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Montre-bracelet La présente invention a pour objet une montre- bracelet dont la montre présente, à sa périphérie, au moins deux éléments de fixation placés dans des directions opposées, et dont le bracelet est assujetti auxdits éléments et s'étend de part et d'autre de ladite montre.
Dans les montres-bracelets connues, une partie du bracelet est assujettie à l'un des groupes d'éléments de fixation et s'étend d'un côté de la montre, tandis que l'autre partie du bracelet est assujettie à l'autre groupe d'éléments de fixation et s'étend de l'autre côté de la montre. De plus, les directions des emplacements desdits groupes sont parallèles à la direction du bracelet. Lorsqu'on porte une telle montre au poignet, il est nécessaire que le bracelet soit quelque peu tendu pour éviter qu'il ne se déplace trop facilement. Avec le mode de fixation habituel, la tension du bracelet se transmet, par les éléments de fixation, à la montre elle-même.
Or, comme la montre est un élément rigide, incapable, comme le bracelet, d'épouser le contour du poignet, elle prend une position tangentielle à celui-ci et les éléments de fixation, constitués généralement par des cornes ou par des oeillets, s'en écartent, seule la partie centrale du fond de la boite étant en contact avec lui. Il en résulte que la direction de la tension exercée par le bracelet sur les éléments de fixation de la montre n'est pas tangente au contour du poignet. Le bracelet n'exerce donc pas seulement un effort de traction sur la montre, mais aussi un effort de flexion, tendant à la cintrer.
Ce phénomène est illustré à la fig. 1 du dessin annexé, qui représente schématiquement, d'une part, une montre 1 de type connu, pourvue d'organes de fixation constitués par deux paires de cornes 2 et 3, et, d'autre part, un bracelet 4 assujetti par des barrettes passant dans des ourlets 5 et 6 du bracelet, les extrémités desdites barrettes s'engageant dans des logements pratiqués dans les cornes 2 et 3. Ces cornes sont situées approximativement en regard de 12 heures et de 6 heures, tandis que la tige de remontoir est en regard de 9 heures.
Pour atteindre les cornes, les ourlets 5 et 6 du bracelet s'écartent du poignet, de sorte que la montre, appuyée dans sa partie centrale contre le poignet, est soumise à un effort de flexion dû à la tension du bracelet, cet effort tendant à appliquer les cornes contre le poignet et à cintrer la boite.
Certaines montres, en particulier les montres dites extra-plates ainsi que les montres en or, dont les parois de la boite sont très minces, sont sensibles à cet effort de flexion ; la boite se déforme à la longue, au point que son fond entre en contact avec le mouvement, ce qui immobilise souvent l'un ou l'autre des mobiles de celui-ci. On peut également craindre que le cran de fermeture du fond ne soit forcé et que la boite s'ouvre intempestivement.
Le but de la présente invention est de remédier à cet inconvénient en fixant le bracelet à la montre en des endroits de celle-ci aussi voisins que possible de ceux où elle est tangente au poignet. C'est ainsi que, d'après l'invention, les directions dans, lesquelles sont placés lesdits, éléments de fixation sont approximativement perpendiculaires à la direction du bracelet.
Neuf formes d'exécution et quelques variantes de la montre faisant l'objet de la présente invention sont représentées, à titre d'exemple, au dessin annexé.
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La fig. 2 est une vue schématique, de profil, de la première forme d'exécution de ladite montre.
Les fig. 3 et 4 sont des vues en perspective respectivement de la deuxième et de la troisième forme d'exécution, la fig. 5, une vue partielle en plan, depuis dessous, de la quatrième forme d'exécution, les fig. 6 et 7 des vues partielles en plan de deux variantes de la quatrième forme d'exécution.
La fig. 8 est une vue partielle en plan, analogue à la fig. 5, de la cinquième forme d'exécution.
La fig. 9 est une coupe selon la ligne IX-IX de la fig. 8.
