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Dispositif destine a La ssose de fers ou de barres d'armature dans un revêtement de chaussée.
Les revêtements de chaussées en béton sont, de façon rationnelle, construits h l'aide d'appareils de. cons- truction à coffrages glissants. Afin que le revttement de chaussée puisse absorber les contraintes de dilatation thermique, il y est forme, à distances régulières, des joints transversaux, la distance comprise entre les joints etant d'environ 5 m. Pour plus de simplicité, on forme souvent de faux joints dans le revêtement, en marquant la surface de ce revêtement de rainures transversales. Lorsque la ré- sistance à la traction est dépassée, il se forme dans le béton des fissurations se présentant le long de ces rainures, qui compenseront les dilatations ther-. miques des plaques séparées par ces rainures.
Afin que les plaques ne se déjettent pas l'une par rapport a l'autre, de meine que pour la transmission des efforts, ces plaques, qui sont séparées les unes des autres, sont reliées entre elles à l'aide de fers ou de barres d'urmature. Ces fers ou ces barres d'armature ont habituellement une longueur de 50 cm et ils sont disposés l'un par rapport à l'autre à une distance d'environ 50 cm dans le sens longitudinal
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M v t < f t v de la chaussée.
Pour la pose de tels fers ou de telles barres d'ar- mature, il a été propose, par la publication US-PS
4 433 936, de placer sur le revêtement de la chaus- sée fralchement posé une plaque mobile par traînage présentant des fentes de passage pour les fers ou pour les barres d'armature. Cette plaque mobile est suspendue au moyen de barres à des supports faisant librement saillie vers l'arrière, de façon à pouvoir osciller en Parallelogramme. Un cylindre hydraulique horizontal relie la plaque mobile par traînage à l'appareil de construction. Des vibrateurs sont montés sur une poutrelle transversale, dont la position en hauteur par rapport à la plaque mobile peut être modifiée et réglée à l'aide de cylindres hydrauliques verticaux.
Les barres sont tenues à l'aide de pinces au-dessus des fentes de passage que présente la plaque mobile par traînage et elles sont pressées dans le béton au moyen de fourches de pression. La pression est exercée par les cylindres verticaux. Grace à cette plaque mobile par traînage, il est évité que le beton puisse être refoule lors de la pose des barres. Lors de la pose de ces barres, la plaque mobile par trainage doit toutefois rester en place
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tandis que l'appereil de construction continue à se déplacer si vitesse constante. La plaque mobile par traînage, qui, après la pose, se trouve dans une position d'extrémité arrière, est alors ramenée par 1e cylindre: horizontal.
Sous l'effet du déplacement par traînage avec décalages de la plaque mobile et sous l'effet du mouvement d'oscillation du guidage en parallelogramme de cette plaque mobile, le reveterent de la chaussée est marqué d'un dessin transversal, dessin transversal qui ne peut que difficilement être supprimé par lissage au cours d'opé- rations subséquentes et qui, lorsqu'il subsiste, est gênant lors du roulage sur la route achevée.
Un système plus avantageux visan. t a assurer l'obten- tion du résultat en question a été décrit dans la publication EP-A 154 761, par rapport à laquelle la portée de la revendication 1 a été délimitée. Selon ce système, la plaque qui est fixée au support est
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guidée par des guidages longitudinaux rigides et ZP C > elle est maintenue juste au-dessus de la surface du revêtement de la chaussée de façon à pouvoir osciller. Grâce à ce système. 1'ondulation de la chaussee dans le sens longitudinal a pu être évité.
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Toutefois, dans le cas des deux systèmes qui viennent ze
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d'entre indiqués, il se forme, autour des endroits où les fers ou les barres d'armature sont posés par vibration, de petits amas de béton, lesquels doivent par la suite être supprimés par égalisation à l'aide d'un lissoir poussé en des mouvements de va-et-vient dans le sens transversal. La présente invention a pour but d'éviter cet inconvénient.
