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André Brusselle.
La demanderesse tient à signaler qu'il y a lieu d'apporter la rectification suivante au texte de cette demande de brevet : -' - Page 3 - ligne 10 : supprimer "à bande".
Nous vous prions de vouloir bien joindre la présente au dossier de cette demande de brevet.
Par ailleurs, nous autorisons l'Administration à joindre copie de cette lettre à toute copie du brevet.
Ci-joint, vous trouverez, en timbres fiscaux, le montant @ de la taxe requise.
Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l'assurance de notre considération distinguée.
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"Treuil à tambour d'enroulement de câble ou à barbotin, débrayable de l'arbre d'entraînement"
La présente invention se rapporte aux treuils pour le halage ou filage d'une charge appliquée sur un câble ou une chaîne, respectivement enroulé sur un tambour ou entrai- née par un barbotin, lequel tambour ou barbotin doit être embrayable et débrayable de l'arbre d'entraînement, cet arbre d'entraînement devant pouvoir être utilisé, soit si- multanément avec le tambour ou barbotin, soit séparément lorsque le tambour ou le barbotin est à l'arrêt, pour l'on-, traînement d'un autre organe qui peut être une poupée ou @
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un arbre de liaison allant vers des éléments quelconques,
cet autre organe se trouvant sur le coté opposé à celui où se trou-, ve le tambour ou barbotin par rapport au carter du mécanisme moteur actionnant l'arbre d'entraînement.
La solution généralement utilisée consiste à munir le tambour ou le barbotin en question de deux logements, à buse- lures ou à roulements, entourant l'arbre d'entraînement qui traverse complètement ce tambour ou barbotin.
La solution faisant l'objet de la présente invention diffère de cette solution usuelle en ce que l'arbre d'entraîne- ment ne traverse pas le tambour ou le barbotin et que le tam- bour ou le barbotin porte un logement prenant appui sur l'ar- bre d'entraînement et un logement directement monté dans un palier fixe.
Le but de cette solution est en premier lieu de réaliser un système plus avantageux, étant donné que le nombre total de logements nécessaires se réduit d'une unité, et que la longueur de l'arbre d'entraînement est fortement diminuée, surtout dans le cas de tambours relativement larges.
En deuxième lieu, la nécessité de précision de montage de l'ensemble est éliminée, puisque, au lieu d'avoir un arbre d'entraînement centré sur trois logements qui doivent être alignés parfaitement, on a réalisé le centrage sur deux loge- ments.
Pour la même raison, la base du treuil peut être moins rigide, des déformations relativement grandes étant tolérées.
D'autres particularités et avantages de l'invention ressortiront de la description d'un exemple d'exécution, qui sera donnée ci-*après en regard des dessins annexés, dans les- quels
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La Figure 1 est une vue en coupe verticale suivant l'axe de l'arbre d'entraînement d'un treuil à un tambour d'enroule. ment de câble, avec une poupée de manoeuvre
La Figure 2 est une vue en élévation d'un système sem- blable, mais pour un treuil à un tambour d'enroulement de câble et avec un arbre d'entraînement d'un organe quelconque.
La Figure 3 est une vue partielle en coupe transversale suivant la ligne a b de la Figure 1.
Dans ces dessins, 1 désigne le tambour proprement dit, avec ou sans frein à bande dont la poulie 2 est boulonnée au tambour 1, tandis que 3 désigne l'arbre d'entraînement sortant du carter 4 du mécanisme d'entraînement, lequel peut être un réducteur, un moteur hydraulique ou autre. Cet arbre est logé dans l'élément 4 par deux logements 5, La poupée de manoeuvre 6, clavetée sur l'arbre 3, tourne toujours avec cet arbre, ain- si que l'arbre d'entraînement 7 représenté sur la figure 2.
La tambour 1 est débrayable et embrayable sur l'arbre d'entraînement 3 au moyen d'un plateau d'accouplement 8 pouvant glisser longitudinalement sur l'arbre 3, mais entraîné par le même arbre au moyen des cannelures 10. Ce plateau 8 porte des évidements qui entraînent, dans la position à gauche (voir fi- gure 2), un plateau à deux ou quatre griffes 9, boulonné au tambour 1.
La position à droite, à savoir la position débrayée, est représentée sur la figure 1.
L'embrayage utilisé ne doit pas obligatoirement être du type décrit et représenté, mais peut être un embrayage d'un autre type quelconque.
Une particularité essentielle de l'invention consiste en ce que l'arbre d'entraînement 3, au lieu de traverser le tambour pour s'appuyer dans le logement d'extrémité 11, situé @
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dans le palier 12, s'engage seulement dans un coté du tambour pour former support du logement 13, se trouvant dans ce coté du tambour.
L'autre coté du tambour est logé directement dans le palier d'extrémité 12 au moyen d'un boat d'arbre 14 et le lo- gement 11, ou par un autre moyen analogue.
Les logements en question peuvent être constitués par des roulements, des buselures ou analogues.
L'ensemble peut être fixé sur une fondation 15 au moyen de boulons 16. En regardant l'ensemble, on constate directe- ment qu'au lieu des cinq logements nécessaires pour un arbre traversant le tambour (trois pour l'entraînement et deux pour le tambour), quatre logements suffisent. Ainsi l'arbre d'en- traînement 3 est moins long que dans le cas où il devrait se loger dans @e palier d'extrémité 12.
La précision de montage sur la base 15 est éliminée puisque l'axe de l'arbre d'entraînement 3 peut être monté funieulairement vis-à-vis de l'axe du tambour 1, déterminé par les centres des logements 13 et 11, du moment qu'on prévoit en
13 un logement à rotule et qu'il soit prévu un jeu suffisant entre les pièces d'accouplement 8 et 9.
De cette façon aucun coincement n'est possible, même par suite des déformations de la base 15 qui pourraient être provoquées par des variations de charge.
En plus des avantages déjà cités, l'invention présente encore l'avantage que le montage et le démontage du tambour sont très faciles. En effet, après enlèvement des boulons re- liant le plateau d'accouplement 9 et la poulie de frein 2 au tambour 1, on doit seulement reculer le tambour 1 avec son pa- lier 12 d'une distance suffisamment grande pour libérer le tambour 1 de l'accouplement 9. L'enlèvement du tambour et son t
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palier 12 est donc devenu possible dans un espace légèrement plus grand que l'encombrement du tambour monté, c'est-à-dire qu'on ne doit pas glisser le tambour de toute sa largeur sur un arbre qui traverse tout le tambour jusque dans le palier d'extrémité.