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La présente invention concerne la construction de murs, plafonds et surfaces analogues du type dit "suspendu", où une surface plâtrée appliquée sur des plaques de plâtre ou autres éléments de surface semblables préfabriqués fixés à des voliges, est suspendue ou supportée à une certaine distance du mur, du toit ou d'une autre construction de support que cette surface doit couvrir et dissimuler. L'invention est également applicable à la construction de cloisons.
La présente invention a pour but de procurer une construc-. tion simple et peu coûteuse qui permette la mise en place rapide et aisée d'une sur'face suspendue qui soit pratiquement incombustible
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et thermiquement isolante et pratiquement exempte des tensions qui peuvent se produire par,suite de petits déplacements relatifs de la surface et de sa construction de support, dus par exemple à des variations de température, des affaissements,, etc., et qui évite ainsi une fissuration de la surface que ces tensions provoquent habituellement.
La construction de murs ou de plafonds suivant l'invention est caractérisée par le fait que les voliges sont des barres métalliques plates présentant leur tranche aux éléments de surface, et ces derniers y sont fixés au moyen de selles à pattes qui sont placées sur les voliges et engagent les bords des éléments de sur- face, après quoi la surface exposée de ces éléments est de préfé- rence revêtue d'une couche de plâtre ou de matière analogue, qui dissimule et noie les selles et remplit l'espace séparant des bords adjacents des éléments de surface.
Lorsqu'on applique l'invention à un plafond, ou pour couvrir la surface d'un mur existant, suivant une construction, on utilise des selles coudées en U, dont le coude correspond à l'épaisseur des voliges tandis que la longueur des branches reliées par le coude est approximativement égale ou légèrement supérieure à la largeur des voliges plus l'épaisseur des éléments de surface, et les extrémités de ces branches se ter- minent par des pattes pliées vers l'extérieur de manière que l'on puisse suspendre les éléments de surface aux voliges en montant les selles sur les voliges, les bords des éléments de surface étant pris par les pattes des selles.
L'invention prévoit également des selles en U de forme nouvelle dont les branches sont pliées et écartées l'une de l'autre localement de façon à former chacune un épaulement en saillie vers l'extérieur, ces épaulements se trouvant à une certaine distance au-dessus des extrémités à pattes pliées vers l'extérieur, de façon à permettre d'engager le bord d'éléments de surface dans les évidements formés entre les pattes des extrémités et les épaule- ments des branches, à l'effet de fixer ces éléments de surface à une
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distance prédéterminée de la volige portant les selles. En variante, ou en outre, les éléments de surface peuvent être calés en place par des coins insérés entre eux et les voliges.
Les voliges sont avantageusement suspendues à des pannes, des poutres de toit ou des pièces analogues à l'aide de crochets en S ou en J, et dans certains cas, il peut également être avantageux de construire une charpente en voliges fixées ensemble dans un espacement parallèle par des câbles de liaison ou des contre-fiches, avant de suspendre cette charpente aux crochet, Lorsqu'on applique l'invention à la construction d'un cloison, les éléments de surface peuvent être serrés sur les deux côtés des voliges métalliques au moyen de selles en H.
L'invention. convient particulièrement pour la construc- tion d'un plafond et d'un toit pratiquement incombustible et ther- miquement isolant, cette construction étant caractérisée en ce que les voliges sont posées transversalement sur les pannes ou pou- tres,entre lesquelles les éléments de surface du plafond sont suspendus aux voliges par des selles métalliques comme décrit plus haut, tandis que sur des feuilles de métal déployé sont posées sur les voliges formant une fondation pour un ciment résistant à la chaleur, de préférence du ciment de vermiculite, qui est à nouveau recouvert d'une matière de couverture étanche à l'eau.
Un certain nombre de formes d'exécution de l'invention sont décrites ci-après, à titre d'exemple, avec référence aux dessins annexés, dans lesquels : la Fig. 1 est une vue en élévation d'une surface d'un mur suivant l'invention, en construction; la Fig. 2 est une coupe horizontale suivant la ligne II-II de la Fig. 1; la Fig. 3 est une vue isométrique à plus grande échelle d'une selle soudée en U; la Fig. 4 est une vue en plan d'un détail de construc- tion, à plus grande échelle;
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la Fig. 5 est une coupe suivant la ligne V-V de la Fig. 4;
Les Figs. 6 et 7 sont respectivement une coupe et une vue en élévation d'un autre détail de construction; - la Fig. 8 est une vue isométrique d'autres détails de construction;
la Fig. 9 est une vue en élévation d'une cloison construi- te suivant l'invention, avant l'application de la couche de plâtre de finissage; la Fig. lo est une vue isométrique montrant des détails de la construction représentée sur la Fig. 9: la Fig. 11 est une vue isométrique d'un autre détail de construction ; la Fig. 12 est une vue isométrique montrant des détails d'une forme de plafond et de toit suivant 1-',invention; les Figs. 13 et 14 sont respectivement des vues en éléva- tion de face et de côté d'un autre détail de construction, à plus grande échelle; la Fig. 15 est une vue en bout d'une partie d'un toit et d'un plafond montrant l'application de l'invention à la construction d'un plafond comportant des parties situées dans différents plans ;
la Fig. 16 est une vue isométrique d'une autre construc- tion d'un plafond et d'un toit incombustible suivant l' invention; les Figs. 17 à 20 représentent une autre variante de construction qui est particulièrement avantageuse pour obtenir un toit pratiquement incombustible et un plafond.de grande portée et de n'importe quelle longueur désirée; la Fig. 21 est une vue en bout d'une variante de selle ; les Figs. 22 et 23 sont respectivement une vue en élévation et en plan d'un élément de liaison pour les voliges et des clavettes servant-à bloquer cet élément; et, la Fig. 24 est une vue en perspective représentant une construction qui utilise des selles et des éléments de liaison de la forme représentée sur les Figs. 21 à 23;
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la Fig. 25 représente un flan en tôle utilisé pour former une clavette représentée, sur les Figs. 22 à 24; les Figs. 26, 27 et 28 sont respectivement une coupe en élévation d'extrémité, une vue en élévation de face et une vue en plan représentant une variante de selle utilisée conjointement avec une cale en forme de coin; les figs. 29 et 30 sont respectivement une vue en plan et en élévation d'extrémité de la cale en forme de coin représentée sur les Figs. 26 à 28; les Figs. 31 et 32 sont respectivement une vue en éléva- tion et en plan d'une variante de cale en forme de coin; la Fig. 33 est une vue en perspective montrant la suspen- sion des éléments de surface à l'aide d'une selle et d'une cale représentées sur les Figs. 26 à 28;
les Figs. 34 et 35 sont respectivement une vue en éléva- tion de face et une vue en bout d'une variante de selle suivant l'invention montée sur une volige, deux selles étant représentées; les Figs. 36 et 37 sont des vues en bout semblables de deux autres variantes de selle destinées à être utiliséespar paires ; les Figs. 38, 39 et 40 sont respectivement une vue en élévation de face, une vue en bout et une vue en plan d'une autre variante de selle; les Figs. 3-le 42 et 43 sont des vues semblables d'une autre variante de selle; les Figs. 44 et 45 sont respectivement une vue en éléva- tion de face et une vue en bout d'une autre variante de selle; et, la Fig. 46 est une vue en perspective représentant deux selles suivant une autre variantemontées sur une volige.
Sur les Figs. 1 et 2 qui représentent le procédé d'appli- cation d'un revêtement de plâtreou plafonnage à. la surface d'un mur suivant l'invention, les voliges, 1, fermées par des barres métal)- liques légères avantageusement d'environ 2,5 cm de largeur et de
3 mm d'épaisseur, sont fixées entre une plaque de base 2 et une'
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poutrelle ou pièce analogue 3 près de la surface du mur 4 dans une position verticale,àdes intervalles appropriés. L'intervalle est de préférence en relation directe avec la dimension des plaques de plâtre ou plaques analogues vendues dans le commerce.Par exemple, si on dispose de plaques de deux mètres de longueur, on place avanta- eusement les voliges 1 à des intervalles d'un mètre.
