FR3112583A1 - Système de protection d’un conduit de fluide - Google Patents
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Abstract
Système de protection d’un conduit de fluide
Le système de protection (1) d’une zone à protéger (2) d’au moins un conduit (3) de fluide comprend :
- une enveloppe (10) étanche à un fluide de remplissage (5), configurée pour former, à l’état monté, une enceinte fermée qui englobe la zone à protéger. L’enveloppe comporte une bande longitudinale (11) – dite « bande de crête » – agencée pour former au moins en partie la zone la plus haute de l’enveloppe, à l’état monté ;
- un orifice (20) ménagé dans la bande de crête (11), pour l’introduction du fluide de remplissage dans l’enceinte.
L’enveloppe (10) comprend également une pluralité de trous (21) traversants ménagés dans la bande de crête (11), les trous ayant des dimensions calibrées pour autoriser le passage de l’air et sensiblement empêcher le passage de fluide de remplissage, de l’intérieur de l’enceinte vers l’extérieur.
Figure 2
Description
L’invention concerne un système de protection d’une zone à protéger d’au moins un conduit de fluide.
L’invention s’applique aux réseaux de fluides – en particulier d’électricité, de gaz, d’eau ou d’information – comportant des conduits – en particulier des câbles ou des canalisations – situés sous ou au-dessus de la surface du sol.
En pratique, certaines zones de ces réseaux sont plus vulnérables aux agressions extérieures et doivent donc être protégées. Cela concerne par exemple une zone abîmée d’un conduit, ou une zone de connexion entre deux conduits ou davantage, formant typiquement un raccord ou une dérivation. Après l’intervention, qu’il s’agisse dans les exemples précités d’une réparation ou d’une connexion, la zone concernée du ou des conduits doit à nouveau être protégée, en termes d’étanchéité et/ou d’isolation électrique.
A cet effet, il est connu de placer une enveloppe autour de la zone à protéger et d’y introduire un fluide de remplissage pour combler l’espace entre l’enveloppe et la zone à protéger. Un tel fluide de remplissage a généralement pour fonction d’assurer une rigidité mécanique et de procurer une étanchéité, afin notamment d’éviter les courts-circuits, les fuites ou la corrosion.
En pratique, à l’état monté, l’enveloppe forme une enceinte fermée qui englobe la zone à protéger. L’enveloppe comporte un orifice, situé en partie haute et éventuellement muni d’un embout, par lequel un opérateur introduit le fluide de remplissage. Le fluide de remplissage peut être introduit dans l’orifice de l’enveloppe par simple coulage par gravité, ou avec une certaine force résultant de la compression d’un sac souple contenant ce fluide de remplissage.
Il est connu de munir l’enveloppe d’orifices d’évacuation d’air, pour permettre à l’air contenu dans l’enveloppe de sortir pendant que le fluide de remplissage entre dans l’enveloppe. Généralement, on prévoit un orifice d’évacuation d’air à chaque extrémité de l’enveloppe (le long de la direction longitudinale définie par le conduit au voisinage de la zone à protéger) et éventuellement deux orifices d’évacuation d’air intermédiaires.
Le fluide de remplissage introduit est à l’état fluide, puis durcit rapidement. En pratique, l’épaississement du fluide de remplissage peut intervenir en quelques minutes et son durcissement en quelques heures.
Selon différentes variantes connues, l’opérateur cesse le remplissage de l’enveloppe :
- en cas d’enveloppe transparente ou translucide, lorsqu’il voit le niveau maximum de fluide atteindre le point haut ;
- en cas d’enveloppe opaque, lorsqu’il voit le fluide déborder par l’orifice de remplissage et/ou par les orifices d’évacuation d’air.
Quelle que soit la variante, il existe un risque important que le remplissage semble complet alors que ce n’est pas le cas. La principale cause à cela est la création de poches d’air qui restent enfermées dans l’enveloppe, entourées de fluide de remplissage, sans pouvoir s’évacuer. Ce phénomène est d’autant plus fréquent et probable que le fluide de remplissage est visqueux et/ou que l’enveloppe présente une forme irrégulière.
