BE878134A - Procede et appareil pour former des images - Google Patents

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BE878134A BE0/196644A BE196644A BE878134A BE 878134 A BE878134 A BE 878134A BE 0/196644 A BE0/196644 A BE 0/196644A BE 196644 A BE196644 A BE 196644A BE 878134 A BE878134 A BE 878134A
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    • G03CPHOTOSENSITIVE MATERIALS FOR PHOTOGRAPHIC PURPOSES; PHOTOGRAPHIC PROCESSES, e.g. CINE, X-RAY, COLOUR, STEREO-PHOTOGRAPHIC PROCESSES; AUXILIARY PROCESSES IN PHOTOGRAPHY
    • G03C1/00Photosensitive materials
    • G03C1/494Silver salt compositions other than silver halide emulsions; Photothermographic systems ; Thermographic systems using noble metal compounds
    • G03C1/498Photothermographic systems, e.g. dry silver
    • G03C1/49881Photothermographic systems, e.g. dry silver characterised by the process or the apparatus

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Description


  Procédé et appareil pour former des images 

  
La présente invention est relative à un procédé pour former des images sur une feuille de formation d'image développable à chaud, du type qui est rendis photosensible par un chauffage préalable à l'exposition et qui est exposée pour y former une image latente, puis développée à chaud pour obtenir une image visible. L'invention vise également tan appareil pour mettre en oeuvre ce procédé.

  
Une feuille de formation d'image développable à chaud qui est rendue photosensible par un chauffage préalable à l'exposition et qui est exposée pour y former une image latente, puis chauffée pour obtenir une image (feuille qui sera désignée ciaprès dans le présent mémoire simplement par "feuille de formation d'image") peut être pourvue d'une image visible seulement par le procédé à sec, et la feuille de formation d'image n'est pas photosensible avant qu'elle l'ait été rendue par chauffage préalable.

   En conséquence, quand seulement une zone déterminée de la feuille de formation d'image est rendue photosensible par un chauffage préalable et est exposée, puis développée à chaud, une image se forme seulement dans la zone déterminée, mais les autres zones, qui n'ont pas été rendues photosensibles au début, restent non photosensibles En conséquence, la feuille de formation d'image ci-dessus permet d'enregistrer une image supplémentaire en chauffant au préalable et en exposant une section déterminée d'une zone sur laquelle on n'a pas enregistré d'image auparavant, puis en la développant par chauffage.

  
Rendre une telle feuille de formation d'image photosensible par un chauffage préalable est dénommé dans le présent mémoire "activation à chaud", et transformer une image latente en une image visible par chauffage est dénommé ci-après "développement

  
à chaud". 

  
Dans un procédé classique d'enregistrement d'image mettant en oeuvre un processus de chauffage préalable, d'exposition et de développement à chaud, pour la feuille de formation d'image, il est difficile d'obtenir une image nette finement contrastée et à contours fins. Si l'on peut former unetelle image nette, finement contrastée et bien délimitée sur une zone désirée de la feuille de formation d'image, en peu de temps, il est alors possible d'augmenter l'utilité et l'intérêt de la feuille de formation d'image en permettant d'y enregistrer une image supplémentaire et en fournissant ainsi des moyens d'enre-gistrement commodes et utiles.

  
L'invention vise : 
- un procédé et un appareil de formation d'image qui augmente nettement la sensibilité de la feuille de formation d'image, de manière à obtenir une image finement contrastée et à contours nets, et de manière à diminuer le temps nécessaire à l'obtention d'une image visible 
- un appareil pour former une image qui permet de manipuler la feuille de formation d'image dans une pièce éclairée et qui est donc d'une structure simple, et qui permet d'enregistrer et de développer des informations sur la feuille de formation d'image, par le procédé à sec ;

  
- un appareil pour former une image qui permet, dans le cas où la feuille de formation d'image a un certain nombre de zones de formation d'image, d'enlever de l'appareil la feuille sur laquelle une image est enregistrée dans l'une des zones de formation d'image, puis de remettre cette feuille dans l'appareil pour y enregistrer à nouveau une image dans une zone de formation d'image qui n'a pas reçu d'enregistrement auparavant.

  
On a maintenant trouvé qu'en exposant une feuille de formation d'image à l'état refroidi, après l'avoir chauffée au préalable pour la rendre pratiquement photosensible, on augmente sa sensibilité de manière à obtenir une image visible finement contrastée et à contours nettement délimités.

  
L'invention a donc pour objet un procédé pour former une image développable à chaud, sur une feuille de formation d'image, laquelle est rendue photosensible par un chauffage préalable à l'exposition, et est exposée pour y former une image latente, puis est développée à chaud pour obtenir une image visible, caractérisé en ce qu'après avoir chauffé au préalable la feuille de formation d'image pour la rendre photosensible dans la zone donnée, on refroidit avant exposition au moins la zone rendue photosensible. L'invention vise également un appareil pour mettre en oeuvre ce procédé.

  
On peut utiliser toute, feuille de formation d'image  aux fins de l'invention, pour autant qu'elle est du type qui devient photosensible par chauffage préalablement à l'exposition et forme une image latente par exposition, puis produit une image visible par développement à chaud. 

  
Un exemple typique de ce type de feuille de formation d'image est une matière dénommée "matière sèche photosensible

  
 <EMI ID=1.1> 

  
moins un agent oxydant qui est un sel organique d'argent, et un agent réducteur de l'ion argent. On donnera un exemple plus particulier de cette matière de formation d'image ci-dessous.

  
Un exemple particulier de la feuille de formation d'image aux fins de l'invention est une composition qui consiste essentiellement en un agent oxydant qui est un sel organique d'argent non-photosensible, en un halogénure d'argent, ou en une source d'ion halogénure capable de former l'halogénure d'argent par réaction sur l'agent d'oxydation à base de sels organiques d'argent, en un agent réducteur pour un ion argent, en un liant et en une source d'ion mercure. Un autre exemple d'une telle matière pour une feuille de formation d'image, qui peut être utilisée aux fins de l'invention, est une composition qui consiste essentiellement en un sel organique d'argent non-photosensible, servant d'agent oxydant, en un agent réducteur pour un ion argent, en un liant, en une source d'ion mercurique, en un acide carboxylique et/ou en un colorant sensibilisant.

  
La première composition est décrite, par exemple, aux brevets des Etats-Unis d'Amérique No. 3.802.888, 3.764.329 et
4.113.496, tandis que la dernière est décrite, par exemple, au brevet des Etats-Unis d'Amérique No. 3.816.132 et à la demande de brevet publiée au Japon sous le No. 127.719/76.

  
Comme exemples de sels organiques d'argent non-photosensibles, du type précité, on peut mentionner des sels d'argent d'acide gras à longue chaîne, ou des sels d'argent qui sont des composés organiques ayant un groupe imino ou un groupe mercapto. Les sels d'argent ci-dessus englobent, par exemple, le stéarate d'argent, le béhénate d'argent, les sels d'argent de benzotriazole, l'argent 5-nitrobenzotriazole, l'argent 5-nitrobenzimidazole, l'argent saccharine, l'argent phtalazinone, l'argent 2mercaptobenzoimidazole et l'argent 3-mercapto-4-phényl-1,2,4triazole. Parmi eux, on préfère tout particulièrement les sels

  
 <EMI ID=2.1> 

  
gent et le béhénate d'argent. On utilise le sel organique d'argent servant d'agent oxydant à raison de 0,1 à 50 grammes environ par m , et de préférence à raison de 1 à 10 grammes par m . Comme halogénure d'argent précité, on peut citer le chlorure d'argent, le bromure d'argent, l'iodure d'argent, le chlorobromoiodure d'argent, le chlorobromure d'argent, l'iodobromure d'argent, le chlorobromure d'argent et leurs mélanges.

  
On peut utiliser l'halogénure d'argent à raison de

  
0,1 à 40 % en moles environ et, de préférence, à raison de 0,5

  
à 20 % en moles environ, par rapport à la quantité totale du

  
sel d'argent servant d'agent oxydant.

  
Comme exemples de source d'ions halogènes qui sont capables de former un halogénure d'argent en réagissant sur le sel organique d'argent servant d'argent oxydant, on peut mentionner un composé halogéné réductible ayant la structure -CONX- ou <EMI ID=3.1>  comme décrit au brevet des Etats-Unis d'Amérique No. 3.764.329. Un autre exemple d'une telle source est constitué par les halo-

  
 <EMI ID=4.1> 

  
brome ou l'iode) ; des halogénures organiques dont un élément particulier est l'un de Ga, Sn, Pb, P, As, Sb, Bi, Se et Te. On peut utiliser un tel halogénure par exemple :

  

 <EMI ID=5.1> 
 

  
 <EMI ID=6.1> 

  
 <EMI ID=7.1> 

  
 <EMI ID=8.1> 

  
sies parmi le brome, l'iode, l'iodochlorure, l'iodobromure et le bromochlorure ? des complexes de molécules halogénées et de composés particuliers, tels que le p-dioxanne ? et des composés halogénés organiques, tels que le bromure de triphénylméthyle, le chlorure de trïphénylméthyle, l'iodoforme, le 2-bromoëthanal,

  
 <EMI ID=9.1> 

  
quantité de cette source d'ion halogène à utiliser est comprise entre 0,1 à 40 % en moles environ et, de préférence entre 0,5 et

  
 <EMI ID=10.1> 

  
organique d'argent servant d'agent oxydant.

  
Un agent réducteur qui convient pour réduire les ions argent est un phénol à empêchement stérique, dans lequel un ou deux groupes stériquement volumineux sont fixés à l'atome de carbone ou à l'atome de carbone contigu à l'atome de carbone portant le groupe hydroxy, de manière à gêner stériquement ce groupe hydroxy. Comme exemples de tels phénols à empêchement stérique, on peut mentionner les 2,6-di-tert-butyl-4-méthylphénol, 2,2'méthylènebis (4-méthyl-6-tert-butylphénol), 2,4,4-triméthyl-

  
 <EMI ID=11.1> 

  
hydroxy-3'-tert-butyl-5'-méthylbenzyl)-4-méthylphénol. On peut utiliser l'agent réducteur à raison de 0,1 à 100 % en poids et, de préférence, à raison de 1 à 100 % en poids, par rapport au sel organique d'argent servant d'agent oxydant.

  
Comme source d'ion mercurique, on peut mentionner l'acétate mercurique, le béhénate mercurique, le benzoate mercurique et les halogénures mercuriques.

  
Comme acide organique carboxylique conviennent l'acide béhénique, l'acide stéarique, etc. La quantité de source d'ion mercurique à utiliser représente de 0,1 à 7 % de la quantité de l'argent qu'utilise la feuille de formation d'image.

  
Comme colorant sensibilisant, on peut utiliser la mérocyanine, et des exemples de tels colorants englobent ceux mentionnés dans "Organic Chemicals List", publié par Nippon Kanko Shikiso Kenkyusho (Japon Photosensitive dye institute), pages 102 à 105, 1969, et pages 25 à 27, 1974.

  
Comme liants, on peut mentionner le poly (vinylbutyral) ,

  
 <EMI ID=12.1>   <EMI ID=13.1>  de cellulose, le poly (acétate de vinyle), l'acétate propionate de cellulose, l'acétate butyrate de cellulose, le polystyrène

  
et la gélatine.[deg.]Parmi eux, c'est le poly(vinylbutyral) qui convient tout particulièrement comme liant. On peut utilise r le liant seul ou sous la forme d'un mélange de deux ou plusieurs . d'entre eux. Il vaut mieux utiliser le liant en une quantité telle que le rapport pondéral du liant au sel organique d'argent servant d'agent oxydant soit compris entre 10/1 et 1/10 environ et, mieux, entre 1,2/1 et 1/2.

  
La composition de la feuille de formation d'image aux fins de l'invention peut en outre contenir, si cela est nécessaire, des modifiants, tels qu'un toner pour une image à l'argentr un agent empêchant le noircissement du fond et un sensibilisateur en plus des ingrédients précités. Comme toner pour une image à l'argent, on peut mentionner par exemple la phtalazinone et

  
le phtalimide. Comme agent empêchant le noircissement du fond, on peut mentionner par exemple le tétrabromobutane, l'hexabromocyclohexane et la tribromoquinalidine.

  
La composition précitée est appliquée en revêtement sur un support transparent, tel qu'une pellicule de polyéthylène, une pellicule d'acétate de cellulose, une pellicule de polyester, en même temps que le liant précité, et un solvant convenable.

  
L'épaisseur du revêtement est comprise entre 1 et 1000 u environ

  
 <EMI ID=14.1> 

  
dients de la composition respectivement en deux ou plusieurs couches, si on le souhaite. La feuille ainsi obtenue n'est pas photosensible dans les conditions normales d'éclairement, et

  
elle peut être manipulée dans une pièce éclairée. Lorsqu'une

  
zone donnée de cette feuille est chauffée au préalable à l'obscurité, cette zone est rendue photosensible.

  
La température de chauffage préalable pour rendre la feuille de formation d'image photosensible est habituellement comprise entre 80 et 130[deg.]C, de préférence entre 90 et 120[deg.]C. La durée de chauffage préalable est d'autant plus longue que la température est plus basse. Pour faire un enregistrement supplémentaire, il est nécessaire que seule une zone désirée, sur laquelle on souhaite former une image, soit rendue photosensible par le chauffage préalable. Ceci peut être obtenu en utilisant une plaque ou un bloc de chauffage dont la zone de chauffage est limitée à la zone de formation d'image de.la feuille de formation d'image,  <EMI ID=15.1> 

  
rouges ou à,rayons dans l'infrarouge lointain, qui est .agencé pour que la plage d'irradiation puisse être limitée.

  
Si l'on n'a pas besoin d'un enregistrement supplémentaire, il n'est pas nécessaire de limiter la zone de chauffage.

  
Suivant l'invention, on fait suivre le chauffage préalable d'un refroidissement. Comme il résultera des modes de réalisation de l'invention, comme décrits ci-après, il est souhaitable que la température de la zone de formation d'image de la feuille de formation d'image soit rendue, par ce refroidissement, aussi basse que possible par rapport à la température de chauffage préalable. Il vaut mieux que la température de la feuille de formation d'image soit, après qu'elle a été refroidie, inférieure

  
 <EMI ID=16.1> 

  
inférieure de cette température est la température ambiante.

  
Le refroidissement de la feuille de formation d'image peut être obtenu par exemple en mettant un bloc métallique ou autre élément semblable, ayant une conductivité thermique excellente, en contact avec la feuille, ou en insufflant de l'air à température ambiante, ou du gaz à basse température sur la feuille.

  
Pour l'exposition de la feuille de formation d'image,

  
il est possible d'utiliser par exemple un procédé suivant lequel de la lumière transmise ou réfléchie d'un sujet est projetée par des lentilles de projection sur la couche photosensible de la feuille de formation d'image, de manière à l'exposer à une image lumineuse du sujet. Pour le développement à chaud, on peut utiliser le même procédé que pour le chauffage préalable. La température de chauffage pour le développement est comprise entre 100

  
et 150[deg.]C, de préférence entre 110 et 130[deg.]C. Il est aussi possible d'utiliser les moyens de chauffage préalable comme moyens de développement à chaud, ou d'utiliser ces deux moyens séparément.

