FR3049916A1 - Capuchon equipant un connecteur pour un balai d'essuyage d'un vehicule automobile - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un capuchon (9) constitutif d'un système d'essuyage (3) d'une surface vitrée d'un véhicule, le capuchon (9) comprenant au moins un capot (93) délimité par au moins deux parois latérales (96) et destiné à recouvrir au moins partiellement un connecteur (8) solidaire d'un balai d'essuyage (1), caractérisé en ce que le capot (93) comprend au moins un arbre (90) qui s'étend entre les deux parois latérales (96) du capot (93). Application aux véhicules automobiles.

Description

CAPUCHON EQUIPANT UN CONNECTEUR POUR UN BALAI D’ESSUYAGE D’UN VEHICULE AUTOMOBILE.

La présente invention se rapporte aux systèmes d'essuyage pour véhicule automobile, et concerne plus particulièrement un capuchon constitutif d’un tel système d’essuyage.

Un système d'essuyage, couramment dénommé essuie-glaces, pour véhicule automobile est conçu pour retirer, par balayage, les liquides et salissures qui peuvent perturber la vision qu’un conducteur du véhicule automobile a de son environnement. Ces essuie-glaces comprennent généralement un bras d'entraînement qui effectue un mouvement de va-et-vient angulaire autour d'un axe de rotation, et un balai d’essuyage allongé équipé d’une lame racleuse réalisée en un matériau élastique. En frottant contre une surface vitrée, avant ou arrière, du véhicule automobile, la lame racleuse en balaie l'eau et un certain nombre de salissures, et les évacue en dehors du champ de vision du conducteur.

Quelle que soit la configuration du balai d'essuyage, c’est-à-dire soit un balai d’essuyage comportant des étriers articulés qui retiennent la lame racleuse en plusieurs zones distinctes, soit un balai d’essuyage comportant une lame métallique qui maintient la lame racleuse sur toute sa longueur, le balai d'essuyage est rattaché à une partie terminale du bras d'entraînement par l’intermédiaire d’un ensemble qui comprend un connecteur monté solidaire du balai d’essuyage.

Dans un premier mode de liaison connu, un adaptateur, apte à être assemblé avec le connecteur du balai d'essuyage, est monté mobile en basculement autour d’un axe de fixation sur la partie terminale du bras d'entraînement. Ce premier mode de liaison est couramment utilisé pour les essuie-glaces destinés aux surfaces vitrées situées à l'avant du véhicule automobile. Dans un deuxième mode de liaison connu, le connecteur est raccordé à un arbre solidaire du bras d'entraînement. Ce deuxième mode de liaison est couramment rencontré dans les essuie-glaces destinés aux surfaces vitrées situées à l'arrière du véhicule automobile. L’état de la technique le plus proche est formé par le document W02009/071372 qui décrit un essuie-glace comprenant un capuchon destiné à être rapporté sur le connecteur porteur du balai d'essuyage. L’ensemble formé par le capuchon et le connecteur est agencé pour recevoir l’arbre dont est pourvue une partie terminale du bras d’entraînement dans une position d’ouverture du capuchon. Puis, le capuchon est mu par translation entre la position d’ouverture et une position de fermeture dans laquelle le capuchon est clipsé sur le bras d’entraînement. L’inconvénient du dispositif décrit dans ce document réside dans le fait qu’il nécessite une manipulation compliquée pour s’assurer que le balai d’essuyage est correctement relié au bras d’entraînement. En effet, il faut d’une part translater le capuchon et d’autre part s’assurer du verrouillage de ce dernier. En gardant à l’esprit qu’un critère de choix du système d’essuyage est l’ergonomie de la liaison balai d’essuyage sur bras d’entraînement, une telle manipulation mérite d’être améliorée, tout en garantissant une liaison mécanique pérenne et robuste.

La présente invention a pour but de résoudre cet inconvénient en proposant un capuchon dont la fixation à une partie terminale d’un bras d’entraînement est rapide et aisée et dont la fixation à un connecteur est également rapide et aisée, une liaison mécanique entre le capuchon et/ou le bras d’entraînement et/ou un connecteur étant par ailleurs robuste, efficace et pérenne.

Un capuchon de la présente invention est un capuchon constitutif d’un système d’essuyage d’une surface vitrée d’un véhicule, notamment automobile, le capuchon comprenant au moins un capot délimité par au moins deux parois latérales et destiné à recouvrir au moins partiellement un connecteur solidaire d’un balai d’essuyage, caractérisé en ce que le capot comprend au moins un arbre qui s’étend entre les deux parois latérales du capot.

Un tel arbre forme un élément porteur à la fois du connecteur et aussi du bras d’entraînement. Cet arbre est également un point commun sur lequel se fixe d’un côté le bras d’entraînement et de l’autre le connecteur. L’arbre forme un pivot de rotation qui permet à l’ensemble formé du capot et du connecteur de tourner par rapport à la partie terminale du bras d’entraînement.

