabulateurs 1374, lorsque le chariot est déplacé dans une de ses différentes posi tions. Ce mécanisme est décrit en détail dans le brevet suisse N 292457. Comme le mon trent les fig. 15 et 16, ce mécanisme consiste en des doigts sensibles comprenant à leur par tie supérieure une tête sensible 1889, et ces doigts peuvent prendre des formes diffé rentes, comme indiqué par les références 1890 et 1892.
Ces doigts sensibles sont tous guidés à leur partie supérieure par des ouvertures pratiquées dans une plaque de guidage 1894. A leur extrémité inférieure, les doigts sensi bles sont articulés à une série de leviers qui sont, ainsi commandés par les têtes sensibles 1889 lorsque ces dernières coopèrent avec les plaques 1405. Ainsi, chaque doigt sensible 1890 est articulé à l'extrémité de droite d'un levier 1901 et ces leviers sont montés sur des gou jons 1902 et 1903 disposés sur une plaque de bâti. Chaque levier est sollicité, dans le sens senestrorsum, par un ressort 1906, de manière à maintenir les doigts sensibles en prise avec les plaques de commande 1405.
Près de son extrémité de gauche, chaque levier 1901 coin- prend-une paire de doigts de guidage<B>1907</B> et 1908, coopérant avec des goujons rainurés <B>1909</B> et une plaque de guidage 1910 respecti- v einent, pour guider le mouvement vertical des leviers. Au-dessous d'une arête 1911 for mée sur chaque levier 1901 est disposé un cou- lisseau 1912 qui peut coulisser verticalement.
Lorsque l'arbre principal 253 tourne dans le sens senestrorsum, le ressort 1906 abaisse le coulisseau 1912, ce qui a pour effet de sou lever les têtes sensibles 1889 pour venir sur le trajet des parties inférieures des plaques de commande 1405. Comme le montre la fig. 15, chacune des plaques 1405 présente deux épaulements dont l'un coopère avec la rangée de gauche des têtes :sensibles 1889 et l'autre avec la rangée de droite.
Chacun des épaulements peut être découpé à quatre hau teurs différentes, la position O, indiquée en fig. 15, correspondant à l'absence de la pla que, la position A, à l'addition pour laquelle les doigts sensibles sont arrêtés après leur course complète, la position S de soustrac tion correspondant à une course intermé diaire- des doigts sensibles et enfin la po sition T de total pour laquelle les doigts sensibles ne se déplacent que sur une faible distance.
Les têtes sensibles 1889 des doigts sensibles sont ramenées à leur position inférieure, représentée en fig. 15, vers la fin du cycle de la machine. Le coulisseau 1912 présente, près de son bord supérieur, une en coche en prise avec l'extrémité arrondie d'un levier 1927 (fig. 15) pivotant en 1919 sur une plaque 1904. L'autre extrémité de ce levier comprend un goujon 1928 coopérant avec une lumière pratiquée dans l'un des bras latéraux 1930 d'un étrier 1929.
Les bras latéraux 1930 pivotent en 1931 sur la plaque 1904, et l'étrier-1929 est disposé au-dessus d'une série de languettes 1932 solidaires des doigts sen sibles 1892 pour assurer la commande des têtes sensibles 1889 correspondantes. On voit donc que, lorsque le coulisseau 1913 est abaissé, l'étrier 1929 est soulevé, ce qui a pour résultat de mettre les doigts sensibles en prise avec les plaques de commande 1405. Comme le montre la fig. 16, le doigt 1892 est articulé à un bras 1933 pivotant sur un goujon 1934 de la plaque 1904.
Sur ce goujon pivote éga lement un autre bras 1935 muni d'un goujon 1936 placé sous un prolongement du bras 1933. Une bielle 2269 est articulée à l'extré mité du bras 1935. Le contact entre les bras est assuré au moyen d'un ressort. 1937 tendu entre les deux bras. Cet ensemble est sollicité dans le sens dextrorsum au moyen d'un res sort 1938, de sorte que le doigt 1892 est sou levé et la languette 1932 est en contact avec l'étrier 1929. Le bras 1935 est relié au méca- nisme d'introduction par l'avant qu'il com inande et qui est décrit dans ce qui suit.