  
Comme des conditions différentes sont requises pour le chauffage préalable et pour le développement à chaud, respectivement, dans bien des cas, il vaut mieux prévoir de premiers moyens de chauffage ou de chauffage préalable et de seconds moyens de chauffage pour le développement à chaud. De manière à former une image sur la feuille de formation d'image, en position déterminée, et de manière à y effectuer un enregistrement supplémentaire, il est souhaitable de munir la feuille de formation d'image de  <EMI ID=17.1> 

  
moyens de transfert et de moyens de fixation, grâce auxquels

  
elle peut être déplacée vers une position prescrite et y être maintenue fixe pour chaque traitement. En outre, il vaut mieux utiliser des moyens pour commander le fonctionnement des moyens de chauffage, des moyens de refroidissement, des moyens d'exposition et des moyens de développement à chaud et, si nécessaire, des moyens de transfert et des moyens de fixation, ainsi que leurs durées de fonctionnement et leurs températures de fonctionnement.

  
Dans l'appareil de formation d'image suivant l'invention, qui utilise la feuille de formation d'image qui est rendue photosensible par un chauffage préalablement à l'exposition, qui est exposée à une image lumineuse pour former une image latente, et qui est développée à chaud pour donner une image visible, il est prévu des moyens de refroidissement pour refroidir la zone chauffée au préalable de la feuille de formation d'image, dans l'intervalle de temps compris entre le chauffage préalable et l'exposition.; en outre, il est prévu des moyens de fixation de la feuille de formation de l'image pour la fixer de manière que

  
ses zones de formation d'image à chauffer au préalable, à refroidir, à exposer et à développer à chaud soient maintenues en position dans les processus respectifs. Au moins deux des moyens constitués par les moyens de chauffage préalable et les moyens

  
de refroidissement, les moyens d'exposition et les moyens de développement à chaud sont alignés pour permettre un traitement en parallèle par ces moyens.

  
Aux dessins annexés donnés uniquement à titre d'exemple :
la figure 1 est un schéma en perspective représentant l'aspect extérieur de l'appareil de formation d'image suivant l'invention ; la figure 2 est une vue en coupe suivant la ligne A-A de la figure 1 ; la figure 3 est une vue en coupe suivant la ligne B-B de la figure 2 ;  la figure 4 est une vue en perspective illustrant la relation entre les moyens de transfert de la feuille de formation d'image et un corps tubulaire ; la figure 5 est une vue en perspective illustrant, à titre d'exemple, le mécanisme d'entraînement pour un élément en forme de cadre d'un dispositif de chauffage ; 

  
 <EMI ID=18.1>  la figure 6 est uné vue en perspective illustrant l'état dans lequel le portefeuille est placé à une fenêtre d'insertion de la feuille de formation d'image  les figures 7, 7A et 7B sont des vues en coupe représentant des exemples du corps tubulaire

  
 <EMI ID=19.1> 

  
perspective d'éléments en forme de cadre du corps tubulaire des figures 7 et 7B vus du côté d'une feuille de formation d'image ; les figures 9A à 9C sont des vues en coupe, respectivement, représentant d'autres formes modifiées du corps tubulaire d'un dispositif de chauffage ; la figure 10 est une vue en perspective représentant des moyens pour former un trajet optique à des fins de lecture ; la figure 11 est un schéma représentant la relation entre. les cadres de la feuille de formation d'image et les éléments de contrôle de double exposition ;

    la figure 12 est un schéma de circuit illustrant un exemple de moyen empêchant la formation d'une image double la figure 13 est un schéma représentant les systèmes de commande et les passages d'air pour effectuer un chauffage avec de l'air chaud et un refroidissement avec de l'air à basse température ; la figure 14 est une vue en coupe illustrant un autre exemple de corps tubulaire dans le cas d'un chauffage par de l'air chaud et d'un refroidissement par de l'air à basse température ; la figure 15 est une vue en coupe -illustrant un autre exemple du corps tubulaire dans le cas d'un chauffage par un gaz ;  la figure 16 est une vue en coupe illustrant un autre exemple de corps tubulaire dans le cas d'un chauffage par des rayons infrarouges ;

    la figure 17 est une charte des temps indiquant les positions respectives des cadres de la feuille de formation d'image et du dispositif de contrôle d'exposition double de chauffage préalable,de refroidissement, d'exposition et de développement à chaud, au cours de l'enregistrement ;  la figure 18 est une vue en perspective donnant un exemple utilisant des roues à rochet pour mettre une feuille de formation d'image en position ;  la figure 19 est.une vue en coupe illustrant le corps  <EMI ID=20.1> 

  
tubulaire et les parties qui lui sont associées dans un système de traitement n'ayant qu'une seule position ; et

  
les figures 20 et 21 sont des graphiques donnant des courbes caractéristiques de photosensibilisation, en utilisant comme paramètre le degré de refroidissement de la feuille de formation de l'image, après chauffage préalable, mais avant exposition.

  
L'appareil de formation d'image suivant l'invention a l'aspect

  
extérieur tel que représenté, par exemple, à la figure 1. Une enveloppe 12 est montée sur la portion arrière d'un socle 11 et un porte-objet 13 est ménagé sur la portion avant du socle 11. Une pièce 12a pour introduire la lumière réfléchie par le porteobjet 13 dans l'enveloppe 12 est montée sur celle-ci, de manière à s'étendre au-dessus du porte-objet 13. Un panneau 14 de commande est disposé sur un panneau 20 supérieur du socle 11 en un coin près de la face frontale. Sur le panneau 14 de commande sont disposées diverses clés pour commander l'appareil de formation d'image. Sur la face frontale du socle 11 est monté un couvercle
16 destiné à couvrir une fenêtre d'insertion d'une feuille de formation d'image. Un écran 15, sur lequel peut être projetée une image, est prévu sur une face 15 frontale de l'enveloppe

  
sur l'un de ses côtés.

  
Comme le représentent les figures 2 et 3, une lentille

  
18 de projection, qui fait partie des moyens d'exposition, est disposée dans l'enveloppe 12, au centre de celle-ci. Une feuille
19 de formation d'image est placée de manière à pouvoir se déplacer, en une position où une image de l'objet projeté par la lentille 18 est formée, c'est-à-dire en une position d'exposition d'image. La feuille 19 est maintenue par un porte-feuilles 21, comme illustré à la figure 4, et le porte-feuilles est supporté par des moyens de transfert.

  
Les moyens de transfert sont disposés, comme illustré aux figures 2 et 3 et à échelle agrandie à la figure_4.

  
 <EMI ID=21.1> 

  
vu le porte-objet 13 est légèrement inclinée vers l'avant et

  
une plaque 22 de base du socle 11 est également légèrement en oblique vers l'avant. Comme le montre la figure 4, des supports
31a, 31b, 32a et 32b sont montés sur la plaque de base, au voisinage de ses quatre coins.

Un arbre 33 fileté est monté à rotation entre les 

  
 <EMI ID=22.1>  supports 31a et 32a, de manière à s'étendre dans une direction perpendiculaire à la face frontale du socle 11. L'une des portions d'extrémité de l'arbre 33 fileté fait saillie du support
31a et un moteur 34 de déplacement suivant la direction des Y est monté sur le support 31a du côté de la portion d'extrémité en saillie de l'arbre 33. Cet arbre 33 est entraîné par un moteur
34 d'entraînement, suivant la direction des Y. L'arbre 33 est vissé dans un trou taraudé percé dans une portion 36 du support formée à l'une des portions d'extrémité d'un coulisseau 35, coulissant suivant la direction des Y, qui s'étend dans une direction perpendiculaire à la direction de l'arbre 33 fileté, de sorte que le coulisseau 35, qui coulisse suivant la direction des Y, est déplacé par la rotation de l'arbre 33 fileté suivant l'axe de ce dernier.

   Entre les supports 31a et 32a est aussi montée une tige 37 de guidage adjacente et parallèle à l'arbre
33 fileté, et la tige 37 de guidage est engagée dans un perçage ménagé dans la portion 36 formant support, grâce à quoi le coulisseau 35 est maintenu de manière à pouvoir être déplacé sans tourner. De même, une tige 38 de guidage est montée entre le support 31b et 32b et est engagée dans un trou ménagé dans une portion 39 formant support formée à l'autre portion d'extrémité du coulisseau 35, ce qui permet à celui-ci de se déplacer parallèlement à la plaque 22 de base, suivant la direction longitudinale de l'arbre 33. On fait l'hypothèse que cette direction est la direction de l'axe des Y, par exemple. Un couple de pièces

  
41 et 42 supports sont fixées aux deux portions d'extrémité du coulisseau 35 qui peut être déplacé suivant la direction des Y. Un arbre 43 fileté, s'étendant suivant la direction des X, est monté à rotation entre les pièces 41 et 42. L'une des extrémités de l'arbre 43 fileté s'étendant suivant La direction des X fait saillie de la pièce 41 et un moteur 44 d'entraînement suivant

  
la direction des X est monté de manière fixe sur la pièce 41 du côté de l'extrémité en saillie de l'arbre 43. Cet arbre 43 est entraîné par le moteur 44. Les tiges 45 et 46 de guidage, adjacentes et parallèles à l'arbre 43 fileté s'étendant suivant la direction des X, comptent les pièces 41 et 42. Un coulisseau 47 coulissant suivant la direction des X, est traversé par l'arbre
43 et par les tiges 45 et 46 de guidage. Le coulisseau 47, qui se déplace suivant la direction des X, et l'arbre 43 fileté qui s'étend suivant la direction des X, engrènent l'un avec l'autre. 

  
 <EMI ID=23.1> 

  
ment du coulisseau 47 vers la droite et vers la gauche, c'est-àdire suivant la direction de l'axe des X.

  
Le coulisseau 47 porte un support 48 ayant un bras sur lequel est monté pivotant le porte-feuilles 21, comme illustré aux figures 2, 4 et 6. Deux chevilles 97, 98 de positionnement plantées sur le support 48 sont engagées dans des ouvertures ménagées dans une portion marginale de la feuille 19 de formation d'image, et la portion marginale de la feuille 19 est pressée par le porte-feuilles 21, sur le support 48. Dans ce cas, un ressort hélicoïdal est monté autour du pivot du porte-feuille: 
21, bien que cela ne soit pas représenté, et grâce à ce ressort le porte-feuille 21 est pressé vers le support 48, alors que la feuille 19 est intercalée entre eux. Dans le porte-feuille 21 sont ménagés des trous de réception des chevilles 97 et 98 de positionnement.

   Pour faciliter le montage et le démontage de la feuille de formation d'image, une portion intermédiaire de la portion marginale extérieure du porte-feuille 21 fait saillie vers l'extérieur, et constitue une pièce 99 pour le fonctionnement. En pressant la pièce 99, on peut faire tourner facilement le porte-feuille 21, à l'encontre de la force élastique du ressort hélicoïdal précité.

  
Le couvercle 16 est aussi agencé pour être fermé automatiquement par un ressort. Quand la feuille 19 de formation d'image est montée sur le support 48, ou en est enlevée, le portefeuille 21 est amené vers l'avant par le moteur 34 assurant le déplacement suivant la direction des Y, jusqu'à arriver à la position la plus à l'extérieur, où le support 48 pousse le ressort 16 vers l'avant, par une ouverture 101 (figure 6) ménagée dans la face frontale du socle 11. Le couvercle 16 tourne pour s'ouvrir, à l'encontre de la force élastique du ressort (non représenté) de sorte que le porte-feuille 21 vient hors de l'ouverture 101. Cette position est une position de référence du portefeuille 21 où la feuille 19 de formation d'image peut être montée sur le support 48, ou en être enlevée.

   Quand le support 48 est ramené dans le socle 11, le couvercle 16 pivote automatiquement pour recouvrir l'ouverture 101. On exclut ainsi automatiquement toute pénétration de lumière indésirable dans l'appareil.

  
Il vaut mieux prévoir un guide grâce auquel la feuille
19 de formation d'image maintenue dans le porte-feuille 21 est  <EMI ID=24.1> 

  
prend par exemple des plaques 103 et 102 supérieure et inférieure de guidage fixées à un support 49 pour une unité photographique, comme illustré aux figures 2 et 4. La distance qui sépare les plaques 103 et 102 diminue graduellement à mesure qu'un corps 53 tubulaire, portant la lentille 18 de projection, est proche et la feuille 19 de formation d'image est guidée vers la position d'exposition ou de chauffage, sous le corps 53 tubulaire, en passant entre les plaques 103 et 102 de guidage.

  
En outre, une autre plaque 104 pour guider la feuille

  
19 de formation d'image, après qu'elle a passé le corps 53 tubulaire, est fixée à une paroi 51 verticale du support 49, de manière à ce qu'elle s'étende vers l'arrière, à partir du voisinage du corps tubulaire 53, sous la feuille 19, c'est-à-dire du côté de la plaque 22 de base. Il vaut mieux que ces plaques 102 à 104 de guidage soient en minces feuilles élastiques de résine synthétique ou de phospho-bronze. Les plaques de guidage n'ont pas besoin d'être toujours plates ; elles peuvent être aussi incurvées. Grâce à ces guidages, la feuille 19, pressée par le portefeuille 21, d'un seul côté, peut être amenée d'une manière sûre

  
à une position où elle sera photographiée sans être recourbée. Le guidage n'est pas limité à celui qui vient d'être décrit d'une manière particulière, mais peut être aussi d'un autre type. C'est ainsi, par exemple, que dans le cas d'une feuille 19 qui est courbée, il est possible de la guider par des courroies ou des galets tournants vers la position où elle doit être photographiée, tout en redressant la courbure de la feuille 19.

  
La feuille 19 de formation d'image a plusieurs zones de formation d'image dénommées cadres 107 disposées sous la forme d'une matrice, comme illustré à la figure 4. La feuille 19 est montée sur le support 48 de manière à ce que l'on puisse amener n'importe lequel des cadres 107 exactement à la position d'exposition ou à la position de chauffage. Le support 48 est maintenu à la position de référence précitée où le porte-feuille 21 est dans sa position la plus à l'extérieur. Pour obtenir cela, on peut par exemple, comme illustré à la figure 4, prévoir une pièce
108 en saillie fixée au coulisseau 47, se déplaçant suivant la direction des X, de sorte qu'immédiatement avant que ce coulisseau 47 n'atteigne le support 42, la pièce 108 en saillie'vient en contact avec un micro-interrupteur 109 fixé au support 42,  <EMI ID=25.1> 

  
une pièce 111 en saillie est fixée au support 41 du coulisseau

  
35 coulissant suivant la direction des Y et, immédiatement avant que ce coulisseau 35 n'atteigne le support 32, la pièce 111 vient en contact avec un micro-interrupteur 112, interrompant le coulissement suivant la direction des Y. De cette manière, en excitant les micro-interrupteurs 109 et 112, le support 48 est arrêté à la position de référence, c'est-à-dire dans la position où il est le plus à l'extérieur. Comme moteurs 44 et 34, on utilise des moteurs d'entraînement aptes à commander l'étendue du dépla-

  
 <EMI ID=26.1> 

  
pas et, par le nombre des impulsions appliquées aux moteurs, on peut déterminer l'étendue du mouvement de la feuille 19, à partir de la position de référence précitée, dans la direction de l'axe des X et dans la direction de l'axe des Y, et détecter une position précise de cette feuille 19. A la manière décrite ci-dessus, on amène celui des cadres ou zones 107 de formation d'image que

  
 <EMI ID=27.1> 

  
position.