Très souvent, la poche d’air se déplace pendant la phase de mise en œuvre pour remonter vers la surface, aidée par exemple par l’augmentation de la pression au fur et à mesure que le remplissage avance. Mais pendant ce temps, la fluidité du fluide de remplissage diminue, si bien que les poches d’air ont de plus en plus de mal à se déplacer vers les orifices d’évacuation, et ce d’autant plus qu’il existe un flux d’injection de fluide de remplissage en sens opposé. Et même si une poche d’air atteint un point haut de l’enveloppe, elle n’est pas nécessairement proche d’un orifice d’évacuation, et peut donc rester prisonnière à l’intérieur de l’enveloppe.
Ainsi, on a constaté de nombreux cas où le fluide de remplissage a bien débordé par les orifices (d’introduction de fluide de remplissage et d’évacuation d’air), l’opérateur ayant donc cessé le remplissage, mais où, pourtant, il subsiste de très nombreuses bulles d’air emprisonnées. Ces bulles emprisonnées sont presque toujours localisées en partie haute, et souvent dans des parties bombées de l’enveloppe situées entre deux orifices d’évacuation d’air successifs.
La présence de bulles d’air emprisonnées dans l’enveloppe peut avoir des conséquences plus ou moins importantes.
A minima, une bulle d’air emprisonnée rend la protection plus fragile mécaniquement. Or cette résistance mécanique est essentielle pour garantir l’intégrité du système de protection, en particulier pour des applications souterraines où le système de protection peut se situer à environ 1 m sous un trottoir ou sous une route. Il existe un risque avéré qu’au passage d’un camion, une fissure ou un affaissement localisé ne survienne dans le fluide de remplissage.
Par ailleurs, chaque poche d’air rend le fluide de remplissage hétérogène. Or, le système de protection subit des cycles de montée et baisse de température en fonction de la température extérieure et, dans le cas de l’application à un réseau électrique, en fonction du courant qui transite. Ceci génère des dilatations différentielles provoquant ou aggravant des micro fissures dans le fluide de remplissage.
De telles fissures ou microfissures sont des vecteurs bien connus de propagation d’eau par capillarité, pouvant se traduire par des problèmes de courts-circuits ou de corrosion.
Ces problèmes sont encore aggravés dans les situations pratiques suivantes :
- lorsque l’orifice d’introduction de fluide de remplissage et/ou d’évacuation d’air ne sont pas positionnés aux points les plus hauts (dans ce cas, le débordement du fluide de remplissage a encore moins de valeur indicative du bon remplissage) ;
- lorsque la topologie du chantier impose une mise en œuvre en pente.
La présente invention vise à remédier à tout ou partie des inconvénients mentionnés ci-dessus.
A cet effet, l’invention concerne un système de protection d’une zone à protéger d’au moins un conduit de fluide, le système de protection définissant une direction longitudinale et comprenant :
- une enveloppe réalisée en un matériau étanche à un fluide de remplissage du système de protection, l’enveloppe étant configurée pour former, à l’état monté, une enceinte fermée qui englobe la zone à protéger, l’enveloppe comportant une bande longitudinale agencée pour, à l’état monté, former au moins une partie de la zone sensiblement la plus haute de l’enveloppe, selon la direction verticale, ladite bande étant appelée bande de crête ;
- un orifice pour l’introduction du fluide de remplissage dans l’enceinte, l’orifice étant ménagé dans la bande de crête.
De plus, selon une définition générale de l’invention, l’enveloppe comprend une pluralité de trous traversants ménagés dans la bande de crête, les trous ayant des dimensions calibrées pour autoriser le passage de l’air et sensiblement empêcher le passage de fluide de remplissage, de l’intérieur de l’enceinte vers l’extérieur.
En prévoyant une pluralité de trous agissant comme des orifices d’évacuation d’air, en partie haute de l’enceinte à l’état monté, l’invention offre une multitude de voies de sortie possibles pour l’air initialement contenu dans l’enceinte, et évite donc la création de poches d’air préjudiciables à la qualité et à l’efficacité du système de protection.