Si on le désire, les voliges 1 peuvent être entretoisées localement par des tiges oudes câbles 6 qui y sont soudés. Les voliges peuvent, si on le désire, être fixées au mur 4. Des plaques de plâtre sont fabriquées dans le commerce en différentes dimensions standard, et se composent de gypse comportant un revêtement en papier fort ou en tissu,et ont normalement 1 cm d'épaisseur. Elles peuvent être avantageusement doublées d'une feuille d'aluminium,
Avant de fixer les voliges 1 en place, on y monte un certain nombre prédéterminé de selles 7 coudées en U. Ces selles sont façonnées comme le montre la Fig. 3 et dimensionnées de façon à s'ajuster sur les voliges 1, comme le montre clairement la Fig. 8.
Les coudes correspondent à l'épaisséur des voliges, tandis que les branches latérales sont légèrement plus longues que la largeur de la volige plus l'épaisseur-de¯la plaque de plâtre 8 à utiliser.
On pose les plaques de plâtre 8 en commençant au bas du mur et en remontant, de préférence suivant un ordre de fixation représenté dans le dessin, de façon que les extrémités verticales des plaques dans des rangées adjacentes soient décalées. Les selles 7 engagent les bords des plaques 8 là où elles coincident avec les voliges 1, comme montré à plus grande échelle sur les . Figs. 3 et 4., et les plaques 8 sont calées en place par de petits coins 9 (voir également la Fig. 8) insérés à des endroits appropriés ou avantageux, ces coins pouvant être avantageusement en matière thermoplastique moulée. Les bords des plaques adjacentes
8 peuvent également être serrés ensemble à des intervalles appro-
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priés par des. ferrures en H 10 (Figs. 6 et 7), ce qui rend la construction plus rigide.
Si on le désire, des selles en U (7') peuvent également -engager les bords des plaques 8 qui s'étendent transversalement aux voliges 1 et qui sont de préférence pourvus d'encoches 11 (Fig. 8) à cet effet.
Lorsque le fond formé par les plaques 8 fermement fixées aux voliges 1 est achevée, les intervalles étroits séparant les plaques sont remplis de mortier de plâtre qui durcit autour des bords adjacents des voliges 1 et des selles 7 comme l'indique la ligne pointillée 12 sur la Fig. 5. Une bande 13 de canevas (Figs.4 et 5) est posée sur les bords adjacents des plaques de plâtre 8 et une couche de parement 14 en mortier de plâtre est alors appli- quée (d'une façon bien connue) sur toute la surface exposée des plaques de plâtre de sorte que le mur présente une surface plâtrée ou plafonnée ininterrompue.
Si on le désire, l'espace séparant les plaques. de plâtre du mur 4 sur lequel'.elles sont appliquées peut être rempli d'une matiè- re acoustiquement ou thermiquement isolante (par exemple de la vermiculite exfoliée) à mesure que les rangs successifs de plaques de plâtre sont mis en place.
L'invention procure ainsi une surface plâtrée ou plafon- nage ferme qui ne se fissure pas aisément en,dépit de variations de température ou de légers déplacements (par exemple des affais- sements) du mur adjacent,
L'invention est particulièrement avantageuse pour la construction de cloisons, et les plaques de plâtre peuvent alors être fixées des deux côtés des voliges ou .bandes métalliques équi- valentes, comme le montrent les Figs. 9 à 11.
Dans ce cas, quoiqu' on puisse construire une charpente de voliges semblables'aux voli- ges 1 représentées sur la Fig. 1 entre une plaque de;base 15 et une poutrelle-supérieure 16, et fixer des plaques de plâtre des deux côtés de cette charpente à l'aide de selles métalliques en.Il comme .décrit plus haut., on peut avantageusement utiliser une
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variante de selle 17 représentée sur les Figs. 9 à 11. Les selles 17 ont pratiquement la forme d'un H et se composent de deux éléments coudés en U soudés ensemble ainsi que d'un,petit tronçon de volige 18 qui y est également soudé.
La cloison peut être construite en appliquant les plaques de plâtre 8 par paires des deux côtés d'une plaque de base convenablement dimensionnée 15 (Fig. 10) et en montant les selles 17 sur les bords des pla- ques de plâtre à des endroits appropriés de façon à maintenir les plaques fixées et espacées l'une de l'autre.. A mesure que la cloison s'élève rangée par rangée, on peut insérer dans le creux des pièces supplémentaires en matière de volige légère (avantageusement du fer feuillard) de forme irrégulière, telles qu'indiquées en 19 sur la Fig. 9, pour accroître la résistance. Le creux séparant les pla- ques 8 est de préférence rempli de matière thermiquement et/ou acoustiquement isolante telle que de la vermiculite exfoliée.
Des châssis de fenêtre ou de porte peuvent être aisément montés dans la cloison, une partie d'un châssis de porte 22 étant montrée à titre illustratif sur la Fig. 10. Après avoir appliqué la couche de plâtre de finissage ou plafonnage 20, on peut dissi- muler les bords et les protéger en les recouvrant de plinthes 21 et de moulures 22' clouées, comme le montre la Fig. 10.
Lorsque deux cloisons se rencontrent à angle droit, des attaches 23 qui ont la forme représentée à grande échelle sur la Fig. Il, peuvent avantageusement être utilisées entre chaque rangée de plaques de plâtre, fixant ainsi les cloisons fermement'l'une à l'autre.
Lorsqu'elle est appliquée à la construction d'un plafond 'suspendu, l'invention présente de grands avantages parce qu'elle peut être adaptée à toutes les conditions pratiques que l'on peut rencontrer. Un exemple est représenté sur la Fig. 12, où un toit 31 est supporté sur des pannes 24 et on désire avoir un plafond en plâtre pour dissimuler le toit et les pannes du dessous. Des cro- chets en forme de J-sont fixés aux pannes 24 à des intervalles
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appropriés et les voliges 1 sont suspendues à ces crochets. L'espa- cement des crochets est de préférence choisi de façon à être conforme à la largeur des plaques de plâtres dont on dispose., et des o.rganes d'espacement 26 peuvent, si on le désire, être fixés entre les voliges.
Il suffit de monter les selles 7 sur les voliges, de placer les plaques de plâtre 8 avec leurs bords supportés sur les pattes recourbées vers l'extérieur des selles et d'insérer les coins 9 comme on l'a déjà décrit avec référence aux Figs. 4 et 5. On achève le plafond de la même façon que les surfaces des murs décrites plus haut, en plâtrant les bords ad- jacents des plaques, en appliquant le canevas 13 et ensuite la couche de plâtre de finissage ou plafonnage 14. Il est à remar- quer que dans cette construction, il est également possible de construire la charpente de voliges sur le sol avant de la suspendre aux crochets 25.
Les crochets peuvent avoir différentes formes pour s'adapter à différentes conditions. Les Figs. 13 et 14 représentent un exemple dans -lequel un crochet en S 27 est maintenu sur un profilé 24 par un second crochet en S 28 qui y est accroché.
Il n'est pas essentiel que le plafond soit situé dans un seul plan. Au contraire, il peut aisément suivre n'importe quel profil voulu. La fig. 15 représente un exemple de toit dans lequel les voligesl sont formées de sections reliées ensemble par des pivots 32. Les sections de voliges sont maintenues dans la position voulue par uri choix approprié de la longueur des crochets de support 29 attachés aux chevrons ou poutres 30 et le plafond est achevé en suspendant des plaques de plâtre aux voliges 1, comme déjà décrit.
L'invention peut également être réalisée de façon que les voliges soient posées transversalement sur le côté supérieur des pannes de 'support ou portres Cette construction se prête d'elle-même particulierement a la construction d'un toit très léger mais incombustible et/ou thermiquement isolant, comme le
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montre là Fig. 16. Les voliges 1, convenablement esp ées les unes des autres, sont de préférence soudées aux, pannes 24 et portent les selles en U 7 qui à leur tour supportent les plaques de plâtre 8.
