FR2485416A1 - Dispositif d'alimentation pour materiau en barre sur tours et autres machines semblables, comportant differents supports qui restent automatiquement a meme distance l'un de l'autre - Google Patents

Abstract

LE DISPOSITIF D'ALIMENTATION EST CONSTITUE D'UN CERTAIN NOMBRE DE SUPPORTS 28A, 28B, 28C RELIES ENTRE EUX PAR DES ECLISSES ARTICULEES FORMANT "CISEAUX DE NUREMBERG", AINSI QUE D'UN BUTON ARRIERE DE POUSSEE 30 QUI VIENT POUSSER LA BARRE DANS LA BROCHE DU TOUR ET QUI EST LUI-MEME ENTRAINE PAR UN SUPPORT ARRIERE 28D. LE FAIT QUE LES SUPPORTS DE LA BARRE SOIENT RELIES ENTRE EUX PAR DES ECLISSES ARTICULEES MAINTIENT AUTOMATIQUEMENT LES DIFFERENTS SUPPORTS A MEME DISTANCE L'UN DE L'AUTRE. TROIS COUPLES DE CHAINES 62, 64, 66, MISES EN ROUTE SUCCESSIVEMENT AU MOYEN DE BUTEES 82, 86 ASSURENT L'ENTRAINEMENT, DANS UN SENS OU DANS L'AUTRE, DES SUPPORTS A ECLISSES ET DU BUTON ARRIERE DE POUSSEE.

Description

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Les tours automatiques usinent largement pour la plupart, un matériau en forme de barre, de section ronde,

carrée ou hexagonale et d'une longueur de plusieurs mètres.

L'usinage de barres présente des avantages, avec les machines actuelles à haut rendement et à haute précision d'usinage, mais présente également des désavantages: d'une part la barre permet un processus de fabrication entièrement automatique avec avance de la barre par pas, ainsi qu'un usinage complet d'une pièce sur toute sa longueur sans reprise de bridage; d'autre part les dispositifs connus d'alimentation, du fait d'un guidage imparfait des barres, ne sont pas capEbles d'éviter, à vitesse de rotation élevée, des vibrations et des chocs qui agissent naturellement

de façon négative sur la précision de l'usinage.

On a déjà ccnnu un dispositif d'alimentation pcur

barres sur tour ccmportant un sommier qui s'étend dans la direc-

tion de l'alimentation et le long duquel sont guidés avec possi-

bilité de coulissement, plusieurs supports pour une barre (Dr, Ing. Helmut Jâger, TOURS AUTOMATIQUES, édition Carl Hanser Munich 1967, pages 277 et 278). Les supports ont la forme de traverses, munies de douilles de guidage, s'étendant entre deux guides et pouvant coulisser dans la direction de l'alimentation, traverses qui, à l'exception de la dernière, vu dans le sens de l'alimentation, comportent respectivement dans leur zone médiane, pcur tenir et guider la barre à usiner, une dcuille montée sur roulement à billes, échangeable et adaptée au diamètre de la barre à usiner, tandis que la dernière traverse comporte dans sa zone médiane un cône interne pour venir s'appuyer contre l'extrémité arrière de la barre à usiner qu'il faut faire avancer. A la dernière traverse est de plus fixé un câble de traction, ou autre semblable, qui s'étend vers l'avant dans la direction du tcur et qui court, par l'intermédiaire de galets de changement de

direction, jusqu'à un poids qui tire cette traverse vers l'avant.

Lors de l'usinage d'une barre, ce poids tire vers l'avant la dernière traverse, après ouverture du mandrin prévu sur le tour, pendant que les autres traverses restent tout d'abord fixes, jusqu'à ce que la dernière traverse vienne buter sur celle qui

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la précède et l'entraîne et ainsi de suite jusqu'à ce que toutes les traverses aient atteint leur position extrême en avant et s'appuient l'une ccntre l'autre. Ce dispositif d'alimentation connu présente différents inconvénients: du fait de la longueur de gudage nécessaire, les douilles de guidage font que les traverses entraînées ensemble dans la direction de l'alimentation nécessitent relativement beaucoup de place, ce qui intervient

négativement sur la longueur totale du dispositif connu d'alimen-

tation; au cours de l'usinage d'une barre, les traverses se présentent à des distances différentes l'une de l'autre, de sorte que les portions de cette barre non guidées ont une longueur différente; le cône interne de la dernière traverse, qui appuie contre l'extrémité arrière de la barre à usiner, rend nécessaire un mandrin d'avance dans le tour, sinon il n'est plus possible de faire avancer la portion de la barre qui reste lorsque toutes les traverses sont venues s'appuyer l'une contre l'autre; le câble de traction qui court au-dessus des traverses empêche de charger avec une nouvelle barre le dispositif d'alimentation et enfin lorsque le dispositif d'alimentation a été chErgé d'une nouvelle barre, il faut ramener manuellement les traverses pour les séparer l'une de l'autre et les remettre à des distances à peu

près égales l'une de l'autre.