De plus, ces trous ont des dimensions suffisamment faibles pour ne pas nuire à la résistance mécanique de l’enveloppe et pour retenir le fluide de remplissage. De façon concrète, par « sensiblement empêcher le passage de fluide de remplissage », on entend qu’une faible quantité de fluide de remplissage peut passer au travers d’un trou (par exemple de l’ordre du millilitre, voire moins, par trou) mais qu’un trou ne peut pas engendrer une fuite importante voire incontrôlée de fluide de remplissage.
Une raison pour laquelle la taille des trous permet le passage de l’air mais pas du fluide de remplissage est que ce dernier est plus visqueux et/ou constitué de molécules plus volumineuses, plus densément réparties et/ou ayant davantage de forces d’interaction entre elles en comparaison avec l’air.
Dans le cas d’une enceinte présentant un contour courbe, par exemple sensiblement tubulaire d’axe longitudinal, la zone la plus haute de l’enveloppe est sensiblement une ligne. Dans ce cas, la bande de crête continent cette ligne, et peut typiquement s’étendre de part et d’autre de cette ligne. Dans le cas d’une enceinte présentant une face supérieure sensiblement plane et disposée horizontalement, l’ensemble de cette face supérieure constitue la zone la plus haute de l’enveloppe. La bande de crête forme alors une partie de la zone la plus haute de l’enveloppe.
Selon une réalisation possible, les trous présentent des dimensions caractéristiques comprises entre 0,5 mm et 1,5 mm, par exemple de l’ordre de
1 mm ± 20%. Il peut s’agir de trous sensiblement ronds, la dimension caractéristique correspondant alors au diamètre.
1 mm ± 20%. Il peut s’agir de trous sensiblement ronds, la dimension caractéristique correspondant alors au diamètre.
L’’enveloppe peut comprendre un nombre de trous supérieur à 10,ou supérieur à 20, ou supérieur à 50, voire même supérieur à 100 ; la bande de crête peut présenter une largeur inférieure à 2 cm, de préférence inférieure à 1 cm.
Selon une réalisation possible, les trous sont sensiblement agencés sur une ligne longitudinale.
Les trous peuvent être sensiblement régulièrement espacés le long de la direction longitudinale, par exemple d’une distance comprise entre 1 et 10 mm, par exemple entre 1,5 et 5 mm.
Il est précisé que, en dehors de la bande de crête, l’enveloppe est de préférence dépourvue de trous d’évacuation d’air.
Selon un mode de réalisation, l’enveloppe comporte une nappe en matériau souple configurée pour pouvoir être enroulée autour de la zone à protéger. La nappe peut être sensiblement plane avant cet enroulement ; en variante, avant sa mise en œuvre, la nappe peut être non plane, par exemple préformée en une cavité ouverte.
La nappe peut comporter un embout distinct qui vient se monter dans l’orifice, pour l’introduction du fluide de remplissage. En revanche, elle est de préférence dépourvue d’évents rapportés insérés dans les trous, ce qui diminue considérablement son coût de fabrication et de mise en œuvre.
Les trous peuvent être réalisés par piquage, perforation ou perçage, ce qui est particulièrement peu onéreux et permet de réaliser facilement un relativement grand nombre de trous. On peut également envisager la réalisation de trous par découpe, notamment sous forme de fentes formant par exemple une ligne pointillée.
La nappe peut être sensiblement rectangulaire, la bande de crête étant alors agencée au voisinage d’une médiatrice d’un côté de la nappe rectangulaire.
Selon un autre mode de réalisation, l’enveloppe comporte deux demi-coquilles rigides pouvant occuper une position ouverte pour l’installation du système de protection, et une position fermée à l’état monté.
Les deux demi-coquilles peuvent être distinctes et assemblables (de façon réversible ou non), par exemple par clipage, vissage ou analogue. En variante, les deux demi-coquilles peuvent être assemblées via une charnière, une demi-coquille étant mobile par rapport à l’autre par pivotement autour de la charnière, entre la position ouverte et la position fermée.