Là où les poutres 24 font saillie en dessous des plaques 8, elles peuvent être dissimulées par des couvre-joints
34 construits sur place ou préfabriqués, dans lesquels sont incor- porées des bandes de canevas 35, de sorte que lorsque la couche de plâtre de finissage ou plafonnage (non représentée sur la
Fig. 16) est appliquée sur le plafond, les organes 34 sont retenus en place de façon permanente. Si on utilise des pannes ou des poutres en I, les ailes visibles peuvent être dissimulées de la même façon par des couvre-joints.
Le toit' peut être achevé en fixant des tôles minces 36, de préférence du métal déployé ondulé, directement sur les voliges 1 (par exemple au moyen de fils métalliques) et en appli- quant ensuite sur le dessus des tôles une couche 37 de matière thermo-isolante telle que du ciment de vermiculite ou du plâtre.
Cette couche pénètre dans les interstices dutal déployé et, lorsqu'elle est durcie, forme un joint permanent. La matière de re- couvrement étanche à l'eau 38 peut être posée sur la matière d'iso- lation 37. La cavité remplie d'air ménagée entre les tôles 36 et les plaques de plâtre 8 sert à améliorer l'isolation thermique de la construction.
Une construction de toit quelque peu semblable est repré- sentée sur les Figs. 17 à 20. Dans cet exemple, les poutres 24' ont une section en T et sont disposées avec les bras des T en bas et les voliges 1, découpées en tronçons de longueur appro- . priée sont soudées à ces bras. Les poutres 24' sont maintenues espa- cées et parallèles par des tirants diagonaux 39, suffisamment d'espace étant laissé entre les voliges 1 et les tirants 39 pour permettre l'insertion éventuelle des feuilles de.métal déployé ondulées 36. Les plaques 8 du plafond sont suspendues aux voliges .
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au moyen de selles en U 7 et calées par des coins 9 comme déjà décrit plus haut, et il est à remarquer que les plaques 8 dissi- mulent complètement les poutres 24'.
Une couche de plâtre de finissage ou plafonnage (non représentée) est appliquée en dessous des plaques 8 et le toit est achevé à l'aide d'une couche de ciment de vermiculite 37 qui forme un joint solide, non seulement avec les feuilles de métal déployé 36 mais également avec les tirants 39, cette couche étant à son tour recouverte d'une matière de recouvrement étanche à l'eau 38.
Sur la Fig. 17, les poutres 24' sont représentées sous forme de nervures légèrement courbées et elles peuvent former la charpente d'un toit courbe de n'importe quelle longueur vou- lue et de portée relativement grande. Un fragment d'une charpente de ce genre est représenté en plan sur la Fig. 18 et en coupe sur la Fig. 19. La Fig. 20 est une vue en élévation d'extrémité, à plus petite échelle du toit courbe. Les nervures 24', espacées à des intervalles appropriés et reliées par des tirants 39, reposent à leurs extrémités sur des plaques d'arrêt appropriées
40 qui sont reliées par des tirants 41 localement le long du toit.
Les tirants 41 sont reliés au centre à des montants 42 qui s'étendent vers des barres 43 disposées longitudinalement par rap- port au toit et traversant les bandes des nervures 24'. Les tirants 41 peuvent également être soudés aux nervures 24' et ren- forcent ainsi considérablement la construction.
Quoique dans la description donnée plus haut, les pla- ques 8 formant les éléments de surface soient maintenues en place à l'aide de petits coins 9 insérés entre ces plaques et les bords . adjacents des voliges 1, ces coins peuvent avantageusement être omis si les selles sont façonnées comme le montre la Fig. 21.
Dans cette construction, la bande de métal dont est formée la selle 7a est pliée de façon que les branches pendantes 45 soient situées les unes près des autres immédiatement en dessous des voliges 1 et soient ensuite pliées et écartées les unes des autres, les parties d'extrémité 46 étant repliées vers l'in-
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térieur et ensuite vers l'extérieur. Les bords des plaques de plâtre 8 peuvent ainsi s'engager dans les parties d'extrémité des selles formant logement, comme indiqué par la ligne poin- tillée 8 sur la Fig. 21 de sorte que la plaque est fermement maintenue à une distance prédéterminée de la volige 1.
La ma- tière dont se composent les selles est légèrement élastique, et comme les deux parties 46 sont pressées l'une contre l'autre par les plaques adjacentes qui y sont engagées, la selle 7a est amenée non seulement à serrer la volige 1 mais également à main- tenir une pression élastique sur Les plaques et il n'y a aucun risque de voir les parties se détacher. Le processus d'assemblage ressortira de la description de la Fig. 24 donnée ci-après, tandis que d'autres variantes seront également décrites avec référence aux Figs. 26 à 33.
Il est également avantageux de pouvoir régler la position des voliges lorsqu'on assemble le plafond ou une autre surface, et ce réglage peut être obtenu en utilisant des éléments de liaison entre les voliges et les poutres entre lesquelles elles s'étendent, et qui sont représentées sur les Figs. 22 et 23.
Dans cette construction, la charpente de support pour les plaques de plâtre se compose de poutres 47 qui se présentent sous forme de bande métalliques planes, disposées parallèlement les unes aux autres, et de voliges 1 qui sont également des bandesmétalli- ques planes découpées en tronçons de longueur appropriée pour permettre de les monter entre les poutres à la façon d'entre- toises, et qui sont fixées dans la position voulue à l'aide de selles de liaison 49 qui sont montées sur les poutres 47.
Les selles 49 ont en substance une section en foeme de double U et comportent des fentes 50 ménagées dans chaque côté extérieur dans lequel s'engage l'extrémité d'une volige 1.
Une goupille fendue 56 passée à travers la volige 1 sert à la . caler fermement en; place.
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Les'éléments peuvent être réglés longitudinalement sur' les poutres 47, et lorsu'ils sont dans la position voulue, ils peuvent être calés au moyen d'une clavette métallique 51 qui se monte sur la poutre et comporte deux griffes 52, légère- ment coniques, de façon à pouvoir être chassées dans les parties inférieures de l'élément de liaison doublement coudé en U et à le coincer fermement en place sur la poutre. La fig. 25 repré- sente la forme d'un flan métallique estampé d'où la clavette peut être formée par pliage le long des lignes pointillées indiquées sur cette figure. La clavette 51 est elle-même maintenue en place pour être utilisée surla poutre 47 en reliant le prolon- gement 53 sur le bord de la poutre.
La clavette 51 représentée à droite sur la Fig. 22 est en position de blocage tandis que la clavette 51 à gauche sur cette figure est prête à être chassée en place afin de caler davantage l'élément de liaison.
Dans beaucoup de cas, une clavette suffit pour bloquer l'élément de liaison en place.
La Fig. 24 représente le procédé dé construction d'une cloison utilisant des selles et des éléments de liaison tels que représentés sur les Figs. 21 et 22-23 respectivement. On commence par monter les poutres 47. On fixe ensuite les voliges 1 portant des selles 7a par des éléments de liaison 49 montés sur les poutres 47, et lorsqu'elles sont ajustées au niveau correct pour permettre aux pattes' des selles 7a d'engager les bords des plaques de plâtre 8, on les cale dans cette position en chassant les clavettes 51 en contact avec l'élément de liaison et en repliant les extrémités 53 des clavettes autour de la poutre,Lorsque chaque rangée est achevée, on ajoute la rangée ' suivante de la même façon.
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Si on désire construire une cloison présentant de remarquables propriétés d'isolation thermique et ou acoustique, on peut facilement la réaliser en assemblant des poutres et des voliges comme décrit plus haut, de part et d'autre d'une couche imperméable de matière thermiquement ou acoustiquement 'isolantequi est ainsi serréeentre les poutres sans qu'il y ait aucun contact entre les organes métalliques placés de part et d'autre de cette couche. Les surfaces de la cloison peuvent alors être achevées en appliquant des éléments de surface aux voliges sur chaque côté de la doison de la même façon que lorsqu'on construit un plafond.