  
La feuille 19 peut prendre la forme non seulement d'un microfilm, sur lequel plusieurs cadres sont disposés sous la forme d'une matrice, mais aussi celle d'une pellicule en forme

  
de rouleau, sur laquelle sont disposés côte à côte plusieurs  cadres ou même d'une pellicule découpée sur laquelle n'est formé qu'un seul cadre. La feuille 19 de. type microfilm peut être maintenue par le porte-feuille sur deux côtés, ou sur plus de deux côtés, ainsi que sur un seul côté. Mais, du point de vue de la mise en contact de la feuille 19 avec la face terminale d'un dispositif de chauffage sur toute la surface, et du point de

  
vue du pressage de la feuille 19 sur le corps 53 tubulaire, il vaut mieux que la feuille 19 soit maintenue sur un seul côté.

  
On se réfère maintenant aux figures 2 à 4, pour illustrer un exemple des moyens de chauffage, des moyens de refroidissement et des moyens d'exposition, qui forment la partie principale de l'appareil suivant l'invention, et pour décrire l'agencement de chacun d'eux aux positions de chauffage, de refroidissement et d'exposition. Dans le mode d'exposition représenté, les moyens de chauffage comprennent des moyens de chauffage préalable, des moyens de développement à la chaleur, qui sont distincts, et ces deux moyens sont décrits sous la forme de corps solides  <EMI ID=28.1> 

  
à température élevée, par exemple de blocs métalliques. De même, les moyens de refroidissement sont constitués par un corps solide de refroidissement, par exemple par un bloc métallique. Comme illustré aux figures 3 et 4, le support 49 de l'unité photographique en forme de L inversé est monté de manière fixe sur la plaque 22 de base, à l'arrière de celle-ci. La paroi 51 verticale du support 49 s'élève de la plaque 22 de base à angle droit et une plaque 52 supérieure horizontale du support 22 va, en direction de la face 15 frontale, en étant pratiquement parallèle à

  
la plaque 22 de base. Dans la plaque 52 supérieure est ménagé

  
un trou 55 dans lequel le corps 53 tubulaire est ajusté correctement et est fixé.

  
Le corps 53 tubulaire est constitué, par exemple, d'un bloc métallique dans lequel est ménagé un trou 54 vertical traversant de part en part, en direction de la plaque 22 de base,

  
et la lentille 18 est disposée dans le trou 54. Dans le corps tubulaire 53 sont ménagés, à gauche et à droite du trou 54, des évidements 57, 57a et 58 qui débouchent vers la plaque 22 de base, chacun de ces évidements ayant une dimension correspondant à chaque cadre 107 ou zone de formation d'image de la feuille 19. Le bord périphérique de chaque évidement est conformé de tous côtés à la forme du cadre, pour constituer une partie des moyens pour fixer la feuille 19 pendant le chauffage.

  
En regard des évidements 57, 57a et 58, sont disposés

  
un premier dispositif 61 de chauffage destiné au chauffage préalable, un dispositif 61a de refroidissement et un second dispositif 62 de chauffage destiné à être utilisé pour le développement par chauffage. Les dispositifs 61 et 62 de chauffage et le dispositif 61a de refroidissement sont portés respectivement à l'une des extrémités de leviers 63, 63a et 64 rotatifs qui sont perpendiculaires à la paroi 51 verticale du support 49, comme illustré aux figures 4 et 5. Les leviers 63, 64 et 63a font saillie vers l'arrière par une ouverture 65 ménagée dans la paroi
51 verticale du support 49. Les leviers 63, 64 et 63a sont montés respectivement à pivotement, en un endroit intermédiaire, sur un axe 95 comptant deux pattes 93 et 94 s'élevant d'une console 66 fixée à l'arrière de la paroi 51 verticale.

   Les portions d'extrémité arrière des leviers 63, 64 et 63a sont montées à pivotement sur des noyaux 69, 71 et 69a plongeurs de solénoïdes 67, 68 et
67a, montés sur les consoles 66 respectivement. En commandant les  <EMI ID=29.1> 

  
et 63a de manière à amener les dispositifs 61 et 62 de chauffage et le dispositif 61a de refroidissement contre la feuille 19. Les cadres de la feuille 19 sont maintenus respectivement et fixés par l'élément en forme de cadre de l'évidement 57 et par dispositif 61 de chauffage,par l'élément en forme de cadre

  
de l'évidement 59 et par le dispositif 62 de chauffage et par l'élément en forme de cadre de l'évidement 57a et

  
par le dispositif 61a de refroidissement. Les faces d'extrémité des dispositifs 61 et 62 de chauffage et du dispositif 61a de re&#65533; froidissement, du côté de la feuille 19, ont à peu près la même dimension que chaque cadre de la feuille 19, mais sont un peu plus grands que les évidements 57, 58 et 57a.

  
Dans ce qui.précède, on a décrit chacun des moyens de fixation de la feuille sous la forme d'un cadre, mais ces moyens de fixation doivent seulement fixer, pendant au moins le traitement thermique, les zones de formation d'image de la feuille 19 qui sont soumises à un chauffage préalable, à un refroidissement, à une exposition à la lumière et à un développement à la chaleur. C'est pourquoi les moyens de fixation peuvent être aussi sous forme de plaques ou autres. Mais, du point de vue de l'uniformité du traitement, il vaut mieux que l'un au moins de chacun de ces moyens de fixation soit conformé en cadre. Dans le cas où une couche de matière photosensible est formée sur un substrat, il vaut mieux que côté de la couche de matière photosensible de la feuille de formation d'image soit encadré. Il en va de même des moyens de fixation pour l'exposition décrite ciaprès.

  
Comme représenté aux figures 2 et 3, le trou 54 du corps
53 tubulaire est fileté et un corps 55 tubulaire, dont la face extérieure périphérique est filetée et qui porte la lentille 18, est vissé dans le trou 54. En faisant tourner le corps 55 tubulaire, on ajuste la position de la lentille 18 par rapport à la feuille 19 qui est en contact avec la face d'extrémité du corps
53 tubulaire, grâce à quoi il est possible d'obtenir une commande fine de la position pour laquelle l'image d'un objet est formée. La position du corps 55 tubulaire et, en conséquence, la position de la lentille 18, est fixée en serrant un écrou 56 vissé sur

  
le corps 55 tubulaire. La dimension de l'extrémité ouverte du trou 54, du côté de la feuille 19, correspond à la surface d'un cadre de la feuille 19 et le bord périphérique définissant l'extrémité ouverte est également utilisé comme cadre formant

  
partie des moyens pour fixer la feuille 19 pendant l'exposition.

  
Comme le montre la figure 5, un levier 72 rotatif est interposé entre les leviers 63a et 64 en leur étant parallèle

  
de manière à être sûr que, pendant l'exposition,la feuille 19 soit retenue d'une manière précise en la position où se forme l'image d'un objet. Le levier 72 porte, à l'une de ses extrémités, un second cadre 73 creux, destiné à l'exposition et est monté pivotant à l'autre extrémité sur un solénoïde 74 monté sur une console 66, tandis qu'en outre le levier 72 est monté pivotant en une position intermédiaire sur un axe 95 porté par deux pattes 93 et 94 s'élevant de la console 66. En commandant le solénoïde 74, on fait tourner le levier 72, grâce à quoi la feuille 19 est pressée par le cadre 73,en vue d'exposer,sur-le bord périphérique semblable à un cadre des trous 54 du corps 53 tubulaire qui constitue l'autre cadre de serrage. En conséquence, la feuille 19 est serrée entre ces deux cadres et est maintenue en une position fixe.

   Dans ce cas, le second cadre 73 est tel par rapport au trou 54 que la feuille 19 soit pressée sur le corps 53 tubulaire. Le cadre 73 creux peut être non seulement

  
en forme de cadre, mais aussi en forme de plaque, mais il vaut mieux qu'il soit en formé en cadre creux, de manière à ce qu'il puisse s'y former un trajet de lumière provenant d'une source
162 de lumière, en vue de la lecture par un dispositif de lecture qui sera décrit plus loin.

  
La figure 3 illustre un agencement préféré dans lequel les distances de centre à centre, par rapport aux zones ou cadres successifs de formation d'image de la feuille 19, des évidements
57 et 57a du trou 54 et de l'évidement 58, sont égales et dans lequel ces évidements 57 et 57a, ce trou 54 et cet évidement 58 sont alignés, les moyens de chauffage préalable, les moyens de refroidissement, les moyens d'exposition et les moyens de développement à chaud étant placés respectivement en correspondance avec des zones successives de formation d'image. La figure 9A illustre une variante des moyens de fixation de la feuille 19 lorsque les moyens de chauffage sont pressés contre elle. Ces moyens de fixation comprennent un premier et un second cadres serrant entre eux la feuille 19. Le second cadre
146, destiné à presser la feuille 19, entoure le dispositif 62  <EMI ID=30.1> 

  
cadre 146 sur le premier cadre constitué par la face d'extrémité de l'évidement 58, en vue du chauffage, qui est ménagé dans le corps 53 tubulaire, l'une des zones ou cadres de la feuille 19 est maintenue par les deux cadres des deux côtés. En même temps, même si la température des dispositifs 62 de chauffage devient trop élevée au-delà d'une valeur donnée, on peut éviter la diffusion de la chaleur vers les zones ou cadres adjacents de la feuille. En outre, la fixation de la feuille 19 pendant le chauffage permet de chauffer de manière uniforme toute la zone de formation de l'image, d'obtenir la même sensibilité sur toute la zone et d'éviter la déformation de la feuille 19 qui se produirait sinon au chauffage. Ceci est efficace pour augmenter la sensibilité.

  
Le second cadre 146, illustré à la figure 9A, peut être également utilisé avec le dispositif 61a de refroidissement. Il est particulièrement préféré de faire agir le dispositif 61 de chauffage ou le dispositif 61a de refroidissement après avoir fixé la feuille 19 en position à l'aide des deux cadres, c'està-dire des moyens de fixation constitués du premier cadre 146 et de la face d'extrémité de l'évidement du corps 53 tubulaire. En outre, si le cadre destiné au chauffage, le corps tubulaire, le cadre destiné au développement par la chaleur et/ou le cadre destiné au refroidissement ont respectivement la dimension de l'une des zones ou cadres de la feuille de formation d'image, et sont fixés ou sont formés en une structure unitaire, l'agencement est simplifié en comparaison de celui que l'on obtient dans le cas où ils sont distincts et fonctionnent séparément.

  
En général, quand la feuille a plusieurs cadres, ils sont alignés et, en conséquence, il est souhaitable qu'au moins les premiers moyens de chauffage du moyen d'exposition et le second moyen de chauffage soient également alignés. En particulier, il vaut que les quatre moyens que sont les premiers moyens de chauffage, les moyens de refroidissement, les moyens d'exposition et les seconds moyens de chauffage soient alignés.

  
Les premiers moyens de chauffage, les moyens d'exposition et les seconds moyens de chauffage sont habituellement adjacents, mais d'autres moyens peuvent également être interposés entre eux, si c'est nécessaire.

  
La zone de formation d'image de la feuille, après qu'elle  <EMI ID=31.1> 

  
due photosensible, est déplacée d'un cadre et refroidie par les moyens de refroidissement précités, puis décalée d'un autre cadre vers une position d'exposition, où l'image d'un objet disposé sur le porte-objet 13 est projetée sur ce cadre de la feuille 19 amenée en position d'exposition. A cet effet, une plaque
114 supportant une lampe est fixée à la face inférieure de la portion d'extrémité inférieure de la pièce 12a, obliquement audessus du porte-objet 13, comme illustré à la figure 2. Sur la plaque 114 sont montées côte à côte des douilles 116 de lampes destinées à recevoir des lampes 118 oblongues fluorescentes- La plaque 114 est agencée de manière que les lumières provenant des lampes 118 fluorescentes soient dirigées vers le porte-objet 13.

  
La lumière réfléchie par l'objet placé sur le porte-objet
13 va vers la pièce 12a, en suivant une direction à peu près perpendiculaire au socle 11. Une fenêtre 121 de réception de la lumière est ménagée dans la pièce 12a et s'ouvre vers le porteobjet 13. Un capot 122 est fixé à la fenêtre 121 en s'étendant vers le bas à partir de celle-ci afin de faire écran contre toute lumière extérieure. Après avoir pénétré dans la pièce 12a, la lumière réfléchie par l'objet tombe sur un réflecteur 123 monté dans la pièce 12a et faisant un angle de 45[deg.] à peu près avec la plaque 11 de base et la lumière réfléchie par le réflecteur 123 est réfléchie parle réflecteur 125 pour aller à la lentille 18 de projection du corps 53 tubulaire, suivant l'axe optique de cette lentille.

  
Dans la pièce 12a et dans l'enveloppe 12, il y a aussi une boite 126 tubulaire formant écran pour la lumière qui va du bord intérieur du capot 122 en entourant les trajets optiques compris entre les réflecteurs 123 et 125 et entre le réflecteur
125 jusqu'à un obturateur 129.

  
Il en résulte que l'image de l'objet sur le porte-objet
13 est réfléchie par les réflecteurs 123 et 125 puis projetée par la lentille 18 sur la feuille 19. Afin de déterminer la durée d'exposition de la feuille 19 à l'image de l'objet, il est prévu sur la boite 126 formant écran, du côté du réflecteur 125, l'obturateur 129 afin de laisser passage au trajet 128 optique et d'interrompre ce trajet du côté de la lentille 18 de projection. L'obturateur 129 est entraîné par exemple par un solénoïde 131 de manière à s'ouvrir et à se fermer. L'obturateur 129 est ouvert par des moyens automatiques de détection d'exposition connus, bien que non représentés, pendant une durée d'exposition convenable. Il va sans dire que la couche de matière photosensible de la feuille 19 est en regard du trou 54 du corps 53 tubulaire.

  
On peut empêcher la probabilité d'un réenregistrement accidentel sur un cadre déjà enregistré, c'est-à-dire la formation d'une image double,de diverses façons. Un procédé efficace consiste à disposer une bande de matière réfléchissante sur au moins un côté, de préférence sur tous les côtés, du porte-objet
13 correspondant à peu près à une zone de formation d'image de la feuille 19, et de photographier la bande en même temps que

  
 <EMI ID=32.1> 

  
qu'un cadre 133 très réfléchissant, ayant un facteur de réflexion élevé, est formé sur la partie marginale du porte-objet 13 de tous les côtés. C'est-à-dire que le porte-objet 13 est constitué d'un substrat en une couleur ayant un facteur de réflexion bas, par exemple de couleur noire, et est entouré d'un cadre 133 carré dans une matière blanche, par exemple en une feuille d'aluminium ou semblable, ayant un facteur de réflexion élevé, et dont la dimension intérieure.est égale à la dimension extérieure du porte-objet 13 correspondant à un cadre.

