FR2787750A1 - Siege de vehicule a dispositif de reglage de l'inclinaison du dossier - Google Patents

Abstract

a) Siège de véhicule comportant une assise et un dossier qui y est disposé avec possibilité de mouvement pivotant, ainsi qu'un dispositif de réglage du dossier pour régler l'inclinaison du dossier,b) Siège dans le cas duquel le dispositif (19) de réglage du dossier comprend au moins un élément formant biellette (54) qui, disposé dans la zone de transition entre dossier (13) et assise (11), au-dessus de l'angle, s'appuie par son extrémité supérieure sur le dossier (13) et par son extrémité inférieure sur l'assise (11), caractérisé par le fait qu'à l'élément formant biellette (54) est articulé une extrémité d'une crémaillère en forme d'arc et qu'avec la crémaillère engrène un pignon d'entraînement de la mécanique d'entraînement sous l'action duquel la crémaillère peut pivoter autour du centre du chemin du mouvement.c) L'invention concerne en particulier un siège de véhicule et en permet un réglage commode.

Description

L'invention concerne un siège de véhicule comportant une assise et un

dossier qui y est disposé avec possibilité de mouvement pivotant, ainsi qu'un dispositif de réglage du dossier pour régler l'inclinaison du dossier, dans le cas duquel le dispositif de réglage du dossier comprend au moins un élément formant biellette qui, disposé dans la zone de transition entre dossier et assise, au-dessus de l'angle, s'appuie par son extrémité supérieure sur le dossier et par son extrémité inférieure sur l'assise et dans le cas duquel l'élément formant biellette est un levier du type biellette dont l'extrémité supérieure est couplée, pour son mouvement, au dossier et dont l'extrémité inférieure est à déplacer, le long d'un chemin en arc de cercle, entre des positions

d'extrémité, pour le réglage du dossier en inclinaison.

Dans le document DE-OS 322 40 692, on peut voir un siège de véhicule comportant une assise et un dossier qui y est disposé avec liberté de mouvement de pivotement, document dans le cas duquel est prévu un dispositif de réglage du dossier comprenant au moins un élément formant biellette sous forme d'un levier du type biellette pour le réglage du dossier en inclinaison. Ce levier du type biellette est disposé dans la zone de transition entre le dossier et l'assise au- dessus de l'angle. Par son extrémité supérieure, le levier du type biellette s'appuie sur le dossier et il est couplé en mouvement avec lui. Par son extrémité inférieure, le levier du type biellette s'appuie sur l'assise par l'intermédiaire d'une mécanique d'entraînement. Pour le réglage du dossier en inclinaison, la mécanique d'entraînement comporte une bielle oscillante qui peut pivoter, à la façon d'une manivelle, au moyen d'un mécanisme, à laquelle l'extrémité inférieure du levier du type biellette est relié avec articulation et qui peut se déplacer entre des positions d'extrémité le long d'un chemin en arc de cercle. La bielle oscillante y forme avec le levier du type biellette une sorte de

mécanisme d'entraînement à genouillère.

Dans le cas de ce siège de véhicule, il est désavantageux que la bielle oscillante, qui peut pivoter au moyen du mécanisme, doive être disposée à une distance notable du dossier, pour que le mécanisme d'entraînement à genouillère présente une action de levier appropriée pour le réglage du dossier en inclinaison. Sur le côté du siège du véhicule il faut donc une place relativement importante, ce qui conduit désavantageusement à compromettre le

confort d'assise de l'occupant.

A partir du document DE 17 55 333 C3,'on connaît un siège de véhicule conçu sous forme de siège baquet comportant une assise et

un dossier qui y est disposé avec liberté de mouvement pivotant.

Pour le réglage du dossier en inclinaison, ce siège de véhicule comporte un dispositif de réglage du dossier comprenant au moins un élément formant biellette qui est disposé dans la zone de transition entre dossier et assise, au-dessus de l'angle. Dans ce but, l'élément formant biellette, conçu sous forme de vis-mère, vient en prise, par son extrémité supérieure et par son extrémité inférieure, avec chaque fois un écrou, ces écrous étant disposés sur le dossier ou sur l'assise du siège de véhicule et présentant des filetages en sens opposés. En faisant tourner la vis-mère à l'aide d'un volant qui y est fixé, on peut modifier la distance des écrous disposés sur l'assise et sur le dossier et donc régler l'inclinaison du dossier par

rapport à l'assise.