- L'invention a pour objet d'améliorer le dispositif d'alimentation, connu et mentionné ci-dessus d'une barre à usiner, de façon qu'il soit possible de renoncer aux douilles de guidage dcnt sont munies les traverses de la construction connue, de façon qu'il soit, en conséquence, possible de venir télescoper les supports plus proches l'un de l'autre et donc de donner au

dispositif d'alimentation une plus faible longueur de construction.

Partant d'un dispositif d'alimentation comportant un sommier qui s'étend dans la direction de l'alimentation et le long duquel sont guidés, avec possibilité de cculissement, plusieurs supports pour une barre à usiner, cet objet, selon l'invention, est atteint par le moyen que les supports sont reliés l'un à l'autre au moins par paire par l'intermédiaire de dispositifs de liaison; et que

ces derniers sont conçus de façon que les supports qui appartien-

nent à une paire puissent rester parallèles l'un à l'autre et que tous les supports de la barre puissent verir se télescoper l'un contre l'autre. Grâce aux dispositifs de liaison, il suffit avec le dispositif d'alimentation selon l'invertion, de poser les supports sur des rails de guidage ou autres semblables, puisque ces rails n'ont qu'à soutenir les supports mais non à les maintenir en plus parallèles l'un à l'autre, cette mission étant remplie par les dispositifs de liaison. Ce qui est le plus simple et donc particulièrement recommandé, c'est une forme d'exécution o un dispositif de liaison comporte au mcins deux éclisses qui se croisent et s'articulent l'une par rapport à l'autre, disposées de façon à pouvoir venir buter l'une contre l'autre ou au contraire s'écarter l'une de l'autre dans la direction de l'alimentation; comme c'est le cas pour les différentes portions de ce que l'on appelle des ciseaux de Nuremberg. Pour pouvoir garantir également pendant l'usinage d'une barre que les partions de cette barre sont en permanence au moins approximativement de la mêne longueur entre les différents supports qui guident la barre, il est, selon l'invention proposé de relier l'un à l'autre tous les supports par l'intermédiaire de dispositifs de liaison et de concevoir ces derniers de façon que lors du coulissement d'un suppcrt les distancesdes supports l'un de l'autre se modifient obligatoirement dans le même sens et au moins approximativement de la même valeur, comme c'est le cas dans les ciseaux de Nuremberg,

qui, dans une forme d'exécution particulièrement préférée du dispo-

sitif d'alimentation selon l'invention, constituent les dispositifs

de liaison. Dans une telle réalisation il est absolument indiffé-

rent de savoir lequel des supports fait coulisser un mécanisme d'entraînement pour regrouper en un paquet ces supports avant chargement du dispositif d'alimentation avec une nouvelle barre ou pour les répartir régulièrement le long d'une barre que l'on

vient d'introduire.

Si l'on voulait seulement obtenir que les supports présentent entre eux en permanence des distances à peu près égales et que lors du coulissement d'un support, les distances des supports l'un de l'autre se modifient obligatoirement dans le même sens et au moins approximativement de la même valeur, il

serait possible, selon l'invention, de relier l'un à l'autre les.

supports par exemple au moyen de dispositifs de liaison semblables à un dispositif de mouflage; on pourrait également envisager de munir les supports successifs de pignons dont lenombre de dents décroît régulièrement, qui engrènent avec une crémaillère qui s'étend en direction de l'alimentation et qui peut coLlisser et qui attaquent des arbres toLrillonnant dans les supports et comportant de plus des pignons identiques engrenant avec une autre crémaillère, de sorte que lors du coulisseo'Er.t de la crémaillère mobile, les supports se déplacent en direction du tour, avec une. vitesse qui va en décroissant du dernier au premier support, lorsque la barre à usiner avance. Il est pourtant évident sans autre que les ciseaux de Nuremberg représentent une

solution plus simple et donc plus appropriée.

- S'il a été question dans ce qui précède que les dispositifs de liaison selon l'invention maintiennent les supports parallèles l'un à l'autre, ceci ne dcit pas s'entendre dans le sens restrictif que ces supports doivent être de forme à peu près plane, mais devait simplemr.ent s'entendre comme exprimant que les dispositifs de liaison garantissent une orientation

définie des supports.