Le capuchon comporte avantageusement l’une au moins des caractéristiques suivantes prise seule ou en combinaison : - le capuchon comporte un unique arbre, - l’arbre est configuré pour se loger dans au moins un palier équipant le connecteur et dans au moins un orifice équipant une partie terminale d’un bras d’entraînement porteur du balai d’essuyage. Une telle réception est par exemple simultanée ; - l’arbre comprend une zone de réception d’un orifice et une pluralité de portions de réception de palier ; - la zone de réception est ménagée sur l’arbre entre deux portions de réception. En ce sens, la zone de réception est une zone centrale par rapport aux deux portions de réception puisque celle-ci s’étend entre ces deux portions de réception, le long d’un axe passant par l’arbre ; - la zone de réception et au moins une des portions de réception sont cylindriques et de diamètres distincts. Les deux portions de réception qui entourent la zone de réception, dite centrale, peuvent également être de même diamètre ; - le capot comprend au moins une paroi avant et une paroi supérieure qui joignent les parois latérales. Le capot présente ainsi une section en forme de « U » qui délimite un volume interne du capot. Un tel volume interne est dédié à recevoir tout ou partie du connecteur ; - la paroi supérieure comprend une échancrure configurée pour autoriser un passage d’une partie terminale d’un bras d’entraînement du balai d’essuyage ; - l’échancrure est ouverte sur une face du capuchon opposée à la paroi avant par rapport à la paroi supérieure. Ainsi, le capot est fermé à une première extrémité longitudinale par la paroi avant et ouvert à une deuxième extrémité longitudinale, cette ouverture étant partagée avec l’échancrure ; - l’échancrure surplombe l’arbre. On comprend ici qu’il existe un plan perpendiculaire à la paroi supérieur qui croise l’arbre ; - la paroi avant comprend un rabat qui est tourné vers un volume intérieur délimité par le capot ; - le rabat comporte une découpe ; - au moins une des parois latérales est délimitée par au moins un bord inférieur configuré pour venir en appui contre une arête supérieur du connecteur. Une telle configuration permet au capot de coiffer le connecteur de telle manière à obtenir une continuité de parois entre le connecteur et le capot qui le couvre. Une telle coopération entre le bord et l’arête forme un moyen de blocage en rotation qui limite la rotation dans au moins un sens de rotation entre le connecteur et son capot. L’invention a aussi pour objet un ensemble formé d’un tel capuchon et d’un connecteur configuré pour être attaché à un balai d’essuyage. L’ensemble comprend avantageusement l’une quelconque au moins des caractéristiques suivantes prise seule ou en combinaison : - le connecteur comprend une embase et un corps comprenant un plateau inférieur ; - le corps comporte une structure étagée comprenant le plateau inférieur, un plateau intermédiaire et un plateau supérieur ; - le plateau supérieur comporte un organe de renfort qui est conformé en un U dont des branches sont reliées au plateau supérieur et dont une base forme une extrémité du plateau supérieur ; - le connecteur comprend au moins un flanc latéral interne équipé du palier ; - le connecteur comprend au moins un flanc latéral externe qui bordent extérieurement et transversalement le flanc latéral interne, - l’embase comprend des crochets de solidarisation du connecteur sur un balai d’essuyage. L’invention vise encore un balai d’essuyage comprenant au moins un connecteur solidaire du balai d’essuyage et un capuchon tel que détaillé dans le présent document. Avec un tel balai d’essuyage, le connecteur peut comprendre un palier dans lequel est logé l’arbre du capot. L’invention couvre aussi un système d’essuyage comprenant un balai d’essuyage tel que présenté dans le présent document et comprenant un bras d’entraînement pourvu d’une partie terminale équipée d’au moins un orifice dans lequel est reçu l’arbre du capot. L’invention a enfin pour objet un procédé d’assemblage d’un système d’essuyage tel que présenté ci-dessus, au cours duquel on couvre au moins partiellement le connecteur en attachant le capot au connecteur par coopération de l’arbre du capot avec un palier du connecteur, puis on attache le capot à la partie terminale du bras d’entraînement par coopération de l’arbre du capot avec un orifice du bras d’entraînement.

Ces dispositions sont telles que le capuchon est rapidement et aisément fixé à une partie terminale d’un bras d’entraînement et à un connecteur, une liaison mécanique entre le capuchon et/ou le bras d’entraînement et/ou le connecteur étant robuste, efficace et pérenne. D'autres caractéristiques, détails et avantages de l'invention ressortiront plus clairement à la lecture de la description donnée ci-après, à titre indicatif, en relation avec les figures suivantes : - la figure 1 est une vue en perspective d'un système d’essuyage selon l’invention, - la figure 2 est une vue en perspective d’un connecteur constitutif du système d’essuyage illustré sur la figure 1, - la figure 3 est une vue de dessus du connecteur illustré sur la figure 2, - la figure 4 est une vue de côté du connecteur illustré sur les figures 2 et 3, - la figure 5 est une vue arrière du connecteur illustré sur les figures 2 à 4, - la figure 6 est une vue de dessous d’un capuchon constitutif du ensemble entre le balai d’essuyage et le bras d’entraînement participant du système d’essuyage illustré sur la figure 1, - la figure 7 est une vue arrière du capuchon illustré sur la figure 6, - la figure 8 est une vue de dessus du connecteur illustré sur les figures 6 et 7, - la figure 9 est une vue de côté du capuchon illustré sur les figures 6 à 8 et du connecteur illustré sur les figures 3 à 5 assemblés, formant un ensemble, le connecteur étant solidaire du balai d’essuyage, - la figure 10 est une vue de dessus de l’ensemble illustré sur la figure 9, - la figure 11 est une vue en perspective arrière de l’ensemble illustré sur les figures 9 ou 10, - la figure 12 est une vue de côté d’une partie terminale du bras d’entraînement constitutif du système d’essuyage illustré sur la figure 1, - la figure 13 est une vue de dessus du système d’essuyage illustré sur la figure 1, - la figure 14 est une vue de côté du système d’essuyage illustré sur les figures 1 et 13.