Lorsqu'on construit une cloison ou une surface murale telle que décrite plus haut, on peut aisément prévoir un montage ultérieur sur la cloison ou sur le mur de pièces fixes telles que des étagères des éviers et des éléments analogues, en insérant une plaque pré- fabriquée, de préférence renforcée, dans le creux existant derrière la plaque de plâtre de surface, à l'endroit approprié, cette plaque étant avantageusement supportée sur la volige 1 située immédiatement en dessous d'elle et sur laquelle elle repose.
Quoiqu'il puisse être généralement souhaitable d'appliquer une couche de plâtre de finissage ou plafonnage sur toute la surface exposée des plaques de plâtre' de façon à dissimuler les fentes formées aux points où les bords des plaques se rencontrent ainsi aue les pattes des selles, on peut obtenir pratiquement le même effet en prévoyant sur la surface des plaques de.plâtre une partie surélevée parallèle à ses bords et espacée de ces derniers Cette partie surélevée peut être formée par une mince bande de papier ou de matière analogue, collée sur la surface de la plaque de plâtre à quelques centimètres de son bord, par exemple comme l'indique la bande 55 représentée sur la Fig.
24. Cette matière a de préférence environ 1 mm d'épaisseur et est ainsi légèrement plus épaisse¯que le métal dont sont formées les selles. Les
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extrémités exposées des selles et les fentes formées par la rencon- tre des bords des plaques de plâtre peuvent.ainsi être aisément dissimulées en appliquant une couche de plâtre mince sur les plaques de façon à remplir la surface ou creux qui sépare les bandes de papier des plaques adjacentes.
Si on le désire, pour. atteindre le même but, on peut surélever la surface des plaques dans son ensemble par rapport à celle d'un bord étroit de ces plaques, en appliquant des panneaux en papier d'épaisseur appropriée -au lieu d'utiliser simplement des bandes de papier étroites; on peut également établir les plaques spécialement à cet effet de façon que les bords soient plus minces que le restant des plaques,, et on peut rendre toute la surface parfaitement plane en n'appliquant une mince couche de plâtre qu'aux bords en creux et en dissimulant en . même temps les pattes d'extrémité des selles et la rencontre des bords des plaques.
Lorsqu'on applique l'invention à la construction d'un mur ou d'un plafond qui doit satisfaire à des exigences d'incombus- tibilité très élevées, il est souhaitable d'intercaler une couche de matière isolante d'une épaisseur minimum prédéterminée entre les parties métalliques et la surface exposée du mur, plafond ou élément analogue.
Une construction de ce genre est représentée sur les Figs. 26 à 33; où les éléments de surface 8a qui ont une épaisseur substantielle et qui sont fabriqués en une matière ayant des propriétés d'isolation. thermique et/ou d'incombustibilité, sont pourvus d'une feuillure ou d'un évidement 60 (Figs. 26 et 33) le long des bords de faon à former un rebord ou saillie 61 en dessous duquel les extrémités des selles 7a pliées vers l'extérieur ' peuvent s'engager de façon à supporter de façon adéquate le poids des éléments 8A, tout en étant placées sensiblement en retrait par rapport à la surface exposée 62 des éléments de surface 8a.
Lorsque les éléments de surface 8a ont été montés, on peut remplir les évidements 60, d'une matière résistant à la chaleur et/
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ou au feu appropriée, par exemple du plâtre de vermiculite.
Ce dernier peut comprendre des bandes ou des bourrages préfabriqués,' tels que la bande 63 représentée sur la Fig. 33 façonnée de façon à s'encastrer dans l'évidement 60 dans lequel elle peut être cimentée La bande 63 peut avantageuse.ment être d'épaisseur égale aux éléments de surface 8a, et dans ce cas l'isolation des selles est pratique- ment égale à celle du restant de la surface, de sorte que les selles ne nuis ent pas à l'efficacité de cette surface comme barrière thermique.
Les Figs. 26 à 33 représentent également un moyen permettant d'améliorer la rigidité de la construction en prévoyant un dispositif pour resserrer l'engagement entre les selles 7a et les éléments de surface 8a lorsque ces derniers- sont mis en place, d'une façon quelque peu semblable au serrage effectué par les coins 9 mentionnés plus haut. Ce dispositif consiste en une cale fourchue ou coin 64 en tôle ou en matière analogue. Le bord mince du coin 64 peut être inséré en dessous de l'épaulement 65 formé par les parties pliées vers l'extérieur du corps 45 de la selle 7a, engageant et tendant en même temps à pousser l'une contre l'autre les parties pliées vers l'intérieur 46 de la selle.
En chassant légèrement les coins 64 en contact plus ferme, non seulement les parties d'extrémité 46 sont pressées plus ferme- ment l'une contre l'autre, mais les organes de surface 8a sont poussés vers le bas par rapport aux selles 7a, tandis que les bords minces 66 des coins 64, qui sont inclinés légèrement vers l'in- térieur comme l'indiquent les figs. 28 et 29, mordent dans la surface des organes 8a lorsque les coins sont chassés en place.
Les coins 64 tendent ainsi également à serrer les organes 8a ensemble et à les maintenir fermement en les empêchant de se séparer.
Les extrémités 67 (fig. 26) des selles 7a peuvent avantageusement être recourbées vers le haut de façon que leurs bords aigus mordent également dans les organes 8a et contribuent ainsi à bloquer ces
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organes fermementen place,
Afin que les coins 64 soient maintenus légèrement en . contact avec les selles 7a pendant l'assemblage, on peut munir avantageusement les coins 64 d'une languette 68 (figs.3l et 32) pouvant passer dans la partie creuse des selles 8a de façon que ces dernières soient engagées par les coins immédiatement au-dessus et en dessous de l'épaulement 65.
La languette 68 ne gène en aucune façon l'action du coin 64, comme décrit plus haut.'
Qudque dans la description donnée plus haut, les selles 7 et 7a soient en substance coudées en U, la forme des selles utilisées pour réaliser l'invention peut être modifiée sans sort du cadre de la présente invention. Cela étant,, il peut être parfois avantageux d'utiliser des selles qui aient pratiquement la forme d'un J ou en fait la forme d'un demi U, des exemples de selles de ce genre étant représentés sur les figs. 34 à 46 des dessins'.
Dans ces dernières figures, les selles représentées, comprennent chacune une bande métallique plate, de préférence d'environ 1 mm d'épaisseur, façonnée de façon à présenter un corps 71 qui, lorsque la selle est montée sur une volige 1, pose à plat contre le côté large d'une volige, un crochet 73 à une extré- mité susceptible d'être monté sur un bord de la volige (naturelle- ment,le bord supérieur si la construction est un plafond) et une patte 74 à l'autre extrémité qui s'étend latéralement à partir d'un prolongement du corps 71 de façon que si une plaque de plâtre ou élément analogue (indiqué par les traits pointillés 8) repose par son bord sur la patte, la surface supérieure de la plaque 8 se trouve juste en dessous du bord inférieur de la volige 1.
En. plaçant les selles comme représenté alternativement sur les côté opposés de la volige 1, les plaques 8 sont supportées de la même' façon sur les deux côtés de la volige, leurs 'bords adjacents étant situés tout près les uns des autres et elles peuvent être
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calées dans cette position en insérant des coins 9 etre les plaques 8 et le'bord adjacent de la volige 1, en substance de la
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, faço&#éç#1àQ>nkùe..heat.
Il eef-lair.e ,.:ne. âéi, ,au lieu d'utiliser 'q@*qx ses deiia forme.;ra:présent:'ée sur les 'figs.. 34 et 35 appli- ..suées .r ;1es¯.côtés opposés de la volige 1. on peut prévoir .une seule selle comportant des pattes 74 qui s'étendent en sens
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opposa,a1st simplement b.tquer 'l'extrémité prolongée ducors 71 et en pliant les extraites vers l'extérieur en sens opposés.
