FR3097175A1

FR3097175A1 - Structure d’assise d’une armature de siège d’un véhicule, siège de véhicule et set de deux structures d’assise

Info

Publication number: FR3097175A1
Application number: FR1906221A
Authority: FR
Inventors: Stéphane BOUILLOT; Pierre MICHELIN
Original assignee: Renault SAS
Current assignee: Renault SAS
Priority date: 2019-06-12
Filing date: 2019-06-12
Publication date: 2020-12-18
Anticipated expiration: 2039-06-12
Also published as: FR3097175B1

Abstract

L’invention concerne une structure d’assise (5) d’une armature (1) de siège d’un véhicule comprenant : - au moins un flasque (20), et - au moins une bielle (22) montée pour être mobile en rotation par rapport au flasque, et comprenant une crémaillère (50). Selon l’invention, la structure d’assise comprend un élément de blocage (24) qui est adapté à être fixé en position fixe sur le flasque et qui comprend une autre crémaillère adaptée pour s’engager dans la crémaillère de la bielle afin de la bloquer dans une position de blocage prédéterminée. Figure pour l’abrégé : Fig. 1

Description

Structure d’assise d’une armature de siège d’un véhicule, siège de véhicule et set de deux structures d’assise

Domaine technique de l'invention

La présente invention concerne de manière générale les armatures de siège, et notamment les armatures de sièges de véhicules automobiles.

Elle concerne plus particulièrement une structure d’assise d’une armature de siège comprenant :
- au moins un flasque, et
- au moins une bielle montée pour être mobile en rotation par rapport au flasque, et comprenant une crémaillère.

Elle concerne également un siège de véhicule comprenant une telle structure d’assise.

Elle concerne encore un set de deux structures d’assise d’armatures de siège, chaque structure d’assise comprenant :
- au moins un flasque, et
- au moins une bielle montée pour être mobile en rotation par rapport au flasque.

Etat de la technique

Les constructeurs automobiles développent et fabriquent actuellement deux sortes d’armatures de siège pour leurs véhicules. Les deux sortes d’armatures diffèrent selon les mouvements de déplacement autorisés pour le siège.

La première armature permet un mouvement du siège selon deux degrés de liberté, c’est-à-dire un déplacement vers l’avant, un déplacement vers l’arrière mais également un mouvement de bascule du dossier du siège vers l’avant ou vers l’arrière.

La deuxième armature autorise les mêmes déplacements que ceux permis par la première armature mais autorise en plus un déplacement vertical du siège vers le haut ou vers le bas. Cette armature permet donc un mouvement du siège selon trois degrés de liberté. La deuxième armature comprend alors un mécanisme de rehausse en plus par rapport à la première armature, qui permet de déplacer le siège vers le haut ou vers le bas.

Cependant, le développement et la fabrication de deux armatures pour un même siège selon deux lignes différentes de production ne sont pas optimaux pour la stratégie industrielle des constructeurs automobiles.

Présentation de l'invention

Afin de remédier à l’inconvénient précité de l’état de la technique, la présente invention propose une même structure d’assise d’une armature de siège d’un véhicule pouvant présenter deux ou trois degrés de liberté.

Plus particulièrement, on propose selon l’invention une structure d’assise d’une armature de siège d’un véhicule telle que définie dans l’introduction, dans laquelle la structure d’assise comprend un élément de blocage qui est adapté à être fixé en position fixe sur le flasque et qui comprend une autre crémaillère adaptée pour s’engager dans la crémaillère de la bielle afin de la bloquer dans une position de blocage prédéterminée.

Ainsi, l’introduction de l’élément de blocage permet de bloquer le mouvement de rotation de la bielle à une position de blocage déterminée. Cela permet alors de verrouiller l’assise du siège à une hauteur fixée. En pratique, l’utilisation de cet élément de blocage dans une structure d’assise autorisant le réglage vertical du siège permet donc de bloquer ce réglage. Une seule structure d’assise peut donc être fabriquée, l’ajout de cette pièce permettant de choisir d’autoriser ou non le réglage vertical du siège.