En principe, il serait pcssible de faire avancer et Ee télescoper les supporte pEr l'intermédiaire de la barre qui avance pendant. l'usinage, par exemple par le moyen que l'on relie l'extrémité de la barre au support le plus en arrière, cette liaison est en fait avec possibilité de rotation relative mais sans possibilité de coulissement relative dans la direction de l'alimentation; il est cependant plus judicieux de ne pas faire se regrouper les supports au moyen de la barre elle-même wrais de prévoir un entraînement particulier pour au moins un des supports, étant entendu qu'il peut s'agir par exemple d'un entraînement par ressort ou d'un entraînement

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mctorisé. Mais de façon différente avec le dispositif d'alimen-

tation connu mentionné au début, avec la réalisation selon l'invention, on est libre en ce qui concerne le choix du support entraîné. Si l'on doit usiner une barre à section circulaire, les supports pourraient avoir la forme d'une lunette, ce qui signifie qu'il suffirait par exemple pour chaque support de trois rouleaux qui reprendraient entre eux la barre. Mais si l'on doit usiner une barre à profil polygonal, il est recommandé de munir les supports de douilles pouvant tourner dans ces supports et adaptés à la barre, cette barre étant maintenue dans les douilles avec possibilité de coulissement longitudinal. Si l'on adapte le diamètre ou même la forme de l'ouverture de passage de ces douilles à la section de la barre, on obtient de cette façon que

la barre à usiner, même polygonale, tourne parfaitement rond.

Pour amortir les bruits et pour pouvoir reprendre les mouvements de vibration de barres qui ne seraient pas absolument droites, selon une forme d'exécution préférée dé l'invention, les

roulements de douilles sont repris dans les supports avec interpo-

sition d'un élément élastique agissant en particulier comme amortisseur. Afin de pouvoir, lors du chargement du dispositif d'alimentation, amener de façon simple la nouvelle barre à usiner à l'alignement avec la broche du tour et avec les ouvertures de reprise des supports, on propose en outre de prévoir, en plus des supports qui se regroupent pour le chargement, des soutiens de la barre à usiner, disposés l'un derrière l'autre dans le sens de l'alimentation, qui puissent s'écarter du chemin des supports lorsque ceux-ci se déploient et qui soient en particulier

automatiquement abattus par le premier support.

Pour pouvoir, lorsque les supports sont entièrement venus vers l'avant, encore faire avancer vers le tour le reste, maintenu par ces supports, d'une barre à usiner, dans la forme d'exécution préférée, un buton arrière de poussée vient se loger par l'arrière dans le support le plus en arrière, vu dans le sens

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de l'alimentation, buton qui, au voisinage du support le plus en arrière ou - ce qui est moins favorable - d'un autre support vient pousser contre l'extrémité arrière d'une barre à usiner et qui peut lui-même être entraîné dans le sens de l'alimentation avec le support en question. De cette façon, on seulement on atteint le but mentionné précédemment, mais il est également garanti que le buton arrière pousse en permanence contre l'extrémité

arrière de la barre et que celle-ci ne peut donc pas sortir -

de l'un des supports en battant et n'est pas soumise au risque de flamber aux vitesses de rotation élevées. La possibilité, procurée par l'invention, de pouvoir regrouper les supports de façon plus serrée que dans l'état actuel c la technique,

provient de plus d'un buton arrière de poussée relativement court.

Déployer les supports, les faire coulisser sur une nouvelle barre, ramener tous les supports avant chargement du dispositif d'alimentation, tout cela se maitrise le plus simplement du fait que le support le plus en avant, vu dans le

sens de l'alimentation, peut être entraîné dans les deux direc-

tions. Pour regrouper les supports au cours de l'usinage d'une barre et pour faire passer le reste d'une barre à travers le paquet formé par les supports, il est prévu, dans la forme d'exécution préférée, des entraîneurs pilotables pour le premier et le dernier support ainsi que pour le buton arrière de poussée

et ses supports.

Le dispositif d'alimentation selon l'invention convient également pour les tours multibroches, étant entendu qu'il est alors judicieux de prévoir pour chacune des broches de travail son propre système de supports et de dispositifs de liaison. Mais le dispositif d'alimentation selon l'invention pourrait également s'utiliser pour d'autres machines- outils que

les tours, par exemple pour les scies etc...

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention

seront mieux compris à la lecture de la description qui va suivre

dé plusieurs exemples de réalisation et en se référant aux dessins annexés sur lesquels:

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- La figure 1 est une vue de côté du premier disposi-

tif d'alimentation pour tour monobroche et de façon plus précise immédiatement après le chargement avec une nouvelle barre à usiner; - La figure 2 est une vue de dessus du dispositif d'alimentation dans l'état représenté sur la figure 1;

