FR2587570A1 - Systeme de communication adaptatif - Google Patents

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FR2587570A1
FR2587570A1 FR8608927A FR8608927A FR2587570A1 FR 2587570 A1 FR2587570 A1 FR 2587570A1 FR 8608927 A FR8608927 A FR 8608927A FR 8608927 A FR8608927 A FR 8608927A FR 2587570 A1 FR2587570 A1 FR 2587570A1
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FR8608927A
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Michael A Robinton
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ROBINTON PRODUCTS Inc
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    • HELECTRICITY
    • H02GENERATION; CONVERSION OR DISTRIBUTION OF ELECTRIC POWER
    • H02JCIRCUIT ARRANGEMENTS OR SYSTEMS FOR SUPPLYING OR DISTRIBUTING ELECTRIC POWER; SYSTEMS FOR STORING ELECTRIC ENERGY
    • H02J13/00Circuit arrangements for providing remote indication of network conditions, e.g. an instantaneous record of the open or closed condition of each circuitbreaker in the network; Circuit arrangements for providing remote control of switching means in a power distribution network, e.g. switching in and out of current consumers by using a pulse code signal carried by the network
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Abstract

L'INVENTION CONCERNE LES RESEAUX DE COMMUNICATION. LE SYSTEME DE L'INVENTION COMPREND AU MOINS DEUX UNITES DEPORTEES 26A, 26M ET UNE UNITE MAITRESSE 24, AYANT CHACUNE UNE ADRESSE ASSOCIEE, QUI SONT CONNECTEES A UN RESEAU DE VOIES DE COMMUNICATION TELLES QUE DES LIGNES UTILISEES POUR LA DISPOSITION D'ENERGIE ELECTRIQUE. CHAQUE UNITE DEPORTEE EST CAPABLE DE DECLENCHER UNE SEQUENCE DE MESSAGES DE LIAISON DESCENDANTE PAR LAQUELLE UN PAQUET DE DONNEES, CONTENANT PAR EXEMPLE DES DONNEES LIEES A LA CONSOMMATION D'ENERGIE ELECTRIQUE, EST TRANSFERE DE L'UNE DES UNITES DEPORTEES VERS L'UNITE MAITRESSE. LES MESSAGES TRANSFERES SONT RELAYES VERS L'UNITE MAITRESSE PAR D'AUTRES UNITES DEPORTEES, ET LE CHEMIN SUIVI POUR ATTEINDRE L'UNITE MAITRESSE EST DETERMINE DE FACON ADAPTATIVE EN FONCTION DES CONDITIONS PRESENTES DU RESEAU. APPLICATION A LA LECTURE A DISTANCE DE COMPTEURS D'ENERGIE ELECTRIQUE.

Description

La présente invention concerne de façon générale des réseaux et des
procédés de communication, et elle porte plus
particulièrement sur un réseau de communication adaptatif com-
portant une unité de commande ou maîtresse qui est en-communi-
cation avec un ensemble d'unités déportées, et qui est capable
de changer automatiquement de voies de communication en pré-
sence de bruit et d'autres changements dans le réseau.
Dans de nombreux réseaux de communication, diverses unités émettrices déportées doivent acheminer périodiquement des données vers une unité centrale ou maîtresse. A titre d'exemple, de nombreuses constructions anciennes, comme des immeubles divisés en appartements, sont câblées d'une manière telle qu'on ne peut mesurer commodément que la quantité d'énergie électrique consommée par l'ensemble de l'immeuble ou par un sous-ensemble important de l'immeuble, en utilisant un compteur centralisé. Il est fréquemment malcommode d'installer
des compteurs séparés dans les parties ou les appartements in-
dividuels, du fait qu'on ne peut habituellement pas accéder
aux compteurs dans les appartements.
Une solution au problème précédent consiste à refai-
re le cablage de l'immeuble de façon qu'il comporte une ligne pour chaque appartement, partant de chaque compteur vers un site central. Le coQt d'une telle réfection de l'installation électrique est de façon caractéristique prohibitif. On peut utiliser les lignes d'énergie électrique de l'immeuble, qui aboutissent à chaque appartement, pour émettre des données vers une unité centrale, en injectant un signal porteur modulé sur les lignes. Il n'est ainsi pas nécessaire de recabler
l'immeuble. Il est cependant bien connu que les lignes d'éner-
gie électrique sont très bruyantes; il est donc difficile d'établir une liaison de communication fiable sans utiliser un niveau excessivement élevé de puissance de signal. De plus, le
bruit présent sur une voie de données particulière change ha-
bituellement considérablement en fonction du temps-. A titre
d'exemple, si on met en marche un équipement électrique utili-
sant une ligne normalement exempte de bruit, l'augmentation du bruit peut atteindre un niveau tel qu'aucun niveau raisonnable de puissance de signal ne permet d'assurer une communication
fiable sur la ligne.
La présente invention surmonte les limitations indi- quées ci-dessus dans des applications de mesure classiques. On
utilise des lignes d'énergie électrique existantes pour trans-
mettre un signal porteur modulé, ce qui fait qu'il n'est pas nécessaire d'apporter des changements notables au câblage de l'immeuble. De plus, l'immunité au bruit est assurée par une
fonction d'enregistrement et d'acheminement de paquets de don-
nées qui est accomplie par chaque unité déportée, de façon qu'un paquet de données provenant d'unités déportées puisse
être relayé vers l'unité maîtresse par d'autres unités dépor-
tées. La voie particulière qu'emprunte un paquet de données est également modifiée automatiquement pour tenir compte de
changements du bruit de la ligne d'énergie électrique et d'au-
tres conditions du réseau.
On décrit un système de communication prévu pour
l'utilisation dans un réseau de voies de communication inter-
connectées. Les voies de communication peuvent comprendre, par exemple, un réseau de lignes destinées à la distribution d'énergie électrique. Le système comprend un ensemble de noeuds de communication qui sont capables d'émettre des messages sur le réseau, comprenant une unité maîtresse et un ensemble d'unités déportées qui sont également capables de recevoir des messages sur le réseau. Une adresse est associée à chaque noeud pour identifier le noeud. Le système peut également comprendre des unités déportées, qu'on appelle quelquefois des unités déportées secondaires, qui ne sont capables que d'émettre des messages. Pour les distinguer des unités déportées secondaires,
on appelle quelquefois "unités déportées principales" les uni-
tés déportées qui sont capables à la fois d'émettre et de re-
cevoir des messages.
Chaque unité déportée principale est capable de dé-
clencher une séquence de messagesde liaison descendante dans laquelle un paquet de données est transféré de l'unité déportée vers l'unité maîtresse. Le paquet de données peut comprendre, par exemple, des données de consommation d'énergie produites par un compteur d'énergie associé à l'unité déportée qui dé- clenche la séquence. Le paquet de données peut également être associé à une unité secondaire qui a émis un message reçu par l'unité déportée principale qui a déclenché la séquence, si on utilise des unités déportées secondaires. 9
La séquence de messagesde liaison descendante com-
prend la transmission d'au moins un message, et on appellera
ces messages des messages de liaison descendante. Il est pos-
sible que deux transmissions de message de liaison descendante successives, ou plus, soient nécessaires pour transférer le
paquet de données vers l'unité maîtresse.
Les messages de liaison descendante comprennent, en plus du paquet de données, une adresse de source qui identifie le noeud qui est associé au paquet de données. Par exemple, si
le message de liaison descendante contient un paquet de don-
nées provenant d'une unité déportée secondaire, l'adresse de
source correspondra à l'adresse de l'unité déportée secondaire.
Les messages de liaison descendante comprennent également une adresse de source intermédiaire qui identifie les noeuds qui
ont transmis les messages, et une adresse de destination inter-
médiaire qui identifie les noeuds qui doivent recevoir les mes-
sages. A titre d'exemple, si une première unité déportée principale a reçu un message provenant d'une unité déportée secondaire et émet un message suivant vers une seconde unité déportée principale, ce message suivant aura une adresse de
source qui correspondra à l'adresse de l'unité déportée secon-
daire, une adresse de source intermédiaire qui correspondra à l'adresse de la première unité déportée principale, et une adresse de destination intermédiaire qui correspondra à l'adresse de la seconde unité déportée principale. D'autres
unités déportées, en plus de la seconde unité déportée princi-
pale, recevront probablement le message, du fait que toutes les unités déportées principales sont capables de recevoir des
messages sur le réseau.
L'unité maîtresse est capable de déclencher une sé-
quence de messages de liaison montante en réponse à la récep-
tion de l'un des messages de liaison descendante. La séquence
de liaison montante a pour fonction d'informer l'unité dépor-
tée ayant déclenché la séquence de liaison descendante, que l'unité maîtresse a reçu le paquet de données provenant de cette unité déportée. La séquence de liaison montante comprend la transmission d'un ou de plusieurs messages, qu'on appelle
des messages de liaison montante.
Les messages de liaison montante comprennent une adresse de source intermédiaire identifiant le noeud qui a émis le message, une adresse de destination intermédiaire qui identifie les noeuds devant recevoir le message et une adresse de destination finale identifiant le noeud associé au paquet de données présent dans le message de liaison descendante reçu par l'unité maitresse,qui a donné lieu à l'émission du message
de liaison montante de réponse. A titre d'exemple, si le pa-
quet de données associé à une unité déportée secondaire a été
transféré d'une première unité déportée principale vers l'uni-
té maîtresse, le message de liaison montante de réponse qui est émis par l'unité maitresse vers la première unité déportée
principale comportera une adresse de source intermédiaire cor-
respondant à l'adresse de l'unité maîtresse, une adresse de
destination intermédiaire correspondant à l'adresse de la pre-
mière unité déportée principale et une adresse de destination
finale correspondant à l'adresse de l'unité déportée secondai-
re.
Les unités déportées sont équipées de moyens d'en-
trée déportés destinés à recevoir le paquet de données à
transférer vers l'unité maîtresse. Les moyens d'entrée dépor-
tés comprennent des moyens récepteurs déportés destinés à re-
Z587570
cevoir des messages transmis sur le réseau. Dans ce cas, le paquet de données est élaboré à partir des messages reçus. Les moyens d'entrée déportés peuvent également comprendre des moyens d'entrée de données destinés à recevoir le paquet de données à partir d'une source de données qui est associée à l'unité déportée. Un compteur d'énergie constitue un exemple
de source de données associée.
Les moyens récepteurs déportés comprennent des moyens de détermination de direction destines à discriminer
entre les messages de liaison montante et de liaison descendan-
te reçus par l'unité déportée. A titre d'exemple, les messages
peuvent comprendre un ou plusieurs bits qui indiquent la direc-
tion du message, et les moyens de détermination de direction examinent ces bits des messages reçus. Les moyens récepteurs déportés comprennent en outre des moyens d'enregistrement et d'acheminement destinés à identifier des messages reçus qui exigent une action d'émission par l'unité déportée. L'action d'émission peut comprendre une émission de message pendant une séquence de messages de liaison montante ou descendante. Une action d'émission peut également comprendre le déclenchement d'une séquence de messages de liaison descendante. Ceci peut
se produire lorsqu'une unité déportée principale reçoit un mes-
sage provenant d'une unité déportée secondaire, si de telles
unités sont présentes.
En plus des moyens d'entrée déportés, les unités dé-
portées comprennent des moyens émetteurs déportés, destinés à émettre les messages sous l'effet de la réception par l'unité déportée d'un message exigeant une action d'émission par l'unité. Les moyens émetteurs déportés comprennent des moyens
d'émission de liaison descendante destinés à émettre des mes-
sages de liaison descendante qui contiennent un paquet de don-
nées. Dans le cas o les noeuds de communication comprennent des unités déportées secondaires, les moyens d'émission de
liaison descendante émettent des messages de liaison descen-
dante contenant un paquet de données obtenu à partir de mes-
sages reçus en provenance des unités secondaires.
Les moyens d'émission de liaison descendante compren-
nent des moyens de détermination d'adresse de liaison descen-
dante, destinés à déterminer l'adresse de destination intermé-
diaire de messages émis par les unités déportées. On détermine l'adresse en utilisant au moins un paramètre représentatif des conditions du réseau, obtenu à partir de messages reçus par les unités déportées. Les paramètres sont obtenus, au moins en partie, à partir de messages qui ne sont pas dirigés vers l'unité déportée considérée, c'est-à-dire des messages reçus
ayant une adresse de destination intermédiaire qui est diffé-
rente de celle de l'unité déportée réceptrice. Ce sont ces
messages qui contiennent une information concernant les condi-
tions du réseau, qui peut permettre à l'unité déportée récep-
trice de sélectionner des adresses de liaison descendante de
remplacement, qui sont plus avantageuses que l'adresse de des-
tination intermédiaire utilisée présentement par l'unité dé-
portée pour émettre des messages de liaison descendante.
Il y a plusieurs paramètres possibles représentatifs de conditions du réseau que les moyens de détermination
d'adresse de liaison descendante peuvent utiliser pour détermi-
ner des adresses de destination intermédiaires de liaison des-
cendante optimales. Dans le mode de réalisation actuellement préféré, on utilise un total de sept paramètres, bien qu'un plus petit nombre ou un plus grand nombre de paramètres, et des paramètres différents, soient susceptibles de procurer un fonctionnement satisfaisant. L'un de ces paramètres indique si une adresse potentielle de destination intermédiaire de liaison
descendante est également utilisée pour des adresses de desti-
nation intermédiaires pour des messages de liaison montante. Si
c'est le cas, le noeud identifié par l'adresse est moins sus-
ceptible de convenir pour la réception de messages de liaison descendante. Le niveau de bruit présent dans des messages émis
par le noeud est un exemple d'un paramètre supplémentaire.
Les moyens émetteurs déportés comprennent en outre des moyens d'émission de liaison montante destinés à émettre des messages de liaison montante dans le cas o le message
reçu par l'unité déportée est un message de liaison montante.
Les moyens émetteurs de liaison montante comprennent des moyens de détermination d'adresse de liaison montante, destinés à déterminer l'adresse de destination intermédiaire du message de liaison montante. Dans le mode de réalisation préféré, l'adresse intermédiaire de liaison montante est déterminée de
façon caractéristique pendant une séquence de messages de liai-
son descendante précédente.
L'unité maîtresse comporte des moyens récepteurs maîtres et des moyens émetteurs maîtres. Les moyens récepteurs maîtres sont des moyens destinés à recevoir des messages émis sur le réseau et ils comprennent des moyens de détermination de direction destinés à discriminer entre des messages de liaison montante et descendante. Les moyens émetteurs maîtres sont des moyens destinés à émettre des messages de liaison montante sous l'effet de la réception d'un message de liaison descendante par l'unité maîtresse. Le message de liaison montante peut par exemple être le premier message d'une séquence de messages de
liaison montante, dans lequel une unité déportée ayant déclen-
ché une séquence de liaison descendante est informée de la ré-
ception d'un paquet de données par l'unité maîtresse, comme
décrit précédemment.
L'invention sera mieux comprise à la lecture de la
description qui va suivre de modes de réalisation et en se ré-
férant aux dessins annexés sur lesquels: la figure 1 est un schéma d'un exemple d'immeuble divisé en appartements montrant une configuration de lignes de
distribution d'énergie de type caractéristique qu'on peut uti-
liser en relation avec le système de communication de l'inven-
tion; la figure 2 est un schéma représentant un système de
communication caractéristique et des exemples de voies de com-
munication entre les diverses unités de communication déportées et l'unité de communication maîtresse d'un mode de réalisation préféré de l'invention; la figure 3 est un schéma synoptique d'une unité de communication du système de communication de l'invention; la figure 4A est un schéma synoptique de la section
de récepteur des unités de communication du système de commu-
nication de l'invention; la figure 4B est un schéma synoptique de la section
d'émetteur des unités de communication du système de communi-
cation de l'invention; la figure 5 est un schéma représentant les divers
registres des unites de communication du système de communica-
tion de l'invention;
la figure 6 est un organigramme simplifié représen-
tant le programme superviseur destiné à commander le fonction-
nement d'ensemble des unités de communication du système de l'invention;
les figures 7A - 7E forment un organigramme repré-
sentant la manière selon laquelle des unités déportées trai-
tent initialement des messages reçus;
la figure 8 est un organigramme relatif à une sé-
quence appelée par le programme superviseur (figure 6) pour
déterminer si un message reçu a été émis par une unité de com-
munication qion appelle quelquefois un noeud sourd, qui est incapable de recevoir des messages;
la figure 9 est un organigramme relatif à un sous-
programme destiné à contrôler/effacer des mémoires tampons d'enregistrement et d'acheminement;
la figure 10 est un organigramme relatif à un sous-
programme qui représente la manière selon laquelle un message reçu est testé pour déterminer si une rubrique doit être introduite dans une Liste d'Attente qu'on utilise
pour contrôler des messages pour lesquels un message de répon-
se est attendu;
la figure 11 est un organigramme relatif à un sous-
programme qui représente la séquence d'activation d'un tempori-
sateur de défaut associé à une rubrique dans la Liste d' Attente, destiné à déterminer si un message de réponse attendu est reçu en une durée prédéterminée; les figures 12A - 12C représentent un organigramme relatif à une séquence appelée par le programme superviseur (figure 6) pour sélectionner des adresses optimales à utiliser
pour l'émission de-messages dans la direction de liaison mon-
tante ou dans la direction de liaison descendante;
la figure 13 est un organigramme simplifié représen-
tant la manière selon laquelle on trie la Bonne Liste contenant
des adresses de liaison descendante, sur la base d'un seul pa-
ramètre de tri;
les figures 14A et 14B forment un organigramme détail-
lé d'un sous-programme dans lequel on trie les adresses de la Bonne Liste, sur la base d'un ensemble de paramètres de tri,
l'ordre de la liste déterminant des adresses de liaison descen-
dante préférées; la figure 15 représente un sous-programme appelé par
la séquence de tri de la Bonne Liste (figure 14) pour le para-
mètre de tri appelé Qualité de Liaison; la figure 16 représente un sousprogramme appelé par
la séquence de tri de la Bonne Liste' (figure 14) pour le para-
mètre de tri appelé 'Nombre de Bonds"; -
la figure 17 représente un sous-programme appelé par
la séquence de tri de la Bonne Liste (figure 14) pour le para-
mètre de tri appelé Quotient de Défauts; la figure 18 représente un sousprogramme appelé par
la séquence de tri de la Bonne Liste (figure 14) pour le-para-
mètre de tri appelé Qualité de la Liaison de Retour; la figure 19 représente un sous-programme appelé par
la séquence de tri de la Bonne Liste (figure 14) pour le para-
mètre de tri appelé Estimateur de Rapport Signal à Bruit; les figures 20A et 20B constituent un organigramme qui
représente la séquence qui se produit lorsqu'un message de ré-
ponse attendu n'est pas reçu à temps;
la figure 21 est un organigramme relatif à un sous-
programme représentant la manière selon laquelle la Bonne Liste est effacée; la figure 22 est un schéma représentant un système de
communication caractéristique et des exemples de voies de com-
munication d'un autre mode de réalisation de l'invention; les figures 23A - 23C représentent un organigramme
montrant une séquence périodique appelée par le programme su-
perviseur (figure 6) pour mettre à jour et pour contrôler di-
vers paramètres du réseau;
la figure 24 est un organigramme relatif à un sous-
programme destiné à accomplir une séquence qui commande-un tem-
porisateur de probabilité d'émission.
la figure 25 est un organigramme représentant une sé-
quence d'initialisation pour l'enregistrement et l'acheminement d'un paquet de données,dans le cas-o un messge est émis dans la direction de la liaison montante;
la figure 26 est un organigramme représentant la sé-
quence par laquelle des messages de liaison montante et de
liaison descendante sont transférés d'une mémoire tampon d'en-
trée vers une mémoire tampon d'enregistrement et d'achemine-
ment; la figure 27 est un organigramme représentant une
séquence d'initialisation pour l'enregistrement et l'achemine-
ment d'un paquet de données, dans le cas o un message est émis dans la direction de la liaison montante;
la figure 28 est un organigramme pour un sous-pro-
gramme, représentant la manière selon laquelle des rubriques d'adresse sont introduites dans la Liste de Liaisons;
la figure 29 est un organigramme relatif à une sé-
quence qui est appelée par le programme superviseur (figure 6) pour transférer des messages devant être émis de la mémoire
tampon d'enregistrement et d'acheminement vers la mémoire tam-
pon d'émission; les figures 30A et 30Breprésentent un organigramme appelé par le programme superviseur (figure 6), qui représente la séquence d'émission finale pour des messages;
la figure 31 est un organigramme relatif à une sé-
quence appelée par le programme superviseur (figure 6), repré- sentant la manière selon laquelle une rubrique est introduite dans la Liste d'Attente;
la figure 32 est un organigramme appelé par le pro-
gramme superviseur, qui représente la manière selon laquelle une unité déportée génère un paquet de données associé à
l'unité déportée, pour un message à émettre par l'unité dépor-
tée; la figure 33 est un organigramme d'un sous-programme représentant la manière selon laquelle on obtient une mémoire tampon d'origine pour un paquet de données associé à l'unité déportée, devant être émis par l'unité déportée; la figure 34 est un organigramme d'un sous-programme représentant la manière selon laquelle la priorité de message est fixée pour des messages contenant un paquet de données émis par une unité déportée; et la figure 35 est un organigramme auquel on passe lorsque le temporisateur de probabilité d'émissDnarrive à l'expiration de sa durée de temporisation, et cet organigramme représente la séquence dans laquelle on effectue une tentative d'émission d'un message contenant un paquet de données qui a
été émis à l'origine par l'unité déportée.
Meilleur mode de mise en oeuvre de l'invention
On décrira le réseau de communication adaptatif con-
sidéré en relation avec un système de mesure de consommation
d'énergie électrique pour un immeuble divisé en appartements.
Il faut cependant noter que l'invention a des applications au-
tres que les systèmes de mesure de consommation d'énergie électrique. Le câblage de distribution d'énergie électrique d'un
immeuble, tel qu'un immeuble divisé en appartements, peut va-
rier considérablement en fonction de nombreux facteurs parmi lesquels des choix arbitraires faits par le constructeur. Un but principal de l'invention est de permettre l'adaptation à presque n'importe quelle configuration concevable de câblage de distribution d'énergie électrique d'un immeuble. En considérant maintenant les dessins, on voit sur
la figure 1 une représentation schématique simplifiée d'un im-
meuble divisé en appartements et d'une configuration de câbla-
ge associée, prise à titre d'exemple. L'immeuble, désigné de façon générale par la référence 10, comporte quatre étages,
avec quatre appartements 18 et 20 à chaque étage. Il faut no-
ter que le réseau de communication considéré est destiné es-
sentiellement à de beaucoup plus grands immeubles et qu'on
décrit un plus petit immeuble pour illustrer les caractéristi-
ques d'une configuration de c&blage d'immeuble d'un type re-
présentatif.
L'immeuble représenté est alimenté par deux trans-
formateurs d'alimentation séparés, ce qui est une pratique re-
lativement courante. Les transformateurs ont des enroulements secondaires triphasés en étoile, 12a et 12b, et chacun d'eux comporte une connexion de neutre respective 14d et 16d. Chaque appartement 18 est alimenté à partir de l'un ou de l'autre des
enroulements secondaires. L'enroulement secondaire 12a alimen-
te les appartements 18 et l'enroulement secondaire 12b alimen-
te les appartements 20.
Les trois phases des sorties des enroulements secon-
daires des deux transformateurs sont toutes disponibles à
chaque étage de l'immeuble. Les lignes 14a, 14b et 14c achemi-
nent les trois phases du secondaire 12a et les lignes 16a, 16b et 16c acheminent les trois phases du secondaire 12b. Deux des trois phases sont distribuées aux appartements se trouvant à chaque étage. A titre d'exemple, les phases correspondant aux
lignes 14a et 14b du secondaire 12a sont distribuées aux appar-
tements du second étage 18d, 18e et 18f, et les phases corres-
pondant aux lignes 16a et 16c du secondaire 12b sont distri-
buées à l'appartement 20b du second étage. De plus, une ligne de neutre (non représentée) reliée à la connexion de neutre (14d, 16d) de chacun des deux transformateurs est également
distribuée à chacun des appartements.
* Bien que ceci ne soit pas représenté sur le schéma de la figure 1, chaque appartement 18 et 20 comporte une unité de communication et un compteur d'énergie électrique associé,
de type électronique. Chaque unité de communication est pro-
grammée de façon à émettre périodiquement des données de con-
sommation d'énergie fourniespar le compteur, vers une unité centrale ou maîtresse qui se trouve dans l'immeuble utilisant les lignes d'énergie. On peut également transmettre d'autres
formes de données vers l'unité maîtresse.
Les unités de communication qui se trouvent dans les
appartements 18, qu'on appelle ici quelquefois des unités dé-
portées ou des noeuds, sont fréquemment incapables d'émettre directement des données vers l'unité maîtresse. Ceci est-dû à de nombreux facteurs comprenant, par exemple, la présence de
bruit sur les lignes d'énergie, la séparation physique entre-
les unités déportées et l'unité maîtresse, et la configuration
du câblage de l'immeuble. Par conséquent, la présente inven-
tion utilise une technique d'enregistrement et d'acheminement, qu'on décrira ci-après de façon plus détaillée, par laquelle
chaque unité déportée est capable de recevoir et de retrans-
mettre une information, qu'on appelle quelquefois un paquet de données, contenue dans des messages provenant d'autres unités déportées.
En supposant à titre d'exemple que l'unité de commu-
nication maîtresse soit disposée dans l'appartement 18c, il
est probable qu'une unité de communication déportée se trou-
vant dans l'appartement adjacent 18b sera capable de communi-
quer directement avec l'unité maîtresse. Cependant, une unité
déportée se trouvant dans l'appartement 181, par exemple, de-
vra très probablement communiquer avec l'unité maîtresse en passant par des unités déportées intermédiaires. Une liaison
de communication caractéristique comprendrait une unité dépor-
tée dans l'appartement 18k, une ligne allant de l'appartement 18k à l'unité 18a en passant par le secondaire 12a, puis une ligne allant versl'appartement 18b et finalement une ligne allant vers l'appartement 18c. Il existe plusieurs autres liaisons de communication pouvant également être utilisées, et
la voie de liaison particulière qui est employée est sélec-
tionnée sur la base de plusieurs facteurs, qu'on décrira ulté-
rieurement, de façon à optimiser le rendement de communication
global.
Les appartements 20 ne sont pas capables de communi-
quer avec l'unité de communication maîtresse en utilisant ex-
clusivement la ligne d'énergie électrique, du fait que l'unité
maîtresse est connectée à un transformateur d'alimentation dif-
férent. Dans de tels cas, dans lesquels un seul immeuble est alimenté en énergie électrique par plus d'un transformateur d'alimentation, il est nécessaire de prévoir une ou plusieurs liaisons de communication fixes entre les segments séparés du
système de distribution d'énergie électrique. De telles liai-
sons permanentes comprennent de préférence des isolateurs élec-
tro-optiques, de façon à maintenir l'isolation électrique entre
les segments. On pourrait également utiliser pour cette appli-
cation des liaisons radioélectriques. A titre d'exemple, une liaison fixe 22 est établie entre l'appartement 181, alimenté par le secondaire 12a, et l'appartement 20e, alimenté par le
secondaire 12b. Toutes les communications entre les apparte-
ments 18 et 20 doivent utiliser la liaison 22.
Le mode de communication principal comprend l'émis-
sion par l'une des unités déportées d'un message contenant un paquet de données qui est destiné à l'unité maîtresse, suivi par un message d'accusé de réception ou de réponse, renvoyé par l'unité maitresse vers l'unité déportée d'origine. Une unité déportée peut également émettre des messages vers l'unité maîtresse, sans que ces messages soient suivis par un message d'accusé de réception. De plus,,1l'unité maitresse peut émettre des messages contenant un paquet de données destiné à
une unité déportée particulière, à un groupe d'unités dépor-
tées ou à toutes les unités déportées.
On va maintenant présenter un bref aperçu du réseau de communication considéré, en se référant au schéma de la fi-
gure 2. Le schéma, qui représente un exemple de réseau, com-
prend un ensemble d'unités déportées 26 et une unité maîtresse-
associée 24, qu'on appelle quelquefois collectivement des noeuds. Les unités déportées et maîtresse sont connectées à un réseau de lignes d'énergie électrique (non représenté) qui
peut comprendre une ou plusieurs liaisons fixes.
Les lignes interconnectant les unités déportées et
maîtresses représentent des exemples de voies de données éta-
bliessur les lignes d'énergie électrique et/ou les liaisons fixes, à un instant particulier. Lorsqu'une unité déportée 26
émet un message contenant un paquet de données créé par l'uni-
té, qui contient de façon caractéristique des données de comp-
teur d'énergie électrique, l'unité maîtresse 24 est la desti-
nation finale du paquet de données. Les unités déportées con-
tiennent une liste d'une ou de plusieurs adresses de noeud préférées vers lesquelles le message sera dirigé. Les adresses de noeud, qu'on appelle des adresses de liaison descendante, sont sélectionnées sur la base de divers paramètres du réseau,
qui peuvent changer en fonction du temps.
Pour les conditions représentées sur le schéma de la figure 2, l'unité déportée 26m a déterminé que l'adresse de
liaison descendante préférée est l'adresse de l'unité maitres-
se 24. Par conséquent, l'unité 26m émet directement des messa-
ges de liaison descendante vers l'unité maitresse 24. Pour les mêmes conditions de réseau, l'unité déportée 26e a déterminé qu'il serait préférable d'émettre des messages de liaison descendante vers l'unité déportée intermédiaire 26f, au lieu
de les émettre directement vers l'unité maîtresse. L'unité dé-
portée intermédiaire 26f enregistrera et acheminera ensuite le paquet de données contenu dans le message vers son adresse de noeud de liaison descendante préférée, qui est dans ce cas l'adresse de l'unité maîtresse. On peut voir que le paquet de données qui est émis dans le message par l'unité déportée 26b doit être enregistré et acheminé par quatre unités déportées intermédiaires respectives 26c, 26d, 26e et 26f, pour attein-
dre l'unité maitresse.
Les unités déportées sont conçues de façon à modi-
fier les adresses de liaison descendante préférées si les conditions de réseau changent. A titre d'exemple, si l'unité déportée 26f devient incapable de communiquer directement avec l'unité maîtresse, du fait d'une augmentation du bruit sur la ligne d'énergie, l'unité déportée 26e est conçue de façon à détecter le changement des conditions de réseau et à sélectionner une autre adresse de noeud pour des messages de
liaison descendante.
La sélection d'adresse de liaison descendante est
de préférence basée sur un ensemble de paramètres du réseau.
Un paramètre important consiste dans l'aptitude prouvée d'une
unité déportée particulière à communiquer avec l'unité mai-
tresse. Un autre paramètre important est le niveau de bruit présent dans la voie de données entre l'unité déportée et l'unité de liaison descendante préférée. La distance entre
l'unité déportée et l'unité maîtresse est encore un autre pa-
ramètre important. On mesure cette distance par le nombre de transmissions de messages nécessaires pour qu'un paquet de
données provenant de l'unité déportée atteigne l'unité mai-
tresse, et on l'appelle le Nombre de Bonds. On envisagera ul-
térieurement des paramètres supplémentaires.
On va maintenant décrire un exemple de séquence de transmission de messages. Chaque unité déportée est conçue de
façon à créer un paquet de données pour déclencher périodique-
ment une séquence de messages de liaison descendante, en émet-
tant un message contenant un paquet de données créé par l'uni-
té, sous la forme de données de compteur d'énergie, et dans cette séquence, le paquet de données est transféré de l'unité
déportée vers l'unité maîtresse. Le message sera de façon ca-
ractéristique transmis une fois par jour et le paquet de don-
nées comprendra des données de compteur d'énergie électrique.
Une fois que l'unité maitresse a reçu le paquet de données, elle est capable de déclencher une séquence de messages de liaison montante, contenant un ou plusieurs messages, qu'on appelle des messages de liaison montante, par laquelle les unités déportées émettrices dans la séquence de messages de liaison descendante, sont informées de la réception du paquet
de données par l'unité maîtresse.
En supposant que l'unité déportée 26c ait émis un
message contenant un paquet de données créé par l'unité dé-
portée, ce message sera dirigé vers l'unité déportée 26d, du fait que cette unité déportée est actuellement préférée. En plus des données de compteur d'énergie électrique, le message contiendra une Adresse de Destination Intermédiaire, qui est l'adresse de l'unité déportée 26d, et une Adresse de Source Intermédiaire, qui est l'adresse de l'unité 26c. Une adresse supplémentaire sera incorporée pour indiquer que l'unité 26c
est la source-du paquet de données dans le message. Le messa-
ge contiendra en outre une information indiquant qu'il s'agit d'un message de liaison descendante et que, par conséquent, l'unité maitresse est la destination finale. De ce fait, l'unité 26d déterminera que les données de compteur doivent
être enregistrées et acheminées dans la direction de la liai-
son descendante.
L'unité déportée 26e est l'adresse de liaison des-
cendante présentement préférée pour l'unité 26d. Par consé-
quent, l'unité 26d émettra un message de liaison descendante supplémentaire contenant les données de compteur, avec pour Adresse de Destination Intermédiaire celle de l'unité 26e et
pour Adresse de Source Intermédiaire celle de l'unité 26d.
L'adresse de l'unité 26c qui est associée aux données de comp-
teur dans la séquence de messages de liaison descendante res-
tera dans tous les messages, pendant que le paquet de données est enregistré et acheminé. L'unité 26d enregistrera également
l'Adresse de Source Intermédiaire du message reçu, c'est-à-
dire l'unité 26c, qui sera utilisée dans l'émission du message de réponse de liaison montante. L'adresse de l'unité déportée qui a créé le paquet de données sera également enregistrée de
façon à permettre l'identification du message de réponse.
L'unité déportée 26e enregistrera et acheminera les
données de compteur dans un message de liaison descendante ul-
térieur, suivi par une séquence d'enregistrement et d'achemi-
nement effectuée par l'unité 26f. L'Adresse de Destination In-
termédiaire du message émis par l'unité 26f sera l'adresse de l'unité maîtresse 24. Chacune des unités comprenant les unités déportées 26e et 26f et l'unité maîtresse 24 enregistrera l'Adresse de Source Intermédiaire respective du message reçu, en compagnie de l'adresse de l'unité déportée qui a créé le
paquet de données.
A la réception du message de liaison descendante
final de la séquence, l'unité maîtresse 24 déclenche une sé-
quence de messages de liaison montante qui comprendra l'émis-
sion d'un ou de plusieurs messages de liaison montante. La voie empruntée par le message de liaison montante sera la même que celle empruntée par la séquence de messages de liaison descendante précédente. Le message de liaison montante émis par l'unité maîtresse comprendra une adresse de destination finale identique à l'adresse associée au paquet de données dans le message reçu par l'unité maîtresse, c'est-à-dire l'unité déportée 26c. L'adresse de liaison montante du message,
c'est-à-dire l'Adresse de Destination Intermédiaire, sera iden-
tique à l'Adresse de Source Intermédiaire enregistrée du messa-
ge reçu, c'est-à-dire l'unité déportée 26f.
Le message reçu par l'unité 26f contiendra une infor-
mation indiquant que le message est un message de liaison mon-
tante. De plus, l'adresse de destination finale présente dans le message ne sera pas celle de l'unité 26f, ce qui indiquera que l'accusé de réception doit être enregistré et acheminé dans
la direction de liaison montante. L'unité 26f utilisera l'Adres-
se de Source Intermédiaire enregistrée précédemment en tant
qu'Adresse de Destination Intermédiaire du message à émettre.
L'adresse de destination finale du message reçu sera utilisée pour identifier l'adresse de liaison montante enregistrée. Les unités déportées 26e et 26d répèteront l'opération
d'enregistrement et d'acheminement relative à la liaison mon-
tante. L'adresse de destination finale du message émis par
l'unité 26d correspondra à l'adresse de l'unité 26c. Par con-
séquent, l'unité 26c déterminera quelle est la destination fi-
nale du message de réponse, et elle n'enregistrera pas l'accusé
de réception pour l'acheminer vers une destination ultérieure.
Chaque unité déportée est conçue de façon à confirmer la réception d'un accusé de réception ou d'un message de réponse
attendu. Au moment de l'émission d'un message de liaison des-
cendante pour lequel une réponse est attendue, l'unité déportée émettrice fait démarrer un temporisateur de défaut associé. Si le message de réponse attendu n'est pas reçu pendant une durée qui est déterminée par le temporisateur, un indicateur associé à l'unité déportée, qu'on appelle un indicateur de Liaison Confirmée, est restauré. L'indicateur est inséré dans tous les messages qui sont émis par l'unité déportée. Si l'unité déportée émettrice a également déclenché la séquence, on fait également
démarrer un temporisateur de nouvelle tentative lorsque le mes-
sage est émis. Si un message de réponse attendu n'est pas reçu avant l'expiration de la durée de temporisation du temporisateur de nouvelle tentative, l'unité d'origine déclenche une séquence de messages de liaison descendante contenant les mêmes données
de compteur.
Lorsqu'un message est transmis sur le réseau, il est habituellement dirigé vers une seule unité déportée ou vers l'unité maîtresse, de la manière déterminée par l'Adresse de Destination Intermédiaire du message. Il existe cependant des types de message qui sont dirigés vers plus d'un noeud, comme on l'expliquera ci-après. Dans la mesure o tous les noeuds sont connectés à un réseau commun de lignes de distribution d'énergie électrique et de liaisons fixes, des noeuds autres
que ceux vers lesquels un message est dirigé recevront habi-
tuellement le message. A titre d'exemple, des messages émis par l'unité déportée 26c et dirigés vers l'unité 26d, peuvent être reçus par des unités environnantes, comprenant les unités 26b, 26i, 26g et 26e. Des messages reçus par un noeud, mais
qui ne sont pas dirigés vers le noeud, sont quelquefois appe-
lés des messages auxiliaires. Bien que des messages auxiliai-
res ne fassent pas l'objet d'une action et ne soient pas enre-
gistrés et acheminés, ces messages sont traités dans le but
d'obtenir une information concernant des conditions de réseau.
De tels messages remplissent une fonction importante dans la
mesure o ils permettent à l'unité déportée réceptrice de dé-
terminer des Adresses de Destination Intermédiaire optimales pour des messages de liaison descendante qui sont émis par
cette unité.
On peut illustrer ce qui précède en se référant à
nouveau au schéma de la figure 2. On supposera que l'unité dé-
portée 26k a émis un message de liaison descendante pour le-
quel une réponse est attendue. L'adresse de liaison descendan-
te actuellement préférée pour l'unité 26k est l'unité 261.
L'unité 261 enregistrera et acheminera le message, et l'unité 26m fera ensuite de même. Si le message de réponse attendu est reçu à temps par l'unité 261, tous les messages ultérieurs émis par l'unité 261 comprendront un indicateur de Liaison Confirmée à l'état instauré. Les unités déportées capables de
recevoir des messages émis par l'unité 261 examineront l'indi-
cateur de Liaison Confirmée et ils seront capables de détermi-
ner que, au moins en ce qui concerne la dernière tentative de communication avec l'unité maîtresse, l'unité 261 a réussi à communiquer. Les unités déportées réceptrices utiliseront cette information pour sélectionner des adresses de liaison
descendante préférées, comme l'adresse de l'unité 261.