D’autres caractéristiques non limitatives et avantageuses de la structure d’assise conforme à l’invention, prises individuellement ou selon toutes les combinaisons techniquement possibles, sont les suivantes :
- la crémaillère de l’élément de blocage comprend au moins une dent qui engrène la crémaillère de la bielle ;
- la bielle comprend une ouverture ;
- l’élément de blocage comprend au moins un ergot engagé dans l’ouverture de la bielle ;
- ladite au moins une dent et ledit ergot font saillie d’une même face de l’élément de blocage ;
- l’ouverture de la bielle et l’ergot de l’élément de blocage sont de forme oblongue ;
- l’ouverture de la bielle présente une dimension ajustée à celle de l’ergot de manière à ce que l’ergot soit bloqué dans ladite ouverture ;
- l’élément de blocage est fixé au flasque par au moins un élément de fixation, et
- l’élément de fixation comprend une vis.

L’invention propose également un siège de véhicule comprenant une structure d’assise d’une armature telle qu’introduite précédemment

L’invention propose encore un set de deux structures d’assise d’armatures de siège tel que défini dans l’introduction, dans lequel une première des structures d’assise comporte un élément de blocage adapté à être fixé en position fixe sur le flasque pour verrouiller la bielle de ladite première structure d’assise à une position de blocage prédéterminée, et une deuxième des structures d’assise comporte un mécanisme de rehausse adapté à déplacer le flasque de ladite deuxième structure d’assise entre une position haute et une position basse.

Description détaillée de l'invention

La description qui va suivre en regard des dessins annexés, donnés à titre d’exemples non limitatifs, fera bien comprendre en quoi consiste l’invention et comment elle peut être réalisée.

Sur les dessins annexés :

représente schématiquement une vue en perspective d’une armature de siège d’un véhicule comprenant une structure d’assise conforme à l’invention ;

représente schématiquement une vue éclatée d’éléments de la structure d’assise de la figure 1 ;

représente schématiquement un assemblage de certains éléments de la structure d’assise de la figure 1 ;

représente schématiquement une vue en perspective d’une armature de siège d’un véhicule comprenant une autre structure d’assise conforme à l’invention ; et

représente une vue en perspective d’un détail de la structure d’assise de la figure 4.

Sur la figure 1, on a représenté une armature 1 d’un siège. Ce siège est par exemple prévu pour être monté sur un plancher d’un véhicule automobile.

L’armature 1 du siège comprend principalement un socle 2, une structure d’assise 5 et une structure de dossier 8.

En pratique, le socle 2 est intégré dans le plancher du véhicule automobile.

La structure d’assise 5 est montée sur le socle 2 de manière à s’étendre de façon sensiblement parallèle au plancher (et donc au socle 2) du véhicule automobile.

Comme cela est visible sur la figure 1, le socle 2 comprend des glissières 30. La structure d’assise 5 comprend en correspondance des rails 34, 35 engagés dans ces glissières 30 afin de permettre un coulissement longitudinal du siège par rapport au plancher du véhicule automobile selon une direction longitudinale Y (parallèle au plancher). Il s’agit du premier degré de mobilité du siège.

En variante, la structure d’assise 5 pourrait être montée directement sur le socle 2 (sans les glissières 30). Dans ce cas, aucun mouvement de coulissement longitudinal du siège ne serait autorisé.

La structure d’assise 5 s’étend longitudinalement selon la direction longitudinale Y. La structure d’assise 5 est donc globalement horizontale par rapport au plancher du véhicule automobile. La structure d’assise 5 s’étend ici entre une extrémité avant 10 et une extrémité arrière 12.

Généralement, la structure de dossier 8 s’étend quant à elle globalement selon une direction verticale Z entre une extrémité inférieure 16 et une extrémité supérieure 18. En pratique, cette structure de dossier 8 est articulée, par son extrémité inférieure 16, à l’extrémité arrière 12 de la structure d’assise 5 afin de permettre une inclinaison variable par rapport à la direction verticale Z. Cette inclinaison est par exemple réglée au moyen d’un mécanisme (non décrit ici). Il s’agit du second degré de mobilité du siège.

La structure d’assise 5 est par ailleurs conçue pour présenter un troisième degré de mobilité, à savoir une mobilité de montée/descente.

La structure d’assise 5, qui fait plus particulièrement l’objet de la présente invention, comprend à cet effet différents composants parmi lesquels :
- deux embases 32, 33,
- deux flasques 20, 21,
- quatre bielles 22, 23, 24, 25,
- un élément de traverse arrière 26,
- un élément de traverse avant 27.