Si on le sésire, les selles peuvent être pourvues d'ouver- tures 80 (indiquées en traits pointillés sur la fig. 34) à travers lesquelles on peut si on le désire insérer de petits coins (non représentés) pour remplir une fonction semblable aux coins 9.
Dans le cas d'une selle telle que représentée sur les Fige,. 36 et 37, l'extrémité bifurquée du corps,71 est pliée pour procurer des pattes 74 et 75 qui s'étendent en sens opposés et respectivement au-dessus et en dessous des plaques 8 lorsque ces dernières sont mises en place. Les pattes supérieures 75 servent à empêcher les plaques 8 de monter et ne nécessitent pas de coins si le corps 71 de la selle est façonné de façon à s'ajuster étroitement sur la volige 1. Si on le désire, on peut estamper une partie de la matière de la selle de manière 3. la serrer en dessous de la volige 1, par exemple comme décrit avec référence aux figures 38 à 46.
La selle représentée sur les Figs. 38 à 40 est pourvue d'un certain nombre de pattes 74, 74 et 75, 75 de sorte que les plaques 8 (fig. 39) puissent être engagées entre ces pattes de deux côtés. Dans ce cas, la selle est fixée à la volige 1 non seulement par le crochet 73, mais par une languette 76 estampée dans la matière de la selle. Avant d'être appliqués à la volige 1, le crochet 73 .et la languette 76 ne sont de préférence que partiellement
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formés, par exemple comme indiqué par les traits pointillés 73' et 76. respectivement sur la fig. 39 et on les replie :autour des bords supérieurs et inférieurs de la volige 1 lorsqu'on monte les selles en placé pour l'emploi, par exemple à l'aide d'une pince construite à cet effet.
Les figs. 41, 42 et 43 représentent une autre forme de selle, dans laquelle un ajustage étroit de la selle sur la volige 1 est assuré en pliant le corps 71 de façon au'il passe en dessous du bord de la volige, comme indiqué-en 77 sur la fig.42.
Un autre exemple encore est représenté sur les figs. 44 et 45, dans lesquelles plusieurs des particularités de construction précitées sont représentées en combinaison, et aucune autre descrip- tion détaillée n'est:nécessaire, les parties correspondantes étant indiquées par des chiffres de référence analogues à ceux mentionnés plus haut.
La fig. 46 représente une construction de selle quelque peu semblable à celle représentée sur les figs. 41 à 43, mais susceptible d'être maintenue en place sur la volige 1 par une languette 76 estampée dans la matière de la selle. Les selles ainsi formées sont appliquées de part et d'autre 'de la volige 1 de manière à recevoir les bords des plaques de plâtre, entre les pattes 74 et 75 sur les deux côtés de la volige 1.
L'utilisation de selles en J telles que représentées sur les figs. 34 à 46 peut être préférable à celle des selles coudées en U décrites plus haut, dans les cas où les poutres ou voliges sont montées près d'un mur ou support existant qui peutrendre difficile l'application des selles coudées en U lorsque les voliges ont été fixées dans leur position dressée.
Il ressort des exemples précédents que des selles de différentes formes peuvent être prévues suivant l'invention
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et être utilisées de différentes façons pour construire un mur, 'un plafond ou des surfaces analogues, en substance comme décrit.
. Il est clair que pour réaliser'la présente invention, toutes les parties métalliques sont de préférence protégées de la rouille. Les voliges et les poutres sont de préférence galvanisées, tandis que les selles et les autres parties en matières flexibles sont plaquées ou autrement pourvues d'un revêtement de protection qui ne s'écaille pas, par exemple un placage de cadmium. La nécessité de souder des parties les unes aux autres, qu'il est souhaitable d'éviter autant que possible, peut être pratiquement éliminée en utilisant des selles et des éléments de liaison tels que représentés sur les figs. 21 à 24.
Grâce à la présente invention, on peut obtenir une construc- tion rigide et légère qui peut rapidement et facilement être construi, te pour recouvrir des murs, des plafonds, des cloisons et des toits, la construction possédant également des propriétés d'isolation thermique et de résistance au feu excellentes. De plus, des dila- tations et contractions causées par des changements modérés de température peuvent avoir lieu sans danger de fissuration de la surface en plâtre.
Le terme "plâtre" utilisé plus haut couvre tous les types de compositions durcissables qui peuvent être appliquées sous une forme semi-liquide comme agent de finissage de surface ou plafonnage.
Il est clair également que quoiqu'il soit question de plaques de plâtre dans cette description, l'invention n'est limitée à l'utilisation d'aucun type de plaque particulier, mais couvre tous les genres d'éléments de surface en forme de plaques (par exem- ple des feuilles ou des plaques en asbeste-ciment) qui peuvent être,utilisées de la même façon. Le genre d'élément de surface utilisé sera naturellement choisi selon la fonction à laquelle il est destiné dans chaque cas particulier.
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The present invention relates to the construction of walls, ceilings and the like of the so-called "suspended" type, where a plastered surface applied to plasterboards or other similar prefabricated surface elements fixed to battens, is suspended or supported at a certain distance. wall, roof or other supporting construction that this surface is to cover and conceal. The invention is also applicable to the construction of partitions.
The object of the present invention is to provide a construc-. simple and inexpensive version which allows the quick and easy installation of a suspended surface which is practically non-combustible
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and thermally insulating and practically free of the stresses which may occur as a result of small relative displacements of the surface and its supporting construction, due for example to variations in temperature, subsidence, etc., and which thus avoids surface cracking that these stresses usually cause.
The construction of walls or ceilings according to the invention is characterized in that the battens are flat metal bars presenting their edge to the surface elements, and the latter are fixed thereto by means of leg saddles which are placed on the battens. and engage the edges of the surface elements, after which the exposed surface of these elements is preferably coated with a layer of plaster or the like, which conceals and floods the saddles and fills the space between the edges adjacent surface elements.
When the invention is applied to a ceiling, or to cover the surface of an existing wall, following a construction, U-bent saddles are used, the elbow of which corresponds to the thickness of the battens while the length of the branches connected by the elbow is approximately equal to or slightly greater than the width of the battens plus the thickness of the surface elements, and the ends of these branches end in legs bent outwards so that one can suspend the surface elements to the battens by mounting the saddles on the battens, the edges of the surface elements being taken by the legs of the saddles.
The invention also provides U-shaped saddles of a new shape, the branches of which are bent and spaced apart from one another locally so as to each form a shoulder projecting outwardly, these shoulders being at a certain distance from the outside. above the ends with tabs bent outwards, so as to allow the edge of surface elements to be engaged in the recesses formed between the tabs of the ends and the shoulders of the branches, in order to fix these surface elements to a
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predetermined distance of the batten carrying the saddles. As a variant, or in addition, the surface elements can be wedged in place by wedges inserted between them and the battens.
The battens are advantageously suspended from purlins, roof beams or the like using S-hooks or J-hooks, and in some cases it may also be advantageous to construct a batten frame fastened together in a spacing. parallel by connecting cables or struts, before hanging this frame from the hooks, When the invention is applied to the construction of a partition, the surface elements can be clamped on both sides of the metal battens at the average H-shaped stool.
The invention. particularly suitable for the construction of a practically incombustible and thermally insulating ceiling and roof, this construction being characterized in that the battens are laid transversely on the purlins or beams, between which the surface elements from the ceiling are suspended from the battens by metal saddles as described above, while on expanded metal sheets are laid on the battens forming a foundation for a heat-resistant cement, preferably vermiculite cement, which is again covered with waterproof cover material.