- La figure 3 est une coupe-du dispositif d'alimenta-

tion selon la ligne 3-3 de X figure 1, cette figure étant simpli-

fiée autant que possible puisqu'elle ne doit servir qu'à la représentation plus détaillée des soutiens sur lesquels repose la barre à usiner que l'on vient d'amener; - La figure 4 est un extrait de la figure 1 à plus grande échelle; - La figure 5 représente le soutien de la figure 4, ce soutien ayant toutefois pris position dans laquelle il est inactif - la figure 6 est une représentation correspondant à la figure 2 du dispositif d'alimentation mais après déploiement des supports sur la barre à usiner que l'on vient de poser; - la figure 7 est une représentation correspondant à celles des figures 2 et 6 mais après usinage complet de la barre à usiner; - la figure 8 est une coupe selon la ligne 8-8 de la figure 6; - la figure 9 est une vue de côté de deux supports ainsi que de la portion, qui les relie l'un à l'autre, des ciseaux de Nuremberg qui servent de dispositif de liaison - La figure 10 est une coupe de la douille de l'un des supports selon la ligne 10-10 de i figure 8; - La figure ll est une coupe du carter d'entraînement représenté sur la figure 1, du dispositif d'alimentation, selon la ligne 11-11 de la figure 1;

- La figure 12 est une coupe simplifiée, perpendi-

culaire à la direction de l'alimentation, d'une seconde forme d'exécution pour tour multibroche;

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- La figure 13 représente un extrait de cette seconde forme d'exécution correspondant à la figure 9

- La figure 14 est une vue de côté simplifiée schéma-

tique du dispositif d'alimentation correspondant à l'une des broches de travail, immédiatement après le chargement d'une nouvelle barre à usiner et - La figure 15 est une représentation correspondant à la figure 14 et après déploiement des supports sur la nouvelle barre à usiner et introduction de cette barre dans la broche

de travail correspondante.

Sur les figures 1 et 2 un tour 10 est simplement indiqué par une broche 12 qui comprend un mandrin 14 et présente un passage 16 coaxial à l'axe de la broche et à travers lequel on peut faire avancer à travers la broche 12 une barre à usiner 18 depuis l'arrière c'est-à-dire sur les figures 1 et 2 en

allant de la gauche vers la droite.

Le dispositif d'alimentation 20 selon l'invention

représenté sur les figures 1-3 et 8 comporte une poutre tubu-

laire caissonnée 22 qui repose sur des colonnes 24 ancrées au sol.

Dans cette poutre tubulaire 22 des sommiers de guidage 26, à position fixe, sont montés avec possibilité de réglage de façon telle qu'ils s'étendent dans une direction parallèle à l'axe de la broche du tour. Sur ces sommiers de guidage, reposent plusieurs supports en forme de plaques, que l'on désignera par la suite comme plaque-supports, et de façon plus précise une première plaque-support 28a, des plaques-supports médianes 28b formant support intermédiaire et une plaque support arrière 28c, constituant ensemble un jeu, ainsi qu'une plaque-support 28d dans laquelle est fixée un buton arrière de poussée 30 (voir en particulier figures 1 et 2). Comme le montre la figure 8, sur laquelle a été représentée la plaque-support arrière 28c, qui sert d'exemple pour le guidage de toutes les plaques-supports, cette plaque comporte des galets de roulement 32 qui reposent sur les sommiers 26 ainsi que des broches 34 qui enserrent partiellement les sommiers 26 et servent donc au guidage latéral des plaques-supports. Toutes les plaques-supports peuvent donc

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glisser vers l'avant et vers l'arrière selon la direction de

l'axe de la broche du tour.

Sous la poutre tubulaire 22 et à côté des colonnes 24 est disposé un carter de mécanisme 38 qui (voir en particulier figure 11) comporte un moteur 11 et dans lequel tourillonnent trois arbres 42,44 et 46. A chacun de ces arbres correspond un embrayage débrayable 48 qui comporte côté mécanisme une roue à chaîne 50 qui tourillonne sur l'arbre correspondant respectif 42,44 ou 46, une chaîne commune 54 passant sur chacune des roues à chaîne 50 ainsi que la roue à chaîne d'entraînement 52 et des moteurs 40. Côté sortie du mécanisme, les embrayages 48 sont solidaires de l'arbre correspondant respectif 42,44 ou 46 et chacun de ces arbres porte à ses deux extrémités des roues à chaîne, 42a, 44a et 46a pour les couples de chaînes d'entraînement 62,64 et 66 qui, en plus de passer sur les roues à chaîne mentionnées, passent également sur les roues de tension 68 et les roues de changement de direction 70 représentées sur la figure 1. Comme on le voit également sur les figures 2,6 et 7, les chaînes 62, situées à l'extérieur sur la vue de dessus, sont reliées à la plaque-support 28d du buton arrière de poussée , les chaînes médianes 64 le sont à la plaque-support arrière 28c et les chaînes situées à l'intérieur 66 le sont avec la plaque-support avant 28a. C'est à ce but que servent des pièces de liaison 74 que l'on peut voir sur la figure 8, fixées aux

bras 34 et respectivement à l'un des maillons de chaîne.