La glissière 2183 (fig. 33) comprend un épaulement 2276 coopérant avec un doigt sen sible 2277 prévu sur un levier 2278 pivotant en 2240. L'autre extrémité du levier est re liée, par une bielle 2279, à la bielle 2969 (voir également fig. 16 et 24). Comme le montre la fig. 33, lorsqu'un bossage Z' (total) est en po sition active, le doigt sensible 2'177 vient en contact avec l'épaulement 2276 et empêche le déplacement vers l'avant de la glissière, ainsi Que l'ouverture du chariot.
Si, par contre, c'est un bossage A (addition) ou S (soustrac tion) qui est actif, le bras d'arrêt est soulevé au-dessus de l'épaulement et la glissière peut se déplacer pour amener l'épaulement 2270 (fig. 34) au-dessous du doigt 2271, permet tant ainsi l'ouverture du chariot. S'il. n'y a pas de bossage pour .limiter le soulèvement de la tête sensible 1889, le levier de commande 2278 pivote sur toute sa course pour amener une languette 2280 du levier directement de vant un épaulement 2281 de la glissière 2183 qui se trouve ainsi bloquée pour empêcher l'ouverture du chariot.
Si, pour un système comptable particulier, on désire que le mécanisme dactionnement de la trémie fonctionne lorsque le chariot est dans une position de colonne dans laquelle se trouve une plaque de commande 1105 de Lon gueur T, le fonctionnement a lieu par l'en foncement. de la touche 1781.
D'autre part, si l'on doit effectuer une série d'enregistrements additifs ou soustractifs dans la colonne où se trouve une plaque 1-105 d'addition ou de soustraction, et s'il est dési rable due la trémie s'ouvre à chaque enregis trement, l'opérateur peut. actionner la barre motrice principale 2050 qui déclenche la ma chine, mais en maintenant cette barre en foncée. De ce fait, le coulisseau 21a3 est re tenu et ne peut être déplacé, comme on l'a expliqué plus haut.
Si un bossage A ou S est actif, le niéca- nisme d'ouverture du chariot est lui-même en position active. Si enfin un bossage T est. en position active, l'ouverture du chariot est bloquée.
Levier <I>de commande des</I> barres motrices. La commande du chariot au moyen de di verses barres motrices peut être modifiée par l'opérateur au moyen d'uii levier spécial 2282 (fig. 1 et 33), dit de commande des barres motrices. Ce levier est monté pivotant sur un goujon 2283 (fig. 28) fixé à la plaque auxiliaire 2083; il est. muni clé trois Brans 2281 pouvant être en prise, sous l'action d'un ressort 2287, avec un goujon 2255 porté à l'extrémité d'un levier 2236.
Le levier 2282 peut occuper ainsi trois positions auxquelles correspondent également trois positions d'unie équerre<B>2288.</B> Ces positions sont désignées par 1, 2, 3 en fig. 2, chiffres qui sont également inscrits sur la plaque 207 de clavier (fi,-. 1).
Lorsque le levier est dans la position N 1, l'équerre 22$8 se trouve au-dessus de la glis sière 2183 et n'empêche pas son déplacement. Lorsqu'il est amené à. la position<B>N-22,</B> la glis sière 2183 d'ouverture du chariot est. par contre bloquée par l'équerre 2288, et le méca nisme d'ouverture du chariot n'est pas actionné lorsque la barre motrice principale 2050 est effleurée à sa position de toucher. Si, enfin, le levier est amené à. sa position N 3, la commande exercée sur la. glissière est la même que pour la position N 2, cette posi tion étant utilisée pour la commande d'autres mécanismes non visés par la présente inven tion.
Ruban bicolore.
Comme représentée à la fig. 1, la machine comprend un seul ruban encreur 2600 pour la machine comptable et pour la machine à éerire, ruban qui est placé entre les caractères imprimants et le document passé autour du eYlindre. En principe, le ruban est bicolore, la partie supérieure étant imprégnée d'encre noire et la partie inférieure d'encre rouge. Des dispositifs sont prévus pour soulever le ruban lorsqu'on veut imprimer en rouge.
