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BREVRT D'INVENTION " Dispositif pour le gaufiage longitudinal d'une toilo en mouvement, en papier, feuille métallique, tissu ou matière analogue susoeptible d'être gaufiée, par réduction échelon- née de la laideur de la toile ".
On oonnaît déjà un procédé pour fabriquer des matières munies d'un gaufrage longitudinal et en particulier d'un gau- frage longitudinal et transversal, en resserrant la toile à gaufrer perpendiculairement à sa longueur, et qui consiste en ce que ce resserrement de la toile est effectué par échelons ou par étapes de telle sorte qu'un ou plusieursplis juxtapo- sés se forment successivement à partir du bord ou du milieu de la toile .
La présente invention a pour objet un dispositif pour la réalisation du procédé de gaufrage indiqué ai-dessus et per- mettant de gaufrer méoaniquement une toile en mouvement oonsti- tuée par du papier, par une feuille de métal, un tissu ou autre matière susceptible d'être gaufrée . Ce résultat est obtenu
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en disposant sur un ou sur les deux côtés de la, toile des ou- tils de gaufrage, et qui se déplaoent en avant dans le sens du mouvement de la tpile à gaufrer, et ce de préférence suivant une ligne oblique dirigée vers l'intérieur.
De cette façon la toile à gaufrer se trouve progressivement resserrée ou rassenr blée, ce resserrement latéral pouvant avoir lieu des deux cô- tés versle milieu ou de l'un des cotas vers l'autre. Les groupes de plis qui sont ainsi produits se propagent progressi- vement à travers toute la largeur de la toile . Les outils de gaufrage peuvent être constitués par des outils séparés ou par une bande mobile .
Le rassemblement peut également être produit entre les outils de gaufrage et un contre-outil, par exemple une contre- partie, qui peut être oonstituée par exemple par une toile ani- mée d'un mouvement oontinu et située sur un côté ou au milieu de la toile à gaufrer . On peut également prévoir au milieu une oontre-partie spéciale pour chacun des cotés, par exemple des rubans animés d'un mouvement continu et disposés suivant . une ligne oblique dirigée vers l'extérieur .
Le gaufrage peut se produire aussi bien du côté de l'ou- til que du côté de la contre-partie, la toile pouvant également s'étendre latéralement au delà des outils de gaufrage ou de la oontre-partie .
Ce dispositif peut être réalisé au moyen de deux toiles de guidage entre lesquelles sont disposées deux ou plusieurs rangées de butées servant d'outils de gaufrage pour la toile à gaufrer-et qui se déplacent aveo l'une ou les deux toiles d'entraînement et se rapprochent en même temps de manière à. rassemblor progressivement la toile à gaufrer . Mais le dépla- cement peut également ne se faire que d'un seul côté, et alors il n'existe qu'une seule rangée d'outils de gaufrage. Dans ce cas on peut prévoir une contre-partie . Ceci n'est cependant pas toujours nécessaire, oar les toiles de guidage peuvent elles
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mêmes servir de oontre-partie, pourvu qu'on les conforme en oonséquenoe .
La caractéristique essentielle de l'invention consiste donc en ce que les outils de gaufrage se déplacent aveo la toi- le à gaufrer ce qui permet à cette dernière d'être animée d'un mouvement oontinu, ce mouvement ayant lieu, dans le cas d'une machine à papier par exemple, à la vitesse de fonctionnement normale de oette maohine; en deuxième lieu, le gaufrage se pro- duit du fait du mouvement des outils, par exemple du fait du guidage oblique dû au déplacement vers l'intérieur des outils, et cela sans que la matière subisse une fatigue excessive pen- dant le traitement.
Comme toile d'entrainement de la toile à gaufrer on peut employer une surface =bile en forme de grille derrière laquel- le sont disposés des outils de gaufrage, par exemple en forme de poussoirs, mobiles dans des guidages obliques et oelà de ma- nière que leur partie active fasse saillie à travers les rai- nures de la toile d'entraînement en forme de grille, et qu'ils soient ainsi entraînés lors du déplacement de cette toile d'en- traînement à la même vitesse que cette dernière et qu'ils soient en outre déplacés simultanément vers l'intérieur grâce à leurs guidages obliques .
Suivant une'ligne transversale de la toile on peut dispo- ser plusieurs rangées d'outils venant simultanément au travail et dont oeux situés à l'extérieur sont guidés vers l'intérieur, lors de leur déplacement en avant, sous un angle supérieur à oelui des outils plus rapprochés du contre et qui repoucsent ainsi la toile à gaufrer vers le milieu ou vers l'un de ses cô- tés . Ainsi que cela sera expliqué plus en détail plus loin, on obtient de cette façon que, malgré la venue simultanée au travail de plusieurs outils sur une ligne transversale,on dis- pose pour la formation des plis d'une quantité de matière sufti- sante pour éviter de déchirer la toile .
La toile d'entraine- ment de la toile à gaufrer est constituée de préférence par
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une surface fermée, par exemple un cylindre creux tournant dont la surface cylindrique comporte suivant ses génératrices des rainures rapprochées, ou est oonstituée par des fers profi- lés séparés entre lesquels sont ménagées des rainures . Les ou- tils de gaufrage sont disposés à l'intérieur du cylindre d'entraînement,' par exemple sur un cylindre intérieur concen- trique au premier . Les guidages des outils de gaufrage @ont réalisés de manière que, au cours d'une révolution du cylindre d'entrainement, ces outils sont déplaces daabord vers l'intérieur jusqu'à un point déterminé, puis ramenés de nouveau à leur posi- tion initiale .
Il est souvent nécessaire d'étirer en largeur la toile gaufrée, ou certaines parties de cette toile, après traitement).
L'invention prévoit dans ce cas un dispositif d'étirage qui per- met d'étirer les parties resserrées de la toile pour leur donner une largeur déterminée . Ce dispositif d'étirage peut consister par exemple en ce que le long des deux oôtéa de la toile gaufrée sont disposés des organes d'entraînement qui saisissent la toi- le . Ces organes de déplacent comme les outils de gaufrage à la fois en avant et vers l'extérieur de sorte qu'ils étirent ain- si la toile en largeu r. Suivant une ligne transversale de la toile on peut disposer également plusieurs rangées de ces organes d'entrainoment.
L'invention est déorite d'une manière plus détaillée ci- après avec référence au dessin annexé dans lequel . La. fige 1 représente partie en coupe longitudinale et partie en élévation latérale un dispositif de gaufrage conforme à l'invention muni d'un cylindre creux d'entraînement.
La fig. 2 représente ce dispositif en élévation face aveu arrachement partiel .
La fig. 3 montre en élévation latérale et à une échelle plus grande un outil de gaufrage séparé .