Les trous peuvent être venus de moulage avec l’enveloppe, ce qui est particulièrement peu onéreux et permet de réaliser facilement un relativement grand nombre de trous.
On décrit à présent, à titre d'exemples non limitatifs, plusieurs modes de réalisation possibles de l’invention, en référence aux figures annexées :
Comme illustré sur les figures 1 à 3, l’invention concerne un système de protection 1 destiné à être mise en place autour d’une zone à protéger 2 d’au moins un conduit 3 de fluide.
La zone à protéger 2 peut comporter un unique conduit 3, par exemple suite à une réparation effectuée sur ce conduit, ou plusieurs conduits 3 liés par un connecteur 4, pour protéger la zone de liaison. Sur la figure 1, on a trois conduits 3 liés par un connecteur 4 dans la zone à protéger 2 ; sur la figure 5, on a deux conduits 3 liés par un connecteur 4 dans la zone à protéger 2. Dans le cas de l’application à un réseau électrique, la réalisation de la figure 1 peut permettre de réaliser une dérivation entre un câble 3 d’entrée et deux câbles 3 de sortie, tandis que la réalisation de la figure 5 peut permettre de réaliser une jonction entre deux câbles 3. Ces exemples ne sont pas limitatifs.
On définit la direction longitudinale X comme étant la direction générale dans laquelle s’étend(ent) le(s) conduit(s) de fluide, du moins au voisinage de la zone à protéger 2. X forme également la direction longitudinale du système de protection 1. Les termes « longitudinal », « longueur », « axial » et analogue sont employés en référence à la direction X. On définit également la direction verticale Z.
Les conduits 3 de fluide peuvent être des câbles électriques, des tuyaux de gaz ou d’eau, des câbles de transmission d’information.
Le système de protection 1 comprend une enveloppe 10 réalisée en un matériau étanche à un fluide de remplissage 5 du système de protection 1.
L’enveloppe 10 est configurée pour former, à l’état monté, une enceinte fermée qui englobe la zone à protéger 2. Selon les applications, l’enveloppe 10 peut être réalisée en un matériau qui est étanche à l’eau – de façon à assurer une protection contre les courts-circuits et/ou contre la corrosion – et/ou qui est électriquement isolant. En outre, l’enveloppe 10 présente de préférence une résistance mécanique suffisante pour résister aux agressions extérieures, dans des conditions normales d’utilisation, et pour contenir le fluide de remplissage 5.
Le fluide de remplissage 5 est un matériau qui est initialement visqueux mais fluide, de façon à pouvoir être introduit dans l’enceinte fermée formée par l’enveloppe 10 et à la combler, mais qui est apte à durcir rapidement, de façon à conférer les propriétés requises en termes de protection. En pratique, l’épaississement du fluide de remplissage peut intervenir en quelques minutes et son durcissement en quelques heures. Le fluide de remplissage est de préférence étanche et/ou électriquement isolant. Il peut s’agir d’un mastic, d’un gel, d’une résine durcissable telle qu’une résine bicomposant qui polymérise et durcit, etc.
A l’état monté, comme illustré schématiquement sur la figure 1 (où l’enceinte est en cours de remplissage par le fluide de remplissage 5), l’enveloppe 10 présente dans sa zone sensiblement la plus haute, selon la direction verticale Z :
- d’une part un orifice 20 pour l’introduction du fluide de remplissage 5 dans l’enceinte, dans la zone à protéger 2 ;
- et d’autre part une pluralité de trous traversants 21 permettant l’évacuation de l’air contenu dans l’enceinte et chassé par le fluide de remplissage 5.
Plus précisément, l’enveloppe 10 comporte une bande longitudinale 11 qui est agencée pour former au moins une partie de la zone sensiblement la plus haute de l’enveloppe 10, selon la direction verticale Z, lorsque l’enveloppe 10 est à l’état monté, c'est-à-dire placée autour de la zone à protéger 2 en formant une enceinte fermée. Cette bande longitudinale est appelée bande de crête 11.