La fig. 10 est une vue partielle en perspective de la sixième forme d'exécution, dans laquelle certaines pièces sont détachées les unes des autres.
La fig. 11 est une vue en perspective d'un bracelet faisant partie de la septième forme d'exécution, la fig. 12 est une coupe transversale du bracelet de la huitième forme d'exécution, et la fig. 13 une vue en perspective de la neuvième forme d'exécution.
La fig. 2 représente une montre 7 qui a les mêmes dimensions et la même forme que la montre 1 de la fig. 1. Toutefois, ses éléments de fixation forment deux #illets 8, situés en regard de trois heures et de neuf heures, c'est-à-dire dans des directions approximativement perpendiculaires aux directions du bracelet 9 qui est assujetti à ces #illets. Vu leurs positions, ces #illets se trouvent en contact avec le poignet. Le bracelet est donc tangent au poignet à l'endroit où il est assujetti à la montre et il n'exerce aucun effort de flexion sur la boîte.
La deuxième forme d'exécution de ladite montre, représentée à la fig. 3, montre que le mode de fixation décrit ci-dessus se prête à des exécutions fort esthétiques. Une montre 10, pourvue d'éléments de fixation, constitués par des oeillets 11, situés également en regard de trois et de neuf heures, est assu- jettie à un bracelet 12 formé de deux cordonnets 13a et 13b. Deux brides 14a et 14b, serrant les deux cordonnets ensemble de part et d'autre de la montre, délimitent entre elles une partie du bracelet 12 composée de deux branches distinctes 12a et 12b, passant chacune dans l'un des #illets 11. La présence de ces brides empêche tout glissement de la montre le long desdites branches.
Les organes de fermeture du bracelet ne sont pas représentés. Ils sont de type usuel. L'une des extrémités de chacun des cordonnets 13a et 13b est assujettie à l'une des parties d'un fermoir, tandis que l'autre extrémité de chacun de ces cordonnets est pourvue d'une pièce métallique qui peut se visser sur l'autre partie dudit fermoir, après avoir été passée dans l'un des #eillets 11. Au lieu d'être vissées, ces pièces peuvent aussi être assujetties au fermoir par exemple par soudage ou par serrage, ou simplement par couture.
La troisième forme d'exécution, représentée à la fig. 4, comprend une montre 15 pourvue de deux éléments de fixation 16 situés en regard de trois et neuf heures et assujettie à un bracelet 17 formé de deux cordonnets 18a et 18b. Toutefois, dans cette forme d'exécution, des goupilles 19, engagées dans les éléments 16, assujettissent les cordonnets 18a et 18b à la montre, de façon à empêcher tout glissement de cette dernière le long desdits cordonnets.
La fig. 5 représente une montre 23, dans laquelle deux branches du bracelet comprennent des moyens capables d'empêcher le glissement de la montre. L'une desdites branches, 20, est pourvue de deux bagues 21 qui l'enserrent et qui sont fixées de chaque côté d'un #illet 22 solidaire de la montre 23, odllet dans lequel est introduite la branche 20.
Le bracelet est monté ici, comme dans la deuxième forme d'exécution et les bagues 21 ne sont naturellement serrées en place qu'au moment où le bracelet est monté sur la montre.
Au lieu des deux bagues 21 enserrant la branche 20 du bracelet, on pourrait également, dans une variante, avoir pour éléments de fixation deux oeillets de chaque côté de la montre, sur trois et neuf heures, comme cela est représenté à la fig. 6, où une branche du bracelet 26 passe successivement dans deux oeillets 25 et 25a. Une bague 27 est alors enserrée sur la branche 26 entre les oeillets 25, 25a, de façon à empêcher tout glissement de la montre le long des branches du bracelet.