Si une unité déportée ne reçoit pas un message de
réponse attendu, des messages ultérieurs émis par l'unité con-
tiendront un indicateur de Liaison Confirmée à l'état restauré si le temporisateur de défaut est arrivé à l'expiration de sa durée de temporisation, comme décrit précédemment. Cependant, une durée notable peut s'écouler avant l'émission d'un tel message ultérieur. Pour acquérir une information plus récente
concernant l'état d'autres unités déportées, chaque unité dé-
portée est conque de façon à contrôler des messages de réponse attendus qui sont attendus non seulement par l'unité considérée mais également par d'autres unités. A titre d'exemple, lorsque l'unité 261 a émis des messages de liaison descendante pour lesquels un message de réponse est attendu, d'autres unités
déportées recevant les messages de liaison descendante contrô-
leront l'unité 261 pour vérifier que cette unité 261 émet le message de liaison montante de réponse attendu vers l'unité 26k.
On peut illustrer ce qui précede de la manière sui-
vante. Si par exemple l'unité déportée 26j est capable de re-
cevoir des messages émis par l'unité 261, elle recevra le mes-
sage de liaison descendante dirigé vers l'unité 26m. L'unité 26j contrôlera l'unité 261 pour vérifier que cette unité 261 émet le message de réponse attendu vers-l'unité 26k. Si l'émission attendue par l'unité 261 n'est pas reçue par l'unité
26j, l'unité 26j aura une plus faible probabilité de sélection-
ner l'unité 261 pour acheminer des messages de liaison descen-
dante. D'autres unites déportées capables de recevoir des mes-
sages émis par l'unité 261 fonctionneront d'une manière simi-
laire.
On utilise de préférence de nombreux autres paramè-
tres dans le but de sélectionner des adresses de liaison des-
cendante optimales. A titre d'exemple supplémentaire, chaque unité déportée est capable d'estimer le rapport signal à bruit (rapport S/B) de messages reçus. Des unités déportées émettant
des messages avec un rapport S/B élevé seront préférées à cel-
les qui émettent des messages avec un rapport S/B faible. Un autre paramètre est le Nombre de Bonds du noeud, et le Nombre de Bonds est incorporé dans des messages émis par l'unité. La
valeur du Nombre de Bonds d'un noeud indique le nombre d'émis-
sions de message de liaison descendante qui sont nécessaire pour transférer un paquet de données, comme des données de compteur, du noeud jusqu'à l'unité maîtresse. Par définition, l'unité maîtresse a un Nombre de Bonds fixé à zéro. L'unité 26d a présentement un Nombre de Bonds de trois, par exemple, et l'unité 26m a un Nombre de Bonds égal à un. Avec les autres paramètres égaux, l'unité 261 sélectionnera l'unité 26m de
préférence à l'unité 26d pour des messages de liaison descen-
dante, à cause du plus faible Nombre de Bonds. Ces paramètres
de réseau, ainsi que d'autres, qui sont utilisés dans la sé-
lection d'adresses de liaison descendante, seront décrits ul-
térieurement de façon plus détaillée.
Il faut en outre noter que chaque unité déportée est
conçue de fa on-à--déclencher une séquence de messages de liai-
son descendante dans le but d'assister d'autres unités dépor-
tées dans la sélection d'adresses de liaison descendante. Le paquet de données contenu dans de tels messages de liaison
descendante peut contenir ou non des données de compteur.
A la mise sous tension initiale, aucune des unités
déportées ne comporte des adresses de liaison descendante op-
timales déterminées. Les unités sont constituées de façon à émettre initialement et automatiquement un message de liaison descendante. Le message aura l'adresse de l'unité maîtresse
en tant qu'Adresse de Destination Intermédiaire. En se repor-
tant à nouveau à la figure 2, on peut voir que des messages
initiaux émis par l'unité déportée 26f seront reçus par l'uni-
té maîtresse, et que l'unité maîtresse émettra un message de
liaison montante de réponse que recevra l'unité 26f.
On supposera que l'unité 26e a également émis un message initial qui n'a pas été reçu par l'unité maîtresse, du fait par exemple de la présence de bruit dans la section de ligne d'énergie entre les deux unités. L'unité 26e ne recevra pas un accusé de réception provenant de l'unité maîtresse. Pour les conditions de réseau représentées sur le schéma, l'unité 26e est capable de recevoir des messages provenant de l'unité
26f. Les messages émis par l'unité 26f contiendront une infor-
mation, telle que la valeur de Nombre de Bonds, et l'indicateur de Liaison Confirmée, qui indique que l'unité a effectivement communiqué avec l'unité maîtresse. Par conséquent, l'unité 26e
utilisera l'adresse de l'unité 26f en tant qu'Adresse de Desti-
nation Intermédiaire pour des messages de liaison descendante, au lieu de l'adresse de l'unité maîtresse. Ce processus se poursuit de façon que chacune des unités déportées établisse une Adresse de Destination Intermédiaire de liaison descendante optimale. Le système de communication présent est également capable d'émettre des ordres de l'unité maîtresse vers une ou plusieurs des unités déportées. Les ordres, qu'on appelle des
Ordres de Séquence Globale sont de façon caractéristique diri-
gés vers toutes les unités déportées ou vers un groupe d'unités.
A chaque ordre est associé un Numéro de Séquence Globale parti-
culier. Comme on le décrira ultérieurement, on utilise le Numé-
ro de Séquence Globale pour faire en sorte que chaque unité dé-
portée reçoive tous les Ordres de Séquence Globale.
Dans la mesure o tous les noeuds sont connectés à un réseau de voies de données commun et fonctionnent de façon relativement asynchrone, il est possible que des collisions
entre messages se produisent. De telles collisions sont sus-
ceptibles de faire disparaître l'un des messages ou les deux.
Le système présent comporte de nombreuses caractéristiques qui réduisent la probabilité que des collisions se produisent. A titre d'exemple, la plupart des émissions effectuées par un noeud sont déclenchées en réponse à un nombre généré de façon aléatoire. De plus, la probabilité qu'une certaine émission d'un noeud déclenchant une séquence de messages se produise
dans un intervalle de temps d'événement particulier est fonc-
tion du niveau de trafic de messages dans le réseau. Si le ni-
veau de trafic de messages est faible, on réduit la probabilité d'émission par intervalles de temps d'événement. La probabilité
d'ine collision est ainsi diminuée de façon correspondante.
On réduit encore les possibilités de collisions dans le système en utilisant une technique d'affectation de canaux.
Comme on le décrira ultérieurement, de nombreux messages con-
tiennent une information ordonnant à d'autres unités déportées de ne pas émettre de messages sur le réseau pendant une durée fixe ou variable. A titre d'exemple, l'unité déportée 26b peut déclencher une séquence de messages de liaison descendante pour laquelle une réponse est attendue. Le message de déclenchement comprendra de façon caractéristique une information de durée de blocage d'émission destinée à être traitée par d'autres unités déportées. Si l'unité 26i reçoit le message, elle s'abstiendra d'émettre sur le réseau pendant une durée suffisamment longue pour permettre à l'unité d'origine 26b de recevoir le message de réponse attendu. Des unités déportées correspondant à des liaisons descendantes, qui enregistrent et acheminent le paquet de données provenant de l'unité 26b, comprenant les unités 26c, 26d, 26e et 26f, émettront également des messages ordonnant aux
unités environnantes de s'abstenir temporairement d'émettre.
Apres avoir présenté un bref aperçu du fonctionnement du sys-
tème de communication considéré, on va maintenant décrire la
structure et le fonctionnement du système de façon plus détail-
lée. En considérant maintenant la figure 3, on voit un schéma synoptique simplifié d'une unité de communication. Les unités
déportées et maîtresse ont une structure similaire, la diffé-
rence essentielle résidant davantage dans le logiciel associé
que dans le matériel. De plus, une ou plusieurs des unités dé-
portées ou maîtresse peuvent comporter un dispositif de visua-
lisation facultatif associé (non représenté), pour la présen-
tation de divers messages, qui est utilisé exclusivement dans
un but de diagnostic.
Une unité de communication, désignée de façon généra-
le par la référence 28, comprend une section d'émetteur 34 ayant une sortie connectée à la ligne d'énergie 32. La section
d'émetteur 34 utilise de façon caractéristique un signal por-
teur à 36 kHz qui est modulé en phase par des données en bande de base en codage numérique, appliquées sur la ligne d'entrée 42. La cadence des données en bande de base est de façon ca-
ractéristique de 180 bits par seconde.
L'unité de communication comprend en outre une sec-
tion de récepteur 30 ayant une entrée connectée à la ligne d'énergie 32. La section de récepteur 30 reçoit des signaux modulés en phase à 36 kHz, présents sur la ligne d'énergie 32, et elle fournit sur la ligne 40 un signal de sortie en bande de base démodulé, en codage numérique. La section de récepteur fournit également des données numériques sur des sorties
séparées représentées par la ligne 44, qu'on utilise pour pro-
duire un signal de facteur de mérite qui représente le rapport
signal à bruit estimé d'un message reçu particulier.
L'unité de communication comprend en outre une unité
centrale de traitement (UCT) 36, programmée de façon appro-
* priée, qui est comnnectée à la section d'émetteur et à la sec-
tion de récepteur par des dispositifs d'entrée/sortie (E/S)
classiques, représentés par le sous-ensemble 38. Les disposi-
tifs d'E/S 38 reçoivent également sur la ligne 48 des données en codage numérique provenant de sources externes, comme d'un compteur d'énergie électrique 46, de type électronique, dans le cas o l'unité de communication est une unité déportée et non l'unité maîtresse. On peut également utiliser d'autres
sources de données, comme des alarmes et des dispositifs si-
milaires. Les dispositifs d'E/S peuvent en outre être connectés à une liaison fixe 22. Les dispositifs d'E/S reçoivent et émettent par la liaison des messages non modulés. Le dispositif destiné à convertir en signaux optiques les signaux électriques
provenant des dispositifs d'E/S et à convertir en signaux élec-
triques les signaux optiques présents sur la liaison est clas-
sique et n'est pas représenté. Pour simplifier, on peut suppo-
ser que la liaison fixe est une voie de données câblée qui
n'introduit pratiquement aucun bruit.
Le schéma synoptique de la figure 4A montre des dé-
tails supplémentaires de la section de récepteur 30 des unités de communication. La section de récepteur comprend un amplifi- cateur d'entrée 50 connecté à la ligne d'énergie 32 dans le
but d'amplifier le signal porteur modulé en phase, à 36 kHz.
L'amplificateur 50 comprend également des circuits de limita-
tion d'amplitude classiques. La sortie de l'amplificateur 50 est connectée à l'entrée d'un filtre passe-bande 52 ayant une fréquence centrale de 36 kHz. Le circuit du récepteur comprend en outre un circuit d'estimation de rapport signal à bruit 60, qui est décrit de façon complète dans la demande de brevet des
E.U.A. n 747730, déposée le 21 juin 1985.
Le circuit 60 remplit deux fonctions. La première fonction est de démoduler le signal porteur modulé en phase qui est présent à la sortie du filtre 52. Les données en bande de base sont émises sur la ligne 40. Le circuit 60 fournit en outre sur des lignes de sortie désignées par la référence 44
des paramètres d'Estimateur de Rapport Signal à Bruit (ERSB). Comme il est indiqué dans la demande précitée, l'UCT 36 uti-
lise les paramètres d'ERSB pour produire une valeur d'ERSB qui
est représentative du rapport signal à bruit du message reçu.
La figure 4B montre des détails supplémentaires de
la structure de la section d'émetteur 34. La section d'émet-
teur comprend un oscillateur 64 qui produit un signal de sor-
tie numérique ayant une fréquence de 36 kHz. La sortie de l'oscillateur 64 est connectée à l'entrée de signal porteur
d'un modulateur numérique 62. L'entrée de modulation est con-
nectée à la ligne 42 qui achemine des données en codage numé-
rique provenant des dispositifs d'E/S 38. Le signal de sortie du modulateur 62 est un signal en modulation par saut de phase (PSK), dans lequel la phase du signal porteur est inversée conformément aux données présentes sur la ligne 42. On peut réaliser le modulateur 62 en utilisant une porte OU-EXCLUSIF,
comme il est bien connu.
Le signal modulé à 36 kHz est ensuite amplifié par
un amplificateur classique 66 et le signal de sortie de l'am-
plificateur est appliqué à un circuit d'adaptation d'impédance 68. La sortie du circuit 68 est connectée à la ligne d'énergie 32.
La figure 5 est un schéma synoptique simplifié re-
présentant la configuration de mémoirestamponsou de registres d'une unité de communication prise à titre d'exemple. L'unité
comporte deux mémoires tampons de messages destinées à rece-
voir des messages démodulés. Les messages reçus par la ligne d'énergie sont transférés vers la mémoire tampon de ligne d'énergie 70, et les messages reçus sur la liaison fixe sont
transférés vers la mémoire tampon de liaison fixe 72.
Les messages sont transférés des mémoires tampons d'entrée 70, 72 vers une mémoire tampon d'exécution 74. Si le message reçu n'est pas dirigé vers l'unité de communication
considérée, c'est-à-dire si l'Adresse de Destination Intermé-
diaire du message est différente de l'adresse de l'unité dé-
portée réceptrice, le message sera traité dans le but de sé-
lectionner des adresses de liaison descendante préférées, comme l'indique la case 76. Du fait que le message n'est pas dirigé vers l'unité considérée, aucune action supplémentaire ne sera entreprise en liaison avec ce message. Comme on le décrira ultérieurement, certains types d'ordres provenant de
l'unité maîtresse seront dirigés vers plus d'une unité dépor-
tée, en fonction du type de message et de certains indicateurs
de données associés. Si un ordre est dirigé vers une ou plu-
sieurs unités déportées, ces unités exécutent l'ordre, si
nécessaire.
Si l'unité de communication considérée est la des-
tination finale du paquet de données, le message est également
traité dans le but d'optimiser les adresses de liaison descen-
dante, comme l'indique la case 78. De plus, le message est traité conformément au contenu du paquet de données, comme
l'indique la case 80.
Si le message est dirigé vers l'unité considérée, mais si l'unité n'est pas la destination finale du paquet de données, le paquet de données contenu dans le message sera enregistré et acheminé dans un message suivant. Comme l'indi- que la case 77, le message sera tout d'abord traité dans le but de mettre à jour les adresses de liaison descendante. Le message sera ensuite transféré vers l'une des deux mémoires
tampons d'enregistrement et d'acheminement 82, 84. Les messa-
ges resteront dans l'une ou l'autre des mémoires tampons 82, 84 jusqu'à ce que la séquence d'émission soit déclenchée. A ce moment, le message sera transféré vers la mémoire tampon
d'émission 96.
Si l'unité considérée est connectée à une liaison fixe, le message contenant un paquet de données à enregistrer
et à acheminer est transféré vers une mémoire tampon de liai-
son fixe 98. Le message est ensuite émis sur la ligne d'éner-
gie en utilisant l'émettant 34 (non représenté). S'il existe une liaison fixe, le message est également émis simultanément sur cette liaison. Comme on le décrira ultérieurement de façon plus détaillee, le message en bande de base transmis sur la ligne d'énergie est pratiquement identique au message transmis sur la liaison fixe, la différence essentielle consistant en ce que le message de la ligne d'énergie est transmis avec un
avec un codage assurant au moins une densité minimale de tran-
sitions, et il comprend une constante de codage, qu'on utilise
pour décoder le message, et des bits de synchronisation.
L'unité de communication comprend en outre cinq mé-
moires tampons 86, 88, 90, 92 et 94 destinées à conserver des paquets de données créés dans l'unité considérée. Les paquets de données sont conservés dans les mémoires tampons jusqu'à ce que l'unité soit prête à déclencher une séquence de messages de liaison descendante, en émettant un message qui contient l'un des paquets de données. Du fait que la probabilité d'émission d'un message de déclenchement de séquence dans un intervalle de temps d'événement particulier peut être fonction du niveau de trafic de messages, il peut s'écouler une durée
notable, de l'ordre de deux à trois heures, avant que le mes-
sage soit réellement émis. On utilise de ce fait plusieurs mémoires tampons de paquets de données créés pour recevoir des
paquets de données qui peuvent s'accumuler.
Comme on le décrira ultérieurement, une fois qu'une émission commence, tous les paquets de données en attente qui ont été créés dans l'unité considérée sont émis successivement de façon à maximiser le débit de messages du réseau, chaque message donnant lieu à une séquence de messages de liaison
descendante suivie par une séquence de réponse de liaison mon-
tante. Lorsque l'émission réelle commence, le message est transféré de la mémoire tampon de paquets de données créés associée, vers la mémoire tampon d'émission, et il est émis sur la ligne d'énergie d'une manière identique à celle décrite précédemment en relation avec des messages qui sont traités par enregistrement et acheminement. L'émission est également effectuée sur la liaison fixe en utilisant la mémoire tampon
98, si une liaison fixe est présente.
On va maintenant décrire le fonctionnement du réseau de communication considéré, en se référant aux organigrammes des figures 6-35. Le Tableau 1 ci-après montre le contenu des messages que les unités de communication émettent et reçoivent
dans le réseau de communication considéré.
TABLEAU 1
CONTENU DES MESSAGES
Préambule (16 bits) Synchronisation (8 bits) Constante de Codage à Densité,Minimale d Nombre de Bonds (4 bits) Numéro de Séquence Globale (8 bits) Type de Message (6 bits) Numéro de Séquence (5 bits) Indicateur de Message à suivre (1 bit) Qualité de la Liaison de Retour (2 bits) TniciteirS de Donnes_ a bits) e Transitions (5 bits) Liaison Confirmée (1 bit) Priorité Mesurée (4 bits) Adresse de Destination Intermédiaire (10 bits) Adresse de Source/Destination (10 bits) Adresse de Source Intermédiaire (10 bits) Numéro de Système (8 bits) Zone de Données (104 bits) Code de Redondance Cyclique (16 bits) Chaque message comprend un total de 221 bits. Comme
indiqué dans le Tableau 1, 16 bits de chaque message compren-
nent un préambule suivi par 8 bits de synchronisation. 5 bits supplémentaires représentent une constante de codage utilisée pour décoder le message dans le récepteur. Environ 80 bits du message constituent diverses zones de commande qu'on décrira
ultérieurement. Le message comprend en outre une zone de don-
nées d'environ 100 bits destinée à contenir des données de message. Les 16 derniers bits de chaque message constituent des bits de Code de Redondance Cyclique qui sont utilisés pour
la vérification des données, comme il est bien connu.
Le Tableau 2A contient une liste de définitions des termes utilisés dans les messages, dont quelques uns ont été mentionnés précédemment. On expliquera davantage ces termes en
relation avec la description d'ensemble de l'invention.
TABLEAU 2A
TERME DU MESSAGE
Numéro de Séquence Globale (NSG) Nombre de Bonds (NB) Adresse de Destination Intermédiaire (ADI)
Adresse de Source Intermé-
diaire (ASI) Indicateur de Liaison Confirmée (L) Numéro de Système (NSY) Indicateur de Message à Suivre (IMS)
DEFINITION
Un numéro qui identifie des ordres
créés par l'unité maîtresse.
Le nombre de transmissions de mes-
sage nécessaires pour transférer un paquet de données de l'unité déportée qui a émis le message
jusqu'à l'unité maîtresse.
L'adresse de l'unité de communica-
tion qui doit recevoir le message, c'est-à-dire l'unité vers laquelle
le message est dirigé.
L'adresse de l'unité de communica-
tion qui a émis le message.
Indique si l'unité déportée qui émet le message a réalisé avec succès la dernière séquence de
communication avec l'unité maî-
tresse. Identifie un système constitué par une unité maîtresse et des unités
déportées associées.
Un indicateur qui indique qu'une
autre séquence de messages prove-
nant de l'unité déportée identi-
fiée par l'Adresse de Source/Des-
tination du message, suit immédia-
tement. TABLEAU 2A (suite)
TERME DU MESSAGE
DEFINITION
Priorité Mesurée (PM) Qualité de la Liaison de Retour (Q) Une mesure du trafic de messages
moyen le plus élevé que doit écou-
ler une unité déportée quelconque dans la liaison virtuelle (Tableau
2B) du message.
Une mesure du facteur de mérite dans le cas le plus défavorable pour le rapport signal à bruit,
pour tous les segments de la liai-
son virtuelle (Tableau 2B) du mes-
sage.
Adresse de Source/Destina-
tion tAbU)
L'adresse de l'unité déportée as-
sociée au paquet de données dans le message (Tableau 2B), ou l'adresse de l'unité déportée qui
est la destination finale du mes-
sage. Numéro de Séquence (NS) Un nombre qui reste constant pour
tous les messages dans une séquen-
ce de messages de liaison descen-
dante et une séquence de liaison montante qui lui répond, et qu'on utilise pour identifier le paquet
de données.
Le Tableau 2B contient une liste de définitionsde certains autres termes, en ordre alphabétique, qu'on utilisera
pour décrire le fonctionnement du réseau de communication con-
sidéré.
AUTRES TERMES
Ordre Réel Reçu (ORR) Message Diffusé
TABLEAU 2B
DEFINITIONS
Une valeur indiquant le dernier Nu-
méro d'Ordre Global reçu par l'unité déportée.
Un message n'ayant aucune destina-
tion particulière, et ayant une Adresse de Destination Intermédiaire
ne comportant que des zéros.
Priorité Claculée (PC) Message de Liaison Descendante Liste d'Attente Liste de Défauts (LSTDEF) Une mesure du trafic de messages moyen que doit écouler une unité déportée.
Une message émis par une unité dé-
portée contenant un paquet de don-
nées à transférer-vers l'unité maîtresse.
Une liste d'adresses d'unités dé-
portées pour lesquelles un message de réponse est attendu, avec pour
chaque article de la liste un indi-
cateur associé qui indique si le message pour lequel une réponse est
attendue a été émis par l'unité dé-
portée associée à la liste.
Une liste d'adresses de liaison descendante fonctionnant le plus mal qui ont été ou qui sont dans la
Bonne Liste.
TABLEAU 2B (suite)
AUTRES TERMES
Quotient d'Echec (QE) Ordre de Séquence Globale (OSG) Bonne Liste (BNLST) Dernière Adresse (DERADR)
DEFINITIONS
Un facteur de mérite pour le rapport échec/succès d'une unité déportée,
en fonction du temps, pour la récep-
tion d'un message de liaison montante
de réponse attendu.
Un message contenant une information
d'ordre provenant de l'unité maî-
tresse et devant être traité par une
ou plusieurs unités déportées.
Une liste formée d'adresses utilisées en tant qu'Adresses de Destination Intermédiaire de liaison descendante,
par ordre de préférence.
La dernière Adresse de Source/Desti-
nation (ASD) qui a provoqué l'affec-
tation du canal de communication.
Liste de Liaisons (LSTLIA) Liste de Sémaphores LSsEM) Une liste formée d'adreses utilisées en tant qu'Adresse de Destination Intermédiaire pendant la séquence de messages de liaison montante d'une
liaison virtuelle, qui ont été éta-
blies pendant la séquence de message
de liaison descendante précédente.
Une liste indexée pour tous les types
de messages qui fournit diverses in-
formations pour chaque type (Tableau 4). TABLEAU 2B (suite)
AUTRES TERMES
Estimateur de Rapport Signal à Bruit (ERSB) Opération d'Enregistrement et d'Acheminement (E & A)
DEFINITIONS
Une valeur qui représente une esti-
mation du rapport signal à bruit
pour un message reçu.
L'émission d'un message par une uni-
té déportée contenant un paquet de données obtenu à partir d'un message reçu, devant être transféré vers une autre unité déportée ou vers l'unité maîtresse. Priorité de Système (PS) Une valeur utilisée par une déportée pour déterminer la lité d'émission de certains unité
probabi-
messages. Message de Liaison Montante Liaison Virtuelle Un message contenant un paquet de données émis par l'unité maîtresse
et devant être reçu par une ou plu-
sieurs unités déportées.
La voie entre des noeuds de commu-
nication pour une séquence de messa-
ges. On utilise un programme superviseur pour commander la séquence selon laquelle les unités de communication effectuent
diverses taches ou travaux. Comme il est bien connu, les pro-
grammes superviseurs affectent une priorité aux divers travaux une fois que les travaux ont été mis en file d'attente. Dans le système présent, les travaux comprennent par exemple le
traitement de messages reçus sur la ligne d'énergie, le traite-
ment de messages reçus sur la liaison fixe, l'enregistrement et l'acheminement d'un paquet de données, et le calcul d'une valeur qui est une estimation du rapport signal à bruit d'un message reçu. On décrira ultérieurement d'autres travaux commandés par
le programme superviseur.
La figure 6 montre un organigramme simplifié repré-
sentant le fonctionnement du programme superviseur. Le début de la séquence est représenté par l'élément 100. L'élément 102
indique qu'on détermine si certains des divers travaux comman-
dés par le programme superviseur ont été mis en file d'attente.
Si aucun travail n'a été mis en file d'attente, la séquence
reste dans une boucle.
En supposant qu'un ou plusieurs travaux aient été mis en file d'attente, les travaux sont ensuite accomplis,
comme l'indique la case 104. S'il y a plus d'un travail à exé-
cuter, la séquence d'exécution se déroule conformément à une priorité prédéterminée. Une fois que le ou les travaux ont été
exécutes, la séquence retourne au point de départ, et on dé-
termine si des travaux supplémentaires ont été mis en file d'attente. Le programme reste dans une boucle jusqu'à ce qu'un
travail soit mis en file d'attente.
La séquence relative au traitement initial de messa-
ges reus est représentée- par les organigrammes des figures 7A-
7E. Lorsqu'un message reçu est détecté, un travail est mis en
file d'attente pour accomplir un tel traitement de message ini-
tial. Le programme superviseur provoque le démarrage de la sé-
quence. Si le message est reçu sur la ligne d'énergie, le début de la séquence est représenté par l'élément 106 de la figure 7A. Le message démodulé est transféré vers la mémoire tampon d'entrée de ligne d'énergie 70 (figure 5). La case 108 indique qu'un pointeur interne est positionné de façon à désigner la
mémoire tampon de ligne d'énergie.
Si l'unité déportée considérée est connectée à une liaison fixe, le début de la séquence pour le traitement du
message reçu par la liaison est représenté par l'élément 110.
Le message reçu est transféré vers la mémoire tampon de liaison fixe 72 (figure 5). La case 112 indique qu'un pointeur interne est ensuite positionné de façon à désigner la mémoire tampon de
liaison fixe.
On détermine ensuite si un message reçu est en cours de traitement, comme l'indique l'élément 114. On effectue cette détermination en examinant un indicateur associé à la mémoire tampon d'exécution 74 (figure 5). Si un autre message est en cours de traitement, le message reçu restera dans la mémoire tampon d'entrée. Un travail sera mis en file d'attente pour
tenter de traiter le message reçu à un moment ultérieur. L'élé-
ment 118 indique que la séquence retourne ensuite au programme
superviseur qui commandera le moment auquel le travail corres-
pondant à de nouvelles tentatives de traitement sera effectué.
Si on suppose qu'un autre message n'est pas en cours de traitement, le message reçu sera transféré vers la mémoire tampon d'exécution. Divers groupes d'information seront alors extraits du message et transférés vers des registres désignes
à l'avance.
Les messages reçus sur la ligne d'énergie et sur la
liaison fixe sont de façon générale traités de manière identi-
que, avec quelques exceptions. Dans le cas o le message est reçu sur la liaison fixe, un indicateur interne est instauré pour indiquer ce fait, ce qui est également représenté par la
case 122.
Comme l'indique la case 124, on extrait les six bits du message reçu qui représentent le type de message. Dans le
mode de réalisation présent, il y a 64 types de messages possi-
bles. Ces types comprennent, par exemple, des messages de liai-
son descendante d'une séquence de messages de liaison descen-
dante déclenchée par des unités déportées qui contiennent un paquet de données correspondant par exemple à des données de consommation d'électricité. Un autre type de message correspond aux messages de liaison montante d'une séquence de messages de liaison montante déclenchée par l'unité maîtresse en réponse à la réception d'un message de liaison descendante précédent. Les Ordres-de Séquence Globale OSG décrits précédemment, contenant
une information d'ordre qui provient de l'unité maîtresse, cons-
tituent encore un autre type de message. On examinera ultérieu-
rement de façon plus détaillée ces types de message ainsi que d'autres. Comme l'indique la case 126, la valeur du Nombre de Bonds NB est également extraite du message reçu. Comme indiqué précédemment et comme le montre le Tableau 2A, la valeur de NB dans un message reçu représente le nombre de transmissions de messages nécessaires pour transférer un paquet de données de
l'unité déportée émettrice jusqu'à l'unité maîtresse. Comme-in-
diqué précédemment, des messages émis par l'unité maiîtresse ont
une valeur de zéro pour le paramètre NB.
Dans le cas o le message reçu est un message conte-
nant un paquet de données devant être enregistré et acheminé dans la direction de liaison montante, la valeur du paramètre NB dans le message émis est fixée à la valeur du paramètre NB dans le message reçu, plus un. Par conséquent, comme l'indique la case 128, la valeur du paramètre NB sera sauvegardée pour l'utilisation dans le cas o l'information du message doit être
enregistrée et acheminée dans la direction de liaison montante.
* On décrira ultérieurement la manière selon laquelle on détermi-
ne la valeur de NB pour des messages émis dans la direction de
liaison descendante.
Comme l'indique la case 130, on extrait ensuite les c nq-bits-de--NuérodeSéquence NS. Comme le montre le Tableau
2A, le paramètre NS reste constant pour tous les messages con-
tenus dans une séquence particulière de messages de liaison descendante et dans une séquence de liaison montante qui lui répond, et des unités déportées utilisent ce paramètre pour
identifier la séquence de message particulière.
On peut illistrer davantage ce qui précède en se ré-
férant au diagramme de la figure 2. On supposera que l'unité déportée 26h a déclenché une séquence de messages de liaison descendante et a émis un message du type pour lequel on attend une réponse. Le NB associé à l'unité 26h sera incrémenté de façon à pouvoir distinguer le message de réponse qui répond à la séquence de messages considérée, vis-à-vis de messages de réponse qui résultent de séquences de messages de liaison
descendante précédentes déclenchées par l'unité. Le NB incrémen-
té sera introduit dans le message émis. De plus, la valeur du NB sera enregistrée dans la mémoire tampon correspondante parmi
les mémoires tampons de données créées 86, 88, 90, 92, 94 (fi-
gure 5).
Le message de liaison descendante sera émis vers l'unité 26e, compte tenu de l'état présent du système qui est
représenté sur le diagramme. L'unité 26e enregistrera et ache-
minera le paquet de données en émettant un message vers l'unité 26f. La valeur du paramètre NB dans le message émis par l'unité
26e ne sera pas changée, du fait que le paquet de données con-
tenu dans le message a été créé par l'unité 26h. L'unité 26e enregistrera et acheminera le paquet de données en émettant un
message vers l'unité 26f et l'unité 26f enregistrera et achemi-
nera le paquet de données en émettant un message vers l'unité
maîtresse 24, avec la valeur d'origine du paramètre NB.
L'unité maîtresse 24 retransmettra un message de
liaison montante de réponse vers l'unité 26f. La valeur du pa-
ramètre NB sera la même que dans les messages de liaison des-
cendante. Les unités 26f et 26e émettront successivement des messages de liaison montante jusqu'à ce que l'unité 26h qui a déclenché la séquence reçoive le message de liaison montante de terminaison. La valeur du paramètre NB dans le message reçu
sera examinée dans l'unité 26h et sera comparée avec des va-
leurs de NB enregistrées dans les mémoires;tampons de données
créées, dans le but d'identifier le message comme étant la ré-
ponse attendue au message de liaison descendante d'origine.
En retournant à l'organigramme de la figure 7A, on note que la valeur de Qualité de la Liaison de Retour, Q, est
ensuite extraite du message reçu, comme l'indique la case 132.
Comme le montre le Tableau 2A, la valeur de Q représente une mesure du facteur de mérite dans le cas le plus défavorable,
élaborée à partir du rapport signal à bruit de tous les messa-
ges d'une liaison virtuelle. Q est l'un des paramètres du ré-
seau qu'on utilise dans la sélection d'adresses de liaison descendante préférées, et dans le mode de réalisation présent,
ce paramètre peut varier de 3 (bruit minimal) à 0 (bruit maxi-
mal). Comme indiqué précédemment, chaque unité déportée est conçue de façon à produire une valeur de paramètre ERSB qui représente une estimation du rapport signal à bruit pour chaque message reçu. La valeur estimée du rapport signal à bruit, qu'on appelle la valeur ERSB, est un autre paramètre du réseau qu'on utilise dans la sélection d'adresses de liaison descendante préférées. On utilise en outre la valeur ERSB pour produire la valeur de Qualité de Liaison de Retour Q. Chaque unité déportée contient une liste d'adresses de liaison descendante préférées, qu'on utilise pour émettre des messages de liaison descendante. Comme l'indique le Tableau 2B, la liste d'adresses constitue ce qu'on appelle la Bonne
Liste BNLST, et chaque rubrique d'adresse de cette liste com-
prend un ensemble de paramètres associés, comprenant ERSB et
Q. Les adresses sont placées dans la liste par ordre de préfé-
rence, avec l'adresse préférée placée en haut de la liste BNLST. Une unité déportée utilise la rubrique supérieure de la
liste BNLST pour émettre tous les messages de liaison descen-
dante. Les adresses de la liste et l'ordre des adresses peuvent être modifiés si des conditions du réseau changent, comme on le
décrira ultérieurement.
Chaque fois qu'un message est reçu à partir d'une unité déportée, l'unité réceptrice examine le message dans le but de déterminer si l'unité émettrice doit être ajoutée à la Bonne Liste BNLST, ou si l'ordre de la liste doit être changé
dans le cas o l'unité considérée se trouve déjà dans la liste.
On va maintenant décrire brièvement la manière selon laquelle la liste BNLST est mise à jour avec une valeur ERSB et une valeur Q. En considérant le diagramme de la figure 2, on supposera par exemple que l'unité 26e a reçu un message de liaison montante provenant de l'unité 26f. La valeur de Q dans
le message émis par l'unité 26f est prise dans la rubrique su-
périeure dans la liste BNLST de l'unité 26f. Ceci est vrai pour tous les messages émis par les noeuds de communication, à l'exception de l'unité maîtresse. Les messages émis par l'unité
maîtresse contiennent toujours une valeur Q de 3 (bruit mini-
mal), correspondant au cas le plus favorable. Pour les condi-
tions de réseau qui sont représentées sur le diagramme de la figure 2, on peut voir que la rubrique supérieure de la liste BNLST pour l'unité 26f est l'unité maîtresse 24. Ceci vient du fait que la flèche indique que l'adresse de liaison descendante préférée pour l'unité 26f est l'unité maîtresse. La valeur de Q pour cette rubrique représente le niveau de bruit présent dans la liaison de communication entre l'unité maîtresse et
l'unité 26f.
L'unité réceptrice 26e calculera une valeur ERSB re-
présentative du niveau de bruit qui est introduit dans le mes-
sage dans la liaison entre l'unité 26f et l'unité 26e. Si
l'unité émettrice 26f est présente sur la liste BNLST de l'uni-
té réceptrice 26e, la valeur ERSB calculée fera l'objet d'un calcul de moyenne avec la valeur ERSB qui se trouve dans la
liste BNLST. Si l'adresse de l'unité émettrice n'est pas pré-
sente dans la liste BNLST de l'unité 26e, aucun calcul de moyenne n'est effectué et c'est la valeur ERSB calculée qui est utilisée. On peut voir sur le schéma de la figure.2 que pour les conditions de réseau présentes, l'unité 26f est présente
dans la liste BNLST de l'unité 26e.
La valeur ERSB peut aller de 0 à 45, avec une valeur plus élevée représentant un rapport signal à bruit estimé plus
élevé. On détermine une valeur locale de Q à partir de la va-
leur ERSB, conformément au Tableau 3 ci-dessous.
Tableau 3
Q ERSB
0 0-11
1 12-23
224-35-
3 36 et au-delà La valeur locale de Q pour l'unité est représentative
du niveau de bruit présent dans la liaison de communication en-
tre l'unité 26e et l'unité 26f. On compare la valeur locale de Q avec lavaleur reçue, et on retient la valeur de Q qui est la plus faible, c'està-dire celle du cas le plus défavorable. Si l'unité émettrice est présente sur la liste BNLST de l'unité,
on met à jour la rubrique de la liste avec la valeur de Q cor-
respondant au cas le plus défavorable et avec la valeur ERSB calculée. En cas d'absence de la rubrique considérée dans la
liste BNLST, une rubrique conditionnelle contenant les deux va-
leurs est établie. Comme on le décrira par la suite, la rubri-
que conditionnelle peut être conservée si les paramètres asso-
ciés indiquent que l'adresse introduite est appropriée pour
l'utilisation en tant qu'adresse de liaison descendante.
Tous les messages émis par l'unité 26e contiendront une valeur de Q prise dans la rubrique supérieure de la liste BNSLT pour cette unité. Dans l'exemple présent, l'unité 26f correspond à la rubrique supérieure de la liste BNLST; par
conséquent, la valeur de Q correspondant au cas le plus défavo-
rable, mentionné précédemment, sera introduite dans les messa-
ges. Toutes les unités déportées recevant des messages prove-
nant de l'unité 26e seront capables de déterminer la qualité de
la liaison de communication entre cette unité et l'unité mai-
tresse, en examinant la valeur de Q. Cette information, ainsi
qu'une autre information qu'on décrira par la suite, est utili-
sée-payrnles unités --dportées-- réceptrices pour sélectionner des adresses de liaison descendante préférées pour la liste BNLST
de l'unité réceptrice.
En se reportant à nouveau à la figure 5A, on note qu'une fois que la valeur de Q du message reçu a été extraite,
on obtient un ensemble de sémaphores pour le message. On ob-
tient les sémaphores à partir d'une liste de sémaphores LSTSEM qui est enregistrée dans l'unité déportée. La liste LSTSEM est une table à consulter qui contient une information pertinente concernant le message reçu, basée sur le type de message. Le
Tableau 4, ci-dessous, montre un exemple d'information conte-
nue dans la liste LSTSEM pour chacun des 64 types de message possibles. N'importe quel type de message particulier peut avoir une ou plusieurs des caractéristiques indiquées dans la
liste LSTSEM, à condition que ces caractéristiques soient com-
patibles. A titre d'exemple, un Ordre de Séquence Globale
(OSG) est également un message de liaison montante. Par défi-
nition, un OSG ne peut pas être un message de liaison descen-
dante.
TABLEAU 4
INFORMATION DE LA LISTE DE SEMAPHORES
Ordre de Séquence Globale Message de liaison montante Message de liaison descendante Réponse attendue Nécessité d'un temporisateur de mesure du temps écoulé Durée de blocage d'émission fixe égale à une durée de message Durée de blocage d'émission fixe égale à deux durées de message Durée de blocage d'émission fixe égale à trois durées de message Durée de blocage d'émission fixe égale à quatre durées de message
Durée de blocage d'émission variable = NB*(durée de mes-
sage) TABLEAU 4 (suite) Durée de blocage d'émission variable = 2S NB * (durée
de message).
Comme on peut le voir d'après le Tableau 4, la liste LSTSEM indique si le message est un Ordre de Séquence Globale OSG. Comme l'indique le Tableau 2B, un OSG est un message émis
par l'unité maîtresse et destiné à être traité par une ou plu-
sieurs unités déportées. Comme on l'expliquera ultérieurement, il y a quatre types d'OSG, et le type d'ordre particulier est indiqué par les trois bits d'indicateur de données présents
dans le message (Tableau 1).