C’est dans la bande de crête 11 que sont ménagés l’orifice 20 et la pluralité de trous traversants 21.
Selon l’invention, les trous 21 ont des dimensions calibrées pour autoriser le passage de l’air et sensiblement empêcher le passage de fluide de remplissage 5, de l’intérieur de l’enceinte vers l’extérieur.
Dans les exemples de réalisation illustrés sur les figures, les trous 21 sont sensiblement circulaires et présentent un diamètre compris entre 0,5 mm et 1,5 mm.
En variante, les trous pourraient être des fentes, par exemple sensiblement rectangulaires, dont la dimension caractéristique – comprise entre 0,5 mm et 1,5 mm – serait alors la largeur. D’autres formes de trous sont également envisageables.
Les trous 21 peuvent être sensiblement agencés sur une ligne longitudinale 23 qui, à l’état monté, sera sensiblement la ligne faîtière de l’enceinte. En variante, les trous 21 ne sont pas alignés mais sont restent néanmoins de préférence disposés au voisinage de cette ligne longitudinale 23. On s’assure ainsi que les trous 21, s’ils ne sont pas dans la partie la plus haute de l’enveloppe 10, à l’état monté, seront quand-même en partie haute de celle-ci. Ainsi, de façon concrète, la bande de crête 11 dans laquelle sont ménagés les trous 21 peut présenter une largeur l relativement faible, par exemple inférieure à 2 cm, de préférence inférieure à 1 cm.
Avantageusement, le nombre de trous 21 est relativement élevé. Ainsi, l’enveloppe 10 peut comprendre plus de dix trous 21,voire plus de vingt trous 21, voire même plus de quarante trous 21. Ceci permet de multiplier les sorties d’air possible, afin d’éviter la formation de poches d’air dans l’enceinte.
Dans le même but, il est préférable d’éviter que des portions relativement grandes de la partie supérieure de l’enveloppe 10 soient dépourvues de trous 21. Ainsi, on peut prévoir des trous 21 sur une grande partie de l’enveloppe 10, à l’état monté, par exemple sur au moins 70 % de la longueur L de l’enveloppe 10, le long de la direction longitudinale X, voire au moins 80 %, voire sur sensiblement toute la longueur L de l’enveloppe 10. En outre, les trous 21 peuvent être sensiblement régulièrement espacés le long de la direction longitudinale X, par exemple d’une distance comprise entre 3 et 10 mm, notamment de l’ordre de 5 mm.
Un premier mode de réalisation de l’enveloppe 10 est illustré sur les figures 2 et 4.
Dans ce mode de réalisation, l’enveloppe 10 comporte une nappe 12 en matériau souple configurée pour pouvoir être enroulée autour de la zone à protéger 2. La nappe 12 peut être constituée d’une toile étanche, par exemple d’une toile plastifiée.
Le recours à une nappe souple présente plusieurs avantages : une excellente adaptation aux contours de la zone à protéger 2, une certaine souplesse de positionnement du ou des conduits 3 (en particulier des zones d’entrée/sortie de ceux-ci dans le système de protection), une réduction des types de systèmes de protection 1 nécessaires donc les stocks, une réduction du volume de fluide de remplissage 5, une limitation considérable de l’encombrement avant mise en place mais également à l’état final.
La nappe 12 présente deux bords axiaux 13, 14, et deux bords longitudinaux 15, 16. Bien que sur la figure 4 la nappe 12 soit sensiblement rectangulaire, cette réalisation n’est pas limitative, et les bords 13-16 ne sont pas nécessairement rectilignes.
Avant sa mise en œuvre, la nappe 12 peut être sensiblement plane. En variante, la nappe 12 peut être non plane : par exemple, la nappe peut former un dièdre (à savoir deux parois sensiblement planes formant un angle entre elles) ou une coupe (c'est-à-dire posséder une forme incurvée, la nappe étant ainsi préformée en une cavité ouverte).