Ce but est at- teint grace aux premières caractéristiques de réalisation du dispositif faisant l'objet de la présente invention destiné à la pose de fers ou de barres d'armature aux endroits des joints transversaux prevus dans un revêtement de chaussée en béton frisches ment posé, dispositif qui comporte un chariot pouvant être déplacé dans un guidage longitudinal rectiligne, une plaque fixée au chariot et pouvant être déplacée en hauteur par rapport à ce chariot, plaque qui présente des fentes prévues parallèlement au guidage longitudinal rectiligne, des dispositifs de retenue fixes ä la plaque dans la zone des fentes, dispositifs de retenue qui sont destinés à recevoir les fers ou les barres d'armature, ainsi qu'une poutrelle à vibrations pouvant être deplacee dans le sens vertical par rapport a la plaque,
poutrelle à vibrations qui porte des fourches servant à la pose
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par vibration, des fers ou des barres d'armature.
.. ".,.
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Selon les caractéristiques précitées, qui sont repri- ses dans la première des reveadications formulées en fin de ce ruemoire, la plaque précitée peut etre dé- placée dans le sens horizontal, par rapport au chariot auquel elle est fixée, transversalement par rapport au sens longitudinal des fentes qu'elle présente, à l'intervention d'un premier élément de déplacement, et elle peut être soulevée à l'interventionL d'un deuxième élément de déplacement, et les fentes que présente la plaque vont en s'élargissant en direction de la face intérieure de cette plaque, transversalement par rapport a leur sens longitudinal.
Alors que la plaque peut étreddéplacée par un premier élément de déplacement, dans le sens transversal par rapport au "sens longitudinal des fentes qu'elle présente, et qu'elle peut être soulevée par un deuxième element de déplacement, elle peut être déplacée en de courts mouvements de va-et-vient après la pose des fers ou des barres d'armature, et re ensuite ramenée vers l'appareil de construction sans charger le revêtement de la chaussée. Grace aux bords des fentes dont l'ouverture va en s'élargissant vers le bas et
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grace a la face inférieure de la plaque, les amas qui ont été formes lors de la pose des fers ou des barres d'armature par vibration sont supprimés par égalisa-
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tion. De cette manière, l'égalisation d'achèvement à l'aide d'un lissoir transversal est superflue.
L'appareil de construction ast de ce fait sensiblement plus simple et sa fabrication en ert moins onéreuse.
Il est en outre obtenu un autre avantage de poids, en ce sens que l'appareil de construction peut Atre plus court.
On donnera cl-après une explication plus amplement détaillée de la présente invention en décrivant un exemple da ra1isation du dispositif qui en fait l'objet, exemple de réalisation qui est illustré par les dessins annexes à ce mémoire. Dans ces dessins, la figure 1 représente, par une vue de côté, une machine de construction de routes qui est équipée d'un dispositif de pose de fers ou de barres d'ar- mature répondant a la présente invention ; la figure 2 représente une vue en coupe suivant la ligne II - II qui est indiquée sur la figure 1; la figure 3 représente une vue en coupe suivent la ligne III - I11 qui est indiquee sur la figure 2 ;
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la figure 4 représente une vue en coupe suivant ja ligne IV - IV qui est indiquée sur la figure 2 ;
la figure 5 représente une vue en coupe suivant la ligne V-V qui et indique sur la fiGure 2 ; la figure 6 représente, par une vue en plan? de dessus, une fente qui est prévue daas 1a plaque, et
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la figure 7 représente une vue en coupe suivant la ligne VII-VII qui est indiquée sur la figure'6.
4. 1 La figure 1 des dessins ci-annexés représente de façon schématique un appareil de construction à coffrages glissantes 1. A l'avant de l'appareil de construction 1 se trouvent des vis sans fin de répartition 4, qui sont destinées à répartir le béton fralchement pose sur la largeur de pose. En dessous des vis sans fin de répartition 4, il est prévu des vibrateurs 5, n l'aide desquels le béton est vibré. Le béton est tasse au moyen d'une plaque de compression 10. Sur un châssis portant 2, qui est prévu à l'extrémité postérieure de l'appareil de construction 1, est monté un dispositif 20 qui est destiné à la pose de fers ou de barres
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d'armature 22.
Ce dispositif 20 sera décrit de façon détaillée dans la suite de cet explosé. A la suite du çi3positif 20, i1 est prévu un appareil à lisser longitudinal 8, qui comporte un lissoir maintenu de fa-
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rcn u/il puisse 8tre déplacé en hauteur.
