FR3134124A1 - Structure de soutènement et dispositif de soutènement correspondant - Google Patents

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Julien BAUD
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    • E02HYDRAULIC ENGINEERING; FOUNDATIONS; SOIL SHIFTING
    • E02DFOUNDATIONS; EXCAVATIONS; EMBANKMENTS; UNDERGROUND OR UNDERWATER STRUCTURES
    • E02D29/00Independent underground or underwater structures; Retaining walls
    • E02D29/02Retaining or protecting walls
    • E02D29/0225Retaining or protecting walls comprising retention means in the backfill
    • E02D29/0233Retaining or protecting walls comprising retention means in the backfill the retention means being anchors

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Abstract

Structure de soutènement et dispositif de soutènement correspondant L’invention concerne une structure (1) de soutènement, comprenant : - au moins une tige d’ancrage centrale (3), - au moins deux barres (51, 52) agencées de manière à former une croix centrale (5) traversée par la tige d’ancrage centrale (3), - au moins une pièce de renfort (17) traversée par la tige d’ancrage centrale (3) et - un nombre prédéfini de câbles de renfort (19) reliés chacun à une barre (51, 52) de la croix centrale (5), se joignant au niveau de la pièce de renfort (17), en étant sollicités suivant une direction de traction (T) respective, et - un nombre prédéfini de dispositifs de fixation (21) des barres (51, 52) de la croix centrale (5) aux câbles de renfort (19), comprenant respectivement deux branches (211) fixées de part et d’autre d’une barre (51, 52) de la croix centrale (5) et s’étendant selon la direction de traction (T) d’un câble de renfort (19). L’invention concerne aussi un dispositif de soutènement comportant une telle structure. Figure pour l’abrégé : Fig. 2

Description

Structure de soutènement et dispositif de soutènement correspondant
La présente invention concerne une structure de soutènement, en particulier du type utilisé pour préparer ou renforcer des œuvres de terrassement et dans l’aménagement de terrains en pente. L’invention se rapporte aussi à un dispositif de soutènement comportant une ou plusieurs structures de soutènement.
Il est connu d’utiliser des parois, en pierre, métal ou bois généralement, pour créer des structures de soutènement. De telles structures servent par exemple à retenir de la terre dans un terrain en pente, de manière à pouvoir aménager une bande de terrain plat, notamment pour construire dessus une route ou un bâtiment.
Ces structures de terrassement sont soumises à de fortes contraintes, du fait du poids de la terre retenue, et les structures doivent donc être prévues pour y résister.
Un exemple connu est le mur de soutènement, aussi connu comme mur de rétention. Un tel mur est généralement construit en pierre, béton, ou palplanches métalliques dans une pente. La terre est retenue derrière le mur, et presse contre celui-ci dans un effort qui tend d’une part à pousser le mur, et d’autre part à le faire basculer.
Il est connu par exemple d’ancrer le mur de soutènement à un ou plusieurs corps morts, de lui associer une semelle en porte-à-faux, d’ajouter des contreforts ou encore d’enfoncer une portion du mur dans le sol pour résister aux efforts précédemment mentionnés, lorsque le poids seul du mur ne suffit plus.
Ces méthodes sont toutefois coûteuses, nécessitent beaucoup de moyens ou dispositifs, et sont souvent laborieuses à mettre en œuvre. Par exemple, les palplanches nécessitent des vibreurs ou pistons pour être enfoncées. Les corps morts pour ancrage doivent, s’ils ne sont pas naturellement présents être déplacés et enterrés correctement, et les semelles en porte-à-faux doivent aussi être ensevelies suffisamment profondément pour jouer leur rôle.
Une problématique constante est de pouvoir s’adapter de façon simple à différentes configurations de terrains. De plus, il est important de prévenir et limiter des décompressions éventuelles de terrains.
Pour remédier au moins à certaines de ces problématiques, une structure rigide entièrement en acier a été développée, comportant une croix centrale formée de barres en acier et entourée d’un cadre en acier. Le cadre est plaqué contre le terrain à conforter de façon à contenir la poussée des terres et une grille fixée au cadre permet le drainage du terrain.
Selon une solution connue, des barres en acier peuvent en outre être rattachées à la croix centrale en formant une structure pyramidale jouant un rôle de voûte dans la transmission des efforts à la croix centrale.
Cependant une telle structure est très lourde, par exemple de l’ordre de 300kg, complexifiant le transport et l’installation sur le chantier. Il est préférable, dans certains contextes géotechniques difficiles, de mettre en place des ouvrages de soutènement plus légers afin de ne pas déstabiliser le terrain.
Une telle structure tout en acier reste également relativement coûteuse à réaliser et à mettre en place.
De plus le transport et le stockage de plusieurs structures tout en acier peut s’avérer compliqué. Il est important de pouvoir faciliter le transport ainsi que le stockage d’ouvrages de soutènement.
Enfin, un enjeu très important est de réduire l’empreinte environnementale pour la réalisation et l’installation d’ouvrages de soutènement.
L’invention a pour objectif de s’affranchir au moins partiellement des inconvénients précités en proposant une structure de soutènement moins coûteuse, moins lourde et plus facile à transporter et mettre en œuvre, tout en conservant de bonnes performances techniques pour consolider, conforter un terrain.
À cet effet, l’invention a pour objet une structure de soutènement, comprenant :
  • au moins une tige d’ancrage centrale, destinée à être enfoncée par une extrémité sur un terrain pour former un ancrage,
  • au moins deux barres agencées de manière à former une croix centrale configurée pour être traversée par la tige d’ancrage centrale,
  • au moins une pièce de renfort présentant un orifice central traversé par la tige d’ancrage centrale et
  • un nombre prédéfini de câbles de renfort reliés chacun à une barre de la croix centrale et se joignant au niveau de la pièce de renfort, en étant disposés selon une forme générale de pointe pyramidale dont le sommet est la pièce de renfort, les câbles de renfort étant configurés pour être sollicités suivant une direction de traction respective.
Selon l’invention, la structure comporte un nombre prédéfini de dispositifs de fixation des barres de la croix centrale aux câbles de renfort. Les dispositifs de fixation comprennent respectivement deux branches fixées de part et d’autre d’une barre de la croix centrale et s’étendant selon la direction de traction d’un câble de renfort.
Une telle solution permet d’obtenir une structure plus légère, moins coûteuse et plus facile à transporter et à installer par rapport aux solutions de l’art antérieur, tout en garantissant une résistance suffisante et en limitant les déformations.
En effet, l’armature de renfort câblée est moins lourde, beaucoup moins coûteuse et permet de réduire l’empreinte carbone par rapport à une armature formée de barres en acier. De plus, les branches des dispositifs de fixation dans l’axe de traction des câbles permettent de limiter des déformations au niveau des barres de la croix centrale, par la transmission d’efforts de traction exercés sur l’armature de renfort.