Dans une autre variante de la même forme d'exécution (fia. 7), les moyens capables d'empêcher le glissement de la montre sont constitués par des renflements d'une branche 29 du bracelet. Ces renflements, 28 et 28a, déformables élastiquement pourraient, par exemple, être en matière plastique, la branche 29 étant gainée de toile ou d'un treillis métallique. La mise en place du bracelet s'effectue en forçant l'un des éléments 28 à travers l'aeillet 31.
Dans la cinquième forme d'exécution (fig. 8 et 9), les éléments de fixation du bracelet à la montre comprennent au moins une paire de barrettes. Dans ces figures, une montre 32 est pourvue vers trois et neuf heures de deux paires de plots 33, 34, dans lesquels sont pratiqués des logements. Deux barrettes à ressort 61 sont introduites chacune dans un aeillet formé dans chacune des deux branches 35 du bracelet.
Après introduction de ces barrettes dans lesdits #illets, celles-ci sont assujetties auxdits plots par engagement de leurs extrémités dans chacun desdits logements.
La fig. 10 représente une montre 36, un élément de fixation à barrettes 37 et deux parties extrêmes
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42, 43, d'un bracelet. L'élément de fixation 37 comprend une tige centrale 38 destinée à être assujettie dans un logement 39 de la montre 36. Cet élément de fixation comprend en outre deux parties coudées 40 et 41 formant des barrettes. Chacune des parties 42, 43 présente à son extrémité un #illet 44, 45, dans lequel l'une des barrettes 40, 41 peut s'engager. Une fois les barrettes engagées dans lesdits #illets, on fixe à leur extrémité des pièces de blocage 40a, 41a, formées par des vis ou par des bagues serrées sur les barrettes.
La fig. 11 représente un bracelet plat, métallique 46, composé d'éléments articulés les uns aux autres. Ce bracelet présente une ouverture 47 ayant la forme et les dimensions d'une montre destinée à être emprisonnée dans ladite ouverture. Deux branches 48 et 49, formées par les bords de ladite ouverture, sont destinées à être embrassées en partie par des éléments de fixation solidaires de ladite montre. Lesdites branches comprennent chacune deux parties 48a, 48b et 49a, 49b, qui sont destinées à être réunies par soudage, après mise en place du bracelet sur la montre.
Le bracelet représenté à la fig. 12, comprend un lien plat 50, qui peut être par exemple en cuir ou en matière plastique. Ce lien 50 est bordé par deux fils métalliques 51 et 52 de renforcement. Au lieu que ces organes de renforcement soient constitués par des fils, ils pourraient aussi être constitués, par exemple, par des lames flexibles. Chacun des organes 51, 52 est entouré d'une gaine 53, 54, destinée à donner à ces organes de renforcement une allure esthétique et qui, de plus, sert à fixer chacun de ces organes au lien 50. Cette fixation pourra se faire, par exemple, par couture ou par collage, au moment du montage du bracelet sur la montre.
Dans la neuvième forme d'exécution (fig. 13), une montre 55, de forme carrée présente des éléments de fixation qui ne sont pas constitués par des #illets, ni par des barrettes, mais simplement par des ouvertures 57 pratiquées parallèlement à la direction du bracelet dans deux angles opposés 56 du boîtier de la montre. A cet effet, le boîtier présente, au moins dans les angles 56 une épaisseur suffisante pour que les ouvertures 57 puissent être pratiquées entièrement dans l'épaisseur de ses parois. On évite de cette façon que le mouvement ne soit exposé à l'air libre, comme ce serait le cas si les ouvertures 57 perçaient de part en part la paroi du boîtier.
Le bracelet 58, identique au bracelet 12 de la fig. 3 comprend deux cordonnets 60a et 60b, dont chacun passe dans une des ouvertures 57, tandis que deux brides métalliques 59 empêchent le glissement de la montre le long du bracelet.