Comme illustré sur la figure 4, la bande de crête 11 s’étend selon la direction longitudinale X, par exemple au voisinage de la médiatrice des bords axiaux 13, 14 de la nappe 12. Dans une réalisation où les trous 21 sont sensiblement agencés sur une ligne longitudinale 23, cette ligne longitudinale 23 peut être confondue avec ladite médiatrice. De part et d’autre de la ligne longitudinale 23 sont alors définis deux pans 17, 18 de la nappe 12. De préférence, la nappe 12 est d’un seul tenant, c'est-à-dire que les deux pans 17, 18 forment une seule pièce. Les pans 17, 18 ne sont pas nécessairement plans, mas peuvent par exemple être bombés, en forme de deux demi coquilles.
Le long de la ligne longitudinale 23, ou plus généralement dans la bande de crête 11, on trouve donc les trous 21, qui peuvent être réalisés par piquage, perforation ou perçage, ainsi que l’orifice 20. Comme on le voit sur les figures 1, 2 et 4, un embout 24, distinct de la nappe 12, est placé dans l’orifice 20 pour permettre à un opérateur d’introduire le fluide de remplissage 5.
Il est à noter que, sur la figure 2, les trous 21 sont représentés sous forme circulaire, tandis que sur la figure 4 ils sont représentés sous forme de fentes, les deux variantes étant possibles.
L’enveloppe 10 peut en outre comporter un organe d’étanchéité 19 agencé au voisinage de chaque bord axial 13, 14, et de préférence au voisinage d’au moins un bord longitudinal 16 de la nappe 12. Pourra ainsi être formée une barrière empêchant en particulier l’entrée d’eau dans la zone à protéger 2 et les fuites de fluide de remplissage.
Pour la mise en œuvre du système de protection 1, la nappe 12 est enroulée autour de la zone à protéger 2 de sorte que la bande de crête 11 – avec l’orifice 20 muni de l’embout 24 et les trous 21 – se retrouve sensiblement à la partie la plus haute de l’enveloppe 10, comme on le voit sur la figure 2.
Par exemple, les deux pans 17, 18 peuvent être placés de part et d’autre de la zone à protéger 2, puis enroulés avec ou sans recouvrement mutuel. Optionnellement, la nappe 12 peut être assemblée à elle-même par tout moyen approprié 26 tel que : fermeture éclair, boutonnière, système de type Velcro®, etc.
Le système de protection 1 peut en outre comprendre un dispositif de serrage circonférentiel de la nappe 12 à l’état monté, pour arriver à un état serré illustré sur la figure 2. Le dispositif de serrage circonférentiel peut comporter des sangles 25 pourvues de moyens d’accrochage tel qu’un système de type Velcro®, par exemple.
Selon une réalisation possible, la système de protection 1 comprend en outre des moyens de limitation configurés pour limiter le degré de serrage circonférentiel de la nappe 12 au moyen du dispositif de serrage, de sorte que soit ménagée une distance minimale prédéterminée entre la zone à protéger 2 et la nappe 12. Le serrage calibré permet de garantir une épaisseur suffisante de fluide de remplissage 5, par exemple au moins 5 mm, et donc une bonne qualité de la protection conférée.
Ces moyens de limitation peuvent consister en des organes ou des repères visuels sur les sangles 25 indiquant qu’une certaine limite de serrage a été atteinte ou empêchant un serrage au-delà de cette limite. En variante ou en complément, les moyens de limitation peuvent comprendre au moins une entretoise montée sur le système de protection 1 du côté de la face intérieure de la nappe 12, l’entretoise présentant une hauteur prédéterminée et étant configurée pour venir en butée contre le conduit 3 ou un autre élément de la zone à protéger 2 (par exemple le connecteur 4), au moins au droit des moyens de serrage.
Le système de protection 1 peut également comporter une couche intérieure (non représentée) réalisée en un matériau souple, compressible, et perméable au fluide de remplissage. A l’état monté, cette couche intérieure est enroulée autour de la zone à protéger et située à l’intérieur de l’enveloppe 10.
