Moulin à Châtaignes autonome et compact
dans deux modes de réalisation
Domaine de 1 ' Invention: a présente invention est un moulin à châtaignes pouvant broyer toutes sortes de céréales notamment le blé, le mais, le sorgo, féculents, châtaignes, fruits secs .etc.
Dans l'art antérieur il existe effectivement ce type de moulin traditionnel qui peut être entrainé par un moteur de nature quelconque ou ,par la force musculaire.
Les transmissions mécaniques se faisant par des courroies de transmission des roues des engrenages .Les inconvénients qui découlent de ces types de liaisons sont de plusieurs natures : Ces transmissions étant mal protégées pouvaient happer les membres des individus , et ainsi occasionner des accidents. Ces machines étaient constituées essentiellement de deux pierres cylindriques qui, en mouvement l'une sur 1 'autre,broyaient les denrées (ex châtaignes) .A cause de l'inertie des pierres, la mise en action ne pouvait s'effectuer qu'à l'aide d'un embrayage archaïque, ce qui entraînait des inconvénients majeurs échauffements, usures, échappements de la courroie et risque d'accidents par rupture de pièces ..etc. Dans ces anciennes machines, le meunier reste exposé aux risques inhérents à tous ces mouvements (mains happées,membres écrasés) .La pierre supérieure devant être retirée de façon périodique pour nettoyage ef'bouchardage" (reformations tions des sillons de la pierre) .Ceci entraînait des opérations longues .difficiles et dangereuses. Les anciennes machines étaient difficilement démontables et
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surtout indéplaçables.La présente invention se propose justement de remédier à ces inconvénients en améliorant fonda¬
mentalement ce type de moulin , en y ajoutant des éléments nouveaux inconnus de l'homme de métier.
Ce nouveau type de moulin,à châtaignes ou à céréales, composé de meules de granit , ultra compact et polyvalent va justement répondre à ces problèmes que nous allons maintenant décrire dans deux formes de réalisation (explicitées sur les dessins) La figure 1 de la planche l/ll montre une vue générale du moulin et de ses principaux accessoires (réalisation n°l) La figure 2 de la planche 2/11 montre une vue éclatée en perspective de l'ensemble des moyens connus et nouveaux du moulin (réalisation n°l) Les figures 3,4 de la planche 3/11 montrent les moyens de préhension et de levage la pierre supérieure et l'entonnoir de déversement des céréales. ( réalisation n°l) Les figures 5 et 6 de la planche 4/il montre les moyens de carénages nouveaux qui vont protéger les pierres.ainsi que les moyens du déversement de la farine, (réalisation n° 1) la figure 7 de la planche 5/11 montre une vue d'ensemble du moulin. (réalisation n°2)
La figure 8 de la planche 5/11 montre une vue en coupe du nouveau moulin avec ses moyens hydrauliques de mise en oeuvre. (réalisation n°2) Les figures 9,10 et lObis de la planche 6/11 montrent des vues en coupe du nouveau moulin avec ses pierres et son motoréducteur ainsi que le système de basculement de la trémie et le détail du mat de levage télescopique avec son
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vérin pivotant, (réalisation n°2)
Les figures il et 12 de la planche 7/11 montrent les dispositifs de basculement et de retournement de la pierre supérieure ( réalisation n°2) Les figures 13 et 14 de la planche 8/11 montrent la goulotte d'arrivée des céréales, son emplacement dans la trémie et le fond en forme de pente hélicoïdale de celle-ci munie d'une bavette clapet (réalisation 2) . Les figures 15 et 16 (détail) de la planche 9/11 montrent les moyens qui permettent de faire vibrer la goulotte et le système de coulisseau, (fig 16) qui règle l'amplitude de la vibration (réalisation n°2) .
