WO1998025494A1 - Semelle active anatomo-physiologique permettant des effets d'autoelongation activo-passif sur le pied et sa voute pendant la marche ou la course - Google Patents

Abstract

Une semelle intérieure anatomo-physiologique qui, grâce à sa forme particulière, aura un rôle actif sur le sujet et ses pieds pendant qu'il marche ou court. Cette première ou semelle est remarquable en ce qu'elle est constituée de trois plots amortisseurs souples (1, 2, 3) à sa partie inférieure (6) et sa partie supérieure (7) globalement convexe en haut suivra les trois axes du pied (A, B, C) correspondant au respect des voûtes: Interne (I) Externe (E) et Transversale (T). Du fait de la relative constance d'épaisseur de la première, la base (6) de celle-ci sera creusée (5) (concave en bas) notamment en décharge (figure 5), telle que l'invention trouve une application principale dans le respect anatomique du sujet et la recherche d'une mobilisation, d'une autoélongation (allongement) pendant la marche ou la course.

Description

Semelle active anatomo-physiologique permettant des effets d'autoélongation activo-passif sur le pied et sa voûte pendant la marche ou la course.

On sait que la plupart des femelles dites traditionnelles sont construites ou réalisées uniquement pour respecter l'anatomie, c'est à dire les formes de la voûte interne du pied et ainsi éviter r tout effondrement d'un segment pendant la marche ou la mise en charge, mais cependant il y a plusieurs lacunes sur le plan anatomique, c'est à dire qu'il n'y a pas de soutien de la voûte externe et de la voûte transversale, et d'autre part, il n'y a aucun effet d'étirement permanent ou non de la voûte plantaire pendant la marche, c'est à dire que la forme du pied et de sa voûte reste identique dans la chaussure et il n'existe pas de mobilisation. La position par elle-même de ce

de semelle est 10 néfaste et propice notamment

entorses par l'absence de voûte externe et. d'autre part, ce type de semelle n'a aucun rôle actif, elle est purement et simplement passive.

L'invention a. en conséquence, pour but notamment de fournir une semelle d'un type nouveau qui répond mieux que jusqu'à ce jour aux diverses exigences de la pratique et qui, en particulier, présente une forme structurelle qui respecte totalement l'anatomie de la voûte plantaire, et

15 d'ailleurs nous dirons des trois voûtes plantaires (interne, externe et transversale), pendant la marche ou la course de l'utilisateur

Mais également apporte un rôle primordial, c'est à dire qui permet une autoélongalion de la voûte pendant la marche et un relâchement de cette voûte lorsque le pied sera en décharge.

Cette semelle ou première va pouvoir se mouvoir grâce au poids de la personne sur cette n semelle

Globalement nous aurons deux types d'avantages, le premier dit "avantage anatomique" apportera une répartition des pressions sur les trois points d'appui du pied avec amortissements des chocs. Nous aurons également un respect des trois voûtes plantaires interne, externe et transversale Une excellente reparution des pressions sur celle première et une cxccllcnicnic orientation du pied 5 dans la chaussure Nous aurons également les avantages dits "physiologiques" qui vont se traduire grâce à la dynamique de la semelle En charge, nous aurons un étirement musculo-ligamentaire des trois voûtes par un allongement de l'arrière vers l'avant et transversal (prévention des pieds creux, prévention des contractures, des entorses, des jambes arquées, etc.).

Toujours en charge, nous aurons un massage plantaire avec amélioration de la circulation de retour et enfin, nous aurons un amortissement des chocs (cette première agissant, un petit peu, comme une lame à ressorts).

Toujours dans les avantages physiologiques, mais en décharge, le pied donc en l'air, nous aurons une prévention des pieds plats par retour actif aidé de la voûte dans sa position initiale et nous replacerons le système muscolo-ligamentaire dans sa position idéale de repos avec un respect des trois voûtes.

La première, selon l'invention, se caractérise par le fait qu'elle est constituée, de préférence, en une seule partie ou monobloc présentant des faces de formes tout à fait différentes mais ayant donc une importance considérable dans le rôle que l'on veut donner à cette première.