Sur les figures, les dénominations longitudinale, latérale, transversale, verticale, dessus, dessous, se réfèrent à l'orientation d’un balai d'essuyage 1 illustré sur la figure 1. Une direction longitudinale correspond à l'axe principal du balai d’essuyage 1 selon lequel ce dernier s’étend. Cet axe principal est parallèle à un axe longitudinal X le long duquel s’étend le capuchon objet de l’invention. Une direction transversale correspond à celle d’un axe transversal Y qui est perpendiculaire à l'axe longitudinal X et perpendiculaire à un axe de rotation d’un bras d’entraînement 2 constitutif d’un système d’essuyage 3. Une direction verticale, parallèle à celle d’un axe vertical Z, et les dénominations supérieure ou inférieure, se rapportent à des orientations parallèles à l'axe de rotation du bras d'entraînement 2 du système d’essuyage 3, la dénomination inférieure contenant le plan du pare-brise.

Les directions évoquées ci-dessus sont illustrées dans un repère orthonormé Oxyz représenté sur les figures. Dans ce repère, l'axe Ox représente la direction longitudinale, l'axe Oy représente la direction transversale, et l'axe Oz représente la direction verticale.

Sur la figure 1, un véhicule automobile est équipé du système d’essuyage 3 pour évacuer une eau et/ou des salissures présentes sur une surface vitrée, notamment une lunette arrière ou un pare-brise de véhicule automobile.

Le système d’essuyage 3 comprend le bras d’entraînement 2, illustré partiellement sur la figure 12, qui est apte à effectuer un mouvement de va-et-vient angulaire le long et au-dessus de la surface vitrée. La surface vitrée est plus particulièrement une lunette arrière équipant le véhicule automobile.

Le système d’essuyage 3 comprend aussi le balai d’essuyage 1 qui s’étend selon l’axe principal, dit axe longitudinal X parallèle à l’axe Ox. Le balai d’essuyage 1 peut comprendre au moins un déflecteur d’air 4 et une lame racleuse 5. Le déflecteur d’air 4 est prévu pour transformer une pression appliquée par un flux d’air circulant le long de la surface vitrée en une force d’appui du balai d’essuyage 1 contre la surface vitrée du véhicule automobile. La lame racleuse 5 est la pièce du balai d’essuyage 1 en contact direct avec la surface vitrée pour évacuer l’eau et/ou les salissures présentes sur ce dernier. Le déflecteur d’air 4 et la lame racleuse 5 forment un ensemble semi-rigide 6 qui est porté par un ensemble 7, interposé entre le bras d’entraînement 2 et l’ensemble semi-rigide 6. L’ensemble 7 assure une liaison mécanique entre le bras d’entraînement 2 et le balai d’essuyage 1 et permet ainsi de séparer le balai d’essuyage 1 du bras d’entraînement 2, en vue d’un remplacement du balai d’essuyage 1. Dans sa généralité, l’ensemble 7 de la présente invention comprend deux pièces, dont un connecteur 8 illustré sur les figures 2 à 5 et un capuchon 9 représenté sur les figures 6 à 8, visibles ensemble sur les figures 9 à 11 et les figures 13 et 14.

Le connecteur 8 est apte à porter le balai d’essuyage 1 et est rapporté sur le capuchon 9 qui est à même d’être fixé à une partie terminale 50 du bras d’entraînement 2. Plus particulièrement, le connecteur 8 et le bras d’entraînement 2 sont fixés l’un et l’autre sur le capuchon 9, qui constitue donc avantageusement un élément de liaison mécanique entre le bras d’entraînement 2 et le connecteur 8, selon une disposition avantageuse de la présente invention. Mécaniquement, le capuchon 9 participe à une fixation du connecteur 8 et du bras d’entraînement 2 entre eux. En d’autres termes, le capuchon 9 comporte, outre une fonction esthétique de recouvrement et/ou de protection au moins partielle du connecteur 8, une fonction d’assemblage du connecteur 8 sur le bras d’entraînement 2. Plus particulièrement encore, le capuchon 9 est interposé entre le connecteur 8 et le bras d’entraînement 2 qui ne sont pas directement liés l’un à l’autre. Ceux-ci sont assemblés l’un à l’autre que par l’intermédiaire du capuchon 9.