Dans le cas de ce siège de véhicule connu, le réglage d'inclinaison du dossier est toutefois peu confortable. En outre, la vis-mère nécessite une place relativement importante, de sorte que sur le côté, dans la zone située entre l'assise et le dossier, les joues de l'assise et du dossier doivent être découpées sur une place relativement importante pour garantir une libre accessibilité au volant de la vis- mère. Dans le cas de cette forme de réalisation, dans le cas de laquelle des vis-mères sont prévues des deux côtés du siège de véhicule, il n'est prévu aucun dispositif de protection à l'égard d'une rotation non identique des deux vis-mères, de sorte que l'on peut en venir à un gauchissement des deux éléments

formant biellettes.

Le but de l'invention est de créer un siège de véhicule du type mentionné au début, qui présente une confortable possibilité de réglage du dossier et permette une disposition compacte, peu encombrante, du dispositif du réglage du dossier dans la zone de

transition entre le dossier et l'assise.

Selon l'invention, on atteint ce but au moyen d'un siège de véhicule caractérisé par le fait qu'au levier est articulée une extrémité d'une crémaillère en forme d'arc et qu'avec la crémaillère engrène un pignon d'entraînement de la mécanique d'entraînement sous l'action duquel la crémaillère peut pivoter autour du centre du chemin en arc de cercle. Des formes de réalisation avantageuses avec des extensions intéressantes de

l'invention s'énoncent comme suit.

De préférence le dispositif de réglage du dossier comporte deux leviers qui sont disposés symétriquement par rapport à un plan et sont à déplacer en synchronisme au moyen d'un mécanisme d'entraînement. De préférence, par rapport au contour latéral de l'assise, les

leviers sont, au moins par zone, disposés en retrait.

De préférence, les leviers sont articulés sur les joues latérales,

relevées, du dossier.

De préférence, l'assise présente, dans des zones de bordure

latérales, une ouverture de passage pour le levier associé.

De préférence, l'assise et le dossier sont réunis l'un à l'autre

par un tronçon de liaison élastique en flexion.

De préférence, la structure porteuse de l'assise et du dossier avec le tronçon de liaison est conçue sous forme d'un siège baquet monopièce, le siège baquet étant affaibli en flexion par des

entailles latérales dans la zone du tronçon de liaison.

Dans le cas du siège de véhicule conforme à l'invention, sur le levier est articulée une extrémité d'une crémaillère en forme d'arc avec laquelle vient engrener un pilon d'entraînement de la mécanique d'entraînement. Il en résulte une disposition particulièrement peu encombrante et robuste du dispositif de réglage du dossier qui, en particulier aussi dans le cas d'un siège de véhicule à faible épaisseur de matelassage, comme par exemple dans le cas d'un siège baquet, peut s'employer dans la zone de transition entre le dossier et l'assise. Du fait que l'extrémité inférieure du levier peut se déplacer le long du chemin en arc de cercle sous l'action de la crémaillère, le dossier peut se déplacer relativement régulièrement et de ce fait être particulièrement bien entraîné par un moteur, la mécanique d'entraînement étant de préférence disposée, avec le moteur, en-dessous de l'assise. Les entailles latérales entre l'assise et le dossier peuvent être de dimension relativement faibles, puisqu'il faut simplement garantir la possibilité d'un mouvement pivotant du dossier. En outre, le levier est disposé, de façon peu encombrante, dans la zone de transition entre le dossier et l'assise, au-dessus de l'angle, et il est

recouvert par un recouvrement simple à poser.

Dans une autre forme de réalisation de l'invention, il est apparu comme particulièrement avantageux d'employer deux leviers pouvant se déplacer en synchronisme, étant précisé que le dispositif de réglage du dossier par les forces réparties peut être prévu de dimension relativement faible et que peut être créé en

même temps un mécanisme d'entraînement fiable du dossier.

Si les leviers sont disposés, au moins par zone, en retrait par rapport au contour latéral de l'assise, il en résulte une assise qui

peut être de construction particulièrement étroite.