Le ruban est également maintenu norma lement. écarté du cylindre, de manière à faci liter la lecture des indications imprimées et est amené en position d'impression au mo ment de l'opération. Le ruban s'étend trans- versalernent sur la largeur de la machine et est enroulé sur des bobines usuelles logées dans des boîtes 2601. Le mécanisme de ruban est représenté plus en détail aux fig.18 à 21.
Le ruban est supporté par une paire de guides 2602 portés par des bras 2603 (fig. 19) munis chacun d'une fente oblongue 2604 co opérant avec un goujon 2599 porté par les plaques latérales du groupe d'impression, tandis que les extrémités inférieures de ces bras sont guidées par des goujons 2605 qui co opèrent avec des fentes incurvées \3606 prati quées dans lesdites plaques latérales.
Chacun clés goujons 2605 est également. en prise avec un bras 2607 fixé silr un arbre 2608 porté par les parois du groupe d'impression, et cet arbre porte, d'autre part, -Lui bras d'entraînement 2609 qu'un ressort 2610 tend à. faire basculer clans le sens dextrorsiml. Ce mouvement est cependant empêché normalement par un gou jon 2611 porté par un étrier 964 et qui est cn contact avec l'arête incurvée du bras 2609.
Lorsque l'étrier est déplacé vers l'arrière de la machine, le goujon 2611 s'écarte du bras '3609 qui peut pivoter dans le sens dextror- sum pour faire basculer l'arbre 2608 et sou lever les bras 2603 et le ruban encreur. Lors- que l'étrier revient en position initiale (fig. 19), le goujon 2611 vient toucher l'arête du bras d'entraînement qui se trouve ramené en position initiale, de même que le ruban à la position inférieure éloignée du cylindre 539.
La partie inférieure de la fente 2606 est découpée sous un certain angle pour permet tre aux extrémités supérieures des bras 2603 de pivoter vers le cylindre au moment. où ils sont soulevés, ce qui amène le ruban en po sition d'impression par le secteur imprimant 912. La partie supérieure de la fente 2606 est pratiquement verticale, de sorte que, lorsque le goujon 2605 se trouve dans cette partie, le bras 2603 est soulevé sans .autre mouvement de pivotement, pour amener la partie infé rieure rouge du ruban dans le champ d'im pression.
Il dépend donc de ce que le goujon 2605 soit arrêté avant de pénétrer dans la partie supérieure de la fente ou soit libre de péné trer dans cette partie, pour que l'impression se fasse en noir ou en rouge. Ces conditions sont déterminées par un bras 2612 (fig. 21) muni d'un crochet 2613 pouvant venir en prise avec une dent 2614 du bras d'entraîne ment 2609. Le bras 2612 est goupillé sur un arbre 2615 qui porte un autre bras 2616 arti culé en 2617 à un levier 2618 pivotant en 2619. Ce levier 2618 est relié, par une bielle 2620, à un bras 2621 fixé à un arbre 2622.
Celui-ci porte un étrier 2623 pouvant co opérer avec des languettes 262.1 pratiquées à la partie inférieure d'une glissière 1127 du totalisateur X, comme décrit clans le brevet N 281791.
Un coulisseau 1153 (fig. 17) est supporté par un goujon 1152 et une tige 1154 disposée entre les parties latérales du support 641. Ce coulisseau présente un prolongement posté rieur 1155 en contact avec -un goujon 1156 porté par un bras 1157 pivotant librement sur un arbre 802. Le bras 1157 est muni, à sa partie inférieure, d'un galet 1158 coopérant avec la périphérie d'une came 1159 fixée sur l'arbre principal 253.
Le coulisseau 1153 est- sollicité vers l'ar rière de la machine par des ressorts 1162 re- liés à des étriers 1119 qui peuvent éLre com mandés, pour certains genres d'opérations, par les touches de commande, ainsi qu'on l'a dé crit dans le brevet N 281791, soit pour per mettre, soit pour empêcher le mouvement du coulisseau 1153. Lorsque ce dernier se dé place vers l'arrière, le prolongement 1155 vient en contact avec le goujon 1156 du bras 1157. Il en résulte que, lorsque la came 1159 tourne dans le sens de la flèche (fig. 17), la partie inférieure de la came se déplace vers l'arrière de la machine sous l'action des res sorts 1162.