Alors que les organes de fermeture du bracelet des formes d'exécution représentées aux fig. 4 à 9 sont identiques à ceux qui ont été décrits à propos de la fig. 3, les bracelets représentés aux fig. 10 à 12 sont pourvus d'organes de fermeture qui sont absolument les mêmes que ceux des bracelets usuels. Ils peuvent être fixés auxdits bracelets exactement de la même façon qu'à un bracelet usuel. Ainsi, si les montres décrites se prêtent à des exécutions de fantaisie, elles se prêtent aussi à des exécutions elas- siques.
Il peut arriver, notamment lorsque les éléments de fixation sont situés sur la tranche de la montre, qu'il ne soit plus possible de placer la tige de remontoir à l'endroit habituel. Dans ce cas, le mouvement sera décalé d'un quart de tour dans la boîte et la tige de remontoir se trouvera en regard de douze heures, le cadran gardant son orientation habituelle.
Outre les formes d'exécution décrites, d'autres formes d'exécution seraient encore possibles. C'est ainsi qu'au lieu des aeillets circulaires représentés aux fig. 2 à 7, on pourrait aussi utiliser. des aeillets ayant d'autres formes, par exemple, des oeillets triangulaires., carrés, etc. En revanche, leur emplacement se trouvera toujours, lorsque le cadran sera orienté de façon habituelle, approximativement en regard de trois et neuf heures.
Par ailleurs, il n'est évidemment pas nécessaire que les éléments de fixation soient situés sur la tranche de la montre. Ils peuvent se trouver tout aussi bien sur sa face supérieure ou sur sa face inférieure.
Alors que la fig. 11 montre un exemple d'un bracelet dont certaines parties sont réunies par soudage, on pourrait aussi envisager de souder le bracelet directement aux éléments de fixation de la montre.
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Wristwatch The present invention relates to a wristwatch, the watch of which has, at its periphery, at least two fixing elements placed in opposite directions, and of which the bracelet is secured to said elements and extends on either side. other of said watch.
In known wristwatches, part of the bracelet is secured to one of the groups of fasteners and extends from one side of the watch, while the other part of the strap is secured to the other. group of fasteners and extends to the other side of the watch. In addition, the directions of the locations of said groups are parallel to the direction of the bracelet. When such a watch is worn on the wrist, it is necessary for the bracelet to be somewhat stretched to prevent it from moving too easily. With the usual method of fixing, the strap tension is transmitted, through the fixing elements, to the watch itself.
However, as the watch is a rigid element, incapable, like the bracelet, of conforming to the contour of the wrist, it takes a position tangential to the latter and the fixing elements, generally constituted by lugs or eyelets, s 'separate, only the central part of the bottom of the box being in contact with it. As a result, the direction of the tension exerted by the bracelet on the fasteners of the watch is not tangent to the contour of the wrist. The bracelet therefore not only exerts a tensile force on the watch, but also a bending force, tending to bend it.
This phenomenon is illustrated in fig. 1 of the appended drawing, which shows schematically, on the one hand, a watch 1 of known type, provided with fixing members constituted by two pairs of lugs 2 and 3, and, on the other hand, a bracelet 4 secured by bars passing through hems 5 and 6 of the bracelet, the ends of said bars engaging in housings made in lugs 2 and 3. These lugs are located approximately opposite 12 o'clock and 6 o'clock, while the winding stem is next to 9 o'clock.
To reach the horns, the hems 5 and 6 of the bracelet move away from the wrist, so that the watch, pressed in its central part against the wrist, is subjected to a bending force due to the tension of the bracelet, this force tending to apply the horns against the wrist and to bend the box.
Certain watches, in particular so-called ultra-thin watches as well as gold watches, of which the walls of the case are very thin, are sensitive to this bending force; the box deforms over time, to the point that its bottom comes into contact with the movement, which often immobilizes one or the other of the latter's mobiles. We can also fear that the bottom closing notch is forced and that the box opens untimely.