J. figure 2 des dessins ci-anneés représente 1e dis- positif 20, destiné à la pose des fers ou des barres d's. rnc-. ture 22, tel qu'il apparaît vu dans le sens qui est indiqué par les flèches II - II sur la figure 1, c'ect-à-dire dns le sens de la construction de la chaussée. Le dispositif 20 est formé de deux moitiés qui se trouvent latéralement l'une auprès de l'autre.
Sur la figure 2, on n'a pas représenté, pour plus de clarté, la moitié du dispositif 20 qui se trouve à droite du support médian 2b du chassis portant 2, symétriquement par rapport à la moitié de gauche, repro-sente sur cette figure. Les figures 3, 4 et 5 des dessins ci-annexés représentent des vues en coupe transversale par rapport au plan de la représentation de la figure 2, c'est-à-dire des vues dans des plane qui sont parallèles au sens de la construction.
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Au cöté postérieur d'une plaque parallélépipédique allongee 21, de genre de construction à chambres creuses, est fixée, au-dessus de la face inférieure 23 dyne
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cette plaque, une plots-forme 25, sur laquelle se pla- cera un homme de service. Des ailes transversales 24,
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qui, sont dresses a la verbicale, sont percees de trous allonges ou boutonnières 24a et 24b, dont la plus grande dimension se trol've dans le sens vertical.
Sur chacun des trois supports 2a, 2b du chGssis portant 2, une barre de guidage 30 est maintenue rigidement au moyen de trois pieces de profil en T 31a, 31b et 31c, qui sont prévues à égale distance l'une de l'autre. Un cadre rectangulaire 32, qui joue le rôle d'élément de chariot, est muni, dans les deux parties latérales les plus courtes, de paliers a glissement 33a et 33b, qui glissent sur la barre de guidage 30.
Ces paliers a glissement 33a et 33b peuvent être faits d'une matière synthétique apte au glissement, telle
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que, par exemple, une polyamide. Aux deux côtés les plus courts également de ce cadre rectangulaire 32 sont fixées rigidement deux colonnes télescopiques 34. Ces colonnes télescopiques 34 sont munies chacune, à l'extrémité intérieure, d'un support en forme de U 35, qui prend de dessus et des deux cotes l'aile transversale 24 prévue sur la plaque 21 et qui est relie à l'aile transversale 24, de façon, à etre mobi-
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1 le en hauteur, au moyen d'un boulon-36pasänt par le trou allonge ou boutonnière 24a ou 24b que présente cette aile transversale 24.
Comme on peut sten
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rendre compte en se référant à la représentation. de la figure 5 des dessins ci-annexes, chacune des co-
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lonnes 34 est, de son cote, munie d'une tige file- tée 34b, qui eat fixée par vissage dans un manchon
34a, présentant à cet effet un taraudage. La lon- gueur de la colonne 34 peut de cette manière être régalée par rotation du manchon 34a. Le manchon 34a est glissé dans un autre manchen, le manchon 34c.
Les deux manchons 34a et 34c peuvent être déplacés l'un par rapport h l'autre de façon télescopique à l'intervention d'un cylindre hydraulique 37. De cette façon, la plaque 21 peut être soulevée du revêtement 6 de la chaussée et être abaissée sur ce revêtement. De cette manière, lorsque la machine est déplacée, la plaque 21 ne glisse pas sur le revêtement 6 de la chaussée.
Grace a la présence des trous allongés ou boutonnières 24a et 24b, les colonnes 34 sont relieues à la plaque 21 de telle fagon qu'elles puissent pivoter sur un axe qui est parallele à l'axe des barres de guidage 30. Les cadres 32 peuvent pivoter sur les barres de guidage 30. De cette manière, les colonnes 34, la plaque 21 et la ligne de liaison comprise, entre les barres de guidage 30 forment un parallélogramme. De l'un des supports
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2a s'avancent vers le bas deux. bras 40 auxquels h
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une autre barre de guidage, 18 barre de guidage 41, est fixée parallelement aux barres de guidage 30.