La fig. 4 montre cet outil en élévation face.
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La fig. 5 est une vue latérale d'une deuxième fonne de réalisation du dispositif de gaufrage avec arrachement partiel du oylindre de gaufrage .
La fig. 6 représente une vue de face, avec arrachement partiel, de ce dispositif.
La fig. 7 est une coupe horizontale du dispositif de la fig. 5.'
La fig. 8 représente une partie sensiblement différente d'un dispositif de gaufrage dans lequel plusieurs outils de gaufrage sont simultanément en -prise aur uneligne transversale.
La fig. 9 représente sohématiquement l'état de la toile à gaufrer pendant son traitement dans le dispositif de la fig.8.
La fig. 10 représente sohématiquement une autre fonne de réalisation dans laquelle plusieurs outils viennent également simultanément en prise sur une ligne transversale.
Les figs. 11, 12 et 13,14 représentent respectivement en élévation latérale et en section transversale deux autres fondes de réalisation du dispositif de gaufrage .
La fig. 15 représcnte en coupe partielle une forme de réali- sation partioulière d'une contre-partie de la toile d'entraîne- ment de la toile à gauf re r.
La fig. 16 représente en vue latérale (Le dispositifde la fig. 15 aveo une disposition partioulière des outils de gaufrage.
La fig. 17 représente sohématiquement en élévation de face encore une autre forme de réalisation d'un dispositif de gaufrage.
La fige 18 est une vue en plan du dispositif de la fig.17.
La fig. 19 représente une forme de réalisation partioulière d'un dispositif de gaufrage destinera être utilisé dans un dis- positif d'étirage .
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La fige 20 est une vue de faoe d'un dispositif de gaufrage aveo un dispositif d'étirage qui lui est relié .
La fig. 21 est une vue en plan du dispositif de la fig. 20.
Le dispositif de gaufrage représente dans les fig. 1 à 4 est constitué par un cylindre creux 1 dont la surface est Munie sur tout son pourtour de rainures 2, de préférence équidistan- tes, disposées suivant ses génératrices. Au lieu d'un cylindre à surface rainurée, on peut oralement utiliser un cylindre (lui se compose de fers profilas séparés de n'importe quelle forme.
Le cylindre 1 est supporté, de manière à pouvoir tourner, au moyen de paliers 3 par un arbre creux fixe 4. Cet arbre creux est sup- porté par des consoles auxquelles il est fixé par des ooquil- les 5. Le cylindre comporte .des flasques latérales 6 à l'un des-- quels est fixée une roue dentée 7 par laquelle le cylindre est entraîné en rotation par l'intermédiaire du pignon 8. Au lieu de ce inode de commande on peut bien entendu utiliser n'importe quelle autre commande appropriée . A l'intérieur du cylindre creux se trouvent deux oylindres intérieurs 9 et 10 qui peuvent être naturellement, remplacés par un cylindre unique . Ces cylin- dres intérieurs sont fixés par exemple au moyen de olavettes 11 sur l'arbre creux fixe 4 ed servent à supporter les outils de gaufrage 12, ainsi que les guidages 13 de ces derniers.
Ainsi que le montrent clairement les fige 3 et 4, les outils de gau- frage se composent d'un ou de plusieurs poussoirs 14 qui sont portés par un support 15. Ce dernier repose sur une ou plusieurs billes 16 qui sont logées, aveo interposition d'un ressort 17, dans un évidement de la pièce 15. A l'extérieur du support 15 se trouve en outre une bague de friction 18. Cette disposition des outils de gaufrage peut être remplacée par une aut re. Il faut simplement que lesoutils de gaufrage puissent se déplacer dans leurs guidages avec un frottement aussi réduit que possi- ble. D'autre part, les poussoirs14 peuvent avoir également
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une autre forme que celle représentée au dessin.
Les guidages 13 des poussoirssont constitués par des anneaux courbes 19 qui sont fixés au moyen de vis 20 ou analogues sur les cylin- dres internes 9 et 10. La forme des guidages 13 résulte olai- rement de la fige 1. Les guidages se rapprochent jusqu'à un certain point et s'éloignent ensuite à nouveau . Entre les deux nervures de guidage 19 de chaque cylindre sont répartis sur tout le+pourtour les outils de gaufrage 12 dont les re- bords de travail 14 dépassent à travers les rainures de l'en- veloppe du cylindre tournant 1.
Ainsi que le montre la fige 2, la moitié à peu près du cylindre 1 est entourée par une toile de guidage 21 qui est elle-même guidée par les galets 22,23, 24 et 25. Il est utile que ltun au moins des galets de guidage, par exemple le galet 25, soitdéplaçable afin de pouvoir régler la tension de la toile de guidage 21. Cette toile peut être constituée par un ruban lisse ou oannelé, par exemple en métal, feutre, cuir, oelluloide, etc..: on peut également utiliser des ruoans gar- nis de brosses. Enfin on peut utiliser un tablier en lattes corme représenté en fige 15 et 16.
Dans la forme de réalisation représentée dans ces figures on a prévu deux ou plusieurs ohaî- nes articulées 26 dont les maillens portent des fers profilés 27 dans lesquels se trouvent des lattes déplaçables 28 dispo- sées parallèlement a l'axe du oylindze, de sorte que l'on de- tient unrubanen lattes à la manière d'un store enroulable.
La disposition des guidages 13 des outils de gaufrage est choisie de manière qu'ils serapprochent l'un de l'autre sur la partie de la circonférence du oylindre qui est entourée par la toile de guidage 21 et qu'ils s'écartent dans la partie liure de ce oylindre .
Le processus du gaufrage s'effectue de la manière suivante.
La toile à gaufrer 29 qui est soumise éventuellement à un traitement préalable approprié, par exemple s'il s'agit de pa- pier, humidifiée ou enduite de bitume ou analogue, se déplace @'O
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dans le sensde la flèche indiquée en fig. 2. Elle est intro- duite entre le cylindre 1 et la contre-toile 21 entre les ou- tils de gaufrage 12, qui, au point d'introduction, se trouvent à leur éoarteraent maximum. Cet écartement doit naturellement correspondre au moins à la largeur initiale de la toile. La toile est ensuite entraînée entre l'enveloppe du cylindre et la contre-toile 21.
Le cylindre entraîne en même temps les ou- tils de gaufrage 12 qui dépassent à travers les rainures 2 et peuvent se déplacer librement entre les nervures de guidage 19, cet entraînement ayant lieu avec la même vitesse que celle du oylindre . En mène temps les outils de gaufrage se déplacent en outre vers l'intérieur grâce à leurs guidages coliques . Ils saisissent ainsi la tôide à gaufrer, continuent à avancer et, par suite de leur déplacement vers l'intérieur, rassemblent vers le milieu la toile, par exemple la toile en papier. Comme les outils de gaufrage viennent au travail successivement, le rassemblement de la toile s'opère lentement, progressivement et très régulièrement.