The object of the present invention is to remedy this drawback by fixing the strap to the watch in places thereof as close as possible to those where it is tangent to the wrist. Thus, according to the invention, the directions in which said fixing elements are placed are approximately perpendicular to the direction of the bracelet.
Nine embodiments and some variations of the watch forming the subject of the present invention are shown, by way of example, in the accompanying drawing.
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Fig. 2 is a schematic side view of the first embodiment of said watch.
Figs. 3 and 4 are perspective views of the second and the third embodiment, respectively, FIG. 5, a partial plan view, from below, of the fourth embodiment, FIGS. 6 and 7 are partial plan views of two variants of the fourth embodiment.
Fig. 8 is a partial plan view, similar to FIG. 5, of the fifth embodiment.
Fig. 9 is a section along the line IX-IX of FIG. 8.
Fig. 10 is a partial perspective view of the sixth embodiment, in which certain parts are detached from each other.
Fig. 11 is a perspective view of a bracelet forming part of the seventh embodiment, FIG. 12 is a cross section of the bracelet of the eighth embodiment, and FIG. 13 a perspective view of the ninth embodiment.
Fig. 2 shows a watch 7 which has the same dimensions and the same shape as watch 1 of FIG. 1. However, its fastening elements form two #illets 8, located opposite three o'clock and nine o'clock, that is to say in directions approximately perpendicular to the directions of the bracelet 9 which is subject to these #illets. Given their positions, these #illets are in contact with the wrist. The bracelet is therefore tangent to the wrist at the place where it is secured to the watch and it exerts no bending force on the case.
The second embodiment of said watch, shown in FIG. 3, shows that the method of fixing described above lends itself to very aesthetic executions. A watch 10, provided with fastening elements, constituted by eyelets 11, also located opposite three and nine o'clock, is attached to a bracelet 12 formed of two cords 13a and 13b. Two flanges 14a and 14b, tightening the two cords together on either side of the watch, delimit between them a part of the bracelet 12 composed of two separate branches 12a and 12b, each passing through one of the #illets 11. The the presence of these flanges prevents any sliding of the watch along said branches.
The closure members of the bracelet are not shown. They are of the usual type. One of the ends of each of the cords 13a and 13b is secured to one of the parts of a clasp, while the other end of each of these cords is provided with a metal part which can be screwed onto the another part of said clasp, after having been passed through one of the #eillets 11. Instead of being screwed, these parts can also be secured to the clasp, for example by welding or by clamping, or simply by sewing.
The third embodiment, shown in FIG. 4, comprises a watch 15 provided with two fastening elements 16 located opposite three and nine o'clock and secured to a bracelet 17 formed of two cords 18a and 18b. However, in this embodiment, pins 19, engaged in the elements 16, secure the cords 18a and 18b to the watch, so as to prevent any sliding of the latter along said cords.
Fig. 5 shows a watch 23, in which two branches of the bracelet include means capable of preventing the watch from slipping. One of said branches, 20, is provided with two rings 21 which enclose it and which are fixed on each side of a #illet 22 integral with the watch 23, odllet in which the branch 20 is inserted.
The bracelet is fitted here, as in the second embodiment, and the rings 21 are naturally clamped in place only when the bracelet is mounted on the watch.
Instead of the two rings 21 enclosing the branch 20 of the bracelet, one could also, in a variant, have two eyelets for fixing elements on each side of the watch, at three and nine o'clock, as shown in FIG. 6, where a branch of the bracelet 26 passes successively through two eyelets 25 and 25a. A ring 27 is then clamped on the branch 26 between the eyelets 25, 25a, so as to prevent any sliding of the watch along the branches of the bracelet.
In another variant of the same embodiment (fia. 7), the means capable of preventing the watch from slipping are constituted by bulges of a branch 29 of the bracelet. These elastically deformable bulges, 28 and 28a, could, for example, be made of plastic, the branch 29 being sheathed with fabric or a metal mesh. The bracelet is put in place by forcing one of the elements 28 through the eyelet 31.