Selon un mode de réalisation de l'invention, le connecteur 8 et le capuchon 9 sont réalisés par moulage d'un matériau synthétique, par exemple un matériau de la famille des Polyoxyméthylènes, connue sous l'acronyme POM, ou par moulage d'un mélange de matériaux polymères, par exemple un mélange de polymères de la famille des polycarbonates et de la famille des Acrylonitrile Butadiène Styrène, connue sous l'acronyme ABS. Le connecteur 8, d’une part et le capuchon 9 d’autre part, sont chacun d’un seul tenant et forme chacune une pièce monobloc. La partie terminale 50 est quant à elle par exemple réalisée par pliage d’un feuillard métallique, tel qu’une tôle en aluminium ou analogue. Selon un autre mode de réalisation, la partie terminale 50 est réalisée par moulage d’une matière synthétique.

En se reportant aux figures 2 à 5, le connecteur 8 comprend une embase 10, qui s'étend selon les directions longitudinale et transversale, et un corps 11 qui s'étend, au-dessus de l'embase 10, sensiblement selon la direction verticale. Selon le mode de réalisation représenté sur ces figures, le connecteur 8, pris dans son ensemble, présente un premier plan de symétrie Pi, longitudinal et vertical, parallèle au plan Oxz du repère orthonormé défini plus haut, et sensiblement médian selon la direction transversale. L'embase 10 comporte des moyens de solidarisation du connecteur 8 au balai d'essuyage 1. Ces moyens de solidarisation prennent la forme d'une première et d'une deuxième gorge 12, plus particulièrement visibles sur la figure 5, ménagées dans les parties latérales inférieures de l'embase 10, dont chacune délimite, en partie inférieure latérale de cette embase 10, un crochet 13 apte à venir en prise sur le balai d'essuyage 1, plus particulièrement sur un élément de structure du balai tel qu’une vertèbre.

Le corps 11, avantageusement issu de matière avec l'embase 10, s'étend au-dessus de cette dernière selon la direction verticale. Le corps 11 présente une dimension transversale, prise selon l’axe transversal Y, supérieure à la dimension transversale de l'embase 10, et une dimension longitudinale, prise selon l’axe longitudinal X, supérieure à la dimension longitudinale de l'embase 10. Autrement dit, le corps 11 coiffe et surplombe l’embase 10, longitudinalement et transversalement, le corps 11 formant globalement un chapeau recouvrant l’embase 10.

Symétriquement disposés par rapport au premier plan de symétrie Pi du connecteur 8, le corps 11 comporte des premier et deuxième flancs latéraux internes 14, sensiblement verticaux. Les flancs latéraux internes 14 sont sensiblement plans et de faible épaisseur selon la direction transversale. Symétriquement disposés par rapport au premier plan de symétrie Pi du connecteur 8, le corps 11 comporte également des premier et deuxième flancs latéraux externes 15, sensiblement verticaux, qui bordent extérieurement et transversalement les premier et deuxième flancs latéraux internes 14. Autrement dit, les premier et deuxième flancs latéraux externes 15 sont respectivement répartis de part et d’autre des premier et deuxième flancs latéraux internes 14. Les premier et deuxième flancs latéraux internes 14 présentent une hauteur prise selon l’axe vertical Z qui est supérieure à une hauteur des premier et deuxième flancs latéraux externes 15 également prise selon l’axe vertical Z. En partie supérieure du corps 11, les premier et deuxième flancs latéraux internes 14 délimitent un volume interne V, qui constitue un dégagement vide de matière et/ou d’éléments participant du connecteur 8. Le volume interne Vi présente une largeur transversale qui est supérieure à la moitié d’une largeur du connecteur 8 prise entre les premier et deuxième flancs latéraux externes 15 selon la direction transversale Y.

Sur la figure 5, les premier et deuxième flancs latéraux internes 14 et les premier et deuxième flancs latéraux externes 15 sont portés par un plateau inférieur 16 s’étendant sensiblement à l’intérieur d’un plan parallèle à un plan transversal Pt qui est orthogonal au premier plan de symétrie Pi. Le plateau inférieur 16 est interposé entre l’embase 10 et le corps 11. Le plateau inférieur 16 porte un plateau intermédiaire 17 qui s’étend à l’intérieur d’un plan parallèle au plan transversal Pt. Le plateau inférieur 16 et le plateau intermédiaire 17 sont reliés l’un à l’autre par des cloisons inférieures 18 qui s’étendent chacune à l’intérieur d’un plan parallèle au premier plan de symétrie Pi. Le plateau intermédiaire 17 porte un plateau supérieur 19 qui s’étend à l’intérieur d’un plan parallèle au plan transversal Pt. Le plateau supérieur 19 et le plateau intermédiaire 17 sont reliés l’un à l’autre par des cloisons supérieures 20 qui s’étendent chacune à l’intérieur d’un plan parallèle au premier plan de symétrie Pi. Le plan transversal Pt est parallèle au plan Oxy et le premier plan de symétrie Pi est parallèle au plan Oxz. Autrement dit, le corps 11 comprend une structure étagée formée au moins, successivement en partant de l’embase 10, du plateau inférieur 16, des cloisons inférieures 18, du plateau intermédiaire 17, des cloisons supérieures 20 et du plateau supérieur 19. Une telle structure étagée présente l’avantage d’être à la fois compacte, résistante et légère. Le volume interne Vi surplombe le plateau supérieur 19.