Comme elle est en outre maintenue par en haut et par en bas, par les surfaces de l'en- veloppe cylindrique et de la contre toile 21 qui lui sont parallèles, elle ne peut s'échapper latéralement,de sorte qu'el- le est obligée à former les plis de gaufrage cherchés, Les ou- tils de gaufrage atteignent finalement leur point d'écartement minimum qui correspond à peu près à l'endroit où la toile 21 quitte le cylindre . A cet endroit la toile gaufrée sort du dispositif de gaufrage, tandis que les outils de gaufrage s'écartent de nouveau les uns des autres en marohe à vide .
Le dispositif de gaufrage représenté dans les fig. 5 à 7 correspond comme prinoipe à celui des fig. 1 à 4. Il comporte également un cylindre creux 1 disposé de manière à pouvoir tourner, entraîné en rotation, et à l'intérieur duquel sont disposés les outils de gaufrage . Toutefois, dans cet exemple de réalisation, on a prévu non pas des outils de gaufrage sé- parés, mais deux disques 30 et 31 disposés obliquement. Pour
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supporter ces disques, une douille rainurée 32 est ammanchée sur l'arbre fixe 4 et empêchée de tourner par des clavettes 33. Cette douille se compose @@d'une partie centrale 32' et de deux parties latérales 32" .
La partie centrale 32' est emman- chée d'abord, puis les disques 30,31 qui peuvent tourner fous par rapport à l'arbre 4 et à la douille 32, et enfin les par- ties externes 32" de la douille . Dans les disses sont prévus un ou plusieurs trous 34 à travers lesquels sent introduites les tiges 35 reliées aux deux flasques 6 du cylindre creux 1, de sorte que les disques sont entraînés par la rotation des flasques 6. L'enveloppe du cylindre est formée par des tiges séparées 36, nais elle peut également être constituée comme dans les fige 1 à 4 par une tôle rainurée . Sur les bords des disques 30 et 31 sont disposées des arêtes de travail ou des poussoirs qui correspondent aux poussoirs 12 et dépassent à tra- vers les rainures du cylindre 1.
On comprend que lors de la rotation du cylindre 1 , les disques 30 et 31 sont entraînés par les tiges 35 ou encore par les tiges 36 et que les arêtes de travail des disques exécutent, par suite de la disposition oblique des disques, le même mouve- ment que les outils de gaufrage de la fige 1, c'est-à-dire que les arêtes de travail se déplaoent toujours depuis la position limite extérieure indiquée en haut do la fige 7 jusqu'à la po- sition limite intérieure représentée au bas de cette figure,et vice-versa .
Autour de la partie du pourtour du cylindre dans laquelle les arêtes des disques se déplacent de l'extérieur vers l'in- térieur, est disposé là également un contre-ruban 21 dont la tension peut être rl3e par un galet tendeur 25 qui est Lonté sur un levier oscillant 37 et sur lequel s'exerce l'action d'un ressort 38. Ce contre ruban 21 peut être réalisé de diverses ma- nières ainsi que cela a été indique plus haut.
Le processus du gaufrage s'effectue de la même manière
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que ci-dessus, aomne expliqué à propos des fig. 1 à 4.
Dans les exemples de réalisation décrits ci-dessus, deux rangées d'outils de gaufrage étaient prévues, entre lesquelles était rassemblée la toile à gaufrer . Il est également possi- ble d'utiliser une rangée d'outils de gaufrage et de rassem- bler ensuite la toile . Enfin, il est aussi possible de pré- voir plusieurs outils de gaufrage venant simultanément au travail sur une ligne transversale et agissant dans la même direction . Les fig. 8 à 14 représentent des modes de réali- sation de ce genre.
Dans la forme de réalisation suivant la fig. 8, deux outils de gaufrage 12 et 12' sont prévus sur les cylindres in- ternes dant un seul , 10, a été représenté . L'outil 12 est guidé dans les deux nervures de guidage 39, l'outil 12' dans les rainures de guidage 40, qun sont disposées d'abord suivant une section droite du cylindre, c'est-à-dire verticalement, tandis que les rainures 39 sont dirigées obliquement dès le début . Après un oertain parcours les deux paires de nervures de guidage se rejoignent . On obtient ainsi que le gaufrage a lieu d'abord seulement entre les outils 12 et 12', tandis que la partie de la toile qui est plus à l'intérieur reste lisse .
Il en résulte qu'au moment de la jonction des deux guidages, la toile à gaufrer se trouve sous la fonne représen- tée en fige 9. Par la suite, l'outil 12' entre en jeu également dans le processus de gaufrage et il étire quelque peu la ma- tière entre lesoutils 12 et 12' . L'outil 12 se déplace ensui- te parallèlement à l'outil 12' sans effectuer aucun gaufrage.
On peut bien entendu disposer d'une manière analogue àne ran- gée d'outils 12,12' et 12" de ce genre . Il en résulte une mise en oeuvre échelonnée du processus de gaufrage.
Dans la forme de réalisation représentée en fig. 10 on a prévu plusieurs disques 30 et 31 qui viennent en prise avec la toile à gaufrer suivant une même ligne transversale, mais sont disposés avec des inclinaisons différentes. De ce
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fait, après un parcours détermine, le disque 30 par exemple a rassemblé la partie a de la toile à gaufrer 29, et le disque 30' la partie b qui est plus petite que la partie a. On ob- tient de cette façon la possibilité de commencer le rassemble- ment à la fois en plusieurs points d'une ligne transversale, oar par suite du plus grand trajet de gaufrage du disque externe 30 il se forme une réserve de matière que le disque 30' peut tirer @ers lui .
Si on ne prenait pas la précaution de consti- tuer d'une manière quelconque cette réserve, le disque inté- rieur 30' devrait déchirer la matière entre lui et le disque extérieur 30, ou bien il glisserait sans aucun effet sur la matière tendue lorsque lecylindre continue à tourn er.
Là également il n'existe en principe aucune limite quant au nombre des outils de gaufrage venant simultanzment en pri- s e.
Les formes de réalisation représentées en fige 8 à 10 sont particulièrement appropriées au gaufrage de toiles très larges.