La structure d’assise 5 conforme à l’invention est prévue pour être utilisée dans des sièges comportant aussi bien trois que deux degrés de mobilité.

Telle qu’elle est représentée sur les figures 1 à 3, cette structure d’assise 5 comporte un élément de blocage 24 spécifiquement conçu pour priver le siège de son troisième degré de mobilité.

On peut alors décrire en détail les différents composants de cette structure d’assise 5.

Il est prévu un flasque 20 à une extrémité gauche de la structure d’assise 5 et un autre flasque 21 à une extrémité droite de la structure d’assise 5. On précise que dans cette description les termes « droite » et « gauche » sont définis en référence à l’orientation ordinaire d’un siège dans un véhicule automobile.

De la même façon, il est prévu une paire de bielles 22, 24 et une embase 32 du côté gauche et une autre paire de bielles 23, 25 et une autre embase 33 du côté droit.

Comme cela est visible sur la figure 1, chaque embase 32, 33 est fixée sur le dessus de l’un des rails 34, 35. Les deux embases 32, 33 sont disposées de manière symétrique dans la structure d’assise 5 par rapport à un plan médian de cette structure d’assise 5.

Chaque flasque 20, 21 se présente sous la forme d’une paroi métallique emboutie et s’étend horizontalement et selon la direction longitudinale Y. En pratique, chaque flasque 20, 21 comprend une pluralité d’orifices 40, 48 conçus pour accueillir des moyens de fixation. Ces moyens de fixation permettent par exemple de fixer la structure de dossier 8 à la structure d’assise 5.

Chaque bielle 22, 23, 24, 25 est montée pour être mobile en rotation par rapport au flasque 20, 21 autour d’un premier axe orthogonal à la direction longitudinale Y, et pour être mobile en rotation par rapport à l’embase 32, 33 autour d’un second axe orthogonal à la direction longitudinale Y.

Les deux bielles de chaque paire (les bielles 22, 24 d’une part et 23, 25 d’autre part) sont ici orientées dans des directions parallèles, à la façon d’un parallélogramme, de façon à permettre aux flasques 20, 21 d’êtres mobiles par rapport aux embases 32, 33 selon des mouvements de translation rotative.

L’élément de traverse avant 27 est ici fixé aux extrémités avant des deux flasques 20, 21 tandis que l’élément de traverse arrière 26 est monté mobile en rotation, par ses deux extrémités, sur les extrémités arrière des deux flasques 20, 21.

Comme cela est représenté sur les figures 2 et 3, l’une des bielles, ici la bielle 22 arrière gauche, comprend une crémaillère 50.

Cette bielle 22 présente une forme allongée entre une extrémité inférieure dans laquelle est prévue une ouverture 54 pour son montage sur l’embase 32 et une extrémité haute dans laquelle est prévue une ouverture 58 pour son montage sur le flasque 20 via l’élément de traverse arrière 26 (cette ouverture 58 étant pour cela mise en parallèle de l’orifice 48 du flasque 20 afin de coopérer avec l’élément de traverse arrière 26). L’ouverture 58 est ici de forme cannelée, de manière à être couplée avec l’élément de traverse arrière 26.

La crémaillère 50 est située sur l’une des deux faces de cette bielle 22. Elle comprend une pluralité de dents 52 réparties sur un arc de cercle centré sur l’ouverture 58.

L’élément de blocage 24 est alors conçu pour verrouiller la bielle 22 par rapport au flasque 20 en une position de blocage prédéterminée. Pour cela, l’élément de blocage 24 est fixé sur le flasque 20 en position fixe.

Comme cela est représenté sur la figure 1, l’élément de blocage 24 est positionné à l’extrémité gauche de la structure d’assise 5. En d’autres termes, comme cela est visible sur la figure 2, la bielle 22 est disposée entre l’élément de blocage 24 et le flasque 20.

L’élément de blocage 24 comprend au moins un orifice de fixation 70. Ici, comme cela est représenté sur les figures 2 et 3, l’élément de blocage 24 comprend trois orifices de fixation 70. Chaque orifice de fixation 70 permet de recevoir un élément de fixation 72 (ici une vis), ce qui permet donc de fixer rigidement l’élément de blocage 24 sur le flasque 20.