Le coulisseau 1153 est alors solli cité vers l'avant et maintient le prolongement 1155 en contact avec le goujon 1156. Lorsque la came 1159 tourne dans le sens de la flèche de fig. 17, la partie de faible diamètre de la came a pour effet de faire tourner le bras 1.157 et. de déplacer le coulisseau 1153 vers l'arrière de la machine sous l'action des res sorts<B>1162.</B>
Lorsque le coulisseau 1153 est libéré pen dant le cycle, l'étrier 2623 peut se soulever sous l'action d'un. ressort 2645 lorsqu'il ren contre une languette 2624 (fig. 21). Lorsque aucune languette n'empêche son mouvement, l'étrier est. soulevé et, par la chaîne mécanique décrite ci-dessus, le crochet. 2613 vient sur le trajet de la dent 2614, empêchant ainsi le goujon 2605 de passer dans la partie supé rieure de la fente 2606. Il en résulte que la partie noire du ruban est présentée aux ca ractères d'impression.
Si, au contraire, une languette 2624 est placée au-dessus de l'étrier 2623, ce dernier ne peut se soulever et le bras 2609 peut pivoter sur toute sa course et sou lever le ruban pour amener la partie rouge en position d'impression. Dans les opérations de soustraction d'un des totalisateurs de la machine, le montant est automatiquement im primé en rouge, et aussi dans les opérations de renversement de solde, dans lesquelles intervient un totalisateur.
X, le montant est imprimé également en rouge. Etant donné que le totalisateur X peut aussi être utilisé pour accumuler des montants sous la com mande des tabulateurs, et que l'on peut en extraire un total ou un sous-total, on voit que ces deux opérations sont. imprimées en rouge du fait de la présence d'une languette 2621. On voit, par conséquent, qu'on peut prévoir une languette 2621 pour toute position de la glissière de ce totalisateur X pour toute transaction que l'on désire imprimer en rouge.
Le ruban encreur 2600 est supporté, dans la partie machine à écrire, par un guide 2627 monté sur une tige 2628 (fig. 18) solidaire d'un bras 2629. Ce dernier pivote en 2630 sur une plaque 2631 dont la partie posté rieure est fixée à un arbre 2632 supporté par des plaques latérales 2633 (fig. 21). Le bras 2629 présente à sa partie intérieure un gou jon 263-1 en prise avec -Lui levier 2635 pivo tant sur une tige 521.
Ce levier 2635 tend à tourner clans le sens dextrorsuin sous l'ac tion d'ut? ressort 1305, ten1u entre le levier et un goujon d'une bielle 1306, articulée à une barre universelle qui se déplace lorsque aucune touche 111 (fig. 1) n'est enfoncée. Par conséquent, lorsqu'une touche -111 de ma chine à écrire est enfoncée, la barre univer selle est déplacée vers le bas et le levier 2635 bascule dans le sens senestrorsum pour amener 1e guide 2627 vers le cylindre.
Une fois que le guide a été convenablement arrêté, la conti nuation du mouvement de la barre universelle a pour effet de tendre un ressort 2637 disposé entre la bielle 1306 et le levier universel 1304, et le goujon 1307 se déplace dans la partie arrière de la fente prévue dans ce levier. Lorsque la barre universelle est relâchée, le ressort. 2637 ramène le goujon l307 dans la partie antérieure de la fente, après quoi le levier 2635 bascule dans le sens dext-rorsum pour ramener le guide 2627 du ruban 2600 en position de fig. 18.
Le but de la connexion 1307 sous forme d'une boutonnière est de per mettre au guide de se déplacer très rapide ment en position d'impression, après quoi elle reste au repos, tandis que la barre univer selle continue son mouvement vers le bas, et d'assurer que le ruban soit en position d'im pression avant que les caractères viennept le frapper.