La figure 17 de la planche 10/11 montre le dispositif d'en- sachage des céréales . (réalisation n °2) Les figures 18 et 19 de la planche ll/ll montrent les moyens de réglage de l'inclinaison de la goulotte (réalisation n°2) Dans un premier mode de réalisation :
Le Moulin 1 est constitué d'une pierre supérieure 2 en rotation sur un axe central vertical, et venant se positionner au dessus d'une pierre inférieure 4 .Un écartement X situé entre les deux pierres, est réglable par une clef à cliquets qui entraine une vis sans fin pour monter ou descendre la pierre 2 , ce qui constitue une sorte de cric 521. ui permet même un dégagement de la pierre 2 vis à vis de la pierre 4. Le moyen d' entraînement est un motoréducteur 5, formé d'un moteur et d'une boîte de démultiplication, avec sortie à arbre creux 57,muni d'une ou plusieurs canelures intérieures 520 permettant d'entrainer un arbre principal 56 qui traverse la pierre 4, arbre centré d'une part,par un roulement
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43 au niveau de la pierre 4 et d'autre part par une douille
44 canelée intérieurement,montée sur 43,qui permet d1 entraîner l'arbre 56 muni de canelures 522 s'emboitant en glissant dans les canelures 520.... Dans le cas du deuxième mode de réalisation , 1 ' entraînement se fera par une seule canelure ou rainure bloquée par une
clavette.
La pierre 2 possède également un trou central 21 par lequel peuvent descendre les denrées à broyer.A sa partie inférieure le trou 21 possède à sa base et en périphérie trois logements situés sur trois rayons à 120° :22a 22b 22c qui permettent 1 ' entraînement de la pierre 2 par l'arbre 56 en s ' emboîtant sur une clef 523 à trois doigts 23a 23b 23c rendus solidaires de la tête de l'arbre d' entraînement 56 par un accouplement oscillant souple 524 connu de l'homme de métier. L'ensemble des précédents moyens est supporté par un bâti 11 formé de trois ou quatre pieds 105 ,106 ,107, et éventuellement 108.Deux de ces trois pieds 105 et 106 sont munis d'un vérin à vis 113 qui permet d'effectuer une parfaite mise à niveau horizontal,à l'aide d'un niveau à bulle 110 fixé sur une traverse. Ces pieds sont munis de platines d'appuis 112 et 114 assez larges pour bien répartir la charge et utilisables sur toutes sortes de sol. Le troisième ou le quatrième pied 107 vient sur une platine 61, plus grande que les précédentes, sur laquelle sont construits les moyens de préhension et de levage de la pierre 2, qui vont être décrits. Ces moyens de préhension et de levage sont constitués par une potence tournante 6
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fixée sur la platine 61, liée au bâti 11 par une liaison mécanique 611. (tube,patte soudée boulonnée etc....)
Cette potence s'élève ainsi au dessus du moilin 1 pour tenir
la pierre supérieure 2 par un portique articulé de préhension 617 muni d'ergots 618 a et 618 b, servant de prises dans la pierre 2.Ce moyen de préhension permet de retourner facilement la pierre 2 pour une maintenance sans danger. a potence
est également munie d'un moyen d'accrochage 614 qui permet de lever, déplacer et transporter le moulin l.Dans la deuxiè- me version , nous verrons que cette potence sera remplacée par un mât de levage télescopique pivotant .
