Construction. La présente invention a pour objet une construction (bâtiment, mur, ete.), carac térisée par au moins une paroi compor tant au moins une rangée d'unités al longées qui sont juxtaposées parallèlement, en laissant entre elles des espaces s'étendant clans le sens de la longueur des unités, des moyens d'alignement étant prévus pour maintenir les unités de ladite rangée en ali gnement les unes avec les autres. La paroi ainsi constituée peut être un mur, extérieur ou de séparation, un toit, un planchèr, etc.
Les unités sont de préférence formées de corps tubulaires espacés et disposés pour per mettre de couler du béton, ou de placer des parties de structure soit entre elles, soit dans leur intérieur. Les deux faces de la paroi peuvent être formées soit par les unités elles- mêmes, présentant des parties extérieures plates, soit par des dalles ou carreaux y assu jettis, constituant ainsi les surfaces du mur, du plancher ou du toit.
Des prolongements des parties extérieures plates sont susceptibles de constituer des formes, ou coffrages, pour le coulage de bé-
EMI0001.0009
carcasse ou ossature pour un bâtiment, _ sans la nécessité d'avoir recours à des coffrages temporaires.
Le dessin ci-joint représente, à titre d'exemple, différentes formes d'exécution de la construction selon l'invention.
Fig. 1 est une coupe verticale, avec bri sures, d'une maison construite conformément à l'invention; Fig. 2 est un détail en perspective; Fig. 3 est une coupe d'un assemblage de toit et de sommier; Fig. 4 est une vue en perspectives d'une partie d'un plancher; Fig. 5 est une coupe horizontale d'un mur; Fig. 6 est une vue en perspective d'une autre disposition de mur; Fig. 7 est une vue en perspective d'un assemblage de divers éléments d'un mur, certaines parties étant enlevées; Fig. 8 est une vue en perspective d'un plancher;
Fig. 9 est une élévation schématique d'un assemblage de divers éléments d'un Fig. 10 est un détail en coupe; Fig. 11 est une coupe verticale à travers une partie d'un plancher et d'un mur; Fig. 12, 13 et 14 sont des vues en pers pective des murs; Fig. 15 est une vue en perspective d'une partie d'un plancher; Fig. 16 est une coupe d'un mur; Fig. 17 est une vue en perspective d'un mur; Fig. 18 est une coupe verticale d'un mur; Fig. 19 est une vue en perspective d'un assemblage d'éléments de mur;
Fig. 20 est une coupe verticale à travers une partie d'un mur et d'un plancher; Fig. 21 est un détail; Fig. 22 est une coupe suivant 22-22, f ig. 20; Fig. 23 est une coupe horizontale d'un mur.
L'exemple représenté à la fig. 1 com prend une fondation 2 en briques, en béton, etc., avec une assise extérieure 3 s'étendant sensiblement en avant de la partie interne pour former un évidement 4. Des unités "standardisées" 1, de la disposition générale représentée à la fig. 6, .sont posées, par leurs extrémités, sur la fondation afin de former une base pour le plancher inférieur. Des blocs 5, assujettis en une rangée, à écarte ment les uns des autres, par une paire de liens métalliques 6 ou leur équivalent (fig. 2), sont disposés dans les extrémités des parties de corps tubulaires d'unités 1.
Du ciment, coulé dans l'évidement 4, forme un sommier 12 avec parties monolithes s'éten dant dans les évidements tubulaires formés entre les parties- de corps d'unités 1 adja centes à, l'extrémité correspondante de cel les-ci.
Sur le dessus du sommier 12 et des par ties 3 de la fondation sont disposées la bande en Z 13 et des bandes 16 assujetties à une série de blocs 5 s'engageant dans les extrémités des unités de mur verticales, la, qui sont semblables aux unités de plancher 1, mais ont leurs parois extérieures prolon gées vers le haut, comme c'est indiqué en 15. Dans les extrémités supérieures des par ties de corps tubulaires des unités la sont disposés des blocs 25 qui sont assujettis à des prolongements 26 des surfaces inférieures d'unités lu qui constituent le plancher pour le second étage.