En effet, dans un mode de réalisation préféré de l'invention, la base de la première par laquelle celle-ci va reposer sur le plan dur de la chaussure sera concave en bas et reposera sur ce même plan dur de préférence par trois points qui représentent les trois points d'appui normaux du pied au sol, à savoir la base du premier meta, la base du cinquième métatarsien et le talon.

On peut comparer cette forme architecturale à l'Arche de la Défense bien connue. Les trois piliers, bien sûr, étant le talon, la base du premier meta et la base du cinquième meta et cette arche qui va constituer notre première laissera un espace entre sa partie inférieure et le socle de la chaussure.

La forme de cette première va être déterminée par l'anatomie de la voûte plantaire. En effet, nous allons nous baser essentiellement sur cinq points anatomiques.

Le premier point est le positionnement du talon sur cette première. Le talon étant par lui- même convexe en bas, nous ferons une partie anatomique concave en haut afin d'épouser au mieux ce talon.

D'autre part, on sait que la voûte interne du pied est concave en bas, ainsi nous allons donner une forme anatomique interne de cette première ayant une forme convexe en haut. On sait également que la voûte externe du pied est également concave, ceci étant bien souvent oublié. Ainsi donc, notre première représentera également une forme convexe en haut pour épouser au mieux cette concavité en bas de la voûte externe.

Il faut savoir, anatomiquement parlant, que la voûte interne est plus haute, il est vrai que la voûte externe, et nous reproduirons cette différence au niveau de notre première.

Le quatrième point anatomique est la voûte transversale qui va du premier métatarsien au cinquième métatarsien.

D'une façon courante, on note sur toutes les premières une concavité en haut.

Or, c'est difficilement explicable alors que notre arche transversale de l'avant pied est concave en bas. Il faut donc impérativement, afin d'épouser au mieux cette concavité qui regarde en bas avoir une première convexe en haut.

Enfin, pour supporter au mieux nos doigts de pied, qui eux-mêmes sont plutôt convexes en bas, nous reproduirons un support pour doigts de pied concave en haut.

C'est grâce à cette forme globalement convexe en haut de la première que nous en déduirons un phénomène actif. En effet, du fait de la convexité de cette première, nous aurons un espace entre celle-ci et le socle de la chaussure.

Il suffit donc de créer un allongement global de la première en libérant un des deux côtés pour avoir un étirement. Comme l'étirement souhaité par nous doit être vers l'avant, nous aurons tendance à bloquer le talon en tant que point fixe afin que la première chasse en avant. Bien entendu, la première doit être étudiée pour combler la totalité de la superficie du socle de la chaussure en charge. Alors qu'en décharge la première doit être plus petite en longueur et également transversalement sachant que notre première va s'allonger d'arrière en avant, mais également en éventail sur l'avant pied, grâce à notre arche transversale.

Nous avons donc réalisé un ensemble cohérent qui va comporter trois plots amortisseurs et situés stratégiquement aux trois points d'appui principaux du pied qui seront eux-mêmes antivibrations et également nous aurons mis au point une voûte plantaire artificielle mobile respectant l'anatomie de la face inférieure du pied, et ce faisant apporte une répartition des pressions exemplaire contrairement à beaucoup de chaussures et de semelles et nous allons également respecter la physiologie du pied qui va s'allonger légèrement lorsque le sujet sera en charge et amener des avantages indéniables. Contrairement à ce qui ce qui peut se produire dans beaucoup de chaussures, c'est à dire, par exemple, non respect de l'arche externe qui tend à déjeter le pied en dedans, c'est à dire créer une inversion du pied propice au phénomène des entorses.

Le fait de surélever légèrement l'extérieur et le dessous du pied nous protégeons les ligaments externes dont la fréquence des entorses ou foulures augmente de jour en jour.

D'autre part, nous respectons une répartition des pressions sur toute la voûte plantaire, nous respectons la voûte transversale de l'avant pied qui n'est jamais respectée et nous évitons tout écrasement de l'architecture du pied, car dans une chaussure traditionnelle nous avons trois points fixes : un sur l'arrière, deux sur l'avant et lorsque le sujet se met en charge aucun des deux points, ni avant ni arrière ne pouvant bouger, c'est le milieu de la voûte plantaire qui tend à s'affaisser d'une façon antiphysiologique.