Par ailleurs un carénage 8 composé de deux demi-carter munis d'un trou central 801 permettant l'introduction des céréales articulées sur le pied 107 vient enfermer les deux pierres 2 et 4 pour permettre ainsi la récupération de la farine provenant des denrées alimentaires , en même temps qu'il permet d'assurer une excellente protection des individus. Ces demi- carters (voir fig.5.planche 4/11) possèdent dans la partie inférieure une goulotte d'évacuation 810 de la farine permettant l'ensachage grâce à un cerclage 811 sur lequel se fixe un sac.Cette goulotte est munie d'un oeilleton 812 sur sa pa- oie verticale extérieure permettant au meunier de surveiller et d'opérer un prélèvement sans danger de farine.Le meunier surveille l'écoulement de la farine grâce à une glace 813 translucide;ce dispositif est muni d'un arrêt de sécurité électrique 814 se déclenchant par ouverture de la glace 813. Pour faire fonctionner le Moulin 1 , 1 * opérateur déverse les
denrées dans un entonnoir 7 (avant et pendant le fonctionne- ment) l'entonnoir 7 est muni à sa base d'une trémie 71 permettant de régler le débit des denrées qui sont broyées par déversement dans le trou 801 du carter 8 situé au centre de la pierre 2.L ' entonnoir peut être approvisionné au dessus par vis d'ar-chimède entrainée par moteur ou par bande transporteuse. Pour terminer cette description,nous rappe- lerons que la pierre supérieure 2 est entrainée par un oto- réducteur 5 alimenté par une armoire 200 dans laquelle est placé un démarreur électronique progressif 201 à thyristors (agissant par variation de fréquences) dont la fonction essentielle est de lancer le motoreducteur en tenant compte de l'inertie de la pierre d'une façon progressive et sans a-coups, Ce démarreur électronique 201 assure également le contrôle continu, et permet une régulation parfaite de la rotation la pierre 2,-la consommation du courant est ainsi plus faible. C'est justement la combinaison de moyens connus des anciens moulins, associés aux nouveaux moyens précédement décrits à savoir:moyens de préhension et levage, sécurité, réception et écoulement de la farine, gestion du motoreducteur par le le démarreur électronique grâce à un microcontroleur 202 programmable qui font la nouveauté et l'intérêt essentiel de cette invention.Ces moyens sont raccordés à un Pupitre Contrôle Commande compact 205 , étant à portée de main du meunier. Ce moulin est mis en oeuvre par un seul opérateur n'effectuant plus de travaux pénibles et dangereux. L'opérateur ou le meunier maîtrise sa machine , depuis le déversement des denrées jusqu'à l'éjection de la farine.
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Le poste de travail regroupe à portée de main outre le pupitre Contrôle Commande 205, tous les mécanismes de régulation et d'approvisionnement des denrées.
Enfin pour conclure sur cette première forme de réalisation il est certain que tous les moyens équivalents non décrits mais assurant des fonctions identiques font partie de la présente invention et sont également revendiqués. La simplicité de mise en oeuvre de la machine ainsi que sa compacité la rende facilement transportable, la destine à une uttilisation rurale sur les lieux de la récolte, sa conception lui permet d'être fabriquée en différentes capacités. Le Pupitre de contrôle comnande 205 possède tous les moyens classiques de visualisation et de sécurité , tels que coup de point d'arrêt d'urgence, disjoncteur etc.qui font partie de l'invention , car conformes aux normes de sécurité en vigueur. Notons également qu'un crochet 614 situé sur la potence 6 permet de charger le moulin sur un véhicule.
Dans un deuxième mode de réalisation préférentielle moulin 1 représenté sur la fig 7 présente des avantages importants et des fonctions nouvelles très intéressantes vis à vis de la première version précédemment décrite. Comme dans le premier mode de réalisation, le moulin 1 est toujours constitué de 2 pierres, la supérieure 2 entrainée par le motoreducteur 5 par un arbre de transmission 56 qui s'engage dans la pierre supérieure 2 par 3 logements dans lesquels viennent s'introduire 3 doigts situés sur l'arbre. Les différences avec la première version vont apparaître dans les moyens çi-après décrits qui amènent des fonctions
KWUE DE KM. UCÏI
nouvelles .
1-Des moyens e déversement des céréales et de leur cheminement jusqu'à l'interstice des pierres qui sont nouveaux et plus efficaces 2 -Des moyens de vibrations ont été ajoutées pour améliorer la rentrée des céréales dans le moulin et pour éviter les bourrages ou les manques de céréales et permettre l'approvisionnement régulier et continu du moulin. 3-Des moyens de mises en oeuvre de levage de la pierre su- et de réglage commandés hydrauliquement .