Ces prolongements 26 peu vent s'étendre sur toute la largeur des uni tés, ou peuvent présenter une largeur ré duite, comme cela. est représenté à la. fig. 4, pour permettre de couler du ciment entre les parties de corps tubulaires des unités la ou bien, si on le désire, les prolongements 26 peuvent être omis sur certaines unitcs ale plancher pour permettre le remplissage des unités de mur correspondantes avec du ci ment.
On coule ensuite du béton, ou son équivalent, par dessus les extrémités des unités de mur la pour former un sommier 20 présentant des parties monolithes 19 qui s'étendent dans les extrémités formées par les rebords 11 d'unité;<B>lb</B> adjacentes, ainsi qu'entre les unités de mur, si on le désire. Pour ériger un autre étage, on dispose des bandes 16 et des blocs 5 s'étendant vers le haut, sur le sommier 20 pour engager une seconde série d'unités de mur, la.
Si l'on désire construire un toit en pente, comme celui représenté à la fig. 1, on dis pose des unités le-, semblables comme dis position générale à celles décrites précédem ment, dans une position inclinée pour for mer la base de ce toit. avec des blocs 5 insé rés dans leurs extrémités supérieures et des blocs individuels 21 adaptés dans leurs ex trémités inférieures, comme représenté, de façon à s'étendre le long de la rangée d'u nités pour les maintenir en alignement. Les surfaces extérieures 23 de ces unités sont prolongées et constituent une section débor dante, ou surplombante, du toit en pente.
Les extrémités inférieures d'unités le ont leurs parois latérales encochées pour pren dre sur des poutres-clés 30 s'étendant le long du bord du plancher supérieur 28, tan dis que les extrémités supérieures des unités reposent sur le faîtage 29. On peut couler du béton entre les extrémités supérieures des unités, au-dessus de la poutre 29, pour for- mer un faite en béton 27 ayant des prolonge ments latéraux s'étendant entre les parties de corps des unités<B>le</B> et le reliant avec un sommier 38 formé au-dessus des extrémités des unités la, sommier qui, à son tour, peut présénter des saillies dans les espaces exis tant entre ces unités. Si on le désire, tous ces divers éléments, ou certains d'entre eux, peuvent être coulés en une seule opération pour former une structure monolithe.
Fig. 3 représente l'application d'un som mier 33 lorsque la partie inférieure d'un toit en pente n'est pas adjacente à un plancher, comme c'est représenté à la fig. 1. Avec une telle construction, les blocs 5, engagés dans les extrémités supérieures de chacune des unités de mur la, les blocs 21, dans les uni tés le, ensemble avec les prolongements des côtés extérieurs des unités la et<B>le,</B> servent à constituer un coffrage pour le coulage du sommier 33 qui peut être relié par des pro longements monolithes, en béton, avec le faîtage de la manière décrite précédemment.
Fig. 6 représente un mur type formé par un assemblage d'unités la dont les faces in ternes 35 forment une surface continue qui peut soit constitues le fini intérieur pour une pièce, ou une surface pour l'application d'une matière de finissage, telle qu'un lambris de bois ou de plâtre. Sur les faces externes 40 des unités la se trouvent les rebords 41 qui sont recouverts de bandes couvre-joint 42, en métal par exemple, assujetties par des pointes 43. Du papier goudronné 44, disposé sur les rebords 11 des unités la peut offrir une protection supplémentaire contre l'hu midité.
Fig. 10 représente une autre façon de finir le joint entre unités adjacentes, avec la bande de bois 46, de section triangulaire, insérée entre des bords biseautés 49 de re bords 11 adjacents.
Bien entendu, ces formes, ou bien d'autres formes, d'unités "standardisées" peuvent être combinées de diverses autres façons. C'est ainsi par exemple, que l'on peut prévoir des tent fig. 5, @7 et 9. Avec ces unités, on peut faire usage de saillies cylindriques 55 pour aligner leurs extrémités inférieures, tandis que dans leurs extrémités supérieures peu vent s'engager librement des parties tron coniques 56 faisant saillie d'une bande d'alignement 57 qui est supportée par des consoles temporaires 58 assujetties à des montants 59 qui peuvent former, finalement, des armatures pour une colonne de béton.