   Un objet est placé dans le cadre 133 très réfléchissant et positionné, par rapport à ce cadre 133, et un enregistrement de densité en fonction du facteur de réflexion du cadre 133 est toujours prévu sur la partie marginale intérieure de la zone de formation d'image de la feuille
19 correspondant à la partie marginale de l'objet. Le cadre 133 très réfléchissant peut également être obtenu par une conformation en saillie-d'un côté ou de tous les côtés.

  
Pour détecter un cadre déjà enregistré, on dispose en une position située à une distance d'un cadre de l'image 19 à partir de l'évidement 57 du corps 53 tubulaire du côté opposé

  
au trou 54, un détecteur pour éviter la formation d'une image double qui vérifie si ou non la marge de l'objet est photographiée sur le cadre soumis à la vérification. Ce détecteur prévenant la formation d'une image double est composé, par exemple, d'une photodiode ou d'un dispositif 134 semblable émettant de la lumière, et d'un phototransistor ou d'un photodétecteur 135 semblable, entre lesquels est interposée la feuille 19.

  
Le dispositif 134 émetteur de lumière est monté sur un prolongement du corps 53 tubulaire, tandis que le photodêtecteur
135 est supporté de sorte qu'il peut être avancé et retiré par rapport à la -feuille 19 de la même manière que le dispositif 61 de chauffage, bien que cela ne soit pas représenté. Lorsque la quantité de lumière reçue par le photodétecteur 135 est inférieure à une valeur prescrite, on décide que le cadre a déjà

  
reçu un enregistrement.

  
On décrira maintenant plus en détail les moyens pour éviter la formation de l'image double. C'est ainsi, par exemple, que, comme le montre la figure 11, dans le cas d'un cadre ayant déjà reçu un enregistrement, il se forme autour du cadre 107 sur la feuille 19 un cadre 181 d'enregistrement de densité élevée correspondant au cadre 133 très réfléchissant du porte-objet 13 décrit préalablement à propos de la figure 1. Des dispositifs
134x et 134y émetteurs de lumière sont disposés en regard des parties suivant la direction X et suivant la direction X du cadre
181 enregistrées respectivement et des photodétecteurs 135x et
135y sont disposés en regard des dispositifs 134x et 134y émetteurs de lumière respectivement, bien qu'ils soient dans l'ombre de la feuille 19 à la figure 11.

  
Les dispositifs 134x et 134y émetteurs de lumière sont disposés en regard des photodêtecteurs 135x et 135y respectivement, la feuille 19 étant interposée entre eux comme illustré à la figure 12. Dans cet exemple, les photodétecteurs 135x et 135y sont des phototransistors dont les collecteurs sont respectivement connectés à une borne d'entrée d'un comparateur 182, par l'intermédiaire de diodes 132x et 132y formant un_circuit OU, l'autre borne d'entrée du comparateur 182 étant alimentée par une tension de référence.

  
Si l'un des photodétecteurs 135x et 135y vient en regard du cadre 181 d'enregistrement, le signal de sortie du photodétecteur acheminé au comparateur 182 augmente au-delà de la tension de référence et le comparateur 182 fournit un signal de sortie

  
de bas niveau. Ce signal de sortie de bas niveau est appliqué à un transistor 183 PNP pour le rendre conducteur et une diode

  
184 émettrice de lumière s'allume avec le résultat qu'un photodétecteur 185 associé à la diode 184 pour constituer un photocoupleur reçoit une information indiquant que le cadre a déjà

  
reçu un enregistrement.

  
Dans le cas où un couple de photodétecteurs et de dispo- <EMI ID=33.1> 

  
sitifs émetteurs de lumière pour détecter un cadre ayant déjà reçu un enregistrement est prévu pour chacune des directions X

  
et Y. du cadre 181, comme décrit ci-dessus, même si les couples

  
de photodétecteurs et de dispositifs émetteurs de lumière sont

  
un peu hors de position par rapport. à la feuille 19, au moins l'un des couples vient en regard du cadre 181, ce qui assure la détection de celui-ci.

  
Ci-dessus, on a utilisé la lumière transmise par le cadre 181 photographié sur la feuille 19 pour éviter la formation d'une image double, mais il est aussi possible d'utiliser à cet effet la lumière réfléchie par la cadre 181. Il est également possible d'utiliser la lumière transmise ou réfléchie par une image photographiée dans le cadre, sans avoir à prévoir le cadre
133 très réfléchissant ni à le photographier. Ces moyens pour empêcher la formation d'une image double sont disposés de préférence en alignement avec les premiers moyens de chauffage, les moyens d'exposition et les seconds moyens de chauffage ; en particulier, il vaut mieux que les moyens pour éviter la formation d'une image double, que les premiers moyens de chauffage, que les moyens de refroidissement, que les moyens d'exposition et

  
que les seconds moyens de chauffage soient alignés.

  
Quand la feuille 19 a été déplacée dans la direction de l'axe des X pour mettre le cadre à enregistrer en la position correspondant aux moyens pour éviter la formation d'une image double, comme illustré à la figure 3, on vérifie par le dispositif 134 émetteur de lumière et par le photodétecteur 135 si le cadre a déjà reçu un grand nombre d'enregistrements ou.non-. Lorsque l'on détecte que le cadre n'a pas encore reçu d'enregistrement, on_donne des instructions à des moyens de transfert de la feuille 19 et celle-ci est déplacée sur une distance correspondant à un cadre vers la position de chauffage préalable où le cadre est chauffé en vue de l'activation. , Le cadre de la feuille 19 ainsi rendu photosensible par activation est ensuite amené à la position de refroidissement où le cadre chauffé au préalable est refroidi.

   Le cadre de la feuille 19, ainsi refroidi après avoir été activé, est encore déplacé vers la position d'exposition où l'image d'un objet est projetée sur le cadre.

  
Le cadre ainsi exposé est alors décalé d'une distance d'un cadre vers la position de développement par chauffage où l'image latente portée par le cadre est développée par chauffage, ce qui achève  <EMI ID=34.1> 

  
le processus d'enregistrement effectué sur un cadre.

  
Suivant l'invention, il vaut mieux afin d'obtenir une formation uniforme de l'image sur toute la zone de chaque cadre, prévoir des moyens de pression de manière, quand les moyens de chauffage préalable ou les moyens de développement par la chaleur sont constitués par un corps solide à température élevée ou quand les moyens de refroidissement sont constitués par un corps solide, à pouvoir appliquer une pression de fluide à la partie chauffée ou refroidie de la feuille sur la face opposée

  
à celle où se trouvent les moyens sous forme de corps solides.

  
On crée la pression à l'aide du fluide après, ou en même temps que l'on fixe la feuille en position par les moyens de fixation, de préférence alors que les moyens mettant en oeuvre un corps solide sont en contact avec la feuille. Comme fluide,

  
on peut utiliser à cet effet un gaz ; on préfère notamment de l'air comprimé. En pressant uniformément au moins une zone de formation d'image de la feuille par le fluide vers le corps solide de chauffage ou de refroidissement, on met toute la zone de formation de l'image en contact étroit avec la face du corps solide, avec des pressions de contact uniformes, et on obtient ainsi un chauffage ou un refroidissement uniforme. En conséquence, le chauffage prélable uniforme rend la zone de formation d'image photosensible sur toute la superficie, tandis que le développement par la chaleur uniforme ou le refroidissement uniforme procure une élévation de sensibilité sans dispersion, assurant ainsi une formation d'image d'une reproductibilité excellente. En outre, il est possible d'éviter les déformations par

  
la chaleur de la zone de formation d'image provoquées par la

  
mise sous pression et par le chauffage de la feuille, à l'aide des dispositifs de chauffage au cours du chauffage. Il est souhaitable que la pression appliquée à la feuille, à l'aide d'un fluide, soit comprise entre 100 et 1000 mm d'H20.

  
Comme exemple préféré de moyens pour presser la feuille, on peut mentionner des orifices 136, 136a et 137 d'entrée du

  
gaz, ménagés respectivement dans le corps 53 tubulaire, de manière à aller des fonds des évidements 57, 57a et 58 vers l'extérieur, comme représenté aux figures 3 et 7. Les orifices 136,
136a et 137 communiquent respectivement par les conduits 138,
138a et 139 avec des soufflets 141, 14 la et 142 servant de sources de gaz sous pression. Sur les soufflets 141, 141a et  <EMI ID=35.1> 

  
142, sont montés pivotants des noyaux plongeurs de solénoïdes..
143, 143a et 144, de sorte que lorsque les solénoïdes sont excités, les soufflets se contractent, ce qui envoie de l'air aux évidements 57, 57a et 58.par les conduits qui leur correspondent.

  
Un agencement pour dilater et pour comprimer le soufflet 141 est tel qu'illustré par exemple à la figure 3. L'une des extrémités du soufflet 141 est fixée à une plaque 301 de montage, ellemême fixée à la plaque 22 de base, et le solénoïde 143 est également monté sur une plaque 302 de montage fixée à la plaque 22 de base. En excitant le solénoïde 143, on fait tourner une extrémité d'une biellette 303 autour d'un axe 306 porté par deux pattes en saillie de la plaque 302, ce qui presse l'autre extrémité du soufflet 141 vers la plaque 301 et comprime le soufflet 141. Lorsque le solénoïde 143 est désexcité, le soufflet 141 est dilaté par la force du ressort du solénoïde 143 afin de revenir en la position initiale. Les soufflets 141a et 142 sont également dilatés et comprimés par le même agencement que celui qui vient d'être décrit.

   Comme source de gaz sous pression, on préfère utiliser une pompe et, dans un tel cas, on peut appliquer correctement la pression en commandant la pompe.

  
La figure 7 est une vue en coupe à échelle agrandie illustrant la position dans laquelle les dispositifs 61 et 62 de chauffage, le dispositif 61a de refroidissement et le second cadre 73 pour l'exposition sont pressés sur le corps 53 tubulaire avec interposition de la feuille 19. Quand on applique de l'air sous pression aux évidements 57, 58 et 57a en la position où la feuille 19 est pressée sur le corps 53 tubulaire par les dispositifs 61 et 62 de chauffage et par le dispositif 61a de refroidissement, les zones de la feuille 19 sous-jacentes aux évidements 57, 58 et 57a sont pressées d'une manière uniforme sur les dispositifs 61 et 62 de chauffage et sur le dispositif 61a de refroidissement. En conséquence, la. feuille 19 est chauffée et refroidie uniformément sur toutes ses zones.

   Les dimensions des évidements 57, 58 et 57a sont choisies plus grandes que celles d'un cadre y compris sa marge, de sorte que les parties marginales des évidements 57, 58 et 57a ne touchent pas la zone de formation d'image, c'est-à-dire que la portion marginale de chaque évidement est en.dehors de l'image projetée du cadre 133 très réfléchissant destiné à éviter la formation d'une image double.

  
A l'exemple de la figure 7, des plaques 145, 145a et 145b de répartition de la pression sont disposées respectivement dans les évidements 57, 57a et 58 en une position intermédiaire en regard de.la feuille 19. Ces plaques peuvent être en métal fritté, par exemple en laiton ou en acier inoxydable, ou en matière spongieuse, poreuse, ou ce peut être des plaques ayant chacune des perforations réparties d'une manière à peu près uniforme sur toute la surface. En bref, l'air sous pression fourni par.les entrées 136, 136a et 137 est réparti par les plaques
145, 145a et 145b de manière à être appliqué uniformément à la feuille 19.

  
Mais on peut se dispenser des plaques rêpartitrices mentionnées ci-dessus en modifiant les positions des orifices d'entrée du gaz sous pression, c'est-à-dire en ménageant les orifices
136, 136a et 137 d'entrée du gaz sous pression dans les parois latérales des évidements ..57, 57a et 58, comme indiqué par des lignes en traits interrompus à la figure 7 ou en mettant les orifices d'entrée du gaz aussi loin que possible de la feuille
19.

  
Comme moyens de chauffage et comme moyens de refroidissement, on préfère tout particulièrement des corps solides à temtérature élevée, et un corps solide à basse température, destinés à venir en contact direct avec la feuille pendant le chauffage et le refroidissement respectivement. En outre, il est souhaitable que les dispositifs de chauffage et le dispositif de refroidissement soient d'une dimension supérieure à la dimension intérieure de chacun des évidements 57, 58 et 57a ayant des portions marginales en forme de cadre sur tous les côtés, mais ne soient pas suffisamment grands pour chevaucher les cadres adjacents et pour retenir la feuille 19 en combinaison avec la portion marginale en forme de cadre( de chacun des évidements 57, 58 et 57a.

  
La figure 8 représente, en perspective, le corps 53 tubulaire et le côté sur lequel sont prévus les dispositifs 61 et 62 de <EMI ID=36.1> 

  
cadre 73 destiné à l'exposition. Si le corps 53 tubulaire est en une matière ayant une conductivité thermique relativement élevée, telle qu'en laiton, le chauffage par les dispositifs 61 et 62 de chauffage et par le dispositif 61a de refroidissement est absorbé par le corps 53 tubulaire ayant une grande capacité thermique en traversant la feuille 19, aux portions marginales des dispositifs de chauffage et du dispositif de refroidissement, ce qui  <EMI ID=37.1> 

  
les cadres adjacents. 

  
La figure 9 illustre des variantes des moyens pour chauffer ou pour refroidir uniformément un seul cadre de la feuille 19. A la figure 9A, un second élément 146 en forme de cadre est prévu autour du dispositif 62 de chauffage afin de presser la feuille 19 sur le corps 53 tubulaire. Un tel élément
146 en forme de cadre empêche la diffusion thermique vers les cadres adjacents, même si la température du dispositif 62 de chauffage s'élève indûment et,associée au pressage de la feuille
19 sur le corps 53 tubulaire par le dispositif 62 de chauffage, permet d'obtenir une double étanchéité, de sorte que même si la pression du gaz sous pression augmente, du gaz ne s'échappe pas entre la feuille 19 et le corps 53 tubulaire, ce qui assure un chauffage plus uniforme.

  
Dans ce qui précède, on applique une pression positive

  
à la feuille 19 pour la presser, mais il est également possible de lui appliquer une dépression du côté opposé, pour obtenir les mêmes résultats que ceux que l'on obtient en la pressant. La figure 9B représente, à titre d'exemple, un agencement de ce type dans lequel l'orifice 137 d'entrée du gaz, ménagé dans le corps 53 tubulaire, afin de déboucher dans l'évidement 58, n'est plus prévu, l'extrémité ouverte du second élément 146 en forme de cadre du côté opposé de la feuille 19 étant recouvert d'une plaque 147 et un arbre 148 d'entraînement du dispositif de chauffage faisant saillie de la plaque 147 par une étoupe 149 étanche aux gaz. Un orifice 151 d'aspiration est ménagé dans la plaque 147 et de l'air se trouvant dans le second élément 146 en forme de cadre est aspiré par un conduit 152 communiquant avec l'orifice 151.