La liste LSTSEM contient également une information
de direction de message pour chaque type de message. Le messa-
ge sera de façon caractéristique un message de liaison montan-
te ou un message de liaison descendante. Comme on le décrira ultérieurement, un seul type de message n'est pas affecté à
une direction de message.
La liste LSTSEM contient en outre une information indiquant si le message est du type qui exige une réponse. Les
messages de liaison descendante, qui, par définition, contien-
nent une information ayant l'unité maîtresse pour destination finale, sont de façon caractéristique du type pour lequel une réponse est attendue. Un message de liaison montante est de façon caractéristique du type pour lequel une réponse n'est
pas attendue.
Certains messages sont également du type pour lequel le paramètre temps présente une importance critique. Dans ces cas, l'information concernant la durée nécessaire pour que des messages parcourent le réseau est produite en utilisant une fonction de mesure du temps écoulé. Comme l'indique le Tableau
4, les sémaphores pour le type de message particulier indique-
ront si une fonction de mesure du temps écoulé est nécessaire.
On décrira ultérieurement le fonctionnement de la fonction de
mesure du temps écoulé.
Comme indiqué précédemment, on réduit les collisions
de messages dans le réseau en bloquant temporairement l'émis-
sion par des unites déportées sélectionnées. Un grand nombre des types de message indiqueront qu'une telle durée de blocage d'émission est nécessaire pour certaines unités recevant le message. Les sémaphores pour le type de message indiqueront si une durée de blocage d'émission est nécessaire et, dans l'affirmative, la durée du blocage. Comme l'indique le Tableau 4, certains types de message demandent une durée de blocage
fixe correspondant à une, deux, trois ou quatre durées de mes-
sage, une durée de message étant d'environ 1,3 seconde dans le
mode de réalisation présent. D'autres types de message deman-
dent une durée de blocage variable qui est fonction de la va-
leur du Nombre de Bonds NB qui est présent dans le message reçu. La valeur de la durée de blocage peut être la valeur du paramètre NB multipliée par une durée de message, ou la valeur
du paramètre NB multipliée par deux durées de message.
Comme indiqué précédemment, on réduit la probabilité
de collisions de messages en commandant la probabilité d'émis-
sion d'un message dans n'importe quelle durée d'événement par-
ticulière, qu'on appelle quelquefois un intervalle de temps.
La probabilité d'émission est de façon générale inversement proportionnelle au niveau de trafic de messages dans le réseau, et elle est commandée par un temporisateur qu'on appelle un temporisateur de probabilité d'émission. Chaque message reçu contient une information concernant le trafic dans le réseau; par conséquent, lorsqu'un message est reçu, on détermine si le
temporisateur de probabilité d'émission doit être mis à jour.
On va maintenant décrire brièvement la séquence de mise à jour du temporisateur de probabilité d'émission. Dans le mode de réalisation présent, le temporisateur d'émission comprend un compteur à 17 bits qui reçoit avec une période d'environ 88 millisecondes des impulsions d'horloge produites par un temporisateur d'intervalle de temps. Le compteur démarre
à une valeur initiale qui est sélectionnée de façon aléatoire.
Une émission de message commence lorsque certains bits du comp-
teur deviennent égaux à zéro.
La probabilité d'émission dans un intervalle de temps donné est déterminée conformément à l'équation suivante:
P = 1/(2) (1)
dans laquelle P est la probabilité d'émission et NT est le nom-
bre de bits du compteur qui sont examinés et varie de 0 à 17.
On peut voir d'après ce qui précède que si NT est
fixé à 0, aucun des bits du compteur n'est examiné. Les messa-
ges seront émis dans l'intervalle de temps suivant avec une probabilité P égale à un. Si NT est fixé à 17, tous les bits du compteur sont examinés. La probabilité P sera d'environ 8 x 10 6 Du fait que le temporisateur d'intervalle de temps a une période de 88 millisecondes, on peut voir que si NT est égal à 17, une émission ne peut pas commencer pendant environ
trois heures.
Il faut noter que le temporisateur d'intervalle de
temps est resynchronisé chaque fois que l'unité de communica-
tion reçoit un message. L'horloge du temporisateur aura ten-
dance à apparaître au début de chaque message, ce qui fait que les divers temporisateurs d'intervalle de temps dans l'ensemble du système seront pratiquement synchronisés les uns avec les autres. Les messages transmis dans le réseau ont une priorité variable, en fonction de divers facteurs parmi lesquels figure le type de message. On peut grouper les messages en messages ayant une priorité flottante et en messages ayant une priorité fixe. La probabilité d'émission de messages ayant une priorité flottante changera si le trafic de messages dans le réseau change. La probabilité d'émission de messages à priorité fixe
ne changera pas en présence de changements du trafic du réseau.
Les séquences de messages déclenchées par une unité déportée sont presque invariablement des messages de liaison descendante contenant un paquet de données dont la destination finale est par définition l'unité maitresse. Une fois qu'un
message a été transmis avec succès dans le réseau, sans colli-
sion, l'instruction de durée de blocage contenue dans le mes- sage et dans des messages enregistrés et acheminés ultérieurs, empêchera l'émission par d'autres unités déportées. Comme on l'expliquera ultérieurement, une fois qu'un message provenant
d'une unité déportée ayant déclenché une séquence a été trans-
mis, le canal sera affecté à l'unité ayant déclenché la sé-
quence, et d'autres unités déportées ne pourront pas émettre jusqu'à ce que le message de liaison montante de réponse ait
été reçu.
Des messages émis par une unité déportée qui déclen-
che une séquence de messages de liaison descendante entrent quelquefois dans la catégorie à priorité flottante. Dans ce cas, la probabilité d'émission est fonction de la valeur de
Priorité de Système PS, indiquée dans le Tableau 2B. La Prio-
rité de Système PS est une indication du trafic de messages dans le réseau, dans le cas le plus défavorable, à un moment particulier quelconque. Plus la valeur de PS est grande, plus la probabilité d'émission de messages à priorité flottante est faible. On peut illustrer davantage ce qui précède en se référant à nouveau au diagramme de la figure 2. On supposera
par exemple que l'unité déportée 26k est sur le point de dé-
clencher une séquence de messages de liaison descendante. Il
est possible que l'unité 26c soit en présence d'un niveau éle-
vé de trafic de messages, ce que l'unité 26k ne peut pas dé-
tecter. Les deux unités émettront des messages ayant l'unité
maîtresse 24 pour destination finale, l'unité maîtresse for-
mant ainsi un goulot d'étranglement dans le réseau. La valeur de Priorité de Système PS a pour fonction de fournir à des unités déportées une information de trafic de messages qui
peut être utilisée pour commander la probabilité d'émission.
Des messages à priorité flottante émis par une unité
déportée déclenchant une séquence sont émis avec une probabi-
lité qui est déterminée par la valeur courante de la Priorité de Système PS. Le nombre de bits de compteur examinés, NT, qu'on appelle également quelquefois la priorité de message,
est déterminé pour de tels messages à priorité flottante con-
formément à l'équation suivante: dans laquelle NTO est une valeur de priorité d'origine et PCF est un facteur de correction de priorité égal à la valeur
(PS-17).
La valeur de priorité d'origine NT0 de l'équation
est égale à 17 dans le mode de réalisation présent. Pour cer-
tains messages de déclenchement de séquence pour lesquels une
réponse rapide est souhaitable, on fixe NTO à 6.
Le facteur de correction de priorité PCF = (PS-17) est mis à jour chaque fois qu'un message est reçu et il est également mis à jour périodiquement. La Priorité de Système
PS peut varier d'une valeur minimale de 6 à une valeur maxima-
le de 17. Dans le mode de réalisation présent, NT calculé con-
formément à l'équation (2) a une valeur minimale de 6, indé-
pendamment de PCF. Ainsi, par exemple, si le trafic de messa-
- ges est très important en une position quelconque dans le ré-
seau, PS approchera de façon idéale du maximum de 17 pour toutes les unités déportées. PCF sera égal à 0, de façon que la priorité de message NT soit égale à la valeur de priorité d'origine NTO de 17. Ainsi, conformément à l'équation (1), la probabilité d'émission P dans n'importe quel intervalle de
temps aura la valeur minimale (approximativement 8 x 10-6).
Si la valeur de PS est faible, ce qui indique que le trafic est faible, la probabilité d'émission augmentera conformément
aux équations (1) et (2).
Une fois que le compteur du temporisateur de proba-
bilité d'émission a été chargé avec une valeur aléatoire ini-
tiale pour un message à priorité flottante, une durée notable peut s'écouler avant une tentative d'émission réelle. Si les
conditions de trafic du réseau changent pendant le fonctionne-
ment du temporisateur d'émission, on peut faire varier la-pro-
babilité d'émission réelle P conformément à l'équation (1), en changeant simplement le nombre de bits du compteur qui sont
examinés (NT), comme décrit précédemment.
Des messages émis par une unité déportée pour l'en-
registrement et l'acheminement d'un paquet de données dans un
message de liaison descendante entrent dans la catégorie à-
priorité fixe. Une fois que la probabilité d'émission P a été déterminée, la valeur reste fixe et ne varie pas conformément
à l'équation (2).
Des messages de liaison descendante qui enregistrent et acheminent des paquets de données ont une priorité fixe qui est déterminée conformément à l'équation suivante: NT = Log2 SP (3) Bien que la priorité de message NT soit fonction de la Priorité de Système PS, une fois que la priorité NT a été calculée initialement et que le temporisateur d'émission fonctionne, NT ne change pas sous l'effet de changements de la Priorité de Système. Du fait que NT est un nombre entier,
la relation exacte entre NT et PS de l'équation (3) est indi-
quée dans le Tableau 5 ci-dessous:
TABLEAU 5
NT PS
4 16, 17
3 8 - 15
2 6- 7
On peut voir d'après le Tableau 5 et l'équation (1)
que la probabilité d'émission de messages de liaison descen-
dante d'enregistrement et d'acheminement est relativement
élevée en comparaison de la priorité correspondant à des mes-
sages à priorité flottante de déclenchement de séquence. La valeur minimale de NT pour des messages à priorité fixe est
de 2, tandis que la valeur minimale pour des messages à priori-
té flottante est de 6, comme indiqué précédemment. Ainsi, si le trafic de messages est faible, PS sera égal à 6 et NT sera
égal à 2, ce qui indique que le message sera émis avec une -
probabilité P de 0,5 à l'instant suivant défini par le tempori-
sateur d'intervalle de temps, conformément à l'équation (1).
Les messages d'enregistrement et d'acheminement de
liaison montante ont également une priorité fixe, avec certai-
nes exceptions. Ces messages sont émis avec la priorité de message NT fixée à 0, indépendamment de PS. Comme on le décrira par la suite, des unités déportées qui ont été défaillantes dans la mesure o elles n'ont pas été capables de recevoir des messages, émettent périodiquement des paquets de données vers l'unité maitresse. Les messages sont appelés des messages de
noeud sourd. Un noeud sourd est conçu de façon à émettre pé-
riodiquement quatre messages identiques et à éliminer ensuite le message. Les quatre messages sont émis avec des priorités NT respectives de 17, 16, 15 et 14. Une unité déportée recevant un message de noeud sourd émis par le noeud sourd émettra un message de noeud sourd suivant contenant le paquet de données qui a été créé par le noeud sourd. L'unité déportée réceptrice déclenchera une séquence de liaison descendante de messages de noeud sourd, avec le message de déclenchement de séquence émis avec NT égal à 12. Tous les messages éventuels suivants de la séquence de messages de noeud sourd seront émis comme n'importe quel message d'enregistrement et d'acheminement de liaison descendante, avec la priorité NT déterminée conformément à
l'équation (3).
Des messages de diffusion, c'est-à-dire des messages qui n'ont aucune destination particulière (Tableau 2B) sont émis avec une priorité flottante NTO de 6. L'unité maîtresse émet desmessages de liaison montante en réponse à des messages
de liaison descendante, avec une priorité fixe de 0.
La Priorité de Système est élaborée à partir des va-
leurs de la Priorité Calculée PC et de la Priorité Mesurée PM.
Comme on le décrira ultérieurement de façon plus détaillée, chaque unité déportée et l'unité maîtresse calculent une va- leur locale de Priorité Calculée PC qui est représentative du
trafic de messages local (Tableau 2B). Dans le mode de réali-
sation présent, la valeur PC est pratiquement proportionnelle au nombre moyen de messages reçus et émis par une unité de communication dans un intervalle de temps de 64 secondes. PC
a une valeur minimale de 2 et une valeur maximale de 17.
Une valeur de Priorité Mesurée PM (Tableau 2A) est introduite dans chaque message émis par une unité déportée ou par l'unité maitresse. PM est calculée par une unité déportée lorsqu'un message est reçu, par comparaison entre la valeur
PM reçue et la valeur PC locale. La plus grande des deux va-
leurs, qui représente un plus fort niveau de trafic de messa-
ges, est introduite en tant que valeur PM dans des messages émis par l'unité. PS est également fixée égale à la valeur PM
émise de messages de liaison montante, pour commander le tem-
porisateur de probabilité d'émission conformément à l'équation (2) pour des messages à priorité variable et à l'équation (3) pour certains messages à priorité fixe. Comme on le décrira ultérieurement, la valeur PS est mise à jour périodiquement,
chaque fois qu'une valeur locale de PC est calculée.
La valeur PM émise a pour fonction d'informer une unité déportée réceptrice des conditions de trafic de messages qui existent ailleurs dans le réseau. Du fait que la valeur émise de PM est la plus grande de la valeur PM reçue et de la valeur PC locale, les valeurs émises de PM et de PS sont une indication du trafic de messages maximal en un emplacement quelconque dans le réseau. Bien que les valeurs de PS pour
* toutes les unités déportées dans le réseau ne soient pas né-
cessairement les mêmes, toutes les valeurs de PS auront ten-
dance à augmenter et à diminuer en suivant le trafic de messa-
ges correspondant au cas le plus défavorable en n'importe quel
emplacement dans le réseau.
L'information concernant les conditions de trafic du réseau est accumulée lorsque des messages se propagent en sens descendant à partir des unités déportées qui créent les messa-
ges. Par conséquent, les valeurs de PS pour les unités dépor-
tées nesont mises à jour que par des messages de liaison mon-
tante, du fait que ces messages contiennent une information de trafic qui est plus complète que celle des messages de liaison
descendante correspondants.
En retournant à l'organigramme de la figure 7A, on note qu'on obtient les sémaphores pour le type de message reçu
de façon à pouvoir déterminer si le message reçu est un messa-
ge de liaison montante, comme l'indique l'élément 136. Si le
message correspond à une liaison montante, on passe à une sé-
quence destinée à mettre à jour la valeur de PS pour l'unité déportée réceptrice. -Si le message correspond à une liaison descendante, la valeur de PS n'est pas mise à jour, pour les
raisons indiquées précédemment.
En supposant que le message soit un message de liai-
son montante, on compare la valeur reçue de PM avec la valeur
locale de PS, comme l'indique l'élément 138. Si les deux va-
leurs sont identiques, il n'y a pas de nécessité de changer PS. Si PS n'est pas égale à la valeur reçue de PM, une valeur corrigée préliminaire de PS est fixée égale à la plus grande des deux valeurs comprenant la valeur reçue de PM et la valeur locale de la Priorité Calculée PC, ce qui correspond à la case 140. Une fois que la valeur préliminaire de PS est déterminée, on passe à un sous-programme destiné à achever la séquence de
correction de priorité, comme l'indique l'élément 142.
La figure 24 représente un organigramme relatif à
l'achèvement du sous-programme de correction de priorité.
L'élément 296 représente l'entrée dans le sous-programme.
L'élément 298 indique qu'on détermine tout d'abord si la va-
leur préliminaire de PS est inférieure à la valeur minimale de 6. Si la valeur est inférieure à 6, on utilise la valeur
minimale, ce qui correspond à la case 300.
Une fois que la nouvelle valeur de PS est déterminée, on compare la valeur préliminaire de PS avec la valeur présente de PS. Comme l'indique l'élément 302, si les deux valeurs ne
sont pas différentes, il n'est pas nécessaire de changer la va-
leur présente de PS. Par conséquent, la séquence retourne au
programme appelant qui se poursuit sur l'organigramme de la fi-
gure 7B, comme l'indique l'élément 312.
En supposant que les deux valeurs de PS soient diffé-
rentes, la nouvelle valeur de PS est enregistrée, comme l'indi-
que la case 304. Une fois que la nouvelle valeur de PS a été
enregistrée, on calcule le facteur de correction PCF en sous-
trayant le nombre dix-sept de la nouvelle valeur de PS, comme l'indique la case 306. Comme indiqué précédemment en relation avec l'équation (2), le facteur PCF représente la variation du nombre de bits de temporisateur de probabilité NT qui doivent
être examinés. Le nombre réel de bits examinés est ensuite cal-
culé conformément à l'équation (2).
Comme l'indique l'équation (1), la valeur de NT com-
mande la probabilité réelle d'émission dans un intervalle de temps donné. Une fois que NT a été calculé, on met à jour le temporisateur de probabilité d'émission et la séquence retourne au programme appelant, ce que représentent respectivement la case 308 et l'élément 310. Comme indiqué précédemment, on n'utilisera la valeur de priorité mise à jour que si le message
à émettre est un message à priorité flottante. Pour des messa-
ges à priorité fixe, la valeur de priorité NT n'est pas changée
une fois qu'elle a été établie.
Conformément à ce qu'indique le Tableau 2A, chaque message contient un Numéro de Système NSY, qui identifie le réseau associé au message. Chaque unité déportée dans le réseau est programmée avec le NSY approprié de façon que des messages
provenant d'autres systèmes (qu'on appelle des messages étran-
gers,), puissent être identifiés. Comme on le décrira ultérieu-
2587570 -
rement, on utilise de tels messages étrangers dans des buts limités. L'élément 144 de la figure 7B indique qu'on détermine tout d'abord si le NSY dans le message reçu ne comprend que des zéros. Un NSY ne comprenant que des zéros indique que l'unité
déportée qui a émis le message est hors fonction. De tels mes-
sages sont traités comme des messages étrangers. Comme l'indi-
que la case 146, un compteur de messages étrangers, qu'on uti-
lise dans un but de diagnostic, est incrémenté.
Il est possible qu'un message étranger entre en col-
lisation avec des messages locaux. Comme on le décrira ulté-
rieurement, tous les messages reçus, comprenant les messages
étrangers et les messages locaux, sont traités de façon à com-
mander un temporisateur de durée de blocage d'émission qui peut
empocher l'unité réceptrice d'émettre sur le réseau. Si le mes-
sage reçu est un message étranger, le canal ne sera pas affecté une unité étrangère émettant un message étranger, bien qu'une durée de blocage puisse être établie, comme l'indique la case 148. Comme on l'a signalé précédemment, le canal est affecté à une unité déportée qui déclenche une séquence de messages, de
façon à empêcher d'autres unités déportées d'émettre des messa-
ges qui sont susceptibles de provoquer une collision. La sé-
quence passe ensuite à l'organigramme de la figure 7E, et à ce moment le temporisateur de durée de blocage d'émission est mis
à jour, comme nécessaire.
-Enr-supposant que le NSY reçu soit différent de zéro, on examine l'Adresse de Source Intermédiaire ASI du message reçu. Comme décrit précédemment, i'ASI est l'adresse de l'unité déportée qui a émis le message reçu. Cette unité peut être ou
non l'unité qui a déclenché la séquence de messages.
Des unités déportées qui émettent des messages avec une adresse ASI ne comportant que des zéros ne fonctionnent pas correctement. L'élément 150 indique que si l'adresse ASI reçue ne comprend que des zéros, la séquence passera à l'organigramme de la figure 7E. Le message sera rejeté et la visualisation associée au système sera mise à jour pour indiquer la réception
d'un message provenant d'une unité déportée hors fonction.
Si l'adresse ASI est différente de zéro, le NSY asso-
cié à l'unité déportée considérée sera ensuite examiné, comme l'indique l'élément 152. Un NSY ne comportant que des zéros in-
dique que l'unité déportée considérée n'a pas encore été pro-
grammée. Dans ce cas, l'unité n'effectuera aucun traitement supplémentaire du message reçu, à l'exception de la mise à jour de la Bonne Liste BNLST. Comme décrit précédemment, on utilise
la liste BNLST pour sélectionner des adresses de liaison des-
cendante préférées, et on décrira ultérieurement cette liste de
façon plus détaillée en relation avec l'organigramme de la fi-
gure 7E.
Si l'unité déportée considérée a été programmée, le NSY local est différent de zéro. Comme l'indique l'élément 154, on compare le NSY reçu avec le NSY local pour déterminer si le message est un message étranger. Si le message est étranger,
il est traité de la même manière que si le NSY reçu ne compor-
tait que des zéros. Le compteur de messages étrangers est in-
crémenté (case 146), l'affectation de canal reste inchangée (case 148) et le temporisateur de durée de blocage d'émission
est mis à jour (figure 7E), si nécessaire.
En supposant que les NSY correspondent, on examine le type de message pour déterminer si le message est ce qu'on appelle un message de test de liaison. Ce message, qui n'est ni
un message de liaison montante ni un message de liaison descen- dante, a pour fonction de tester une liaison fixe 22 (figure 1)
dans le système. Si une unité déportée est connectée à uneQ liai-
son fixe, l'unité doit recevoir périodiquement un message sur
la liaison si le réseau fonctionne normalement. Si un tel messa-
ge n'est pas reçu au cours d'une durée prédéterminée, l'unité déportée émet un message de test de liaison demandant à une unité déportée connectée à la liaison fixe d'émettre un message de réponse. Toutes les unités déportées qui sont connectées à une liaison fixe sont conçues de façon à répondre à des messages de test de liaison, à condition que le message soit reçu sur
une liaison fixe, indépendamment de l'adresse ADI du message.
Par conséquent, il n'est pas nécessaire que l'unité émettrice
connaisse l'adresse de l'unité connectée à la liaison.
Si l'unité émettrice du message de test de liaison ne reçoit pas un message de réponse sur la liaison fixe, elle considère que la liaison, ou la section de récepteur connectée
à la liaison, est en défaut.
Comme l'indique l'élément 156, le type de message est examiné pour déterminer si le message reçu est un message de test de liaison. Si le message est un message de test de liaison, on détermine ensuite si le message a été reçu sur une liaison fixe, comme l'indique l'élément 158. On effectue cette détermination en examinant l'indicateur de liaison fixe interne mentionné précédemment, qui est instauré lorsqu'un message est reçu sur la liaison, par opposition à la ligne d'énergie. Si le message n'a pas été reçu sur la liaison, on suppose qu'il a été émis pour tester une autre liaison dans le système, et on l'ignore.
Si le message a été reçu sur la liaison fixe, un tra-
vail est placé en file d'attente pour l'unité, dans le but d'émettre un message de réponse à la fois sur la liaison fixe et sur la ligne d'énergie, comme l'indique la case 160. Le type particulier de message de réponse n'est pas important, du fait que le but du message est de permettre à l'unité déportée ayant émis le message de test de liaison de déterminer si elle est
capable de recevoir un message quelconque sur la liaison fixe.
Une fois que le travail a été placé en file d'attente, la vi-
sualisation est mise à jour, comme on le décrira ultérieurement en relation avec l'organigramme de la figure 22. Le programme superviseur provoque l'exécution du travail sur la base de la priorité de ce travail. Des messages de test de liaison sont
émis pour tester une liaison connectée à l'unité déportée émet-
trice; par conséquent, de tels messages ne provoquent pas une
opération d'enregistrement et d'acheminement.
Si le message reçu n'est pas un message de test de
liaison, ce message fait l'objet d'un traitement supplémentai-
re. Le paquet de données contenu dans le message est de façon caractéristique enregistré et acheminé, comme on le décrira ultérieurement. L'étape suivante fait intervenir une séquence de traitement de Numéro de Séquence Globale NSG. Comme l'indique le Tableau 2A, chaque Ordre de Séquence Globale OSG émis par l'unité maîtresse est associé à un NSG. On utilise le NSG pour faire en sorte que toutes les unités déportées devant recevoir
l'information d'ordre dans un OSG, reçoivent réellement l'in-
formation. Chaque message émis par une unité déportée comprend un NSG local qui représente le NSG le plus récent présent dans des messages reçus par l'unité. Si une unité déportée reçoit un message supplémentaire contenant un NSG qui est supérieur
au NSG local, un travail est placé en file d'attente pour si-
gnaler le dernier Ordre de Séquence Globale à l'unité maîtres-
se. Le NSG local de l'unité déportée est alors mis à jour, bien qu'il soit possible que l'unité n'ait pas encore reçu des ordres manquants. Une valeur séparée, à savoir une valeur d'Ordres Réels Reçus, ORR, est enregistrée pour conserver un
enregistrement des ordres réellement reçus par l'unité dépor-
tée considérée, comme l'indique le Tableau 2B. Il est égale-
ment possible que le message reçu lui-même contienne l'infor-
mation d'ordre manquant, ce qui supprime toute nécessité de
demander un ordre.
En retournant à l'organigramme de la figure 7B, on note que le NSG du message reçu est examiné, comme représenté par l'élément 162. Si le NSG ne comporte que des zéros, aucun traitement supplémentaire de Séquence Globale ne sera effectué et le message reçu sera traité comme un message classique,
comme on le décrira ultérieurement en relation avec l'organi-
gramme de la figure 7D.
Si une unité déportée a déterminé qu'elle n'est pas capable de recevoir des messages, cette unité commencera à
émettre des messages, appelés messages de noeud sourd, conte-
nant un paquet de données associé ayant l'unité maîtresse pour destination finale. On prendra des mesures pour faire en sorte qu'une seule unité déportée vienne assister le noeud sourd en déclenchant une séquence de messagesde liaison descendante par laquelle un paquet de données associé au noeud sourd est transféré vers l'unité maîtresse. Les messages de la séquence de messages contiennent un NS qui est fourni par le noeud sourd au lieu de l'étre par l'unité déportée ayant déclenché
la séquence. Une fois qu'une première opération d'enregistre-
ment et d'acheminement a été achevée, des opérations d'enre-
gistrement et d'acheminement suivantes éventuelles seront ac-
-complies-de-lamdme-m-aniàre-que-pour un message classique.
On identifie des messages de noeud sourd en exami-
nant le NSG contenu dans le message, et un NSG ne comprenant
que des uns indique que le message contient un paquet de don-
nées qui est associé à une unité déportée sourde. Comme l'in-
dique l'élément 164, on détermine si le message est un message de noeud sourd. Si le message est un message de noeud sourd,
on détermine ensuite si l'unité déportée considérée doit dé-
clencher une séquence de messages de liaison descendante. Si le NSG ne contient pas que des uns, le NSG fera l'objet d'un examen supplémentaire, comme on le décrira en relation avec
l'organigramme de la figure 7C.
Les Adresses de Destination Intermédiaire ADI de
messages émis par une unité déportée sourde sont ignorées.
Ceci vient du fait que l'unité émettrice n'est pas capable de
recevoir des messages et n'est donc pas capable de sélection-
ner des adresses de liaison descendante préférées, en utili-
sant une liste BNLST. Par conséquent, toute unité déportée recevant un message émis par un noeud sourd peut déclencher une séquence de messages indépendamment de l'adresse ADI
quelconque qui peut être présente dans le message.
Comme l'indique l'élément 166, on détermine si
l'unité qui émet le message de noeud sourd est le noeud sourd.
On effectue ceci en comparant l'Adresse de Source Intermédiaire
ASI avec l'Adresse de Source/Destination ASD du message reçu.
Comme l'indique le Tableau 2B, l'ASI est l'adresse de l'unité émettant le message. L'ASD est l'adresse de l'unité associée
au paquet de données contenu dans le message.
Si les deux adresses ne correspondent pas, une autre unité déportée a déjà apporté son assistance au noeud sourd en
déclenchant une séquence de messages de liaison descendante.
Par conséquent, il n'est pas nécessaire que l'unité déportée considérée déclenche une nouvelle séquence de messages de
liaison descendante, bien que cette unité puisse devoir enre-
gistrer et acheminer le paquet de données contenu dans le mes-
sage de noeud sourd, comme elle le ferait pour n'importe quel message de liaison descendante classique dirigé vers l'unité considérée.
Si l'unité déportée considérée a également reçu pré-
cédemment un message de noeud sourd identique émis par le
noeud sourd, et n'a pas encore déclenché une séquence de messa-
ges de liaison descendante, le message en double pour le dé-
clenchement de la séquence est supprimé, comme l'indique la
case 168. Comme on le décrira davantage en relation avec l'or-
ganigramme de la figure 8, le message en double est identifié par l'examen de l'ASD et du NS de tout message présent dans chaque mémoire tampon d'enregistrement et d'acheminement. Le message fera l'objet d'un traitement supplémentaire, comme décrit en relation avec l'organigramme de la figure 7D. Si le
message est dirigé vers le noeud considéré, ce qui est déter-
miné par l'ADI du message, le paquet de données contenu dans
le message sera finalement enregistré et acheminé de la ma-
nière classique.
Si I'ASI et l'ASD correspondent effectivement, le message de noeud sourd a été émis par un noeud sourd et l'unité déportée considérée enregistrera et acheminera le paquet de données contenu dans le message, dans certaines circonstances,
en déclenchant une séquence de messages de liaison descendante.
Comme l'indique l'élément 170, le paquet de données ne sera pas enregistré et acheminé si une séquence d'enregistrement et d'acheminement pour le même message de noeud sourd est déjà en cours. Ceci peut se produire dans le cas o le noeud sourd a émis précédemment un autre message de noeud sourd et o l'unité déportée considérée a entrepris de déclencher une séquence de liaison descendante. On décrira ultérieurement en relation avec l'organigramme de la figure 8 la séquence de contrôle qu'on utilise pour déterminer si une séquence de messages de liaison
descendante pour le message de noeud sourd est en cours de dé-
clenchement. Comme on le décrira ultérieurement en relation avec l'organigramme de la figure 7E, la visualisation sera mise à jour, pour indiquer que le paquet de données reçu ne
sera pas enregistré et acheminé.
Si une séquence d'enregistrement et d'acheminement du paquet de données du noeud sourd n'est pas déjà en cours, un travail sera placé en file d'attente pour enregistrer et acheminer le paquet de données du noeud sourd, en déclenchant une séquence de liaison descendante, comme le représente la case 172. Le NSG des messages contenus dans la séquence de liaison descendante conservera une valeur ne comportant que des uns, pour indiquer que le message contient un paquet de données qui a été créé par un noeud sourd. Une fois que le travail a été placé en file d'attente, le message reçu fait
l'objet d'un traitement ultérieur, comme on le décrira en re-
lation avec l'organigramme de la figure 7D.
On passe à une séquence de noeud sourd lorsqu'un message de noeud sourd est reçu, pour déterminer s'il existe déjà une séquence de messages de liaison descendante sur le
point d'être déclenchée par l'unité déportée considérée (élé-
ment 170), et pour supprimer tout paquet de données en double dans le cas o une autre unité déportée a déjà déclenché une séquence de messages de liaison descendante pour assister le noeud sourd (case 168). L'élément 314 de l'organigramme de la figure 8 représente l'entrée dans la séquence. Comme l'indique
la case 316, la première étape de la séquence consiste à exa-
miner le contenu de la Mémoire Tampon d'Enregistrement et
d'Acheminement (E & A) A 82 (figure 5).
Un sous-programme de contrôle/effacement, représenté dans l'organigramme de la figure 9, est ensuite appelé, comme l'indique l'élément 318. L'élément 326 représente l'entrée dans ce sous-programme. Si la mémoire tampon considérée ne
contient pas un message, la séquence retourne au programme ap-
pelant de la figure 8, comme l'indiquent respectivement les
éléments 328 et 330.
En supposant que la mémoire tampon d'enregistrement
et d'acheminement contient effectivement un message, on compa-
re l'adresse ASD du message se trouvant dans la mémoire tampon
d'exécution 74 (figure 5) et l'adresse ASD du message se trou-
vant dans la mémoire tampon d'enregistrement et d'acheminement considérée. S'il n'y a pas coincidence, la séquence retourne au programme appelant, comme le représentent respectivement
les éléments 332 et 334.
En supposant que les adresses coincident, on déter-
mine ensuite s'il y a une coincidence des Numéros de Séquence
NS, comme l'indique l'élément 336. Comme on l'a noté précédem-
ment, le NS identifie sans ambiguité le paquet de données dans
une séquence de messages de liaison descendante et dans la sé-
quence de liaison montante qui lui répond, de façon que des unités déportées puissent identifier le message de liaison montante de réponse. En l'absence de coincidence, le paquet de données qui se trouve dans la mémoire tampon d'enregistrement et d'acheminement n'est pas un double du paquet de données
présent dans la mémoire tampon d'exécution. De ce fait, la sé-
quence retourne au programme appelant, comme l'indique l'élé-
ment 338.
S'il y a une coincidence des NS, le paquet de données est un double. Les NSG des messages sont à nouveau examinés pour reconfirmer que les messages sont des messages de noeud
sourd, comme l'indique l'élément 340. Si les messages ne pro-
viennent pas d'un noeud sourd, une anomalie s'est produite et la séquence retourne au programme appelant, comme l'indique
l'élément 342.
En supposant que les messages soient des messages
de noeud sourd, on détermine ensuite si l'entrée dans le sous-
programme a été faite dans le but de contrôler et d'effacer également le contenu des mémoires tampons d'enregistrement et d'acheminement, ou simplement dans le but de le contrôler,
comme l'indique l'élément 344. Si l'entrée dans le sous-program-
me a été faite seulement pour déterminer si l'unité déportée considérée a déjà commencé une séquence de messages de liaison descendante pour assister le noeud sourd (figure 7B, élément ), les mémoires tampons d'enregistrement et d'acheminement sont seulement contrôlées. Si l'entrée dans le sous-programme a
été faite dans le but de supprimer un paquet de données en dou-
ble (figure 7B, case 168), le contenu des mémoires tampons d'enregistrement et d'acheminement est à la fois contrôlé et effacé. En supposant que le contenu des mémoires tampons
d'enregistrement et d'acheminement doit être simplement contrô-
lé, un indicateur qui signale une coincidence entre les conte-
nus des mémoires tampons d'exécution d'une part, et d'enregis-
trement et d'acheminement d'autre part, est instauré, comme l'indique la case 348. Si le paquet de données excédentaire doit également être supprimé, le contenu de la mémoire tampon d'enregistrement et d'acheminement est efface, comme l'indique
la case 346, après quoi l'indicateur de coincidence est instau-
ré. La séquence retourne ensuite au programme appelant qui est
représenté sur la figure 8.
Une fois que la Mémoire Tampon d'Enregistrement et d'Acheminement A a été contrôlée et effacée, si nécessaire, la
Mémoire Tampon d'Enregistrement et d'Acheminement B est exami-
née, comme l'indique la case 320. Le sous-programme de contrô-
le/effacement de la figure 9 est ensuite appelé, comme l'indi-
que l'élément 322. La séquence accomplie en relation avec la Mémoire Tampon A est ensuite répétée pour la Mémoire Tampon B.
Une fois que le sous-programme est achevé, la séquence retour-
ne au programme représenté dans l'organigramme de la figure 7B, comme l'indique l'élément 324 de la figure 8. L'adresse ASD indique la destination finale pour des messages de données de liaison montante. Dans le cas o la
séquence de messages de liaison montante est accomplie en ré-
ponse à la réception d'un message de noeud sourd de liaison descendante, l'adresse du noeud sourd sera l'adresse ASD des messages de la liaison montante, bien que le noeud sourd ne soit pas capable de recevoir le message final émis par l'unité
déportée qui a déclenché la séquence de liaison descendante.
Un tel message final est cependant utile pour permettre à
d'autres unités déportées de recevoir le message afin de met-
tre à jour leurs listes BNLST respectives.
Si le NSG dans le message reçu ne comprend pas que des uns (figure 7B, élément 164), le message n'est pas un message de noeud sourd. En considérant maintenant la figure 7C, on note que le NSG du message reçu fait l'objet d'un traitement supplémentaire. Le NSG du message reçu est comparé
avec le NSG local de l'unité déportée considérée.
Si le NSG du message reçu est inférieur au NSG local,
l'unité émettrice a été informée d'un plus petit nombre d'or-
dres que l'unité considérée. L'unité déportée réceptrice n'ef-
fectue aucune action. Si le NSG local est inférieur au NSG re-
çu, il est possible que l'unité considérée ait manqué un ou plusieurs ordres. Il est également possible que le message reçu constitue l'un des ordres manquants. Comme l'indique l'élément 174 de la figure 7C, si un grand nombre d'ordres émis n'ont pas été reçus par l'unité considérée, aucune tentative n'est faite pour obtenir les ordres manquants. Dans le mode de réalisation présent, aucune action n'est effectuée s'il y a plus de 128 numéros d'ordres manquants. Le NSG de l'unité considérée est ensuite mis à jour pour correspondre à la valeur du NSG reçu,
comme l'indique la case 178.
Si le nombre d'ordres manquants, s'il y en a, est
inférieur à la valeur maximale, on détermine si la valeur lo-
cale du NSG ne comprend que des zéros, comme l'indique l'élé-
ment 176. Un NSG local ne comportant que des zéros indique que
l'unité considérée vient juste de commencer à fonctionner.
Dans ce cas, aucune tentative n'est faite pour obtenir les or-
dres manquants et la valeur présente du NSG est mise à jour.
En supposant que la valeur présente du NSG soit su-
périeure à zéro, ou après que la valeur locale du NSG a été mise à jour, on examine le type de message du message reçu pour déterminer si le message est un Ordre de Séquence Globale
OSG, comme l'indique l'élément 180.
Si le message n'est pas un OSG, on compare l'ORR
* (Tableau 2B) et la valeur reçue du NSG, comme l'indique l'élé-
ment 182. Si la valeur d'ORR est inférieure à celle du NSG re-
çu, un travail est placé en file d'attente pour l'unité consi-
dérée, de façon à déclencher une séquence de messages de liai-
son descendante pour indiquer à l'unité maîtresse le dernier
ordre reçu par l'unité, comme le représente la case 184. L'uni-
té maîtresse répond ensuite au message final de la séquence,
et sa réponse est fonction du ou des ordres particuliers man-
quants. Si par exemple il est trop tard pour que l'unité dépor-
tée traite l'ordre de façon correcte, l'unité maîtresse déclen-
chera une séquence de messages de liaison montante dans le but de mettre à jour seulement la valeur d'Ordre Réel Reçu ORR de l'unité déportée. Si l'unité déportée doit accomplir une action portant sur l'ordre ou les ordres, les ordres manquants seront acheminés vers l'unité déportée. Le message, qui n'est pas un
ordre (élément 180), fera ensuite l'objet d'un traitement ulté-
rieur, comme il est décrit en relation avec l'organigramme de
la figure 7D.