La structure de soutènement peut en outre comporter une ou plusieurs caractéristiques suivantes décrites ci-après, prises séparément ou en combinaison.
Selon un exemple de réalisation, les dispositifs de fixation peuvent comprendre respectivement au moins un organe d’assemblage s’étendant transversalement par rapport à l’axe de traction, reliant les deux branches et configuré pour coopérer avec un élément de fixation complémentaire porté par un câble de renfort.
Les câbles de renfort peuvent présentent à leurs extrémités des éléments de fixation réalisés sous forme d’anneaux de fixation.
Selon un aspect, la pièce de renfort comprend une face principale présentant l’orifice central et à partir de laquelle s’étendent un nombre prédéfini de languettes de fixation, configurées pour coopérer avec les câbles de renfort.
La pièce de renfort peut comprendre au moins trois languettes de fixation.
Deux premières languettes de fixation peuvent être configurées pour être situées à une première hauteur par rapport au sol lorsque la structure est installée sur un terrain.
Une troisième languette de fixation peut être configurée pour être située à une deuxième hauteur par rapport au sol, inférieure à la première hauteur.
Les deux premières languettes de fixation sont par exemple configurées pour coopérer avec au moins un câble de renfort respectif.
La troisième languette de fixation est par exemple configurée pour coopérer avec au moins deux câbles de renfort reliés à deux barres différentes de la croix centrale.
Ainsi, à l’ancrage, la croix centrale n’est pas perpendiculaire à la tige d’ancrage centrale, ce qui permet de prendre en compte des particularités du terrain à conforter.
Selon un autre aspect, la croix centrale peut présenter quatre platines d’extrémité fixées aux extrémités des branches de la croix centrale.
Ladite structure comporte par exemple quatre tubes fixés sur les platines d’extrémité, de façon à former un cadre entourant la croix centrale.
Les tubes peuvent présenter une section transversale circulaire de diamètre inférieur à 30mm, par exemple entre 15mm et 25mm, notamment de l’ordre 22mm.
Le cadre ainsi formé est plus léger que dans les solutions connues de l’art antérieur avec un cadre réalisé par des poutrelles ou barres en acier.
Les tubes peuvent être métalliques. Ils peuvent être soudés aux platines d’extrémité.
Les platines d’extrémité peuvent être de forme polygonale. Les platines ont par exemple une forme hexagonale ou en variante une forme rectangulaire.
Les extrémités des barres de la croix centrale sont par exemple disposées à une distance prédéterminée non nulle d’un bord de la platine d’extrémité coïncidant avec une extrémité du cadre.
La structure peut comporter en outre au moins une couche de rétention fixée aux tubes, parmi un filet, une grille, un panneau en treillis.
L’invention concerne aussi une structure de soutènement, comprenant :
  • au moins une tige d’ancrage centrale,
  • au moins deux barres agencées de manière à former une croix centrale configurée pour être traversée par la tige d’ancrage centrale,
  • au moins une pièce de renfort présentant un orifice central traversé par la tige d’ancrage centrale et
  • un nombre prédéfini de poutrelles fixées chacune à une barre de la croix centrale et se joignant au niveau de la pièce de renfort, en étant disposés selon une forme générale de pointe pyramidale dont le sommet est la pièce de renfort.
La pièce de renfort comporte une plaque centrale munie d’un orifice de forme allongée, par exemple oblongue, traversé par la tige d’ancrage centrale.
Cette forme allongée de l’orifice permet d’ajuster l’angle d’inclinaison de la tige d’ancrage centrale par rapport au plan défini par la croix centrale.
L’invention concerne encore un dispositif de soutènement comportant au moins une structure de soutènement telle que décrite précédemment.
Le dispositif de soutènement peut en outre comporter une ou plusieurs caractéristiques suivantes décrites ci-après, prises séparément ou en combinaison.
Le dispositif de soutènement peut comporter une pluralité de structures de soutènement. Les structures de soutènement peuvent être reliées par des attaches.
Le dispositif de soutènement peut comprendre au moins une structure latérale de renfort, assemblée à l’au moins une structure de soutènement.
La structure latérale de renfort présente par exemple une forme de triangle.
La structure latérale de renfort peut comporter une première barre formant un côté du triangle.
La structure latérale de renfort peut comporter une deuxième barre fixée par une première extrémité au milieu de la première barre.
La structure latérale de renfort peut comporter trois platines d’extrémité fixés aux extrémités de la première barre et à une deuxième extrémité de la deuxième barre.
La structure latérale de renfort peut comporter au moins deux tubes fixés aux platines d’extrémité. Les tubes peuvent former les deux autres côtés du triangle.
D’autres avantages et caractéristiques de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante donnée à titre d’exemple illustratif et non limitatif, et des dessins annexés parmi lesquels :
est une première vue en perspective d’une structure de soutènement selon un premier mode de réalisation comprenant une croix centrale et une armature de renfort câblée reliée à la croix centrale.
est une deuxième vue en perspective de la structure de soutènement de la .
montre un empilement de croix centrales entourées d’un cadre respectif.
est une vue éclatée d’une croix centrale comprenant un filet et d’un panneau en treillis avant assemblage.
est une vue assemblée de la croix centrale portant une armature de renfort câblée et du panneau en treillis de la .
est une vue en perspective montrant en partie l’armature de renfort câblée portée par la croix centrale et comprenant une pièce de renfort centrale traversée par une tige d’ancrage centrale.
est une vue agrandie de la pièce de renfort centrale.
est une vue en perspective d’une structure de soutènement selon un deuxième mode de réalisation comprenant une croix centrale et une armature de renfort comprenant des poutrelles reliées à la croix centrale et se joignant au niveau d’une pièce centrale.
est une vue agrandie de la pièce centrale de l’armature de renfort de la .
montre de façon schématique un exemple de dispositif de soutènement comprenant plusieurs structures de soutènement entre des structures de rive.
est une vue en perspective d’un exemple de réalisation d’une structure de rive.
Sur ces figures, les éléments identiques portent les mêmes numéros de référence.
Les réalisations suivantes sont des exemples. Bien que la description se réfère à un ou plusieurs modes de réalisation, ceci ne signifie pas nécessairement que chaque référence concerne le même mode de réalisation, ou que les caractéristiques s’appliquent uniquement à un seul mode de réalisation. De simples caractéristiques de différents modes de réalisation peuvent également être combinées ou interchangées pour fournir d’autres réalisations.