Le plateau supérieur 19 et le plateau intermédiaire 17 comportent l’un et l’autre au moins un ajour respectif 21, les ajours 21 étant préférentiellement superposés verticalement l’un à l’autre. De tels ajours 21 confortent la légèreté du corps 11 sans toutefois affecter sa résistance mécanique.

Le plateau supérieur 19 comporte un organe de renfort 22 qui est conformé en un U, vu dans un plan transversal Pt. L’organe de renfort 22 comprend ainsi des branches reliées au plateau supérieur 19 et dont une base forme une extrémité du plateau supérieur 19. L’organe de renfort 22 est destiné à guider le capuchon 9 lors de l’assemblage de ce dernier sur le connecteur 8. Un tel organe de renfort 22 peut également servir de retenu mécanique pour maintenir en place le capot 9 sur le connecteur 8, notamment par interaction entre la base du « U » et un rabat ménagé sur le capot.

Comme le montre la figure 4, chacun des premier et deuxième flancs latéraux internes 14 présente, vu de côté, un profil tel que la surface supérieure de chacun de ces flancs latéraux internes 14, en sa partie centrale selon la direction longitudinale du connecteur 8, forme une pente descendante en direction d’une extrémité longitudinale du connecteur. De même, chacun des premier et deuxième flancs latéraux externes 15 présente sensiblement, vu de côté, un profil tel que la surface supérieure de chacun de ces flancs latéraux externes 15, en sa partie centrale selon la direction longitudinale du connecteur 8, forme une pente descendante en direction d’une extrémité longitudinale du connecteur 8. Ces formes permettent à la fois d'alléger le connecteur 8, et de faciliter son assemblage avec d'autres éléments du système d’essuyage 3. A travers chacun du premier et du deuxième flanc latéral interne 14 est ménagé un palier 23 d'un arbre 90, visible sur les figures 6 à 8, solidaire du capuchon 9, arbre 90 auquel le connecteur 8 est destiné à être lié lors d’une étape d’un procédé d’assemblage de l’invention qui est décrit ci-après.

Un premier palier 23 est ainsi ménagé dans le premier flanc latéral interne 14, et un deuxième palier 23 est ainsi ménagé dans le deuxième flanc latéral interne 14. Chacun des paliers 23 a une forme sensiblement cylindrique et est traversant, c'est-à-dire qu'il s'étend transversalement sur toute l'épaisseur de chacun des flancs latéraux internes 14. Le diamètre intérieur de chacun des paliers 23 est défini par rapport à un diamètre moyen de l’arbre 90 solidaire du capuchon 9 auquel le connecteur 8 est destiné à être connecté. Les centres des deux paliers 23 respectivement agencés dans le premier flanc latéral interne 14 et dans le deuxième flanc latéral interne 14 sont alignés selon l’axe transversal Y parallèle à la direction de l'axe Oy du repère orthonormé défini plus haut. L'axe transversal Y matérialise l'axe de fixation de l'arbre 90 solidaire du capuchon 9 sur le connecteur 8, une fois que l’arbre 90 est accueilli à l’intérieur des paliers 23 du connecteur 8. Chacun des paliers 23 est placé sensiblement, selon la direction longitudinale, dans une zone centrale ou bien dans une zone avant du flanc latéral interne 14 correspondant. Selon la direction verticale, chacun des paliers 23 s'étend avantageusement en zone supérieure du corps 11 du connecteur 8.

Chacun de ces paliers 23 est donc agencé, sur l'un ou l'autre des premier ou deuxième flancs latéraux internes 14, de telle manière que, d'une part, il subsiste de la matière du flanc latéral interne 14 correspondant au-dessus du palier 23, et de telle manière que, d'autre part, il subsiste de la matière du flanc latéral interne 14 correspondant au-dessous dudit palier 23, entre son point le plus bas et la face supérieure de l'embase 10 du connecteur 8.

Pour permettre l'accueil et le maintien de l’arbre 90 solidaire du capuchon 9 dans le connecteur 8, c'est-à-dire, plus précisément, simultanément dans les paliers 23, une ouverture d'entrée 24 est ménagée dans le flan latéral interne pour accéder à chacun de ces paliers 23. La dimension longitudinale de chacune des ouvertures d'entrée 24 est inférieure au diamètre intérieur du palier 23 auquel l’ouverture d’entrée 24 donne accès et dans lequel l’ouverture d’entrée 24 débouche. En d'autres termes, chaque ouverture d'entrée 24 forme un cône d'accès au palier 23 correspondant. Une première ouverture d'entrée 24 forme ainsi un cône d'accès au premier palier 23 agencé dans le premier flanc latéral interne 14, et une deuxième ouverture d'entrée 24 forme un cône d'accès au deuxième palier 23 agencé dans le deuxième flanc latéral interne 14. Ainsi, lorsque l’arbre 90 solidaire du capuchon 9 est accueilli simultanément dans les paliers 23, l’arbre 90 y est ensuite maintenu selon la direction verticale. Afin de faciliter l'insertion de l'arbre 90 solidaire du capuchon 9 dans les ouvertures d'entrée 24, et la mise en place de cet arbre 90 dans les paliers 23, des chanfreins 25 sont formés sur chacune des arêtes d'entrée de chacune des ouvertures d'entrée 24.