Dans les fige 11 à 14 n a représenté d'autres fonnes de réalisation des outils de gaufrage eux-mêmes. Le cylindre ex- terne est composé ici de profilés en T qui peuvent d'ailleurs être remplacés par tous autres profilés. Autour de ces profi- lés en T est enroulé sans être trop serré une spirale en fil de fer ou en une autre matière convenable . Les fractions du fil de fer qui se trouvent sur la surface supérieure corres- pondent aux arêtes de travail des outils de gaufrage12.Le processus de gaafrage s'opère grâce à un disque 43 ou un autre organe de guidage dans le genre des disques 30 et 31, ou un poussoir combiné aveo des guidages 13, qui rassemble progressi- vement les spires 42 de l'enroulement.
Les spires entraînent aveec elles la toile à gaufrer de sorte que celle-ci est ras- semblée d'une manière échelonnée . On réalise de cette manière
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un gaufrage particulièrement fin. comme contre-toile 21 on em- ploie ioi un ruban à brosses. Au lieu d'un ruban à brosses on peut évidemment utiliser un ruban à lattessuivant les fig.
15 et 16.
Dans la forme de réalisation suivant les fige 13 et 14 les enroulements spiralés 42 servant d'outils de gaufrage sont enroulas sur des tiges rondes 44 constituant l'enveloppe du cylindre 1. Le rassemblement de ces spires est effeotué à l'aide de tubes 45 qui sont montes sur les tiges rondes 44. Ces tubes sont replacés pendant le processus de gaufrage de l'extérieur vers l'intérieur comme les outils de gaufrage 12 et les disques 30 et 31, et reviennent ensuite dans leur position de départ.
A la place d'enroulements spirales on peut également employer des ergots coulissants de farine appropriée ;
Une autre forme de réalisation particulière est repré- sentée en fig. 16. Les lattes 28 de la contre-toile 21 sont disposées ioi de telle manière que les outils de gaufrages .à poussoirs 12 sont disposés d'un cote au-dessous des lattes 28, tandis que de l'autre côté ils sont disposes contre le bord des lattes. La face inférieure des lattes peut être éven- tuellement rendue rugueuse ou traitée autrement.
Dès que pen- dant le processus de gaufrage les outils 12 se rapproohent les uns des autres, les outils situés d'un oôté repoussent les lattes latéralement vers l'extérieur, le cylindre d'entrai- ne):lent devant être bien entendu dimensionné en conséquence.
Dans la fig. 16, l'outil 12 se déplace suivant une ligne oblique dirigée vers l'intérieur, tandis que l'outil 12' servant de contre-outil ou de contre-partie se déplace en avant suivant une ligne droite aveo la toile de papier, de sorte que le res- serreuent ee fait d'un seul côté - Il est toutefois possible d'adapter la réalisation de la fig. 16 à un resserrement bila- téral ou d'adapter la réalisation de la, fige 1 à un resserre- ment unilatéral suivant que les outils se déplacent vers l'intz-
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rieur seulement d'un seul côté, ou des deux côtés. Dans ces exemples de réalisation la surface servant à l'entraînement de la toile à gaufrer est constituée par une enveloppe oy- lindrique .
Toutefois , au lieu d'un cylindre on peut employer toute autre surface fermée convenable, par exemple un rectan- gle à angles arrondis. De plus il est possible d'utiliser une surface non fermée, en particulier un plan . Dans ce der- nier cas il est avantageux de prévoir pour les outils de .,au- frage oonstitués par des disques ou des poussoirs séparas,des guidages sans fin de manière qu'à l'aide de ces guidages les outils de gaufrage se déplacent pendant leurs périodes de travail à la, fois en avant et vers l'intérieur, et reviennent pendant leurs périodes de marche à vide vers leur position initiale .
Enfin, il n'eat pas non plus nécessaire d'utiliser une surface d'entraînement munie de rainures àtravers lesquelles passent les outils de gaufrage; on peut également prévoir une toile d'entraînement fennée sur la surface supérieure de la- quelle les outils de gaufrage exécutent les mêmes mouvements que ci-dessus.
Dans la réalisation conforme aux fige 17 et 18 on a pré- vu deux toiles de guidage 55 et56 guidées par des rouleaux 53 et 54 et entre lesquelles est conduite la toile à gaufrer 29.
Une rangée d'outils de gaufrage 57 ou 58 est reliée à chacune des toiles de guidage et se déplace aveo elles. Ces outils de aufrage peuvent être des poussoirs séparés ou être constitués par un seul ruban . La forme des outils de gaufrage est sans importance capitale pour l'invention de même qu'il importe peu quo les plis soient maintenus à l'intérieur des outils de gaufrage où qu'ils s'échappent au delà de ces outils.
Les directions de déplacement des deux toiles de guidage forment un angle tel que les deux rangées 57 et 58 se rappro- chent l'une de l'autre, de sorte que la toile à gaufrer est
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rassemblée de la même manière que dans les dispositifs dé- crits ci-dessus.
Au lieu de deux rangées d'outils de gaufrage, on peut prévoir plusieurs rangées qui travaillent par exemple de la manière décrite à propos de la fig. 10. Il est encore possi- ble de ne pas relier rigidement les outils de gaufrage aveo les to&les de guidage , mais de leur faire traverser des rainures prévues dans ces toiles, de sorte qu'ils seront entraînés par celles-ci; ou 'bien on peut prévoir une commande spéciale pour les outils de gaufrage ce qui peut être facilement réalisé dans oe cas oar le déplacement des outils est parallèle à la direction de déplacement des toiles de guidage correspondantes.
La réalisation des outils de gaufrage et de leurs guidages peut naturellement être différente de celle indiquée. Il est toujours essentiel que le déplacement de l'outil en avant aveo la toile à gaufrer s'effectue en même temps qu'un déplacement vers l'intérieur provoquant le gaufrage . La contre-partie peut être également réalisée de diverses autres manières;elle peut être adaptée à la réalisation des outils ou s'en distin- suer. Il importe peu également que le oontre-ruuan se déplace aveo les outils ou qu'il soit réalisé de la manière indiquée ici; on peut utiliser également des rouleaux séparés,des dis- ques ou des rubans disposés en particulier suivant des lignes obliques dirigées vers l'intérieur.
Il est aussi possible de travailler sans oontre-ruuan du tout en munissant le papier sur sa face inférieure d'une forte couche de matière adhésive ,par exemple du bitume . Le papier peut être également maintenu sur son support pendant le rassemblement par d'autres moyens, par exemple pneumati lues.
Il peut être avantageux dans certaines conditions d'effec- tuer un gaufrage transversal de la toile avant,pendant ou après le gaufrage longitudinal. Les diverses parties de la ma- chine sont dans ce cas étroitement assemblées de préférence de telle manière qu'une seule humiditioation suffise pour le
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gaufrage longitudinal et, transversal. Il est également possible, par un ralentissement pendant le prooessus de gaufrage longitu- dinal, d'obtenir aussi un rassemblement dans le sens transver- sal, de sorte que les deux réductions sont effectuées dans la même machine .