Dans la description, on peut indexer certains éléments, par exemple premier élément ou deuxième élément. Dans ce cas, il s’agit d’un simple indexage pour différencier et dénommer des éléments proches mais non identiques. Cette indexation n’implique pas une priorité d’un élément par rapport à un autre et on peut aisément interchanger de telles dénominations sans sortir du cadre de la présente invention. Cette indexation n’implique pas non plus un ordre dans le temps.
STRUCTURE DE SOUTENEMENT
En référence aux figures 1 et 2, l’invention concerne une structure 1 de soutènement qui peut être destinée à différentes applications selon le contexte géotechnique.
De façon générale, la structure 1 de soutènement est configurée pour être utilisée pour du soutènement ou du confortement de sol G, de terrain. Elle peut être utilisée pour préparer ou renforcer des œuvres de terrassement, ou dans l’aménagement de zones ou terrains en pente, ou difficiles d’accès. Elle peut aussi être utilisée comme variante de travaux spéciaux traditionnels de type paroi clouée en béton projeté, ou berlinoise. Elle peut aussi être utilisée comme variante aux créations d’élargissement de route, ou de piste d’accès en enrochement ou mur en béton. Elle peut encore être utilisée pour l’élargissement de pistes de ski, voire pour répondre à des problématiques spécifiques au ski, en permettant de réaliser par exemple une rehausse pour contenir de la neige, ou un col de cygne pour équiper des ouvrages de filets anti-chutes de skieurs.
Pour procéder à l'installation, la structure 1 peut être mise à la verticale ou approximativement à la verticale, ou être inclinée selon l’aplomb désiré. Lorsqu’elle est installée sur un terrain, la structure 1 est destinée à s’étendre sur une hauteur H prédéfinie.
Structure générale
Une telle structure 1 comporte au moins une tige d’ancrage centrale 3 (aussi appelée barre d’ancrage centrale), une croix centrale 5, et un cadre 7 entourant la croix centrale 5.
La structure 1 comporte avantageusement au moins une couche de rétention. Il s’agit par exemple d’un filet grillagé 9 avantageusement métallique (aussi appelé grillage ou grille), en acier inoxydable en particulier et/ou d’un panneau grillagé 10 ou en treillis.
De façon avantageuse, la structure 1 peut comporter en outre un ou plusieurs moyens de renfort permettant de renforcer et de rigidifier la structure 1, dont des exemples de réalisation sont décrits par la suite.
Les différents éléments composant la structure 1 sont décrits plus en détail ci-après.
La tige d’ancrage centrale 3 est destinée à être enfoncée par une de ses extrémités sur un terrain, par exemple jusqu’à atteindre une couche suffisamment dure, pour former un ancrage.
La tige d’ancrage centrale 3 est par exemple réalisée par une barre pleine ou creuse, celle-ci étant dite barre autoforante ou autoforeuse, sous forme de filetage. Elle est par exemple destinée à être installée en technique de forage destructif dans un sol G ou à être reliée à un corps mort, par une de ses extrémités, en particulier par vissage, ce qui occasionne un taraudage autour du trou formé lors de la mise en place de la tige d’ancrage centrale 3. Ce taraudage retient la tige d’ancrage centrale 3 une fois que celle-ci est mise en place.
En alternative, la tige d’ancrage centrale 3 telle qu’une barre pleine ou creuse dite barre autoforante, est destinée à être entourée de ciment ou béton. La tige 3 est alors mise en place dans un perçage réalisé par forage destructif préalable ou simultané lors du forage en autoforant, dans lequel le ciment ou béton a été injecté, puis on laisse prendre le ciment ou béton, qui agit alors comme un corps mort. Pour une meilleure résistance, la paroi extérieure d’au moins la partie extrémale de la tige 3 peut être moletée, dentelée ou au moins grossièrement dépolie pour une meilleure attache du ciment ou béton.
La structure 1 peut comporter, en plus de la tige d’ancrage centrale 3, une ou plusieurs tiges d’ancrage de renfort 3’ supplémentaires, qui peuvent être destinées à entrer en prise avec un corps mort. De telles tiges d’ancrage 3’ peuvent être similaires à la tige d’ancrage centrale 3. Une tige d’ancrage de renfort 3’ peut être prévue en périphérie de la structure 1, par exemple en pied de la structure 1, selon l’orientation des éléments sur les figures 1 et 2, ou en variante tête ou partie sommitale de la structure 1. Une tige d’ancrage de renfort 3’ supplémentaire peut être fixée sur une platine support 4. Lorsque plusieurs structures 1 sont prévues, une tige d’ancrage de renfort 3’ peut être commune pour deux structures 1 voisines.
La croix centrale 5 présente une forme de X. Elle comporte au moins deux barres 51, 52. La croix centrale 5 est par exemple formée de deux barres 51, 52 entrecroisées. En alternative, elle peut être formée de quatre barres disposées en forme de croix qui se joignent au centre de la croix centrale 5.
Les barres 51, 52 formant la croix centrale 5 peuvent être métalliques ou en alliage métallique. Elles sont notamment en acier. En particulier, toute la structure 1 peut être une structure métallique ou en alliage métallique. Les barres 51, 52 métalliques peuvent par exemple être des segments de poutrelles creuses. Elles présentent par exemple une section carrée. En variante, les barres 51, 52 peuvent être des segments de poutrelle à section en H, avec une âme centrale et des ailes latérales (poutrelles de type IPN).
En alternative, la croix centrale 5 peut être réalisée au moins en partie en bois. En particulier, la structure 1 peut être une structure mixte en bois et métallique. Les barres en bois peuvent être assemblées aux platines d’extrémité 11 par des pièces avantageusement métalliques, fixés aux platines d’extrémité 11, par exemple en étant soudés. Il s’agit par exemple de manchons d’extrémité à l’intérieur desquels sont emmanchées les extrémités des barres. Les barres en bois peuvent éventuellement être assemblées à la platine centrale 13 par des manchons similaires.
La structure 1 peut comporter des platines d’extrémité 11 fixées aux extrémités des barres 51, 52 de la croix centrale 5. Dans l’exemple illustré, une platine d’extrémité 11 est fixée à chaque extrémité longitudinale des deux barres 51, 52 entrecroisées formant la croix centrale 5. Quatre platines d’extrémité 11 sont donc prévues.
Selon l’alternative (non représentée) de la croix centrale 5 formée de quatre barres disposées en forme de croix, une platine d’extrémité 11 peut être fixée à une extrémité de chaque barre. Il s’agit de l’extrémité opposée au centre de la croix centrale 5.
De façon avantageuse, les platines d’extrémité 11 sont également métalliques ou en alliage métallique, par exemple en acier. Les extrémités des barres 51, 52 de la croix centrale 5 sont par exemple soudées aux platines d’extrémité 11. Les platines d’extrémité 11 sont prévues aux quatre extrémités de la croix centrale 5.