Comme on le voit au mieux sur la figure 6, les chaînes d'entraînement extérieures 62 et intérieures 66 sont équipées de pièces de butée 82 et 86 qui collaborent avec les entraîneurs 92 et 96 solidaires des bras 34 de la plaque-support arrière 28c - ces entraîneurs se voient également sur la figure 8 - et de façon plus précise les entraîneurs 92 correspondent aux pièces de butées 82 et les entraîneurs 96 aux pièceE de

butées 86.

Enfin aux supports mentionnés, c'est-à-dire dans le cas particulier aux plaques supports, correspondent encore

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des détecteurs permettant de déclencher les processus décrits lorsque ces supports ont atteint des positions définies.Ceci est en particulier valable pour la plaque-support avant et la plaque-support arrière du paquet de plaques-support et pour la plaque-support du buton arrière de poussée. Dans l'exemple d'exécution représenté, cette idée se concrétise par le fait que dans la poutre tubulaire 22 sont rapportés à des endroits définis des contacteurs de fin de course 100 qui sont déclenchés par des doigts 102 rapportés sur les bras 34 des plaques-support

sélectionnées.

La structure des plaques-support 28a, 28b et 28c doit encore être expliquée plus en détails à l'aide de la figure sur l'exemple de l'une des plaques-support 28b: ellescomportent une découpe centrale 106 dans laquelle est maintenue, à l'aide d'une bague intermédiaire à élasticité type caoutchouc 108 et d'un roulement à bille 110 une douille de réduction 112 que, selon l'invention on peut facilement échanger. Dans la forme d'exécution représentée, il suffit d'enlever un circlips 114 pour pouvoir démonter la douille de réduction 112 vers la droite

sur la figure 10. Ces douilles de réduction présentent une ouver-

ture de passage 112a dont la section correspond à celle de la barre à usiner 18 et dont les cotes de cette section ne sont que légèrement supérieures à celles de cette barre à usiner 18 de sorte

que cette dernière peut coulisser dans les douilles de réduction.

On doit maintenant expliquer à l'aide des figures 8

et 9 comment, dans la forme préférée d'exécution, les plaques-

support 28a, 28b, 28c regroupées pour former un jeu sont reliées l'une à l'autre de façon que ces plaques-support soient maintenues exactement perpendiculairement à la direction de l'alimentation et que, lorsque l'on fait coulisser l'une des plaques-support, les distances de ces plaquessupport entre elles se modifient obligatoirement dans le même sens et de la même valeur. On va également expliquer ceci à l'aide de deux des plaques-support

médianes 28 b.

Chacune des plaques support 28a, 28b et 28c est

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reliée à deux ciseaux de Nuremberg 120 disposés des deux côtés du paquet de plaques-support. Comme on le sait, des ciseaux de Nuremberg de ce type sont composés de couples d'éclisses articulées 122, étant entendu que dans l'exemple d'exécution représenté, chacun des ciseaux-de Nuremberg présente respectivement deux couples d'éclisses articulées entre deux plaques-support voisines l'une de l'autre, bien qu'il soit naturellement aussi possible de ne prévoir qu'un seul couple d'éclissesarticulées

ou plus de deux couples. Comme on peut d'ailleurs le voir nette-

ment sur la figure 8, les deux ciseaux de Nuremberg, dans la forme d'exécution préférée, sont formés de trois couches, ce

qui est particulièrement avantageux.

Les éclisses articulées 122 d'un couple d'éclisses sont tout d'abord reliées l'une à l'autre par une articulation médiane 126; puis les éclisses de deux couples d'éclisses voisins l'un de l'autre sont reliées l'une à l'autre entre les plaques supports aux articulations intermédiaires 128, tandis que les extrémités des éclisses tournées vers les plaques-support sont reliées aux plaques-support par les articulations 128 et 130, en s'articulant l'une sous l'autre. De préférence l'une des articulations, par exemple l'articulation inférieure 128, est articulée sur la plaque-support correspondante tandis que

l'autre articulation 130 est guidée avec possibilité de coulis-

sement sur la plaque-support, ce pour quoi l'axe de l'articula-

tion 130a s'insère dans une rainure de guidage 134 de la plaque-

support. Comme on peut le voir sur la figure 8, selon une autre caractéristique de l'invention, les deux ciseaux de Nuremberg sont logés dans des évidements latéraux 136 des

plaques-support.

POur supporter une barre à usiner 18 que l'on vient de mettre dans le dispositif d'alimentation 20, avant que les plaques-support 28a-28c ne soient déployées sur cette nouvelle barre, la forme d'exécution représentée selon l'invention comporte des soutiens escamotables 140 qui, dans la position o ils sont utiles, supportent la barre 18 de façon à l'aligner avec les ouvertures 112a des plaques-support et le passage 16 du mandrin 14 (voir en particulier figures 1 et 2). On va maintenant expliquer plus en détails le rôle de ces soutiens escamotables à l'aide des figures 1 et 3 - 5. Au fond de la poutre tubulaire 22 est fixé un sabot

142 qui comporte un axe 144 avec évidement de crantage 146.