En outre, il est apparu comme avantageux d'articuler les leviers sur les joues latérales relevées du dossier. De ce fait, la valeur du moment, nécessaire pour le réglage de l'inclinaison, entre l'extrémité supérieure respective du levier et l'axe de pivotement ou le tronçon de liaison peut être choisie de façon particulièrement favorable. Dans une autre forme de réalisation de l'invention, l'assise présente dans des zones de bordure latérale, une ouverture de passage pour le levier associé, de sorte que la mécanique d'entraînement peut être disposée en- dessous de l'assise en

économisant de la place.

Si l'assise et le dossier sont reliés l'un à l'autre par un tronçon de liaison élastique en flexion, on peut renoncer à un axe

de pivotement fixe entre assise et dossier.

Si enfin, la structure porteuse de l'assise et du dossier ainsi que du tronçon de liaison est conçue monopièce, le siège baquet peut se fabriquer de façon particulièrement simple et stable. Dans la zone du tronçon de liaison, y sont prévues des entailles latérales qui diminuent la résistance en flexion pour garantir un réglage en

inclinaison du dossier présentant toute facilité de fonctionnement.

D'autres avantages, caractéristiques et détails de l'invention

résultent de la description, qui suit, d'un exemple de réalisation

préférée ainsi que des dessins.

La figure 1 est une vue perspective d'un siège de véhicule

selon une forme de réalisation préférée de l'invention.

La figure 2 est une vue perspective d'un châssis de siège avec un dispositif de réglage du dossier et un dispositif élastique du

siège de véhicule conforme à l'invention.

La figure 3a est une vue latérale de l'assise avec un châssis de

siège de véhicule conforme à l'invention.

La figure 3b et une vue latérale agrandie du dispositif de réglage du dossier du siège de véhicule conforme à l'invention

selon le détail 3b de la figure 3a.

La figure 4a est une vue perspective du dispositif du réglage

du dossier du siège de véhicule conforme à l'invention.

La figure 4b est une vue éclatée du dispositif de réglage du

dossier de la figure 4a.

La figure I représente un siège de véhicule 10, conçu sous forme d'un siège baquet et présentant une assise 11 en forme de baquet et un dossier 13 disposé sur cette assise, avec liberté de mouvement oscillant, par l'intermédiaire d'un tronçon de liaison 12 présentant une élasticité en flexion. Dans l'exemple de réalisation représenté ici, assise 11, tronçon de liaison 12 et dossier 13 forment un siège baquet d'une seule pièce en un matériau complexe armé de fibres, l'assise et le dossier 11, 13 ainsi que le tronçon de liaison 12 étant revêtus d'un matelassage adapté, non représenté, qui leur est adapté. Pour permettre un réglage de fonctionnement facile en inclinaison du dossier 13, le siège baquet présente des entailles latérales 14 qui abaissent la résistance à la flexion du tronçon de liaison 12. Les zones de bordure latérale 15, 16 de l'assise 11 ou du dossier 13 ont la forme de joues latérales relevées 17, 18 qui donnent au passager un maintien latéral. Dans la zone des entailles latérales 14 prévues dans le tronçon de liaison 12, on peut voir une partie d'un dispositif 19 de réglage du dossier, prévu pour régler l'inclinaison du dossier 13, qui sera expliqué plus

complètement plus loin, en référence aux figures 2 à 4b.

L'assise 11 du siège 10 comporte deux arceaux d'appui 20 qui sont chacun disposés latéralement, s'appuient sur un châssis de siège 23 par l'intermédiaire d'un dispositif élastique 21 comportant quatre ressorts travaillant en flexion 22, disposés latéralement en avant et en arrière. Le siège de véhicule 10 ou le châssis de siège 23 peut, au moyen d'un réglage longitudinal 25, se régler longitudinalement et se verrouiller dans des rails de guidage 24 qui sont disposés parallèlement l'un à l'autre sur le plancher 26 d'un véhicule à moteur. Au moyen d'un réglage en hauteur 27, sur lequel on reviendra en détail en particulier en référence à la figure 2, le siège de véhicule 10 peut en outre se régler électriquement en hauteur et se verrouiller dans la position réglée. D'un système de ceinture de sécurité, on ne peut voir ici qu'un verrou de ceinture 28 qui est fixé au châssis 23 du siège d'un côté du siège de véhicule ; une ferrure, non représentée, est fixée au châssis 23 du siège pour fixer une extrémité de la ceinture de sécurité du côté opposé

au verrou de ceinture 28.