   En conséquence, la pression à l'intérieur du second élément 146 en forme de cadre est négative par rapport à la pression extérieure, ce qui fait que la feuille 19 est pressée uniformément sur le dispositif 62 de chauffage. A la figure 9C, comme la feuille 19 est attirée vers le côté des dispositifs de chauffage, lorsque l'on applique une dépression à la feuille, comme indiqué ci-dessus, un évidement 153 ayant à peu près la même taille que l'évidement 58 du corps 53 tubulaire est ménagé dans le dispositif 62 de chauffage du côté de la feuille 19. Un agent 154 thermique poreux ayant une conductivité thermique élevée garnit l'évidement 153 et un orifice 151 de dépression est ménagé dans le dispositif 62 de chauffage et débouche dans l'évidement 153.

   En aspirant de l'air par l'orifice
151, on attire la feuille 19 vers le dispositif de chauffage et la chaleur de ce dispositif 62 se propage par l'agencement 54 à la feuille 19. Comme agent 154 on peut utiliser un métal fritté en acier inoxydable ou autre. Les figures 9A à 9C illustrent

  
des moyens de développement à chaud, mais ces agencements peuvent également être appliqués au moyen de chauffage préalable ou

  
au moyen de refroidissement. Bien que l'on ait fait référence cidessus aux moyens de pressage utilisant une dépression, un pressage utilisant une pression positive est plus pratique en termes de qualité d'image obtenue.

  
Le chauffage ou le refroidissement de la feuille 19

  
peut être effectué par un procédé de chauffage mettant en contact un gaz à température élevée avec la feuille, ou exposant la feuille à une irradiation par des rayons infrarouges ou ayant une longueur d'onde allant au-delà de l'infrarouge, ou par un procédé de refroidissement mettant en contact un gaz à basse température avec la feuille, ainsi que par le procédé décrit cidessus de mise en contact d'un corps solide à température élevée ou à basse. température directement avec la feuille de formation d'image.

   Comme procédé pour mettre la feuille en contact avec un gaz à température élevée ou à basse température, on peut mentionner un procédé suivant lequel on souffle du gaz à température élevée ou à basse température sur la feuille, ainsi qu'un procédé suivant lequel on dispose un corps solide à température élevée ou à basse température au voisinage, mais à distance, de la feuille, de manière à chauffer ou à refroidir du gaz se trouvant dans l'intervalle d'air très étroit défini entre le corps solide et la feuille. Il est aussi possible de combiner le procédé utilisant un corps solide et celui utilisant du gaz ou des rayons infrarouges ou autres.

  
La figure 13 représente, à titre d'exemple, un agencement pour souffler de l'air chaud ou de l'air à basse température sur la feuille de formation d'image, en vue de la réchauffer ou de la refroidir. Un générateur 351 d'air chaud est composé de générateurs 351a et 351b. Dans le générateur 351a de l'air qui est attiré par un conduit 353, à l'aide d'une pompe 352, est envoyé normalement en traversant un filtre 354 collecteur des poussières, dans un réservoir 355 d'air chauffé. Dans ce cas, la pompe 352 est placée sous la commande d'une pièce 357 d'un

  
 <EMI ID=38.1> 

  
de sorte que .la pression dans ce réservoir est maintenue à toute valeur souhaitée. L'air du réservoir 355 est toujours insufflé par une soufflante 358 dans un dispositif 361 de chauffage de l'air par l'intermédiaire d'un conduit 359. Une unité 364 de chauffage du dispositif 361 est commandée par le signal de sortie de la partie 363 de sortie d'un élément 361 de détection de la température placé dans le réservoir 365 et de l'air chauffé

  
à une température donnée à l'avance est retourné du dispositif
361 de chauffage au réservoir 355, par l'intermédiaire de la soufflante 358. De cette manière, l'air du réservoir 355 est contrôlé et reste à une température donnée à l'avance.

  
Quand la feuille 19 est chauffée ou est refroidie, elle est maintenue à l'avance entre le corps 53 tubulaire et le second élément 146 en forme de cadre.

  
Dans le cas où l'on chauffe la feuille 19 au préalable, des électrovannes 365 et 366 à trois voies sont ouvertes pour permettre la mise en communication,d'une part d'un conduit 368 et 368a d'air, et d'autre part d'un conduit 372 et 372a pour l'air, et une soufflante d'air est entraînée de manière que l'air chauffé du réservoir 365 soit insufflé dans l'évidement

  
57, à partir d'un jet 369a par l'intermédiaire de la soufflante
367 du conduit 368a, de l'électrovanne 365, du conduit 368 et

  
de l'orifice d'entrée de l'air 369, ce qui chauffe au préalable la feuille 19. Ensuite, l'air ainsi insufflé dans l'évidement

  
57 retourne au réservoir 355 par l'orifice 371 pour la sortie de l'air, par le conduit 372, par l'électrovanne 366, par le conduit 372a, par le dispositif 361 de chauffage et par la soufflante 358.

  
En insufflant de l'air circulant chauffé sur la feuille
19, par le jet 369a, on active à la chaleur la feuille 19 de manière à la rendre photosensible.

  
Ensuite, quand on refroidit la feuille 19, on ouvre les électrovalves 365 et 366 de manière à obtenir une communication entre, d'une part le conduit 368 et le conduit 368b et, d'autre part, le conduit 372 et le conduit 372b, et on entraîne la soufflante 367 d'air. Dans ce cas, l'air provenant de l'extérieur par un conduit 368a traverse une soufflante 367a, le conduit
368b, l'électrovanne 365, le conduit 368 et l'orifice 369 d'en- <EMI ID=39.1> 

  
la feuille 19. L'air ainsi insufflé dans l'évidement 57 est évacué vers l'extérieur par l'orifice 371 de sortie, par le conduit 372, par l'électrovanne 370 et par le conduit 372b. De cette manière, de l'air aspiré de l'extérieur est insufflé sur la feuille 19 suivant le jet 369a, grâce à quoi la feuille 19 est refroidie après avoir été chauffée au préalable.

  
Le générateur 351b du générateur 351 d'air chaud est agencé de la même manière que le générateur 351a décrit ci-dessus. De l'air chaud provenant du générateur 351b passe dans un conduit
373 et dans un orifice 374 d'entrée et va dans l'évidement 58 chauffer la feuille 19, puis est retourné au générateur 351b par un orifice 375 de sortie et par un conduit 376. De la manière

  
qui vient d'être décrite, l'air circulant et chaud provenant du générateur 351b est soufflé sur la feuille 19, suivant le jet
374a, ce qui fait que la feuille 19 est développée à la chaleur. Après le processus de développement à la chaleur, la feuille 19 peut également être refroidie par insufflation d'air extérieur suivant le jet 374a à la même manière que dans le cas du refroidissement après activation par chauffage.

  
La température de l'air chaud produit par le générateur
351a est habituellement réglée de manière à rester à une valeur donnée à l'avance comprise entre 80 et 200[deg.]C, qui est un peu

  
plus élevée que la température à laquelle la feuille 19 doit

  
être chauffée. De même, la température de l'air chaud produit par le générateur 351b est en général maintenue entre 100 et 220[deg.]C.

  
A titre d'air pour le refroidissement, on utilise l'air extérieur à température ambiante, afin de refroidir la feuille

  
19 à une température comprise entre 60[deg.]C et la température ambiante. Il est aussi possible de régler la température de refroidissement à une valeur donnée à l'avance inférieure à 60[deg.]C, par exemple comprise entre 0 et 60[deg.]C, en utilisant un dispositif de refroidissement. Il est aussi possible d'adopter l'agencement illustré à la figure 14 suivant lequel l'air chaud et l'air de refroidissement ayant passé dans les orifices 369 et 374 d'entrée sont insufflés, respectivement, dans les évidements 57 et 58 par des plaques 377 et 378 distributrices en matière poreuse. En outre, l'air chaud et l'air de refroidissement peuvent également être soufflés sur la feuille 19 du côté opposé au corps 53 tubulaire.

   Dans ce cas, des éléments en forme de cadre sont prévus en regard des évidements 57 et 58, de l'autre côté de la feuille
19, et de l'air chaud et de l'air de refroidissement sont envoyés respectivement dans ces éléments en forme de cadre et sont soufflés sur la feuille 19, si nécessaire par l'intermédiaire de plaques distributrices.

  
La figure 15 illustre une variante de l'agencement pour chauffer la feuille 19, en la mettant en contact avec un gaz.

  
A la figure 15, des corps solides à température élevée sont

  
mis aussi près que possible de la feuille 19, mais ne se déplacent pas avec elle. La feuille 19 est maintenue entre le corps

  
53 tubulaire et le second élément 146 en forme de cadre et, pendant le fonctionnement, les dispositifs 61 et 62 de chauffage sont mis à proximité immédiate de la feuille 19 afin de la chauffer. On pense que le chauffage de la feuille 19 s'effectue par une association des phénomènes de conduction, de convexion et de rayonnement.

  
Comme moyens de chauffage, on peut également utiliser des rayons infrarouges ou des rayons infrarouges lointains. C'est ainsi, par exemple, que comme indiqué à la figure 16, de seconds éléments 132 et 146 en forme de cadre sont disposés respectivement en regard des évidements 57 et 58 du corps 53 tubulaire, de l'autre côté de la feuille 19. Dans ces seconds éléments 132 et 146 en forme de cadre sont disposés des générateurs
401 et 406 de rayons infrarouges respectivement. Le générateur
401 de rayons infrarouges comprend, par exemple, un dispositif
402 de chauffage et un élément 403 émettant des rayonnements infrarouges, par exemple en lanthane, en chromite ou autres,

  
qui est disposé du côté de la feuille 19. Lorsque l'on fait fonctionner le dispositif 402 de chauffage, les rayons infrarouges irradient la feuille 19 et la chauffent. Dans l'évidement 57

  
est logé un détecteur 404 de rayons infrarouges qui détecte des rayons infrarouges provenant de la feuille 19, afin de repérer la température de celle-ci. Dans un tel cas, on peut également prévoir un filtre 405 pour intercepter les composantes de longueur d'onde des rayons infrarouges qui ne sont pas absorbées par la feuille 19, c'est-à-dire les composantes de longueurs d'onde de rayons infrarouges qui ne sont pas nécessaires pour le chauffage de la feuille 19 afin de n'assurer la détection que de la composante ayant chauffé la feuille 19. L'autre générateur

  
 <EMI ID=40.1>   <EMI ID=41.1>  vient d'être décrit. Les'seconds éléments 132 et 146 en forme

  
de cadre peuvent constituer une structure unitaire avec le second élément.73 en forme de cadre disposé en regard du trou 54

  
du corps 53 tubulaire.

  
Dans le cas où, pour le chauffage, on ne met pas un

  
corps solide en contact direct avec la feuille 19, comme c'est

  
le cas pour les moyens de chauffage illustrés aux figures 15 et
16, aucune déformation de la feuille n'est provoquée par un contact direct de celle-ci avec le corps solide et la surface

  
du corps solide du côté de la feuille 19 n'a pas besoin d'être rendue lisse.

  
On a illustré ci-dessus les moyens de chauffage et de refroidissement. Comme premiers moyens de chauffage pour le chauffage préalable et comme seconds moyens de chauffage pour

  
le développement à la chaleur, on peut utiliser différents types de moyens de chauffage, mais il vaut mieux utiliser des moyens

  
de chauffage du même type. En général, il vaut mieux utiliser

  
des moyens de chauffage du type mettant en oeuvre le contact

  
d'un corps solide chauffant et de la feuille de formation d'image. Les moyens de chauffage préférés sont ceux du type mettant un corps solide directement en contact avec la feuille de formation d'image, et du type mettant un gaz en contact avec la feuille quels que soient les moyens de chauffage. En outre, il est souhaitable de fixer une zone de formation d'image de la,feuille par des moyens de fixation ou des processus de refroidissement.

  
On décrit maintenant un exemple particulier de fonctionnement dans lequel la position des moyens de refroidissement et le moment où ils fonctionnent diffère de ce qui a été décrit jusqu'ici. Le refroidissement après le chauffage préalable peut également être effectué sans prévoir le dispositif 61 de refroidissement et l'évidement 57a. C'est ainsi, par exemple, que, comme illustré aux figures 7A et 8A, de l'air à température ambiante ou de l'air refroidi est envoyé par une soufflante d'air
(non représentée) dans le trou 54 par des orifices 136b d'entrée ménagés dans la face périphérique de ce trou 54 et est soufflé sur la feuille 19, puis repart par des orifices 136c de sortie ménagés respectivement à la périphérie du trou 54 en regard des orifices 136b d'entrée.

   Il est aussi possible d'adopter un agencement tel qu'indiqué en tiretés à la figure 7A, suivant lequel du côté opposé au corps 53 tubulaire, par rapport à la feuille  <EMI ID=42.1> 

  
 <EMI ID=43.1> 

  
forme de cadre au centre de celui-ci, et en lui étant parallèle de manière que de l'air à température ambiante ou de l'air refroidi soit soufflé sur la feuille 19, à partir de ce conduit
136d. Dans ce cas, le refroidissement peut également être effectué en même temps du côté du corps 53 tubulaire. Il est aussi possible d'utiliser un agencement tel qu'illustré à la figure

  
7B, suivant lequel, après avoir mis le dispositif 61 de chauffage hors du contact avec la feuille 19, à la suite du chauffage préalable de sa zone de formation d'image, de l'air se trouvant dans le soufflet 141 est envoyé dans l'évidement 57 et dirigé sur la feuille 19 pour la refroidir.

  
Le mode de réalisation représenté aux figures 1 à 3 est destiné à ce que des informations enregistrées dans le cadre de la feuille 19 placée en position d'exposition soient projetées

  
à échelle agrandie, en vue d'être lues. A cet effet, une boîte
161 contenant une source lumineuse est montée sur la plaque 22 de base, en-dessous du second élément 73 en forme de cadre en vue de réaliser l'exposition représentée par exemple sur la figure 2. Dans la boîte 161 est prévue une source 162 lumineuse pour la lecture et, si nécessaire, un ventilateur 163 de refroidissement qui est disposé du côté de la plaque 22 de base. Des rayons lumineux provenant de la source 162 de lumière sont renvoyés par un miroir 164 concave sur le réflecteur 165, parallèlement à la plaque 22 de base, puis déviés par celle-ci vers le côté de la position d'exposition. L'axe optique de la lumière ainsi dévié à angle droit est aligné avec l'axe du second élément
37 en forme de cadre et du trou 53.

   Au-dessus du réflecteur 165, est prévue une lentille 166 dont le faisceau lumineux qui en provient traverse l'élément 73 en forme de cadre et irradie la zone de la feuille 19 qui est sous-jacente au trou 54. La lumière transmise par la feuille 19 traverse la lentille 18 de projection et est guidée du côté du réflecteur 125.