Sur la figure 4, chacun des flancs latéraux internes 14 comporte une aile latérale arrière 26 qui dépasse longitudinalement au-delà des flancs latéraux externes 15. Les ailes latérales arrière 26 forment ensemble un organe de préhension du connecteur 8 pour notamment faciliter une mise en place de l’arbre 90 du capuchon 9 à l’intérieur des paliers 23 du connecteur 8. Chaque aile latérale arrière 26 comprend un rebord supérieur 27 qui forme une surface de guidage à l’égard d’un rebord inférieur 51 de la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2.

De même, chacun des flancs latéraux externes 15 comporte une arête supérieure 28 et une arête avant 29 qui forment une butée en rotation à l’égard du capuchon, quand celui-ci est rapporté pour couvrir le connecteur 8. L’arête supérieure 28 coopère, par mise en contact, avec un bord inférieur 91 d’une paroi latérale 96 du capuchon 9. L’arête avant 29 coopère quant à elle, par mise en contact, avec un bord arrière 92 de la même paroi latérale 96 du capuchon 9. L’arête supérieure 28 et l’arête avant 29 forment entre eux un premier angle ai qui est compris entre 90° et 120°. Ces dispositions visent à faciliter une fixation du capuchon 9 sur le connecteur 8, tout en bloquant une rotation relative entre ces deux composants au moins dans un sens de rotation. Ces aspects de l’invention sont visibles sur les figures 9 et 11.

Sur les figures 6 à 8, le capuchon 9 de l’invention est étendu selon l’axe longitudinal X et comporte un deuxième plan de symétrie P2 qui s’étend le long de l’axe longitudinal X.

Le capuchon 9 comprend un capot 93 qui présente un profil en « U » selon une coupe ménagée dans un plan parallèle à un plan vertical Py, c’est-à-dire perpendiculairement à l’axe longitudinal X et au deuxième plan de symétrie P2du capuchon 9.

Le capot 93 comprend une paroi avant 94, une paroi supérieure 95 et deux parois latérales 96. La paroi supérieure 95 et la paroi avant 94 relient entre elles les parois latérales 96. Les parois latérales 96 forment les branches du profil en « U » alors que la paroi supérieure 95 forme la base du profil en « U ».

La paroi avant 94 est étendue selon un plan qui forme un deuxième angle ai avec un plan vertical Py, le deuxième angle ai étant compris entre 0 et 45°. La paroi supérieure 95 est étendue selon un plan qui forme un troisième angle as avec un plan horizontal Ph, le troisième angle as étant compris entre 0 et 30°. Ce deuxième angle a2 et ce troisième angle as sont illustrés sur la figure 9.

En se reportant à la figure 7, on constate que les parois latérales 96 sont chacune étendues selon un plan respectif qui forme un quatrième angle 04 avec le deuxième plan de symétrie P2, le quatrième angle a4 étant compris entre 0 et 20°. Le plan vertical Py est parallèle au plan Oyz, le plan horizontal Ph est parallèle au plan Oxy et le deuxième plan de symétrie P2 est parallèle au plan Oxz. Π en découle que le capot 93 forme une structure en U évasée vers le bas, c’est-à-dire à l’opposé de la paroi supérieure 95, tel que visible sur la figure 7. Il en découle également que le capot 93 forme également une structure profilée vers l’avant, tel que visible sur la figure 9, grâce à l’inclinaison de la paroi avant 94.

La paroi supérieure 95 comporte une échancrure 97 qui permet le passage d’une protubérance avant 52 de la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2. L’échancrure 97 s’étend selon l’axe longitudinal X et présente une forme oblongue avec une zone avant 98 conformée en un demi-cercle. Une telle échancrure 97 est ouverte sur l’arrière du capot 9, c’est-à-dire au niveau d’une face arrière 110 opposée à la face avant 94, par rapport à la face supérieure 95.

La paroi avant 94 est terminée quant à elle par un rabat 99 qui est tourné vers un volume intérieur 100 du capot 93. Le rabat 99 est pourvu d’une découpe 101 pour permettre un passage du balai d’essuyage 1. Le rabat 99 vient en prise sur un rebord du connecteur 8 et forme ainsi une butée.