L'extrémité libre 42 d'une tige de piston 43 d'un cylindre hydrnulique 44 est guidée sur la barre de quidage 41 de façon b pouvoir pivoter et à pouvoir être déplacée. Le cylindre hydraulique 44 est fixé à une colonne portante 51, elle-même fixée sur la plaque 21, de telle façon qu'il puisse pivoter sur un axe horizontal 45. Grâce à l'intervention du cylindre hydraulique 44, la plaque 21 peut être déplacée en des mouvements de va-et-vient dans son sens longitudinal.
Comme on peut s'en rendre compte si l'on se réfère a la représentation de la figure 2 des dessins ci-annexes, deux appuis 50, formant en quelque sorte un montage en pont, sont fixes rigidement sur la plaque 21, entre les supports externes 2a et le support median 2b. Ces appuis 50, dont l'un est represente tel qu'il apparalt vu de cote sur la figure 4 des dessins ci-annexés, sont formés de deux colonnes portantes 51 et 52 qui portent une poutrelle de traverse 53. A la poutrelle de traverse 53, au milieu de celle-ci, est articulé un cylindre hydraulique vertical 54. L'extrémité libre. 56'-'. du piston 55 de ce cylindre hydraulique 54 est fixée par ar-
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lp ticulation à une poutrelle a vibrations 60.
La
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poutrelle à vibrations 60 est prévue sous la forme d'un cadre rectangulaire formé de supports en U reliés 1'un à l'autre. Les côtés les plus longs sont à peu près de même longueur que la plaque 21 et les côtés les plus courts sont d'une dimension qui est inférieure à la distance comprise entre les deux colonnes portantes 51 et 52. Des plaques allongées verticales 61 guident la poutrelle a vibrations 60 sur les colonnes portantes 51 et 52.
A des distances egales, par exemple de 50 cm, des fourches 62, prévues par paires, sont fixées à la poutrelle à vibrations 60. Sur la poutrelle à vibrations 60 se trouvent trois vibrateurs 64, qui sont prévus sous la forme de moteurs électriques munis de plateaux vibrants sur leurs arbres ou sous la forme de vibrateurs hydrauliques.
Les paires de fourches 62 sont montées en alignement avec des fentes 26 que presente la plaque 21.
Dans les fentes 26 que présente la plaque 21 sont prévus des dispositifs de retenue en forme d'en- tonnoir 27 pour les fers ou les barres d'armature 22. Comme l'indique en particulier la"representa- tion de la figure 7 des dessins ci-annexés, des dispositie de retenue en forme d'entonnoir 27 sont formés de deux plaques faisant ressort 28, qui.,
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sont prévues par paires. Les plaques faisant ressort 28 s'avancent à l'interieur den fentes 26 que presen-
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to la plaque 21, de teile sorte que l'extrcmite Inte- rieure du dispositif da retenue en forme d'entonnoir 27 se toure au voisinage de la face inféricure 23 de la laque 21.
Les plaques faisaat ressort 28 sont, à leurs parties infûrieures marginales, écartées l'une de l'autre d'une distance qui est inférieure à la me-
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sure du diaetre des fers ou des barres d'armature 22.
Lee fovrchen 62 preseaten. t, a l'extremite Interieure, un creux sous forme de fente 63, qui est destine à recevoir le fer ou la barre d'armature 22, le creux 63 étant approximativement d'une longueur qui correspond à la distance comprise entre le bord Interieur du dis- positif de retenue en forme d'entonnoir 27 et la face inférieure 23 de la plaque 21. De cette manière, il
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. est évité que lors de l'abaissement des fourches 62, après qua le fer ou la barre d'armature 22 a été pous-
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= ! G h l'exterieur du dispositif de retenue en forme e s d'entonnoir 27, ce fer ou cette barre d'armature puisse rouler latéralement sur le revetement 6 de la chnussée et quitter ainsi sa place.
La fente 26 est
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arrondie en direction de la face inférieure 23 de la plaque 21, de telle façon que lors du ddplacement de la plaque 21 dans le sens latéral, le béton ne puisse s'amasser dans la fente 26.