A number of embodiments of the invention are described below, by way of example, with reference to the accompanying drawings, in which: FIG. 1 is an elevational view of a surface of a wall according to the invention, under construction; Fig. 2 is a horizontal section taken along the line II-II of FIG. 1; Fig. 3 is an isometric view on a larger scale of a welded U-shaped saddle; Fig. 4 is a plan view of a construction detail, on a larger scale;
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Fig. 5 is a section taken along the line V-V of FIG. 4;
Figs. 6 and 7 are respectively a section and an elevational view of another construction detail; - Fig. 8 is an isometric view of other construction details;
Fig. 9 is an elevational view of a partition constructed according to the invention, before the application of the finishing plaster layer; Fig. lo is an isometric view showing details of the construction shown in FIG. 9: FIG. 11 is an isometric view of another construction detail; Fig. 12 is an isometric view showing details of a ceiling and roof form according to 1 - ', invention; Figs. 13 and 14 are front and side elevational views, respectively, of another construction detail, on a larger scale; Fig. 15 is an end view of part of a roof and a ceiling showing the application of the invention to the construction of a ceiling comprising parts located in different planes;
Fig. 16 is an isometric view of another construction of a noncombustible ceiling and roof according to the invention; Figs. 17 to 20 show another construction variant which is particularly advantageous for obtaining a substantially incombustible roof and a large span ceiling of any desired length; Fig. 21 is an end view of an alternative saddle; Figs. 22 and 23 are respectively an elevational and plan view of a connecting element for the battens and of the keys used to block this element; and, FIG. 24 is a perspective view showing a construction which uses saddles and linkers of the form shown in Figs. 21 to 23;
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Fig. 25 shows a sheet metal blank used to form a key shown in Figs. 22 to 24; Figs. 26, 27 and 28 are respectively an end elevational section, a front elevational view and a plan view showing an alternative saddle used in conjunction with a wedge shaped wedge; figs. 29 and 30 are respectively a plan and end elevation view of the wedge-shaped wedge shown in Figs. 26 to 28; Figs. 31 and 32 are an elevational and plan view, respectively, of an alternative wedge-shaped wedge; Fig. 33 is a perspective view showing the suspension of the surface elements by means of a saddle and a wedge shown in Figs. 26 to 28;
Figs. 34 and 35 are respectively a front elevational view and an end view of an alternative saddle according to the invention mounted on a batten, two saddles being shown; Figs. 36 and 37 are similar end views of two other saddle variations intended for use in pairs; Figs. 38, 39 and 40 are respectively a front elevational view, an end view and a plan view of another alternative saddle; Figs. 3-42 and 43 are similar views of another variant of the saddle; Figs. 44 and 45 are respectively a front elevational view and an end view of a further variant saddle; and, FIG. 46 is a perspective view showing two saddles following another variant mounted on a batten.
In Figs. 1 and 2 which show the process of applying a plaster coating or plastering to. the surface of a wall according to the invention, the battens, 1, closed by metal bars) - light liques advantageously about 2.5 cm wide and
3 mm thick, are fixed between a base plate 2 and a '
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joist or the like 3 near the surface of the wall 4 in a vertical position, at suitable intervals. The interval is preferably in direct relation to the dimension of the plasterboards or similar boards sold commercially. For example, if boards two meters in length are available, the battens 1 are advantageously placed at intervals of d. 'one meter.
If desired, the battens 1 can be braced locally by rods or cables 6 which are welded thereto. The battens can, if desired, be attached to wall 4. Plasterboards are commercially manufactured in various standard sizes, and consist of gypsum with a heavy paper or fabric covering, and are normally 1 cm d 'thickness. They can be advantageously lined with an aluminum foil,
Before fixing the battens 1 in place, a certain predetermined number of U-bent saddles 7 are fitted to them. These saddles are shaped as shown in FIG. 3 and dimensioned so as to fit over the battens 1, as clearly shown in FIG. 8.
The elbows correspond to the thickness of the battens, while the side branches are slightly longer than the width of the batten plus the thickness of the plasterboard 8 to be used.
Plasterboard 8 is laid starting at the bottom of the wall and moving up, preferably in a fastening order shown in the drawing, so that the vertical ends of the boards in adjacent rows are offset. The saddles 7 engage the edges of the plates 8 where they coincide with the battens 1, as shown on a larger scale on. Figs. 3 and 4., and the plates 8 are wedged in place by small wedges 9 (see also Fig. 8) inserted at suitable or advantageous places, these wedges being advantageously made of molded thermoplastic material. The edges of adjacent plates
8 can also be clamped together at appropriate intervals.
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requested by. H-fittings 10 (Figs. 6 and 7), which makes the construction more rigid.
If desired, U-shaped saddles (7 ') can also engage the edges of the plates 8 which extend transversely to the battens 1 and which are preferably provided with notches 11 (Fig. 8) for this purpose.
When the bottom formed by the plates 8 firmly fixed to the battens 1 is completed, the narrow gaps between the plates are filled with plaster mortar which hardens around the adjacent edges of the battens 1 and saddles 7 as indicated by the dotted line 12 on Fig. 5. A strip 13 of canvas (Figs. 4 and 5) is laid on the adjacent edges of the plasterboards 8 and a facing layer 14 of plaster mortar is then applied (in a well-known manner) over the entire surface. the exposed surface of the plasterboard so that the wall has an uninterrupted plastered or capped surface.
If desired, the space between the plates. The plaster of the wall 4 to which they are applied can be filled with an acoustically or thermally insulating material (eg exfoliated vermiculite) as the successive rows of plasterboard are placed.
The invention thus provides a firm plastered or plastered surface which does not easily crack despite variations in temperature or slight displacements (for example sagging) of the adjacent wall,
The invention is particularly advantageous for the construction of partitions, and the plasterboards can then be fixed to both sides of the equivalent metal battens or strips, as shown in Figs. 9 to 11.
In this case, although it is possible to construct a frame of battens similar to the battens 1 shown in FIG. 1 between a base plate 15 and an upper beam 16, and fix plasterboards on both sides of this frame using metal saddles in. It as .described above., One can advantageously use a
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saddle variant 17 shown in Figs. 9 to 11. The saddles 17 have practically the shape of an H and consist of two elbowed U-shaped elements welded together as well as a small section of batten 18 which is also welded to it.
The partition can be constructed by applying the plasterboards 8 in pairs on both sides of a suitably sized baseplate 15 (Fig. 10) and mounting the saddles 17 on the edges of the plasterboards in suitable places. so as to keep the plates fixed and spaced from each other. As the partition rises row by row, additional pieces of light batten material (preferably strip iron) can be inserted into the recess. of irregular shape, as indicated at 19 in FIG. 9, to increase resistance. The hollow separating the plates 8 is preferably filled with a thermally and / or acoustically insulating material such as exfoliated vermiculite.
Window or door frames can easily be mounted in the partition, part of a door frame 22 being shown for illustrative purposes in FIG. 10. After applying the layer of finishing plaster or plaster 20, the edges can be concealed and protected by covering them with baseboards 21 and nailed moldings 22 ', as shown in FIG. 10.
When two partitions meet at right angles, clips 23 which have the shape shown on a large scale in FIG. It can advantageously be used between each row of plasterboard, thus fixing the partitions firmly to one another.
When applied to the construction of a suspended ceiling, the invention has great advantages because it can be adapted to any practical conditions which may be encountered. An example is shown in FIG. 12, where a roof 31 is supported on purlins 24 and a plaster ceiling is desired to conceal the roof and the purlins below. J-shaped hooks are attached to the purlins 24 at intervals
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suitable and the battens 1 are suspended from these hooks. The spacing of the hooks is preferably chosen so as to conform to the width of the plasterboards available, and spacers 26 may, if desired, be fixed between the battens.
It suffices to mount the saddles 7 on the battens, to place the plasterboards 8 with their edges supported on the legs curved outwardly of the saddles and to insert the wedges 9 as has already been described with reference to Figs. . 4 and 5. The ceiling is completed in the same way as the surfaces of the walls described above, by plastering the ad- jacent edges of the plates, applying the canvas 13 and then the layer of finishing plaster or plastering 14. It is note that in this construction, it is also possible to build the batten frame on the ground before hanging it on the hooks 25.