L'inventeur a constate qu'il est souvent nécessaire pour la bonne qualité du gaufrage que les plis de gaufrage viennent se serrer étroitement les uns oontre les autres,puis se relâ- ohent à nouveau, par exemple en gaufrant de manière à réduire la largeur plus qu'il ne faut et en l'étirant ensuite jusqu'à. la largeur cherchée..
Un dispositif d'étirage approprié peut être réalisé de la manière la plus simple en disposant dans le dispositif des fig. 1 et 2 le galet tendeur 23 du contre-ruban 21 dans la po- sition indiquée en pointillé , o'est-à-dire en un endroit où les outils de gaufrage 12 se sont quelque peu éloignés de leur position d'éoartement minimum et se trouvent à un écartement correspondant à la largeur finale voulue de la toile à gaufrer.
En outre, sur les poussoir14 des outils do gaufrage on a pré- vu des ergots queloonquesen forme de crochets 46 comme indi- qué en fig. 19 qui sont destinés à accrocher et à entraîner avec eux la toile à gaufrer 29.
De ce fait, après avoir atteint sa largeur minima à peu près à la hauteur de la position indiquée en trait plein du galet tondour 23, la toile est ótirée en largeur par les 01.11..1 la de gaufrage qui s'écartent à nouveau et sort ensuite de la machine avec la largeur voulue par le galet 23'.
On peut bien entendu combiner de la même manière le dispo- sitif d'étirage avec les dispositifs de gaufrage des fig. 5 et
6.
Il est encore possible de prévoir un dispositif d'étirage spéoial qui fait suite au dispositif de gaufrage oonme indiqué en fige 20 et 21. Ce dispositif d'étirage se compose dans cet
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exemple de réalisation de deux poulies à gorge 47 et 48 qui sont entées obliquement et de manière à pouvoir tourner li- brement sur un arbre 49' au moyen d'un manchon rainuré 50 correspondant au manchon 32 de la fig. 7. Autour de la moitié environ de la @iroonférence de chacune de cas deux poulies est appliqué un câble 51 en matière oonvenaule quelconque au moyen de galets tendeurs 52 comme indiqua claire ent en fig. 20 et 21.
La toile fortement gaufrée sortant du disposi- tif de gaufrage est introduite ensuite entre les poulies à gorge 47, 48 et le câble 51. Du fait du pincement qui en ré- sulte, les bords de la toile gaufrée sont maintenus et la telle est par suite étirée dans la mesure qui correspond à l'obli- quité des poulies 47 et 48. La toile 23 quitte finalement le dispositif d'étirage avec la largeur voulue .
Il est utile de rendre réglable l'obliquité des poulies 47 et 48, afin de pouvoir adapter le dispositif d'étirage à. la largeur de la toile 29. Une commande spéoiale pour l'entraf- nement des poulies 4'1' et 48 n'est pas nécessaire en règle géné- rale, car l'avancement de la toile a gaufrer su@@it. bien en- tendu, on peut prévoir également en oas de besoin une commande pour l'entraînement des poulies de guidage .
La réalisation du dispositif d'étirage n'est pas limitée aux exemples indiqués et elle peut recevoir diverses autres formes. Il importe seulement de prévoir des organes d'entrai-- nement quelconques en forme d'outils séparés ou de pandes mo- biles oontinues eto.. qui saississent la toile gaufrée et se déplacent avec elle avec la même vitesse en avant, tout en exé- outant un mouvement vers l'extérieur. Il s'agit dono en substance d'un mouvement inverse de celui du dispositif de gau- frage proprement dit.
On peut prévoir, de même que dans le dis- positif de gaufrage, des organes d'entraînement séparés qui viennent en prise l'un après 1 autre, ou bien la toile à éti- rer estpincée le long d'une ligne mobile d'organesd'entraine- ment comas cela est le cas pour l'exemple des fig. 20 et 21.
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Le dispositif d'étirage, comme celui de gaufrée, n'est pas limité à la forma cylindrique :on peut utiliser n'importe quelle autre surface fermée ou un plan sur lequel la toile gau- frée est étirée, par exemple on peut utiliser un dispositif conforme aux fig. 18 et. 19 mais travaillant en sens inverse .
Le papier gaufré peut subir ensuite un frappage, par exemple au moyen de cylindreslongitudinaux . Par exemple, si on soumet au frappago par cylindres longitudinaux et transversaux un papier doublement gaufré, on obtient un papier genre nid d'abeille .
On doit enfin signaler que le dispositif d'étirage décrit peut être utilise non seulement en combinaison avec les disposi- tifs de gaufrage qui ont été indiqués ci-dessus, mais également aveo tous autres dispositifs de gaufrage, ainsi qu'aces d'au- tres machines dans lesquelles il est également nécessaire d'é- tirer une toile en mouvement jusqu'à ane largeur finale détermi- née.
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PATENT OF INVENTION "Device for the longitudinal embossing of a moving canvas, made of paper, metal foil, fabric or the like capable of being embossed, by step-wise reduction of the ugliness of the fabric".
A process is already known for manufacturing materials provided with longitudinal embossing and in particular with longitudinal and transverse embossing, by tightening the fabric to be embossed perpendicular to its length, and which consists in that this tightening of the fabric is carried out in steps or in stages so that one or more juxtaposed folds are formed successively from the edge or the middle of the fabric.
The object of the present invention is a device for carrying out the embossing process indicated above and making it possible to mechanically emboss a moving fabric consisting of paper, a sheet of metal, a fabric or other material capable of being damaged. 'be embossed. This result is obtained
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by arranging on one or on both sides of the fabric embossing tools, and which move forward in the direction of movement of the stack to be embossed, and this preferably along an oblique line directed inwards .
In this way the fabric to be embossed is progressively tightened or gathered, this lateral tightening being able to take place from both sides towards the middle or from one of the sides towards the other. The groups of folds which are thus produced gradually propagate across the entire width of the fabric. The embossing tools can be constituted by separate tools or by a movable band.
The gathering can also be produced between the embossing tools and a backing tool, for example a counterpart, which can be constituted, for example, by a web animated with a continuous movement and located on one side or in the middle of. the embossing cloth. It is also possible to provide a special counterpart in the middle for each of the sides, for example ribbons animated by a continuous movement and arranged according to the following. an oblique line directed outwards.
Embossing can occur both on the tool side and on the counterpart side, with the web also extending laterally beyond the embossing tools or the counterpart.