Lorsque les consoles sont enlevées et qu'on laisse descendre la bande 57, les surfaces in clinées des parties 56 amènent les extrémités supérieures des unités 51 exactement en ali gnement. La bande 57 peut recouvrir les sommets des unités la et présenter, de dis tance en distance, des ouvertures 50 pour permettre de remplir de béton certaines unités.
Au lieu de moyens d'alignement indivi duels, des pièces formant clé peuvent être engagées dans des rainures existant dans les extrémités des unités en forme de colonne. Les pièces formant clé 61 peuvent être re lativement étroites et être encastrées dans la carcasse ou ossature adjacente, comme c'est représenté aux fig. 17 et 18; ou bien elles peuvent avoir presque la largeur des unités et faire corps avec une embase 54, comme c'est indiqué en 60 à la fig. 19, tandis que des encoches 66 peuvent être prévues sur certaines des pièces-clés pour s'engager sur les extrémités des parois d'unités tubulaires.
Avec certains moyens d'alignement, il est bon de prévoir, pour recouvrir les extré mités supérieures des unités, des bandes de recouvrement convenablement formées, 68, présentant de distance en distance dés ouver tures 69 (fig. 21) pour former des colonnes de béton dans certaines des unités.
Dans cer tains cas, les extrémités des unités peuvent reposer dans des cuvettes 62, comme cela est indiqué à la fig. 20; ou bien une déprés- sion allongée, continue peut être prévue dans une pièce de fondation ou sommier pour re cevoir les extrémités d'une quelconque des di verses dispositions d'unités, tandis que des jetties à leurs côtés pour les tenir fermement en alignement.
Pour former un plancher autour d'unités cylindriques 51, on peut relier celles-ci, par des fils métalliques 101,à de longs madriers 100 pouvant former le plafond pour un étage inférieur. On peut ensuite disposer autour des unités 51, du béton 109 formant une structure monolithe avec le sommier 110, les bouchons 103 étant adaptés dans les ex trémités des unités (:fig. 20) pour empêcher le béton d'y pénétrer.
Fig. 14 représente une autre disposition d'élément en forme de colonne, 71, pourvu de rebords radiaux 72 présentant les bords externes biseautés 73 et 74, respectivement, qui sont destinés à venir en prise avec des parties semblables d'unitées adjacentes et à offrir des surfaces pour l'application d'une matière de finissage telle que des planches 79 comme représenté. Des unités 76, de forme sensiblement semblable, mais avec des rebords radiaux 79 sur un côté seulement, sont représentées à la fig. 15, du ciment 77 étant disposé par dessus les noyaux de ces unités pour former un plancher ou un toit.
Fig. 8 représente des unités 81 formées de madriers 82, en bois ou autre matière fi breuse, ou en matière analogue au ciment, ensemble avec une partie de corps tubulaire formée par les côtés inclinés 85 et 86 entre lesquels se trouve le côté 87 qui est paral lèle au madrier 82 et sur lequel est disposée une bande de clouage en bois 88 pour la pose des lames de plancher 89, ou leur équi valent. Du ciment ou matière analogue,<B>77,</B> peut être disposé entre ces unités .dont on peut faire usage pour des murs aussi bien qiie pour des planchers ou des toits.
Dans le cas d'unités cylindriques 51, di vers moyens peuvent être prévus pour cons tituer les surfaces externes du mur. C'est ainsi, par exemple qu'on peut disposer une couche de ciment 95 autour des unités, comme cela est représenté aux fig. 18 et 20, en l'appliquant ait moyen -d'un appareil pro jecteur de mortier dit "cement-gtin" ou au trement; ou bien des dalles ou carreaux de diverses matières peuvent être assujettis aux unités en forme de colonne.
Des carreaux 107 (fig. 7 et 12) sont assujettis en place par des plaques 104 s'étendant entre les unités tubulaire, 51 et présentant des évi dements semi-circulaires 105 pour venir en prise avce celles-ci. Des moyens tels que des languettes 108 peuvent faire saillie des pla ques 104 pour prendre dans les bords des carreaux. Une bande d'alignement 57 sur la quelle sont formées des languettes 108, joue le même rôle pour l'assise de carreaux de sommier (fig. 11).