The hooks can have different shapes to suit different conditions. Figs. 13 and 14 show an example in which an S-hook 27 is held on a section 24 by a second S-hook 28 which is hooked thereon.
It is not essential that the ceiling is located in one plane. On the contrary, he can easily follow any desired profile. Fig. 15 shows an example of a roof in which the battens are formed of sections connected together by pivots 32. The batten sections are held in the desired position by an appropriate choice of the length of the support hooks 29 attached to the rafters or beams 30 and the ceiling is completed by hanging plasterboard from the battens 1, as already described.
The invention can also be realized in such a way that the battens are laid transversely on the upper side of the purlins of 'support or portres. This construction lends itself in particular to the construction of a very light but incombustible roof and / or thermally insulating, like the
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shows there Fig. 16. The battens 1, suitably spaced from each other, are preferably welded to the purlins 24 and carry the U-shaped saddles 7 which in turn support the plasterboards 8.
Where the beams 24 protrude below the plates 8, they can be concealed by joint covers
34 built on site or prefabricated, in which are incorporated strips of canvas 35, so that when the layer of finishing plaster or plaster (not shown on the
Fig. 16) is applied to the ceiling, the members 34 are held in place permanently. If purlins or I-beams are used, the visible flanges can be concealed in the same way by joint covers.
The roof can be completed by attaching thin sheets 36, preferably corrugated expanded metal, directly to the battens 1 (for example by means of wire) and then applying a layer 37 of material on top of the sheets. thermal insulation such as vermiculite cement or plaster.
This layer penetrates into the interstices of the expanded aluminum and, when cured, forms a permanent seal. The waterproof covering material 38 can be laid on the insulation material 37. The air-filled cavity between the sheets 36 and the plasterboards 8 serves to improve the thermal insulation of the material. construction.
A somewhat similar roof construction is shown in Figs. 17 to 20. In this example, the beams 24 'have a T-section and are arranged with the T-arms at the bottom and the battens 1, cut into sections of length appro-. prayers are welded to these arms. The beams 24 'are kept spaced and parallel by diagonal tie-rods 39, sufficient space being left between the battens 1 and the tie-rods 39 to allow the possible insertion of the corrugated expanded metal sheets 36. The plates 8 of the ceiling are suspended from the battens.
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by means of U-shaped saddles 7 and wedged by wedges 9 as already described above, and it should be noted that the plates 8 completely conceal the beams 24 '.
A layer of finishing plaster or plaster (not shown) is applied underneath the plates 8 and the roof is finished with a layer of vermiculite cement 37 which forms a strong seal, not only with the metal sheets. deployed 36 but also with the tie rods 39, this layer in turn being covered with a waterproof covering material 38.
In Fig. 17, beams 24 'are shown as slightly curved ribs and can form the framework of a curved roof of any desired length and relatively large span. A fragment of such a framework is shown in plan in FIG. 18 and in section in FIG. 19. FIG. 20 is an end elevational view, on a smaller scale, of the curved roof. The ribs 24 ', spaced at suitable intervals and connected by tie rods 39, rest at their ends on suitable stop plates
40 which are connected by tie rods 41 locally along the roof.
The tie rods 41 are centrally connected to uprights 42 which extend towards bars 43 disposed longitudinally with respect to the roof and passing through the bands of the ribs 24 '. The tie rods 41 can also be welded to the ribs 24 'and thus considerably strengthen the construction.
Although in the description given above, the plates 8 forming the surface elements are held in place by means of small wedges 9 inserted between these plates and the edges. adjacent to the battens 1, these corners can advantageously be omitted if the saddles are shaped as shown in FIG. 21.
In this construction, the metal strip from which the saddle 7a is formed is bent so that the hanging branches 45 are located close to each other immediately below the battens 1 and are then folded and separated from each other, the parts d 'end 46 being folded inwards
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interior and then outward. The edges of the plasterboards 8 can thus engage the end portions of the housing saddles, as indicated by the dotted line 8 in FIG. 21 so that the plate is firmly held at a predetermined distance from the batten 1.
The material of which the saddles are made is slightly elastic, and as the two parts 46 are pressed against each other by the adjacent plates which are engaged therein, the saddle 7a is caused not only to clamp the batten 1 but also to maintain elastic pressure on the plates and there is no risk of the parts coming loose. The assembly process will become apparent from the description of FIG. 24 given below, while other variants will also be described with reference to FIGS. 26 to 33.
It is also advantageous to be able to adjust the position of the battens when assembling the ceiling or another surface, and this adjustment can be obtained by using connecting elements between the battens and the beams between which they extend, and which are shown in Figs. 22 and 23.
In this construction, the supporting frame for the plasterboards consists of beams 47 which are in the form of flat metal strips, arranged parallel to each other, and of battens 1 which are also flat metal strips cut into sections. of suitable length to allow them to be mounted between the beams in the manner of struts, and which are fixed in the desired position with the aid of connecting saddles 49 which are mounted on the beams 47.
The saddles 49 have in substance a section in the form of a double U and comprise slots 50 formed in each outer side in which the end of a batten 1 engages.
A split pin 56 passed through the batten 1 is used for the. wedge firmly in; square.
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The elements can be adjusted longitudinally on the beams 47, and when in the desired position they can be wedged by means of a metal key 51 which mounts to the beam and has two claws 52, slightly tapered, so that it can be driven into the lower parts of the double U-bend linkage and clamp it firmly in place on the beam. Fig. 25 is a stamped metal blank from which the key can be formed by folding along the dotted lines shown in this figure. The key 51 is itself held in place for use on the beam 47 by connecting the extension 53 to the edge of the beam.
The key 51 shown on the right in FIG. 22 is in the locked position while the key 51 on the left in this figure is ready to be driven into place in order to further wedge the connecting element.
In many cases, a key is sufficient to lock the connecting element in place.
Fig. 24 shows the method of constructing a partition using saddles and connecting elements as shown in Figs. 21 and 22-23 respectively. We start by mounting the beams 47. We then fix the battens 1 carrying saddles 7a by connecting elements 49 mounted on the beams 47, and when they are adjusted to the correct level to allow the legs' of the saddles 7a to engage. the edges of the plasterboards 8, they are wedged in this position by driving out the keys 51 in contact with the connecting element and by folding the ends 53 of the keys around the beam, When each row is completed, the row is added 'following in the same way.
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If you want to build a partition with remarkable thermal and or acoustic insulation properties, you can easily achieve it by assembling beams and battens as described above, on either side of a thermally impermeable layer of material or acoustically 'insulating which is thus clamped between the beams without there being any contact between the metal members placed on either side of this layer. The surfaces of the partition can then be completed by applying surface elements to the battens on each side of the house in the same way as when constructing a ceiling.
When constructing a partition or wall surface as described above, one can easily provide for subsequent mounting on the partition or on the wall of fixed parts such as shelves, sinks and the like, by inserting a pre-mounted plate. manufactured, preferably reinforced, in the hollow existing behind the surface plasterboard, at the appropriate location, this plate being advantageously supported on the batten 1 located immediately below it and on which it rests.
Although it may generally be desirable to apply a layer of finishing or plastering plaster over the entire exposed surface of the plasterboard so as to conceal the slits formed at the points where the edges of the boards thus meet with the legs of the saddles. substantially the same effect can be obtained by providing on the surface of the plasterboards a raised part parallel to and spaced from its edges. This raised part can be formed by a thin strip of paper or the like, glued to the surface. surface of the plasterboard a few centimeters from its edge, for example as indicated by the strip 55 shown in FIG.
24. This material is preferably about 1 mm thick and is thus slightly thicker than the metal from which the saddles are made. The
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exposed ends of the saddles and the slits formed by meeting the edges of the plasterboards can thus be easily concealed by applying a thin layer of plaster to the boards so as to fill the surface or hollow which separates the paper strips from the sheets. adjacent plates.