La figure 2 représente en vue perspective le châssis 23 du siège avec des coulisseaux intérieurs 29, 30 qui sont chacun guidés par les rails de guidage 24 avec liberté de coulisser longitudinalement. Entre les coulisseaux intérieurs 29, 30 est disposé un arbre 31 qui est entraîné et verrouillé par un moteur 32 fixé sur l'un des coulisseaux intérieurs 29, 30 et comportant un mécanisme 33 de réglage longitudinal 25. En outre, aux extrémités de l'arbre 31, porté avec liberté de rotation dans les coulisseaux intérieurs 29, 30, est chaque fois fixée une roue dentée, non représentée, qui engrène avec une crémaillère également non représentée et fixée au rail de guidage 24. Le réglage en hauteur 27, pour entraîner et verrouiller un arbre 36, comporte, un moteur 34 et un mécanisme 35 qui sont fixés à l'un des coulisseaux intérieurs 29, 30. L'arbre 36 est disposé sur les coulisseaux intérieurs 29, 30, porté, avec liberté de rotation, sur chaque fois un réceptacle avant 37. A chacune des extrémités de l'arbre 36 est fixée une manivelle 38 en forme d'équerre (figure 3a) à l'extrémité de l'une des branches de laquelle les ressorts travaillant en flexion 22 sont portés, avec liberté d'osciller, par l'intermédiaire chaque fois d'une liaison à boulon 39. Aux extrémités arrière des coulisseaux intérieurs 29, 30, deux manivelles arrière en forme d'équerre 38 sont disposées sur des réceptacles arrière 40, portées avec liberté de pivoter autour d'un axe KA. Comme on peut le voir en particulier sur la figure 3a, les manivelles arrière 38 correspondent à peu près, dans leur forme, aux manivelles avant 38, étant précisé que sur une extrémité de branche de chacune des manivelles arrière en forme d'équerre 38, les ressorts travaillant en flexion 22 sont également chacun portés, avec liberté de pivoter, par l'intermédiaire d'une liaison par boulon 39. Les extrémités des autres branches des manivelles avant et arrière 38, associées latéralement l'une à l'autre, sont reliées l'une à l'autre, avec articulation, par l'intermédiaire d'une tringle 42. Lors d'un réglage de l'arbre 36, ce sont donc non seulement les manivelles avant 38 qui pivotent, mais également les manivelles arrière 38, par l'intermédiaire de la tringle 42. Il en résulte que les quatre manivelles 38 sont synchronisées et on obtient un réglage en hauteur régulier par l'intermédiaire des quatre manivelles 38. Si le réglage en hauteur des manivelles avant doit pouvoir se faire séparément d'avec celui des manivelles arrière 38, on peut alors également renoncer à la tringle 42, et dans ce cas les manivelles arrière 38 seraient à entraîner en supplément au moyen d'un moteur supplémentaire et d'un arbre supplémentaire reliant les manivelles arrière 38. Si les deux manivelles avant et les deux manivelles arrière 38 sont entraînées par un moteur avant et arrière distincts,

on réalise en outre un réglage en inclinaison de l'assise 11.

Les deux arceaux d'appui latéraux 20 sont reliés, par l'intermédiaire de, pour chacun, deux boulons 44, à l'assise 11 non représentée sur la figure 2. Les deux arceaux d'appui 20 s'y appuient, par, chacun, leur extrémité avant et leur extrémité arrière 45, 46, sur les ressorts travaillant en flexion 22. A l'extrémité arrière 46 de l'arceau d'appui 20 sont fixés des réceptacles arrière 47 auxquels est fixée une mécanique d'entraînement 48 du dispositif 19 de réglage du dossier. La mécanique d'entraînement 48 comporte deux moteurs 49, avec mécanismes 50, qui sont disposés latéralement à l'intérieur des coulisseaux intérieurs 29, 30 et par lesquels un pignon d'entraînement de gauche et un pignon

d'entraînement de droite 51 sont entraînés autour d'un axe ZA.