Au lieu de plaques, des crampons 119 peuvent s'étendre entre des unités 51 adja centes et prendre dans les bords des car reaux 107, comme c'est représenté à la fig. 5. Avec des constructions de ce type, les car reaux peuvent être prolongés au delà des unités, aux extrémités et au sommet du mur, pour constituer une forme pour le coulage de colonnes en béton 115, de sommiers, etc.
Fig. 23 représente une construction quel que peu analogue avec les carreaux 134 re liés par des crampons 119. Des évidements 132, existant dans les carreaux, prennent sur les côtés des unités 51 qui peuvent être en matière légère telle que le papier et un étroit espace 135 est de préférence laissé entre les carreau; pour l'isolement, ou pour le coulage de ciment<B>136</B> comme représenté, tandis que dit ciment peut également être coulé dans toutes les unités 51, ou dans cer taines de celles-ci; ce type de construction convient pour des fondations aussi bien que pour des murs, planchers, toits, etc.
A la fig. 13 on a représenté un autre type de construction dans lequel les unités <B>111</B> sont formées de bandes de fibre, liées ensemble avec une couche interne 112 de ma tière telle que le<U>gypse</U> et ayant leurs bords djacents 113 joints par des bandes métal- î liques élastiques 114. Des rebords 113 dis posés vers l'extérieur s'engagent avec les bords de carreaux oblongs 118, servant à maintenir les unités en alignement, en coopé ration avec des bandes 121 de section en<B>T</B> présentant une partie en forme de coin 117, chassée entre les rebords 113, pour les serrer sur les bords des carreaux 118.
Des paires de carreaux allongés 124 peu vent être assemblées avec des tiges de liai son 120, articulés, ou assujettis autrement, en leurs milieux (fig. 16). On monte un mur en plaçant une unité 51, en disposant des car reaux 124, avec la tige 120 sur l'un des côtés de l'unité, puis en appliquant une autre unité 51 de l'autre côté de la tige 120, en assemblant des unités et des paires de car reaux alternativement, avec des paires de tiges 120 s'étendant entre les unités.
Bien entendu, ces diverses dispositions dé crites peuvent être combinées de bien des façons et en combinaison avec des types de construction bien connus pour satisfaire à des conditions particulières. Les unités standardisées 1, 51, 71 etc. peuvent avoir bien des formes différentes et sont de pré férence formées à l'avance pour être assem blées rapidement en place.
Ces unités, aussi bien que les moyens d'alignement, etc. peu vent être fabriqués en un grand nombre de matières convenables telles que métal, bois ou autre matière fibreuse (comme la fibre, le carton ou autres compositions similaires) matière d'une nature analogue à celle du ciment (comme le gypse ou le ciment de Portland) ou matières fibreuses défaites ou granulaires combinées avec un agglomérant (comme le carton de paille ou de bois ou la combinaison de sable, d'escarbilles, etc., avec un agglomérant) ou des combinaisons de ces matières et d'autres matières convenables. Dans certains cas, on peut également faire des carreaux en stuc, en argile ou en subs tances analogues.
Il est évident que les diverses dispositions d'unités en forme de colonne peuvent être re tenues en juxtaposition d'un grand nombre de façons, par exemple: par des moyens d'a lignement individuels convenablement for més, pénétrant dans des parties tubulaires des unités (fig. 1 et 2), par .des pièces de clavetage allongées (fig. 18 et 19) ou par
EMI0005.0010
duelles (fig. 20).
Des surfaces extérieures plates pour un mur, un plancher ou un toit, peuvent être formées par les unités soit par alignement de parties intégrantes de celles- ci (fig. 1) ou en disposant dessus une couche de béton (fig. 15 et 18) ou en y as sujettissant des carreaux, etc. (fig. 5 et 16), tandis que des prolongements des éléments formant ces surfaces peuvent constituer des formes ou coffrages pour le coulage d'élé ments de carcasse ou d'ossature en béton (fig. 1 et 5).