Les platines d’extrémité 11 peuvent être de forme polygonale. De façon non limitative, les platines d’extrémité 11 peuvent par exemple être de forme hexagonale. Dans l’exemple illustré, les platines d’extrémité 11 présentent trois bords 11a intérieurs orientés vers le centre de la croix et trois bords extérieurs 11b qui sont les plus éloignés du centre de la croix. En particulier, un bord intérieur 11a et un bord extérieur 11b sont agencés en vis-à-vis et s’étendent perpendiculairement à la direction d’extension d’une barre 51, 52 de la croix centrale 5. Dans cet exemple particulier, le bord extérieur 11b s’étendant perpendiculairement à la direction d’extension d’une barre 51, 52 coïncide avec une extrémité ou coin du cadre 7.
Selon une variante non représentée, les platines d’extrémité 11 peuvent être de forme rectangulaire. De telles platines rectangulaires peuvent être disposées aux extrémités des barres 51, 52 de la croix centrale 5, de sorte qu’une diagonale d’une platine d’extrémité 11 corresponde à la direction d’extension d’une barre 51, 52. Bien entendu, toute autre forme des platines d’extrémité 11 peut être envisagée.
Les platines d’extrémité 11 présentent respectivement une première surface 113 et une deuxième surface 115 opposées. La première surface 113 est avantageusement plane ou sensiblement plane. De même, la deuxième surface 115 est avantageusement plane ou sensiblement plane.
En outre, les extrémités des barres 51, 52 de la croix centrale 5 sont disposées sur une platine d’extrémité respective 11, notamment sur la première surface 113 plane. Les extrémités des barres 51, 52 de la croix centrale 5 sont donc du côté opposé aux deuxièmes surfaces 115 des platines d’extrémité 11.
De plus, les barres 51, 52 peuvent s’arrêter par exemple à une distance d1 prédéterminée non nulle des extrémités ou coins du cadre 7. Pour ce faire, selon l’exemple illustré, l’extrémité d’une barre 51, 52, donnée, est située à la distance d1 prédéterminée d’un bord de la platine d’extrémité 11, notamment d’un bord extérieur 11b. Il s’agit dans cet exemple particulier du bord extérieur 11b s’étendant perpendiculairement à la direction d’extension d’une barre 51, 52. Cette distance d1 est par exemple de l’ordre de 2cm à 3cm.
Par ailleurs, des éléments, notamment de même nature, d’une ou plusieurs structures 1, peuvent être empilés, par exemple pour le transport vers le chantier. On parle également de colisage. En particulier, comme représenté sur la , plusieurs croix centrales 5 peuvent être empilées et emboîtées comme schématisé. On considère ci-après une première croix centrale 5 et une deuxième croix centrale 5. En référence à l’orientation de l’empilement sur la , la première croix centrale 5 est disposée en-dessous de la deuxième croix centrale 5. Les extrémités des barres 51, 52 de la deuxième croix centrale 5 viennent en appui contre les deuxièmes surfaces 115 des platines d’extrémité 11 de la première croix centrale 5, et ainsi de suite. Plus généralement, les extrémités des barres 51, 52 d’une croix centrale 5, située à un niveau n dans l’empilement, viennent en appui contre les deuxièmes surfaces 115 des platines d’extrémité 11 de la croix centrale 5, située au niveau inférieur n-1 dans l’empilement.
De plus, en se référant de nouveau aux figures 1 et 2, les platines d’extrémité 11 peuvent présenter chacune un ou plusieurs orifices 117, dont au moins un peut être de forme oblongue. Selon un mode de réalisation particulier, ces orifices 117 peuvent être configurés pour coopérer, du côté opposé aux extrémités des barres 51, 52, avec une pièce d’alignement, telle qu’une cornière métallique, pour reprendre l’alignement de deux structures 1. Cette liaison est ajustable grâce aux orifices 117 oblongs.
Par ailleurs, la croix centrale 5 est configurée pour être traversée par la tige d’ancrage centrale 3. À cet effet, la croix centrale 5 comporte en son centre un perçage, à travers lequel peut passer la tige d’ancrage centrale 3.
Une platine centrale 13 est par exemple disposée à la jonction des barres 51, 52, au centre de la croix centrale 5. Cette platine centrale 13 est dans ce cas également munie d’un perçage central pour permettre le passage de la tige d’ancrage centrale 3. La platine centrale 13 peut également être réalisée dans un matériau métallique ou en alliage métallique, par exemple en acier.
La platine centrale 13 peut être soudée à la jonction des barres 51, 52 au centre de la croix centrale 5. La platine centrale 13 peut avoir une forme rectangulaire ou carrée, ou encore une forme en croix complémentaire à la forme à la jonction des barres 51, 52.
Par ailleurs, la structure 1 peut comporter un nombre prédéfini de tubes 71, 72, par exemple quatre tubes 71, 72, fixés aux platines d’extrémité 11. Le cadre 7 entourant la croix centrale 5 est formée par les tubes 71, 72, fixés aux platines d’extrémité 11.
Deux premiers tubes 71 opposés s’étendent selon une première direction D1 et deux deuxièmes tubes 72 opposés s’étendent selon une deuxième direction D2 perpendiculaire à la première direction D1. Les deux directions D1, D2 sont dans le plan de la croix centrale 5. La première direction D1 correspond à une direction horizontale et la deuxième direction D2 correspond à la direction de la hauteur de la structure 1. Les premiers tubes 71 sont joints aux deuxièmes tubes 72 par l’intermédiaire des platines d’extrémité 11.
Les tubes 71, 72 peuvent être métalliques ou en alliage métallique, par exemple en acier. Ils sont par exemple soudés sur les platines d’extrémité 11.
Les tubes 71, 72 peuvent être fixés à des bords extérieurs 11b des platines d’extrémité 11. Il s’agit notamment des bords extérieurs 11b des platines d’extrémité 11 s’étendant selon la première direction D1 et la deuxième direction D2.
Dans l’exemple particulier illustré, la forme hexagonale des platines d’extrémité 11 confère aux extrémités du cadre 7, une forme oblique par rapport aux première et deuxième directions D1, D2 d’extensions des tubes 71, 72 ou une forme de coin tronqué.
Selon un exemple de réalisation, les tubes 71, 72 présentent une section transversale circulaire. Ils peuvent présenter un diamètre inférieur à 30mm, par exemple entre 15mm et 25mm, notamment de l’ordre 22mm.
De tels tubes 71, 72 permettent d’alléger la structure 1 par rapport à une structure connue de l’art antérieur tout en acier dont le cadre est réalisé par des barres ou poutrelles de plus grosses dimensions que ces tubes 71, 72, tout en permettant de contenir la poussée des terres lorsque la structure 1 est plaquée contre un terrain à conforter.