In the fifth embodiment (fig. 8 and 9), the elements for fastening the strap to the watch comprise at least one pair of bars. In these figures, a watch 32 is provided around three and nine o'clock with two pairs of studs 33, 34, in which housings are made. Two spring bars 61 are each introduced into an eyelet formed in each of the two branches 35 of the bracelet.
After introduction of these bars in said #illets, they are secured to said pads by engagement of their ends in each of said housings.
Fig. 10 shows a watch 36, a fastening element with bars 37 and two end parts
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42, 43, of a bracelet. The fixing element 37 comprises a central rod 38 intended to be secured in a housing 39 of the watch 36. This fixing element further comprises two bent parts 40 and 41 forming bars. Each of the parts 42, 43 has at its end a #illet 44, 45, in which one of the bars 40, 41 can engage. Once the bars have been engaged in said #illets, locking pieces 40a, 41a, formed by screws or by rings clamped on the bars, are fixed at their end.
Fig. 11 shows a flat, metallic bracelet 46, composed of elements articulated to one another. This bracelet has an opening 47 having the shape and dimensions of a watch intended to be trapped in said opening. Two branches 48 and 49, formed by the edges of said opening, are intended to be partially embraced by fastening elements integral with said watch. Said branches each comprise two parts 48a, 48b and 49a, 49b, which are intended to be joined by welding, after placing the strap on the watch.
The bracelet shown in fig. 12, comprises a flat link 50, which may for example be made of leather or of plastic. This link 50 is bordered by two metal son 51 and 52 for reinforcement. Instead of these reinforcing members being constituted by threads, they could also be constituted, for example, by flexible blades. Each of the members 51, 52 is surrounded by a sheath 53, 54, intended to give these reinforcing members an aesthetic appearance and which, moreover, serves to fix each of these members to the link 50. This fixing can be done, for example, by stitching or by gluing, when the strap is fitted to the watch.
In the ninth embodiment (fig. 13), a square watch 55 has fastening elements which are not constituted by #illets, nor by bars, but simply by openings 57 made parallel to the direction of the bracelet in two opposite angles 56 of the watch case. For this purpose, the case has, at least in the corners 56, a sufficient thickness so that the openings 57 can be made entirely in the thickness of its walls. This prevents the movement from being exposed to the open air, as would be the case if the openings 57 pierced through the wall of the housing.
The bracelet 58, identical to the bracelet 12 of FIG. 3 comprises two cords 60a and 60b, each of which passes through one of the openings 57, while two metal flanges 59 prevent the watch from sliding along the strap.
While the closure members of the bracelet of the embodiments shown in FIGS. 4 to 9 are identical to those which have been described with regard to FIG. 3, the bracelets shown in FIGS. 10 to 12 are provided with closure members which are absolutely the same as those of the usual bracelets. They can be attached to said bracelets in exactly the same way as a conventional bracelet. Thus, if the watches described lend themselves to fancy executions, they also lend themselves to elastic executions.
It may happen, especially when the fasteners are located on the edge of the watch, that it is no longer possible to place the winding stem in the usual place. In this case, the movement will be shifted by a quarter of a turn in the case and the winding stem will be located opposite twelve o'clock, the dial keeping its usual orientation.
In addition to the embodiments described, other embodiments would still be possible. Thus, instead of the circular eyelets shown in FIGS. 2 to 7, one could also use. eyelets having other shapes, for example, triangular eyelets, squares, etc. On the other hand, their location will always be, when the dial is oriented in the usual way, approximately opposite three and nine o'clock.
Furthermore, it is obviously not necessary for the fasteners to be located on the edge of the watch. They can be found just as well on its upper face or on its underside.
While fig. 11 shows an example of a bracelet, certain parts of which are joined by welding, one could also consider welding the bracelet directly to the fastening elements of the watch.