Des parties de corps, tubu laires, espacées, des unités peuvent avoir du béton coulé dedans (fig. 13, 14, etc.) ou entre elles (fig. 6, 8, 22) ces éléments en béton pouvant être formés de façon à faire partie intégrante des éléments d'ossature pour cons tituer une structure monolithe.
Construction. The present invention relates to a construction (building, wall, ete.), Charac terized by at least one wall comprising at least one row of long units which are juxtaposed in parallel, leaving between them spaces extending clans the lengthwise direction of the units, alignment means being provided to keep the units of said row in alignment with each other. The wall thus formed can be a wall, exterior or separation, a roof, a floor, etc.
The units are preferably formed of tubular bodies spaced apart and arranged to allow concrete to be poured, or structural parts to be placed either between them or within them. The two faces of the wall may be formed either by the units themselves, having flat exterior parts, or by slabs or tiles seated thereon, thus constituting the surfaces of the wall, floor or roof.
Extensions of the flat outer parts are likely to constitute forms, or shutterings, for the casting of concrete.
EMI0001.0009
carcass or framework for a building, _ without the need for temporary formwork.
The accompanying drawing shows, by way of example, different embodiments of the construction according to the invention.
Fig. 1 is a vertical section, with bri surs, of a house built in accordance with the invention; Fig. 2 is a detail in perspective; Fig. 3 is a section through a roof and box spring assembly; Fig. 4 is a perspective view of part of a floor; Fig. 5 is a horizontal section of a wall; Fig. 6 is a perspective view of another wall arrangement; Fig. 7 is a perspective view of an assembly of various elements of a wall, some parts being removed; Fig. 8 is a perspective view of a floor;
Fig. 9 is a schematic elevation of an assembly of various elements of a FIG. 10 is a sectional detail; Fig. 11 is a vertical section through part of a floor and a wall; Fig. 12, 13 and 14 are perspective views of the walls; Fig. 15 is a perspective view of part of a floor; Fig. 16 is a section of a wall; Fig. 17 is a perspective view of a wall; Fig. 18 is a vertical section of a wall; Fig. 19 is a perspective view of an assembly of wall elements;
Fig. 20 is a vertical section through part of a wall and a floor; Fig. 21 is a detail; Fig. 22 is a section on 22-22, f ig. 20; Fig. 23 is a horizontal section of a wall.
The example shown in fig. 1 com takes a foundation 2 made of bricks, concrete, etc., with an outer course 3 extending substantially forward of the inner part to form a recess 4. "Standard" units 1, of the general arrangement shown in fig. 6, .are laid, by their ends, on the foundation to form a base for the lower floor. Blocks 5, secured in a row, spaced apart from each other, by a pair of metal links 6 or their equivalent (Fig. 2), are arranged in the ends of the tubular body parts of units 1.
Cement, poured into the recess 4, forms a base 12 with monolithic parts extending into the tubular recesses formed between the body parts of units 1 adjacent to the corresponding end thereof.
On top of the box spring 12 and parts 3 of the foundation are arranged the Z-strip 13 and strips 16 secured to a series of blocks 5 engaging the ends of the vertical wall units, 1a, which are similar to floor units 1, but have their outer walls extended upwards, as indicated at 15. In the upper ends of the tubular body parts of the units 1a are arranged blocks 25 which are subject to extensions 26 of the units. lower surfaces of lu units that make up the floor for the second story.
These extensions 26 may extend over the entire width of the units, or may have a reduced width, like this. is shown in the. fig. 4, to allow cement to flow between the tubular body parts of the units 1a or, if desired, the extensions 26 may be omitted on some floor units to allow the corresponding wall units to be filled with cement.
Concrete, or its equivalent, is then poured over the ends of the wall units 1a to form a box spring 20 having monolithic portions 19 which extend into the ends formed by the unit flanges 11; <B> lb < / B> adjacent, as well as between wall units, if desired. To erect another floor, the strips 16 and the blocks 5 extending upward are placed on the box spring 20 to engage a second series of wall units, 1a.