En supposant que le message reçu soit un OSG (élément ), on détermine le type d'ordre qui a été reçu. On détermine le type d'ordre en examinant les trois indicateurs de données de l'ordre. Dans le mode de réalisation présent, il y a quatre
types fondamentaux d'ordres, bien qu'on puisse également uti-
liser d'autres types d'ordres. Les quatre ordres comprennent deux ordres à diffusion générale et deux ordres à diffusion restreinte. Les ordres à diffusion générale comprennent des
ordres à diffusion générale totale qui contiennent une infor-
mation d'ordre qui est enregistrée et acheminée-dans la direc-
tion de liaison montante par toutes les unités déportées rece-
vant l'ordre, lorsque l'unité réceptrice possède également une adresse de liaison montante valide dans la Liste de Liaisons associée, ou est connectée à une liaison fixe. L'adresse ADI d'ordres à diffusion générale totale ne comprend que des zéros et chaque unité déportée qui reçoit l'ordre exécute également
ce dernier.
Le second ordre à diffusion générale est un ordre à diffusion générale de liaison fixe. Cet ordre comporte une
adresse ADI ne comportant que des zéros et il contient une in-
formation de commande qui est enregistrée et acheminée si
l'unité déportée réceptrice est connectée à une liaison fixe.
Toutes les unités déportées recevant un ordre à diffusion gé-
nérale de liaison fixeexécutent l'ordre.
Les deux ordres à diffusion restreinte comprennent
des ordres dirigés. Des ordres dirigés contiennent une infor-
mation d'ordre qui est enregistrée et acheminée de la même ma-
nière qu'un paquet de données dans des messages de liaison montante ordinaires, et ils ont une adresse ADI différente de zéro. Seule l'unité déportée ayant une adresse qui coincide avec l'adresse ASD du message d'ordre exécutera l'information d'ordre. Le second ordre à diffusion restreinte est ce qu'on appelle un ordre restreint à la fonction d'enregistrement et d'acheminement. L'ordre a une adresse ADI différente de zéro et l'information d'ordre est enregistrée et acheminée de la même manière que pour un message classique. Contrairement à un ordre dirigé, toutes les unités déportées qui reçoivent un
ordre restreint à la fonction d'enregistrement et d'achemine-
ment exécutent l'information d'ordre si l'exécution - appro-
priée.A titre d'exemple, un ordre dirigé peut être émis en ré-
ponse à un paquet de données émis par une unité déportée, dans le but d'informer l'unité maîtresse de la valeur ORR de l'unité déportée. Comme décrit précédemment, la valeur ORR informe l'unité maîtresse de l'Ordre de Séquence Globale OSG reçu par l'unité déportée. Si un ou plusieurs OSG ont été manqués et s'il est toujours approprié que l'unité déportée exécute les ordres, l'unité maîtresse peut répondre à l'unité déportée avec
un ou plusieurs OSG dirigés ayant l'adresse ASD de l'unité dé-
portée et l'adresse ADI égale à l'adresse ASI de l'unité dépor-
tée qui a émis le paquet de données vers l'unité maîtresse.
Les adresses ASD et ADI d'autres OSG à diffusion restreinte
sont sélectionnées d'une manière similaire.
Comme l'indique l'élément 186, si l'ordre est un or-
dre dirigé, le message fera l'objet d'un traitement ultérieur, comme on le décrira en relation avec la figure 7D. L'ordre
sera finalement exécuté, comme on le décrira ultérieurement.
Si l'ordre n'est pas un OSG dirigé, mais est l'un des deux types d'ordres à diffusion générale, ou bien est un ordre d'enregistrement et d'acheminement, on détermine si la
valeur ORR de l'unité considérée et la valeur NSG reçue coin-
cident, comme l'indique l'élément 188. L'existence de valeurs
NSG et ORR coïncidentes indique que 1'OSG reçu a été reçu pré-
cédemment. Cependant, l'ordre ne sera pas enregistré et ache-
miné ou exécuté, du fait que l'ordre a été reçu précédemment.
Dans ce cas, le message fera l'objet d'un traitement supplé-
mentaire, comme on le décrira en relation avec la figure 7D.
En supposant qu'il n'y ait pas de coincidence entre la valeur ORR et le NSG reçu, on détermine ensuite si l'ordre
reçu est dans la séquence appropriée, comme l'indique l'élé-
ment 190. A titre d'exemple, si le NSG du message reçu est
égal à huit et si la valeur ORR est égale à six, l'unité con-
sidérée n'a pas reçu 1'OSG associé au NSG de sept. L'ordre
présent ne doit pas être exécuté jusqu'à ce que l'ordre man-
quant ait été reçu et exécute, du fait que l'ordre dans lequel les ordres sont traités peut être critique. Dans ce cas, la séquence passe à la case 184 et un travail est placé en file d'attente pour émettre un message de liaison descendante in-
formant l'unité maîtresse du dernier ordre reçu dans la sé-
quence correcte. Comme décrit précédemment, l'unité maîtresse peut fournir les ordres manquants avec la séquence correcte, si ceci convient, ou bien elle peut simplement mettre à jour l'unité déportée en lui communiquant la valeur ORR la plus
récente. La séquence passe ensuite à l'organigramme de la fi-
gure 7D, comme on le décrira par la suite.
Si 1'OSG reçu est en séquence, on détermine ensuite si l'unité déportée considérée fait partie du groupe d'unités
devant exécuter l'information d'ordre, comme le montre l'élé-
ment 192. Dans le cas o l'unité considérée fait partie du groupe, un travail est placé en file d'attente pour exécuter l'ordre, comme l'indique la case 194. La section d'émetteur et la section de récepteur de l'unité considérée sont alors invalidées, comme le montre la case 190, de façon à préserver
le message se trouvant dans la mémoire tampon d'exécution.
On a déterminé précédemment que l'ordre reçu appar-
tenait à l'un des trois types d'ordres autres qu'un ordre di-
rigé (élément 186). Dans ce cas, l'information d'ordre reçue est enregistrée et acheminée par l'unité déportée considérée dans la direction de liaison montante, si nécessaire. A titre d'exemple, si l'ordre est un ordre à diffusion générale et si l'unité déportée considérée possède une adresse de liaison montante valide dans la liste LSTLIA, l'information d'ordre
est finalement enregistrée et acheminée. Cette procédure assu-
re que des unites déportées devant exécuter l'information d'ordre, mais qui sont incapables de communiquer directement
avec l'unité maîtresse, reçoivent l'information d'ordre.
Pour minimiser le nombre de transmissions dans le réseau, les unités déportées sont conçues de façon à ne pas émettre de messages dans la direction de liaison montante si le Nombre de Bonds NB de l'unité est supérieur ou égal à la valeur maximale pour le système. Dans le mode de réalisation présent, la valeur maximale est de quinze. La- valeur émise de NB dans ce cas est déterminée en ajoutant un à la valeur de
NB dans le message reçu. Si la nouvelle valeur de NB est supé-
rieure ou égale à la valeur maximale, l'ordre ne sera pas en-
registré et acheminé, comme l'indique l'élément 198. Le messa-
ge rea ensuiteèl'objet d'un traitement ultérieur, comme on
le décrira en relation avec la figure 7D.
Dans le cas o la nouvelle valeur de NB est infé-
rieure à la valeur maximale, on détermine, sur la base du type d'ordre, si l'information de message doit être enregistrée et acheminée, comme l'indique l'élément 199. On détermine ceci en examinant les trois indicateurs de données de l'ordre, comme
décrit précédemment. Comme le montre la case 200, si le paquet de données doit être enregistré
et acheminé, un travail est placé en file d'attente pour émettre un message dans la direction de liaison
montante, comme on le décrira ultérieurement.
Une fois que le traitement de Séquence Globale repré-
senté sur l'organigramme de la figure 7C a été effectué, le message d'ordre fait l'objet d'un traitement ultérieur, comme
on le décrira en relation avec l'organigramme de la figure 7D.
Ce traitement ultérieur du message est également effectué pour la plupart des autres messages, comme décrit précédemment en
relation avec l'organigramme de la figure 7B.
Comme le montre l'élément 202 de la figure 7D, on détermine tout d'abord si le message est dirigé vers l'unité
déportée considérée. On effectue cette détermination en exami-
nant l'Adresse de Destination Intermédiaire ADI du message reçu. Si le message n'est pas dirigé vers l'unité considérée, le message ne fera l'objet d'aucune action ultérieure, sauf
dans le but de mettre à jour la Bonne Liste BNLST. Comme indi-
qué précédemment, on utilise la liste BNLST dans la sélection d'une adresse de liaison descendante optimale, et on décrira
cette liste en relation avec l'organigramme de la figure 7E.
En supposant que le message soit dirigé vers l'unité déportée considérée, on détermine ensuite si l'information de message doit être enregistrée et acheminée dans la direction de liaison montante. Ce cas n'apparaîtra que si le message est
un message de liaison montante et si l'unité déportée considé-
rée n'est pas la destination finale de l'information de messa-
ge, déterminée par l'Adresse de Source/Destination ASD du mes-
sage.
Comme décrit précédemment, chaque unité déportée comporte un temporisateur de durée de blocage d'émission qu'on
utilise pour réduire les collisions entre messages dans le ré-
seau. Le temporisateur de durée de blocage est déclenché sous l'effet de la réception d'un message, et la durée de blocage
est déterminée par le type de message, comme l'indique le Ta-
bleau 3 ci-dessus. L'Adresse de Source/Destination ASD du der-
nier message auquel le canal de communication a été affecté
est appelée la Dernière Adresse DERADR, comme l'indique le Ta-
bleau 2B.
On utilise l'adresse DERADR pour identifier l'unité déportée à laquelle le canal a été affecté, et qui peut avoir
l'adresse ASD de l'unité déportée qui a créé le paquet de don-
nées dans la séquence de messages, ou celui de l'unité déportée qui est la destination finale du paquet de données. Si le canal n'a pas été affecté à l'adresse ASD du message, la durée de
blocage empêchera l'enregistrement et l'acheminement du messa-
ge, ce qui a pour effet d'éviter des collisions avec des mes-
sages auxquels le canal a été affecté, c'est-à-dire des messa-
ges contenant une adresse ASD qui coincide avec l'adresse DERADR. La durée de blocage sera ignorée pour des messages
auxquels le canal a été affecté.
Comme l'indique l'élément 204, on détermine si le message est un message de liaison montante. En supposant que le message soit un message de liaison montante, le canal sera affecté à l'unité déportée qui est la destination finale de l'information de message. La Dernière Adresse DERADR est donc fixée égale à l'adresse ASD du message, ce qui affecte le canal aux messages contenant une telle ADS. Comme indiqué précédemment, le message présent est très probablement un mes- sage de réponse de liaison montante. Dans ce cas, le canal aura déjà été affecté à l'adresse ASD pendant la séquence de
messages de liaison descendante de la liaison virtuelle.
Une fois que le canal a été affecté, la durée de re-
tard d'émission est ignorée, comme l'indique la case 208. Ain-
si, si le paquet de données reçu doit être enregistré et ache-
miné, et si le canal est affecté à l'unité déportée qui est identifiée par l'adresse ASD, la durée de blocage n'empêchera
pas l'émission.
Si le message n'est pas un message de liaison mon-
tante, on détermine à nouveau si le canal a été affecté à l'unité déportée qui est identifiée par l'adresse ASD. Comme l'indique l'élément 210, on détermine ceci en comparant l'adresse ASD du message avec l'adresse DERADR. Si le canal a
été affecté à l'unité déportée qui est identifiée par l'adres-
se ASD du message reçu, un indicateur d'affectation d'émission est restauré, comme l'indique la case 218. Comme on le décrira
par la suite, l'indicateur d'affectation d'émission sera ins-
tauré au moment de l'émission d'un message auquel le canal est affecté, et il sera restauré au moment de la réception d'un
message auquel le canal est affecté. L'indicateur n'est utili-
sé que par une unité déportée se préparant à déclencher une séquence de messages qui contient un paquet de données qui a été créé dans l'unité déportée. Si une séquence de messages
précédente a été déclenchée et si un message de réponse atten-
du n'a pas encore été reçu, l'indicateur d'affectation d'émis-
sion sera instauré. L'unité déportée qui déclenche la séquence n'émettra pas de messages supplémentaires jusqu'à ce que le message de réponse attendu soit reçu, ce message restaurant l'indicateur, ou jusqu'à ce que la durée de blocage se soit écoulée. Ainsi, bien que le canal lui soit affecté, l'unité qui déclenche la séquence n'émettra pas un message qui est
susceptible d'entrer en collision avec un message d'une sé-
quence de messages de liaison descendante antérieure ou avec un message de réponse.
Un indicateur de validation de blocage aura été ins-
tauré de façon inconditionnelle au moment de la réception d'un
message. Lorsque cet indicateur est instauré, il est possi-
ble de mettre à jour le temporisateur de durée de blocage qui est associé à l'unité déportée. L'indicateur de validation de
blocage sera restauré dans le cas o le canal n'est pas affec-
té à l'unité déportée qui est identifiée par l'adresse ASD du message, et dans le cas o le message n'est pas un message de
liaison montante. Si le canal n'est pas affecté à l'unité dé-
portée qui est identifiée par l'adresse ASD dans le message (élément 210), on détermine si le message est un message de liaison montante, comme l'indique l'élément 212. Si le message ne correspond pas à une liaison montante, on détermine si
l'indicateur de blocage a été instauré, comme l'indique l'élé-
ment 214. Comme on l'a noté précédemment, l'indicateur de blo-
cage aura été instauré précédemment, sauf si une anomalie s'est produite. Ensuite, l'indicateur de blocage est restauré,
comme l'indique la case 216.
On détermine ensuite si l'unité déportée considérée est la destination finale du paquet de données contenu dans le message. Comme l'indique l'élément 220, si l'adresse ASD
du message reçu ne coincide pas avec l'adresse du noeud consi-
déré, un autre noeud est la destination finale. Le paquet de
données sera enregistré et acheminé dans la direction de liai-
son montante ou dans la direction de liaison descendante,
comme on le décrira en relation avec la figure 7E.
Si on suppose que l'unité déportée considérée est la destination finale, le message doit être un message de
liaison montante. Si le message n'est pas un message de liai-
son montante, ce que détermine l'élément 222, une anomalie s'est produite. Le paquet de données ne sera pas enregistré et acheminé, mais le message sera utilisé pour mettre à jour la Bonne Liste BNLST, comme on le décrira en relation avec la
figure 7E.
Si le message est un message de liaison montante, on déterminera s'il s'agit d'un Ordre de Séquence Globale (OSG), par l'examen du type de message, comme l'indique l'élément 224. Si le message est un OSG, on détermine si l'ordre est un OSG dirigé, en examinant les trois indicateurs de données. Si
l'ordre appartenait à l'un des trois types d'ordres non diri-
gés, le travail correspondant aurait été placé précédemment
en file d'attente pour exécuter l'information d'ordre, si né-
cessaire (figure 7C, case 194). Si l'ordre est un ordre diri-
gé, il a été établi précédemment que l'unité déportée considé-
réeest la destination finale de l'ordre (élément 220). Par
conséquent, un travail sera placé en file d'attente pour exé-
cuter l'ordre dirigé, comme l'indique la case 224.
Si ilunlité-déportée considerée est la destination finale du paquet de données, mais ne correspond pas à un OSG, le message sera également exécuté à ce moment. Un tel message peut avoir été déclenché par l'unité maitresse en réponse à
un paquet de données antérieur émis par l'unité déportée con-
sidérée, avisant l'unité déportée du Numéro de Séquence Glo-
bale le plus récent.
Une fois que le travail a été placé en file d'atten-
te, on entre dans une séquence ayant pour but d'examiner le Numéro de Séquence NS du message reçu, comme on le décrira en
relation avec l'organigramme de la figure 7E.
Des messages provenant d'une unité déportée qui dé-
clenche une séquence de messages de liaison descendante sont de façon caractéristique du type provoquant l'émission d'un message de réponse par l'unité maîtresse. Si le message de réponse n'est pas reçu en une durée prédéterminée, l'unité qui a déclenché la séquence déclenche une autre séquence. Comme indiqué précédemment, chaque séquence déclenchée par une unité déportée comprend un Numéro de Séquence NS qui, en association avec l'adresse ASD, est utilisé pour identifier un message de réponse attendu. Dans le cas o la séquence a été déclenchée en réponse à la réception d'un message de noeud sourd émis par un noeud sourd, l'unité déportée qui a déclenché la séquence
ne fera aucune tentative pour déclencher une autre séquence.
Comme indiqué précédemment, des séquences de messages déclen-
chées en réponse à-la réception de messages émis par des noeuds sourds contiennent l'adresse ASD, le NS et le paquet de
données du noeud sourd.
Au stade présent du traitement du message, on a dé-
terminé précédemment que le message est un message de liaison montante (élément 222), et que l'unité déportée considérée est la destination finale de l'information du message (élément 220). En considérant maintenant l'organigramme de la figure
7E, on note qu'on détermine ensuite si le message est une ré-
ponse à un message ayant une ASD qui correspond à l'unité con-
sidérée. Si l'adresse ASD coincide avec une réponse, on res-
taure un temporisateur de nouvelle tentative associé, de façon qu'aucune tentative de déclencher une séquence de messages
supplémentaire ne soit effectuée.
En supposant qu'il y ait une coincidence del'adresse ASD et que le message soit un message de liaison montante, on examine ensuite chacune des cinq mémoires tampons de source d'émission 86, 88, 90, 92 et 94 (figure 5), comme l'indique la case 230. Comme l'indique l'élément 234, on examine chaque mémoire tampon de source jusqu'à ce qu'on trouve un Numéro de Séquence NS qui coincide avec le NS du message reçu. Si on trouve une coincidence des NS, on efface le NS qui se trouve
dans la mémoire tampon et on restaure le temporisateur de nou-
velle tentative associé, comme l'indique la case 238.
Dans la plupart des cas, on trouvera finalement une coïncidence des NS. Cependant, dans certains cas, il n'y aura pas de coincidence. A titre d'exemple, il est possible que deux messages de réponse ou plus soient produits sous l'effet d'une seule séquence de messages de liaison descendante. Dans ce cas, on ne trouvera pas une coincidence pour la seconde réponse, du fait que la mémoire tampon de source aura été
effacée précédemment par le premier message de réponse.
Comme indiqué précédemment, une fois qu'un canal a été affecté à une adresse d'unité-déportée particulière, la
capacit dacheminement de messages est maximisée si des pa-
quets de données présents dans l'unité sont émis pendant une seule période d'affectation, par le déclenchement de séquences de messages de liaison descendante successives. Si plusieurs
paquets de données sont présents dans les cinq mémoires tam-
pons de source, toutes les séquences de messages sauf une contiendront un Indicateur de Message à Suivre IMS, comme l'indique le Tableau 2A. Les séquences de messages avec un indicateur IMS instauré provoqueront la réponse de l'unité maîtresse avec un message contenant également un indicateur
IMS instauré. Comme le représente l'élément 240, si le messa-
ge reçu contient un indicateur IMS instauré, il existe habi-
tuellement au moins un paquet de données supplémentaire en attente d'émission. Comme le montre la case 242, un travail sera placé en file d'attente pour émettre le paquet de données suivant se trouvant dans la mémoire tampon de source. Tous les paquets de données se trouvant dans la mémoire tampon de source seront émis jusqu'à ce que le paquet de données final soit
émis, avec un indicateur IMS restauré pour la séquence de mes-
sages finale.
Après la mise en file d'attente du travail corres-
pondant à l'émission du message suivant contenant le paquet de données en attente suivant (case 242), ou bien dans le cas o l'indicateur IMS n'est pas instauré (élément 240), un travail est ensuite placé en file d'attente pour mettre à jour la Bonne Liste BNLST, comme le montre la case 246. De façon similaire, un travail de mise à jour de la liste BNLST sera placé en file
d'attente à ce point de la séquence pour d'autres messages con-
tenant des paquets de données qui exigent des opérations d'en-
registrement et d'acheminement, comme le représente le bloc 248. De tels messages comprennent des messages qui ne sont pas dirigés vers l'unité déportée considérée (figure 7D, élément
202), des messages de liaison descendante anormaux ayant l'uni-
té considérée pour destination finale (figure 7D, élément 222) et des messages reçus lorsque le Numéro de Système NSY pour l'unité déportée considérée ne comprend que des zéros (figure 7B, élément 152). On décrira ultérieurement la séquence pour
la mise à jour de la Bonne Liste BNLST.
Les messages contenant les paquets de données à en-
registrer et à acheminer comprennent des messages qui sont di-
rigés vers l'unité déportée considérée, comme le détermine l'adresse ADI (figure 7E, élément 202), et qui, simultanément,
n'ont pas l'unité considérée pour destination finale des pa-
quets de données, comme le détermine l'adresse ASD du message (figure 7E, élément 220). Comme l'indique la case 248, un travail est mis en file d'attente pour enregistrer et acheminer un tel paquet de données dans la direction de liaison montante ou dans la direction de liaison descendante, selon ce qui est nécessaire. De plus, un travail est placé en file d'attente
pour mettre à jour la Bonne Liste BNLST. On décrira ultérieure-
ment les deux travaux.
Une fois que le travail destiné à la mise à jour de
la Bonne Liste BNLST a été placé en file d'attente, le tempori-
sateur de durée de blocage d'émission est réglé, si nécessaire.
On peut modifier la durée du temporisateur de blocage dans le but de faciliter la transmission de messages ayant un Nombre de Bonds NB égal à la valeur maximale, et on appelle de tels
messages des "messages perdus".
Comme l'indique l'élément 250, on détermine tout d'abord si le message reçu est un message perdu. Les messages
provenant d'unités déportées perdues ne provoqueront normale-
ment pas la fixation d'une durée de blocage d'émission par l'unité réceptrice. On appelle "unité déportée perdue" une unité qui émet des messages ayant un Nombre de Bonds NB égal à la valeur maximale, qui est de 15 dans le mode de réalisation présent. Du fait qu'elle ne fixe pas une durée de blocage, l'unité considérée ne retardera pas l'émission de son propre
message. Un tel message est susceptible de fournir une infor-
mation de valeur concernant le noeud perdu, c'est-à-dire une
adresse de liaison descendante utilisable.
Si le message est perdu, mais si l'unité déportée
considérée est également perdue, l'unité considérée fonction-
nera conformément à n'importe quelle durée de blocage d'émis-
sion et n'émettra pas, à condition que le message perdu ne
soit pas un message de noeud sourd. Par cette façon de procé-
der, le noeud perdu émettant le message aura une opportunité
de tenter de communiquer avec l'unité maîtresse. Si la tenta-
tive est couronnée de succès, le noeud émettant le message sera en situation de fournir une assistance à l'unité déportée considérée. On pourra illustrer davantage ce qui précède en se référant à la figure 7E. Comme l'indique l'élément 250, on détermine si le message reçu a été émis par un noeud perdu. Si le NB du message reçu est inférieur à 15, le noeud émetteur
n'est pas perdu et la séquence de durée de blocage est accom-
plie de la manière normale.
Si la valeur du NB du message reçu n'est pas infé-
rieure à 15, le noeud émetteur est perdu. On détermine alors
si le message reçu est un message de noeud sourd. Comme l'in-
dique l'élément 260, on détermine ceci en vérifiant que le NSG du message reçu ne contient pas que des uns. Si le message perdu est également un message de noeud sourd, l'information
de durée de blocage d'émission qui est contenue dans le messa-
ge est ignorée. On place un travail en file d'attente pour
mettre à jour la visualisation, comme l'indique la case 288.
Le traitement initial du message est alors terminé et la sé-
* quence retourne au programme appelant, comme l'indique l'élé-
ment 290.
Si le message perdu n'était pas un message de noeud
sourd, un compteur de messages perdus est incrément&,comme l'in-
dique la case 292. L'émission d'un message quelconque par l'uni-
té considérée fournira probablement une information utile à des noeuds perdus environnants. Si l'information du message reçu ne doit pas être enregistrée et acheminée, et si le compteur de
messages perdus contient une valeur différente de zéro, un mes-
sage sera émis pour assister des noeuds perdus, comme on le dé-
crira ultérieurement.
Une fois que le compteur de messages perdus a été incrémenté, on détermine si l'unité déportée considérée est également perdue, comme l'indique l'élément 294. Si le Nombre
de Bonds NB de l'unité considérée n'est pas inférieur à la va-
leur maximale de 15, l'unité considérée est une unité perdue et elle n'est pas en situation de fournir une assistance à l'unité
émettrice. Par conséquent, l'unité considérée exécutera l'ins-
truction de durée de blocage dans le message et s'abstiendra d'émettre. Si l'unité émettrice n'est pas une unité perdue, l'unité considérée utilisera le message pour établir une voie vers l'unité maîtresse. Si l'unité considérée n'est pas une unité perdue, l'information de durée de blocage est émise et
la visualisation est mise à jour (case 288).
Si l'information de durée de blocage contenue dans le message doit être exécutée, l'Indicateur de Message à Suivre ISM du message est examiné, comme l'indique l'élément 262. Si l'indicateur est instauré, la valeur du Nombre de Bonds NB est fixée à une valeur maximale de 15. De plus, le type du message
est forcé au type qui exige une durée de blocage d'émission va-
riable (Tableau 4), conformément à l'équation suivante: Durée de Blocage = (NB * 2) Durées de Message (4) Ainsi, si le message reçu contient un indicateur ISM instauré, l'unité considérée s'abstiendra d'émettre pendant
une longue durée, de façon à éviter une collision avec le mes-
sage qui suivra le message présent. Comme on l'expliquera ulté-
rieurement, la valeur de NB dans l'équation (4) peut être modi-
fiée dans certaines circonstances. Si l'indicateur ISM n'est pas instauré (élément 262), on détermine si le message est un message de liaison montante, ce qu'indique l'élément 266. Si le
message est un message de liaison montante, on détermine ensui-
te si le message se termine. On détermine ceci en comparant l'adresse ADI avec l'adresse ASD du message, comme l'indique
l'élément 268. Si les adresses coincident, on restaure le tem-
porisateur de durée de blocage, comme l'indique la case 270, du fait que le temporisateur n'est plus nécessaire. On met à jour la visualisation (case 288) et le traitement du message initial
est terminé.
Si le message n'est pas un message de liaison montan-
te de terminaison, ou si l'indicateur IMS du message n'est pas instauré, on examine le Nombre de Bonds NB de l'unité déportée considérée, comme l'indique l'élément 272. Si NB est égal au
maximum de quinze, l'unité déportée considérée est perdue.
L'unité considérée s'abstiendra d'émettre tout message pendant une durée suffisamment longue pour permettre à l'unité déportée qui a émis le message reçu de lui apporter une assistance. On effectue ceci en fixant la valeur de NB utilisée pour commander le temporisateur de durée de blocage à la valeur du paramètre NB reçu plus un, comme l'indique la case 274. Si le message reçu est du type qui exige une durée de blocage fixe, au lieu d'une durée variable, la valeur accrue de NB n'aura aucun effet sur la durée de blocage. Si le message contient un indicateur IMS instauré, le message sera traité comme un message à durée de blocage variable (case 264), indépendamment du type réel du message. Une fois que la valeur de NB pour le temporisateur de durée de blocage a été augmentée d'une unité, si l'unité déportée considérée est perdue, on détermine si le message reçu est un message diffusé. Comme l'indique l'élément 276, tout message contenant une adresse ADI ne comprenant que des zéros
est appelé un message diffusé (Tableau 2B). Ces messages com-
prennent les deux types d'Ordres de Séquence Globale à diffu-
sion générale et le message de liaison montante d'écho qui est émis en réponse à la réception d'un ordre de liaison montante d'écho qu'on décrira ultérieurement. Comme l'indique l'élément 276, si le message est un message diffusé, toute demande de durée de blocage dans le message, déterminée par les sémaphores de message (Tableau 4), sera ignorée. Ceci empêche que des mes- sages diffusés qui, par définition, tendent à être émis par un grand nombre d'unités déportées, ne monopolisent le réseau. La
visualisation est ensuite mise à jour, ce qui termine le trai-
tement initial du message.
Un ordre de liaison montante d'écho est un type de message qui est créé par l'unité maîtresse et qui est de façon
caractéristique une réponse à un message de liaison descendan-
te. Une unité déportée qui déclenche une séquence de messages de liaison descendante et qui reçoit en réponse un ordre de liaison montante d'écho, génère un message de liaison montante d'écho. Ce message a pour but d'assister des unités déportées
environnantes, en informant ces unités que l'unité qui a dé-
clenché la séquence a réussi à communiquer avec l'unité mai-
tresse. L'adresse ADI du message de liaison montante d'écho ne
comprend que des zéros.
Si le message n'est pas un message diffusé, on dé-
termine ensuite si un indicateur de validation de blocage a été instauré précédemment pour le message reçu, comme l'indique l'élément 278. Si l'indicateur n'est pas instauré, l'ordre de blocage contenu dans le message est ignoré et la visualisation
est mise à jour.
Si l'indicateur de validation de blocage a été ins-
tauré, le temporisateur de durée de blocage d'émission est
instauré, comme l'indique la case 280. Le temporisateur de du-
rée de blocage sera également instauré sous l'effet de la ré-
ception de messages étrangers, comme décrit précédemment en relation avec la figure 7B. Comme l'indique la case 279, un indicateur aura été instauré de façon inconditionnelle pour
indiquer qu'il y a eu un blocage précédent. On expliquera ul-
térieurement le but de cet indicateur.
La valeur de la durée de blocage sera fixée à la valeur la plus grande parmi une durée présente quelconque ou la durée calculée, de la manière déterminée par le Nombre de Bonds NB (si le type de message exige une durée variable), b5ou par la valeur NB maximale qui est utilisée si l'indicateur IMS est instauré (case 264), chacune de ces valeurs pouvant
être augmentée d'une unité (case 274).
Une fois que le temporisateur de durée de blocage
est instauré, on détermine si la nouvelle valeur du temporisa-
teur de durée de blocage diffère de la valeur d'origine, comme
l'indique l'élément 282. S'il n'y a pas de changement, la vi-
sualisation est mise à jour et le traitement initial du messa-
ge est terminé.
S'il y a un changement de la durée de blocage, on
détermine si le temporisateur de durée de blocage a été ini-
tialement actif, comme l'indique l'élément 284. Comme indiqué précédemment, si le message reçu est un message étranger,
l'indicateur qui signale que le temporisateur de durée de blo-
cage a été actif aura été instauré (case 279). Ceci a pour but d'éviter qu'un canal soit affecté au message étranger. Si le temporisateur de durée de blocage n'a pas été actif, le canal sera affecté au message reçu, comme l'indique la case 286. On
accomplit ceci en fixant la Dernière Adresse DERADR à une va-
leur égale à l'adresse ASD du message. Une fois que l'affecta-
tion a été faite, ou dans le cas o le temporisateur a été actif précédemment, la visualisation est mise à jour, ce qui termine la séquence de traitement initial du message. Si le
temporisateur de durée de blocage a été actif, aucun change-
ment d'affectation n'est effectué.
Comme indiqué précédemment, à quelques exceptions
près, un message reçu est utilisé dans le but de mettre éven-
tuellement à jour la Bonne Liste BNLST qui est associée à l'unité déportée (figure 7E, cases 246, 248). La Liste de Liaisons LSTLIA, qui contient des adresses de liaison montante, sera également mise à jour dans le cas o un paquet de données
2587570-
contenu dans le message doit être enregistré et acheminé, comme
on le décrira ultérieurement.
La séquence initiale pour la mise à jour des listes BNLST et LSTLIA, qu'on appelle quelquefois globalement la mise à jour des liaisons, est représentée par l'organigramme de la figure 12A. L'élément 352 représente l'entrée dans la séquence de mise à jour des liaisons. La première partie de la séquence est consacrée à déterminer si l'unité maîtresse doit être pla-
cée dans la Liste d'Attente LSTATT. Comme indiqué précédemment, la liste LSTATT contient une liste d'adresses de ndeuds pour lesquelles on attend l'émission d'un message de réponse. Le message attendu est un message de réponse de liaison montante qui répond à un message de liaison descendante. Une fonction principale de la liste LSTATT est de fournir l'information
qu'on utilise dans la formation de la liste BNLST.
L'unité maîtresse joue un rôle particulier parmi les noeuds du réseau dans la mesure o, par définition, l'unité maitresse n'est capable que d'émettre des messages de liaison
montante. Par conséquent, l'unité maîtresse ne sera normale-
ment placée sur la liste LSTATT d'une unité déportée que si
l'unité qui a émis un message pour lequel une réponse est at-
tendue, a émis directement vers l'unité maîtresse. Ainsi, l'information concernant l'aptitude d'une unité déportée à
émettre avec succès directement vers l'unité maitresse est ra-
rement obtenue. Si l'adresse de l'unité maîtresse est présente sur une liste BNLST d'une unité déportée, cette liste a une
plus faible probabilité de représenter des conditions actuel-
les du réseau.
On peut illustrer davantage ce qui précède en se ré-
férant au diagramme de la figure 2. Dans des conditions de ré-
seau présentes données, l'unité 26d communique avec l'unité
maîtresse en passant par des unités intermédiaires 26e et 26f.
On supposera par exemple qu'à un moment l'unité 26d était ca-
pable d'émettre des messages avec succès directement vers l'unité maîtresse 24. Il est possible que l'adresse de l'unité maîtresse soit toujours présente dans la liste BNLST de l'unité 26d bien que, du fait d'un changement dans les conditions du réseau, cette unité ne soit plus capable d'émettre directement vers l'unité maîtresse ou de recevoir directement à partir de cette dernière. Si on ne prend pas des mesures spéciales pour placer l'adresse de l'unité maîtresse dans la liste LSTATT, l'adresse restera sur la liste BNLST jusqu'à ce que l'unité 26d
tente infructueusement d'émettre directement vers l'unité maî-
tresse. Comme on le décrira, l'adresse de l'unité maîtresse sera placée sur la liste LSTATT pour l'unité 26d, chaque fois que cette unité reçoit un message de liaison descendante pour lequel une réponse est attendue. Si l'unité ne reçoit pas la
réponse émise par l'unité maîtresse, l'adresse de l'unité mai-
tresse sera retirée de la liste BNLST de l'unité 26d.
On supposera que l'unité déportée 261 a reçu un mes-
sage de liaison descendante provenant de l'unité 26k, pour le-
quel une réponse est attendue. L'unité 261 enregistrera et
acheminera l'information de message vers l'unité 26m. Si l'uni-
té 26d est capable de recevoir le message émis par l'unité 261, l'adresse de l'unité 261 sera placée dans la liste LSTATT pour _ X_ --l'unité 26d. L'unité 26d surveillera l'unité 261 pour vérifier que cette dernière émet le message de réponse attendu vers
l'unité 26k.
Dans le cas o l'adresse de l'unité maîtresse est
présente sur la liste BNLST de l'unité 26d, le message de liai-
son descendante émis par l'unité 261 provoque également l'in-
troduction de l'adresse de l'unité maîtresse dans la liste
LSTATT pour l'unité 26d. Ainsi, l'unité 26d surveillera égale-
ment l'unité maîtresse pour vérifier qu'elle est capable de recevoir directement le message de liaison montante de réponse que l'unité maitresse émet vers l'unité 26m. Si l'unité 26d ne reçoit pas le message, on considère que l'adresse de l'unité
maitresse n'est plus une adresse de liaison descendante préfé-
rée. Par conséquent, l'unité maîtresse peut être supprimée de
la liste BNLST de l'unité 26d, comme on le décrira ultérieure-
ment.
En retournant à la figure 12A, on note qu'on déter-
mine tout d'abord si le message reçu est un message de liaison descendante, comme l'indique l'élément 354. Si le message est un message de liaison descendante, on dermine ensuite si l'adresse de l'unité maîtresse est présente dans la liste
BNLST pour l'unité déportée considérée, comme l'indique l'élé-
ment 356. Si l'adrese est présente, on examine le Nombre de Bonds NB du message reçu, pour vérifier que le message n'est
pas un message perdu, comme l'indique l'élément 358. Le messa-
ge est considéré comme perdu si NB est égal à la valeur maxi-
male de quinze. L'adresse de l'unité maîtresse ne sera pas placée dans la liste LSTATT pour un message perdu, du fait
qu'il y a une probabilité élevée qu'une réponse attendue n'ap-
paraisse jamais.
Si le message n'est pas un message perdu, on déter-
mine ensuite si l'indicateur de liaison confirmée L présent
dans le message est instauré, comme l'indique l'élément 360.
Comme décrit précédemment, l'indicateur L sera instauré si
l'unité émettant le message a réussi à communiquer avec l'uni-
té maîtresse la dernière fois qu'elle a tenté de le faire. Si
l'indicateur n'est pas instauré, l'adresse de l'unité maîtres-
se ne sera pas ajoutée à la liste LSTATT,du fait qu'il y a une
probabilité élevée qu'une réponse attendue ne soit jamais re-
çue. Dans le cas o l'indicateur L a été instauré, l'adresse
de l'unité maîtresse est ajoutée à la liste LSTATT, à condi-
tion qu'une réponse soit attendue, comme l'indique la case 362. Une fois que l'adresse de l'unité maîtresse a été ajoutée à la liste LSTATT, si nécessaire, on entre dans une séquence supplémentaire pour déterminer si le message reçu est un message de réponse attendu. Si le message est attendu,
la liste LSTATT est effacée, comme décrit précédemment.
Les messages de réponse attendus sont des messages de liaison montante. Par conséquent, comme l'indique l'élément
364, on détermine si le message est un message de liaison mon-
tante. Si le message est un message de liaison montante, on
détermine si l'adresse de l'unité qui émet le message est pré-
sente dans la liste LSTATT. Comme l'indique l'élément 366, on détermine ceci en examinant l'adresse ASI du message. La liste
LSTATT n'est pas effacée si l'adresse n'est pas présente.
Si l'adresse ASI est présente dans la liste LSTATT, on détermine ensuite si un indicateur d'origine d'émission associé à la rubrique considérée de la liste est instauré,
comme l'indique l'élément 368. Un état instauré de l'indica-
teur d'origine d'émission indique que l'unité déportée consi-
dérée a émis le message pour lequel une réponse est attendue.
Un indicateur restauré indique que l'unité considérée a obser-
vé une autre unité déportée émettant le message pour lequel
une réponse est attendue.
Si l'indicateur d'origine est instauré, on détermine ensuite si le message reçu était dirigé vers l'unité déportée considérée, comme l'indique l'élément 370. On effectue ceci en examinant l'adresse ADI du message. Si le message est dirigé vers l'unité considérée, il a été établi que le message reçu est un message de réponse de liaison montante qui répond à un
message de liaison descendante émis par l'unité considérée.
Par conséquent, comme l'indique la case 372, l'indicateur de
liaison confirmée L associé à l'unité considérée est instauré.
Si le message reçu n'était pas dirigé vers l'unité considérée, mais si l'adresse ASI du message est présente dans
la liste LSTATT, avec l'indicateur d'origine d'émission restau-
ré, aucun changement n'est apporté à la liste LSTATT. Le messa-
ge sera ensuite soumis à un traitement supplémentaire pour une mise à jour éventuelle de la liste BNLST, comme on le décrira
en relation avec la figure 12B.
Une fois que l'indicateur de liaison confirmée L a
été instauré (case 372), on entre dans un sous-programme desti-
né à effacer la liste LSTATT, comme l'indique l'élément 374. On entre dans le même sous-programme dans le cas o l'adresse de
l'unité émettrice (ASI) figure sur la liste LSTATT, mais l'in-
dicateur d'origine a été restauré (élément 368). On décrira ce sousprogramme en relation avec l'organigramme de la figure 21. En considérant maintenant la figure 21, on note que
l'élément 454 représente l'entrée dans le sous-programme des-
tiné à effacer la liste LSTATT. On explore tout d'abord la liste LSTATT pour rechercher l'adresse ASI du message dans la
liste, comme l'indique la case 456. On a déterminé précédem-
ment que l'adresse était présente, par conséquent une anomalie
apparaît si on ne trouve pas une coincidence. Comme l'indi-
quent les éléments 458 et 464, si on ne trouve pas une coinci-
dence, la séquence retourne au programme appelant.