L’élément de blocage 24 comprend une autre crémaillère 60 conçue pour s’engager dans la crémaillère 50 de la bielle 22. Cette autre crémaillère pourrait ne comporter qu’une dent. Toutefois, de manière préférentielle, elle comprend une pluralité de dents 62.

Comme l’élément de blocage 24 est fixé au flasque 20, sa crémaillère 60 permet alors de bloquer la mobilité de rotation de la bielle 22 par rapport à ce flasque 20.

Afin d’immobiliser la bielle 22 dans la position souhaitée lors de la mise en place de l’élément de blocage 24 sur le flasque 20, cet élément de blocage 24 est ici équipé d’un ergot 65. Cet ergot 65 est ici situé en saillie de la même face de l’élément de blocage 24 que la crémaillère 60.

La bielle 22 comprend en correspondance une ouverture 55 conçue pour recevoir l’ergot 65. Cette ouverture 55 est ici de forme allongée, par exemple de forme oblongue.

En pratique, l’ergot 65 et l’ouverture 55 sont de formes similaires, ici de forme oblongue. Comme cela est représenté sur la figure 2, l’ergot 65 présente deux parties 65A, 65B superposées. La partie inférieure 65A de l’ergot 65 a une forme et des dimensions complémentaires de celles de l’ouverture 55 de telle sorte que lorsque l’ergot 65 est introduit dans l’ouverture 55, la bielle 22 se retrouve bloquée par l’élément de blocage 24.

La partie supérieure 65B de l’ergot 65 présente une forme similaire à celle de la partie inférieure 65A mais avec des dimensions réduites par rapport à celle-ci. Cette partie supérieure 65B est destinée à venir s’appliquer sur la surface en regard du flasque 20. L’engagement de la crémaillère 50 de la bielle 22 dans l’autre crémaillère 60 de l’élément de blocage 24, l’emboitement de l’ergot 65 dans l’ouverture 55 de la bielle 22 et la fixation de l’élément de blocage 24 au flasque 20 par les éléments de fixation 72 permet ainsi de verrouiller la bielle 22 à une position de blocage prédéterminée. Cela permet alors de verrouiller la structure d’assise 5 à une hauteur prédéterminée.

La figure 4 représente schématiquement une vue en perspective d’une seconde armature 100 de siège du véhicule automobile. Les éléments communs entre l’armature 1 de siège représentée sur la figure 1 et décrite précédemment et cette seconde armature 100 de siège représentée sur la figure 4 portent les mêmes références et ne seront pas décrits à nouveau.

En pratique, ces deux armatures sont quasi-identiques. La seconde armature 100 diffère de la première en ce que sa structure d’assise 105 est dépourvue d’élément de blocage et en ce qu’elle comporte un mécanisme de rehausse 160 permettant à l’usager d’ajuster la hauteur de son siège. Cette seconde armature 100 est donc prévue pour bénéficier des trois degrés de liberté.

Dans cette configuration, les flasques 20, 21 sont montés dans la structure d’assise 105 de manière à être mobiles par rapport aux embases 32, 33. Les flasques 20, 21 sont alors adaptés à exécuter un mouvement de translation rotative entre une position haute et une position basse, ce qui permet d’autoriser un réglage selon la direction verticale Z de la structure d’assise 105 (et donc du siège).

Comme cela est visible sur les figures 4 et 5, afin de permettre ce réglage vertical, le mécanisme de rehausse 160 comprend une pièce extérieure 162 et une pièce intérieure 164.

La pièce intérieure 164 qui est mobile en rotation sur le flasque et qui comprend notamment une crémaillère permettant d’engrener la crémaillère 50 de la bielle 22 de façon à faire pivoter la bielle pour ajuster la hauteur de la structure de siège. La pièce extérieure 162 comprend notamment une molette de réglage 165 permettant de faire pivoter la pièce intérieure 164 pour ajuster la hauteur du siège. Les deux pièces extérieure 162 et intérieure 164 sont donc couplées de manière à convertir une commande effectuée sur la molette de réglage 165 en un engrènement de la crémaillère 50 associé.

En pratique, les pièces intérieure 164 et extérieure 162 sont fixées sur le flasque 20 par l’intermédiaire de vis et d’écrou, la vis traversant des orifices 40 présents sur le flasque 20.