Ainsi donc, l'avantage de ce système physiologique sur le plan anatomique a été décrit et sur le plan physiologique est très important notamment au niveau des enfants. En effet, nous aurons deux résultats, lorsque le sujet sera en charge on aura un étirement musculo-légamentaire de la voûte ou plutôt des trois voûtes par un allongement de l'arrière vers l'avant et transversal, ce qui tend à prévenir les pieds creux car nous allons avoir tendance à allonger la voûte plantaire, prévention également des contractures.

Par rapport aux semelles traditionnelles, la nôtre est plus élevée notamment à son bord externe ce qui a des avantages très importants (anti entorse, anti jambes arquées = genu - varum) et même des répercussions sur le dos seront sûrement bénéfiques.

On aura également un massage plantaire avec amélioration de la circulation de retour et également un amortissement des chocs, car la première va travailler un peu comme un ressort à lames et amortir. C'est une semelle contact.

En décharge, lorsque le pied sera en phase d'élévation, en apesanteur, nous aurons une prévention des pieds plats par retour actif aidé de la voûte artificielle dans sa position initiale. Notre première va aider le pied à se recreuser légèrement et évitera ainsi les pieds plats et va également replacer le système musculo-ligamentaire dans sa position idéale de repos avec un respect des trois voûtes. Sur le plan de la sudation ou de la transpiration, un tel système va créer une circulation d'air qui tendra à assécher les parties humides pour peu que l'on mette un adjuvant entre le socle de la chaussure et la première ou que l'on réalise un orifice d'arrivée d'air qui tendra à être aspiré et rejeté à l'intérieur de la chaussure, grâce notamment à des petits orifices dans la semelle vers le pied.

La semelle, selon l'invention est donc apte à assumer les fonctions qui lui sont imposées. A savoir, un soutien parfait, une répartition des pressions au niveau de la voûte plantaire et du pied dans son ensemble, ceci d'une façon tout à fait passive et un rôle actif primordial de part la concavité inférieure de la base de la semelle actif. Le rôle actif sera longitudinal et transversal. Ainsi donc, lorsque le sujet va marcher le poids de son corps ou la pression exercée volontairement ou non sur cette première aura tendance à limiter le vide de cette concavité sinon même à l'exclure totalement.

Ainsi donc, les extrémités de cette concavité, en avant et en arrière, vont s'éloigner également latéralement et entraînant par là même un étirement de la partie supportée par cette première.

Ainsi donc, on peut dire que la voûte plantaire va faire une auto-élongation longitudinale et transversale avec un étirement des trois voûtes plantaires.

On peut également imaginer que le rôle actif de cette semelle va également permettre une utilisation active de celle-ci et non plus passive, c'est à dire que le sujet va faire des exercices de pression des pressions sur cette semelle qui vont créer une autoélongation, un étirement de sa voûte plantaire.

Toutes ces réalisations tendent à décompresser le système osseux du pied et de la voûte plantaire. Décompression donc articulaire, décompression des paquets vasculo-nerveux et bien sûr étirement musculaire souvent trop contracté à cet endroit. D'autres caractéristiques de l'invention sont encore mises en évidence au cours de la description qui suit, eu égard aux dessins ci-annexés, lesquels, description et dessins sont bien entendu donnés surtout à titre indicatif. La figure 1 est une vue tout à fait schématique voulant comparer notre système à une arche comme l'Arche de la Défense à Paris. Les trois poteaux étant notre point d'appui de cette première au niveau du talon, base du premier métatarsien et base du cinquième métatarsien et la forme globalement convexe en haut de l'ensemble répondant au mieux aux voûtes plantaires, interne, externe et transversale, sachant quand même que réellement la voûte externe et transversale est moins haute que la voûte interne par rapport au socle.

La figure 2 montre de profil un pied et représente les trois arches de notre voûte plantaire.

La figure 3 est une vue inférieure de notre première ou semelle afin de visualiser les plots amortisseurs qui auront notre rôle anti-vibrations. La figure 4 est une vue schématique et plutôt supérieure de notre première montrant les diverses formes de celle-ci.

La figure 5 est une vue de profil de notre première au niveau de la voûte interne.

La figure 6 est une vue de profil de notre première au niveau de la voûte externe.