Le système de protection 1 peut en outre comprendre un moyen de répartition de la pression de serrage de la nappe 12, permettant de limiter l’apparition de bourrelets entre deux sangles 25 adjacentes. Le moyen de répartition (non représenté) se présente par exemple sous la forme d’une plaque séparée solidarisée à la face intérieure de la nappe 12. Il est configuré pour conférer localement une rigidité accrue, sans empêcher l’enroulement de la nappe 12. En diminuant localement la formation de bourrelets, le moyen de répartition évite également la formation de poches d’air localisées et potentiellement plus difficiles à évacuer.
On se réfère à présent aux figures 3 et 5 qui illustrent un deuxième mode de réalisation de l’invention.
Dans ce mode de réalisation, l’enveloppe 10 comporte deux demi-coquilles rigides 31, 32, par exemple réalisées par moulage d’une matière plastique.
Lors du montage, comme illustré sur la figure 5, les deux demi-coquilles 31, 32 peuvent occuper une position ouverte pour permettre l’installation du système de protection 1, à savoir la mise en place des demi-coquilles 31, 32 autour de la zone à protéger 2, ainsi que l’éventuelle liaison des conduits 3 par le connecteur 4.
A l’état monté, comme on le voit sur la figure 3, les deux demi-coquilles 31, 32 occupent une position fermée. Plus précisément, une première demi coquille 31 peut former la moitié supérieure de l’enveloppe 10 tandis qu’une deuxième demi coquille 32 peut former la moitié inférieure de l’enveloppe 10. Les demi-coquilles 31, 32 peuvent être assemblées en position fermée par tout moyen approprié tel que : encliquetage, vissage, etc.
Dans la réalisation non limitative représentée, les demi-coquilles 31, 32 sont sensiblement identiques et articulées l’une à l’autre via une charnière 33 longitudinale qui peut être venue de moulage avec les demi-coquilles 31, 32. Chaque demi-coquille 31, 32 peut présenter une forme bombée munie d’un rebord périphérique 34 pouvant venir en contact avec le rebord périphérique 34 de l’autre demi-coquille. Au moins l’un des rebords périphériques 34 peut comporter des organes d’étanchéité 19.
C’est sur la première demi-coquille 31 – qui formera la moitié supérieure de l’enveloppe 10 à l’état monté – qu’est présente la bande de crête 11. La bande de crête 11 s’étend selon la direction longitudinale X. Elle peut s’étendre au voisinage du plan longitudinal vertical médian P de l’enveloppe 10. Une telle disposition est préférable si la première demi-coquille 31 a une forme hémi cylindrique d’axe X, car de cette façon la bande de crête 11 se retrouve à l’état monté sensiblement dans la zone la plus haute de l’enveloppe 10.
Dans une réalisation où les trous 21 sont sensiblement agencés sur une ligne longitudinale 23, cette ligne longitudinale 23 peut être située dans le plan longitudinal vertical médian P de l’enveloppe 10 (les demi-coquilles 31, 32 étant en position fermée).
Le long de la ligne longitudinale 23, ou plus généralement dans la bande de crête 11, on trouve donc les trous 21, qui peuvent être venus de moulage avec l’enveloppe 10, ainsi que l’orifice 20.
Comme on le voit sur la figure 3, l’orifice 20 peut être entouré d’une cheminée 35 faisant saillie vers l’extérieur de l’enceinte fermée. La cheminée facilite l’opération d’introduction du fluide de remplissage 5 dans l’enceinte fermée par un opérateur.
Quel que soit le mode de réalisation, une fois l’enveloppe 10 mise en place autour de la zone à protéger 2, un opérateur peut introduire le fluide de remplissage 5 par l’orifice 20 (notamment via l’embout 24 ou la cheminée 35). En conséquence, l’air présent dans l’enceinte fermée formée par l’enveloppe 10 s’échappe par chacun des trous 21 ménagés sensiblement dans la zone la plus haute de l’enveloppe 10, dans la bande de crête 11. Le système de protection 1 en cours de remplissage et d’évacuation d’air est représenté sur la figure 1.