4 -Par sa nouvelle conception :des moyens de manutention nouveaux, amenant un maniement aisé , il permettent en particulier de boucharder les pierres facilement et de démonter de manière aisée , tout ou partie du moulin. 5- Des moyens de rassemblement et d'ergonomie, qui dans le cas de cette deuxième réalisation rendent plus aisée l'approvisionnement du moulin et son pilotage. L'ensemble des moyens de déversements du deuxième mode de réalisation est constitué essentiellement: -d'une trémie réceptacle 71 formée d'une partie plane 711 suivie d'une rampe hélicoidale 710 très inclinée favorisant l'introduction des céréales dans une goulotte 810 par une ouverture latérale 8110 , et son déversoir 8200. -d'une bavette clapet 821 facilitant l'entrée des céréa- les dans la goulotte 810 qui ensuite se déverser par le centre dans un espace 30 situé entre les pierres 2 et 4. -d'une forme adaptée des pierres 2 et 4 qui permet un réglage de l'écartement ou de l'interstice 30 par un
vérin hydraulique 560 solidaire de l'axe 56, le ditaxe étant lui même solidaire de la pierre 2 supérieure comme dans le cas de la première réalisation. La forme de cet espacement ou interstice 30 est telle que le maximum de volume recevant les céréales se trouve situé au centre des pierres et que la valeur de 1 • ecartement x réglable par vérin permet une adaptation de la mouture à toutes sortes de céréales. II existe également un joint de poutour 32 qui permet de contenir la farine, et l'oblige à venir tomber dans un déversoir qui mène à l'orifice de déversement 210 situé sous le Pupitre contrôle commande 205. Sur cet orifice, on vient fixer un sac 213 qui recueille la farine. La forme de la goulotte 810 est particulière, elle possède une pente qui s'adapte à la trémie 71 et est la continuité de la pente hélicoïdale 710 de la ditetrémie. L'inclinaison de la goulotte permet de se régler suivant les différents écoulements de céréales à moudre. Nous allons maintenant décrire le dispositif de vibration qui va permettre d'éviter les bourrages de céréales. Les moyens de Vibration du deuxième mode de réalisation sont constitués (fig 15 et détail 16 de la planche 9/11) qui représente une vue de dessous de la pierre 2) par un dispositif 90 comprenant :
-une couronne 93 qui peut faire partie de la pierre supérieure 2 munie d'une came 91 de forme semi-elliptique qui tourne avec la pierre supérieure 2 en venant à chaque tour, repousser un galet 94 dont le support coulisse sur
deux tiges guidées horizontales 95 fixées sous la trémie 71 par un moyeu à roulement 971.
Ce dispositif90 permet un réglage de l'amplitude des vibra¬ tions .La figure 16 montre que le galet 94 peut s'écarter plus ou moins de la came 91 grâce à un coulisseau 98 réglable en translation depuis la manette 2052 du pupitre contrôle commande 205, ceci grâce à un cable gainé 97 rapprochant plus ou moins la roulette 94 de la came 91. La goulotte 810 est aussi suspendue sur des silentblocs
La trémie 71 est reliée à un joint élastique souple relié sur un pourtour au bâti formé de quatre pieds, ce qui lui permet également de vibrer. La figure 18 (Planche 11/11) montre dans le plan vertical un assemblage souple 75 de laditegoulotte 810 avec la trémie 71. Cette diteliaison élastique est formée d'une barette 714 reliée au moins à une tige filetée qui s'accroche sur au moins un silentbloc 712 en autorisant ainsi la vibration, (fig 19 Planche 11/11)
Cet assemblage souple 75 permet de régler l'inclinaison de la goulotte 810 grâce à un vernier 715 muni d'une molette autobloquante 7150, ce qui a pour effet de pouvoir s'adapter à tous les types de céréales à moudre. L'ensemble des moyens de manutention du deuxième mode de réalisation (voir fig 8,9 et 10) sont constitués par des moyens hydrauliques formés : -d'une pompe hydraulique rotative 62 mue par un volant manuel 60 amovible. -d'un distributeur de pression 63 , (type 3-4 ) qui permet
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de sélectionner - soit le réglage de l'espace 30 entre les pierres par le vérin 560. - soit la pose ou la dépose de la pierre 2 effectuées par un vérin 561 situé à l'intérieur du mât de levage 10 té- lescopique, et pivotant supportant la pierre supérieure 2.