De plus, les tubes 71, 72 peuvent être mis en place de façon simple autour de la croix centrale 5 en étant soudés aux platines d’extrémité 11. Un tel procédé est plus rapide qu’une solution avec un câble par exemple pour former le cadre, qui peut s’avérer long à mettre en place.
Concernant la couche de rétention, tel qu’un filet grillagé 9, elle est destinée à être disposée sur la structure 1, du côté destiné à faire face au sol G, au terrain, lorsque la structure 1 est installée. Grâce à ce filet grillagé 9, la structure 1 ne retient pas la pression hydrostatique du terrain, elle est drainante.
Le filet grillagé 9 peut être soudé au cadre 7, notamment aux tubes 71, 72, et éventuellement à la croix centrale 5. Le filet grillagé 9 peut présenter des ouvertures plus grandes pour le passage d’éléments, tels que des dispositifs de fixation 21 décrits par la suite, fixés aux barres 51, 52 de la croix centrale 5.
De façon avantageuse, le filet grillagé 9 peut être doublé. Par ailleurs, une toile de jute peut être ajoutée sur le filet grillagé 9 pour permettre une végétalisation. D’autres variantes pour la couche de rétention peuvent être envisagées.
En alternative ou en complément, la structure 1 peut comporter une couche de rétention telle qu’un panneau 10 (figures 4 et 5), par exemple métallique, également grillagé ou percé de trous pour un écoulement d’eau. Le panneau 10 peut comporter un grillage ou treillis 101 et une armature périphérique 103, autour du grillage ou treillis 101.
Le grillage ou treillis 101 peut présenter des ouvertures 105 plus grandes que le reste du grillage pour le passage d’éléments, tels que des dispositifs de fixation 21 décrits par la suite et éventuellement une pièce de fixation de la tige d’ancrage 3 au centre de la croix. Dans l’exemple illustré, cinq ouvertures 105 sont agencées en quinconce, avec quatre ouvertures 105 formant un carré et une cinquième au centre des quatre autres.
L’armature périphérique 103 est avantageusement de forme complémentaire à celle du cadre 7 entourant la croix centrale 5. Cette armature périphérique 103 peut être fixée au cadre 7, notamment aux platines d’extrémité 11, par tout moyen de fixation approprié notamment mécanique. La fixation peut se faire par exemple par boulonnage, vissage. À cet effet, l’armature périphérique 103 du panneau 10 peut présenter des orifices 107 destinés à coopérer avec des orifices 117 complémentaires prévus sur les platines d’extrémité 11, pour le passage d’organes de fixation tels que des boulons, des vis, des tiges filetées.
Un tel panneau 10 en treillis permet d’augmenter la résistance de la structure 1.
En outre, la structure 1 comporte avantageusement une structure ou armature de renfort 15, disposées selon une forme générale de pointe pyramidale ou pointe de diamant. Cette armature de renfort 15 permet de mettre sous précontrainte la structure 1, afin de limiter les déformations de la structure 1. Des modes de réalisation de l’armature de renfort 15 sont décrits plus en détail par la suite.
Un ou plusieurs dispositifs de fixation 21 de l’armature de renfort 15 à la croix centrale 5 peuvent être prévus. La croix centrale 5 porte ainsi l’armature de renfort 15.
Différents types de montage de la structure 1 sont possibles en fonction des configurations de terrain.
Lors de la pose de la structure 1, l’armature de renfort 15 peut être destinée à être agencée en terre. Le sommet de la forme pyramidale pointe dans le même sens que l’extrémité de la tige d’ancrage centrale 3 destinée à être enfoncée sur le terrain, comme illustré sur les figures. L’espace derrière la structure 1 est rempli d’un remblai, par exemple de la terre, des gravats, ou du sable. Le remblai est retenu par la couche ou les couches de rétention, la pression résultante est appliquée sur la croix centrale 5 et le cadre 7. Lorsque la structure 1 mise en place, l’armature de renfort 15 est agencée à l’arrière de la structure 1, du côté enseveli. Ce type de montage peut être utilisé dans des configurations en remblai, notamment pour des raisons esthétiques et pour éviter des proéminences en face avant de la structure 1.
Ainsi, la tige d’ancrage centrale 3, assure un ancrage en venant directement fixer la structure 1 dans le terrain, de façon à contenir la poussée des terres. L’armature de renfort 15 permet de mettre en précontrainte la structure 1. Ceci permet de limiter, voire arrêter, un éventuel mouvement de décompression de terrain d’un point de vue géotechnique. Par exemple, la précontrainte permet de réduire un tassement incontrôlé et ultérieur du sol G retenu, et/ou de ralentir l’érosion par compactage du sol G.
Selon une alternative non représentée, l’armature de renfort 15 peut être destinée à être agencée hors terre. Dans ce cas, le sommet de la forme pyramidale pointe dans un sens opposé à celui de l’extrémité de la tige d’ancrage centrale 3 destinée à être enfoncée sur le terrain. Autrement dit, une fois la structure 1 mise en place, l’armature de renfort 15 ou pointe de diamant est agencée à l’avant de la structure 1, et est dirigée dans un sens opposé au terrain retenu. Ce type de montage peut être utilisé dans les configurations en déblai, notamment afin de limiter les terrassements pour ne pas déstabiliser le terrain.
Premier mode de réalisation
Selon un premier mode de réalisation représenté sur les figures 1, 2, 5 et 6, l’armature de renfort 15 comporte au moins une pièce de renfort 17 qui est centrale, et un nombre prédéfini de câbles de renfort 19. Dans l’exemple illustré, quatre câbles 19 de renfort sont prévus. L’armature de renfort 15 est donc câblée, elle présente aussi une forme de pieuvre.
La croix centrale 5 porte les câbles de renfort 19 avec la pièce de renfort 17 au centre. Les câbles de renfort 19 sont donc attachés d’une part aux barres 51, 52 de la croix centrale 5 et d’autre part à la pièce de renfort 17. Les câbles de renfort 19 sont destinés à être sollicités selon une direction de traction T respective, notamment lorsque la structure 1 est installée et ancrée.
Des dispositifs de fixation 21 permettent de fixer les barres 51, 52 de la croix centrale 5 aux câbles de renfort 19. Dans cet exemple quatre dispositifs de fixation 21 sont prévus, plus précisément deux dispositifs de fixation 21 sont prévus pour chaque diagonale de la croix centrale 5.