On peut faire pivoter autour de cet axe un jambage 148 sur lequel est rapporté, avec possibilité de pivotement, un levier à cran 150 de façon telle qu'il vienne se loger dans l'évidement 146 dans la position représentée sur la figure 4. La partie supérieure de ce levier à cran, qui peut pivoter autour d'un axe 152, comporte

une butée 154 et par ailleurs le levier à cran 150 porte latérale-

ment un entraîneur 156 qui, lorsque le soutien escamotable est abattu (voir figure 5) se trouve sur le chemin d'une came 158 rapportée sur la plaque-support avant 28a. Sur la portion supérieure du jambage 148, enfin, un galet de soutien prismatique 160 peut tourillonner sur un axe 162 que l'on eut ajuster en direction

verticale comme on le voit sur la figure 3.

Dans ce qui suit on doit expliquer maintenant le fonctionnement de la première forme d'exécution, représentée sur

les figures 1-11, du dispositif d'alimentation selon l'invention.

Pour pouvoir distinguer entre les trois embrayages 48, on leur a

mis un indice haut 1-3.

Avant de charger le dispositif d'alimentation avec -une nouvelle barre à usiner 18 il faut tout d'abord amener les plaques-support 28a-28d à leurs positions de départ selon les

figures 1 et 2; on va expliquer plus loint comment cela se fait.

Puis on dépose, à la main ou à l'aide d'un dispositif automatique de chargement-non représenté, la barre à usiner 18 sur les galets de soutien 160 des soutiens escamotables 140, ceux-ci étant

dressés. Les figures 1 et 2 représentent cette situation.

Puis, à l'aide des moyens de commande connus, on met er route le moteur 40 pour le faire tourner vers la droite et on embraye l'embrayage 481, de sorte que les chaînes d'entraînement 66

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entraînent la plaque-support avant 28a vers l'avant et déploient donc le paquet de plaques-support 28a, 28b, 28e en les séparant

l'une de l'autre et en les amenant sur la barre à usiner 18.

Dans le cas o la barre à usiner est polygonale, il faut simple-

ment prendre soin, pour les ouvertures 112a qui ne sont pas circulaires, de bien aligner en correspondance les douilles de réduction 112 des plaques-support. Pendant que la plaque-support avant 28a est tirée jusque dans sa position finale avant représentée sur la figure 6, les pièces de butées 86 fixées l0 sur les chaînes d'entraînement intérieures 66 entraînent la plaque-support arrière 28e qui de son côté entraîne ellemême, par l'intermédiaire des pièces de butées 82 fixées sui les chaînes d'entraînement extérieures 62, ces chaînes d'entraînement extérieures, qui a leur tour entraînent la plaque-support 28d du buton arrière de poussée 30. Les butées 82 et 86 y sont disposées de façon telle que les plaques-support 28c, 28d prennent les positions représentées sur la figure 6, lorsque la

plaque-support avant 28a a atteint sa position extrême avant.

Dans cette situation, selon l'invention, le buton arrière de poussée 30 et la barre à usiner 18 ont tous les deux leur extrémité dans la plaquesupport arrière 28c, de façon plus précise dans la douille de réduction 112 et appuient l'une ccntre l'autre, comme on peut le voir sur la figure 6. Il reste à ajouter que pendant ce processus les embrayages 48 et 483

restent débrayés.

Tandis que la répartition des plaques-support le long de la barre à usiner 18 peut se faire à vitesse rapide, pendant l'usinage dans le tour, c'est le buton arrière de poussée 30 qui fait avancer la barre à faible vitesse d'avance. Dans ce but, après débrayage de l'embrayage 481, la vitesse de rotation du moteur 30 est réduite et l'embrayager 482 est embrayé, de sorte que les chaînes d'entraînement 64 tirent vers l'avant la plaque-support arrière 28c et tirent de ce fait en synchronisme, par l'intermédiaire des butées 82 et des chaînes d'entraînement

62, la plaque-support 28d avec le buton arrière de poussée 30.

2 485 416 Pendant ce temps des distances entre les plaques-support 28a, 28b, 28c,

grâce aux ciseaux de Nuremberg, diminuent régulièrement, jusqu'à ce que toutes ces plaques-support soient parvenues

à leur position extrême avant et s'appuient l'une contre l'autre.

Il reste encore encore à indiquer que lors de 1' avarnce de la plaquesupport avant. 28a, celle-ci vient buter contre les butées 154 des soutiens escEmctables 140, le levier à cran 150 sort des évidements 146 et les soutiens escamotables 140 culbutent

donc dans la position représentée sur la figure 5.