L'impression en noir ou en rouge, tant pour la machine comptable que pour la ma- chine à écrire, peut être commandée au moyen d'un levier manuel 2638 (fig. 21) pivotant en '6:39 sur le bâti. Ce levier peut occuper trois positions marquées sur le clavier de la ma- ehine comptable, par exemple position nor male<I>(NI,),</I> rouge<I>(SR)</I> et rappel (R). Ce levier 2638 est relié, par une bielle 2640, à unie plaquette 2641 munie d'encoches pivotant en 2642.
On a prévu trois encoches qui per mettent, grâce à un galet 2643 porté par Lin curseur 2644, de fixer les trois positions. Le galet 2643 est maintenu en contact avec les encoches sous l'action d'un ressort 2650 (fiv. 18) agissant sur le curseur 2644 dont la partie postérieure est en prise avec un goujon 2651 porté par un bras 2652 fixé sur l'arbre 2632 mentionné plus haut. Le goujon 26#_Î1 est maintenu en prise avec le curseur sous l'action d'un ressort 2653.
On voit, par ce qui précède, que lorsque le levier 2638 est déplacé de sa position normale NL à la posi tion rouge SR ou à la position de rappel R, les bossages de la plaquette 2641 ont tendance à tirer le curseur 2644 vers l'avant contre l'action du ressort. 2650. Le bras 2652 (fig. 21) est, par conséquent, basculé dans le sens dextrorsum ainsi que l'arbre 2632, ce qui a pour effet de soulever le guide du ruban du côté de la machine à écrire et de provoquer l'impression en rouge.
Lorsque le guide et le bras 2629 sont ainsi soulevés, le goujon 2634 est à son tour amené dans la partie supérieure du levier 2635 sans se dégager d'ailleurs de ce levier, de sorte que la liaison entre la barre universelle et le ruban n'est pas affectée par ce mouvement.
Les guides 2602 du ruban, côté machine comptable, peuvent également être com- inandés pour impression en rouge lorsque le levier 2638 est amené dans les positions SR ou R. Une petite manette 2655 (fig. 18) pi vote sur un goujon 2654 et comprend un -ou jon 2656 relié, par un ressort. 2657, au gou- Y ;i 2654.
Le goujon 2656 peut coopérer avec deux encoches pratiquées à la partie infé rieure du curseur 2644 et correspondant aux deux positions: normale (NL) et noire (BL). Une équerre 2658 prévue à l'extrémité infé- rieure de la manette 2655 peut coopérer avec un talon 2659 d'un bras 2660 fixé sur l'arbre 2615. Ainsi, lorsque la manette est en posi tion normale et lorsque le curseur est dé placé vers l'avant, l'équerre est amenée au= dessus du talon 2659 pour bloquer le mouve ment. de l'arbre 2615. De cette manière, le crochet 2613 (fig. 21) ne peut parvenir sur le trajet, du bras 2609, ce qui correspond à. la position d'impression en rouge.
Si cette ma nette 2655 est à la position BL ou noire, l'équerre 2668 n'est pas amenée au-dessus du talon 2659 lorsque le curseur se déplace, laissant ainsi le libre mouvement de l'arbre 2615. Dans ce cas, le crochet 2613 retient le bras 2609, ce qui correspond à la position d'impression en noir. , Lorsque le levier manuel 2638 (fig. 21) est déplacé à la position de rappel R, la pla quette 2641 bascule dans le sens dextrorsum, ce qui a pour effet d'abaisser un crochet 2661 qui vient en prise avec une dent 2662 prévue sur un bras 917. De cette manière, lorsque ce dernier est ramené dans la position de repos dans la deuxième moitié du cycle, la dent.
2662 vient buter contre le crochet 2661 pour rappeler la plaquette 2641 et le levier manuel à leur position de repos de fig. 21. Lorsque le levier 2638 est amené à la, position rouge SR toutefois, le crochet 2661 est soulevé hors du trajet de la dent 2662 et le levier reste à cette position jusqu'à ce qu'il soit ramené manuelle ment par l'opérateur.