If you want to build a sloping roof, like the one shown in fig. 1, we arrange le- units, similar as a general arrangement to those previously described, in an inclined position to form the base of this roof. with blocks 5 inserted at their upper ends and individual blocks 21 fitted at their lower ends, as shown, so as to extend along the row of units to keep them in alignment. The exterior surfaces 23 of these units are extended and form a projecting, or overhanging, section of the sloping roof.
The lower ends of units 1c have their sidewalls notched to engage on key beams 30 extending along the edge of the upper floor 28, whereby the upper ends of the units rest on the ridge 29. It can be cast. concrete between the upper ends of the units, above the beam 29, to form a concrete structure 27 having side extensions extending between the body parts of the <B> le </B> units and connecting it with a box spring 38 formed above the ends of the units 1a, which box spring, in turn, may present protrusions in the spaces existing between these units. If desired, all of these various elements, or some of them, can be cast in one operation to form a monolithic structure.
Fig. 3 shows the application of a som mier 33 when the lower part of a sloping roof is not adjacent to a floor, as shown in FIG. 1. With such a construction, the blocks 5, engaged in the upper ends of each of the wall units la, the blocks 21, in the units le, together with the extensions of the outer sides of the units la and <B> le, </B> are used to constitute a formwork for the casting of the base 33 which can be connected by monolithic extensions, in concrete, with the ridge in the manner described above.
Fig. 6 shows a typical wall formed by an assembly of units 1a whose inner faces 35 form a continuous surface which may either constitute the interior finish for a room, or a surface for the application of a finishing material, such as 'a paneling of wood or plaster. On the outer faces 40 of the units 1a are the flanges 41 which are covered with joint strips 42, of metal for example, secured by spikes 43. Tarred paper 44, disposed on the flanges 11 of the units 1a can provide a additional moisture protection.
Fig. 10 shows another way of finishing the joint between adjacent units, with the strip of wood 46, of triangular section, inserted between bevelled edges 49 of adjacent edges 11.
Of course, these or other forms of "standardized" units can be combined in various other ways. Thus, for example, we can provide tent fig. 5, @ 7 and 9. With these units, use can be made of cylindrical protrusions 55 to align their lower ends, while in their upper ends can freely engage tapered portions 56 protruding from a strip of. alignment 57 which is supported by temporary brackets 58 secured to uprights 59 which can ultimately form reinforcements for a concrete column.
When the brackets are removed and the strip 57 is allowed to descend, the sloping surfaces of the portions 56 bring the upper ends of the units 51 into exact alignment. The strip 57 can cover the tops of the units 1a and present, from distance to distance, openings 50 to allow certain units to be filled with concrete.
Instead of individual alignment means, key pieces can be engaged in grooves existing in the ends of column shaped units. The key pieces 61 can be relatively narrow and be embedded in the adjacent frame or frame, as shown in FIGS. 17 and 18; or they can be almost the width of the units and be integral with a base 54, as indicated at 60 in fig. 19, while notches 66 may be provided on some of the key pieces to engage the ends of the walls of tubular units.
With certain alignment means, it is useful to provide, to cover the upper ends of the units, suitably formed cover strips, 68, having openings 69 (Fig. 21) at distance to distance to form columns of concrete in some of the units.
In some cases, the ends of the units can rest in bowls 62, as shown in fig. 20; or an elongated, continuous depression may be provided in a foundation or box spring to accommodate the ends of any of the various arrangements of units, while jetties at their sides to hold them firmly in alignment.
To form a floor around cylindrical units 51, we can connect them, by metal wires 101, to long planks 100 which can form the ceiling for a lower floor. Concrete 109 can then be placed around the units 51, forming a monolithic structure with the base 110, the stoppers 103 being fitted in the ends of the units (: fig. 20) to prevent concrete from entering them.
Fig. 14 shows another arrangement of columnar member, 71, provided with radial flanges 72 having bevelled outer edges 73 and 74, respectively, which are intended to engage like parts of adjacent units and provide surfaces for applying a finishing material such as planks 79 as shown. Units 76, of substantially similar shape, but with radial flanges 79 on one side only, are shown in FIG. 15, with cement 77 being disposed over the cores of these units to form a floor or a roof.