En supposant qu'on trouve une coincidence d'adresse, on restaure le temporisateur de défaut associé à la rubrique
considérée, comme l'indique la case 460. Comme décrit précé-
demment, ce temporisateur a pour but de déterminer la durée au
cours de laquelle un message de réponse attendu doit être re-
çu. Une fois que le temporisateur a été restauré, on entre dans un sousprogramme destiné à instaurer divers indicateurs de visualisation, pour mettre à jour la visualisation, comme
l'indique l'élément 462. On a noté précédemment que la visua-
lisation n'est faite que dans un but de diagnostic.
En retournant à l'organigramme de la figure 12A, on note qu'une fois que la liste LSTATT a été effacée (élément 374), si nécessaire, la Liste de Défauts LSTDEF est examinée
pour déterminer si cette liste doit être mise à jour en rela-
tion avec le message reçu. Comme décrit précédemment, la liste LSTDEF est une liste d'adresses de noeuds qui sont pertinentes
pour l'unité déportée considérée, dans la mesure o ces adres-
ses ont été ou sont présentement sur la Bonne Liste BNLST de l'unité déportée considérée. Ainsi, les rubriques de la liste LSTDEF sont ou ont été des adresses de liaison descendante
potentielles. La liste LSTDEF a pour but de conserver un en-
registrement dans le temps du fonctionnement d'adresses de liaison descendante potentielles qui ont fonctionné de façon
défectueuse, sur la base de divers critères qu'on décrira ci-
après. A chaque rubrique de la liste LSTDEF est associé un Quotient d'Echec qui est représentatif des performances du
noeud associé. Plus la valeur de QE est élevée, plus les per-
formances du noeud sont mauvaises. Dans le mode de réalisation
présent, la valeur non cadrée de QE peut aller de 0 à 131.
Si un message est reçu à partir d'une unité déportée
présente sur la liste LSTDEF, la valeur du QE associé sera di-
minuée (améliorée) pour représenter le fait que l'unité a émis avec succès un message dirigé vers l'unité considérée. Comme
l'indique l'élément 376, on examine la liste LSTDEF pour dé-
terminer si l'adresse ASI du message reçu est présente. Si
l'adresse est présente, on obtient le QE associé, comme l'in-
dique la case 378.
La valeur de QE ne sera réduite que si le noeud fi-
gurant dans la liste est également présent au sommet de la BNLST, comme l'indique l'élément 380. Une présence au sommet
de la liste BNLST indique que le noeud est l'adresse de liai-
son descendante préférée pour l'unité déportée considérée.
Dans le mode de réalisation présent, la valeur non cadrée de
QE est diminuée de quatre, comme l'indique la case 382.
Une rubrique de la liste LSTDEF sera supprimée de la liste si l'état qui lui correspond s'est amélioré au point
que la valeur de QE est égale à zéro ou moins. Comme l'indi-
quent l'élément 384 et la case 390, on détermine si la valeur
présente de QE est inférieure ou égale à zéro et, dans l'af-
firmative, on supprime la rubrique.
Si la valeur réduite de QE est supérieure à zéro, la rubrique reste dans la liste LSTDEF. Comme l'indique la
case 386, on conserve la nouvelle valeur de QE. On entre en-
suite dans un sous-programme dans le but de déterminer si le message reçu doit entraîner un ajout à la liste LSTDEF, comme l'indique l'élément 388. On entre dans ce sous-programme pour tous les messages reçus qui sont présents dans la liste LSTDEF. On entre également dans ce sous-programme à un autre stade de la séquence, pour des adresses ASI de messages reçus qui sont également présentes sur la liste BNLST pour les uni- tés déportées considérées. Des messages provenant de noeuds qui ne sont présents sur aucune de ces listes ne seront pas testés en relation avec la liste-LSTATT, du fait que de tels noeuds ne sont pas aussi pertinents pour l'unité déportée
considérée.
Une fois que le test pour la liste LSTATT est termi-
né (élément 388), ou dans le cas o la rubrique considérée de la liste LSTDEF est supprimée (case 390), la liste LSTDEF est
triée, comme l'indique la case 392. Le tri est effectué con-
formément à la valeur du paramètre QE associé à chaque rubri-
que, et la rubrique ayant la plus faible valeur non nulle de
QE est placée au sommet de la liste.
Dans le cas o le message reçu ne se trouve pas sur la liste LSTDEF (élément 376) ou n'est pas dirigé vers l'unité déportée considérée (élément 370), l'adresse ASI du message est examinée pour déterminer si elle est présente sur la liste BNLST. Si l'adresse ASI du message est présente sur la liste
BNLST, on détermine si la liste LSTATT doit être mise à jour.
On entre également dans cette séquence, qu'on décrira en rela-
tion avec l'organigramme de la figure 12B, après le tri de la
liste LSTDEF (case 392).
On décrira en relation avec l'organigramme de la fi-
gure 10 le sous-programme destiné à déterminer si le message
reçu figurant sur la liste LSTDEF doit être utilisé pour met-
tre à jour la liste LSTATT (élément 388). L'élément 480 repré-
sente l'entrée dans ce sous-programme. Des messages de réponse
ne sont émis qu'en réponse à des messages de liaison descen-
dante. Par conséquent, on détermine si le message reçu est un
message de liaison descendante, comme l'indique l'élément 484.
Si le message n'est pas un message de liaison descendante, la
séquence retourne au programme appelant, comme l'indique l'élé-
ment 486.
Si le message est un message de liaison descendante,
il est habituellement du type pour lequel une réponse est at-
tendue. Comme l'indiquent les éléments 488 et 490, si une ré- ponse n'est pas attendue, la séquence retourne au programme appelant. Si le message de liaison descendante est dirigé vers
l'unité déportée considérée, le paquet de données sera enre-
gistré et acheminé par l'unité. La liste LSTATT sera mise à jour pendant l'opération d'enregistrement et d'acheminement,
comme on le décrira ultérieurement. Par conséquent,comme l'indi-
quent les éléments 492 et 494,si l'adresse ADI du message codncide avec l'adresse du noeud considéré, la liste LSTATT sera mise à
jour ultérieurement, et la séquence retourne au programme ap-
pelant. Un message reçu n'entraîne pas un ajout à la liste LSTATT si le NB contenu dans le message est supérieur à celui
de l'unité déportée considérée, avec un écart supérieur à un.
Si le NB reçu est trop grand, il est possible que le message
* entraîne un ajout prématuré d'une adresse à la liste LSTATT.
On peut illustrer davantage ce qui précède en se référant au diagramme de la figure 2. On supposera que l'unité déportée
26d a émis un message de liaison descendante dirigé vers l'uni-
té 26e, qui est également reçu par l'unité 26a. Le NB du mes-
sage émis est de trois, tandis que le NB du noeud 26a est égal
à un. L'unité 26e enregistrera et acheminera le paquet de don-
nées vers l'unité 26f avec un NB de message de deux. Il est préférable que ce soit le message émis par l'unité 26e, et non celui émis par l'unité 26d, qui provoque un ajout à la liste LSTATT de l'unité 26a. De façon similaire, il est possible que l'unité 26f reçoive le message émis vers l'unité 26e. Il est préférable que la liste LSTATT pour l'unité 26f soit mise à jour pendant la séquence d'enregistrement et d'acheminement suivante du paquet de données par l'unité 26f, au lieu de
l'être par le message émis par l'unité 26d. Ainsi, comme l'in-
diquent les éléments 496 et 498 (figure 10), si le NB reçu dé-
passe de plus d'une unité le NB de l'unité considérée, la sé-
quence retourne au programme appelant.
Une unité déportée déclenchant une séquence de mes-
sages de liaison descendante ne procédera pas à l'enregistre-
ment et à l'acheminement du paquet de données se trouvant dans
le message de réponse de liaison montante suivant. Par consé-
quent, il n'y aura pas de message de réponse émis par l'unité qui a déclenché la séquence, et devant être reçu par d'autres unités; de ce fait, aucun ajout ne doit être fait à la liste
LSTATT. On détermine si le message a été émis par l'unité dé-
portée qui a créé le paquet de données, dans un message de liaison descendante, en comparant l'adresse ASI avec l'adresse ASD du message. Comme l'indiquent les éléments 500 et 502, si les adresses coincident, aucun changement n'est apporté à la
liste LSTATT et la séquence retourne au programme appelant.
Dans le cas o les adresses ne correspondent pas, on appelle
un sous-programme pour introduire l'adresse ASI du noeud émet-
teur dans la liste LSTATT, comme l'indique l'élément 504.
La figure 11 représente l'organigramme du sous-pro-
gramme destiné à établir des rubriques de la liste LSTATT, L'élément 506 représente l'entrée dans le sous-programme. Si
l'adresse du noeud émetteur est déjà présente, la séquence re-
tourne au programme appelant, comme l'indiquent respectivement
les éléments 508 et 510.
Si l'adresse n'est pas présente, on détermine s'il y a suffisamment de place pour une rubrique supplémentaire dans la liste LSTATT, comme l'indique l'élément 512. Dans le mode de réalisation présent, la liste LSTATT peut comporter jusqu'à quatorze rubriques. S'il n'y a pas assez de place, la séquence retourne au programme appelant, comme l'indique
l'élément 514.
En supposant qu'il y ait assez de place dans la lis-
te LSTATT, on fait appel à une fonction de temporisateur de défaut qui détermine la durée au cours de laquelle le message
de réponse attendu doit être reçu. La fonction de temporisa-
teur est assurée par un programme de temporisateur classique
qui est consacré à des fonctions de temporisateur qu'on utili-
se pour mesurer la durée de divers événements. Chaque fonction de temporisateur comporte un identificateur spécifique. Comme l'indiquent respectivement les cases 516 et 518, on obtient l'identificateur et on l'enregistre dans la liste LSTATT, à
l'emplacement auquel la nouvelle rubrique doit être établie.
Ensuite, comme l'indique la case 520, on calcule la
durée au cours de laquelle la réponse attendue doit être re-
çue. Si la réponse n'estpas reçue pendant cette durée, on suppose que la communication avec l'unité maîtresse n'a pas pu être réalisée. La durée établie par le temporisateur de défaut est fonction du Nombre de Bonds NB du message reçu et de la Priorité de Système PS de l'unité déportée considérée, conformément à l'équation suivante: Durée de Défaut = (NB + (PS + 1))*-8 Secondes (5)
Dans le mode de réalisation présent, la durée maxi-
male permise est de 255 secondes. Comme l'indique l'élément
252, on détermine ensuite si la durée calculée dépasse le ma-
ximum. Si le maximum est dépassé, on fixe la durée calculée à
une valeur égale au maximum et on l'enregistre, comme l'indi-
quent respectivement les cases 524 et 526. Si le maximum n'est
pas dépassé, on enregistre la valeur calculée (526).
On utilise ensuite la valeur enregistrée pour ini-
tialiser le temporisateur de défaut associé. On enregistre ensuite l'adresse du message reçu dans la liste LSTATT, comme
l'indique la case 530. Une fois que l'adresse a été enregis-
trée, la séquence retourne au programme appelant, comme l'in-
dique l'élément 534.
Si la liste LSTATT doit être mise à jour à cause de la réception par l'unité déportée considérée d'un message pour lequel une réponse est attendue, on introduit dans la liste l'adresse ASI du message. Dans le cas o la liste LSTATT est mise à jour du fait que l'unité considérée est sur le point d'émettre un message pour lequel une réponse est attendue, l'adresse ADI du message est introduite dans la liste. De plus, l'indicateur d'origine d'émission mentionné précédemment est instauré pour indiquer que l'unité déportée considérée
doit recevoir un message de réponse attendu, contenant l'adres-
se ADI de cette unité.
On va maintenant décrire en relation avec l'organi-
gramme de la figure 12B la séquence initiale pour la mise à jour éventuelle de la liste LSTATT, dans le cas o le message reçu est présent dans la Bonne Liste BNLST, ou doit être ajouté à la liste. On entre dans une séquence préliminaire dans le but
de réduire la probabilité de boucles de message indésirables.
De telles boucles sont susceptibles de se produire lorsqu'un message de liaison descendante est reçu à partir d'un noeud qui se trouve au-dessous de l'unité déportée considérée, en ce qui
concerne le Nombre de Bonds NB.
Comme l'indique l'élément 394, on examine le type du message reçu pour déterminer si le message est un message de liaison descendante. Si le message est un message de liaison descendante, on compare le NB du message et celui de l'unité déportée considérée, pour déterminer si le message a été émis par une unité se trouvant plus bas, comme l'indique l'élément 396. On examine ensuite la Liste de Liaisons (LSTLIA) pour l'unité considéree, afin de déterminer si la liste contient une adresse de liaison montante qui coincide avec l'adresse ASI du message reçu, comme l'indique l'élément 398. Du fait que le NB de l'unité déportée émettrice est inférieur à celui de l'unité déportée considérée, l'unité émettrice n'est plus idéale pour recevoir des messages de liaison montante provenant de l'unité considérée. Par conséquent, l'adresse est supprimée de la liste
LSTLIA, comme l'indique la case 400, ce qui réduit la probabi-
lité de boucles de message.
Une fois que la rubrique de la liste LSTLIA a été
supprimée, si nécessaire, on explore la liste BNLST pour déter-
miner si l'adresse ASI du message reçu est présente, comme l'indique la case 404. Comme l'indique la case 410, si
l'adresse n'est pas présente, elle est introduite conditionnel-
lement dans la liste BNLST, à la dernière rubrique. Un pointeur est ensuite dirigé vers la nouvelle rubrique introduite dans la
liste, comme l'indique la case 412. Il est possible que la nou-
velle rubrique soit supprimée de la liste après le tri de la liste, comme on le décrira ultérieurement. Si la rubrique est supprimée de la liste BNLST, aucun ajout ne sera fait à la liste
LSTATT.
Si l'unité qui émet le message reçu est présente sur la Bonne Liste BNLST (élément 404), on détermine si le noeud
émettant le message se trouve dans la liste LSTATT, comme l'in-
dique l'élément 406. Comme décrit précédemment, si le noeud est présent, l'unité déportée considérée attend l'émission par le
noeud d'un message de liaison montante dirigé vers l'unité con-
sidérée ou vers un autre noeud. On détermine ensuite si le NB présent dans le message est égal au maximum de quinze. Si le NB est égal au maximum, l'unité déportée émettrice est perdue,
et on prend des mesures, qu'on décrira en relation avec l'orga-
nigramme de la figure 12C, pour supprimer le noeud de la liste
BNLST.
On entre ensuite dans une séquence ayant pour but de déterminer si la rubrique considérée de la liste BNLST doit
être supprimée pour d'autres raisons. On examine ensuite la va-
leur courante du Quotient d'Echec QE dans la liste LSTDEF, pour la rubrique considérée, afin de déterminer si la valeur est
supérieure à zéro, comme l'indique l'élément 414. Si la rubri-
que considérée de la liste BNLST est une rubrique conditionnel-
le ou s'il n'y a pas de rubrique correspondante dans la liste
LSTDEF, on suppose que la valeur de QE est égale à zéro.
Comme l'indique l'élément 414, si QE est supérieur à zéro, on détermine si QE dépasse le maximum autorisé pour rester dans la liste BNLST. Bien que QE puisse avoir une valeur maximale de 131, la valeur maximale autorisée de QE pour une
rubrique de la liste BNLST est de 127 (sans cadrage). Com-
me l'indique l'élément 416, si la valeur de QE est supérieure ou égale à 128, la séquence progresse jusqu'à l'organigramme de la figure 12C, et à ce moment la rubrique est supprimée de la liste BNLST, comme on le décrira ultérieurement. Si la valeur de QE est inférieure au maximum pour la liste BNLST, une opération de cadrage est effectuée. La valeur de QE dans la liste LSTDEF est représentée par sept bits, tandis que cette valeur est représentée par quatre bits
seulement dans la BNLST. La valeur cadrée permet de simpli-
fier le sous-programme de tri de la liste BNLST, comme on le décrira ultérieurement. On accomplit le sous-programme de cadrage en supprimant les trois bits de faible poids de la
rubrique de la liste LSTDEF.
Pour éviter qu'une rubrique différente de zéro de la liste LSTDEF ne soit cadrée ou arrondie à une valeur égale à
zéro, on détermine si la valeur de la liste LSTDEF est infé-
rieure à la valeur minimale de huit pour l'opération d'arron-
di. Une valeur de huit donnera une valeur cadrée égale à un.
Si la valeur différente de zéro est inférieure à ce minimum de huit, la valeur de QE est fixée à huit, comme l'indique la
case 420, de façon que la valeur cadrée soit égale à un.
On met à jour les divers paramètres de performances associés à la rubrique considérée de la liste LSTDEF, comme l'indique la case 422. Ces paramètres comprennent le Quotient d'Echec QE, le Nombre de Bonds NB, l'Indicateur de Liaison Conformée L, la Qualité de Liaison de Retour Q, et l'Estimateur de Rapport Signal à Bruit ERSB. L'état relatif à la liste
LSTLIA pour chaque rubrique de la liste BNLST n'est pas enre-
gistré dans cette dernière liste, mais c'est un paramètre de
tri pour la liste BNLST.
Le traitement du message reçu se poursuit sur l'or-
ganigramme de la figure 12C. Comme l'indique l'élément 424, on
détermine si le message est dirigé vers l'unité déportée con- sidérée, en examinant l'adresse ADI du message. Si le message
est dirigé vers l'unité considérée, on examine le type de mes-
sage pour déterminer si le message est un message de liaison montante, comme l'indique l'élément 442. Si le message est un
message de liaison montante, on supprime effectivement l'adres-
se de la liste BNLST, dans le but de réduire la probabilité de formation de boucles de message. On effectue ceci en fixant les paramètres de la liste BNLST aux valeurs correspondant au cas
le plus défavorable, comme l'indique le Tableau 6 ci-dessous.
Tableau 6
RUBRIQUE ETAT
QE (cadré) 15
ERSB 0
Q 0
L 0
NB 15
Une fois que les rubriques de la liste BNLST ont été fixées aux valeurs correspondant au cas le plus défavorable, on entre-dans un sous-programme destiné à trier la liste, comme l'indique la case 450. Comme on le décrira ultérieurement, la liste BNLST est triée par ordre de préférence, en plaçant l'adresse la plus préférée au sommet de la liste. Dans le mode de réalisation présent, la liste a une capacité lui permettant d'enregistrer six rubriques. Si une rubrique conditionnelle a
été établie dans des conditions telles qu'il y a sept rubri-
ques, la rubrique occupant la position inférieure, ou la moins préférée, est supprimée. Une fois que le tri a été effectué, la séquence de mise à jour des liaisons est achevée, comme
l'indique l'élément 452.
Si le message est dirigé vers l'unité déportée con-
sidérée et est un message de liaison montante (élément 442), l'information de message doit être enregistrée et acheminée,
ou bien l'unité considérée est la destination finale de l'in-
formation de message. Dans le premier cas, la liste LSTATT est mise à jour pendant l'émission du message qui est faite ensuite. Dans aucun cas il n'est nécessaire de mettre à jour à ce moment la liste LSTATT. La liste BNLST est ensuite triée
et la séquence retourne au programme superviseur, comme l'in-
diquent respectivement la case 444 et l'élément 446.
Si le message reçu n'est pas dirigé vers l'unité considérée (case 424), une valeur égale au Nombre de Bonds NB local de l'unité considérée plus un est calculée, comme l'indique la case 426. Ensuite, comme l'iidique l'élément 428,
on compare la valeur calculée et le Nombre de Bonds NB reçu.
Si la valeur reçue est supérieure au NB de l'unité présente
plus un, le message a été émis par un noeud se trouvant au-
dessus de l'unité considérée, en ce qui concerne le NB. Pour réduire la probabilité de boucles de message, l'adresse du
noeud n'est pas ajoutée à la liste BNLST. Les rubriques asso-
ciées de la liste BNLST sont ensuite fixées aux valeurs du cas le plus défavorable qui sont indiquées dans le Tableau 6, et la liste BNLST est triée, comme décrit précédemment, pour
supprimer effectivement la rubrique.
Dans le cas o le message n'a pas été émis par une unité se trouvant audessus(élément 428), on détermine si le
message reçu est un message de liaison montante, comme l'indi-
que l'élément 430. Si le message est un message de liaison montante, aucun ajout n'est fait dans la liste LSTATT. Comme l'indique l'élément 436, on détermine ensuite si le message
de liaison montante a été émis par une unité déportée perdue.
Comme on l'a indiqué précédemment, on considère qu'une unité est perdue si le NB reçu est supérieur à la valeur maximale
de quinze. Si l'unité émettrice est perdue, on fixe aux va-
leurs du cas le plus défavorable les paramètres de la liste BNLST pour toute rubrique conditionnelle (case 448), et on trie la liste,comme décrit précédemment. Si l'unité n'est pas
perdue, on trie la liste BNLST et on retient les six meilleu-
res rubriques, comme l'indique la case 438. La séquence retour-
ne ensuite au programme superviseur, comme l'indique l'élément 440.
Si le message n'est pas un message de liaison montan-
te (élément 430), on détermine ensuite si le message est un
message de liaison descendante, comme l'indique l'élément 432.
Certains types de message ne sont ni des messages de liaison montante ni des messages de liaison descendante. Si ce type de message a été reçu, on fixe les rubriques de la liste BNLST aux valeurs du cas le plus défavorable (case 448), on trie la liste BN.LST et on retourne au programme superviseur (élément 452). Si le message est un message de liaison descendante, on entre dans le sous-programme destiné à déterminer si une
rubrique doit être établie dans la liste LSTATT, comme l'indi-
que l'élément 434. Comme décrit précédemment en relation avec l'organigramme de la figure 10, on détermine si la liste LSTATT doit être mise à jour. Si la liste doit être mise à jour, on
introduit dans la liste l'adresse du noeud émetteur et on cal-
cule la durée sur laquelle doit être réglé le temporisateur de
défaut, comme décrit précédemment en relation avec l'organi-
gramme de la figure 11.
Une fois que le sous-programme de mise à jour de la -liste LSTATT a été exécuté, on détermine si le message provient d'une unité déportée perdue, comme l'indique l'élément 436. Si l'unité est perdue, on supprime la rubrique conditionnelle dans la liste BNLST, tandis que dans le cas contraire, on trie la
liste et la séquence retourne au programme appelant.
On décrira initialement en relation avec l'organi-
gramme de la figure 13 la manière selon laquelle on trie la
liste BNLST. Les critères de tri de la liste BNLST sont indi-
qués dans le Tableau 7, par ordre de préférence.
Tableau 7
Rubriques absentes de la liste LSTLIA Rubriques ayant un QE inférieur Rubriques avec L = 1 Rubriques avec Q différent de zéro Rubriques avec un NB inférieur Rubriques avec un Q supérieur Rubriques avec un ERSB supérieur Comme l'indique le Tableau 7, on trie tout d'abord
les rubriques de la liste BNLST sur la base de l'état des ru-
briques en relation avec la liste LSTLIA. Des boucles de mes-
sage indésirables sont susceptibles de se produire si une adresse est présente à la fois dans la liste BNLST et dans la
liste LSTLIA pour une unité déportée particulière. Par consé-
quent, les rubriques de la liste BNLST qui sont présentes dans la liste LSTLIA ne sont pas préférées en tant que rubriques de
la liste BNLST.
Les rubriques ayant un état similaire en ce qui con-
cerne la liste LSTLIA font l'objet d'un tri supplémentaire basé sur la valeur du Quotient d'Echec QE de la rubrique. Si la rubrique est absente de la Liste de Défauts LSTDEF, QE est
fixé à zéro. Les rubriques ayant un QE inférieur sont préfé-
rées. On trie les rubriques ayant la même valeur de QE sur la base de l'état de l'Indicateur de Liaison Confirmée L, et la condition préférée correspond à un indicateur instauré. Le processus se poursuit sur la base de chaque paramètre de tri,
comme l'indique le Tableau 7.
L'organigramme de la figure 13 montre un exemple de la manière selon laquelle on peut trier une liste quelconque conformément à la valeur d'un paramètre donné. La séquence porte sur un seul paramètrer et on suppose que le tri doit
être effectué sur la base de la valeur de ce paramètre.
L'élément 536 représente le début de l'exemple de sé-
quence de tri. On suppose que la liste BNLST comporte un nombre M de rubriques (N ou N+1), comme l'indique la case 538. On fixe initialement à 2 un index I, comme l'indique la case 540, le nombre 2 représentant la seconde rubrique à partir du bas de la
liste BNLST, et M représentant la rubrique supérieure. On com-
pare ensuite la seconde rubrique à partir du bas (I=2) avec la rubrique inférieure (I=l), comme l'indique l'élément 542. Si la seconde rubrique à partir du bas a une valeur supérieure ou égale à celle de la rubrique inférieure, cette dernière est
dans la position correcte et aucun changement n'est effectué.
Si la valeur de la rubrique inférieure n'est pas su-
périeure ou égale à la seconde rubrique à partir du bas, on échange ou on permute les rubriques. Comme l'indique la case 544, le contenu de la seconde rubrique à partir du bas (1=2) est transféré vers un registre temporaire. Ensuite, le contenu de la rubrique inférieure (I=1) est transféré vers la position précédente de la seconde rubrique à partir du bas. Enfin, le contenu du registre temporaire est transféré vers la rubrique inférieure.
Une fois que l'échange entre les deux dernières ru-
briques de la liste BNLST a été effectué, on répète la sé-
quence de tri depuis le début, en commençant à la case 540. Un exemple permettra de mieux illustrer la raison pour laquelle
on effectue la répétition. On supposera qu'il y a trois rubri-
ques dans la liste, la rubrique supérieure étant égale à zéro et les deux rubriques inférieures étant égales à un. Lorsqu'on
compare les deux rubriques finales, aucun échange n'est néces-
saire, du fait que les valeurs sont égales. Lorsqu'on compare
la rubrique supérieure et celle du milieu, la rubrique du mi-
lieu, égale à un, est échangée avec la rubrique supérieure égale à zéro. Il est nécessaire de répéter le tri à partir du début de facon que larubrique inférieure de la liste et celle qui se trouve immédiatement audessus puissent être comparées
et échangées afin que la liste finale soit dans l'ordre désiré.
Une fois que l'échange a été effectué, on répète la séquence de tri et on ramène l'index I au point de départ, comme l'indique la case 540. On répète la séquence. Si aucun échange n'est nécessaire, on augmente l'index I d'une unité,
comme l'indique la case 546. On détermine ensuite si la nouvel-
le valeur de I est inférieure ou égale à la valeur de M, comme
l'indique l'élément 348. Si la valeur ne dépasse pas M, on ré-
pète la séquence de tri avec la nouvelle valeur de I, en com-
mençant à l'élément 542. On compare ensuite les troisième et seconde valeurs, à partir de la dernière. Si un échange est nécessaire, on ramène la valeur de I à 2 et on répète toute la séquence de tri, en commençant à la case 540. Le processus se poursuit jusqu'à ce que I soit supérieur à M, et à ce moment
la séquence de tri est terminée, comme l'indique l'élément 548.
La séquence est modifiée si on utilise plus d'un pa-
ramètre de tri. Un tri ne sera effectué sur une paire de ru-
briques que si les paramètres de tri ayant une priorité supé-
rieure sont égaux. Ainsi, si on détermine que les paramètres
de tri respectifs pour deux rubriques considérées sont les mê-
mes (élément 542), on trie ensuite les deux rubriques sur la
base du paramètre de tri d'importance immédiatement inférieure.
On décrira des détails supplémentaires du sous-pro-
gramme de tri de la liste BNLST en se référant à l'organigramme des figures 14A-14B. Si la liste contient N rubriques, on entre
dans la séquence par l'élément 552 et on fixe à N l'index rela-
tif au nombre d'articles dans la liste. S'il y a N+1 rubriques à trier, on entre dans le sous-programme par l'élément 554 et on fixe l'index à N+ 1 articles. Le nombre d'articles à trier, c'est-à-dire N ou N+1, est mémorisé, comme l'indique la case 560. L'élément 562 indique que les rubriques de la liste sont ensuite triées en considérant si l'adresse envisagée est également présente dans la liste LSTLIA. Les unités qui sont utilisées pour l'émission de messages de liaison montante, ce qui est indiqué par une présence dans la liste LSTLIA, ne sont pas préférées pour l'utilisation dans l'émission de messages
de liaison descendante. Comme l'indique le Tableau 7, les ru-
briques présentes dans la liste LSTLIA sont placées au bas de la liste et toutes les autres rubriques sont placées en haut
de la liste.
L'entrée dans le sous-programme de tri sur la base de l'état relatif à la liste LSTLIA s'effectue par l'élément 602 de l'organigramme de la figure 14B. On obtient l'état de la rubrique suivante de la liste BNLST, en ce qui concerne la
liste LSTLIA, comme l'indique la case 604. On détermine ensui-
te si la rubrique courante est présente dans la liste LSTLIA, comme l'indique l'élément 606. Si la rubrique courante ne se trouve pas sur la liste LSTLIA, on détermine si la rubrique suivante est présente dans la liste LSTLIA, comme l'indique l'élément 612. Si la rubrique suivante est présente dans la liste LSTLIA, les deux rubriques doivent être échangées ou permutées.
Le sous-programme destiné à l'échange des deux ru-
briques est représenté par l'élément 614, et l'entrée dans le
sous-programme est représentée par l'élément 582 de l'organi-
gramme de la figure 14A. Une fois qu'on est entré dans le sous-programme, on échange les deux rubriques, comme l'indique
la case 584. On effectue ensuite la mise à jour de la visuali-
sation, pour indiquer qu'un changement a été apporté à la lis-
te BNLST, comme l'indique la case 586. On restaure ensuite
l'index au départ, de façon à répéter l'ensemble de la séquen-
ce de tri commençant par un tri sur la base de l'état vis-à-
vis de la liste LSTLIA, pour les raisons indiquées précédem-
ment, en relation avec l'organigramme de la figure 13.
Si aucune des deux rubriques ne se trouve sur la liste LSTLIA (éléments 606, 612), il n'est pas nécessaire d'échanger les deux rubriques. De façon similaire, si les deux
rubriques sont sur la liste LSTLIA, aucun échange n'est néces-
saire. Comme l'indique l'élément 610, on trie les deux rubri-
ques identiques conformément au critère de tri suivant, basé sur le QE minimal. L'élément 564 représente l'entrée dans le
sous-programme de tri basé sur la valeur de QE.
Si les deux rubriques considérées ont des états différents en ce qui concerne la liste LSTLIA, il peut être
nécessaire de les échanger. Dans tous les cas, les deux arti-
cles ne seront pas triés en relation avec QE, du fait que
l'état relatif à la liste LSTLIA a priorité sur QE. Si la ru-
brique présente se trouve dans la liste LSTLIA tandis que la rubrique située immédiatement au-dessus ne s'y trouve pas, les rubriques sont dans l'ordre correct. La séquence passe à
la case 576, et un pointeur est dirigé vers la rubrique immé-
diatement suivante sur la liste BNLST. On détermine s'il y a une rubrique suivante. Comme l'indiquent les éléments 578 et 580, s'il n'y a pas de rubrique suivante, le tri de la liste
BNLST est terminé, et la séquence retourne au programme appe-
lant. S'il y a une rubrique suivante, on trie la rubrique
suivante et la rubrique présente sur la base de l'état rela-
tif à la liste LSTLIA, de la manière décrite précédemment.
Comme indiqué précédemment, si l'état relatif à la liste LSTLIA est le même pour les deux rubriques considérées,
on trie ensuite ces rubriques sur la base de la valeur mini-
* male de QE (élément 610), comme le représente l'élément 564.
Le sous-programme est représenté dans l'organigramme de la
figure 17. L'élément 640 représente l'entrée dans le sous-
programme. Comme l'indique la case 642, on compare les valeurs de QE pour les deux rubriques considérées. On passe ensuite a un sous-programme destiné à prendre une décision de tri, comme
l'indique l'élément 644.
L'élément 590 représente l'entrée dans le sous-pro-
gramme de décision de tri, qui est représenté sur la figure 14B. On compare les deux valeurs de QE, comme l'indique l'élé ment 592. Si les valeurs sont égales, il n'est pas nécessaire d'échanger les rubriques. Comme l'indique l'élément 594, on
trie ensuite les deux rubriques conformément au critère sui-
vant, qui est l'état de l'indicateur L, ce que représente
l'élément 566.
Si les deux valeurs de QE ne sont pas égales, on dé-
termine si un échange est nécessaire. Dans tous les cas, les articles ne seront pas triés sur la base du paramètre de tri suivant. Si la rubrique qui occupe une position supérieure
dans la liste BNLST présente une valeur inférieure de QE, au-
cun échange n'est nécessaire. Comme l'indique la case 600, les articles sont dans l'ordre correct et, par conséquent, l'article immédiatement supérieur dans la liste BNLST sera trié (case 576) sur la base de l'état relatif à la liste LSTLIA (élément 562). Dans le cas o les articles ne sont pas
dans l'ordre correct, on passe au sous-programme de permuta-
tion décrit précédemment, comme l'indique l'élément 598.
On effectue un tri basé sur l'état de l'Indicateur
de Liaison Confirmée L, pour des rubriques ayant un état simi-
laire vis-à-vis de la liste LSTLIA, et des valeurs identiques
de QE, comme l'indique l'élément 566. L'élément 628 de l'orga-
nigramme de la figure 15 représente l'entrée dans le sous-pro-
gramme de tri sur la base de L. Comme l'indique la case 630, on compare les valeurs respectives de L pour les rubriques
considérées. L'élément 632 représente l'entrée dans le sous-
programme de décision de tri, décrit précédemment. Si l'état de l'indicateur L pour les deux rubriques n'est pas le même (élément 592), on échange les rubriques, si nécessaire, et on compare les rubriques immédiatement supérieures. Si l'état est le même, on effectue un tri basé sur la valeur de "Q différent
de zéro", comme l'indique l'élément 568.
L'élément 616 de la figure 14B représente l'entrée dans le sous-programme de tri sur la base de Q. Les valeurs de Q différentes de zéro pour les deux rubriques sont réduites à un, comme l'indique la case 618. Conformément aux éléments 620 et 622, si les deux valeurs respectives de Q sont égales, on
effectue un tri sur la base du paramètre d'importance immédia-
tement inférieure, c'est-à-dire la valeur de NB (élément 570).
Dans le cas o les valeurs de Q ne sont pas égales, on détermine ensuite s'il est nécessaire d'échanger les deux
rubriques. Si la rubrique ayant une valeur de Q égale à 1 oc-
cupe une position supérieure dans la liste BNLST, aucun échan-
ge n'est nécessaire. Dans ce cas, l'article immédiatement su- périeur dans la liste BNLST est examiné en ce qui concerne l'état relatif à la liste LSTLIA (élément 562). Si un échange est nécessaire, on recommence la séquence de tri basée sur Q. L'élément 570 représente le sous- programme destiné au tri sur la base de NB. L'élément 634 de l'organigramme de la figure 16 représente l'entrée dans le sous-programme. On compare les bits NB des deux rubriques, comme l'indique la case 636, et on entre dans le sous-programme destiné à prendre
la décision de tri, comme l'indique l'élément 638. Si la ru-
brique occupant la position supérieure dans la liste présente
une valeur inférieure de NB, aucun échange n'est nécessaire.
Si les valeurs de NB sont identiques, on commence un tri basé sur la valeur non réduite de Q, comme l'indique l'élément 572
de la figure 14.
Comme indiqué précédemment, Q peut varier de 0 à 3, la valeur la plus élevée représentant un rapport signal à
bruit plus élevé. L'entrée dans le sous-programme est repré-
sentée par l'élément 646 de l'organigramme de la figure 18. On compare les valeurs de Q pour les deux rubriques considérées,
et on passe au sous-programme de décision de tri, comme l'indi-
quent respectivement la case 654 et l'élément 656.
Si la valeur de Q de la rubrique supérieure de la liste BNLST est la plus grande entre les deux rubriques, aucun échange n'est nécessaire, et la rubrique suivante de la liste BNLST est triée sur la base de l'état relatif à la liaison
LSTLIA. Si la rubrique inférieure est la plus grande, on échan-
ge les deux rubriques et on recommence le tri basé sur Q. Si
les deux valeurs de Q sont les mêmes, aucun échange n'est né-
cessaire. On trie ensuite les deux rubriques sur la valeur du
paramètre ERSB, comme le représente l'élément 574.
L'organigramme de la figure 19 représente le sous-
programme de tri sur la base de la valeur du paramètre ERSB,
c'est-à-dire le critère de tri ayant la plus faible importance.
L'élément 652 représente l'entrée dans le sous-programme. Comme l'indiquent la case 654 et l'élément 650, on compare les deux
valeurs du paramètre ERSB, et on commence l'exécution du sous-
programme de décision de tri. Du fait que le paramètre ERSB est le critère de tri final, si les deux valeurs du paramètre ERSB sont égales, le sous-programme de décision de tri sera modifié dans la mesure o la séquence retournera à la case 576. A ce moemnt, la rubrique suivante de la liste BNLST sera triée sur la base de l'état relatif à la liste LSTLIA et des paramètres de tri suivants. Si les valeurs diffèrent, les rubriques sont
échangées, si nécessaire, comme décrit précédemment.
La séquence de tri de la liste BNLST est terminée
lorsque le nombre d'articles réellement triés est égal au nom-
bre d'articles à trier (case 560), comme l'indiquent les élé-
ments 578 et 580. Les six rubriques qui se trouvent en haut de la liste sont conservées, et toute rubrique supplémentaire éventuelle est rejetée. Une fois que la liste LSTATT a été mise à jour avec une nouvelle rubrique, si nécessaire, et que les listes BNLST et LSTDEF ont été mises à jour, le traitement
initial du message reçu est terminé.
Le programme superviseur examine périodiquement les rubriques de la liste LSTATT pour vérifier que des messages de
réponse attendus sont reçus pendant la durée fixée par le tem-
porisateur de défaut qui est associé à chaque rubrique de la liste. En considérant maintenant l'organigramme de la figure
A, on note que l'élément 658 représente l'entrée dans la sé-
quence qui se produit chaque fois qu'apparaît une fin de tem-
porisation du temporisateur de défaut. La case 670 représente
l'arrivée du temporisateur à la fin de sa durée de temporisa-
tion. La case 672 indique l'obtention de l'index LSTATT qui
est associé à la rubrique en défaut.
L'indicateur d'origine d'émission associé est ensuite
examiné, comme l'indique l'élément 678. Comme décrit précédem-
ment, cet indicateur est instauré si l'unité déportée considé-
rée a émis le message de liaison descendante pour lequel la réponse est attendue, au lieu d'avoir simplement observé l'émission. Si l'indicateur d'origine est instauré, on restaure l'Indicateur de Liaison Confirmée L pour l'unité considérée,
comme l'indique la case 680, ce qui indique que l'unité consi-
dérée n'était pas capable de communiquer avec succès avec l'unité maîtresse. L'indicateur L sera dans un état restauré pour tous les messages ultérieurs émis par l'unité considérée, et il restera restauré jusqu'à ce que cette unité reçoive avec succès un message de réponse répondant à un message émis par l'unité.