  
Entre l'obturateur 129 et le corps 53 tubulaire est prévu un miroir 168 tournant qui peut venir dans et hors du schéma optique de l'image d'un objet, comme illustré à la figure

  
10. Le miroir 168 tournant est monté pivotant sur une plaque 169 fixée à la face 15 frontale de l'enveloppe 12. L'arbre du miroir
168 est entraîné par un solénoïde 171. Pendant l'enregistrement, le miroir.168 est maintenu éloigné du trajet optique entre le  <EMI ID=44.1> 

  
réflecteur 125 et le corps 53 tubulaire, comme indiqué par les lignes en traits pleins à la figure 2. Pendant la lecture, on fait tourner le miroir 158 pour le mettre sur le chemin optique précité, de manière à ce qu'il fasse un angle par rapport à celui-ci, comme indiqué par les traits interrompus à la figure 2. En conséquence, la lumière ayant passé dans le corps 53 tubulaire est réfléchie par le miroir 168 et encore réfléchie par le réflecteur 172 monté sur la plaque 169 de montage, en passant

  
à peu près parallèlement à la face 15 frontale, puis passe dans une lentille 173 de projection avec agrandissement, en étant ensuite déviée par un réflecteur 174 pratiquement à angle droit,

  
de manière à être projetée sur l'écran 175 se trouvant sur la face 15 frontale de l'enveloppe 12. Pendant l'enregistrement, l'écran 175 est recouvert d'une plaque 176 de couverture, de sorte qu'il n'y a pas de lumière qui ne provient de l'écran 175. Pendant la lecture,.la plaque 176 de couverture est enlevée sous la commande d'un solénoïde 177 et une image enregistrée dans la zone de formation d'image positionnée juste en-dessous du trou

  
54 est projetée sur l'écran 175, à une échelle agrandie.

  
Il y a une différence entre le trajet optique allant

  
du porte-objet 13 à la feuille 19 et le trajet optique allant de la feuille 19 à l'écran 175. Dans un cas tel que décrit ci-dessus, l'enregistrement sur la feuille 19 est projeté nettement par la lentille 173 sur l'écran 175 à une échelle agrandie. L'écran

  
175 n'a pas besoin d'être toujours prévu sur la face 15 frontale, mais il peut être disposé à n'importe quel autre endroit. En tout cas, en incorporant la lentille 173 d'agrandissement dans le trajet optique, on peut projeter avec agrandissement l'information enregistrée dans n'importe lequel des cadres de la feuille
19, sans mettre la feuille 19 en une position différente de celle où elle se trouve pour la photographie et sans monter la feuille
19 sur un projecteur distinct. C'est ainsi que, pendant que l'on enregistre l'information, on peut lire celle-ci immédiatement après l'avoir enregistrée. Pour être sûr que pendant la lecture un seul cadre de la feuille 19 est en position correcte, la feuille 19 est pressée par le second élément 73 en forme de cadre sur la partie marginale du trou 54 du corps 53 tubulaire.

  
Comme on le comprend de ce qui précède, l'addition de moyens de projection à échelle agrandie exige au moins une source de lumière, une lentille ou un miroir condensant la lumière et  <EMI ID=45.1> 

  
un écran, les autres éléments étant superflus.

  
L'unité pour commander le transfert de chauffage et l'exposition.de la feuille 19, l'application d'un fluide de pression à la feuille 19 et ainsi de suite, est disposée dans un boîtier 205 placé dans l'enveloppe 12, et du côté gauche, telle que représentée à la figure 3. La commande ci-dessus est effec&#65533; tuée en utilisant par exemple un micro-ordinateur. La commande de température pour les dispositifs 61 et 62 de chauffage est également effectuée par se micro-ordinateur, tandis que la commande de température du dispositif 61a de refroidissement peut également être un refroidissement naturel.

  
Dans ce cas, l'effet d'un refroidissement naturel est augmenté si l'on prévoit une ailette de radiateur sur le dispositif de refroidissement. Il est aussi possible d'utiliser un agencement pour envoyer de l'air ou de l'eau dans le dispositif de refroidissement, ou pour refroidir ce dernier par un élément de refroidissement électronique.

  
Dans le cas où les moyens pour éviter la formation d'une image double, les moyens de chauffage préalable, les moyens de refroidissement, les moyens d'exposition et les moyens de développement à la chaleur sont alignés au même intervalle que ceux des zones de formation d'image de la feuille 19, il est possible non seulement d'effectuer un enregistrement sur une seule zone de formation d'image de la feuille 19, en la soumettant successivement aux processus respectifs, mais également d'obtenir un enregistrement à vitesse assez élevée, en.soumettant simultanément plusieurs zones de formation d'image à l'un quelconque des stades respectifs. Dans ce dernier cas, quand un premier cas désigné

  
 <EMI ID=46.1> 

  
 <EMI ID=47.1> 

  
reçu un enregistrement ou n'en a pas encore reçu. S'il n'en a pas encore reçu, la feuille de formation d'image est déplacée d'un

  
 <EMI ID=48.1> 

  
position de chauffage préalable, telle qu'illustrée à la figure

  
 <EMI ID=49.1> 

  
suivant F2 est contrôlé dans le même temps pour ce qui concerne l'exposition double. Quand on ne craint pas que le cadre F2 puisse subir une double exposition, la feuille de formation d'image est déplacée d'un cadre suivant la direction des X, de

  
 <EMI ID=50.1>   <EMI ID=51.1> 

  
le cadre F3 suivant à la position de vérification de double expo-

  
 <EMI ID=52.1> 

  
sont refroidis et préchauffés respectivement et, en même temps, on vérifie que le cadre F3 n'est pas susceptible de subir une exposition double.

  
S'il se révèle que le cadre F3 n'a pas encore subi l'enregistrement, la feuille de formation d'image est déplacée encore d'un cadre suivant la direction de l'axe des X, ce qui amène

  
 <EMI ID=53.1> 

  
de refroidissement et à la position de chauffage préalable res-

  
 <EMI ID=54.1> 

  
tion de vérification de double exposition, telle qu'illustrée

  
 <EMI ID=55.1> 

  
ment à l'exposition, au refroidissement et au processus de chauf-

  
 <EMI ID=56.1> 

  
 <EMI ID=57.1> 

  
révèle ne pas avoir déjà reçu l'enregistrement, la feuille de formation d'image est à nouveau décalée d'un cadre suivant la direction de l'axe des X, pour arriver à l'état illustré à la <EMI ID=58.1>  position de développement, le second cadre F2 se trouve en la position d'exposition, le troisième cadre F3 se trouve dans la

  
 <EMI ID=59.1> 

  
 <EMI ID=60.1> 

  
est en position de vérification de double exposition. Les cadres

  
 <EMI ID=61.1> 

  
sition, un refroidissement et un chauffage préalable respective-

  
 <EMI ID=62.1> 

  
de vérification de double exposition. Ensuite, chaque fois que la feuille de formation d'image est décalée d'une manière similaire d'un cadre suivant la direction de l'axe des X, cinq cadres sont respectivement vérifiés pour ce qui concerne l'exposition double, chauffés au préalable, refroidis, exposés et développés

  
à la chaleur, pratiquement en même temps. Dans le cas où l'on achève un tel enregistrement successif, lorsqu'un dernier cadre

  
 <EMI ID=63.1> 

  
préalable, le refroidissement, l'exposition et le développement s'effectuent en parallèle, mais on n'effectue pas de vérification de double exposition, telle qu'illustrée à la figure 12F. Quand  <EMI ID=64.1> 

  
la direction de l'axe des X, le refroidissement, l'exposition

  
et le développement s'effectuent en parallèle. Ensuite, les cadres qui sont encore en train d'être enregistrés sont soumis d'une manière similaire aux processus restants l'un après l'autre.

  
Quand on fait usage du moyen de chauffage et des moyens de refroidissement, illustrés à la figure 7A, après qu'un cadre destiné à recevoir un enregistrement a été déplacé vers la position de chauffage préalable, puis vers la position d'exposition, le second élément 73 en forme de cadre pour l'exposition est pressé sur la feuille de formation d'image et, en même temps, le solénoïde du soufflet d'alimentation en air de refroidissement est excité de manière à refroidir le cadre chauffé au préalable, puis le solénoïde de l'obturateur est excité. L'agencement illustré à la figure 7A permet de simplifier la structure du corps

  
53 tubulaire et requiert un moins grand nombre de déplacements

  
de la feuille 19, en comparaison de l'agencement de la figure 7. Dans l'agencement de la figure 7B, après que le dispositif 61

  
de chauffage pour le chauffage préalable a été mis hors de contact de la feuille 19, de l'air est envoyé de l'évidement 57 à

  
la feuille 19 pour la refroidir. Dans ce cas aussi, la structure du corps 53 tubulaire est simple et le nombre de fois où l'on doit déplacer la feuille 19 est petit en comparaison de celui

  
que nécessite l'agencement de la figure 7. En outre, comme on

  
n'a pas besoin de l'orifice 136b de sortie et de l'orifice 136c d'entrée prévus dans l'agencement de la figure 7, la structure

  
du corps 53 tubulaire en est simplifiée.

  
Les conditions pour enregistrer, dans les modes de réalisation précédents, sont les suivantes : on effectue le chauffage préalable entre 80 et 130[deg.]C, pendant une durée comprise entre 0,5 et 12 secondes-. L'exposition, après avoir rendu la feuille

  
de formation d'image photosensible, est effectuée par un éclairement de par exemple 2.000 à 10.000 lux. pendant 0,5 à 12 secondes environ et le développement à la chaleur est effectué entre
100 et 150[deg.]C, pendant 0,5 à 12 secondes environ.

  
Ci-dessus, on a utilisé un moteur pas-à-pas, pour entraîner, mettre en position et arrêter les moyens de transfert

  
de la feuille de formation d'image, mais on peut utiliser d'autres procédés. C'est ainsi, par exemple, comme décrit ci-après, qu'on peut utiliser aussi des moyens de transfert qui sont entraînés par un moteur ordinaire, qui sont mis en position par un signal produit par une combinaison d'un codeur et d'un photodétecteur et.qui sont arrêtés par un loqueteau de verrouillage. C'est ainsi que, comme illustré à la figure 18, des griffes 311 et 312 d'une-barre 308- antérieure pivotante et d'une barre 309 postérieure pivotante sont, respectivement, sorties des crochets
315 et 316 d'une roue 313 antérieure à rochet et d'une roue 314 postérieure à rochet, par l'action d'un solénoïde 307. Ensuite, un moteur 317 entraîne un arbre 323 par l'intermédiaire d'un embrayage 318 et d'engrenages 319, 321 et 322. Un codeur 324,

  
la roue dentée 321 et les roues 313 et 314 à rochet sont fixes les uns par rapport aux autres et forment une structure unitaire et sont agencés de manière qu'à chaque rotation, l'arbre 323

  
est entraîné sur la.distance de déplacement de la feuille de formation d'image pour un cadre. Quand_la roue dentée 321 tourne d'un demi-tour, une.encoche 325 du codeur 324 est détectée par

  
un photodétecteur 326. Ce signal de détection désexcite le solénoïde 307 et, par l'action de ressorts 327 et 328, les griffes 311 et 312 glissent sur la face périphérique extérieures des roues 313 et 314 à rochet respectivement. Lorsque le moteur 317 continue à tourner, le rochet 317 de la roue 313 vient frapper

  
la griffe 311 de la barre 308 et, en même temps, la griffe 312

  
de la barre 309 vient frapper le rochet 316 de la roue 314, ce qui évite le changement de sens de rotation de la roue dentée

  
321 dû aux chocs. En même temps, l'arbre_323 s'arrête de tourner. Le moteur 317 est synchronisé de manière à continuer à tourner pendant un certain temps, même après que la roue dentée 321 soit arrêtée par le signal de détection précité à partir du photodétecteur 326 et, pendant ce temps, une surcharge du moteur 317

  
est évitée par l'embrayage 318, jusqu'à ce que le moteur 317 vienne au repos après arrêt de la roue dentée 321. De cette manière, la feuille de formation d'image peut être décalée et mise en position avec une grande précision. C'est pourquoi on peut utiliser aussi un mécanisme de transfert du type décrit ci-dessus.

  
Bien que les modes de réalisation précédents utilisent des arbres filetés 33, 43 et 323 pour déplacer la feuille de formation d'image, il est possible d'utiliser un procédé mettant en oeuvre des fils, un procédé utilisant un pignon et une crémaillère ou un procédé utilisant une chaîne. Parmi ces procédés, celui déplaçant la feuille de formation d'image suivant les deux  <EMI ID=65.1> 

  
directions X et Y est efficace quand la feuille de formation d'image est une microfiche.

  
Dans.l'appareil représenté aux figures 4 et 5, le dispositif 61 de chauffage pour le chauffage préalable, le dispositif 61a de refroidissement, le dispositif 61 de chauffage pour le développement et le second élément 73 en forme de cadre pour l'exposition sont mis en et hors de contact avec la feuille de formation de l'image, mais il est aussi possible de les fixer

  
et de déplacer le corps 53 tubulaire en le mettant en contact

  
et hors de contact avec la feuille de formation d'image. En général, il est souhaitable d'adopter un agencement tel qu'illustré

  
à la figure 2, dans lequel le côté du corps 53 tubulaire est fixé et les dispositifs de chauffage et le second élément en forme de cadre pour l'exposition sont immobiles, de manière que la position de formation de l'image pour l'image d'un objet puisse être fixée facilement. En outre, le mécanisme illustré pour amener les dispositifs de chauffage et autres en contact et hors de contact avec la feuille de formation d'image convient en pratique, mais ce mécanisme peut également être remplacé par d'autres. De même, les moyens d'exposition peuvent être remplacés par d'autres moyens que ceux qui ont été cités, mais au moins une lentille de projection, pour projeter l'image de l'objet sur la feuille de formation de l'image, et un obturateur, sont nécessaires, les autres éléments pouvant être modifiés suivant la position de l'objet à placer.

   C'est ainsi, par exemple, que l'objet peut être placé au sommet de l'enveloppe, en faisant face vers le bas. En outre, les conditions d'exposition peuvent être modifiées en fixant au préalable une durée d'exposition déterminée sans utiliser un détecteur automatique d'exposition.

  
Le dispositif de traitement décrit ci-dessus à quatre positions,suivant lequel s'effectuent un chauffage préalable, un refroidissement, une exposition et un développement, en des positions individuelles, permet un entretien facile parce que chacune des fonctions différentes est effectuée en des positions différentes et diminue le temps d'enregistrement, parce que l'enregistrement a été effectué successivement sur plusieurs zones de formation d'image, en travaillant en parallèle. Mais l'exposition, le chauffage et le refroidissement peuvent également être effectués en la même position. On désignera cette technique sous le nom de technique ou appareil à une position.

   Cet appareil à une position convient particulièrement pour un enregistrement dit à un cadre dans lequel on effectue la succession d'opérations de chauffage préalable, de refroidissement, d'exposition et de développement, pour chaque cadre, c'est-à-dire que l'on enregistre l'information pour chaque cadre. L'appareil à une position convient particulièrement pour une feuille de formation d'image de type à ouverture, mais peut être également utilisé pour enregistrer sur un seul cadre d'une feuille de type microfiche ayant un certain nombre de cadres.