L’invention permet de réaliser un très grand nombre de trous d’évacuation d’air pour un coût très peu élevé et une grande simplicité de mise en œuvre, ce qui ne serait pas possible avec des évents classiques insérés dans ou prolongeant des orifices d’évacuation. Il s’ensuit une diminution significative des poches d’air emprisonnées dans le fluide de remplissage de l’enveloppe et, in fine, une efficacité de protection accrue. En outre, de tels trous de dimensions réduites limitent considérablement les fuites de fluide de remplissage.
Il va de soi que l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits ci-dessus à titre d'exemples mais qu'elle comprend tous les équivalents techniques et les variantes des moyens décrits ainsi que leurs combinaisons.
Claims (11)
- Système de protection (1) d’une zone à protéger (2) d’au moins un conduit (3) de fluide, le système de protection (1) définissant une direction longitudinale (X) et comprenant :
- une enveloppe (10) réalisée en un matériau étanche à un fluide de remplissage (5) du système de protection (1), l’enveloppe (10) étant configurée pour former, à l’état monté, une enceinte fermée qui englobe la zone à protéger (2), l’enveloppe (10) comportant une bande longitudinale (11) agencée pour, à l’état monté, former au moins une partie de la zone sensiblement la plus haute de l’enveloppe (10), selon la direction verticale (Z), ladite bande étant appelée bande de crête (11) ;
- un orifice (20) pour l’introduction du fluide de remplissage (5) dans l’enceinte, l’orifice (20) étant ménagé dans la bande de crête (11) ;
caractérisé en ce que l’enveloppe (10) comprend une pluralité de trous (21) traversants ménagés dans la bande de crête (11), les trous (21) ayant des dimensions calibrées pour autoriser le passage de l’air et sensiblement empêcher le passage de fluide de remplissage (5), de l’intérieur de l’enceinte vers l’extérieur. - Système de protection selon la revendication 1, caractérisé en ce que les trous (21) présentent des dimensions caractéristiques comprises entre 0,5 mm et 1,5 mm.
- Système de protection selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que l’enveloppe (10) comprend un nombre de trous (21) supérieur à 10,ou supérieur à 20, ou supérieur à 50, voire supérieur à 100.
- Système de protection selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la bande de crête (11) présente une largeur inférieure à 2 cm, de préférence inférieure à 1 cm.
- Système de protection selon l’une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les trous (21) sont sensiblement agencés sur une ligne longitudinale (23).
- Système de protection selon l’une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que les trous (21) sont sensiblement régulièrement espacés le long de la direction longitudinale (X), par exemple d’une distance comprise entre 1 et 10 mm, par exemple entre 1,5 et 5 mm.
- Système de protection selon l’une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que l’enveloppe (10) comporte une nappe (12) en matériau souple configurée pour pouvoir être enroulée autour de la zone à protéger (2).
- Système de protection selon la revendication 7, caractérisé en ce que les trous (21) sont réalisés par piquage, perforation ou perçage.
- Système de protection selon la revendication 7 ou 8, caractérisé en ce que la nappe (12) est sensiblement rectangulaire, et en ce que la bande de crête (11) est agencée au voisinage d’une médiatrice d’un côté de la nappe rectangulaire.
- Système de protection selon l’une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que l’enveloppe (10) comporte deux demi-coquilles (31, 32) rigides pouvant occuper une position ouverte pour l’installation du système de protection (1), et une position fermée à l’état monté.
- Système de protection selon la revendication 10, caractérisé en ce que les trous (21) sont venus de moulage avec l’enveloppe (10).
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FR3001347A1 (fr) * | 2013-01-18 | 2014-07-25 | Franck Vivona | Housse d'injection pour des accessoires de raccordement de cables electriques |
-
2020
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GB1383573A (en) * | 1971-09-07 | 1974-02-12 | Minnesota Mining & Mfg | Rigid two-part mould for a cable splice |
FR3001347A1 (fr) * | 2013-01-18 | 2014-07-25 | Franck Vivona | Housse d'injection pour des accessoires de raccordement de cables electriques |
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