Ils comprennent respectivement deux branches 211 fixées de part et d’autre d’une barre 51, 52 de la croix centrale 5, en étant par exemple soudées. Les deux branches 211 sont parallèles et s’étendent selon la direction de traction T d’un câble de renfort 19. Les deux branches 211 s’étendent ainsi en formant une saillie par rapport au plan défini par la croix centrale 5.
À titre d’exemple illustratif, les branches 211 peuvent être fixées sur les barres 51, 52 à proximité des platines d’extrémité 11, par exemple à un tiers de la distance entre le centre de la croix centrale 5 et une platine d’extrémité 11.
Selon un exemple non limitatif, les dispositifs de fixation 21 peuvent comprendre un organe d’assemblage, tel qu’un boulon ou une vis, s’étendant transversalement par rapport à l’axe de traction T et reliant les deux branches 211. Un tel organe d’assemblage est par exemple configuré pour coopérer avec un élément de fixation complémentaire, tel qu’un anneau de fixation, porté par un câble de renfort 19.
Une telle configuration avec les branches 211 pour la fixation sur la croix centrale 5 des câbles de renfort 19 dans l’axe de traction T de ces derniers permet de limiter voire d’empêcher les déformations au niveau de la croix centrale 5, lorsqu’un effort de traction est appliqué sur l’armature de renfort 15. Au contraire, avec des dispositifs de fixation tels que des étriers qui seraient fixés autour des barres avec leurs branches s’étendant perpendiculairement aux barres de la croix centrale 5, en tirant sur les câbles de renfort 19, les étriers risquent de suivre l’angle de la traction entraînant ainsi une déformation au niveau des barres de la croix centrale 5.
De plus, lorsque plusieurs croix centrales 5 sont empilées comme schématisé sur la , les branches 211 préalablement fixées aux barres 51, 52 des croix centrales 5 permettent un empilement et un colisage plus stable. En considérant une première croix centrale 5 et une deuxième croix centrale 5 disposée au-dessus de la première croix centrale 5 en référence à l’orientation de l’empilement, les barres 51, 52 de la deuxième croix centrale 5 viennent s’emboîter entre les branches 211 fixées sur la première croix centrale 5, et ainsi de suite. Plus généralement, les barres 51, 52 d’une croix centrale 5, située à un niveau n dans l’empilement, viennent s’emboîter entre les branches 211 fixées sur la croix centrale 5, située au niveau inférieur n-1 dans l’empilement.
Par ailleurs, en référence aux figures 6 et 7, les câbles de renfort 19 se joignent au niveau de la pièce de renfort 17, en étant disposés selon la forme générale de pointe pyramidale. Les câbles de renfort 19 forment les arêtes de la forme pyramidale dont la base est dans le plan de la croix centrale 5 et dont le sommet (ou cœur de pointe) est la pièce de renfort 17.
De façon générale, la structure 1 comporte des éléments de fixation complémentaires prévus d’une part au niveau de la pièce de renfort 17 et d’autre part au niveau des câbles de renfort 19.
À l’état assemblé de la structure 1, la pièce de renfort 17 dépasse du plan contenant la croix centrale 5.
La pièce de renfort 17 peut être dans un matériau métallique ou en alliage métallique, par exemple en acier.
La pièce de renfort 17 est destinée à être traversée par la tige d’ancrage centrale 3. Elle présente à cet effet un orifice central 171 mieux visible sur la .
Selon l’exemple de réalisation illustré, la pièce de renfort 17 comprend une face principale 173 présentant l’orifice central 171. À l’assemblage de la structure, cet orifice central 171 peut contribuer avec le perçage de la croix centrale à l’alignement de la tige d’ancrage centrale 3 par rapport au plan de la croix centrale.
La face principale 173 peut être de forme polygonale. Par exemple, la face principale 173 peut présenter une forme de pentagone, avec une base CI à partir de laquelle s’étendent deux parois latérales CII reliées à deux parois de sommet CIII rappelant une forme de toit.
Un nombre prédéfini de languettes de fixation 175a, 175b s’étendent à partir de cette face principale 173. Une ou plusieurs des languettes de fixation 175a, 175b peuvent s’étendre suivant un plan incliné par rapport au plan défini par la face principale 173.
En particulier, la pièce de renfort 17 comprend au moins trois languettes de fixation 175a, 175b. En particulier, la pièce de renfort 17 comprend deux premières languettes aussi nommées languettes de fixation supérieures 175a et une troisième languette aussi nommée languette de fixation inférieure 175b.
Les languettes de fixation supérieures 175a sont agencées à un même niveau et la languette de fixation inférieure 175b est agencée à un autre niveau. Cette dernière est disposée en-dessous des languettes de fixation supérieures 175a dans la direction de la hauteur H de la structure 1 (en se référant également à la ), qui peut correspondre à une direction verticale ou sensiblement verticale lorsque la structure 1 est installée. Ainsi, lorsque la structure 1 est installée sur un terrain, les languettes de fixation supérieures 175a sont situées à une première hauteur h1 par rapport au sol G et la languette de fixation inférieure 175b est située à une deuxième hauteur h2 par rapport au sol G inférieure à la première hauteur. La première hauteur h1 est plus éloignée du sol G et la deuxième hauteur h2 est plus proche du sol G. La première hauteur h1 et la deuxième hauteur h2 peuvent également être considérées par rapport au tube 71 situé en pied de la structure 1 lorsqu’elle est installée sur un terrain.
Comme mieux visible sur les figures 6 et 7, les languettes de fixation 175a supérieures peuvent par exemple être de forme triangulaire ou sensiblement triangulaire. Les sommets de formes triangulaires peuvent être arrondis. Les languettes de fixation 175a supérieures peuvent être jointes aux parois de sommet CIII de la face principale 173 pentagonale. Plus précisément, les parois de sommet CIII de la face principale 173 pentagonale peuvent former respectivement une base d’un triangle formant une languette de fixation 175a supérieure.
La languette de fixation 175b inférieure peut présenter une forme semi-circulaire ou sensiblement semi-circulaire. La languette de fixation 175b inférieure peut être jointe à la base CI de la face principale 173 pentagonale. Plus précisément, la base CI de la face principale 173 pentagonale peut correspondre au diamètre du demi-cercle formant la languette de fixation 175b inférieure.
La pièce de renfort 17 présente une forme générale qui se rapproche de celle d’une tête de chat avec les languettes de fixation 175a supérieures formant les oreilles de chat.
De plus, les câbles de renfort 19 sont fixés à la pièce de renfort 17. Pour ce faire, les languettes de fixation 175a, 175b sont configurées pour coopérer avec les câbles de renfort 19.
En particulier, au moins une des languettes de fixation, dans cet exemple la languette de fixation inférieure 175b est configurée pour coopérer avec au moins deux câbles de renfort 19 qui sont par ailleurs reliés à deux barres 51, 52 différentes de la croix centrale 5 ou aux deux diagonales de la croix centrale 5.