Vient en prise avec chacun des deux pignons d'entraînement 51 une crémaillère en forme d'arc 52 qui peut pivoter autour de son axe ZZ et qui est décrite en détail plus loin. A chacune des extrémités 53 des crémaillères 52 en forme d'arc, est disposé, avec articulation, un levier associé 54 en forme de biellette. Les deux leviers 54 y sont disposés symétriquement par rapport à un plan médian longitudinal vertical. Une extrémité supérieure respective 56 du levier en forme de biellette 54 est portée, avec liberté de pivotement, sur la joue latérale associée respective 18, 19 du dossier 13, non représenté. En manoeuvrant les moteurs 49, on peut donc, au moyen des crémaillères 52 et des leviers 54, régler le dossier 13 en ce qui concerne son inclinaison par rapport à l'assise 11, les deux mécanismes 50, et donc également les deux leviers 54 étant synchronisés l'un avec l'autre par un arbre 57. Le dossier 13 y pivote par rapport à l'assise 11 dans la zone du tronçon de liaison flexible 14. La mécanique d'entraînement 48 comprenant le levier 54 est, au moins par zone, recouverte par un recouvrement en plastique qui n'est pas indiqué ici pour motif de visibilité. On en

vient en particulier de façon encore plus précise à la description

détaillée de la mécanique d'entraînement 48 en se référant aux

figures 3b à 4b.

On peut voir en outre sur la figure 2 un cadre en U 58 qui sert à égaliser les valeurs du mouvement de mise sous contrainte et de mise hors contrainte des ressorts travaillant en flexion 22. Dans la zone de chacun des ressorts arrière 22, travaillant en flexion, est prévue une mécanique de verrouillage 59 en référence à la figure 3b, et au moyen de laquelle, au besoin, la possibilité d'un mouvement oscillant de l'assise 11 par rapport au châssis 23 peut être largement supprimée. Dans ce but est portée, à l'extrémité arrière de chacune des manivelles 54, une manivelle 60 (figure 3b) qui, au besoin, par exemple en cas d'accident, vient en prise avec des moyens de verrouillage correspondants 62 (figure 4b) prévus sur les réceptacles arrière 47 des arceaux d'appui 20, ce

qui donne un verrouillage de l'assise 11 sur le châssis 23.

Les figures 3a et 3b représentent chacune une vue latérale de l'assise 1l1 avec le châssis de siège 23 et le dispositif 19 de réglage du dossier, étant précisé que sur la figure 3 le mécanisme d'entraînement 48 du dispositif 19 de réglage du dossier est représenté agrandi selon le détail 3b de la figure 3a. Le levier de type biellette 54 traverse les zones de bordure latérales 15, conçues sous forme de bourrelet en U, de l'assise 13 par une ouverture de passage 64, ainsi que les zones de bordure latérales 16, également conçues sous forme de bourrelet en U, du dossier 11 par une ouverture de passage 65. Par conséquent, le levier 54 est disposé en retrait par rapport au contour latéral, formé par le bourrelet en U, de l'assise 1l1. Dans l'exemple de réalisation représenté ici, l'extrémité supérieure 56 du levier 54 est articulée à l'extérieur sur la joue latérale 18 du dossier 13; on pourrait également envisager de disposer l'extrémité supérieure 56 sur la face intérieure de la zone de bordure 16 du dossier 13. En outre le levier 54 traverse l'arceau d'appui 20 dans la zone d'une enfourchurc 67 (figure 4a), ce qui limite le mouvement de pivotlcment du dossier 13 vers

I 'arrière.