La figure 7 est une coupe au niveau de l'arche transversale (vue antérieure). Se proposant par exemple de réaliser une semelle ou première anatomophysiologique conforme à un mode de réalisation préféré de l'invention on lui fera comporter une base concave en bas ou face inférieure (6), un appui supérieur convexe (7), une partie répondant au talon (9) et aux doigts de pieds (10).

Un espace entre la face inférieure de la première (6) et le socle (8) de la chaussure. Cet espace (5) sera plus haut au niveau de la voûte interne (I) que de la voûte externe (E).

Les trois voûtes sont schématiquement représentées par 3 axes :

(A) Axe de la voûte interne,

(B) Axe de la voûte externe,

(C) Axe de la voûte transversale. Cette face inférieure (6) peut être formée de la façon suivante : en partant de l'arrière, nous trouvons immédiatement un plot amortisseur au niveau du talon. Ensuite, cette face inférieure part en haut et en avant. Arrivée au point le plus haut de notre voûte interne (I) la face inférieure, toujours concave redescend en bas et en avant jusqu'à la base de notre premier métatarsien, sous lequel se trouve également un plot amortisseur. La face inférieure (6) sert de point de repos ensuite pour les orteils.

La forme au niveau de la face inférieure (6) de cette première au niveau de la voûte externe est identique mais en proportion différente puisque l'espace (5) entre notre première, notamment au niveau de sa voûte externe (E) et le socle (8) est plus faible. Nous trouverons également un plot amortisseur (3) au niveau de la base du cinquième métatarsien.

Le résultat doit permettre, dans tous les cas, un affaissement de cette première qui permet de rendre celle-ci active et qui, d'autre part, de façon non moins importante permet d'obtenir un confort maximum par l'obtention d'une certaine souplesse de cette première et également un certain contact permanent. Ceci étant d'autant plus important que sa réalisation sera de préférence dans un matériau agréable mais ayant néanmoins une certaine rigidité afin d'avoir notre retour en concavité.

Elle peut être réalisée notamment en plastique, polyuréthanne, mousse, matériaux composites injectés ou moulés, de toute matière permettant un retour de la première dans sa position initiale et apportant un certain confort.

L'allongement de cette première doit se faire de façon postéro-antérieure et si l'on veut éviter toute inhibition du système il faut bien entendu prévoir de ne pas bloquer cette première dans la chaussure et faire en sorte qu'elle soit mobile.

On peut imaginer éventuellement notre première réalisée en plusieurs matériaux. II faut que nos deux points extrêmes longitudinaux et latéraux s'éloignent lors de l'affaissement de cette concavité.

On peut imaginer que notre première soit percée de trous afin de créer une ventilation de notre espace (5) à la partie supérieure de notre première, petits canaux, que nous appellerons (11). On obtient donc une semelle anatomophysiologique qui présente de nombreux avantages dont les principaux sont rappelés ci-après.

Le principal avantage de cette première qui n'est pas retrouvé par ailleurs est donc cette traction active permettant une autoélongation et un étirement plantaire inférieur. Cet étirement est obtenu grâce au creusement ou à la concavité de la base (6) de notre première. Concavité orientée en bas et dont les rebords latéraux et antérieurs restent libres. Techniquement, il serait possible, au lieu d'avoir une première dite "de propreté", de créer une première de montage et que ce système soit inclus dans le socle de la chaussure (8) plutôt que d'être à la superficie.

Les avantages sur le plan anatomique sont les suivants : - répartition des pressions sur les trois points d'appui du pied, avec amortissement des chocs grâce aux trois plots amortisseurs (1, 2, 3,). respect des trois voûtes plantaires internes (I) externes (E) transversale (T). Sur le plan physiologique, comme nous l'avons expliqué, en décharge nous aurons un étirement musculoligamentaire des trois voûtes grâce à l'allongement de l'arrière vers l'avant et transversal de la voûte plantaire.

Nous obtiendrons un massage plantaire avec amélioration de la circulation de retour, amortissement des chocs, aspect anti-transpiration, anti-sudation.

En décharge, repos de la voûte et retour dans sa position initiale.