Les deux languettes de fixation supérieures 175a, quant à elles, sont configurées pour coopérer avec au moins un câble de renfort 19 respectif qui est relié à une barre donnée 51, 52 de la croix centrale 5.
Plus précisément, les languettes de fixation 175a, 175b sont configurées pour coopérer avec des éléments de fixation 191 complémentaires prévus aux extrémités des câbles de renfort 19. Elles présentent à cet effet respectivement au moins un orifice 177.
Les éléments de fixation 191 des câbles de renfort 19 peuvent être sous forme d’anneaux de fixation, en particulier d’estropes et/ou de manilles. Ces éléments de fixation 191 peuvent être accrochés dans les orifices 177 au niveau des languettes de fixation 175a, 175b. Les câbles de renfort 19 sont par exemple pré-sertis.
Les câbles de renfort 19 fixés d’une part aux barres 51, 52 et d’autre part à la pièce de renfort 17 peuvent s’étendre en formant un angle de 10° à 40° avec le plan défini par la croix centrale 5.
Lorsque la structure 1 est installée sur le terrain avec la tige d’ancrage 3 ancrée dans le sol G, la croix centrale 5 n’est pas perpendiculaire à la tige d’ancrage 3 centrale. Ceci est dû à la configuration de la pièce de renfort 17 au centre des câbles de renfort 19 portés par la croix centrale 5, avec une languette de fixation inférieure 175b commune pour deux câbles de renfort 19. Au contraire, avec une solution qui présenterait quatre languettes de fixation à équidistance, la croix centrale 5 serait perpendiculaire à la tige d’ancrage 3 centrale. Avec les trois languettes de fixation 175a, 175b de la pièce de renfort 17, la distance entre la croix centrale 5 et la languette de fixation inférieure 175b est réduite par rapport à la distance de la croix centrale 5 aux languettes de fixation supérieures 175a. Cette configuration offre une meilleure tolérance pour l’installation de la structure 1 sur des terrains en prenant en compte d’éventuels aspects convexes, concaves.
Deuxième mode de réalisation
Un deuxième mode de réalisation est représenté de façon simplifiée sur les figures 8 et 9. Seules les différences par rapport au premier mode de réalisation sont détaillées ci-après.
Selon ce deuxième mode de réalisation, l’armature de renfort 15 comporte quatre poutrelles 25, formant les arêtes de la forme pyramidale dont la base est dans le plan de la croix centrale 5. Les poutrelles 25, d’une part sont fixées aux barres 51, 52, et d’autre part se rejoignent au niveau d’une pièce de renfort 27, formant le sommet de la forme pyramidale (ou cœur de la pointe pyramidale).
Les poutrelles 25 sont par exemple métalliques, notamment en acier. Elles peuvent être similaires aux barres 51, 52 de la croix centrale 5 comme décrit précédemment. Les poutrelles 25 sont fixées à une extrémité aux dispositifs de fixation 21 fixés aux barres 51, 52 formant la croix centrale 5. Par exemple, les extrémités respectives des poutrelles 25 peuvent être fixées entre les deux branches 211 d’un dispositif de fixation 21 associé. Dans cet exemple, les branches 211 des dispositifs de fixation 21 s’étendent selon la direction d’extension principale des poutrelles 25.
La pièce de renfort 27 à la jonction des poutrelles 25, mieux visible sur la , comporte une plaque centrale 271 munie d’un orifice 273, dans lequel est destinée à passer la tige d’ancrage centrale 3 à l’assemblage de la structure 1. L’orifice 273 est de forme allongée, par exemple oblongue, de façon à pouvoir ajuster l’angle d’inclinaison de la tige d’ancrage centrale 3 par rapport au plan défini par la croix centrale 5. La tige d’ancrage centrale 3 peut être retenue en translation au niveau de l’orifice 273, par exemple via une tête de vis, ou à l’aide d’un ou plusieurs écrous.
La plaque centrale 271 peut par exemple être de forme rectangulaire. L’orifice 273 par exemple oblong peut s’étendre selon une diagonale de la plaque centrale 271.
La pièce de renfort 27 comporte en outre des plaques de fixation 275 fixés à la plaque centrale 271. Ces plaques de fixation 275 présentent par exemple une forme allongée telle qu’une forme oblongue.
Les plaques de fixation 275 peuvent former deux par deux des logements 277 dans lesquels les extrémités des poutrelles 25 sont reçues et fixées, par exemple par boulonnage. Dans l’exemple illustré, quatre plaques de fixation 275 sont prévues. Chaque paire est agencée de façon à définir deux logements 277 opposés de part et d’autre de la plaque centrale 271.
DISPOSITIF DE SOUTENEMENT
Un dispositif de soutènement peut comporter au moins une structure 1 telle que précédemment décrite.
La montre de façon schématique un exemple de dispositif de soutènement 100 comportant une pluralité de structures 1. Celles-ci peuvent être agencées et assemblées côte-à-côte, pour former un dispositif de soutènement 100. Les structures 1 sont par exemple alignées en rangées. Plusieurs rangées peuvent être disposées les unes sur les autres.
Une ou plusieurs structures latérales 1’ de renfort aussi appelées structures de rives, peuvent être assemblées à la structure 1 ou une rangée de structures 1.
L’assemblage d’une structure 1 avec une autre structure 1 de soutènement voisine similaire ou avec une structure latérale 1’ de renfort peut se faire par tout moyen d’assemblage approprié. À titre d’exemple non limitatif, l’assemblage peut se faire par l’intermédiaire d’attaches prévues au niveau des cadres respectifs, de pièces d’alignement, de platines support fixées aux platines d’extrémité.
Un exemple de réalisation d’une structure latérale 1’ est représenté sur la . La structure latérale 1’ peut présenter une forme générale triangulaire comprenant au moins une barre 53, 54 qui peut être similaire aux barres de la croix centrale de la structure de soutènement précédemment décrite.
Dans l’exemple illustré, la structure latérale 1’ comporte deux barres 53, 54. Une première barre 53 peut former un côté du triangle et une deuxième barre 54 peut former une médiane reliant le milieu ou sensiblement le milieu de la première barre 53 à un sommet opposé du triangle. La deuxième barre 54 présente une première extrémité fixée à la première barre 53. Une platine centrale 13’ peut être prévue à la jonction entre la première barre 53 et la deuxième barre 54. La deuxième barre 54 correspond par exemple à une moitié de la première barre 53. Les deux barres 53, 54 ainsi agencées forment une demi-croix correspondant approximativement à une moitié de la croix centrale de la structure de soutènement précédemment décrite.