Le volume intérieur 100 du capuchon 9 est délimité au moins par la paroi avant 94, la paroi supérieure 95 et les parois latérales 96 en contact les unes avec les autres. L’arbre 90 s’étend dans ce volume intérieur 100 entre les deux parois latérales 96. Plus précisément, l’arbre 90 est issu de moulage avec les parois latérales 96. L’arbre 90 est reçu dans les paliers 23 du connecteur 8 et dans les orifices 53 de la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2. Autrement dit, le capuchon 9 loge un unique arbre 90 qui participe à la fois à la fixation du connecteur 8 et de la partie terminale 50 du bras d’entraînement. Ainsi, le capuchon 9 constitue une pièce intermédiaire de l’ensemble 7 sur lequel le connecteur 8 et la partie terminale 50 du bras d’entraînement sont fixés. L’arbre 90 du capuchon s’étend entre les parois latérales 96 du capot 93 en étant parallèle à l’axe transversal Y. L’arbre 90 comprend une zone de réception 102 qui est bordée par deux portions de réception 103. Autrement dit, chaque portion de réception 103 est interposée entre la zone de réception 102 et une paroi latérale respective 96 qui délimite le capot 9.

La zone de réception 102 de l’arbre 90 est prévue pour recevoir le ou les orifices 53 de la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2. Les portions de réception 103 sont destinées à recevoir les paliers 23 du connecteur 8. La zone de réception 102 est considérée comme centrale en ce sens qu’elle est disposée entre les deux portions de réception 103, et qu’elle est coupée par le plan de symétrie longitudinal du capot 9 passant par l’axe longitudinal X.

Comme illustré sur la figure 7, la zone de réception 102 est notamment constituée d’un premier cylindre d’un premier diamètre Di qui est inférieur à un deuxième diamètre Ü2 d’un deuxième cylindre qui constitue au moins une des portions de réception 103, et avantageusement les deux.

Selon une autre variante non illustrée, la zone de réception 102 est constituée du premier cylindre de premier diamètre Di qui est supérieur au deuxième diamètre D2 du deuxième cylindre qui constitue au moins une des portions de réception 103, et avantageusement les deux.

Ces dispositions visent à faciliter un ancrage du connecteur 8 et de la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2. Selon la variante illustrée, les paliers 23 du connecteur 8 sont du même diamètre que le deuxième diamètre D2 des portions de réception 103 et les orifices 53 sont circulaires et du même diamètre que le premier diamètre Di de la zone de réception 102. Des contreforts 104 sont préférentiellement interposés entre chaque portion latérale 103 et la paroi latérale 96 à laquelle la portion latérale est rattachée, pour consolider une liaison mécanique entre l’arbre 90 et le capot 93.

En se reportant sur la figure 11, le volume interne Vi qui s’étend entre les premier et deuxième flancs latéraux internes 14 facilite un ancrage de la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2. Pour faciliter un tel ancrage et comme illustré sur la figure 12, les orifices 53 sont bordés par au moins une encoche débouchante 54 ménagée à proximité de l’orifice 53 auquel l’encoche débouchante 54 est affectée. La présence d’une telle encoche débouchante 54 pratiquée dans une paroi du bras d’entraînement 2 permet un écartement temporaire des bords des orifices 53, de manière à donner une certaine flexibilité à ces bords lors de l’insertion de l’arbre 90 dans la ou les orifices 53.

La figure 14 illustre également une interaction entre le connecteur 8 et la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2. Cette partie terminale 50 est affinée en son extrémité, comparé à la largeur du bras d’entraînement 2. Π est ainsi ménagé deux épaulements 111 et 112. Au moins un de ces épaulements forme une butée à l’égard d’une rotation du connecteur 8. En effet, une face terminale 113 de l’aile latérale arrière 26 vient en contact contre l’épaulement 111 ou 112 délimitant la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2. Π va maintenant être décrit une manière d’assembler le capuchon, et plus globalement le système d’essuyage 3.

On recouvre tout d’abord le connecteur 8 au moyen du capot 9. La liaison mécanique entre ces deux composants est opérée en introduisant les portions de réception 103 dans les paliers 23 ménagé dans le connecteur 8. Il s’agit là d’une première étape où on attache le capot 9 au connecteur 8 par coopération de l’arbre 90 du capot 9 avec le ou les paliers 23 du connecteur 8.

Comme visible sur les figures 9 et 11, les parois latérales 96 du capot sont alors alignées avec les flancs latéraux externes 15 délimitant le connecteur 8. On comprend ici qu’une face extérieure d’une paroi latérale 96 affleure une face extérieure du flanc latéral externe 15.

Une fois cet ensemble formé, avec ou sans le balai d’essuyage 1 attaché au connecteur 8, on le rapproche du bras d’entrainement 2 jusqu’à ce que l’arbre 90 soit logé dans le ou les orifices 53 formés dans la partie terminale 50 du bras d’entraînement. C’est ainsi qu’une deuxième étape du procédé est mise en œuvre, au cours de laquelle on attache le capot 9 à la partie terminale 50 du bras d’entraînement 2 par coopération de l’arbre 90 du capot 9 avec un ou des orifices 53 du bras d’entraînement 2.

Un balai d’essuyage selon l’invention pourra comporter seulement le capot 9, ou l’ensemble, assemblé ou non, du capot 9 couvrant le connecteur 8. Un tel balai d’essuyage est vendu dans les réseaux après-vente ou seconde monte.