If desired, for. To achieve the same goal, the surface of the plates as a whole can be raised from that of a narrow edge of such plates, by applying paper panels of appropriate thickness - instead of just using narrow strips of paper ; it is also possible to set up the plates especially for this purpose so that the edges are thinner than the rest of the plates, and the whole surface can be made perfectly flat by applying a thin layer of plaster only to the recessed edges and by concealing in. at the same time the end legs of the saddles and the meeting of the edges of the plates.
When applying the invention to the construction of a wall or a ceiling which has to meet very high fire-resistance requirements, it is desirable to interpose a layer of insulating material of a predetermined minimum thickness. between the metal parts and the exposed surface of the wall, ceiling or the like.
A construction of this kind is shown in Figs. 26 to 33; where the surface elements 8a which have a substantial thickness and which are made of a material having insulating properties. thermal and / or incombustibility, are provided with a rebate or a recess 60 (Figs. 26 and 33) along the edges so as to form a flange or projection 61 below which the ends of the saddles 7a folded towards the exterior may engage so as to adequately support the weight of the elements 8A, while being set substantially back from the exposed surface 62 of the surface elements 8a.
When the surface elements 8a have been fitted, the recesses 60 can be filled with a heat-resistant material and /
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or to the appropriate fire, for example vermiculite plaster.
The latter may comprise pre-fabricated bands or jams, such as the band 63 shown in FIG. 33 shaped so as to fit into the recess 60 in which it can be cemented. The strip 63 can advantageously be of equal thickness to the surface elements 8a, and in this case the insulation of the saddles is practically equal to that of the rest of the surface, so that the stool does not interfere with the effectiveness of this surface as a thermal barrier.
Figs. 26 to 33 also show a means of improving the rigidity of the construction by providing a device for tightening the engagement between the saddles 7a and the surface elements 8a when the latter are put in place, in a somewhat similar to the tightening effected by the wedges 9 mentioned above. This device consists of a forked wedge or wedge 64 made of sheet metal or similar material. The thin edge of the wedge 64 can be inserted below the shoulder 65 formed by the outwardly bent portions of the body 45 of the saddle 7a, simultaneously engaging and tending to push the portions together. folded towards the inside 46 of the saddle.
By slightly driving out the wedges 64 in firmer contact, not only are the end portions 46 pressed more firmly against each other, but the surface members 8a are pushed downward relative to the saddles 7a, while the thin edges 66 of the corners 64, which are tilted slightly inward as shown in Figs. 28 and 29, bite into the surface of the members 8a when the wedges are driven into place.
The wedges 64 thus also tend to clamp the members 8a together and hold them firmly by preventing them from coming apart.
The ends 67 (fig. 26) of the saddles 7a can advantageously be bent upwards so that their sharp edges also bite into the members 8a and thus help to block these.
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organs firmly in place,
So that the corners 64 are held slightly in. contact with the saddles 7a during assembly, the corners 64 can advantageously be provided with a tongue 68 (figs.3l and 32) which can pass into the hollow part of the saddles 8a so that the latter are engaged by the corners immediately at the above and below the shoulder 65.
Tab 68 in no way interferes with the action of wedge 64, as described above.
Although in the description given above, the saddles 7 and 7a are substantially U-bent, the shape of the saddles used to carry out the invention can be modified without departing from the scope of the present invention. However, it may sometimes be advantageous to use saddles which have practically the shape of a J or in fact the shape of a half U, examples of such saddles being shown in figs. 34 to 46 of the drawings'.
In these latter figures, the saddles shown each comprise a flat metal strip, preferably about 1 mm thick, shaped so as to present a body 71 which, when the saddle is mounted on a batten 1, lays flat against the wide side of a batten, a hook 73 at one end capable of being mounted on an edge of the batten (naturally, the upper edge if the construction is a ceiling) and a tab 74 at the another end which extends laterally from an extension of the body 71 so that if a plasterboard or the like (indicated by the dotted lines 8) rests at its edge on the tab, the upper surface of the plate 8 is located just below the lower edge of batten 1.
In. placing the saddles as shown alternately on the opposite sides of the batten 1, the plates 8 are supported in the same way on both sides of the batten, their adjacent edges being located very close to each other and they can be
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wedged in this position by inserting corners 9 being the plates 8 and the adjacent edge of the batten 1, in substance of the
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It eef-lair.e,.: Ne. âéi,, instead of using 'q @ * qx ses deiia form.; ra: present:' ée on 'figs .. 34 and 35 applied .r; 1es¯. opposite sides of the batten 1 . one can provide .a single saddle comprising legs 74 which extend in direction
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opposa, a1st simply b.tquer 'the extended end of the cores 71 and bending the extracts outward in opposite directions.
If desired, the saddles can be provided with openings 80 (shown in dotted lines in fig. 34) through which small wedges (not shown) can be inserted if desired to perform a function similar to the ones. corners 9.
In the case of a saddle as shown on the Figs ,. 36 and 37, the bifurcated end of the body, 71 is bent to provide tabs 74 and 75 which extend in opposite directions and respectively above and below the plates 8 when the latter are in place. The top tabs 75 serve to prevent the plates 8 from going up and do not require wedges if the saddle body 71 is shaped to fit tightly over the batten 1. If desired, part of the saddle can be stamped. the material of the saddle so that it is 3 tightened below the battens 1, for example as described with reference to figures 38 to 46.
The saddle shown in Figs. 38-40 is provided with a number of tabs 74, 74 and 75, 75 so that the plates 8 (Fig. 39) can be engaged between these tabs on two sides. In this case, the saddle is fixed to the batten 1 not only by the hook 73, but by a tongue 76 stamped in the material of the saddle. Before being applied to the batten 1, the hook 73 and the tongue 76 are preferably only partially
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formed, for example as indicated by the dotted lines 73 'and 76. respectively in FIG. 39 and they are folded: around the upper and lower edges of the batten 1 when the saddles are mounted in place for use, for example using a clamp constructed for this purpose.
Figs. 41, 42 and 43 show another form of saddle, in which a tight fit of the saddle on the batten 1 is ensured by folding the body 71 so that it passes below the edge of the batten, as shown at 77. in fig. 42.
Yet another example is shown in Figs. 44 and 45, in which several of the foregoing construction features are shown in combination, and no further detailed description is necessary, the corresponding parts being indicated by reference numerals analogous to those mentioned above.
Fig. 46 shows a saddle construction somewhat similar to that shown in figs. 41 to 43, but capable of being held in place on the batten 1 by a tongue 76 stamped in the material of the saddle. The saddles thus formed are applied on either side of the batten 1 so as to receive the edges of the plasterboards, between the tabs 74 and 75 on both sides of the batten 1.
The use of J-shaped saddles as shown in Figs. 34 to 46 may be preferable to that of the U-angled saddles described above, in cases where the beams or battens are mounted close to an existing wall or support which may make it difficult to apply the U-angled saddles when the battens have been fixed in their upright position.
It emerges from the preceding examples that saddles of different shapes can be provided according to the invention.
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and be used in various ways to construct a wall, ceiling or the like, substantially as described.
. It is clear that in order to realize the present invention all metal parts are preferably protected from rust. The battens and beams are preferably galvanized, while the saddles and other flexible material parts are plated or otherwise provided with a protective coating which does not chip, for example a cadmium plating. The need to weld parts to each other, which it is desirable to avoid as much as possible, can be practically eliminated by using saddles and connecting members as shown in Figs. 21 to 24.
By means of the present invention, a rigid and lightweight construction can be obtained which can quickly and easily be constructed to cover walls, ceilings, partitions and roofs, the construction also having thermal insulation properties and. excellent fire resistance. In addition, expansions and contractions caused by moderate changes in temperature can occur without danger of cracking the plaster surface.
The term "plaster" used above covers all types of curable compositions which can be applied in semi-liquid form as a surface finishing or plating agent.
It is also clear that although it is a question of plasterboard in this description, the invention is not limited to the use of any particular type of plate, but covers all kinds of surface elements in the form of a. plates (eg asbestos cement sheets or plates) which can be used in the same way. The type of surface element used will naturally be chosen according to the function for which it is intended in each particular case.