This device can be realized by means of two guide fabrics between which are arranged two or more rows of stops serving as embossing tools for the fabric to be embossed-and which move with one or both drive fabrics and approach at the same time so as to. gradually collect the embossing fabric. But the movement can also be done on one side only, and then there is only one row of embossing tools. In this case, a counterpart can be provided. This is not always necessary, however, as guide fabrics may
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even serve as a counterpart, provided that they are conformed accordingly.
The essential characteristic of the invention therefore consists in that the embossing tools move with the embossing tool, which allows the latter to be driven in a continuous movement, this movement taking place, in the case of embossing. a paper machine, for example, at the normal operating speed of this maohine; secondly, the embossing occurs due to the movement of the tools, for example due to the oblique guidance due to the inward movement of the tools, and this without the material undergoing excessive fatigue during processing.
As the driving fabric of the embossing fabric, it is possible to use a surface = bile in the form of a grid behind which are arranged embossing tools, for example in the form of pushers, movable in oblique guides and so on. that their active part protrudes through the grooves of the grid-shaped drive canvas, and that they are thus driven during the movement of this drive canvas at the same speed as the latter and that 'they are furthermore simultaneously moved inwards thanks to their oblique guides.
Following a transverse line of the canvas, it is possible to arrange several rows of tools coming simultaneously to the work and whose eyes located on the outside are guided inwards, during their displacement forwards, at an angle greater than that tools closer to the back and which thus push the fabric to be embossed towards the middle or towards one of its sides. As will be explained in more detail later, in this way, despite the simultaneous arrival of several tools on a transverse line, a sufficient quantity of material is available for the formation of the folds. to avoid tearing the canvas.
The driving fabric of the embossing fabric is preferably constituted by
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a closed surface, for example a rotating hollow cylinder, the cylindrical surface of which comprises closely spaced grooves along its generatrices, or is formed by separate profiled irons between which grooves are formed. The embossing tools are disposed within the drive roll, eg on an inner roll concentric with the first. The guides of the embossing tools @ are made in such a way that, during one revolution of the driving cylinder, these tools are first moved inwards to a determined point, then returned to their position again. initial .
It is often necessary to stretch the embossed fabric, or certain parts of this fabric, in width after treatment).
In this case, the invention provides a stretching device which makes it possible to stretch the constricted parts of the fabric to give them a determined width. This stretching device can consist for example in that along the two sides of the embossed fabric are arranged drive members which grip the canvas. These members move like the embossing tools both forward and outward so that they thus stretch the web wide. Several rows of these entrainoment members can also be arranged along a transverse line of the canvas.
The invention is developed in more detail below with reference to the accompanying drawing in which. Fig. 1 shows part in longitudinal section and part in side elevation an embossing device according to the invention provided with a hollow drive cylinder.
Fig. 2 shows this device in elevation facing the partially cut away blind.
Fig. 3 shows in side elevation and on a larger scale a separate embossing tool.
Fig. 4 shows this tool in front elevation.
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Fig. 5 is a side view of a second embodiment of the embossing device with partial cut away of the embossing cylinder.
Fig. 6 shows a front view, partially cut away, of this device.
Fig. 7 is a horizontal section of the device of FIG. 5. '
Fig. 8 shows a substantially different part of an embossing device in which several embossing tools are simultaneously engaged in a transverse line.
Fig. 9 shows sohematically the state of the fabric to be embossed during its treatment in the device of fig.8.
Fig. 10 schematically shows another embodiment in which several tools also simultaneously engage on a transverse line.
Figs. 11, 12 and 13, 14 respectively show in side elevation and in cross section two other bases for making the embossing device.
Fig. 15 shows in partial section a form of partial shoulder embodiment of a counterpart of the drive wire of the embossing wire.
Fig. 16 shows in side view (The device of Fig. 15 with a partial shoulder arrangement of the embossing tools.
Fig. 17 schematically shows in front elevation yet another embodiment of an embossing device.
Fig. 18 is a plan view of the device of fig.17.
Fig. 19 shows a shoulder embodiment of an embossing device for use in a stretching device.
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Fig 20 is a side view of an embossing device with a stretching device connected to it.
Fig. 21 is a plan view of the device of FIG. 20.
The embossing device shown in FIGS. 1 to 4 consists of a hollow cylinder 1, the surface of which is provided over its entire circumference with grooves 2, preferably equidistant, arranged along its generatrices. Instead of a cylinder with a grooved surface, one can orally use a cylinder (it consists of separate profile irons of any shape.
The cylinder 1 is supported, so as to be able to rotate, by means of bearings 3 by a fixed hollow shaft 4. This hollow shaft is supported by consoles to which it is fixed by eyes 5. The cylinder comprises. side flanges 6 to one of which is fixed a toothed wheel 7 by which the cylinder is driven in rotation by means of the pinion 8. Instead of this control inode it is of course possible to use any other appropriate command. Inside the hollow cylinder are two inner cylinders 9 and 10 which can naturally be replaced by a single cylinder. These internal cylinders are fixed for example by means of olavettes 11 on the fixed hollow shaft 4 and serve to support the embossing tools 12, as well as the guides 13 thereof.
As clearly shown in figs 3 and 4, the embossing tools consist of one or more pushers 14 which are carried by a support 15. The latter rests on one or more balls 16 which are housed, with interposition. of a spring 17, in a recess of the part 15. Outside the support 15 is also a friction ring 18. This arrangement of the embossing tools can be replaced by another. It is simply necessary that the embossing tools can move in their guides with as little friction as possible. On the other hand, the pushers 14 can also have
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another shape than that shown in the drawing.
The guides 13 of the plungers are formed by curved rings 19 which are fixed by means of screws 20 or the like on the internal cylinders 9 and 10. The shape of the guides 13 results olarly from the pin 1. The guides come closer to 'at a certain point and then walk away again. Between the two guide ribs 19 of each cylinder are distributed over the entire circumference + the embossing tools 12, the working edges 14 of which protrude through the grooves of the casing of the rotating cylinder 1.
As shown in Fig. 2, roughly half of cylinder 1 is surrounded by a guide web 21 which is itself guided by rollers 22, 23, 24 and 25. It is useful that at least one of the rollers guide, for example the roller 25, is movable in order to be able to adjust the tension of the guide fabric 21. This fabric can be constituted by a smooth or corrugated tape, for example made of metal, felt, leather, oelluloid, etc.: it is also possible to use ruoans furnished with brushes. Finally, you can use an apron made of corm slats shown in figs 15 and 16.
In the embodiment shown in these figures, two or more articulated chains 26 are provided, the meshes of which carry profiled irons 27 in which there are movable slats 28 arranged parallel to the axis of the oylindze, so that a slatted tape is kept in the manner of a roller blind.
The arrangement of the guides 13 of the embossing tools is chosen so that they approach each other on the part of the circumference of the cylinder which is surrounded by the guide web 21 and that they move apart in the binding part of this cylinder.