Une fois que l'indicateur L a été restauré, si né-
cessaire, l'adresse de la rubrique LSTATT, qui est l'adresse du noeud qui n'est pas parvenu à émettre le message de réponse, est obtenue, comme l'indique la case 682. On détermine ensuite si l'adresse en défaut est présente sur la Liste de Défauts
LSTDEF de l'unité déportée considérée, comme le montre l'élé-
ment 684.
Si l'adresse en défaut est absente, elle est intro-
duite dans la liste LSTDEF. Un Quotient d'Echec QE de 16 (va-
leur non cadrée) est affecté à la nouvelle rubrique. On trie ensuite la liste LSTDEF sur la base de la valeur du paramètre QE associé, comme l'indique la case 702. L'adresse ayant les meilleures performances, c'està-dire la rubrique ayant la plus faible valeur de QE, est placée au sommet de la liste. La liste LSTDEF a une capacité de huit rubriques; par conséquent, si la nouvelle rubrique excède cette capacité, la rubrique
ayant le QE le plus grand est supprimée. Un traitement supplé-
mentaire relatif à la liste LSTATT et à la liste BNLST associée est ensuite effectué, comme on le décrira en relation avec
l'organigramme de la figure 20B.
Si l'adresse en défaut est présentement dans la liste LSTDEF, on obtient le QE pour la rubrique, comme l'indique la case 686. On double ensuite la valeur de QE pour la rubrique en défaut, à condition que la valeur augmentée ne dépasse pas
le maximum de 127. Comme l'indique l'élément 688, on détermi-
ne si la valeur présente de QE est supérieure à 127. Si la valeur n'est pas supérieure, on double la valeur, comme l'in- dique l'élément 690, tandis que dans le cas contraire, on
fixe la valeur à 131, comme l'indique la case 692. Si la va-
leur de QE est doublée (case 690), on détermine si la valeur augmentée de QE est supérieure à 127, ce que représente l'élément 691. Si la valeur augmentée ne dépasse pas 127, la valeur est laissée inchangée, tandis que dans le cas contraire QE est fixé à 131 (case 692). Avec un QE de 131, l'adresse ne
peut pas être introduite dans la liste BNLST.
Comme on le décrira ultérieurement, le QE de chaque
rubrique de la liste LSTDEF est réduit automatiquement et pé-
riodiquement d'une unité, de façon a éliminer les rubriques de la liste LSTDEF qui ne sont plus actives, ou à permettre la réintroduction d'adresses ayant un QE supérieur à 127. Si le QE d'une rubrique de la liste LSTDEF est réduit à zéro, la rubrique est supprimée de la liste LSTDEF. Comme le représente l'élément 694, on détermine si la valeur de QE a été réduite au-dessous d'une valeur inférieure à un minimum de 16. Si la valeur est inférieure à 16, on fixe QE à 16 en vue d'un cadrage ultérieur, comme l'indique la case 696. Une fois que la valeur a été fixée, si nécessaire, on trie la liste LSTDEF, comme l'indique l'élément 698. Une fois qu'on a trié la liste LSTDEF pour une nouvelle rubrique ou une rubrique présente dans cette liste, la séquence se poursuit sur l'organigramme
de la figure 20B.
Comme l'indique la case 704, on examine la liste
BNLST pour déterminer si l'adresse en défaut est présente.
Comme l'indiquent l'élément 706 et la case 708, si l'adresse
est présente dans la liste BNLST, les paramètres de tri asso-
ciés sont fixés aux valeurs correspondant au cas le plus dé-
favorable, indiquée dans le Tableau 6, à l'exception de QE.
On cadre ensuite la valeur de QE, comme l'indique la case 710, pour l'introduire dans la liste BNLST, en supprimant les 3 bits de faible poids de la valeur de la liste LSTDEF. La
valeur cadrée de QE peut varier de 0 à 15.
On détermine ensuite si la valeur cadrée de QE dépasse le maximum de 15 (127 pour la valeur non cadrée), comme l'indique l'élément 712. Dans le cas o le maximum est
dépassé, la rubrique de la liste BNLST est supprimée incondi-
tionnellement de la liste, comme l'indique la case 714. On trie ensuite la liste BNLST, comme l'indique l'élément 716, en utilisant la valeur cadréede QE, et avec les paramètres de tri restants fixés aux valeurs du cas le plus défavorable
(élément 708). On a décrit précédement en relation avec l'or-
ganigramme des figures 14A, 14B le sous-programme de tri de la liste BNLST. La rubrique de la liste BNLST qui a échoué dans l'émission d'un message attendu devient ainsi une adresse de
liaison descendante moins préférée.
Une fois que la liste BNLST a été mise à jour, si
nécessaire, on incrémente un compteur d'erreurs, comme l'indi-
que la case 718. On utilise ce compteur dans un but de dia-
gnostic, pour contrôler le nombre de messages attendus que l'unité considérée ne reçoit pas. On entre ensuite dans un sous-programme destiné à effacer la liste LSTATT, comme décrit précédemment en relation avec l'organigramme de la figure 21,
et cette action est indiquée par l'élément 720.
Le programme superviseur provoque l'exécution pério-
dique de diverses opérations. La séquence périodique, qui se produit toutes les soixante-quatre secondes dans le mode de réalisation présent, comprend une mise à jour de la valeur de Priorité de Système PS, de la liste BNLST et de la liste
LSTDEF. De plus, un test de défaut de récepteur est effectué.
L'élément 722 de l'organigramme de la figure 23A
représente l'entrée dans la séquence périodique. Comme l'indi-
que la case 724, la séquence se déroule toutes les soixante-
quatre secondes. La partie initiale de la séquence a pour
fonction de tester la partie de récepteur de l'unité considé-
rée.
On détermine tout d'abord si l'unité déportée consi-
dérée est capable de recevoir des messages sur la liaison fixe. Il est possible qu'on ait déterminé précédemment que l'unité considérée ne pouvait pas recevoir de messages sur la liaison fixe. Dans ce cas, il ne sera pas nécessaire de tester l'entrée de liaison fixe. Comme l'indique l'élément 726, on détermine si un défaut précédent a été détecté, en examinant
un indicateur interne approprié. Si aucun défaut n'a été dé-
tecté, on détermine si l'unité considérée est connectée à une liaison fixe, comme l'indique l'élémént 728. S'il n'y a pas de
liaison fixe associée, le test est sauté.
Dans le mode de réalisation présent, un message de
test, qu'on a appelé précédemment un message de test de liai-
son (figure 7B, élément 156) est émis dans le cas o un messa-
ge n'a pas été reçu pendant une durée d'environ 4,5 heures moins 15 minutes. Comme l'indique l'élément 730, on détermine si un message de liaison fixe n'a pas été reçu pendant une telle durée. Si un message n'a pas été reçu, un travail est placé en file d'attente pour émettre un message de test de liaison, comme l'indique la case 732. Le message est émis à la fois sur la ligne d'énergie et sur la liaison fixe, mais le message émis sur la ligne d'énergie n'est pas utilisé dans un
but de test. Le message de test de liaison est un type de mes-
sage qui n'est ni un message de liaison montante ni un message
de liaison descendante. Des unités déportées recevant des mes-
sages de ce type par la liaison fixe émettront un message de réponse sur la liaison (et la ligne d'énergie), comme indiqué précédemment Comme l'indique la case 734, un compteur destiné à mesurer la durée de 4,5 heures est incrémenté pour indiquer
que 64 secondes se sont écoulées. Dans le cas o l'unité con-
sidérée ne reçoit aucun message de réponse pendant la durée de 4,5 heures, l'unité considère qu'elle n'est pas capable de
recevoir des messages sur la liaison fixe. Un indicateur asso-
cié est instauré pour indiquer que l'unité considérée ne peut pas recevoir de messages sur la liaison fixe. Dans le cas o l'unité déportée considérée reçoit un message sur la liaison fixe, le compteur de 4,5 heures est restauré. Une fois que le fonctionnement du récepteur de la
liaison fixe a été testé, on détermine s'il a été établi pré-
cédemment que l'unité considérée n'était plus capable de re-
cevoir de messages sur la ligne d'énergie, comme l'indique l'élément 736. Si un indicateur interne approprié indique que l'entrée relative à la ligne d'énergie est en défaut, le test est sauté. Si l'indicateur n'est pas instauré, on incrémente un compteur qu'on utilise pour contrôler la réception d'un
message sur la ligne d'énergie, comme l'indique la case 738.
Le compteur est restauré chaque fois qu'un message est reçu
sur la ligne d'énergie.
Si un message est reçu sur la ligne d'énergie au moins une fois toutes les 4,5 heures, on considère que l'unité
est capable de recevoir des messages par la ligne d'énergie.
On détermine si la durée de 4,5 heures s'est presque écoulée, comme l'indique l'élément 740. S'il ne reste que 15 minutes, on place un travail en file d'attente, pour émettre un message de test, comme l'indique la case 742. Le message de test peut être n'importe quel type de message de liaison descendante pour lequel un message de réponse est attendu. Si le message de réponse ou tout autre message n'est pas rençu sur la ligne d'énergie avant que la durée de 4,5 heures se soit écoulée, le
compteur arrive à la fin de sa durée de temporisation. On es-
time alors que l'unité considérée n'est pas capable de rece-
voir des messages sur la ligne d'énergie. Dans le cas o il n'y a pas d'adresses valides dans la liste BNLST de l'unité, cette dernière émet périodiquement des messages de liaison
descendante contenant un paquet de données pour l'unité maî-
tresse, de façon à maintenir un degré limité de fonctionnement.
Comme décrit précédemment, de tels messages, qu'on appelle
-- 2587570
quelquefois des messages de noeud sourd, ont un Numéro de Sé-
quence Globale ne comprenant que des uns. Si l'unité considé-
rée est capable de recevoir de messages sur la liaison fixe, il est possible de mettre à jour la liste BNLST de façon à conserver des adresses de liaison descendante valides. De ce fait, il n'est pas nécessaire d'émettre des messages de noeud sourd. Une fois que le travail destiné à l'émission d'un message de test a été placé en file d'attente, ou bien dans le cas o on a déterminé que la durée de 4,5 heures n'est pas
presque écoulée, le test périodique du fonctionnement du ré-
cepteur est terminé. On commence ensuite une séquence périodi-
que de mise à jour de la Priorité de Système PS. Comme décrit précédemment, la valeur de PS est mise à jour chaque fois qu'un message est reçu, sur la base de la Priorité Mesurée PM contenue dans le message et de la Priorité Calculée PC locale
pour l'unité considérée, cette dernière priorité étant une me-
sure du trafic de messages local. La valeur de PS est égale-
ment mise à jour toutes les 64 secondes, pour représenter les changements de PC qui résultent de changements dans le trafic
de messages local. Ainsi, par exemple, si le trafic de messa-
ges local a augmenté notablement depuis que le dernier message a été reçu, la valeur de PS sera ajustée de la manière exigée, ce qui aura pour effet de diminuer la probabilité d'émission
de messages, conformément aux équations (1) et (2).
L'unité déportée considérée comporte huit compteurs de trafic de messages qui comptent le nombre de messages reçus
dans huit périodes consécutives de 64 secondes. Comme l'indi-
que la case 744, on fait la somme des comptes relatifs aux huit compteurs. On détermine ensuite si la somme dépasse une valeur maximale de 127 messages, comme l'indique l'élément 746. Si le maximum est dépassé, la somme est fixée égale au
maximum, comme l'indique la case 748.
On fait "vieillir" (par décalage) les sept comptes de messages les plus récents, comme l'indique la case 750, et on rejette le compte le plus ancien. On remet ensuite à zéro le compteur de messages correspondant à la période la plus
récente, comme l'indique la case 752 de la figure 23B, de fa-
çon à pouvoir compter Ies messages pendant la période de 64 secondes suivante. Les huit compteurs contiennent ainsi le
nombre total de messages reçus et émis pendant les huit der-
nières périodes de 64 secondes. On fait la moyenne de la som-
me des huit compteurs, comme l'indique la case 758, en divi-
sant la somme par huit (case 744). On effectue ceci en élimi-
nant les trois bits de moindre poids de la valeur à huit bits.
La valeur moyenne ainsi calculée représente la Priorité Cal-
culée CP locale pour l'unité considérée, et on l'utilisera
pour produire une nouvelle Priorité de Système.
Dans le cas o il a été établi que l'unité considé-
rée est sourde, c'est-à-dire qu'elle n'est pas capable de re-
cevoir des messages par la ligne d'énergie et qu'aucune adres-
se de liaison descendante valide n'est présente dans la liste BNLST, les messages d'état périodiques résultants que l'unité sourde émet vers l'unité maîtresse reçoivent une priorité
relativement faible. Comme l'indique l'élément 760, on déter-
mine si l'unité considérée est sourde. Si l'unité est sourde, on ignore la nouvelle valeur de PC, et on fixe la valeur de PS au maximum de 17. Ainsi, la cadence effective à laquelle
l'unité considérée émet des messages d'état est réduite.
Si l'unité considérée n'est pas sourde, on calcule une valeur de correction en soustrayant la nouvelle valeur de PC de l'ancienne valeur, le facteur de correction pouvant avoir n'importe quelle polarité. On détermine ensuite si un changement quelconque doit être effectué, c'est-àdire si la valeur de correction est différente de zéro, comme l'indique
l'élément 766.
S'il n'y a pas de changement, on saute la séquence de mise à jour de la valeur de PS. Comme l'indique la case 768, si la valeur de correction est différente de zéro, on mémorise le facteur. De plus, on enregistre la nouvelle valeur
de PC pour l'utilisation pendant la période de messages suivan-
te, comme l'indique la case 770.
On additionne ensuite la valeur de correction à- la
valeur présente de PS, comme l'indique la case 772, pour obte-
nir une nouvelle valeur de PS. On détermine ensuite si la nou- velle valeur de PS dépasse la valeur maximale de 17, comme l'indique la case 774.-Si la valeur maximale est dépassée, on fixe PS égale au maximum, comme l'indique la case 776. On passe ensuite au sous-programme décrit précédemment en relation avec
l'organigramme de la figure 24, dans le but de régler le tempo-
risateur de probabilité conformément à la nouvelle valeur de PS. La séquence périodique passe ensuite à l'organigramme de la figure 23C qui représente la manière selon laquelle on met à jour les listes LSTDEF et BNLST, une fois au cours de chaque période de 64 secondes. Comme l'indiquent les cases 780 et 808, on examine successivement chaque rubrique de la liste LSTDEF et on la met à jour, si nécessaire. On obtient tout
d'abord la valeur de QE de la rubrique considérée, comme l'in-
dique la case 782. On détermine ensuite si la valeur de QE est
égale à zéro. Si cette valeur est égale à zéro, elle est lais-
sée inchangée, et on examine la rubrique suivante de la liste LSTDEF, et l'adresse de la rubrique examinée précédemment est supprimée. Si la valeur de QE est différente de zéro, on réduit cette-valeur d'une unité, comme l'indique la case 786. Comme
mentionné précédemment, on effectue de telles réductions pé-
riodiques de QE pour chaque rubrique de la liste LSTDEF dans le but d'éliminer des rubriques inactives de la liste et dans le but de permettre de considérer l'adresse pour l'introduction dans la liste BNLST. Comme indiqué précédemment, une adresse doit avoir un QE de 127 ou moins pour être introduite dans la
liste BNLST. La valeur réduite de QE est ensuite enregistrée.
Comme décrit précédemment, la valeur de QE dans la liste LSTDEF est une valeur non cadrée et la valeur de QE dans la liste BNLST est une valeur cadrée. On obtient la valeur de la liste BNLST en éliminant les trois bits de moindre poids
de la valeur de la liste LSTDEF.
Comme l'indique l'élément 790, on détermine ensuite si la valeur de QE a été réduite à zéro. Si QE est égal à zéro, il n'est pas nécessaire de cadrer QE pour la liste BNLST. Si la valeur est différente de zéro, on cadre QE, comme l'indique la case 792. On passe ensuite à un sousprogramme destiné à mettre à jour la visualisation pour représenter la
nouvelle valeur de QE, comme l'indique la case 794.
On obtient ensuite l'adresse de la rubrique considé-
rée de la liste LSTDEF, comme l'indique la case 796. On utili-
sera cette adresse pour chercher une rubrique en explorant la liste BNLST. On détermine à nouveau si la valeur de QE pour la
rubrique a été réduite à zéro, comme l'indique l'élément 798.
Si QE est égal à zéro, on supprime l'adresse de la rubrique
dans la liste LSTDEF, comme l'indique la case 800.
Une fois que l'adresse a été supprimée de la liste LSTDEF, si nécessaire, on cherche la rubrique en explorant la
liste BNLST, comme l'indiquent la case 802 et l'élément 804.
Si la rubrique est présente, on introduit la valeur cadrée de QE dans la liste BNLST, comme l'indique la case 806. Une fois qu'on a introduit QE, ou bien si la rubrique est absente de la liste BNLST, on examine la rubrique suivante de la liste LSTDEF. La séquence se poursuit jusqu'à ce que chaque rubrique
de la liste LSTDEF ait été examinée et mise à jour, si néces-
saire, comme l'indique la case 800.
Une fois qu'on a mis à jour toute la liste LSTDEF, on trie la liste BNLST, pour tenir compte des changements
éventuels de la valeur de QE. L'élément 810 représente l'en-
trée dans le sous-programme de tri de la liste BNLST, et on a
décrit précédemment ce sous-programme en relation avec l'orga-
nigramme des figures 14A et 14B. Ensuite, on trie la liste
LSTDEF, comme l'indique la case 812, ce qui termine la séquen-
ce périodique. Comine l'indique l'élément 814, la séquence re-
tourne ensuite au programme superviseur.
Dans le cas o le message reçu est un message de liaison montante ayant une Adresse de Source/Destination ASD autre que celle de l'unité considérée et est dirigé vers l'unité considérée, le paquet de données est enregistré et
acheminé dans la direction de liaison montante. L'organigram-
me de la figure 25 représente la séquence d'enregistrement et d'acheminement de liaison montante. L'élément 816 représente l'entrée dans la séquence, qui est appelée par le programme
superviseur.
Comme l'indique la case 818, le message reçu repré-
sente l'information d'entrée de la séquence. On détermine en-
suite si le message est un message de noeud sourd, comme l'indique l'élément 820. Si le NSG du message ne comprend que des uns, ce qui indique que le message est un message de noeud sourd, le paquet de données ne doit pas être enregistré et
acheminé dans la direction de liaison montante. Comme l'indi-
que l'élément 822, la séquence retourne ensuite au programme superviseur. Si le message n'est pas un message de noeud sourd, on détermine, sur la base du type de message, si le message
est un message de demande de liaison, comme l'indique l'élé-
ment 824. Un message de demande de liaison est un message
qu'on utilise dans un but de diagnostic, dans lequel l'adres-
se de chaque noeud émettant le message est introduite dans le paquet de données du message, de façon à pouvoir déterminer
le chemin emprunté par le message. Si le message est un mes-
sage de demande de liaison, l'adresse de l'unité déportée considérée est introduite dans le paquet de données devant
être enregistré et acheminé, comme l'indique la case 826.
* On examine ensuite la valeur du Nombre de Bonds NB du message reçu, comme l'indique l'élément 828. Si la valeur de NB est supérieure ou égale à 14, le message ne doit pas
être émis dans la liaison montante, du fait qu'il s'agit pro-
bablement d'un message perdu. Comme l'indique l'élément 830,
la séquence retourne ensuite au programme appelant.
Si la valeur de NB est correcte, on examine l'adres-
se ASD du message, comme l'indique la case 832. Cette adresse représente la destination finale du paquet de donnéesi et on l'utilise pour localiser l'adresse de liaison montante appro-
priée dans la Liste de Liaisons LSTLIA.
Comme l'indique la case 834, on explore la liste LSTLIA. On détermine si l'adresse ASD du message est présente dans la liste LSTLIA, comme l'indique l'élément 836. Si l'adresse ASD est présente, on obtient l'adresse ADI associée de la rubrique de la liste LSTLIA, et on l'introduit dans le
message, comme l'indique la case 840.
Il est peu probable que l'adresse ASD d'un Ordre de Séquence Globale OSG soit présente dans la liste LSTLIA d'une unité déportée, du fait qu'il n'y a pas de message de liaison descendante correspondant antérieur. Cependant, si l'adresse ASD est présente, l'information d'ordre sera enregistrée et acheminée de la même manière qu'un message de liaison montante classique, avec l'adresse ADI de i'OSG prélevée dans la liste
LSTLIA.
Si l'adresse ASD du message reçu n'est pas présente dans la liaison LSTLIA, on examine le type du message, comme l'indique l'élément 838, pour déterminer si lessage est un OSG. Si le message n'est pas un OSG, le paquet de données ne sera pas enregistré et acheminé. Comme l'indique l'élément
842, la séquence retourne ensuite au programme superviseur.
Si le message est un OSG, on détermine si le message est l'un des deux ordres à diffusion générale, comme l'indique l'élément 844. Si l'ordre est l'un des deux ordres à diffusion
restreinte (ordre dirigé et ordre d'enregistrement et d'ache-
minement), et si l'adresse ASD du message n'est pas présente dans la liste LSTLIA (élément 836), l'information d'ordre ne sera pas enregistrée et acheminée. L'élément 846 indique que
la séquence retourne ensuite au programme appelant.
Si le message est l'un des deux ordres à diffusion
générale, on détermine ensuite si les conditions pour l'enre-
gistrement et l'acheminement de l'information d'ordre sont satisfaites. Si l'ordre à diffusion générale est un ordre à diffusion générale totale, il est nécessaire qu'une adresse valide (différente de zéro) soit présente dans la liste LSTLIA de l'unité déportée considérée, ou que l'unité soit connectée à une liaison fixe. Si l'ordre à diffusion générale est un ordre à diffusion générale de liaison fixe, il est nécessaire
que l'unité déportée soit connectée à une liaison fixe.
Si la condition de diffusion générale appropriée n'est pas remplie, l'information d'ordre à diffusion générale ne sera pas enregistrée et acheminée. La séquence retournera ensuite au programme superviseur, comme l'indique l'élément 850. Si la condition appropriée est remplie, l'adresse ADI du message est fixée à une valeur ne comprenant que des zéros,
comme l'indique la case 852.
La séquence de messages de liaison montante se pour-
suivra dans le cas o l'adresse ASD du message se trouve dans la liste LSTLIA, ou dans le cas o le message est un OSG, si celà est approprié. Il faut noter qu'il est possible qu'une ou
plusieurs unités déportées, en particulier des unités se trou-
vant dans la direction de liaison montante par rapport à l'unité considérée, ne reçoivent pas l'information d'ordre à ce stade de la séquence. Le système considéré est réalisé pour
faire en sorte que toutes les unités déportées reçoivent fina-
lement l'ordre, bien qu'une unité puisse ne pas devoir exécu-
ter l'ordre, sauf en ce qui concerne la mise à jour du paramè-
tre ORR pour l'unité.
Comme décrit précédemment, chaque unité est conçue de façon à déclencher périodiquement une séquence de messages de liaison descendante, avec un message contenant un paquet de données qui concerne des données de consommation d'énergie. Le message seradu typepourlequel une réponse est attendue. Lorsque le message de réponse est reçu, le Numéro de Séquence Globale NSG du message sera différent du NSG local ou du paramètre ORR de l'unité réceptrice, si un ou plusieurs ordres n'ont pas été reçus. De plus, tout autre message que l'unité est capable de recevoir aura également un NSG indiquant que des ordres ont
été manqués. L'unité émettra alors un message de liaison des-
cendante indiquant à l'unité maîtresse le dernier OSG reçu par l'unité déportée. De plus, le processus d'émission d'un tel
message provoquera l'ajout de l'adresse ASD de l'unité émet-
trice à la liste LSTLIA d'une ou de plusieurs unités. Ceci
augmente la probabilité que l'unité reçoive des ordres à dif-
fusion générale, sans qu'il soit nécessaire que l'unité les demande. Des ordres à diffusion restreinte doivent toujours être demandés, sauf si l'unité "entend" l'ordre, contrairement
à la découverte de l'existence d'un ordre manquant par l'exa-
men du NSG d'un message.
En retournant à l'organigramme de la figure 25, on note qu'une fois que l'adresse ADI du message a été déterminée
(cases 840, 852), on examine la mémoire tampon d'Enregistre-
et d'Acheminement A 82 (figure 5), pour déterminer si la mé-
moire tampon est disponible pour l'utilisation, comme l'indi-
que l'élément 854. Si la mémoire tampon A n'est pas disponi-
ble, on examine la mémoire tampon B 84, comme l'indique l'élé-
ment 856. Si aucune des mémoires tampons n'est disponible, la séquence retourne au programme superviseur, comme l'indique
l'élément 858, et le message n'est pas acheminé.
Si l'une des deux mémoires tampons est disponible,
un pointeur est dirigé vers la mémoire tampon disponible, com-
me l'indique la case 860. On enregistre ensuite l'adresse de liaison montante, c'est-à-dire l'adresse ADI du message a émettre, comme l'indique l'élément 862. Une fois que l'adresse est enregistrée, le message à émettre, y compris le paquet de données du message reçu, est transféré de la mémoire tampon
d'exécution 74 (figure 5) vers la mémoire tampon d'enregistre-
ment et d'acheminement appropriée. On effectue le transfert en
utilisant un sous-programme de transfert qu'on décrira ulté-
rieurement en relation avec l'organigramme de la figure 26.
On introduit ensuite l'adresse ADI enregistrée dans le message à émettre, comme l'indique la case 870. La séquence retourne ensuite au programme superviseur, comme l'indique
l'élément 872. On décrira ultérieurement la séquence d'émis-
sion réelle, en relation avec l'organigramme de la figure 29.
On va maintenant considérer l'organigramme de la fi-
gure 26, pour décrire le sous-programme destiné à transférer des messages de la mémoire tampon d'exécution vers la mémoire
tampon d'enregistrement et d'acheminement. On utilise ce sous-
programme aussi bien pour les opérations de liaison montante
que pour celles de liaison descendante.
L'élément 874 représente l'entrée dans le sous-pro-
gramme de transfert. On obtient le pointeur dirigé vers la mémoire tampon d'enregistrement et d'acheminement appropriée, et on transfère le message, comprenant le paquet de données, vers la mémoire tampon, comme l'indiquent les cases 876 et 878. On obtient ensuite le type de message et on le mémorise,
comme l'indique la case 880. En plus, on obtient et on mémori-
se la direction du message, c'est-à-dire la direction montante ou descendante, ou aucune des deux, comme l'indique la case 882. Sur la base du type de message, on détermine ensuite si le message considéré exige un temporisateur d'application,
comme l'indique l'élément 884. Si on doit utiliser un tempo-
risateur d'application, on ajoute une constante de temps fixe à la valeur initiale de temporisateur d'application qui est présente dans le paquet de données reçu. Cette valeur fixe, d'environ 1,3 seconde (une durée de message) dans le mode de réalisation présent, a pour fonction de compenser le temps
nécessaire à l'unité considérée pour recevoir le message.
Une fois qu'on a ajouté la constante de temps, si nécessaire, on détermine si une fonction de temporisateur fournie par le programme de fonctions de temporisateur est disponible, comme l'indique l'élément 888. Si aucune fonction
de temporisateur n'est disponible, il n'est pas possible d'en-
registrer et d'acheminer le paquet de données. Comme l'indique
l'élément 892, la séquence retourne ensuite au programme su-
perviseur. Si une fonction de temporisateur est disponible, on obtient le pointeur indiquant la mémoire tampon d'enregistre- ment et d'acheminement sélectionnée, comme l'indique la case
894. On règle ensuite le temporisateur de probabilité d'émis-
sion, comme l'indique la case 898. Comme décrit précédemment, on sélectionne une nombre aléatoire et on l'introduit dans le
compteur à 17 étages qui est associé au temporisateur de pro-
babilité d'émission. Comme il a également été décrit précé-
demment, on examine ensuite la direction du message pour dé-
terminer la priorité du message NT, le paramètre NT représen-
tant le nombre de bits de compteur à examiner.
Une fois que le temporisateur de probabilité d'émis-
sion a été réglé, on détermine si ce temporisateur a été réglé de façon effective, comme l'indique l'élément 900. Si aucune fonction de temporisateur n'était disponible, le message ne peut pas être émis. Comme l'indique la case 902, la séquence
retourne ensuite au programme superviseur.
Si une fonction de temporisateur est disponible, la valeur de Qualité de Liaison de Retour Q est fixée, comme l'indique la case 904. Comme décrit précédemment, la valeur de Q est prise dans la rubrique de la liste BNLST pour l'unité déportée, à la fois pour les messages de liaison montante et
ceux de liaison descendante.
L'organigramme de la figure 29 représente la séquen-
ce portant sur le transfert du message de la mémoire tampon d'enregistrement et d'acheminement vers la mémoire tampon d'émission. On utilise la même séquence pour les messages de liaison montante ou de liaison descendante. On entre dans la séquence lorsque les bits considérés (NT) du temporisateur de probabilité d'émission prennent tous la;valeur zéro, sous l'effet de signaux d'horloge. Du fait que la valeur initiale du compteur est sélectionnée de façon aléatoire, le moment auquel cette entrée dans la séquence a lieu n'est pas connu,
sauf si NT=0.
Dans le cas o le message se trouve dans la mémoire tampon d'Enregistrement et d'Acheminement A, l'entrée dans la séquence est représentée par l'élément 962. L'élément 964 re- présente l'entrée dans la séquence pour la mémoire tampon B. Comme l'indiquent les éléments 968 et 970, le pointeur est dirigé vers la mémoire tampon appropriée, respectivement A ou B. Comme l'indique l'élément 972, on détermine s'il est possible d'émettre sur le réseau, en examinant un indica-
teur d'autorisation d'émission associé. L'indicateur est ins-
tauré lorsque l'unité déportée considérée détecte un autre
message dans le réseau.
S'il n'est pas possible d'émettre à ce moment, au-
cune émission n'est tentée. Le temporisateur de probabilité d'émission est relancé avec une nouvelle valeur sélectionnée de façon aléatoire, avec un paramètre NT restant inchangé, comme l'indique la case 980. La séquence retourne ensuite au
programme superviseur, comme l'indique l'élément 982. On re-
tourne à la séquence d'enregistrement et d'acheminement lors-
que le temporisateur de probabilité d'émission arrive à la
fin de sa durée de temporisation.
S'il est possible d'émettre, on détermine ensuite si le temporisateur de durée de blocage d'émission est en cours de fonctionnement, comme l'indique l'élément 974. Si ce temporisateur n'est pas en cours de fonctionnement, il est possible d'émettre le message. Si le temporisateur est en cours de fonctionnement, il peut également être possible
d'émettre, à condition que le canal ait été affecté à l'adres-
se ASD du paquet de données. Dans ce cas, on détermine si le message a émettre est un message diffusé, comme l'indique l'élément 976. On ne peut pas affecter un canal à un message diffusé. Par conséquent, un message diffusé ne sera pas émis, sauf si le canal est absolument libre, c'est-àdire s'il n'est
affecté à aucune unité déportée.
Si le message n'est pas un message diffusé (élément 976), on détermine si le canal a été affecté à l'adresse ASD du message (élément 978). On détermine l'affectation du canal en comparant premièrement l'adresse ASD du message avec l'adresse contenue dans la liste DERADR qui est associée au
temporisateur de durée de blocage.
Dans le cas o le temporisateur de durée de blocage d'émission n'est pas en cours de fonctionnement (élément 974),
ou dans le cas o le temporisateur est en cours de fonctionne-
ment mais le canal a été affecté à l'adresse ASD du message
(élément 978), le message peut être émis, à quelques excep-
tions mineures près. La section de récepteur de l'unité con-
sidérée est alors mise hors fonction, comme l'indique la case 984. On prend ensuite des mesures pour faire en sorte qu'aucun message faisant suite au message présent ne soit transféré vers la mémoire tampon d'émission, comme l'indique la case 986. Le message considéré est ensuite transféré de la mémoire tampon d'enregistrement et d'acheminement appropriée vers la
mémoire tampon d'émission, comme l'indique la case 988.
On détermine ensuite s'il existe un temporisateur
d'application en cours de fonctionnement pour le message con-
sidéré, comme l'indique l'élément 990. Si un temporisateur est en cours de fonctionnement, on obtient la valeur présente du
temporisateur, comme l'indique la case 992.
On détermine en outre si une valeur de temporisa-
teur est disponible, comme l'indique l'élément 994. Si la va-
leur de temporisateur n'est pas disponible, une anomalie s'est produite, et la valeur de temporisateur d'application présente dans le paquet de données reçu sera utilisée dans le message
émis, à la place d'une valeur de temporisateur d'application.
Ainsi, on peut déterminer au moins approximativement le temps de transit du message. Si une fonction de temporisateur est disponible, on l'introduit dans le message, comme l'indique la case 996. La fonction de temporisateur pour le message reçu, si elle existe, est ensuite restaurée, comme l'indique la case 998. Chaque unité conserve un enregistrement du nombre de
messages contenant une information de message qu'elle a enre-
gistrés et acheminés, dans un but de diagnostic, et cet enre- gistrement est obtenu au moyen d'un compteur. Comme l'indique la case 1000, le compteur est incrémenté et la nouvelle valeur est visualisée. Un travail est ensuite placé en file d'attente pour accomplir une séquence de préparation d'émission, qu'on
décrira initialement en considérant l'organigramme de la figu-
re 30A. Une fois que le travail a été placé en file d'attente, la séquence retourne au programme superviseur, comme l'indique
l'élément 1004.
En considérant maintenant la figure 30A, on note que
l'élément 1006 représente l'entrée dans la séquence de prépa-
ration d'émission. On utilise la séquence pour tous les messa-
ges émis par l'unité considérée, comprenant les messages à en-
registrement et acheminement de liaison montante et de liaison descendante, et les messages contenant un paquet de données
créé par l'unité considérée.
On détermine initialement si l'unité considérée a
été programmée de façon appropriée pour émettre des messages.
On examine tout d'abord le Numéro de Système NSY associé à l'unité considérée, pour vérifier que le NSY est différent de zéro, comme l'indique l'élément 1008. Si le NSY est égal à zéro, la séquence retourne au programme superviseur, comme
l'indique l'élément 1010.
En supposant que le NSY soit correct, on détermine ensuite si l'adresse de l'unité déportée considérée est valide ou différente de zéro, comme l'indique l'élément 1012. Si l'adresse n'est pas valide, la-séquence retourne au programme superviseur, comme l'indique l'élément 1014, tandis que dans le cas contraire, le compteur de trafic de messages associé est incrémenté, comme l'indique la case 1016. Le compte de trafic de messages comprend à la fois les messages reçus et
2587570.
les messages émis par l'unité considérée, et on l'utilise pour calculer la Priorité Calculée (PC), comme décrit précédemment (figure 23A, cases 744, 758). Les messages reçus et émis par
l'unité ont pour effet d'incrémenter deux fois le compteur.
L'Adresse de Source/Destination ASD du message à émettre est ensuite enregistrée dans la liste DERADR, ce qui indique que le canal doit être affecté à l'adresse. De plus, l'indicateur d'affectation d'émission est instauré, comme
l'indique la case 1018.
Une fois que l'affectation est faite, on détermine
si le message est un message de liaison montante, comme l'in-
dique l'élément 1020. Si on suppose que le message n'est pas un message de liaison montante, il peut s'agir d'un message
de liaison descendante ou d'un message n'ayant pas de direc-
tion. Dans ce cas, on obtient la meilleure adresse de liaison
descendante, ou ADI, au sommet de la liste BNLST, comme l'in-
dique la case 1022.
Il est possible que la liste BNLST ne contienne pas
une adresse valide ou différente de zéro. Comme l'indique -
l'élément 1024, si aucune adresse valide n'est présente, on fixe l'adresse ADI du message à une valeur égale à l'adresse de l'unité maîtresse, à titre de recours. Le message ne sera donc pas transmis avec succès à l'unité maîtresse, sauf si cette dernière est capable de recevoir des messages provenant
directement de l'unité déportée considérée.
*On mémorise ensuite l'adresse ADI sélectionnée,
comme l'indique la case 1028. On obtient ensuite certains pa-
ramètres d'état de message sélectionnés, comprenant Q et le
Nombre de Bonds. On obtient la valeur de Q à partir de la ru-
brique supérieure de la liste BNLST de l'unité déportée con-
sidérée, pour tous les messages. On obtient une valeur préli-
minaire du Nombre de Bonds à partir du message reçu, dans le
cas o le message a émettre est un message de liaison montan-
te. Si le message n'est pas un message de liaison montante,
on obtient la valeur préliminaire de NB à partir de la rubri-
que supérieure de la liste BNLST.
Comme l'indique l'élément 1032, on détermine à nou-
veau si le message est un message de liaison montante. Si le message n'est pas un message de liaison montante, on introduit à ce point dans le message l'adresse ADI mémorisée qui a été
obtenue à partir de la liste BNLST (case 1022), comme l'indi-
que la case 1034. Si le message est un message de liaison mon-
tante, on introduira l'adresse ADI à un point ultérieur.
L'adresse de l'unité déportée considérée est ensuite introdui-
te dans le message en tant qu'Adresse de Source Intermédiaire
ASI, comme l'indique la case 1036.
On détermine ensuite la valeur de l'Indicateur de Liaison Confirmée L pour le message à émettre. Si l'indicateur
L local pour l'unité considérée et l'indicateur L dont la va-
leur est reçue sont tous deux instaurés, l'indicateur L sera
instauré dans le message émis. Pour toutes les autres combi-
naisons, l'indicateur L émis sera restauré.
Chaque unité déportée est conçue de façon à assis-
ter, dans certainescirconstances, des unités déportées envi-
ronnantes qui ne semblent pas capables de communiquer avec l'unité maîtresse. De telles unités déportées, qu'on a appelé précédemment des noeuds perdus, émettent des messages ayant un NB égal à 15. Dans le cas de la réception d'un message provenant d'un noeud perdu, l'unité déportée considérée peut déclencher une séquence de messages de liaison descendante en émettant un message d'état de liaison descendante, le type de message particulier ne présentant pas d'importance. Le message
de liaison descendante peut fournir au noeud perdu une infor-
mation suffisante, de façon caractéristique une adresse de liaison descendante appropriée, pour permettre à ce noeud de
communiquer avec l'unité maîtresse.
Un compteur de messages perdus est mis à jour pour
conserver la trace de tels messages perdus, comme décrit pré-
cédemment (figure 7E, case 292). Si un ou plusieurs messages
perdus ont été reçus, le compteur de messages perdus est in-
crémenté. Une fois toutes les cinq minutes, on entre dans une séquence dans laquelle on examine le contenu du compteur. Si un compte est présent, on peut mettre un travail en file
d'attente pour émettre un message d'état de liaison descendan-
te afin d'assister des noeuds perdus. Il n'est pas nécessaire d'émettre un message d'état si un message doit être émis de toute manière. Par conséquent, on examine la valeur de L dans le message à émettre, comme l'indique l'élément 1038. Si l'indicateur L est instauré, on restaure le compteur de messages perdus, du fait qu'un message susceptible d'aider un noeud perdu sera émis, comme l'indique la case 1040. Si L est égal à zéro, le message a émettre ne sera probablement pas utile à un noeud perdu. Par conséquent, le compteur de messages perdus ne sera pas remis à zéro. La
séquence de préparation d'émission se poursuit sur l'organi-
gramme de la figure 30B.