Comnme on le voit en particulicr en liaison avec la vue perspective etl avec la vue éclatée du dispositif 19 de réglage du dossier selon les figures 4a ou 4b, la crémaillère en forme d'arc 52 présentc un tronsçon formant portée 68 qui est solidarisé d'une pièce avec elle et par lequel la crémaillère 52 est portée sur un réceptacle de crémaillère 69 (figure 4b) avec liberté de pivoter autour de l'axe ZZ. L'extrémité 53 de la crémaillère 52 et l'extrémité inférieure 55, qui y est articulée, du levier 54 sont ainsi à déplacer par le pignon d'entraînement le long d'un chemin du mouvement conçu ici sous forme d'un chemin circulaire KH. On pourrait également envisager de déplacer l'extrémité inférieure 55 le long d'un chemin de mouvement elliptique ou linéaire. Le réceptacle de crémaillère 69, associé au réceptacle arrière 47, est fixé, par l'intermédiaire d'un tronçon de liaison 70 (figure 4b) et à une certaine distance, à un bras 71 qui est fixé à l'extrémité arrière 46 de l'arceau d'appui 20. Sur le bras 71 est fermement disposé un réceptacle de mécanisme 72 par lequel le mécanisme 50 est fixé à l'arceau d'appui 20. L'entraînement de la roue dentée 51 se fait par un arbre d'entraînement 78 du mécanisme 50 qui est porté à l'intérieur du réceptacle de mécanisme 72. Le verrou de ceinture 28 est relié, par l'intermédiaire d'un levier arbré 73 associé à la mécanique de verrouillage 59, à un levier de traction 74 qui est guidé à l'intérieur d'une coulisse 75. Sous l'action d'une force exercée sur le verrou de ceinture 28 en cas d'accident, la crémaillère droite 60 (figure 3b) de la mécanique de verrouillage 59 se déplace vers l'avant vers le levier de traction 74 à l'encontre de la force d'un ressort, de sorte que la crémaillère droite 60 vient en prise avec les moyens de verrouillage 62 situés sur le bras 71 et que par conséquent, le ressort travaillant en flexion 22 est shunté,

pour le verrouiller, par la crémaillère droite 60.

Claims (7)

REVENDICATIONS

1. Siège de véhicule comportant une assise (I 1) et un dossier (13) qui y est disposé avec possibilité de mouvement pivotant, ainsi qu'un dispositif (19) de réglage du dossier pour régler l'inclinaison du dossier (13), dans le cas duquel le dispositif (19) de réglage du dossier comprend au moins un élément formant biellette (54) qui, disposé dans la zone de transition entre dossier (13) et assise (11), au-dessus de l'angle, s'appuie par son extrémité supérieure (56) sur le dossier (13) et par son extrémité inférieure (55) sur l'assise (11) et dans le cas duquel l'élément formant biellette est un levier du type biellette (54) dont l'extrémité supérieure (56) est couplée, pour son mouvement, au dossier (13) et dont l'extrémité inférieure (55) est à déplacer, le long d'un chemin en arc de cercle (KH), entre des positions d'extrémité, pour le réglage du dossier (13) en inclinaison, au moyen d'une mécanique d'entraînement (48) caractérisé par le fait, qu'au levier (54) est articulée une extrémité (53) d'une crémaillère en forme d'arc (52) et qu'avec la crémaillère (52) engrène un pignon d'entraînement (51) de la mécanique d'entraînement (48) sous l'action duquel la crémaillère (52) peut

pivoter autour du centre (ZZ) du chemin en arc de cercle (KH).

2. Siège de véhicule selon la revendication 1, caractérisé par le fait, que le dispositif (19) de réglage du dossier comporte deux leviers (54) qui sont disposés symétriquement par rapport à un plan et sont à déplacer en synchronisme au moyen d'un mécanisme

d'entraînement (48).

3. Siège de véhicule selon la revendication 2, caractérisé par le fait, que par rapport au contour latéral de l'assise (11), les leviers

(54) sont, au moins par zone, disposés en retrait.

4. Siège de véhicule selon la revendication 2, caractérisé par le fait, que les leviers (54) sont articulés sur les joues latérales (17,

18) relevées, du dossier (13).

5. Siège de véhicule selon la revendication 2, caractérisé par le fait que l'assise (11) présente, dans des zones de bordure latérales

(15), une ouverture de passage (64) pour le levier associé (54).

6. Siège de véhicule selon la revendication 1, caractérisé par le fait que l'assise (11) et le dossier (13) sont réunis l'un à l'autre

par un tronçon de liaison (12) élastique en flexion.

7. Siège de véhicule selon la revendication 6, caractérisé par le fait que la structure porteuse de l'assise et du dossier (11, 13) avec le tronçon de liaison (12) est conçue sous forme d'un siège baquet monopièce, le siège baquet étant affaibli en flexion par des

entailles latérales (14) dans la zone du tronçon de liaison (12).