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En se référant aux représentations de la figure 1. et de la figure 4 des dessins ci-annexés, on peut voir que le dispositif de pose de fers ou de bar-'-' res d'armature comporte encore un cylindre hydraulique horizontal 70. Un deuxième cylindre du même genre est prévu à l'appui se troveant symétrique- neut dans la moitie de droite du dispositif 20, qui n'est pas représentée sur la figure 2 des dessins ci-ann. exen. Ce cylindre hydraulique horizontal 70 est articule au moyen d'une première articulation 72 à l'appareils de construction à coffrages glissants 1. Le piston 71 du cylindre hydraulique horizontal 70 est de son côté articulé à l'un des appuis 50 au moyen d'une seconde articulation, l'articulation 73.
Lorsqu'à l'intervention d'une valve de commande, les deux cotes des cylindres sont relies au retour, le dispositif 20 peut glisser vers l'arrière, pour rester fixe pendant la pose des fers ou des barres d'armature 22. Après la pose des fers ou des barres d'armature 22, le dispositif 20 est ramené par les cylindres 70.
Afin que, d'une part, les quatre cylindres 54, qui se trouvent dans les quatre appuis 50, à gauche et à droite du support médian 2b, et, d'autre part, les deux cylindres hydrauliques
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horizontaux 70 et, en outre, les cylindres 37 travaillent toujours en synchronisme, il peut µtre prévu des comn'ades de sychronipion.
. v. qnt cue les fers ou lec barreo d'armture 22 scient poses, les cylindres hydrauliques 70 se trouvciit dans la posicion. dnR laquelle ils sont représentés sur la figure 4 des dessins ci-annexes.
Les cylindres 5 et les cylindres 37 se trouvent également dans la position de retrnit. De cette manière, la poutrelle à vibrations 60 se trouve dans la position indiquée par 1a référence PI sur la figure 5, position qui est représentée par un tracé en pointille sür la figure 4, et les fourches 62 se trouvent ä distance au-dessus de la plaque 21.
Un homme de service pose alors un fer ou une barre d'armature 22 da. ns chacun des dispositifs de retenue en forme d'entonnoir 27. A bref intervalle avant que soit atteint l'endroit du joint de séparation qui suit immédiatement, la poutrelle à vibrations 60 est amenée, a l'intervention des cylindres 54, à la position qui est indiquée par la référence P2 sur 1a figure 5 des dessins ci-annexes.
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Cette sposition est représente par un tracé en traits ploins sur la figure 4. Les fourches 62 sont alors en contact avec les fers ou les barres d'armature 22 qui setrouventdanslesdispositifsderetenueenforme d'entonnoir27.
A l'cdroit prévu, la plaque 21 est tout d'abord abaissee. grâce a la décharge des cylindres 37. sur le revêtcment 6 de la chauss6e. Les cylindres 54 sont alors alimentés en huile sous pression et les fourches 62 poussent les fers ou les barres d'armature 22 vers le bas et les font sortir des dispositifs de retenue en forme d'entonnoir 27. Lors de l'entree en contact avee le revSteent 6 de 1 chaussée, les cylindres 70 et les cylindres 54 sont alimentés par une pression
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minimum afin cue le frottement soit dominé. En meme temps, les vibrateurs 64 sont mis en fonctionnement, et les fourches 62 transmettent les oscillations de vibration aux fers ou aux barres d'armature 22.
Sous cette influence, le beton se fluidifie en ces endroits et les fers ou les barres d'armature 22 descendent et pénètrent dans le revêtement 6 de la chaussée.
Dès que la poutrelle à vibrations 60 a atteint la position qui est indiquée par la référence P3 sur
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la figure 5 des dessins ci-anncx6s, les vibrateurs 64 sont mis hors circuit et, à l'intervention des cylindres 54, la poutrelle à vibrations 60 et, avec pille, les fourches 62, sont noulevées, la povtrelle ci vibrations passant ainsi à la position qui est
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indiquée ? ar la rcfrece Pl su. r la figure 5. Des lors, ä l'Intervention du cylindre 44, la pla- que 21 est poussée un certain nombre de fois en des mouvements de va-et-vient qui couvrent une distance équivalente a un peu plus de la l'argeur des fentes 26.
De cette manière, les deformations apparues a la surface du revêtement 6 de la chaussée, qui ont été provoquées par la pose des fers ou des barres d'armature 22, sont supprimées par effet d'égalisation. A la suite de cela, la plaque 21 et, avec elle, les cylindres 37, sont soulevés et sont ramenés, à l'intervention des cylindres 70, vers l'appareil de construction 10