Ainsi donc, on obtient une action primordiale d'autoélongation qui elle-même a des conséquences énormes sur les problèmes pathologiques chez un sujet, à savoir décompression osseuse, décompression musculo-ligamentaire, décompression des paquets vasculo-nerveux, limitant tout problème circulatoire, amélioration de la circulation de retour par un massage du talon vers l'avant du pied, étirement musculaire adéquat et équilibré.

Semelle contact qui répartit au mieux les pressions, amortissement des chocs, grâce aux trois plots amortisseurs 1, 2, 3), amortissement des chocs grâce à la forme de cette première qui agit comme une lame de ressort, amélioration des qualités sportives, car l'on obtient une meilleure détente.

D'autre part, comme expliqué précédemment, cette concavité permet un confort absolu, c'est à dire apporte une certaine souplesse au système qui, par sa réalisation, tend à être légèrement rigide.

Nous éviterons également des problèmes d'entorses, à répétition par une surélévation de l'arche externe qui tend à raccourcir le ligament latéral externe souvent agressé et justement trop étiré. Cette première sera réalisée d'une façon monobloc, plutôt en injection polyuréthanne, mousse, ou plastique qui devra répondre à un vieillissement convenable, c'est à dire que ce monobloc devra reprendre sa forme initiale dès qu'il ne sera plus en charge et ceci pendant le temps le plus long possible. Les usages de cette première ainsi obtenus son multiples on peut s'en servir dès la phase de la marche, puis en chaussures de ville, de sport, de randonnée, du cyclisme, de ski ou autre.

Comme il va de soi, et comme il résulte d'ailleurs de ce qui précède, l'invention ne se limite nullement à ceux de ses modes d'application, non plus qu'à ceux de ses modes de réalisation de ses différentes parties ayant été plus spécifiquement indiquées, elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes.

Claims

REVENDICATIONS

° Semelle ou première de propreté ou de montage utilisée afin d'obtenir une autoélongation longitudinale et transversale en charge caractérisée en ce qu'elle est constituée d'une base concave (6) regardant vers le bas et en ce qu'elle est en appui par des points de contact arrière et avant dont au moins ces derniers sont libres de sorte qu'en décharge cette semelle va se rétracter du fait de sa totale liberté de mouvement en ménageant ainsi un espace (5).

Semelle ou première anatomo-physiologique selon la revendication 1 caractérisée en ce que la concavité transversale est telle que la semelle est plus large notamment sur l'avant en charge par écrasement de l'espace (5).

° - Semelle anatomo-physiologique selon les revendications 1 et 2 caractérisée en ce que celle- ci repose par 3 points à sa face inférieure représentée par trois plots amortisseurs (1, 2, 3)

(Talon, Base du premier métatarsien, Base du cinquième métatarsien).

° Semelle anatomo-physiologique selon les revendications 1 à 3 caractérisée en ce que le talon soit solidaire du support (8) afin d'orienter le mouvement vers l'avant, nous aurons un allongement global de la semelle vers l'avant avec éloignement des deux points opposés longitudinaux de la première.

° Semelle anatomo-physiologique selon l'une quelconque des revendications 1 à 4 caractérisée en ce que la partie supérieure de celle-ci (7) épouse la plus anatomiquement la face inférieure du pied à savoir : une partie arrière (9) plutôt concave en haut correspondant au talon, même chose pour les orteils en avant (10) et plutôt convexe au niveau des voûtes Interne, Externe et Transversale.

° Semelle anatomo-physiologique selon l'une quelconque des revendications 1 à 5 caractérisée en ce que celle-ci soit en matière de plusieurs qualités à souplesse notamment plus souple au niveau des plots amortissements (1, 2, 3) et plus rigide pour le corps de la première pour obtenir un bon retour en décharge. ° - Semelle anatomo-physiologique selon l'une quelconque des revendications 1 à 6 caractérisée en ce que celle-ci soit installée en série ou rajoutée par la suite, amovible ou fixe.

Semelle anatomo-physiologique selon l'une quelconque des revendications 1 à 7 caractérisée en ce que des canaux de circulation d'air (11) soient ménagés afin de chasser l'air de l'espace (5) en charge.

9° - Semelle ou première anatomo-physiologique selon l'une quelconque des revendications 1 à 8 caractérisée en ce que celle-ci soit recouverte à sa face supérieure (7) d'une matière style tissus ou cuir, agréable pour le pied.