Lorsque la plaque-support arrière 28c a atteint sa position finale avant, elle déclenche, par l'intermédiaire de l'un des contacteurs de fin de course 100, les processus suivants l'embrayage 482 est débrayé, tandis que l'embrayage 48' est embrayé, de sorte que les chaînes d'entraînement extérieures 62 sont entraînées et tirent la plaque-support 28d jusque dans sa position d'extrémité avant représentée sur la figure 7, grâce à quoi le reste de la barre à usiner 18 est poussé, par le buton arrière de poussée 30, à travers la broche 12 et peut être utilisé complètement. Lorsque la plaque-support 28d a atteint sa position extrême avant, l'embrayage 48' est débrayé par l'intermédiaire de l'un des contacteurs de fin de course et le moteur 40 commute pour tourner vers la gauche, et ceci en vitesse rapide. En même temps l'embrayage 481 est embrayé, de sorte que les chaînes d'entraînement intérieures 66 tirent vers l'arrière la plaque-support avant 28 a et donc toutes les autres plaques-support 28b, 28c, et 28d, jusqu'à ce que le pEquet de plaques-support 28a, 28b, 28c atteigne la position extrême arrière représentée sur les figures 1 et 2. Ceci à son tour fait débrayer l'embrayage 481 par l'intermédiaire d'un contacteur de fin de course et embraye l'embrayage 48' de sorte que les chaînes d'entraînement 62 ramènent la plaque-support 28d jusque dans sa position d'extrémité la plus en arrière représentée sur la figure 2; dans cette position finale de la plaque-support 28cd, un contacteur de fin cde course débraye l'embrayage 48' et

met hors-circuit le moteur 40.

Comme on peut le voir sur la figure 5, la plaque-

support avant 28a, ramenée en arrière, redresse, par sa came 158 et par l'intermédiaire de l'er.tralnE'ur 156, le jambage 148 de chacun des soutiens escamotables 140 qui avaient pris une position passive, de sorte que les leviers à cran 150 tombent

dans les évidements '146 et verrouillent les soutiens escamota-

bles en position redressée.

Les figures 12 à 15 montrent une deuxième forme d'exécution qui convient particulièrement pour des touLs automatiques multibroches, l'exemple représenté étant prévu

pour un tour automatique à vis à six broches.

Comme on peut le voir suI la figure 12, on a, à la place de la poutre tubulaire 22 de la première forme d'exécution et des pièces qui y sont contenues, un dispositif d'alimentation repéré globalement par.200 et qui, pour chacune des broches du tour automatique, contient un système qui correspond au point de vue fonction essentiellement au système du dispositif d'alimentation 20 de la première forme d'exécution. C'est pourquoi dans ce qui suit le dispositif d'alimentation 200 n'est décrit

qu'en peu de mots.

La figure 12 ne représente un peu plus en détail que l'un de ces systèmes, cette représentation correspondant à celle de la figure 8 pour la. première forme d'exécution. Ici aussi la plaque-support médiane représentée 228b comporte une douille de réduction 212 maintenue dans la plaque-support Z28b au moyen d'un roulement à billes 210 et d'éléments 208 à élasticité type caoutchouc. La figure 12 montre de plus deux ciseaux de Nuremberg 220 reliés cb la même façon avec les plaques-support que cela était le cas pour les ciseaux de Nuremberg 120 et les

plaques-support 28a, 28b, 28c, 28d de la première forme d'exécu-

tion. Par différence avec la première forme d'exécution, il est cependant prévu des ressorts de traction 230 qui attaquent, par l'intermédiaire de sabots 232, la plaque-support la plus

en avant et la plus en arrière 228a et 228 c du jeu de plaques-

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supports et s'efforcent de les regrouper en un paquet.

Ce système convient particulièrement pour les tours automatiques, o l'avance de la barre à usiner se fait à l'aide de pinces d'avance 240 dont l'une est représentée sur les figures 14 et 15. On n'a pas besoin alors de l'équivalent

du buton arrière de ppussée 30 de la première forme d'exécution.

- La figure 14 représente l'état d'un système du dispositif d'alimentation 200 après chargement automatique d'une nouvelle barre 242, tout d'abord posée entre les soutiens 244 et 246 aussi longtemps que les plaques-support 228a, 228c sont

encore regroupées pour former un bloc.

Sur la plaque-support la plus en arrière 228c, selon l'invention, sont rapportées des cliquets élastiques 250 que l'on peut tirer vers l'arrière avec les plaques-support, manuellement ou automatiquement, le long de la nouvelle barre 242, tandis que simultanément on fait avancer cette barre vers l'avant dans la broche correspondante 252 du tour automatique. Dans cette opération on fait glisser le soutien 246, avec la plaque-support la plus en arrière 228c vers l'arrière, et le support 244, avec la barre à usiner 242 vers l'avant, et ceci par des moyens non représentés qui correspondent aux chaînes d'entraînement 64 et 62 de la première forme d'exécution. Les cliquets élastiques 250 viennent enfin s'encliqueter derrière l'extrémité gauche de la barre 242 comme cela est représenté sur la figure 15, de sorte que sous l'action des ressorts de traction 230, ces cliquets appuient

en permanence contre l'extrémité arrière de la barre à usiner.