The embossing process is carried out as follows.
The embossing fabric 29 which may be subjected to an appropriate pretreatment, for example if it is paper, moistened or coated with bitumen or the like, moves around.
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in the direction of the arrow indicated in fig. 2. It is introduced between the cylinder 1 and the backing fabric 21 between the embossing tools 12, which, at the point of introduction, are at their maximum spacing. This spacing must naturally correspond at least to the initial width of the canvas. The fabric is then driven between the casing of the cylinder and the backing 21.
At the same time, the cylinder drives the embossing tools 12 which protrude through the grooves 2 and can move freely between the guide ribs 19, this driving taking place at the same speed as that of the cylinder. At the same time, the embossing tools also move inwards thanks to their colic guides. They thus grasp the sheet to be embossed, continue to advance and, as a result of their inward movement, gather the canvas, for example the paper canvas, in the middle. As the embossing tools come to work successively, the gathering of the canvas takes place slowly, gradually and very regularly.
As it is further maintained from above and below, by the surfaces of the cylindrical casing and the backing 21 which are parallel to it, it cannot escape laterally, so that it is forced to form the desired embossing folds. The embossing tools eventually reach their minimum spacing point which roughly corresponds to where the web 21 leaves the cylinder. At this point the embossed fabric comes out of the embossing device, while the embossing tools move away from each other again in vacuum marohe.
The embossing device shown in FIGS. 5 to 7 corresponds as a principle to that of figs. 1 to 4. It also comprises a hollow cylinder 1 arranged so as to be able to turn, driven in rotation, and inside which the embossing tools are arranged. However, in this exemplary embodiment, not separate embossing tools are provided, but two discs 30 and 31 arranged obliquely. For
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supporting these discs, a grooved bush 32 is fitted on the fixed shaft 4 and prevented from rotating by keys 33. This bush consists of a central part 32 'and two side parts 32 ".
The central part 32 'is fitted first, then the discs 30, 31 which can turn idle with respect to the shaft 4 and the bush 32, and finally the outer parts 32 "of the bush. the disses are provided one or more holes 34 through which feels introduced the rods 35 connected to the two flanges 6 of the hollow cylinder 1, so that the discs are driven by the rotation of the flanges 6. The casing of the cylinder is formed by separate rods 36, but it can also be formed as in figs 1 to 4 by a grooved sheet. On the edges of the discs 30 and 31 are arranged working edges or pushers which correspond to pushers 12 and protrude through the grooves of cylinder 1.
It is understood that during the rotation of the cylinder 1, the discs 30 and 31 are driven by the rods 35 or even by the rods 36 and that the working edges of the discs execute, as a result of the oblique arrangement of the discs, the same movement. - ment that the embossing tools of the pin 1, that is to say that the working edges always move from the outer limit position indicated at the top of the pin 7 to the inner limit position shown in bottom of this figure, and vice versa.
Around the part of the periphery of the cylinder in which the ridges of the discs move from the outside to the inside, there is also arranged a backing strip 21, the tension of which can be relieved by a tensioning roller 25 which is provided. on an oscillating lever 37 and on which the action of a spring 38 is exerted. This backing strip 21 can be produced in various ways, as has been indicated above.
The embossing process is done in the same way
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that above, autumn explained in connection with figs. 1 to 4.
In the embodiments described above, two rows of embossing tools were provided, between which was gathered the fabric to be embossed. It is also possible to use a row of embossing tools and then collect the canvas. Finally, it is also possible to provide for several embossing tools simultaneously coming to work on a transverse line and acting in the same direction. Figs. 8 to 14 represent embodiments of this kind.
In the embodiment according to FIG. 8, two embossing tools 12 and 12 'are provided on the internal rolls of which only one, 10, has been shown. The tool 12 is guided in the two guide ribs 39, the tool 12 'in the guide grooves 40, which are firstly arranged in a straight section of the cylinder, that is to say vertically, while the grooves 39 are directed obliquely from the start. After a certain path the two pairs of guide ribs meet. It is thus obtained that the embossing takes place initially only between the tools 12 and 12 ', while the part of the fabric which is more on the inside remains smooth.
As a result, at the time of the junction of the two guides, the fabric to be embossed is in the form shown as a pin 9. Subsequently, the tool 12 'also comes into play in the embossing process and it stretches the material somewhat between tools 12 and 12 '. Tool 12 then moves parallel to tool 12 'without effecting any embossing.
A row of such tools 12, 12 'and 12 "can of course be arranged in a similar manner. This results in a phased implementation of the embossing process.
In the embodiment shown in FIG. 10 several discs 30 and 31 are provided which engage with the embossing fabric along a same transverse line, but are arranged with different inclinations. From this
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In fact, after a determined path, the disc 30 for example has gathered the part a of the embossing fabric 29, and the disc 30 'the part b which is smaller than the part a. In this way, the possibility of starting the gathering together at several points of a transverse line is obtained, where as a result of the greater embossing path of the outer disc 30 a reserve of material is formed which the disc. 30 'can shoot @ers him.
If care were not taken to provide this reserve in some way, the inner disc 30 'would have to tear the material between it and the outer disc 30, or else it would slip without any effect on the tensioned material when. the cylinder continues to rotate.
Here too there is in principle no limit to the number of embossing tools which are taken simultaneously.
The embodiments shown in Figs 8-10 are particularly suitable for embossing very wide fabrics.
In figs 11 to 14 n shows other embodiments of the embossing tools themselves. The outer cylinder here is made up of T-profiles which can also be replaced by any other profile. Around these T-profiles is wound without being too tight a spiral of wire or other suitable material. The fractions of the wire which are on the upper surface correspond to the working edges of the embossing tools.12 The gaafrage process takes place by means of a disc 43 or other guide member like the discs 30 and 31, or a combined pusher with guides 13, which progressively brings together the turns 42 of the winding.
The turns drive the embossing fabric with them so that the latter is assembled in a staggered manner. We realize in this way
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particularly fine embossing. as the backing 21, a brush tape is used. Instead of a brush tape, it is obviously possible to use a strip tape according to fig.
15 and 16.
In the embodiment according to the pins 13 and 14 the spiral windings 42 serving as embossing tools are wound on round rods 44 constituting the envelope of the cylinder 1. The gathering of these turns is effeotué using tubes 45 which are mounted on the round rods 44. These tubes are replaced during the embossing process from the outside to the inside like the embossing tools 12 and the discs 30 and 31, and then return to their starting position.
Instead of spiral windings, it is also possible to use sliding lugs of suitable flour;
Another particular embodiment is shown in FIG. 16. The slats 28 of the backing 21 are arranged ioi such that the push-button embossing tools 12 are arranged on one side below the slats 28, while on the other side they are arranged against the edge of the slats. The underside of the slats may optionally be roughened or otherwise treated.