Fig. 8 shows units 81 formed of planks 82, of wood or other fibrous material, or cement-like material, together with a tubular body part formed by the inclined sides 85 and 86 between which is the side 87 which is parallel. lele to the plank 82 and on which is arranged a wooden nailing strip 88 for laying the floorboards 89, or their equivalent. Cement or the like, <B> 77, </B> can be placed between these units, which can be used for walls as well as for floors or roofs.
In the case of cylindrical units 51, various means may be provided for constituting the external surfaces of the wall. Thus, for example, a layer of cement 95 can be placed around the units, as shown in FIGS. 18 and 20, by applying it by means of a so-called "cement-gtin" spraying device or to the trement; or slabs or tiles of various materials may be secured to the columnar units.
Tiles 107 (Figs. 7 and 12) are secured in place by plates 104 extending between the tubular units, 51 and having semi-circular recesses 105 to engage therewith. Means such as tabs 108 may protrude from the plates 104 to engage the edges of the tiles. An alignment strip 57 on which are formed tabs 108, plays the same role for the base of box spring tiles (Fig. 11).
Instead of plates, studs 119 may extend between adjacent units 51 and engage in the edges of tiles 107, as shown in FIG. 5. With constructions of this type, the tiles can be extended beyond the units, at the ends and top of the wall, to form a form for pouring concrete columns 115, box springs, etc.
Fig. 23 shows a somewhat similar construction with the tiles 134 re connected by spikes 119. Recesses 132, existing in the tiles, take on the sides of the units 51 which may be of light material such as paper and a narrow space 135 is preferably left between the tiles; for isolation, or for pouring <B> 136 </B> cement as shown, while said cement may also be poured into all units 51, or some of them; this type of construction is suitable for foundations as well as for walls, floors, roofs, etc.
In fig. 13 another type of construction has been shown in which the <B> 111 </B> units are formed of strips of fiber, bonded together with an internal layer 112 of material such as <U> gypsum </U> and having their adjacent edges 113 joined by elastic metal bands 114. Flanges 113 arranged outwardly engage with the edges of oblong tiles 118, serving to keep the units in alignment, in cooperation with bands 121 of <B> T </B> section having a wedge-shaped part 117, driven between the edges 113, to clamp them on the edges of the tiles 118.
Pairs of elongated tiles 124 can be assembled with tie rods 120, articulated, or otherwise secured, in their midpoints (Fig. 16). A wall is mounted by placing a unit 51, arranging the tiles 124, with the rod 120 on one side of the unit, then applying another unit 51 on the other side of the rod 120, assembling units and pairs of tiles alternately, with pairs of rods 120 extending between the units.
Of course, these various arrangements described can be combined in many ways and in combination with well-known types of construction to meet particular conditions. Standardized units 1, 51, 71 etc. can have many different shapes and are preferably formed in advance to be quickly assembled into place.
These units, as well as the means of alignment, etc. may be made from a large number of suitable materials such as metal, wood or other fibrous material (such as fiber, cardboard or the like) material of a cement-like nature (such as gypsum or cement cement). Portland) or loose or granular fibrous materials combined with a binder (such as straw or wood board or the combination of sand, cinders, etc., with a binder) or combinations of these and other suitable materials . In some cases, tiles can also be made of stucco, clay or the like.
It is evident that the various arrangements of column-shaped units can be held in juxtaposition in a number of ways, for example: by suitably shaped individual alignment means penetrating into tubular parts of the units. (fig. 1 and 2), by elongated key pieces (fig. 18 and 19) or by
EMI0005.0010
dual (fig. 20).
Flat exterior surfaces for a wall, floor or roof, can be formed by the units either by aligning integral parts thereof (fig. 1) or by placing a layer of concrete on them (fig. 15 and 18). or by subjecting tiles to it, etc. (fig. 5 and 16), while extensions of the elements forming these surfaces can constitute forms or shuttering for the casting of carcass or concrete frame elements (fig. 1 and 5).
Spaced, tubular, body parts of units may have concrete poured into them (fig. 13, 14, etc.) or between them (fig. 6, 8, 22) these concrete elements may be formed in such a way that be an integral part of the framework elements to constitute a monolithic structure.