Selon 1' invention, les ressorts de traction 230 ne servent donc

pas seulement à regrouper les plaques-support du jeu de plaques-

support au cours de l'usinage de la barre 242, mais ils font en sorte qu'il ne soit pas possiblequ'une extrémité de la barre vienne battre, en sortant au-delà de la plaque-support la plus en arrière ou d'une autre, bien que l'avance de la barre se produise sous l'action d'une pince d'avance qui ne fait pas partie intégrante du dispositif d'alimentation. Dans les formes préférées d'exécution du dispositif d'alimentation selon 1' invention, les supports de la barre à usiner ont, à l'état déployé, une distance d'environ 300 3 400 mm, qui se modifie ensuite partout

régulièrement au cours de l'usinage de la barre.

Bien entendu diverses modifications peuvent être apportées par l'homme de l'art aux dispositifs qui viennent d'être décrits uniquement à titre d'exemples non limitatifs

sans sortir du cadre de l'invention.

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Claims (14)

REVENDICATIONS

1. Dispositif d'alimentation pour matériau en barre sur tours, comportant une poutre qui s'étend dans la direction de l'alimentation et le long de laquelle plusieurs supports pour la barre à usiner sont guidés par coulissement, caractérisé en ce que les supports Q8a, 28b, 28c) sont reliés l'un à l'autre au moins par paire par l'intermédiaire de dispositifs de liaison (122); et en ce que ces derniers sont conçus de façon que les supports qui appartiennent à une paire puissent rester parallèles l'un à l'autre et que tous les supports de la barre puissent

venir se télescoper l'un contre l'autre.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que tous les supports (28a, 28b, 28c) sont reliés l'Un à l'autre par l'intermédiaire de dispositifs de liaison (122) de

ce type.

3. Dispositif selon la revendication 1 ou la reven-

dication 2, caractérisé en ce qu'un dispositif de liaison

comporte au moins deux éclisses (122) qui se croisent et s'arti-

culent l'une par rapport à l'autre, disposées de façon à pouvoir venir buter l'une contre l'autre ou au contraire s'écarter l'une

de l'autre dans la direction de l'alimentation.

4. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce qu'au moins l'une des extrémités d'éclisses articulées reliées à un-support (28a, 2Bb, 28c) peut non seulement pivoter par rapport au support mais également coulisser er direction

longitudinale du support.-

5. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que les supports (28a, 28b, 28c) sont reliés l'un à l'autre par l'intermédiaire de ciseaux de Nuremberg (120) servarnt de

dispositifs de liaison.

6. Dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisé par un entraînement (38) pour au

moins l'un des supports.

7. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce que les supports (28a,28b, t1 28c) soient munis de douilles (112) pouvant tourner dans ces supports et adaptées à la barre à usiner (18), douilles dans lesquelles cette barre est maintenue avec possibilité de

coulissement longitudinal.

A5

8. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que les roulements (110) pour les douilles (112) sont rapportés dans les supports avec interposition d'un élément

élastique (108) agissant en particulier comme amortisseur.

9. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce que pour le chargement du dispositif d'alimentation, les supports (28a,28b,28c) étant regroLpés on prévoit pour la barre à usiner (18) des soutiens

(140) disposés l'un derrière l'autre dans le sens de l'alimenta-

tion et qui puissent s'écarter du chemin des supports lorsque

ceux-ci se déploient.

10. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce qu'un buton arrière de poussée '30) vient se loger par l'arrière dans le support le plus en arrière (28c), vu dans le sens de l'alimentation, buton qui vient s'appuyer contre l'extrémité arrière de la barre à usiner (18) et qui peut lui même être entraîné darns le sens

de l'alimentation avec le support le plus en arrière (28c).

11. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 6 à 10, caractérisé en ce que le support le plus en avant (28a), vu dans le sens de l'alimentation, peut être

entrainé dans les deux directions.

12. Dispositif selon l'une des revendications 10

ou 11, caractérisé en ce qu'il est prévu pour le support le plus en avant et le plus en arrière (28a et 28c) ainsi que pour le buton arrière de poussée (30) des entraîneurs pilotables

(40,48',48",48"').

13. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé er; ce qu'il est prévu un ressort

(230) pour regrouper les supports (228a, 228b,228c).

14. Dispositif selon l'une quelconque des revenrdica-

i tiorns précédentes, pour tOLrs wultibroches, caractérisé en ce qu'il est prévu pour chacune des broches (252? son propre

système de supports et de dispositifs de liaison.