  
Dans ce cas, des dispositifs de chauffage du même type peuvent être utilisés pour le chauffage préalable et pour le développement par chauffage, mais il est souhaitable bien souvent que les températures de chauffage de ces deux dispositifs de chauffage diffèrent.l'une de l'autre. C'est pourquoi il vaut mieux, pour diminuer la durée d'enregistrement sur la feuille, utiliser des dispositifs de chauffage distincts et un dispositif de refroidissement et faire en sorte que les dispositifs de chauffage individuels ou le dispositif de refroidissement soient mis dans la même position par rapport à la feuille de formation de l'image, en une certaine période de temps.

   En outre, dans cet appareil à une seule position, le second élément 73 en forme de cadre pour l'exposition est utilisé en plus des dispositifs de chauffage et de refroidissement, et le chauffage préalable, le refroidissement , l'exposition et le développement sont effectués alors que la feuille est maintenue en position fixe par le corps 53 tubulaire et par l'élément 73 en forme de cadre..

  
La figure 19 illustre un appareil dans lequel le chauffage préalable, le refroidissement, l'exposition et le développement sont effectués par le processus à une seule position. Deux guides 335 et 336 sont fixés au corps 53 tubulaire, de manière qu'un cadre 107 d'une carte perforée 333 à ouverture d'une feuille de formation d'image puisse être placée sans heurt en position d'exposition, c'est-à-dire en la position correspondant à l'extrémité ouverte inférieure du trou 54. Dans le guide inférieur, est ménagée, à la position d'exposition, une ouverture un peu plus grande que le second élément 73 en forme de cadre, et l'une des extrémités du guide 305 sert de butée, de manière que la carte perforée 333 ne soit pas engagée trop loin.

  
La face de la zone 107 de formation d'image, du côté du corps 53 tubulaire, vient en contact avec le corps 53 tubulaire et celui-ci est vissé dans le corps 55 tubulaire d'un orifice
137 d'entrée de gaz sous pression étant prévu dans la paroi latérale du corps 53 tubulaire. Une bague 339 torique pour empêcher une fuite de gaz sous pression est interposée entre le corps
53 tubulaire et le corps 55 tubulaire. La surface de la zone 107 de formation d'image, du côté oppose au corps 53 tubulaire, est pressée par le second élément 73 en forme de cadre lors de l'exposition sur le côté du corps 53 tubulaire, à partir du départ du chauffage préalable jusqu'à l'achèvement du développement à la chaleur, ce qui maintient en position fixe la zone-

  
107 de formation d'image.

  
Lorsqu'il maintient la zone 107 de formation d'image, l'élément 73 en forme de cadre pour l'exposition se trouve en

  
la position D la plus élevée indiquée par la ligne en traits continus, mais sinon il est en la position E abaissée, indiquée dans la ligne en traits discontinus. Ce mouvement vers le haut et vers le bas de cet élément est effectué par des moyens (non représentés) pour le déplacer.

  
Le dispositif 61 de chauffage pour le chauffage préalable est maintenu normalement en position d'attente B, mais quand il faut effectuer le chauffage préalable, il est amené par des moyens de transfert (non représentés), à une position A d'exposition en étant entouré par le second élément 73 en forme de cadre et il chauffe au préalable la zone 107 de formation d'image puis revient à la position B. Le dispositif 61a de refroidissement est normalement en la position F d'attente, mais dans le cas où il faut effectuer un refroidissement, il est amené par des moyens (non représentés) pour le déplacer à la position A d'exposition, où il refroidit la zone 107 de formation d'image, puis est ensuite retourné à la position F.

   Le dispositif 62 de chauffage pour le développement à la chaleur est maintenu normalement en la position d'attente C et est amené, par des moyens
(non représentés) pour le déplacer, à la position A d'exposition afin de développer à la chaleur la zone 107 de formation d'image, puis est ramené à la position C.

  
Dans le cas où l'on met manuellement la zone 107 de formation d'image d'une carte perforée 333 à la position d'exposition, on n'a pas besoin de moyens de transfert de la feuille de formation d'image. La partie de la carte 333 perforée, à l'exception de la zone 107 de formation d'image, peut également  <EMI ID=66.1> 

  
prévoir seulement un dispositif de chauffage et d'augmenter la durée de contact du dispositif de chauffage avec la zone de formation d'image ou de changer le degré de chauffage suivant que l'on utilise le dispositif de chauffage pour le chauffage préalable ou pour le développement à la chaleur.

  
On peut également effectuer le chauffage préalable, le refroidissement ou le développement à la chaleur en une position différente de celle de l'exposition. Il est également possible d'adopter un processus à deux positions, suivant lequel le chauffage préalable, le refroidissement et le développement à

  
la chaleur s'effectuent en la même position qui diffère de

  
celle de l'exposition. Enfin, il est aussi possible d'appliquer un processus à une position, tel qu'illustré à la figure 19, à chaque zone 107 de formation d'image de la feuille 19, à la place de la carte 333 perforée. Le refroidissement de la feuille de formation d'image après son chauffage préalable a été décrit ci-dessus mais, pour éviter de l'endommager et de lui faire subir une déformation thermique, il vaut mieux qu'après que la feuille a été développée à la chaleur, elle soit refroidie par les moyens de refroidissement tels que ceux utilisés après le chauffage préalable.

  
Comme on l'a décrit ci-dessus, le refroidissement de la feuille de formation d'image après le chauffage préalable, mais avant l'exposition, suivant l'invention, est utile pour obtenir une image nette à contrastes fins et à contours bien délimités. En particulier, un refroidissement forcé permet de diminuer le temps nécessaire à l'obtention d'une image visible et constitue donc un procédé très utile. Ceci sera décrit en termes plus concrets à propos des exemples qui vont suivre.

   Grâce à l'appareil de formation d'image développable à la chaleur, suivant l'invention, on peut enregistrer et développer une image sur une feuille de formation d'image, cadre par cadre, sans avoir à disposer d'une pièce obscure pour manipuler une feuille brute de formation d'image et on peut préserver la feuille de formation d'image développée afin d'obtenir une reproduction ultérieure de l'enregistrement et, si nécessaire, on peut la charger à nouveau sur l'appareil de formation d'image pour y enregistrer à nouveau sur un cadre n'ayant pas reçu d'enregistrement de la feuille.

  
Puisque l'on n'a pas besoin de pièce obscure et puisque  <EMI ID=67.1> 

  
le développement n'est pas du type par voie humide, on n'utilise pas de révélateur. En conséquence, l'appareil de formation d'image est d'une.structure très simple et on peut préserver la feuille de formation d'image après l'avoir soumise à un enregistrement sur l'un ou sur plusieurs de ses cadres seulement et, si nécessaire, on peut effectuer des enregistrements supplémentaires sur d'autres cadres. En outre, grâce à l'appareil de formation d'image muni de moyens pour refroidir la feuille de formation d'image après que celle-ci a été préalablement chauffée, ce qui est l'un des traits de l'invention, il est possible d'avoir une augmentation importante de la sensibilité de la feuille de formation d'image, par le fait qu'elle est refroidie après le processus d'activation à chaud, et de produire une image visible à contrastes fins et à contours bien délimités.

  
Les exemples suivants illustrent l'invention.

  
EXEMPLE 1

  
On prépare la feuille de formation d'image par le procédé suivant. On broie, dans un broyeur à boulets pendant 24 heures, 4 parties en poids de béhénate d'argent, et 20 parties en poids d'une solution mixte de méthyléthylcétone et de toluène

  
(en le rapport de 2 à 1 en poids), pour préparer une suspension de béhénate d'argent. On prépare les compositions suivantes, en utilisant la suspension de béhénate d'argent, appliquée en revê-

  
 <EMI ID=68.1> 

  
le revêtement s'effectuant à température ambiante.

  

 <EMI ID=69.1> 
 

  

 <EMI ID=70.1> 


  
Après avoir appliqué la première couche, on y applique

  
 <EMI ID=71.1> 

  
tement à température ambiante.

  
On utilise les moyens de chauffage et de refroidissement illustrés à la figure 7, pour obtenir une image visible, par chauffage préalable, exposition et développement d'une zone donnée de la feuille de formation d'image ainsi produite.

  
La figure 20 illustre l'effet produit par l'état de la feuille de formation d'image jusqu'à ce qu'elle ait été exposée à une image lumineuse, après avoir été chauffée au préalable.

  
La feuille de formation d'image est rendue photosensible par un chauffage préalable à 100[deg.]C pendant 3 secondes, et est irradiée par la lumière d'une lampe de tungstène à 2000 W par l'intermédiaire d'une tablette à gradins, avec une illumination de 1000 lux. seconde, puis développée à 120[deg.]C pendant 3 secondes. A la figure 20, les courbes a, b, c et d indiquent les caractéristiques photosensibles de la feuille de formation d'image dans les cas où sa température immédiatement avant exposition est de
100[deg.]C environ, de 80[deg.]C environ, de 60[deg.]C environ et l'ambiante respectivement des abscisses représentant la quantité lumière à l'échelle logarithmique et les ordonnées, la densité de l'image en densité optique (OD).

  
En utilisant l'inverse de la durée d'exposition nécessaire pour obtenir une densité optique de 1,0 comme mesure de la sensibilité de la feuille de formation d'image, on constate que la sensibilité spécifique y et la densité optique maximale augmentent et que la densité optique minimale diminue dans l'ordre des courbes a, b, c et d, c'est-à-dire en fonction de l'augmentation du degré de refroidissement de la feuille dans l'intervalle compris entre le chauffage préalable et l'exposition. Ceci indique que plus la feuille est refroidie avant l'exposition, plus  <EMI ID=72.1> 

  
l'image obtenue a un contraste fin et un contour net.

  
Des résultats de la figure 20, on peut dire qu'il vaut mieux que la.feuille de formation de l'image soit à une tempéra-

  
 <EMI ID=73.1> 

  
d'image est exposée immédiatement après chauffage préalable

  
sans refroidissement,. la densité de transmission de la feuille après développement est de 0,5 dans une zone blanche d'un original, de 0,2 dans une zone noire, alors que dans le cas d'une feuille de formation d'image qui a été chauffée au préalable, puis refroidie à la température ambiante avant disposition, la densité de transmission de la feuille est de 1,3 dans la zone blanche de l'original et de 0,1 dans la zone noire. En conséquence, le refroidissement après le chauffage préalable augmente la sensibilité de la feuille de formation d'image, et donne une image ayant un contraste meilleur.

  
EXEMPLE 2

  
On forme des images sur la feuille de formation d'image de l'exemple 1, en photographiant des grilles d'essai ayant des facteurs de réflexion différents, en mettant en oeuvre l'appareil de formation d'image suivant l'invention. La figure 21 représente les caractéristiques photosensibles obtenues dans les cas (a à e) d'un refroidissement par soufflage d'air sur la feuille de formation d'image. A la figure 21, les ordonnées représentent les densités optiques des images obtenues et les abscisses représentent à l'échelle logarithmique les facteurs (%) de réflexion décrits d'essais utilisés, les chiffres en abscisses étant les facteurs de réflexion. On effectue le chauffage préalable à
100[deg.]C pendant 3 secondes. On effectue l'exposition en illuminant les grilles d'essai par une lampe fluorescente de 20 W et on photographie les grilles d'essai à échelle réduite.

   On effectue le développement à 120[deg.]C pendant 3 secondes. La température de la feuille de formation d'image, au moment de l'exposition, est de 95[deg.]C environ dans le cas de la courbe a, de 70[deg.]C environ dans le cas de la courbe b, de 60[deg.]C environ dans le cas de la courbe c, de 40[deg.]C environ dans le cas de la courbe d et de 30[deg.]C environ dans le cas de la courbe e. On voit, à la figure 21, que l'on peut obtenir une image nette, à contraste bien marqué, en refroidissant la feuille de formation d'image dans l'intervalle de temps compris entre le chauffage préalable et l'exposition. En outre, on voit que la température de la feuille au moment de  <EMI ID=74.1> 

  
l'exposition doit être de préférence inférieure à 60[deg.]C et qu'une température de la feuille inférieure à 40[deg.]C donne pratiquement le même résultat que celui que l'on peut obtenir dans le cas

  
où la feuille est à température ambiante, et que donc cette température de 40[deg.]C n'est pas préférée.

  
EXEMPLE 3

  
On prépare la feuille de formation d'image par le procédé correspondant à celui décrit au brevet des Etats-Unis d'Amérique No. 3.802.888.

  
On mélange de manière homogène 85 parties en poids d'un mélange solvant équipondéral de toluène et de méthyléthylcétone et 15 parties en poids de béhénate d'argent, pour préparer une pâte de béhénate d'argent. Ensuite, on ajoute 35 grammes de méthyléthylcétone à 9 % de polyvinylbutyral à 17 grammes de la pâte, tout en agitant, pour obtenir une solution de polyvinylbutyral dans laquelle est dispersé du béhénate d'argent. A cette solution, on ajoute 0,25 gramme de phtalazinone, 0,1 gramme d'HgBr2 et 0,89 gramme de bis- (2-hydroxy-3,5-di-tert-butylphényl) méthane et on agite le mélange. On applique le mélange en un

  
 <EMI ID=75.1> 

  
et on sèche le revêtement à température ambiante. Ensuite, on applique en revêtement une solution acétonique d'acétate de

  
 <EMI ID=76.1> 

  
et on sèche à température ambiante pour obtenir une couche protectrice.

  
Après avoir chauffé au préalable à 100[deg.]C pendant 15 secondes, on refroidit la feuille de formation d'image ainsi obtenue par le même procédé de refroidissement que celui utilisé à l'exemple 1, on irradie par une lampe au tungstène de 500 W, par l'intermédiaire d'une tablette en gradins, à une illumination

  
de 500.000 lux.seconde, puis on développe à 135[deg.]C pendant 10 secondes. On constate que le refroidissement avant l'exposition augmente la sensibilité spécifique et la densité optique maximale, comme à l'exemple 1.

  
EXEMPLE 4

  
On prépare la feuille de formation d'image par le procédé correspondant à celui décrit au brevet des Etats-Unis d'Amérique No. 3.764.329.

  
On mélange d'une manière homogène 15 parties en poids de béhénate d'argent et 85 parties en poids de méthyléthylcétone, pour obtenir une suspension de béhénate d'argent. A 67 grammes de cette suspension de béhénate d'argent, on ajoute 60 grammes de méthyléthylcétone, 10 grammes de polyvinylbutyral, 0,35 grammes d'acétate mercurique, , 0,49 gramme de N-bromosuccinimide et 20 grammes de 1-méthylpyrrolydine et on mélange suffisamment et on dissout. On applique le mélange en revêtement en une

  
 <EMI ID=77.1> 

  
à l'air à température ambiante. Ensuite, on applique en revête-

  
 <EMI ID=78.1> 

  
tion consistant en 12 parties en poids d'acétate de cellulose,

  
en 163 parties en poids d'acétone, en 2,8 parties en poids de phtalazinone et en 7 parties en poids de 2,4,4-triméthylbenzyl
(2-hydroxy-3,5-diméthylphényl)méthane, puis on sèche le revêtement. Après avoir chauffé au préalable à 100[deg.]C pendant 8 secondes, on refroidit la feuille de formation d'image ainsi obtenue par le procédé utilisé à l'exemple 1, et on irradie par de la lumière provenant d'une lampe au tungstène de 500 W, par l'intermédiaire d'une tablette à gradins, sous une illumination de
30.000 lux.seconde, et on développe à 130[deg.]C pendant 10 secondes. On constate que le refroidissement avant exposition augmente la sensibilité spécifique y et la densité et l'optique, comme

  
c'est le cas à l'exemple 1.