En considérant maintenant la figure 30B, on note que
la valeur de Q est ensuite introduite dans le message à émet-
tre, comme l'indique la case 1042. Une fois que la valeur de
Q a été introduite, on calcule le NB du message, en addition-
nant un à la valeur de NB préliminaire déterminée précédem-
ment (case 1030), comme l'indique la case 1044. Dans le cas o
NB dépasse le maximum de quinze, on utilise la valeur maxima-
le.
On introduit ensuite la valeur de NB dans le messa-
ge, comme l'indique la case 1046.
On détermine ensuite si le message à émettre doit être ajouté à la Liste d'Attente LSTATT. Comme l'indiquent respectivement les éléments 1048 et 1050, on ne fait aucun
ajout à la liste LSTATT, sauf si le message n'est pas un mes-
sage de liaison montante et sauf si le message est du type pour lequel on attend une réponse. Si nécessaire, un travail est ensuite placé en file d'attente pour établir une rubrique dans la liste LSTATT, comme l'indique la case 1052. On décrira ultérieurement la séquence destinée à établir une rubrique dans la liste LSTATT, en relation avec l'organigramme de la
figure 31.
Une fois que la rubrique de la liste LSTATT a été établie, si nécessaire, on détermine la valeur de la Priorité Mesurée PM qui doit être introduite dans le message. La va- leur de PM est fixée égale à la plus grande valeur parmi la valeur de PC et la valeur de PM dans le message reçu, si la séquence correspond à une opération d'enregistrement et
d'acheminement. Si le message n'est pas un message à enregis-
trement et acheminement, il n'y a aucun message précédent correspondant; la valeur émise de PM est donc fixée égale à PC. On efface ensuite le contenu des registres destinés à contenir les bits de Code de Redondance Cyclique CRC, comme
l'indique la case 1056. On introduit ensuite les bits de syn-
chronisation dans le message, comme l'indique la case 1058.
Bien que le message ne soit pas complètement formé, l'émis-
sion du message commence alors, comme l'indique la case 1060.
Pendant que les bits de synchronisation du message
sont en cours d'émission, les bits de Code de Redondance Cy-
clique CRC du message sont calculés et introduits, comme l'indique la case 1062. Un double du message présent dans la
mémoire tampon d'émission, à l'exception des bits de synchro-
nisation, est ensuite transféré vers la mémoire tampon de liaison fixe 98 (figure 5), comme l'indique la case 1064. Ce transfert n'aura lieu que si l'unité déportée considérée est connectée à une liaison fixe. Les messages en double seront émis simultanément sur la ligne d'énergie et sur la liaison fixe.
Les données du message qui se trouve dans la mémoi-
re tampon d'émission font ensuite l'objet d'un codage assu-
rant une densité minimale de transitions, de la manière classique, comme l'indique la case 1066. On introduit ensuite dans le message un facteur de codage prévu pour l'utilisation 3S dans le décodage des données dans les unités réceptrices. Le codage assurant une densité minimale de transitions n'est pas appliqué aux données pour des messages émis sur la liaison fixe.
On règle ensuite le temporisateur de durée de bloca-
ge d'émission pour l'unité considérée. Si le type de message indique qu'il s'agit d'un message à durée de blocage variable, la durée de blocage sera fonction de la valeur du Nombre de Bonds NB dans le message à émettre. La valeur de NB qu'on utilise pour déterminer la durée de blocage diffère légèrement de la valeur de NB présente dans le message à émettre. Dans la plupart des cas, la valeur de NB utilisée pour déterminer la durée de blocage est prise égale à la valeur NB du message plus un. Si le message a émettre est perdu, la valeur de NB
pour le temporisateur de durée de blocage est égale à la va-
leur NB du message plus deux. Du fait qu'un message perdu est défini comme ayant un NB de 15, la valeur de NB qu'on utilise
pour commander le temporisateur de durée de blocage est de 17.
Si le message a émettre contient un indicateur IMS instauré, dans le but de commander le temporisateur de durée de blocage, on considère que le message est du type demandant un retard
variable, conformément à l'équation (4). Comme indiqué précé-
demment, un indicateur d'autorisation d'émission est instauré
lorsqu'un message est reçu. Une fois que l'émission est ter-
minée, la section de récepteur est remise en fonction et l'in-
dicateur d'autorisation d'émission est restauré. La séquence retourne ensuite au programme superviseur, comme l'indique
l'élément 1070.
Le travail qui a été placé en file d'attente pour
établir une rubrique dans la liste LSTATT (case 1052) est re-
présenté par l'organigramme de la figure 31. L'élément 1072
représente l'entrée dans le travail, qui commence effective-
ment après que le message a été émis. Un double du message qui a été émis a été enregistré dans l'unité considérée. Le facteur de codage à densité minimale de transitions du message est ensuite extrait de façon à permettre de décoder le message,
comme l'indique la case 1074.
L'indicateur d'origine d'émission, qui est enregistré, est instauré comme l'indique la case 1076. On extrait ensuite le nombre NB et l'adresse ADI du message qui vient d'être émis, comme l'indiquent respectivement les cases 1078 et 1080. On détermine ensuite si l'adresse est déjà présente dans la liste LSTATT, comme l'indique l'élément 1082. Si l'adresse ne se trouve pas dans la liste LSTATT, on entre dans le sous-programme destiné à ajouter l'adresse à la liste, comme
l'indique l'élément 1084. On a décrit précédemment ce sous-
programme en relation avec la figure 11. Une fois que l'exécu-
tion du sous-programme est terminée, le travail est terminé et la séquence retourne au programme superviseur ou appelant,
comme l'indique la case 1086.
Si l'adresse se trouve dans la liste LSTATT, on exa-
* mine la rubrique de cette liste pour déterminer si l'indicateur
d'origine d'émission associé a déjà été instauré, comme l'indi-
que l'élément 1088. Si l'indicateur est instauré, la séquence retourne au programme appelant, comme l'indique l'élément 1090, tandis que dans le cas contraire, l'indicateur est instauré, comme l'indique l'élément I092. La durée du temporisateur de
défaut n'est pas changée.
Une fois que l'indicateur a été instauré, la visua-
lisation est mise à jour pour représenter le changement effec-
tué dans la liste LSTATT, comme l'indique l'élément 1094. Une
fois que la visualisation a été mise à jour, la séquence re-
tourne au programme superviseur ou appelant, comme l'indique
l'élément 1096.
La séquence d'émission pour l'enregistrement et l'acheminement d'un paquet de données dans des messages de
liaison descendante est quelque peu similaire à celle corres-
pondant aux messages de liaison montante, à l'exception du fait que l'opération de liaison descendante représentée sur la figure 27 est utilisée à la place de l'opération de liaison montante qui est représentée sur la figure 25. L'opération d'enregistrement et d'acheminement de liaison montante commence lorsque le temporisateur de probabilité d'émission qui a été
instauré précédemment arrive à l'expiration de sa durée de tem-
porisation. En considérant maintenant la figure 27, on note que l'élément 908 représente l'entrée dans la séquence de liaison descendante. Les éléments 910 et 912 indiquent qu'on détermine
tout d'abord si l'une ou l'autre des mémoires tampons d'enre-
gistrement et d'acheminement est disponible. Si aucune n'est
disponible, la séquence retourne au programme superviseur, com-
me l'indique l'élément 914.
Si une mémoire tampon est disponible, un pointeur est
dirigé vers la première mémoire tampon disponible, comme l'in-
dique la case 916. On entre alors dans un sous-programme de9ti-
né à transférer le message à émettre de la mémoire tampon
d'exécution vers la mémoire tampon d'enregistrement et d'ache-
minement sélectionnée, comme l'indique l'élément 918. On a dé-
crit précédemment ce sous-programme en relation avec l'organi-
gramme de la figure 26.
Une fois que le transfert est achevé, on détermine si
une fonction de temporisateur est disponible pour le temporisa-
teur de probabilité d'émission, comme l'indique l'élément 920.
Si la fonction de temporisateur n'est pas disponible, le message ne peut pas être émis et, par conséquent, la séquence retourne au
programme superviseur, comme l'indique l'élément 922.
Si le temporisateur est disponible, on détermine si le message a été créé par une unité déportée sourde. Comme l'indique la case 924, on obtient le Numéro de Séquence Globale NSG du message reçu. Ensuite, comme l'indique l'élément 926, on détermine si le NSG ne comprend que des uns. S'il ne comprend que des uns, le message provient d'un noeud sourd et le NSG du
message émis est laissé dans l'état ne comprenant que des uns.
Si le message n'est pas un message de noeud sourd, on utilisera le NSG local de l'unité déportée considérée, qui représente le plus récent Numéro de Séquence Globale NSG reçu par l'unité,
comme l'indique la case 928. Le NSG, qu'il s'agisse du NSG lo-
cal ou du NSG ne comprenant que des uns, est introduit dans le
message à émettre, comme l'indique la case 931.
On obtient ensuite l'adresse ASD du message reçu, pour l'introduction dans la Liste de Liaisons LSTLIA, comme l'indique la case 932. Comme décrit précédemment, des rubriques de la liste LSTLIA sont établies pendant la partie de liaison descendante d'une liaison virtuelle, et elles fournissent des adresses de liaison montante pour la moitié de liaison montante
de la liaison virtuelle.
L'organigramme de la figure 28 représente le sous-
programme destiné à introduire l'adresse ASD et l'adresse ASI
associée dans la liste LSTLIA, conformément à l'élément 934.
L'élément 938 représente l'entrée dans le sous-programme. On détermine tout d'abord si l'adresse ASD est déjà présente dans la liste, comme l'indique l'élément 940. Si la rubrique n'est pas présente, on supprime la plus ancienne rubrique présente, comme l'indique la case 942. Il existe certaines rubriques, qu'on appelle des rubriques permanentes, qui ne doivent jamais
être supprimées de la liste une fois qu'elles y ont été intro-
duites. Les rubriques permanentes de la liste LSTLIA compren-
nent des adresses relatives à des unités déportées critiques auxquelles l'unité maîtresse peut alors accéder sans utiliser
des Ordres de Séquence Globale. Par conséquent, la plus ancien-
ne rubrique non permanente sera supprimée.
Une fois que la suppression a été effectuée, toutes les rubriques se trouvant au-dessus de la suppression sont descendues dans la liste pour emplir l'espace laissé libre par la suppression, comme l'indique la case 946. Une position sera ainsi disponible au sommet de la liste LSTLIA. Comme l'indique la case 954, on introduit ensuite l'adresse ASD et l'adresse ASI associée au sommet de la liste. On utilisera l'adresse ASI de la liste LSTLIA en tant qu'adresse ADI du message de liaison montante de réponse. On entre ensuite dans le sous-programme de
mise à jour de la visualisation, comme l'indique l'élément 958.
La séquence retourne ensuite au programme appelant, comme l'in-
dique l'élément 960.
Si l'adresse ASD est déjà présente dans la liste LSTLIA (élément 940), on détermine ensuite si l'adresse est présente au sommet de cette liste, comme l'indique l'élément 948. Si l'adresse se trouve au sommet, on détermine ensuite si l'adresse ASI correspondante de la liste LSTLIA coincide avec
l'adresse ASI du message reçu, comme l'indique l'élément 949.
En cas de coincidence, aucun changement dans la liste LSTLIA n'est nécessaire, et la séquence retourne au programme appelant, comme l'indique l'élément 950. S'il n'y a pas de coincidence de l'adresse ASI, cette dernière est introduite dans la liste LSTLIA pour l'adresse ASD associée. Si l'adresse ASD ne se
trouve pas au sommet de la liste LSTLIA, la rubrique est tempo-
rairement supprimée et la liste est décalée vers le bas de façon à créer une place au sommet de la liste, comme l'indique
la case 952. La rubrique supprimée est ensuite ajoutée au som-
met de la liste et la séquence est achevée de la manière dé-
crite précédemment.
Une fois que la liste LSTLIA a été mise à jour, la séquence retourne au programme superviseur, comme l'indique l'élément 936 (figure 27). On accomplit ensuite les séquences décrites précédemment pour transférer le message vers l'une des mémoires tampons d'enregistrement et d'acheminement (figure 26), pour accomplir la préparation d'émission (figures 30A,
B) et pour établir la liste LSTATT (figure 31).
On a décrit la séquence pour l'émission de messages à enregistrement et acheminement dans la direction de liaison
montante (figure 25) et dans la direction de liaison descendan-
te (figure 27). On va maintenant décrire la séquence pour l'émission de messages contenant un paquet de données qui a été
créé par l'unité déportée considérée.
Le programme superviseur destiné à commander chaque unité déportée détermine périodiquement si l'unité déportée doit émettre un message contenant un paquet de données créé, ce qui a pour effet de déclencher une séquence de messages de liaison descendante. A titre d'exemple, les unités déportées peuvent être réalisées de façon à émettre périodiquement des messages contenant des données de consommation d'énergie. Selon un autre exemple, une unité déportée peut déclencher une sé-
quence de messages de liaison descendante en réponse à un mes-
sage de liaison montante provenant de l'unité maîtresse.
L'organigramme de la figure 32 représente la séquence
destinée à obtenir une mémoire tampon d'application pour enre-
gistrer le paquet de données dans le message à émettre, et pour fixer la priorité NT pour le message, ce qui correspond à ce qu'on appelle quelquefois la séquence d'application. L'entrée
dans la séquence a lieu lorsque le programme superviseur obser-
ve qu'un paquet de données créé par l'unité déportée considérée doit être émis, ce qui a pour effet de déclencher une séquence de messages de liaison descendante. L'organigramme de la figure 27 représente la séquence destinée à déclencher une séquence de messages de liaison descendante en réponse à la réception d'un message de noeud sourd, pour des messages à enregistrement et
acheminement.
L'élément 1098 représente l'entrée dans la séquence d'application. Comme l'indique l'élément 1100, on appelle tout d'abord un sous-programme destiné à réserver l'une des cinq
mémoires tampons de données créées dans l'unité (figure 5).
L'organigramme de la figure 33 représente le sous-programme
destiné à réserver la mémoire tampon.
L'élément 1108 représente l'entrée dans le sous-pro-
gramme. Comme l'indique l'élément 1110, on détermine si l'une
des mémoires tampons de données créées dans l'unité est dispo-
nible. Une mémoire tampon peut ne pas être disponible, par
exemple si le réseau est surchargé de trafic et si des messa-
ges ne peuvent pas atteindre l'unité maîtresse. Dans ce cas, la séquence de liaison descendante ne peut pas être déclenchée,
et la séquence retourne au programme superviseur, comme l'in-
dique l'élément 1112.
Si une mémoire tampon de données créées dans l'unité
est disponible, cetre mémoire tampon est réservée, comme l'in-
dique la case 1114. La séquence retourne ensuite au programme appelant (élément 1100), comme l'indique l'élément 1116. Un pointeur est enregistré pour indiquer la mémoire tampon qui a
été réservée.
Le paquet de données a émettre dans le message de
déclenchement de séquence est transféré vers une mémoire tam-
pon temporaire ou d'application (non représentée), comme l'in-
dique la case 1102. Les données peuvent par exemple concerner
la consommation d'énergie.. Une fois que les données ont été transférées, on entre dans un sous-
programme destiné à fixer la priorité NT
du message à émettre, comme l'indique l'élément 1104. La prio-
rité du message, NT, commande la probabilité qu'un message
soit émis dans un intervalle de temps particulier, comme dé-
crit précédemment en relation avec l'équation (1).
L'élément 1118 de la figure 34 représente l'entrée dans le sous-programme de fixation de priorité. Comme décrit précédemment, les messages émis par une unité déportée pour déclencher des séquences de messages de liaison descendante, autres que des séquences de messages de noeud sourd, ont une priorité flottante qui varie sous l'effet de changements de la Priorité de Système PS, conformément à l'équation (2). La valeur de priorité d'origine (non corrigée) NTO, est fixée égale à 17, et ceci donne la plus faible probabilité qu'un message soit émis dans un intervalle de temps particulier,
comme l'indique la case 1120.
Comme décrit précédemment, certains messages conte-
nant une information qui exige une réponse rapide de la part d'une unité déportée auront une valeur de priorité initiale NTO de 6 au lieu de 17. Des messages de liaison descendante à émettre rapidement sont de façon caractéristique ceux qui sont produits sous l'effet de la réception d'un message de liaison montante appartenant à une séquence de messages de liaison montante déclenchée par l'unité maîtresse. Comme l'indique l'élément 1122, on détermine si on doit affecter au message une probabilité d'émission élevée. Dans l'affirmative, la priorité d'origine NTO est changée pour passer de 17 à 6, comme l'indique la case 1124.
Une fois que la priorité NTO a été changée, si né-
cessaire, on détermine si l'unité déportée considérée comporte un arriéré de messages à émettre, comme l'indique l'élément 1128. Dans le mode de réalisation présent, on considère qu'il
existe un arriéré s'il n'y a pas au moins deux mémoires tam-
pons non réservées parmi les cinq mémoires tampons pour les données créées dans l'unité. S'il y a un arriéré de messages,
la valeur de NTO est fixée à 6, de façon à augmenter la proba-
bilité d'émission et à réduire ainsi l'arriéré de messages.
On fixe ensuite une valeur initiale sélectionnée de
façon aléatoire dans le temporisateur de probabilité d'émis-
sion, et on enregistre la priorité initiale NTO, comme l'indi-
que l'élément 1130. On détermine ensuite si le temporisateur de probabilité d'émission a été initialisé correctement, comme l'indique l'élément 1132. Le temporisateur n'aura pas été initialisé correctement si, par exemple, aucune fonction de
temporisateur n'est disponible. Dans ce cas, la séquence re-
tourne au programme appelant, comme l'indique l'élément 1134.
En supposant que le temporisateur d'émission ait été initiali-
sé correctement, le paquet de données présent dans la mémoire
tampon d'application est transféré vers la mémoire tampon ré-
servée parmi les mémoires tampons de données créées dans
l'unité (case 1114), comme l'indique la case 1136. On détermi-
ne ensuite la valeur de priorité de message NT, comme l'indi-
que la case 1138, conformément à l'équation (2). Le temporisa-
teur de probabilité d'émission commence ensuite à recevoir des
signaux d'horloge, et la séquence retourne au programme appe-
lant (élément 1104), comme l'indique l'élément 1140. Comme l'indique l'élément 1106 de la figure 32, la séquence retourne
ensuite au programme superviseur.
Le temporisateur de probabilité d'émission continue à recevoir les signaux d'horloge jusqu'à ce que des bits du temporisateur, en un nombre égal au nombre de bits pris en considération, soit NT, soient amenés à zéro. Comme décrit précédemment, du fait que des messages contenant des paquets
de données qui sont créés par l'unité émettrice ont une prio-
rité flottante, la valeur de NT sera mise à jour conformément à l'équation (2), lorsque la valeur de PS change, pendant que
le temporisateur fonctionne.
Au moment o le temporisateur de probabilité d'émis-
sion arrive à l'expiration de sa durée de temporisation, on effectue une tentative d'émission du paquet de données qui a été créé. Le programme superviseur détecte l'expiration de la durée de temporisation et il provoque le déclenchement de la
séquence d'émission.
L'élément 1142 de la figure 35 représente l'entrée
dans la séquence d'émission du paquet de données créé. La mé-
moire tampon de données créées dans l'unité contenant le pa-
quet de données à émettre est ensuite sélectionnée, comme l'indique la case 1144. On détermine ensuite si la mémoire
tampon est toujours réservée, comme l'indique l'élément 1146.
Il est possible que le message à émettre ne nécessite plus
l'émission. A titre d'exemple, si un message a été émis pré-
cédemment et si la réponse n'a pas été reçue à temps, un mes-
sage de nouvelle tentative sera émis, comme décrit précédem-
ment. Dans le cas o le paquet de données présent sera intro-
duit dans un message de nouvelle tentative, le message de nouvelle tentative ne sera pas émis si la réponse au message
précédent a été reçu pendant que le temporisateur de probabi-
lité d'émission était en fonctionnement. Dans ce cas, la mé-
moire tampon de données créées dans l'unité ne sera plus ré-
servée et le paquet de données présent ne sera pas émis. La séquence retourne ensuite au programme superviseur, comme
l'indique l'élément 1148.
En supposant que la mémoire tampon soit toujours
réservée, on détermine si l'indicateur d'autorisation d'émis-
sion est instauré. Comme décrit précédemment, cet indicateur sera restauré dans le cas o l'unité déportée considérée ne reçoit ni n'émet un message. Dans le cas o l'unité considérée est en train de recevoir ou d'émettre un message, l'indicateur
d'autorisation sera instauré et l'émission d'un message sup-
plémentaire sera interdite.
Si l'indicateur d'autorisation est instauré, la priorité de message NT est corrigée conformément à la Priorité
de Système PS présente, comme l'indique la case 1158. Le tem-
porisateur de probabilité d'émission est ensuite restauré avec
un nouveau nombre aléatoire, et la séquence retourne au pro-
gramme superviseur, comme l'indiquent respectivement la case 1160 et l'élément 1162. La séquence sera reprise lorsque le
temporisateur arrivera à l'expiration de sa durée de tempori-
sation.
En supposant que l'indicateur d'autorisation d'émis-
sion soit restauré (élément 1150), on détermine si le tempori-
sateur de durée de blocage d'émission est en cours de fonc-
tionnement, comme l'indique l'élément 1152. S'il y a une durée de blocage, le message ne sera pas émis à moins que le canal ait été affecté à l'unité déportée considérée, comme l'indique _ 'éléiment 1154. Le canal aura été affecté à l'unité déportée considérée lorsque par exemple cette unité a émis précédemment
un message avec un Indicateur de Message à Suivre IMS instauré.
Comme décrit précédemment, un canal peut être affecté
à une unité déportée par le fait que cette unité est la desti-
nation finale de l'information de message dans un message, ou par le fait que l'unité déportée est celle qui a déclenché la séquence de liaison descendante ayant produit le message. Si le canal est affecté à une unité déportée du fait que l'unité déportée a émis le message, un indicateur d'affectation d'émission sera instauré. L'indicateur est restauré lorsque l'unité déportée qui a déclenché la séquence reçoit un message
de réponse. Une unité déportée ayant un indicateur d'affecta-
tion d'émission à l'état instauré ne déclenche pas une séquence de messages de liaison descendante sur le canal, bien que le canal ait été affecté à cette unité. Une telle séquence ne sera déclenchée que dans le cas o, simultanément, le canal a été affecté à l'unité et l'indicateur d'affectation d'émission est restauré. L'indicateur d'affectation d'émission a pour but d'empêcher que des messages de séquences de liaison descendante
déclenchées par une unité déportée n'entrent en collision mu-
tuelle. A titre d'exemple, si une unité déportée déclenche une séquence, le canal sera affecté à cette unité et l'indicateur
d'affectation d'émission sera instauré. Comme indiqué précédem-
ment, le temporisateur de nouvelle tentative a pour but de
réémettre un message qui contient un paquet de données qui dé-
clenche une séquence de messages, dans le cas o une réponse à une séquence précédente n'est pas reçue. On peut réaliser la fonction de temporisateur de nouvelle tentative en utilisant le temporisateur de probabilité d'émission. On initialise à nouveau le temporisateur d'émission une fois que le message est émis, et une nouvelle tentative a lieu si le message de réponse attendu n'est pas reçu avant l'expiration de la durée
de temporisation.
Certains messages n'exigent pas l'utilisation d'un temporisateur de nouvelle tentative. Par exemple, si l'unité déportée considérée émet un message pour lequel aucune réponse n'est attendue, le temporisateur de nouvelle tentative n'est pas nécessaire. Comme l'indique l'élément 1166, on détermine si un temporisateur de nouvelle tentative est nécessaire. Si
aucun temporisateur n'est nécessaire, le temporisateur de nou-
velle tentative est restauré, comme l'indique la case 1168.
Si on utilise un temporisateur de nouvelle tentative, on fixe la durée, comme l'indique la case 1170. La durée est déterminée par le Nombre de Bonds NB local de l'unité, et la durée est plus longue pour de plus grandes valeurs de NB. Le nombre de fois qu'un message contenant un paquet de données
est réémis est accumulé dans un compteur, dans un but de dia-
gnostic, comme l'indique la case 1172.
Une fois que le temporisateur de nouvelle tentative a été réglé, si nécessaire, le paquet de données contenu dans la mémoire tampon de données créées par l'unité est transféré vers la mémoire tampon d'émission (figure 5), comme l'indique l'élément 1174. Comme l'indique l'élément 1176, l'adresse ASD
du message, qui est l'adresse de l'unité considérée, est en-
suite introduite à ce point dans le message. Le reste du mes-
sage de liaison descendante est formé pendant la séquence
d'émission finale, comme on l'a décrit précédemment en rela-
tion avec les figures 30A et 30B et est émis en direction descendante.
On a ainsi décrit un réseau et un procédé de commu-
nication adaptatifsoriginaux. Bien qu'on ait décrit de façon assez détaillée un mode de réalisation préféré, l'homme de
l'art pourrait y apporter certaines modifications, sans sor-
tir du cadre de l'invention.
A titre d'exemple, un réseau correspondant à un autre mode de réalisation peut comprendre plusieurs unités
déportées qui peuvent seulement émettre des messages conte-
nant un paquet de données créé par les unités, et qui n'ac-
complissent pas la fonction d'enregistrement et d'achemine-
ment de message. Les messages sont transmis périodiquement
sur le réseau et contiennent par exemple des données de con-
sommation d'énergie. Le réseau comprend en outre deux unités déportées, ou plus, capables d'enregistrer et d'acheminer un
paquet de données, et une unité maitresse.
Le diagramme de la figure 22 représente un exemple
de système de communication utilisant cet autre mode de réa-
lisation de l'invention. Le système comprend une unité mai-
tresse 1194 et plusieurs unités déportées 1200, qu'on appelle
des unités déportées secondaires. Le système comprend en ou-
tre des unités déportées 1196, qu'on appelle des unités dé-
portées principales, qui sont destinées à apporter leur as-
sistance dans le transfert de paquets de données des unités
secondaires vers l'unité maîtresse.
Bien que ceci ne soit pas représenté, à chaque unité secondaire 1200 est associé un compteur d'énergie qui fournit des paquets de données de consommation d'énergie devant être transférés vers l'unité maîtresse. Les unités secondaires, qui ne sont pas capables de recevoir des messages, sont réalisées de façon à émettre périodiquement des messages contenant des paquets de données de consommation d'énergie, comme des données d'énergie électrique associées à l'unité. Les messages, qu'on
appelle quelquefois des messages secondaires, contiennent éga-
lement l'adresse de l'unité secondaire émettrice, de façon que l'unité maîtresse puisse identifier la source des données de consommation, ainsi qu'un indicateur destiné à indiquer que le
message a été émis par une unité déportée secondaire. L'indi-
cateur remplit une fonction similaire au Numéro de Séquence Globale qui est fixé à une valeur ne comprenant que des uns
dans les messages de noeud sourd décrits précédemment.
Les unités déportées principales 1196 peuvent avoir
une source de données associée, bien que leur fonction princi-
pale soit d'enregistrer et d'acheminer des paquets de données contenus dans des messages secondaires émis par des unités secondaires, et dans des messages émis par d'autres unités principales vers l'unité maîtresse. On appelle quelquefois messages principaux les messages qui sont émis par des unités
déportées principales, pour les distinguer des messages secon-
daires. Les messages principaux ont de préférence un contenu identique à celui indiqué précédemment en relation avec la
description du Tableau 1. Dans le cas o les unités déportées
principales 1196 ont seulement pour fonction d'enregistrer et
d'acheminer des messages, ces unités sont de préférence réali-
sées de façon à déclencher périodiquement des séquences de
messages de liaison descendante, dans le but d'assister d'qu-
tres unités déportées principales dans la mise à jour de leur
Bonne Liste BNLST associée.
Quelques exemples permettront d'illustrer davantage
le fonctionnement de cet autre mode de réalisation de l'inven-
tion. A la mise sous tension initiale, aucune des Bonnes Lis-
tes des unités déportées principales ne contient des adresses de liaison descendante autres que celle de l'unité maîtresse.
Toutes les unités déportées principales commencent à fonction-
ner en émettant un message de liaison descendante qui contient une adresse ADI qui est celle de l'unité maîtresse. Au fur et
à mesure que de nouveaux messages sont émis, chaque unité dé-
portée principale forme un ensemble comprenant au moins une adresse de liaison descendante préférée. Pour des conditions de réseau présentes représentées sur la figure 22, par exemple, l'adresse de liaison descendante préférée pour l'unité 1196b est l'unité maîtresse, tandis que pour l'unité 1196c, l'adresse
préférée est l'unité 1196b.
Comme décrit précédemment, les unités déportées se-
condaires 1200, comme des noeuds sourds, émettent périodique-
ment des messages secondaires contenant des données de consom-
mation d'énergie et une adresse de source de l'unité secondai-
re. Les messages secondaires ne contiennent pas des adresses ADI valides, du fait que les unités déportées secondaires ne
* sont pas capables de former une Bonne Liste.
En supposant par exemple que l'unité principale 1196c reçoit un message secondaire émis par l'unité secondaire 1200a, l'unité principale reconnaît le message comme étant un message secondaire, du fait de la présence de l'indicateur de message secondaire mentionné précédemment. L'unité 1196c entreprend alors d'enregistrer et d'acheminer le paquet de données contenu dans le message secondaire, en déclenchant une séquence de
messages de liaison descendante. Le message de liaison descen-
dante contient une Adresse de Source/Destination ASD, qui identifie l'unité secondaire associée au paquet de données, une Adresse de Source Intermédiaire (ASI) qui identifie l'unité principale 1196c, et une Adresse de Destination Intermédiaire ADI, prise dans la liste BNLST, qui identifie l'unité déportée principale 1196b. Le message principal sera reçu par l'unité déportée principale 1196b qui, à son tour, enregistrera et acheminera le paquet de données d'une manière identique à
celle décrite en relation avec le premier mode de réalisation.
L'unité maîtresse réagira au message de liaison descendante de l'unité 1196b en émettant un message de liaison montante
ayant une Adresse de Destination Intermédiaire ADI correspon-
dant à l'unité 1196b, une Adresse de Source/Destination ASD correspondant à l'unité secondaire 1200a et une Adresse de
Source Intermédiaire ASI correspondant à l'unité maîtresse.
Le paquet de données de liaison montante sera enregistré et acheminé vers l'unité principale 1196c. L'unité 1196c émettra également de préférence un message de liaison montante, bien que l'unité secondaire 1200a ne soit pas capable de recevoir
de messages. Un tel message a pour but de fournir de l'infor-
mation pour la mise à jour des Bonnes Listes des autres uni-
tés déportées principales dans le système.
On notera que dans la séquence décrite ci-dessus, il est également possible que des unités principales autres que l'unité 1196c aient reçu le message secondaire provenant de l'unité secondaire 1200a. Par exemple, l'unité 1196d peut
également avoir reçu le message secondaire provenant de-l'uni-
té 1200a. Bien que les deux unités 1196c et 1196d aient reçu
le message secondaire au même moment, le-mode de fonctionne-
ment des temporisateurs de probabilité d'émission respectifs
fait qu'il est improbable que les deux unités déclenchent si-
multanément une séquence de messages de liaison descendante.
Si on suppose que l'unité 1196c a commencé à émettre en pre-
mier, l'unité 1196d détecte l'émission sur le réseau et s'abstient d'émettre. Une fois que l'unité 1196c a achevé l'émission du message de liaison descendante, il est possible que l'unité 1196d ait reçu le message émis, en-plus de l'unité 1196b. Dans ce cas, l'unité 1196d reconnaît que le message de liaison descendante contient un paquet de données provenant d'une unité déportée secondaire, du fait de la présence de l'indicateur de message secondaire. En outre, l'unité 1196d
reconnaît que le message n'a pas été émis par l'unité secondai-
re, du fait que l'Adresse de Source/Destination ADS du message diffère de l'Adresse de Source Intermédiaire ASI. Comme dans le cas de noeuds sourds, l'unité 1196d rejette le message qu'elle a reçu à partir de l'unité secondaire 1200a, du fait que l'unité principale 1196c a déjà entrepris d'assister
l'unité 1200a en déclenchant une séquence de messages de liai-
son descendante.
Les unités déportées principales sont de préférence réalisées de façon à remplir la même fonction que les unités
déportées du premier mode de réalisation, comprenant la sélec-
tion d'adresses de liaison descendante préférées. A titre d'exemple, pour les conditions de réseau représentées sur la figure 22, l'unité principale 1196d a sélectionné l'unité principale 1196a en tant qu'adresse de liaison descendante préférée. Si les conditions de réseau viennent à changer, l'unité 1196d peut sélectionner d'autres unités déportées
principales ou l'unité maîtresse, en tant qu'adresse préférée.
Ce qui précède permet de voir que l'unité maîtresse
est réalisée d'une manière similaire à celle des unités dé-
portées. L'unité maîtresse n'émet pas sur le réseau pendant
-la durée de fonctionnement du temporisateur de durée de bloca-
ge de l'unité maîtresse, sauf si le canal a été affecté à
l'adresse ASD du message. Si le message à émettre est une ré-
ponse à un message de liaison descendante, l'unité maîtresse utilise l'Adresse de Source Intermédiaire ASI du message reçu en tant qu'Adresse de Destination Intermédiaire ADI du message de réponse. Dans ce cas, le canal aura été affecté au paquet de données créé dans l'unité déportée, pendant l'émission des
messages de liaison descendante précédents.
L'unité maîtresse déclenche une séquence de liaison montante en émettant un message tel qu'un Ordre de Séquence
Globale OSG, d'une manière très semblable à celle selon la-
quelle une unité déportée déclenche une séquence de messages de liaison descendante. Cependant, l'unité maitresse émet le message avec une priorité flottante NT qui est déterminée par l'urgence du message. Comme on l'a indiqué précédemment, si le message répond à la réception d'un message de liaison descendante par l'unité maîtresse, ce message est émis avec une priorité fixe de 0. Par conséquent, le message sera émis
sur le réseau pendant l'intervalle de temps suivant.

Claims (78)

REVENDICATIONS
1. Système de communication prévu pour l'utilisa-
tion dans un réseau de voies de communication interconnec-
tées, caractérisé en ce qu'il comprend un ensemble de noeuds de communication capables d'émettre des messages dans le réseau, comprenant une unité maîtresse (24) et un ensemble d'unités déportées (26a-26m) qui sont également capables de recevoir des messages par le réseau, chacun de ces noeuds ayant une adresse d'identification associée; et en ce que
les unités déportées sont capables de déclencher une séquen-
ce de messages de liaison descendante par laquelle un paquet de données associé à l'un des noeuds est transféré d'une unité déportée ayant déclenché la séquence, vers l'unité maîtresse (24), par la transmission de l'un au moins de ces messages, qu'on appelle des messages de liaison descendante, ces messages de liaison descendante comprenant un paquet de données, une adresse de source qui identifie celui des noeuds qui est associé au paquet de données contenu dans
le message, une adresse de source intermédiaire qui identi-
fie celui des noeuds qui a émis le message de liaison des-
cendante, une adresse de destination intermédiaire qui iden-
tifie celui des noeuds qui doit recevoir le message de liai-
son descendante; l'unité maîtresse (24) est capable de déclencher une séquence de messages de liaison montante de réponse, sous l'effet de la réception par l'unité maîtresse
de l'un des messages de liaison descendante; l'unité dépor-
tée ayant déclenché la séquence est informée de la réception
du paquet de données par l'unité maîtresse (24), par l'émis-
sion de l'un au moins de ces messages, qu'on appelle un mes-
sage de liaison montante, et ces messages de liaison montan-
te comprennent une adresse de source intermédiaire qui iden-
tifie celui des noeuds qui a émis le message de liaison mon-
tante, une adresse de destination intermédiaire qui identi-
fie celui des noeuds qui doit recevoir le message de liaison montante, et une adresse de destination finale qui identifie
le noeud associé au paquet de données reçu par l'unité mal-
tresse (24), chacune des unités déportées comprenant: (a) des moyens d'entrée déportés destinés à recevoir le paquet de données, ces moyens d'entrée déportés comprenant des moyens récepteurs déportés (30) destinés à recevoir les mes- sages, ces moyens récepteurs déportés comprenant des moyens de détermination de direction destinés à discriminer entre les messages de liaison montante et les messages de liaison
descendante, et des moyens d'enregistrement et d'achemine-
ment destinés à identifier les messages reçus qui exigent
une action d'émission de la part de l'unité déportée récep-
trice; (b) des moyens émetteurs déportés (34) destinés à émettre les messages sous l'effet de la réception de l'un des messages exigeant l'action d'émission de la part de l'unité déportée réceptrice, ces moyens émetteurs déportés - (34) comprenant des moyens d'émission de liaison descendante destinés à émettre l'un des messages de liaison descendante contenant le paquet de données obtenu à partir du message reçu, dans le cas o ce message reçu est l'un des messages de liaison descendante, les moyens d'émission de liaison descendante comprenant des moyens de détermination d'adresse de liaison descendante destinés à déterminer l'adresse de
destination intermédiaire des messages de liaison descendan-
te émis par l'unité déportée réceptrice, en utilisant au moins un paramètre représentatif de conditions de réseau obtenues, au moins partiellement, à partir de messages reçus par l'unité déportée réceptrice et contenant l'une des adresses de destination intermédiaire autres que l'adresse de l'unité déportée réceptrice, et comprenant des moyens d'émission de liaison montante destinés à émettre l'un des messages de liaison montante, dans le cas o le message reçu
est l'un des messages de liaison montante, ces moyens d'émis-
sion de liaison montante comprenant des moyens de détermina-
tion d'adresse de liaison montante destinés à déterminer l'adresse de destination intermédiaire du message de liaison montante émis; et l'unité maîtresse (24) comprend: (a) des moyens récepteurs d'unité maîtresse (30) destinés à recevoir
les messages, ces moyens récepteurs d'unité maîtresse compre-
nant des moyens de détermination de direction destinés à dis-
criminer entre des messages reçus de liaison montante et de liaison descendante; et (b) des moyens émetteurs d'unité maîtresse (34) destinés à émettre les messages de liaison montante sous l'effet de la réception par l'unité maîtresse
(24) de l'un des messages de liaison descendante.
2. Système selon la revendication 1, caractérisé en
ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison des-
cendante obtiennent également le ou les paramètres représen-
tatifs de conditionsde réseau à partir de messages reçus par
l'unité déportée réceptrice dont l'une des adresses de desti-
-. t15-nation intermédiaire correspond à l'adresse de l'unité dépor-
tée réceptrice.
3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que les moyens émetteurs déportés (34) comprennent en outre des moyens de déclenchement d'émission destinés à
déclencher l'une des séquences de messages de liaison descen-
dante.
4. Système selon la revendication 3, caractérisé en ce que les moyens de déclenchement d'émission sont des moyens destinés à déclencher l'émission de l'un des messages par l'unité déportée (26a-26m) dans le but de permettre à
d'autres unités déportées d'obtenir le ou les paramètres pré-
cités à partir du message émis.
5. Système selon la revendication 3, caractérisé en ce que les messages de liaison descendante émis par les moyens d'émission de liaison descendante sous l'effet de la
réception de l'un des messages exigeant une action d'émis-
sion, comprennent une adresse de source qui- correspond à l'adresse de source du message reçu, et une adresse de source intermédiaire qui correspond à l'adresse de l'unité déportée
réceptrice.