As soon as during the embossing process the tools 12 move closer to each other, the tools on one side push the slats laterally outwards (the drive cylinder): slow must of course be sized Consequently.
In fig. 16, the tool 12 moves in an oblique line directed inward, while the tool 12 'serving as a counter tool or counterpart moves forward in a straight line with the paper web, from so that the tightening is made on one side only - It is however possible to adapt the embodiment of fig. 16 to a bilateral tightening or to adapt the realization of the, freeze 1 to a unilateral tightening depending on whether the tools move towards the intz-
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laughing only on one side, or on both sides. In these exemplary embodiments, the surface serving for driving the fabric to be embossed consists of an cylindrical envelope.
However, instead of a cylinder any other suitable closed surface can be employed, for example a rectangle with rounded corners. In addition, it is possible to use an unclosed surface, in particular a plane. In this latter case it is advantageous to provide for the embossing tools oonstituted by discs or separate pushers, endless guides so that with the aid of these guides the embossing tools move. during their periods of work both forward and inward, and return during their periods of idling to their initial position.
Finally, it is also not necessary to use a driving surface provided with grooves through which pass the embossing tools; it is also possible to provide a slit drive fabric on the upper surface of which the embossing tools perform the same movements as above.
In the embodiment according to figs 17 and 18, two guide webs 55 and 56 have been provided, guided by rollers 53 and 54 and between which the embossing web 29 is driven.
A row of embossing tools 57 or 58 is connected to each of the guide webs and moves with them. These aufrage tools can be separate pushers or consist of a single ribbon. The shape of the embossing tools is immaterial to the invention, nor does it matter whether the folds are maintained within the embossing tools wherever they escape beyond these tools.
The directions of movement of the two guide webs form an angle such that the two rows 57 and 58 approach each other so that the embossing web is
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assembled in the same way as in the devices described above.
Instead of two rows of embossing tools, it is possible to provide several rows which work, for example, in the manner described with regard to FIG. 10. It is still possible not to rigidly connect the embossing tools with the guide rods, but to make them pass through grooves provided in these fabrics, so that they will be driven by them; or a special control can be provided for the embossing tools which can be easily achieved in the event that the movement of the tools is parallel to the direction of movement of the corresponding guide webs.
The realization of the embossing tools and their guides can naturally be different from that indicated. It is always essential that the movement of the tool forward with the embossing fabric takes place at the same time as an inward movement causing the embossing. The counterpart can also be realized in various other ways: it can be adapted to the realization of the tools or be distinguished from it. It is also irrelevant whether the counter-ruuan moves with the tools or whether it is carried out in the manner indicated here; it is also possible to use separate rolls, discs or bands arranged in particular along oblique lines directed inward.
It is also possible to work without counter-ruuan at all by providing the paper on its underside with a strong layer of adhesive material, for example bitumen. The paper can also be held on its support during gathering by other means, for example pneumatics.
It may be advantageous under certain conditions to effect a transverse embossing of the fabric before, during or after the longitudinal embossing. The various parts of the machine are in this case closely assembled, preferably in such a way that only one humiditioation is sufficient for the machine.
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longitudinal and transverse embossing. It is also possible, by slowing down during the longitudinal embossing process, also to obtain a gathering in the transverse direction, so that both reductions are carried out in the same machine.
The inventor has found that it is often necessary for the good quality of the embossing that the embossing plies come to tighten tightly against each other, then relax again, for example by embossing so as to reduce the width. more than necessary and then stretching it up. the desired width ..
A suitable stretching device can be produced in the simplest way by arranging in the device of FIGS. 1 and 2 the tensioner roller 23 of the counter band 21 in the position indicated in dotted lines, that is to say in a place where the embossing tools 12 have moved somewhat away from their position of minimum spacing and are at a spacing corresponding to the desired final width of the fabric to be embossed.
In addition, on the pushers 14 of the embossing tools there are provided some lugs in the form of hooks 46 as shown in FIG. 19 which are intended to hang and carry with them the embossing fabric 29.
Therefore, after having reached its minimum width approximately at the height of the position indicated in solid lines of the rounding roller 23, the canvas is stretched in width by the 01.11..1 the embossing which move apart again and then leaves the machine with the desired width by the roller 23 '.
The stretching device can of course be combined in the same way with the embossing devices of FIGS. 5 and
6.
It is also possible to provide a special stretching device which follows on from the embossing device indicated in figs 20 and 21. This stretching device consists in this
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exemplary embodiment of two grooved pulleys 47 and 48 which are entered obliquely and so as to be able to turn freely on a shaft 49 'by means of a grooved sleeve 50 corresponding to the sleeve 32 of FIG. 7. Around the half of the @ iroonference of each of the two pulleys is applied a cable 51 of any single shoulder material by means of tension rollers 52 as clearly indicated in FIG. 20 and 21.
The heavily embossed fabric emerging from the embossing device is then introduced between the grooved pulleys 47, 48 and the cable 51. Due to the resulting pinching, the edges of the embossed fabric are held in place and so are continued stretched to the extent which corresponds to the obliqueness of the pulleys 47 and 48. The web 23 finally leaves the stretching device with the desired width.
It is useful to make the obliquity of the pulleys 47 and 48 adjustable, in order to be able to adapt the stretching device to. the width of the fabric 29. A special order for driving the pulleys 4'1 'and 48 is not generally necessary, since the advancement of the embossing fabric suffers. Of course, it is also possible, if necessary, to provide a control for driving the guide pulleys.
The realization of the stretching device is not limited to the examples indicated and it can take various other forms. It is only important to provide any drive members in the form of separate tools or continuous moving belts eto .. which grip the embossed fabric and move with it with the same forward speed, while exe- - making an outward movement. It is therefore essentially a reverse movement to that of the embossing device itself.
Separate drives may be provided, as in the embossing device, which engage one after another, or the fabric to be stretched is pinched along a movable line of. coma training organs this is the case for the example of figs. 20 and 21.
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The stretching device, like that of embossing, is not limited to the cylindrical form: any other closed surface or a plane on which the embossed fabric is stretched can be used, for example one can use a device according to fig. 18 and. 19 but working in reverse.
The embossed paper can then be subjected to stamping, for example by means of longitudinal cylinders. For example, if a double-embossed paper is subjected to the battago by longitudinal and transverse cylinders, a honeycomb-like paper is obtained.
Finally, it should be pointed out that the stretching device described can be used not only in combination with the embossing devices which have been indicated above, but also with all other embossing devices, as well as other embossing devices. very machines in which it is also necessary to draw a moving canvas up to a determined final width.