  
EXEMPLE 5

  
On prépare la feuille de formation d'image par le procédé décrit au brevet des Etats-Unis d'Amérique No. 4.113.496.

  
On mélange, d'une manière homogène, 12 parties en poids de béhénate d'argent, 88 parties en poids d'un mélange solvant 2:1 de méthyléthylcétone et de toluène pour obtenir une suspension de béhênate d'argent. On mélange suffisamment 6 grammes de la suspension de béhénate d'argent à 4 grammes de mêthyléthylcétone, à 0,72 gramme de polyvinylbutyral, à 0,02 gramme d'acétate mercurique, à 0,096 gramme de tétrabromobutane, à 0,03 gramme de dibromure de bis- (p-méthoxyphényle) et à 1,2 ml d&#65533;&#65533;une solution de matière colorante de sensibilisation. On applique le

  
 <EMI ID=79.1> 

  
de polyester et on sèche le revêtement à température ambiante. La solution de matière colorante de sensibilisation est une solu-

  
 <EMI ID=80.1> 

  
lidène)-butalysine]-rhodanine. Ensuite, on applique en revêtement

  
 <EMI ID=81.1>   <EMI ID=82.1> 

  
solution comprenant 8,3 grammes d'acétone, 0,62 gramme d'acétate de cellulose, 0,14 gramme de phtalazinone et 0,35 gramme de

  
 <EMI ID=83.1> 

  
sèche à température ambiante.

  
On chauffe au préalable la feuille de formation d'image ainsi obtenue à 100[deg.]C pendant 3 secondes, on la refroidit comme à l'exemple 1, on l'irradie par de la lumière provenant d'une

  
 <EMI ID=84.1> 

  
à gradins, sous une illumination de 10.000 lux.seconde et on la développe à 120[deg.]C pendant 3 secondes. Comme à l'exemple 1, on établit une amélioration de le sensibilisation spécifique y et

  
la densité optique maximale par le chauffage préalable avant l'exposition.

  
. EXEMPLE 6

  
On prépare la feuille de formation d'image par le procédé décrit au brevet des Etats-Unis d'Amérique No. 3.816.132 et

  
à la demande de brevet publiée au Japon sous le No. 127.719/76.

  
On mélange, d'une manière suffisamment homogène, 17 grammes de béhénate d'argent, 13 grammes d'acide béhénique, 40 grammes de polyvinylbutyral, 350 ml de toluène et 350 ml d'.éthanol. On applique le mélange en revêtement en une épaisseur de 100 p sur une pellicule de polyester et on sèche à température ambiante.

  
 <EMI ID=85.1> 

  
revêtement précédent, un mélange consistant en 51 grammes de

  
 <EMI ID=86.1> 

  
de phtalazinone, de 0,16 gramme d'acide mercurique, de 0,01 gramme de :

  

 <EMI ID=87.1> 


  
de 10 grammes de polyvinylbutyral et de 1 litre d'éthanol, et on sèche à température ambiante.

  
On chauffe au préalable la feuille de formation d'image ainsi obtenue à 100[deg.]C pendant 5 secondes, on la refroidit comme à l'exemple 1, on irradie par de la lumière d'une lampe de tungstène à 500 W par l'intermédiaire d'une tablette à gradins sous une illumination de 200.000 lux.seconde, et on développe à 120[deg.]C pendant 5 secondes. On établit aussi dans cet exemple que la sensibilité spécifique y et la densité optique maximale augmentent lorsqu'on refroidit avant exposition, comme c'était le cas à l'exemple 1. 

" REVENDICATIONS*

  
1. Procédé pour former une image en utilisant une feuille de formation.d'image développable à la chaleur, qui, normalement, n'est pas photosensible, mais qui peut le devenir, qui consiste

  
à la chauffer au préalable avant exposition, à l'exposer à une image lumineuse pour y former une image latente, puis à la développer à la chaleur pour obtenir une image visible, caractérisé en ce qu'après avoir chauffé la feuille au préalable, on la refroidit dans la zone qui a été chauffée préalablement à l'exposition.

Claims (1)

  1. 2. Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la feuille de formation d'image est en une matière contenant au moins un sel d'argent organique servant d'agent oxydant, un agent réduisant l'ion argent et un liant.
    3. Procédé suivant la revendication 2, caractérisé en ce que la feuille contient en outre au moins un halogénure d'argent et une source d'ion halogène capable de former l'halogénure d'argent en réagissant sur un sel organique d'argent, et une source d'ion mercurique.
    4. Procédé suivant la revendication 2, caractérisé en ce que la feuille contient au moins un acide carboxylique organique, un colorant sensibilisant et une source d'ion mercurique.
    5. Procédé suivant la revendication 2, caractérisé en ce que la température du chauffage préalable est comprise entre 80 et 130[deg.]C, et la zone chauffée au préalable de la feuille est refroidie à une température inférieure à 60[deg.]C.
    6. Procédé suivant la revendication 5, caractérisé en ce que la zone chauffée au préalable de l'image est refroidie à une température inférieure à 40[deg.]C.
    7. Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la zone chauffée au préalable de la feuille est refroidie par un élément métallique, apte à venir directement en contact avec la feuille.
    8. Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la zone chauffée au préalable de la feuille est refroidie par un gaz soufflé sur la feuille.
    9. Appareil pour former une image en utilisant une feuille de formation d'image développable à la chaleur, qui normalement n'est pas photosensible, mais qui peut le devenir, par chauffage préalable avant exposition, la feuille étant <EMI ID=88.1>
    ensuite exposée à une image lumineuse pour y former une image latente, puis développée à la chaleur pour obtenir une image visible, qui comprend un ou deux moyens de chauffage pour chauffer au préalable et pour développer à la chaleur une zone de formation d'image de la feuille, ,et des moyens d'exposition pour projeter une image optique d'un objet sur la zone de formation d'image rendue photosensible par le chauffage préalable, caractérisé par des moyens pour refroidir la zone de formation d'image chauffée au préalable de la feuille avant exposition.
    10. Appareil suivant la revendication 9, caractérisé en ce que les moyens de refroidissement comprennent un corps solide thermiquement conducteur, maintenu à une température inférieure à 60[deg.]C, et venant en contact direct avec la zone de formation d'image de la feuille afin de la refroidir. <EMI ID=89.1>
    par des moyens pour appliquer un fluide sous pression à la feuille du côté opposé à celui où le corps solide est maintenu en contact direct avec la feuille.
    12. Appareil suivant la revendication 11, caractérisé en ce que le fluide sous pression est de l'air comprimé.
    13. Appareil suivant la revendication 10, caractérisé
    par des moyens pour produire une dépression entre le corps solide et la surface de contact de la feuille, quand celui-là est en contact direct avec celle-ci.
    14. Appareil suivant la revendication 10, caractérisé
    par un élément en forme de cadre, disposé du côté opposé à celui où se trouve le corps solide qui vient en contact avec la feuille, et par des moyens pour introduire un fluide sous pression de l'extérieur dans cet élément en forme de cadre, pour appliquer
    un fluide sous pression à la feuille se trouvant dans l'élément en forme de cadre.
    15. Appareil suivant la revendication 9, caractérisé en ce que les moyens de refroidissement sont constitués par des moyens pour souffler un gaz à une température inférieure à 60[deg.]C environ sur la feuille.
    16. Appareil suivant la revendication 15, caractérisé en ce que les moyens de refroidissement sont disposés de manière à ce que le gaz soit appliqué à la surface de la zone de formation d'image de la feuille, par l'intérieur de l'élément en forme de cadre disposé en contact avec la feuille en la position de chauffage ou d'exposition.-
    17. Appareil suivant la revendication 9, caractérisé en ce que, au moins l'un des moyens de chauffage, des moyens de refroidissement et des moyens d'exposition est muni de moyens pour fixer la zone de formation d'image de la feuille en position pour le processus correspondant.
    18. Appareil suivant la revendication 17, caractérisé en ce que l'un au moins des moyens de fixation a un élément en forme de cadre pour maintenir la feuille par des endroits où elle entoure la zone de formation d'image.
    19. Appareil suivant la revendication 17, caractérisé en ce que l'un au moins des moyens de fixation comprend un premier et un second éléments en forme de cadre, opposés l'un à l'autre, maintenant entre eux les endroits de la feuille entourant la zone de formation d'image.
    20. Appareil suivant la revendication 17, caractérisé en ce que des moyens d'exposition comprennent un corps tubulaire
    et la face d'extrémité de ce corps tubulaire, du côté de la feuille, est en forme de cadre, pour constituer au moins une partie des moyens de fixation pour les moyens d'exposition.
    21. Appareil suivant la revendication 20, caractérisé en ce que les moyens de fixation comprennent un second élément en forme de cadre destiné aux moyens d'exposition, et se trouvant en regard de la face d'extrémité en forme de cadre du corps tubulaire, et les moyens de fixation sont destinés à maintenir la feuille entre la face d'extrémité en forme de cadre et la face.d'extrémité du second élément en forme de cadre, entourant la zone de formation d'image de la feuille.
    22. Appareil suivant la revendication 21, caractérisé par des moyens pour projeter de la lumière à l'intérieur du second élément en forme de cadre, en direction de la zone de formation d'image de la feuille, maintenue en contact avec le second élément en forme de cadre, et par des moyens pour projeter sur un écran la lumière ayant traversé la zone de formation d'image et ayant passé dans un trou du corps tubulaire.
    23. Appareil suivant la revendication 9, caractérisé en ce que les moyens de chauffage comprennent un corps solide à température élevée, qui est en contact direct avec la zone de formation d'image de la feuille afin de la chauffer.
    24. Appareil suivant..la revendication 23, caractérisé en ce que le corps solide à température élevée est un conducteur thermique, dans lequel est incorporé un dispositif de chauffage et il comprend des moyens pour régler sa température à une valeur donnée à l'avance.
    25. Appareil suivant la revendication 23, caractérisé . par des moyens pour appliquer un fluide sous pression à la feuille du côté opposé à celui où elle vient en contact avec le corps solide à température élevée, quand celui-ci est maintenu en contact direct avec celle-là.
    26. Appareil suivant la revendication 25, caractérisé en ce que le fluide sous pression est de l'air comprimé.
    27. Appareil suivant la revendication 25, caractérisé en ce qu'un élément en forme de cadre est disposé du côté opposé
    à celui où le corps solide à température élevée est maintenu en contact direct avec' la feuille, et par des moyens pour introduire un fluide sous pression à l'extérieur, dans l'élément en forme de cadre, pour appliquer le fluide sous pression à la zone de formation d'image se trouvant dans l'élément en forme de cadre.
    28. Appareil suivant la revendication 23, caractérisé par des moyens pour produire une dépression entre le corps solide à température élevée et la feuille de formation d'image, venant en contact avec lui, quand celui-là est maintenu en contact direct avec celle-ci.
    29. Appareil suivant la revendication 9, caractérisé en ce que les moyens de chauffage chauffent la zone de formation d'image de la feuille en la mettant en contact avec un gaz à température élevée.
    30. Appareil suivant la revendication 29, caractérisé
    en ce que que le gaz à température élevée est de l'air chauffé entre 80 et 220[deg.]C.
    31. Appareil suivant la revendication 29, caractérisé en ce que le gaz à température élevée est de l'air qui se trouve entre la feuille et un corps solide à température élevée disposé au voisinage, mais à distance, de la feuille, ce gaz étant chauffé par le corps solide à température élevée.
    32. Appareil suivant la revendication 9, caractérisé en ce que les moyens de chauffage irradient la zone de formation d'image de la feuille par des rayons infrarouges, ou des rayons infrarouges lointains.
    33. Appareil suivant la revendication 9, caractérisé en ce que les moyens de chauffage comprennent un premier moyen et un second moyen pour respectivement chauffer au préalable la feuille et pour la développer à la chaleur.
    34. Appareil suivant la revendication 33, caractérisé en ce qu'au moins trois moyens parmi les premiers moyens de chauffage, les moyens d'exposition et les seconds moyens de chauffage sont alignés.
    35. Appareil suivant la revendication 33, caractérisé en ce que les premiers moyens de chauffage pour le chauffage préalable, les moyens de refroidissement, les moyens d'exposition et les seconds moyens de chauffage pour le développement à la chaleur sont alignés.
    36. Appareil suivant la revendication 35, caractérisé en ce que les premiers moyens de chauffage, les moyens de refroidissement, les moyens d'exposition et les seconds moyens de chauffage sont fixés en étant alignés l'un par rapport à l'autre, ou constituent une structure unitaire.
    37. Appareil suivant la revendication 35, caractérisé en ce qu'il est agencé de manière à ce que les traitements effectués par les premiers moyens de chauffage, les moyens de refroidissement, les moyens d'exposition et les seconds moyens de chauffage sont effectués en parallèle et en même temps pour plusieurs zones de formation d'image de la feuille.
    38. Appareil suivant la revendication 9, caractérisé par des moyens de contrôle pour éviter la formation d'une image double sur une zone de formation d'image ayant déjà reçu un enregistrement.
    39. Appareil suivant la revendication 38, caractérisé en ce que-les moyens de contrôle comprennent un dispositif émetteur de lumière et un photodétecteur, la lumière émise par le dispositif émetteur de lumière étant émise ou réfléchie par la feuille étant reçue par le photodétecteur, et la formation d'une image double étant contrôlée par une comparaison de l'intensité du signal de sortie du photodétecteur, et d'une valeur prescrite.
    40. Appareil suivant la revendication 39, caractérisé en ce qu'un porte-objet est agencé de manière à ce que l'image d'une bande ayant un facteur de réflexion différent de la feuille s'étende le long d'au moins l'un des quatre côtés de la zone de formation d'image de la feuille, quand l'image d'un objet est formée dans cette zone, la bande dans la zone de <EMI ID=90.1>
    <EMI ID=91.1>
    41. Appareil suivant la revendication 33, caractérisé par des moyens de contrôle pour éviter la formation d'une image double dans une zone de formation d'image ayant déjà reçu un enregistrement, et au moins quatre moyens parmi les moyens de contrôle, les premiers moyens de chauffage, les moyens d'exposition, les seconds moyens de chauffage sont alignés.
    42. Appareil suivant la revendication 33, caractérisé par des moyens de contrôle pour empêcher la formation d'une image double sur une zone de formation d'image ayant déjà reçu un enregistrement, ces moyens de contrôle étant adjacents aux premiers moyens de chauffage et les moyens de détection des premiers moyens de chauffage, les moyens de refroidissement, les moyens d'exposition..et les seconds moyens de chauffage sont tous alignés.
    43. Appareil suivant la revendication 42, caractérisé en. ce qu'il est agencé de manière à ce que les traitement par
    cinq moyens s'effectuent respectivement en parallèle et en même temps pour diverses zones de formation d'image de la feuille.
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