La structure latérale 1’ peut comporter de plus trois platines d’extrémité 11’ aux sommets. Ces platines d’extrémité 11’ peuvent présenter ou non une forme similaire aux platines d’extrémité de la structure de soutènement précédemment décrite. Une des platines d’extrémité 11’ est fixée à une deuxième extrémité de la deuxième barre 54. Les deux autres platines d’extrémité 11’ sont fixés aux extrémités de la première barre 53.
La structure latérale 1’ peut en outre comporter un cadre ou un demi-cadre 7’ formant les deux autres côtés du triangle. Ce demi-cadre 7’ peut être formé de tubes 73, ici deux tubes 73, fixés aux platines d’extrémité 11’. Ces tubes 73 peuvent être similaires aux tubes du cadre entourant la croix centrale de la structure de soutènement précédemment décrite.
Les deux tubes 73 s’étendent selon des directions concourantes. L’un des tubes 73 s’étend dans la direction de la hauteur de la structure latérale 1’ une fois installée. Les tubes sont joints d’une part entre eux par l’intermédiaire d’une platine d’extrémité 11’ et d’autre part avec la première barre 53 par l’intermédiaire d’une platine d’extrémité 11’.
Ainsi, les structures 1 avec une armature de renfort 15 câblée et/ou un cadre 7 formé de tubes 71, 72 fixés aux platines d’extrémité 11, sont plus légères que dans les solutions connues. Le ratio entre le poids de la structure 1 et la surface confortée est largement optimisé. De telles structures 1 légères permettent de ne pas déstabiliser le terrain.
Ces structures 1 ont une reprise de charge importante grâce à l’armature de renfort 15 ou pointe diamant. Une précontrainte peut être appliquée sur les structures 1.
La disposition des branches 211 des dispositifs de fixation 21 suivant l’axe de traction T des câbles de renfort 19 permet d’éviter des déformations au niveau des barres 51, 52 de la croix centrale 5, lors de la répartition d’efforts de traction sur la croix centrale 5.
Par ailleurs, plusieurs éléments de structures 1, en particulier les croix centrales 5 entourées des cadres 7 et portant les branches 211 des dispositifs de fixation 21, peuvent être empilés facilement et de façon stable par exemple pour le transport.
Enfin, les structures 1 et en conséquence le dispositif de soutènement 100 peuvent être installés aisément, sans nécessiter en particulier d’engin lourd.

Claims (10)

  1. Structure (1) de soutènement, comprenant :
    • au moins une tige d’ancrage centrale (3), destinée à être enfoncée par une extrémité sur un terrain pour former un ancrage,
    • au moins deux barres (51, 52) agencées de manière à former une croix centrale (5) configurée pour être traversée par la tige d’ancrage centrale (3),
    • au moins une pièce de renfort (17) présentant un orifice central (171) traversé par la tige d’ancrage centrale (3) et
    • un nombre prédéfini de câbles de renfort (19) reliés chacun à une barre (51, 52) de la croix centrale (5) et se joignant au niveau de la pièce de renfort (17), en étant disposés selon une forme générale de pointe pyramidale dont le sommet est la pièce de renfort (17), les câbles de renfort (19) étant configurés pour être sollicités suivant une direction de traction (T) respective,
    • caractérisée en ce quela structure (1) comporte un nombre prédéfini de dispositifs de fixation (21) des barres (51, 52) de la croix centrale (5) aux câbles de renfort (19), comprenant respectivement deux branches (211) fixées de part et d’autre d’une barre (51, 52) de la croix centrale (5) et s’étendant selon la direction de traction (T) d’un câble de renfort (19).
  2. Structure (1) selon la revendication précédente, dans laquelle les dispositifs de fixation (21) comprennent respectivement au moins un organe d’assemblage s’étendant transversalement par rapport à l’axe de traction (T), reliant les deux branches (211) et configuré pour coopérer avec un élément de fixation complémentaire porté par un câble de renfort (19).
  3. Structure (1) selon l’une des revendications précédentes, dans laquelle la pièce de renfort (17) comprend une face principale (173) présentant l’orifice central (171) et à partir de laquelle s’étendent un nombre prédéfini de languettes de fixation (175a, 175b), configurées pour coopérer avec les câbles de renfort (19).
  4. Structure (1) selon la revendication précédente, dans laquelle la pièce de renfort (17) comprend trois languettes de fixation (175a, 175b), dont deux premières languettes de fixation (175a) configurées pour être situées à une première hauteur (h1) par rapport au sol (G) lorsque la structure (1) est installée sur un terrain, et une troisième languette de fixation (175b) configurée pour être située à une deuxième hauteur (h2) par rapport au sol (G) inférieure à la première hauteur (h1).
  5. Structure (1) selon la revendication précédente, dans laquelle
    • les deux premières languettes de fixation (175a) sont configurées pour coopérer avec au moins un câble de renfort (19) respectif, et
    • la troisième languette de fixation (175b) est configurée pour coopérer avec au moins deux câbles de renfort (19) reliés à deux barres (51, 52) différentes de la croix centrale (5).
  6. Structure (1) selon l’une des revendications précédentes, dans laquelle la croix centrale (5) présente quatre platines d’extrémité (11) fixées aux extrémités des branches de la croix centrale (5), et ladite structure (1) comporte quatre tubes (71, 72) fixés sur les platines d’extrémité (11), de façon à former un cadre (7) entourant la croix centrale (5).
  7. Structure (1) selon la revendication précédente, dans laquelle les platines d’extrémité (11) sont de forme polygonale et les extrémités des barres (51, 52) de la croix centrale (5) sont disposées à une distance (d1) prédéterminée non nulle d’un bord de la platine d’extrémité (11) coïncidant avec une extrémité du cadre (7).
  8. Structure selon l’une des revendications 6 ou 7, comportant en outre au moins une couche de rétention fixée aux tubes (71, 72), parmi un filet, une grille, un panneau en treillis.
  9. Dispositif de soutènement (100), caractérisé en ce qu’il comporte au moins une structure (1) de soutènement selon l’une des revendications précédentes.
  10. Dispositif de soutènement (100), selon la revendication précédente, comprenant au moins une structure latérale (1’) de renfort, assemblée à l’au moins une structure (1) de soutènement, et dans lequel la structure latérale (1’) de renfort présente une forme de triangle et comporte :
    • une première barre (53) formant un côté du triangle et une deuxième barre (54) fixée par une première extrémité au milieu de la première barre (53),
    • trois platines d’extrémité (11’) fixés aux extrémités de la première barre (53) et à une deuxième extrémité de la deuxième barre (54), et
    • au moins deux tubes (73) fixés aux platines d’extrémité (11’) et formant les deux autres côtés du triangle.
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