Pour éviter toute interférence entre le guide 2627 du ruban de la machine à écrire et de la trémie 1829 (fig. 7 et 9) lorsque le chariot est ouvert, on a dû prévoir des dispo sitifs pour rappeler le guide 2627 à la posi tion d'impression en noir, lorsque la trémie est ouverte. Comme on le voit en fig. 11, le bras 1800 porte un excentrique 2663 qui, lors que le chariot est ouvert, vient en prisse avec un doigt 2664 fixé à un manchon 2665 (-voir aussi fig. 18) monté rotatif sur un goujon 2666 porté par le support 348.
Le manchon porte un autre bras 2667 articulé à un cou- lisseau 2668 pénétrant dans une perforation pratiquée dans le bord supérieur du rail 217. Ce coulisseau présente une ouverture 2669 coopérant avec un doigt 2670 (fig. 1S) fixé à l'arbre 2632. Par conséquent, lorsque le eha- riot est ouvert, l'excentrique vient en prise avec le doigt 2664 pour déplacer le coulisseau 2668 vers l'arrière et faire pivoter l'arbre 2632 qui, on l'a vu, rappelle le guide 2627 du ruban 2600 à sa position inférieure corres pondant au noir.
Ainsi, lorsque le chariot est ouvert, le guide est abaissé et n'a pas tendance à frotter contre la trémie 7.829. Lorsque celle-ci est fermée, l'excentrique est écarté du doigt 2664, ce qui permet au ressort<B>2653</B> de ramener le guide 2627 à la position supérieure correspondant. au rouge.
llécanïsme d'avancemeri.t du. ruba.rz. Des dispositifs sont prévus pour l'avance ment du ruban à chaque opération de la ma chine comptable et à chaque frappe de la ma chine à. écrire.
On voit en fig. 23 qu'un -011- ion 267129 porté par un bras d'impression \967 est en prise avec une fente 2673 d'une biel- lette 2674 articulée, d'autre part, à un bras 2675 goupillé sur un arbre 2676 d'avancement du ruban. Egalement articulée au bras 2675 se trouve une bielle 2677 reliée à un bras 2678, monté sur un manchon, et pivotant en 2679. Le manchon porte, d'autre part, une fourchette 2680 dont la partie supérieure est en prise avec une goupille 2681 portée par le mécanisme d'avancement du ruban de type connu qui, on le sait, fait avancer pas à pas les bobines du ruban.
Par conséquent, chaque fois que le bras d'impression 967 est animé d'un mouvement de va-et-vient, la fourchette 2680 bascule pour faire avancer le rochet de la bobine et, par conséquent, déplacer le ru ban sur une certaine distance.
Un dispositif analogue est prévu pour l'autre bobine. Comme représenté en fig. 22, un levier coudé 2683 est fixé sur l'autre extré mité de l'arbre 2676 et est relié par une biel- lette 2684 à un bras 2685 commandant à son tour une fourchette 2687 actionnant l'autre mécanisme à rochet. On sait qu'avec ces dis positifs connus, le mécanisme d'avancement des bobines fonctionne dans les directions opposées et que lorsqu'une bobine est. active, l'autre est débrayée et réciproquement.
Le levier coudé 2683 (fi-. 22) porte un goujon 2690 en prise avec un bras 428 qui se termine à, sa partie inférieure par un goujon 427 qui actionne l'interrupteur à retardement. De cette manière, chaque fois que l'arbre 2676 tourne pendant le fonctionnement de la ma chine, le bras 428 fonctionne pour provoquer le retour du mécanisme à temps de l'interrup- teur au repos.
Si l'on se réfère à la fig. 20, on voit. que le levier universel 1304, qui oseille chaque fois que la machine à écrire fonctionne, est relié, par une bielle 2691,à un levier 2692 dont: un doigt 2693 est, placé au-dessus d'une plaquette 2694 fixée sur l'arbre 2676. Ainsi, chaque fois que le levier universel oseille, l'arbre de ruban 2676 tourne de même pour provoquer l'avancement pas à pas du ruban. La fente 2673 (fi,. 23) prévue dans la biellette 2674 est nécessaire pour permettre à l'arbre 2676 d'opérer indépendamment du bras d1in1- pression 967.
On voit, par conséquent., qu'à chaque opération d'une touche de machine à écrire. le ruban avance d'un pas.