Enfin, Le balai d’essuyage équipé d’un tel ensemble et rendu solidaire d’un bras d’entraînement, forme alors le système d’essuyage qui peut avantageusement être vendu dans les réseaux première monte des constructeurs automobiles.

Claims (21)

1. REVENDICATIONS

   1. Capuchon (9) constitutif d’un système d’essuyage (3) d’une surface vitrée d’un véhicule, le capuchon (9) comprenant au moins un capot (93) délimité par au moins deux parois latérales (96) et destiné à recouvrir au moins partiellement un connecteur (8) solidaire d’un balai d’essuyage (1), caractérisé en ce que le capot (93) comprend au moins un arbre (90) qui s’étend entre les deux parois latérales (96) du capot (93).
2. 2. Capuchon (9) selon la revendication 1, dans lequel l’arbre (90) est configuré pour se loger dans au moins un palier (23) équipant le connecteur (8) et dans au moins un orifice (53) équipant une partie terminale (50) d’un bras d’entraînement (2) porteur du balai d’essuyage (1).
3. 3. Capuchon (9) selon la revendication 2, dans lequel l’arbre (90) comprend une zone de réception (102) d’un orifice (53) et une pluralité de portions de réception (103) de palier (23).
4. 4. Capuchon (9) selon la revendication 3, dans lequel la zone de réception (102) est ménagée sur l’arbre (90) entre deux portions de réception (103).
5. 5. Capuchon (9) selon la revendication 3 ou 4, dans lequel la zone de réception (102) et au moins une des portions de réception (103) sont cylindriques et de diamètres distincts.
6. 6. Capuchon (9) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le capot (93) comprend au moins une paroi avant (94) et une paroi supérieure (95) qui joignent les parois latérales (96).
7. 7. Capuchon (9) selon la revendication 6, dans lequel la paroi supérieure (95) comprend une échancmre (97) configurée pour autoriser un passage d’une partie terminale (50) d’un bras d’entraînement (2) du balai d’essuyage (1).
8. 8. Capuchon (9) selon la revendication 7, dans lequel l’échancrure (97) est ouverte sur une face (110) du capuchon (9) opposée à la paroi avant (94) par rapport à la paroi supérieure (95).
9. 9. Capuchon (9) selon l’une des revendications 7 ou 8, dans lequel l’échancrure (97) surplombe l’arbre (90).
10. 10. Capuchon (9) selon l’une quelconque des revendications 6 à 9, dans lequel la paroi avant (94) comprend un rabat (99) qui est tourné vers un volume intérieur (100) délimité par le capot (93).
11. 11. Capuchon (9) selon la revendication 10, dans lequel le rabat (99) comporte une découpe (101).
12. 12. Capuchon (9) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel au moins une des parois latérales (96) est délimitée par au moins un bord inférieur (91, 92) configuré pour venir en appui contre une arête supérieur (28) du connecteur (8).
13. 13. Ensemble (8, 9) formé d’un capuchon (9) selon l’une quelconque des revendications précédentes et d’un connecteur (8) configuré pour être solidarisé sur un balai d’essuyage (1).
14. 14. Ensemble (8, 9) selon la revendication précédente, dans lequel le connecteur (8) comprend une embase (10) et un corps (11) comprenant un plateau inférieur (16).
15. 15. Ensemble (8, 9) selon la revendication précédente, dans lequel le corps (11) comporte une structure étagée comprenant le plateau inférieur (16), un plateau intermédiaire (17) et un plateau supérieur (19).
16. 16. Ensemble (8, 9) selon la revendication 15, dans lequel le plateau supérieur (19) comporte un organe de renfort (22) qui est conformé en un U dont des branches sont reliées au plateau supérieur (19) et dont une base forme une extrémité du plateau supérieur (19).
17. 17. Ensemble (8, 9) selon l’une quelconque des revendications 13 à 16 et comprenant un capuchon au moins selon l’une quelconque des revendications 2 à 5, dans lequel le connecteur (8) comprend au moins un flanc latéral interne (14) équipé du palier (23).
18. 18. Balai d’essuyage (1) comprenant au moins un connecteur (8) solidaire du balai d’essuyage (1) et un capuchon (9) selon l’une quelconque des revendications 1 à 12.
19. 19. Balai d’essuyage (1) selon la revendication précédente, dans lequel le connecteur (8) comprend un palier (23) dans lequel est logé l’arbre (90) du capot (9).
20. 20. Système d’essuyage (3) comprenant un balai d’essuyage (1) selon la revendication 18 ou 19 et un bras d’entraînement (2) pourvu d’une partie terminale (50) équipée d’au moins un orifice (53) dans lequel est reçu l’arbre (90) du capot (9).
21. 21. Procédé d’assemblage d’un système d’essuyage (3) selon la revendication 20, au cours duquel on couvre au moins partiellement le connecteur (8) en attachant le capot (9) au connecteur (8) par coopération de l’arbre (90) du capot (9) avec un palier (23) du connecteur (8), puis on attache le capot (9) à la partie terminale (50) du bras d’entraînement (2) par coopération de l’arbre (90) du capot (9) avec un orifice (53) du bras d’entraînement (2).