6. Système selon la revendication 5, caractérisé en ce que les messages de liaison descendante émis par les moyens d'émission de liaison descendante en réponse aux moyens de déclenchement d'émission, comprennent une adresse de source qui correspond à l'adresse du noeud associé au
paquet de données contenu dans les messages de liaison des-
cendante émis.
7. Système selon la revendication 6, caractérisé en
ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison mon-
tante utilisent les adresses de source intermédiaires obte-
nues à partir des messages de liaison descendante reçus qui exigent une action d'émission, pour l'adresse de destination intermédiaire de l'un des messages de liaison montante de réponse.
8. Système selon la revendication 7, caractérisé en
ce que les moyens d'enregistrement et d'acheminement identi-
fient les messages de liaison descendante reçus comme étant des messages qui exigent une action d'émission, si l'adresse
de destination intermédiaire du message de liaison descendan-
te reçu correspond à l'adresse de l'unité déportée réceptri-
ce.
9. Système selon la revendication 8, caractérisé en
ce que les moyens d'enregistrement et d'acheminement identi-
fient les messages de liaison montante reçus comme étant des messages qui exigent l'action d'émission, si l'adresse de destination intermédiaire correspond à l'adresse de l'unité déportée réceptrice et si l'adresse de destination finale
diffère de l'adresse de l'unité déportée réceptrice.
10. Système selon la revendication 9, caractérisé
en ce que les moyens émetteurs d'unité maîtresse (34) émet-
tent des messages de liaison montante qui contiennent une adresse de destination intermédiaire qui correspond à
l'adresse de source intermédiaire du message de liaison des-
cendante reçu auquel le message de liaison montante répond.
11. Système selon la revendication 10, caractérisé
en ce que les moyens émetteurs d'unité maîtresse (34) émet-
tent des messages de liaison montante qui contiennent l'une des adresses de destination finale qui correspond à l'adresse de source du message de liaison descendante reçu auquel le message de liaison montante répond.
12. Système selon la revendication 1, caractérisé en ce que les unités déportées (26a-26m) comprennent en outre des moyens d'entrée de données (38) destinés à produire l'un des paquets de données à partir d'une source de données (46)
qui est associée à l'unité déportée.
13. Système selon la revendication 12, caractérisé
en ce que les moyens émetteurs d'unité déportée (34) com-
prennent en outre des moyens de déclenchement d'émission des-
tinés à déclencher l'une des séquences de messages de liaison descendante, et en ce que les moyens d'émission de liaison descendante émettent l'un des messages de liaison descendante qui contient le paquet de données obtenu à partir des moyens d'entrée de données (38), sous la dépendance des moyens de
déclenchement d'émission.
14. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante comprennent des moyens de confirmation de liaison destinés à produire un indicateur de liaison confirmée qui
indique si l'unité déportée a reçu l'un des messages de liai-
son montante en réponse à une émission antérieure d'un messa-
ge de liaison descendante par l'unité déportée émettrice.
15. Système selon la revendication 14, caractérisé en ce que les messages émis par l'unité déportée (26a-26m) contiennent l'indicateur de liaison confirmée associé à l'unité déportée, et en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante examinent l'indicateur de liaison confirmée contenu dans les messages reçus, et cet indicateur de liaison confirmée qui est examiné est l'un des
paramètres représentatifs de conditions de réseau.
16. Système selon la revendication 15, caractérisé en ce que les moyens de confirmation de liaison comprennent une liste d'attente destinée à identifier l'une des unités
déportées qui a émis l'un des messages de liaison descendan-
te, et à déterminer si l'unité déportée émettrice identifiée a reçu l'un des messages de liaison montante de réponse.
17. Système selon la revendication 16, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison
descendante comprennent des moyens de détermination de quo-
tient d'échec destinés à enregistrer une valeur de quotient d'échec représentative de la fréquence, au cours du temps, à laquelle l'unité déportée identifiée par la liste d'attente n'a pas reçu l'un des messages de liaison montante en réponse à l'émission de l'un des messages de liaison descendante par l'unité déportée identifiée, et en ce que le quotient d'échec est l'un des paramètres représentatifs de conditions
de réseau.
18. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison
descendante comprennent une liste d'attente destinée à iden-
tifier l'une des unités déportées (26a-26m),qui émet l'un des messages de liaison descendante, et à déterminer si l'unité - déportée émettrice identifiée a reçu l'un des messages de
liaison montante de réponse.
19. Système selon la revendication 18, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison
descendante comprennent des moyens de détermination de quo-
tient d'échec, destinés à enregistrer une valeur de quotient d'échec représentative de la fréquence, au cours du temps, à laquelle l'unité déportée identifiée par la liste d'attente
n'a pas reçu l'un des messages de liaison montante, en répon-
se à l'émission de l'un des messages de liaison descendante par l'unité déportée identifiée, et en ce que le quotient d'échec est l'un des paramètres représentatifs de conditions
de réseau.
20. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante comprennent des moyens de détermination de nombre de bonds, destinés à produire une valeur de nombre de bonds associée à l'unité déportée (26a-26m), et représentative du nombre d'émissions successives de messages de liaison descen-
dante oui sont nécessaires pour transférer le paquet de don-
nées de l'unité déportée associée jusqu'à l'unité maîtresse (24).
21. Système selon la revendication 20, caractérisé en ce que les messages émis par l'unité déportée associée contiennent la valeur de nombre de bonds, et en ce que les moyens de liaison descendante examinent la valeur de nombre de bonds contenue dans les messages reçus, et cette valeur de
nombre de bonds examinée est l'un des paramètres représenta-
tifs de conditions de réseau.
22. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens de liaison montante de l'unité déportée (26a-26m) enregistrent au moins une adresse de noeud pour l'utilisation en tant qu'adresse de destination intermédiaire
pour les messages de liaison montante émis par l'unité dépor-
tée émettrice, et en ce que ces adresses enregistrées consti-
tuent l'un des paramètres représentatifs de conditions de réseau.
23. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante de l'unité déportée (26a26m) comprennent des moyens de détermination de rapport signal à bruit, destinés à produire une valeur de rapport signal à bruit représentative d'un rapport signal à bruit estimé des messages reçus par
l'unité déportée.
24. Système selon la revendication 23, caractérisé en ce que la valeur de rapport signal à bruit est l'un des
paramètres représentatifs de conditions de réseau.
25. Système selon la revendication 23, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante de l'unité déportée (26a-26m) comprennent des moyens de détermination de qualité de liaison, destinés à
produire une valeur de qualité de liaison émise, qui est pré-
sente dans les messages émis par l'unité déportée émettrice, cette valeur de qualité de liaison émise étant obtenue à par- tir d'une valeur de qualité de liaison locale et d'une valeur de qualité de liaison reçue, la valeur de qualité de liaison locale étant produite à partir de la valeur de rapport signal à bruit, tandis que la valeur de qualité de liaison reçue est obtenue à partir des valeurs de qualité de liaison émises qui sont produites par des noeuds autres que l'unité déportée
émettrice, qui se trouvent dans des messages reçus par l'uni-
té déportée émettrice, et en ce que la valeur de qualité de
liaison émise est l'un des paramètres représentatifs de con-
ditions de réseau.
26. Système selon la revendication 25, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante de l'unité déportée comprennent une adresse de
noeud préférée, qui est utilisée en tant qu'adresse de desti-
nation intermédiaire des messages de liaison descendante émis par l'unité déportée émettrice, et en ce que la valeur de qualité de liaison reçue est obtenue à partir de la valeur de qualité de liaison émise présente dans des messages émis par
le noeud associé à l'adresse de noeud préférée.
27. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens émetteurs d'unité déportée comprennent des moyens de réduction de collisions destinés à commander l'émission des messages par l'unité déportée émettrice (26a-26m) de façon à réduire la probabilité que des messages émis par l'unité émettrice entrent en collision avec d'autres
messages présents dans le réseau.
28. Système selon la revendication 27, caractérisé en ce que les moyens de réduction de collision comprennent
des moyens de blocage d'émission destinés à retarder l'émis-
sion des messages par l'unité déportée émettrice (26a-26m) en réponse à la réception de l'un des messages par l'unité
déportée émettrice.
29. Système selon la revendication 28, caractérisé en ce que les moyens de blocage d'émission comprennent un temporisateur de durée de blocage destiné à commander la durée du retard d'émission, et ce temporisateur peut être commuté entre un état actif dans lequel le retard d'émission est en fonction, et un état inactif dans lequel le retard d'émission n'est pas en fonction, ce temporisateur passant de l'état inactif à l'état actif sous l'effet de la réception de l'un des messages de liaison descendante par l'unité déportée émettrice (26a-26m), et comprenant des moyens d'affectation de canal destinés à enregistrer une adresse, qu'on appelle
une adresse affectée, qui correspond à l'un des noeuds asso-
ciés au paquet de données contenu dans le message de liaison
descendante qui a provoqué le passage à l'état actif.
30. Système selon la revendication 29, caractérisé en ce que le temporisateur passe de l'état inactif à l'état actif sous l'effet de la réception de l'un des messages de
liaison montante par l'unité déportée émettrice (26a-26m).
31. Système selon la revendication 30, caractérisé en ce que les messages de liaison descendante contiennent une information de durée de blocage que le temporisateur de durée de blocage utilise pour commander la durée du retard
d'émission.
32. Système selon la revendication 31, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante comprennent des moyens de détermination de nombre de bonds destinés à produire une valeur de nombre de bonds associée à l'unité déportée émettrice (26a-26m), qui est représentative du nombre d'émissions successives de messages de liaison descendante qui sont nécessaires pour transférer le paquet de données de l'unité déportée émettrice vers l'unité maîtresse (24), et en ce que la durée du retard d'émission de l'unité déportée émettrice est fonction de
l'une de ces valeurs de nombre de bonds.
33. Système selon la revendication 32, caractérisé en ce que la durée de retard d'émission peut également être indépendante des valeurs de nombre de bonds, et en ce que l'information de durée de blocage provenant du message reçu qui est utilisée par le temporisateur de durée de blocage, indique si la durée du retard d'émission est commandée par
les valeurs de nombre de bonds.
34. Système selon la revendication 29, caractérisé en ce que les moyens de blocage d'émission comprennent des moyens d'affectation de canal destinés à enregistrer une adresse qui correspond à l'un des noeuds associés au paquet de données présent dans le message de liaison descendante
qui a provoqué le passage à l'état actif. -
35. Système selon la revendication 34, caractérisé en ce que le temporisateur passe de l'état inactif à l'état' actif sous l'effet de la réception de l'un des messages de
liaison montante par l'unité déportée émettrice (26a-26m).
36. Système selon la revendication 27, caractérisé en ce que les moyens de réduction de collisions de l'unité déportée émettrice (26a-26m) comprennent un temporisateur d'émission qui est destiné à commander la probabilité que l'unité déportée émettrice émette l'un des messages à un
instant particulier parmi des instants d'événements périodi-
ques.
37. Système selon la revendication 36, caractérisé
en ce que ladite probabilité est fonction du nombre de mes-
sages émis dans le réseau pendant une durée prédéterminée.
38. Système selon la revendication 37, caractérisé en ce que les messages contiennent une information de trafic de messages qui est représentative du nombre de messages
émis dans le réseau, et en ce que le temporisateur d'émis-
sion de l'unité déportée émettrice (26a-26m) utilise cette information de trafic de messages dans des messages reçus
par l'unité déportée émettrice, pour déterminer ladite proba-
bilité.
39. Système selon la revendication 38, caractérisé en ce que le temporisateur d'émission comprend un compteur d'émission qui est attaqué par une horloge d'émission, une période de tentative d'émission commence lorsque le compteur d'émission reçoit un signal d'horloge le faisant démarrer à une valeur initiale, et la période de tentative se termine lorsque le compteur d'émission reçoit un signal d'horloge le faisant passer à une valeur finale, et à ce moment, l'unité
déportée émettrice (26a-26m) tente d'émettre l'un des messa-
ges, et la durée de la période de tentative d'émission est sélectionnée de façon relativement aléatoire pour chacune
des périodes de tentative.
40. Système selon la revendication 39, caractérisé en ce que l'horloge d'émission a une période qui correspond à la période des instants d'événements périodiques, le compteur d'émission comporte un ensemble de sorties de compteur correspondant à différents poids de comptage, et la
période de tentative d'émission se termine lorsque des sor-
ties sélectionnées du compteur d'émission atteignent la valeur finale, la probabilité d'émission étant fonction de
celles des sorties du compteur qui sont sélectionnées.
41. Système selon la revendication 40, caractérisé en ce qu'on peut modifier la probabilité d'émission pendant
la période de tentative d'émission, sous l'effet d'un change-
ment du nombre de messages émis dans le réseau, en changeant les sorties sélectionnées parmi les sorties du compteur d'émission.
42. Système selon la revendication 41, caractérisé en ce qu'il peut n'y avoir aucune sortie sélectionnée parmi les sorties du compteur d'émission, auquel cas la période de tentative d'émission se termine à la réception d'un signal
d'horloge d'émission immédiatement suivant.
43. Système selon la revendication 41, caractérisé en ce que le compteur d'émission est un compteur binaire qui est prépositionné à l'une des valeurs initiales sélectionnée de façon relativement aléatoire, et qui est décrémenté
jusqu'à la valeur finale par l'horloge d'émission.
44. Système selon la revendication ll, caractérisé en ce que les messages de liaison descendante émis par l'un des noeuds contiennent un identificateur de message associé au paquet de données se trouvant dans le message, et en ce que cet identificateur de message est transféré de l'unité déportée déclenchant la séquence vers l'unité maîtresse (24)
pendant l'une des séquences de messages de liaison descen-
dante, et il est transféré en retour de l'unité maîtresse vers l'unité déportée ayant déclenché la séquence, pendant
la séquence de messages de liaison montante de réponse.
45. Système selon la revendication 44, caractérisé en ce que les moyens émetteurs d'unité déportée comprennent des moyens de nouvelle tentative destinés à confirmer la réception du paquet de données par l'unité maîtresse (24) lorsque l'unité déportée (26a-26m) est l'une des unités
déportées déclenchant une séquence, en examinant l'identifi-
cateur de message se trouvant dans les messages de liaison montante, et ces moyens de nouvelle tentative font en sorte que l'unité déportée ayant déclenché la séquence déclenche
l'une suivante des séquences de messages de liaison descen-
dante contenant le paquet de données d'une séquence précé-
dente de messages de liaison descendante, dans le cas o la réception par l'unité maîtresse (24) du paquet de données de liaison descendante précédent n'est pas confirmée par les
moyens de nouvelle tentative.
46. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens émetteurs d'unité maîtresse comprennent des moyens de génération d'ordre destinés à déclencher une séquence de messages d'ordre, par laquelle une information d'ordre est transférée de l'unité maîtresse vers l'une au moins des unités déportées (26a-26m), par l'émission de l'un
au moins des messages, qu'on appelle un message d'ordre.
47. Système selon la revendication 46, caractérisé en ce que les messages d'ordre comprennent des messages appelés messages d'ordre à diffusion générale, et en ce que les moyens récepteurs déportés de l'unité déportée (26a-26m) comprennent des moyens de détection d'ordre à dif- fusion générale destinés à détecter la réception par l'unité déportée réceptrice de l'un des messages d'ordre à diffusion générale, et en ce que les moyens émetteurs d'unité déportée de l'unité déportée réceptrice émettent l'un des messages d'ordre à diffusion générale sous l'effet de la réception de l'un des messages d'ordre à diffusion générale par l'unité déportée réceptrice, ce message d'ordre à diffusion générale émis contenant l'information d'ordre du message d'ordre à
diffusion générale reçu.
48. Système selon la revendication 47, caractérisé en ce que les messages d'ordre à diffusion générale qui sont
émis par les unités déportées réceptrices (26a-26m) con-
tiennent l'une des adresses de destination intermédiaire qui est déterminée indépendamment des moyens de détermination
d'adresse de liaison montante de l'unité déportée réceptrice.
49. Système selon la revendication 46, caractérisé en ce que les unités déportées (26a-26m) et l'unité maîtresse (24) transmettent certains messages qui comprennent en outre un numéro d'ordre, en ce que les messages émis par l'unité maÂtresse (24) contiennent l'un des numéros d'ordre, qu'on
appelle un numéro d'ordre maitre, qui est changé séquentiel-
lement lorsque l'unité maîtresse produit une nouvelle infor-
mation d'ordre à émettre dans les messages d'ordre, et en ce que les moyens récepteurs déportés comprennent en outre des
moyens d'enregistrement de numéro d'ordre destinés à enregis-
trer le numéro d'ordre présent dans des messages reçus par l'unité déportée, et les moyens émetteurs d'unité déportée
insèrent dans des messages émis par l'unité déportée le numé-
ro d'ordre qui est enregistré dans l'unité déportée.
50. Système selon la revendication 49, caractérisé
en ce que les moyens d'enregistrement de numéro d'ordre rem-
placent le numéro d'ordre enregistré par l'un des numéros d'ordre présents dans l'un des messages reçus par l'unité déportée (26a-26m), si le numéro d'ordre reçu indique une information d'ordre plus récente que celle indiquée par le
numéro d'ordre enregistré présentement.
51. Système selon la revendication 50, caractérisé en ce que les moyens récepteurs déportés comprennent en outre des moyens de génération de numéro d'ordre réel reçu destinés
à produire un numéro d'ordre réel reçu représentatif de l'in-
formation d'ordre reçue par l'unité déportée réceptrice, et les moyens dedéclenchement d'émission comprennent des moyens de détermination d'ordres manquants destinés à déclencher l'une des séquences de messages de liaison descendante, sous l'effet de la détermination par les moyens d'enregistrement de numéro d'ordre du fait que le numéro d'ordre regu indique une information d'ordre plus récente que celle indiquée par
le numéro d'ordre présentement enregistré.
52. Système selon la revendication 51, caractérisé en ce que les messages d'une séquence de messages de liaison descendante déclenchée par les moyens de détermination d'ordres manquants contiennent l'un des paquets de données qui comprend le numéro d'ordre réel regu de l'unité déportée
ayant déclenché la séquence.
53. Système selon la revendication 52, caractérisé en ce que les moyens récepteurs déportés comprennent en outre des moyens de détection de séquence qui fonctionnent sous la dépendance du numéro d'ordre présent dans l'un des messages d'ordre reçu et du numéro d'ordre réel reçu, de façon à déterminer si l'information d'ordre présente dans le message
d'ordre reçu a été reçue au cours d'une séquence d'informa-
tion d'ordre prédéterminée, et en ce que les moyens de déter-
mination d'ordres manquants déclenchent l'une des séquences de messages de liaison descendante si l'information d'ordre
reçue est reçue hors de ladite séquence.
2587570O
54. Système selon la revendication 6, caractérisé en ce que les unités déportées (26a-26m) comprennent des moyens de détection de défaut de récepteur, destinés à faire en sorte que l'unité déportée (26a-26m) émette périodiquement l'un des messages, qu'on appelle un message sourd, dans le cas o les moyens récepteurs déportés de l'unité déportée
émettrice présentent un défaut, et ces messages sourds con-
tiennent des paquets de données associés à l'unité déportée émettrice, et ils contiennent en outre une information de défaut de récepteur qui indique que les moyens récepteurs de
l'unité déportée émettrice ont présenté un défaut.
55. Système selon la revendication 54, caractérisé en ce que les moyens d'enregistrement et d'acheminement des unités déportées (26a-26m) identifient les messages sourds
reçus par l'unité déportée réceptrice comme étant des messa-
ges qui exigent l'action d'émission, indépendamment de
l'adresse de destination intermédiaire du message sourd reçu.
56. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante des unités déportées (26a-26m) comprennent des
moyens de détermination de nombre de bonds destinés à pro-
duire une valeur de nombre de bonds associée à l'unité déportée, qui est représentative du nombre d'émissions de messages successives nécessaires pour transférer le paquet de
données de l'unité déportée associée jusqu'à l'unité ma tres-
se (24), les messages émis par l'unité déportée associée con-
tenant la valeur de nombre de bonds de l'unité déportée asso-
ciée, et en ce que les moyens émetteurs déportés appartenant
à l'unité déportée associée comprennent des moyens d'assis-
tance destinés à faire en sorte que l'unité déportée associée émette l'un des messages précités en réponse à la réception par l'unité déportée associée de l'un des messages contenant
l'une des valeurs de nombre de bonds qui indique que le nom-
bre d'émissions dépasse une valeur prédéterminée.
57. Système selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens émetteurs déportés appartenant à au moins deux unités déportées (26a-26m) comprennent en outre des moyens de sortie séparés destinés à établir un couplage avec une voie de communication séparée (22) distincte du réseau de voies de communication interconnectées, et à émet-
tre également sur la voie de communication séparée les messa-
ges émis sur les voies de communication interconnectées, et en ce que les moyens récepteurs déportés des deux unités déportées, au moins, comprennent des moyens d'entrée séparés destinés à assurer le couplage avec la voie de communication séparée (22) et à recevoir les messages émis sur la voie de
communication séparée.
58. Système selon la revendication 13, caractérisé en ce que le réseau de voies interconnectées comprend des lignes d'énergie prévues pour la distribution d'énergie électrique, et en ce que les moyens d'entrée de données (38, 46) comprennent des moyens de mesure de consommation
d'énergie électrique, destinés à fournir des données concer-
nant la consommation d'énergie électrique par une charge
électrique associée à l'unité déportée (26a-26m).
59. Système selon la revendication 1, caractérisé en ce que les unités déportées (1196a-1196d) sont désignées
comme étant des unités déportées principales, et les messa-
ges émis par ces unités déportées et par l'unité maîtresse (1194) sont désignés comme étant des messages principaux, et en ce que les noeuds de communication comprennent en outre un ensemble d'unités déportées secondaires (1200a-1200d), ayant chacune une adresse d'identification associée, capables d'émettre dans le réseau des messages désignés comme étant des messages secondaires, chacune de ces unités déportées secondaires (1200a-1200d) comprenant: des moyens d'entrée
de données secondaires destinés à recevoir le paquet de don-
nées provenant d'une source de données (46) associée à
* l'unité déportée secondaire; et des moyens émetteurs dépor-
tés secondaires destinés à émettre les messages secondaires dans le réseau, ces messages secondaires comprenant l'une des
adresses, qu'on appelle une adresse de source, qui est desti-
née à identifier celle des unités déportées secondaires (1200a-1200d) qui a émis le message secondaire, et comprenant en outre le paquet de données obtenu à partir de la source de données (46) associée à l'unité déportée secondaire qui a émis le message secondaire; et les moyens d'enregistrement et d'acheminement des unités déportées principales (1196a-1196d) comprennent des moyens destinés à identifier des messages secondaires reçus comme étant des messages qui exigent une action d'émission, et les moyens émetteurs déportés appartenant à l'unité déportée principale réceptrice
déclenchent l'une des séquences de messages de liaison des-
cendante sous l'effet de la réception de l'un des messages secondaires, cette séquence ayant pour action de transférer de l'unité déportée principale ayant déclenché la séquence, vers l'unité maîtresse (1194), le paquet de données associé
à l'unité déportée secondaire qui a émis le message secon-
daire, par l'émission de l'un au moins des messages princi-
paux de liaison descendante.
60. Système selon la revendication 59, caractérisé en ce que les messages principaux de liaison descendante qui sont émis par les moyens de liaison descendante sous l'effet de la réception par l'unité déportée principale de l'un des messages, comprenant les messages principaux et secondaires,
qui exige l'action d'émission, comprennent l'une des adres-
ses de source qui correspond à l'adresse de source du message reçu, et une adresse de source intermédiaire qui correspond à
l'adresse de l'unité déportée principale réceptrice.
61. Système selon la revendication 60, caractérisé en ce que les messages principaux de liaison descendante
émis par les moyens de liaison descendante de l'unité dépor-
tée principale réceptrice (1196a-1196d) comprennent l'une des
adresses de source qui correspond à l'adresse du noeud asso-
cié au paquet de données présent dans le message principal de
liaison descendante émis.
62. Système selon la revendication 61, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison
montante des unités déportées principales (1196a-1196d) uti-
lisent les adresses de source intermédiaire obtenues à partir de messages principaux de liaison descendante reçus, exigeant
l'action d'émission, en tant qu'adresse de destination inter-
médiaire d'un message principal de liaison montante de répon-
se.
63. Système selon la revendication 62, caractérisé
en ce que les messages secondaires contiennent une informa-
tion de message secondaire qui identifie ces messages comme étant des messages secondaires, et en ce que les moyens d'enregistrement et d'acheminement d'une unité réceptrice
parmi les unités déportées principales (1196a-1196d) identi-
fient les messages reçus comme étant des messages qui exigent une action d'émission, comprenant le déclenchement de l'une
des séquences de messages de liaison descendante si l'infor-
mation de message secondaire est présente dans le message
reçu, et en ce que les moyens d'enregistrement et d'achemine-
ment identifient les messages principaux de liaison descen-
dante reçus comme étant des messages qui exigent une action d'émission, si l'adresse de destination intermédiaire du message principal de liaison descendante reçu correspond à
l'adresse de l'unité déportée principale réceptrice.
64. Système selon la revendication 63, caractérisé en ce que les moyens d'enregistrement et d'acheminement de
l'unité déportée principale réceptrice (1196a-1196d) identi-
fient les messages principaux de liaison montante reçus comme étant des messages qui exigent l'action d'émission, si l'adresse de destination intermédiaire du message principal de liaison montante reçu correspond à l'adresse de l'unité
déportée principale réceptrice, et si l'adresse de destina-
tion finale du message principal de liaison montante reçu
diffère de l'adresse de l'unité déportée principale réceptri-
ce.
65. Système selon la revendication 64, caractérisé en ce que les moyens émetteurs d'unité maîtresse émettent des messages principaux de liaison montante contenant une adresse de destination intermédiaire qui correspond à l'adresse de source intermédiaire de l'un des messages principaux de liaison descendante reçus auquel répond le message principal
de liaison montante émis.
66. Système -selon la revendication 63, caractérisé en ce que les moyens émetteurs d'unité maîtresse émettent des messages principaux de liaison montante contenant l'une des adresses de destination finale qui correspond à l'adresse de source des messages principaux de liaison descendante reçus
auxquels répond le message principal de liaison montante.
67. Système selon la revendication 66, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante des unités déportées principales (1196a-1196d) comprennent des moyens de confirmation de liaison destinés à produire un indicateur de liaison confirmée qui indique si l'un des messages principaux de liaison montante est reçu par l'une des unités déportées principales, en réponse à l'émission antérieure de l'un des messages principaux de
liaison descendante par l'unité déportée principale récep-
trice, et en ce que les messages principaux émis par l'unité déportée principale réceptrice contiennent l'indicateur de liaison confirmée, associé à l'unité déportée principale réceptrice, et en ce que les moyens de liaison descendante examinent l'indicateur de liaison confirmée présent dans les
messages principaux reçus, et cet indicateur de liaison con-
firmée examiné est l'un des paramètres représentatifs de con-
ditions de réseau.
68. Système de communication prévu pour l'utilisa-
tion dans un réseau de voies de communication interconnec-
tées, caractérisé en ce qu'il comprend un ensemble de noeuds
de communication (24, 26a-26m) capables d'émettre des messa-
ges dans le réseau, comprenant une unité maîtresse (24) et un ensemble d'unités déportées (26a-26m) qui sont également capables de recevoir des messages par le réseau, chacun de ces noeuds ayant une adresse d'identification associée, dans lequel les unités déportées sont capables de déclencher une séquence de messages de liaison descendante par laquelle un paquet de données associé à l'un des noeuds est transféré vers l'unité maîtresse (24) à partir d'une unité déportée ayant déclenché la séquence, par l'émission de l'un au moins
des messages, qu'on appelle des messages de liaison descen-
dante, ces messages de liaison descendante comprenant un paquet de données, une adresse de source identifiant celui des noeuds qui est associé au paquet de données contenu dans le message, une adresse de source intermédiaire identifiant
celui des noeuds qui a émis le message de liaison descendan-
te, et une adresse de destination intermédiaire identifiant celui des noeuds qui doit recevoir le message de liaison
descendante, et dans lequel l'unité maîtresse (24) est capa-
ble de déclencher une séquence de messages de liaison des-
cendante de réponse sous l'effet de la réception par l'unité maîtresse de l'un des messages de liaison descendante, dans lequel l'unité déportée ayant déclenché la séquence est informée de la réception du paquet de données par l'unité maîtresse, par l'émission de l'un au moins des messages, qu'on appelle un message de liaison montante, ces messages
de liaison montante comprenant une adresse de source intermé-
diaire qui identifie celui des noeuds qui a émis le message de liaison montante, une adresse de destination intermédiaire qui identifie celui des noeuds qui doit recevoir le message
de liaison montante, et une adresse de destination finale qui.
identifie le noeud qui est associé au paquet de données reçu par l'unité maîtresse (24), chacune des unités déportées
(26a-26m) comprenant: (a) des moyens d'entrée déportés des-
tinés à recevoir le paquet de données, ces moyens d'entrée
déportés comprenant des moyens récepteurs déportés (30) des-
tinés à recevoir les messages, ces moyens récepteurs déportés comprenant des moyens de détermination de direction destinés à discriminer entre des messages de liaison montante et de liaison descendante, et des moyens d'enregistrement et d'acheminement destinés à identifier des messages reçus qui exigent une action d'émission de la part de l'unité déportée réceptrice; (b) des moyens émetteurs déportés (34) destinés à émettre les messages sous l'effet de la réception de l'un des messages exigeant l'action d'émission de la part de l'unité déportée réceptrice, ces moyens émetteurs déportés
comprenant des moyens d'émission de liaison descendante des-
tinés à émettre l'un des messages de liaison descendante, contenant le paquet de données obtenu à partir du message reçu, l'une des adresses de source qui correspond à l'adresse de source du message reçu, et l'une des adresses de source intermédiaire qui correspond à l'adresse de l'unité déportée
réceptrice, dans le cas o le message reçu est l'un des mes-
sages de liaison descendante, les moyens d'émission de liai-
son descendante comprenant des moyens de détermination d'adresse de liaison descendante destinés à déterminer
l'adresse de destination intermédiaire des messages de liai-
son descendante émis par l'unité déportée réceptrice, en utilisant au moins un paramètre représentatif de conditions de réseau qui est obtenu, au moins partiellement, à partir de messages reçus par l'unité déportée réceptrice ayant l'une des adresses de destination intermédiaire autres que l'adresse de l'unité déportée réceptrice; et les moyens émetteurs déportés comprenant en outre des moyens d'émission de liaison montante destinés à émettre l'un des messages de liaison montante dans le cas o le message reçu est l'un des
messages de liaison montante, ces moyens d'émission de liai-
son montante comprenant des moyens de détermination d'adresse
de liaison montante, destinés à déterminer l'adresse de des-
tination intermédiaire du message de liaison montante reçu; et dans lequel l'unité maîtresse (24) comprend: (a) des moyens récepteurs d'unité maîtresse (30) destinés à recevoir
les messages, ces moyens récepteurs d'unité maîtresse compre-
nant des moyens de détermination de direction destinés à dis-
criminer entre des messages reçus de liaison montante et de liaison descendante; (b) des moyens émetteurs d'unité mal-
tresse (34) destinés à émettre les messages de liaison mon-
tante sous l'effet de la réception par l'unité maîtresse (24) de l'un des messages de liaison descendante, et ces messages de liaison montante émis par l'unité maîtresse contiennent l'une des adresses de destination finale qui correspond à l'adresse de source du message de liaison descendante reçu à
laquelle le message de liaison montante répond.
69. Système selon la revendication 68, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison montante utilisent l'adresse de source intermédiaire obtenue
à partir des messages de liaison descendante reçus qui exi-
gent une action d'émission, pour l'adresse de destination intermédiaire de l'un des messages de liaison montante émis
en réponse.
70. Système selon la revendication 69, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison
descendante comprennent une liste d'attente destinée à iden-
tifier l'une des unités déportées qui émet l'un des messages de liaison descendante, et à déterminer si l'unité déportée émettrice identifiée a reçu l'un des messages de liaison
montante de réponse.
71. Système selon la revendication 70, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison
descendante comprennent des moyens de détermination de quo-
tient d'échec destinés à enregistrer une valeur de quotient d'échec représentative de la fréquence, au cours du temps, avec laquelle l'unité déportée identifiée par la liste d'attente ne reçoit pas l'un des messages de liaison montante en réponse à l'émission d'un message de liaison descendante par l'unité déportée identifiée, et en ce que le quotient d'échec est l'un des paramètres représentatifs de conditions
de réseau.
72. Système selon la revendication 71, caractérisé en ce que la liste d'attente constitue également un moyen permettant d'établir un indicateur de liaison confirmée dans le cas o l'unité déportée identifiée est l'unité déportée
considérée, de façon à indiquer si l'unité déportée considé-
rée_noa pas regu l'un deskmessages de liaison montante de réponse; et en ce que les messages émis par les unités déportées considérées contiennent l'indicateur de liaison confirmée et cet indicateur de liaison confirmée est l'un
des paramètres représentatifs de conditions de réseau.
73. Système selon la revendication 72, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante des unités déportées (26a-26m) comprennent des moyens de détermination de rapport signal à bruit, destinés
à produire une valeur de rapport signal à bruit représenta-
tive d'un rapport signal à bruit estimé des messages reçus
par les unités déportées.
74. Système selon la revendication 73, caractérisé en ce que la valeur de rapport signal à bruit est l'un des
paramètres représentatifs de conditions de réseau.
75. Système selon la revendication 74, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante des unités déportées (26a-26m) comprennent des
moyens de détermination de qualité de liaison destinés à pro-
duire une valeur de qualité de liaison émise qui est présente dans les messages émis par l'unité déportée émettrice, et cette valeur de qualité de liaison émise est obtenue à partir d'une valeur de qualité de liaison locale et d'une valeur de qualité de liaison reçue, la valeur de qualité de liaison locale étant produite à partir de la valeur de rapport signal
à bruit, et la valeur de qualité de liaison reçue étant obte-
nue à partir des valeurs de qualité de liaison émises qui sont produites par des noeuds autres que l'unité déportée émettrice, qui sont présentes dans les messages reçus par l'unité déportée émettrice, et les valeurs de qualité de liaison émises sont l'un des paramètres représentatifs de
conditions de réseau.
76. Système selon la revendication 75, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison descendante des unités déportées (26a-26m) comprennent une adresse de noeud préférée qui est utilisée en tant qu'adresse de destination intermédiaire pour les messages de liaison descendante émis par l'unité déportée émettrice, et en ce que la valeur de qualité de liaison reçue est obtenue à partir de la valeur de qualité de liaison émise présente dans des messages émis par le noeud qui est associé à l'adresse de
noeud préférée.
77. Système de communication destiné à permettre
la communication dans un réseau de lignes d'énergie intercon-
nectées, caractérisé en ce qu'il comprend un ensemble de noeuds de communication capables d'émettre des messages dans le réseau, comprenant une unité maîtresse (24) et un ensemble d'unités déportées (26a-26m) qui sont également capables de recevoir les messages par le réseau, chacun de ces noeuds ayant une adresse d'identification associée, dans lequel les unités déportées (26a-26m) sont capables de déclencher une séquence de messages de liaison descendante, par laquelle un
paquet de données comprenant des données liées à une consom-
mation d'énergie électrique, associée à l'un des noeuds, est transféré vers l'unité maîtresse (24) à partir d'une unité déportée déclenchant la séquence (26a-26m), par l'émission de l'un au moins des messages, qu'on appelle des messages de
liaison descendante, ces messages de liaison descendante com-
prenant le paquet de données, une adresse de source identi-
fiant celui des noeuds qui est associé au paquet de données contenu dans le message, une adresse de source intermédiaire identifiant celui des noeuds qui a émis le message de liaison
descendante, une adresse de destination intermédiaire identi-
fiant celui des noeuds qui doit recevoir le message de liai-
son descendante, et dans lequel l'unité maîtresse (24) est capable de déclencher une séquence de messages de liaison montante de réponse, sous l'effet de la réception par l'unité maîtresse de l'un des messages de liaison descendante, dans lequel l'unité déportée qui a déclenché la séquence est informée de la réception du paquet de données par l'unité maîtresse, par l'émission de l'un au moins des messages, qu'on appelle un message de liaison montante, ces messages
de liaison montante comprenant une adresse de source intermé-
diaire qui identifie celui des noeuds qui a émis le message de liaison montante, une adresse de destination intermédiaire qui identifie celui des noeuds qui doit recevoir le message de liaison montante, et une adresse de destination finale qui identifie le noeud associé au paquet de données reçu par l'unité maîtresse, chacune des unités déportées (26a-26m) comprenant: (a) des moyens d'entrée déportés destinés à recevoir le paquet de données, ces moyens d'entrée déportés comprenant des moyens récepteurs déportés (30) destinés à
recevoir les messages, ces moyens récepteurs déportés com-
prenant des moyens de détermination de direction destinés à discriminer entre des messages de liaison montante et de liaison descendante, et des moyens d'enregistrement et d'acheminement destinés à identifier des messages reçus qui
exigent une action d'émission par l'unité déportée réceptri--
ce; (b) des moyens émetteurs déportés (34) destinés à émet-
tre les messages sous l'effet de la réception de l'un des messages exigeant l'action d'émission par l'unité déportée réceptrice, ces moyens émetteurs déportés comprenant des moyens d'émission de liaison descendante destinés à émettre l'un des messages de liaison descendante contenant le paquet de données obtenu à partir du message reçu, dans le cas o le message reçu est l'un des messages de liaison descendante, ces moyens d'émission de liaison descendante comprenant des
moyens de détermination d'adresse de liaison descendante des-
tinés à déterminer l'adresse de destination intermédiaire des messages de liaison descendante émis par l'unité déportée
réceptrice, en utilisant un ensemble de paramètres représen-
tatifs de conditions de réseau, qui comprennent une valeur de nombre de bonds qui représente le nombre d'émissions de mes- sages nécessaires pour transférer le paquet de données vers l'unité maîtresse (24) à partir de l'un particulier des
noeuds, et comprenant des moyens d'émission de liaison mon-
tante destinés à émettre l'un des messages de liaison montan-
te dans le cas o le message reçu est l'un des messages de liaison montante, ces moyens d'émission de liaison montante comprenant des moyens de détermination d'adresse de liaison montante destinés à déterminer l'adresse de destination intermédiaire du message de liaison montante émis; et dans lequel l'unité maîtresse (24) comprend: (a) des moyens récepteurs d'unité maîtresse (30) destinés à recevoir les messages, ces moyens récepteurs d'unité maîtresse comprenant
des moyens de détermination de direction destinés à discrimi-
ner entre des messages reçus de liaison montante et de liai-
son descendante; et (b) des moyens émetteurs d'unité mat-
tresse (34) destinés à émettre les messages de liaison mon-
tante sous l'effet de la réception de l'un des messages de
liaison descendante par l'unité maîtresse (24).
78. Système selon la revendication77, caractérisé en ce que les moyens de détermination d'adresse de liaison montante
déterminent l'adresse de destination intermédiaire en utili-
sant le paramètre représentatif de conditions de réseau obtenu, au moins partiellement, à partir de messages reçus par l'unité déportée réceptrice (26a-26m) contenant l'une
des adresses de destination intermédiaire autres que l'adres-
se de l'unité déportée réceptrice.
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