Ce choix est effectué à l'aide d'une commande manuelle située sur le fourreau de l'axe du volant manuel 60. L'ensemble de la trémie 71 peut pivoter par levage manuel grâce à deux vérins à gaz 710a et 710b, il dégage ainsi complètement les pierres, qui sont alors apparentes et qui autorisent ainsi toute intervention et maintenance. La pierre supérieure 2 déconnectée de son arbre d' entraînement par dégagement de la clef 523 peut même pivo- ter grâce à sa fixation préalable dans la virole 81, elle même soutenue par le mât de levage télescopique 10. Elle peut même s'incliner à 90° et plus, dans le plan vertical (fig 12) grâce à deux tourillons 210 et 211 fixés au préalable pour faciliter toutes les opérations de maintenance : bourchardage réparations ...etc
Si il est nécessaire de démonter entièrement le moulin, cela est possible ainsi que toute intervention au niveau du motoreducteur et des divers organes.
Enfin pour terminer cette description , nous expliciterons l'ensemble des moyens qui rendent ce moulin facile à utiliser et ergonomique.
L'aspect général du moulin de la réalisation n°2 est montré sur la figure 7:on y voit rassemblés:
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-le Pupitre de contrôle comande 205
-le volant manuel 60 pilotant les moyens hydrauliques -le dispositif d'ensachage 211 (fig 17) avec les 2 commandes 2051 et 2052 concernant le réglage de l'amplitude des vibrations et l'ouverture de la trappe permettant à la farine de remplir le sac 213 cerclé sous le trou d'évacuation 210 , ainsi que l'ouverture de la bavette clapet 821 -l'ensemble des Boutons situés sur le pupitre pour piloter notamment la Vitesse de rotation du moulin 1 une trappe frontale transparente 2050 qui peut facilement s'ouvrir pour permettre au meunier de prélever sans danger une poignée ou un échantillon de farine ,pour en évaluer ses caractéristiques, ce qui permet d'influer ensuite si nécessaire sur le pilotage du moulin. Ce dernier est compact, la trémie 711 est à hauteur d'hom- me;aucun escabot ni échelle ne sont nécessaires pour déverser les céréales dans la trémie.Tous les matériaux et composants utilisés satisfont à la norme "qualité alimentaire" garantissant ainsi une parfaite hygiène. A noter que l'axe 56 du vérin principal 560 est appuyé sur une butée à bille oscillante associée à un roulement à aiguille auto-alignable qui peut subir des efforts importants. La longueur de la goulotte 810 est égale au rayon de la pierre 2 , ce qui permet de régulariser le déversement des céréales.
Nous noterons enfin que la montée et la descente des vérins à simple effet sont contrôlés par une huile hydraulique de qualité alimentaire, dont le retour est absorbée par un vase d'expension 623 à vessie pressurisée. (fig 8)
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Le distributeur de pression 63 est "à centre fermé", chaque vérin est associé à un clapet antiretour garantissant le blocage des vérins.
Le Moulin 1 est également muni de quatre points d'encrage sur lesquels peuvent venir se positionner une pièce d'élin- gage pour accrocher et lever le moulin et éventuellement le transporter notamment dans un véhicule.