Comme cela est visible sur la figure 4, la structure d’assise 105 comprend également un centreur 150. Ce centreur 150 est boulonné sur la pièce intérieure 164 du mécanisme de rehausse 160. Comme cela est représenté sur la figure 5, le centreur 150 coopère avec la pièce intérieure 164 du mécanisme de rehausse 160 au niveau d’une extrémité de cette pièce intérieure 164 localisée dans l’ouverture 55 de la bielle 22. Ce centreur 150 permet alors de guider le coulissement de la pièce intérieure 164 dans l’ouverture 55 de la bielle 22 lorsque le mécanisme de rehausse 160 est utilisé. En pratique, le centreur 150 joue le rôle d’un pion de guidage et permet de centrer la structure d’assise lors d’un réglage vertical du siège.

Afin de faciliter ce réglage, la structure d’assise 105 comprend également une barre de compensation 140. La barre de compensation 140 est montée dans l’élément de traverse arrière 26. Cette barre de compensation 140 coopère avec le centreur 150 à une extrémité gauche. En pratique, la barre de compensation 140 est montée pré-contrainte en torsion dans l’élément de traverse arrière 26 afin compenser en partie le poids du siège, ce qui permet de faciliter la montée du siège.

Un set de structures d’assises d’armatures de siège est ici défini comme étant composé d’une structure d’assise 5 et d’une structure d’assise 105 telles que décrites précédemment. En pratique, la transition d’une structure d’assise à une autre s’effectue en modifiant certains éléments. Plus précisément, le remplacement de l’ensemble {mécanisme de rehausse 160, centreur 150, barre de compensation 140} par l’élément de blocage 24 permet d’obtenir la structure d’assise 5 à partir de la structure d’assise 105. La transition inverse est également possible.

Selon une variante de l’invention, on aurait pu prévoir de placer l’élément de blocage au niveau d’une autre des bielles. Il s’agira de préférence d’une bielle équipée d’une crémaillère.

Claims

Structure d’assise (5) d’une armature (1) de siège, comprenant :
- au moins un flasque (20), et
- au moins une bielle (22) montée pour être mobile en rotation par rapport au flasque (20), et comprenant une crémaillère (50),
caractérisée en ce que la structure d’assise (5) comprend un élément de blocage (24) qui est adapté à être fixé en position fixe sur le flasque (20) et qui comprend une autre crémaillère (60) adaptée pour s’engager dans la crémaillère (50) de la bielle (22) afin de la bloquer dans une position de blocage prédéterminée.
Structure d’assise (5) selon la revendication 1, dans laquelle, la bielle (22) comprenant une ouverture (55), l’élément de blocage (24) comprend au moins un ergot (65) engagé dans ladite ouverture (55).
Structure d’assise (5) selon la revendication 2, dans laquelle ladite au moins une dent (62) et ledit ergot (65) font saillie d’une même face de l’élément de blocage (24).
Structure d’assise (5) selon l’une quelconque des revendications 2 et 3, dans laquelle l’ouverture (55) de la bielle (22) et l’ergot (65) de l’élément de blocage (24) sont de forme oblongue.
Structure d’assise (5) selon l’une quelconque des revendications 2 à 4, dans laquelle l’ouverture (55) de la bielle (22) présente une dimension ajustée à celle de l’ergot (65) de manière à ce que l’ergot (65) soit bloqué dans ladite ouverture (55).
Structure d’assise (5) selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, dans laquelle l’élément de blocage (24) est fixé au flasque (20) par au moins un élément de fixation (72).
Structure d’assise selon la revendication 6, dans laquelle l’élément de fixation (72) comprend une vis.
Siège comprenant une structure d’assise (5) d’une armature (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 7.
Set de deux structures d’assise (5, 105) d’armatures (1, 100) de siège, chaque structure d’assise (5, 105) comprenant :
- au moins un flasque (20),
- au moins une bielle (22) montée pour être mobile en rotation par rapport au flasque (20),
caractérisé en ce qu’une première des structures d’assise (5) comporte un élément de blocage (24) adapté à être fixé en position fixe sur le flasque (20) pour verrouiller la bielle (22) de ladite première structure d’assise (5) à une position de blocage prédéterminée, et
en ce qu’une deuxième des structures d’assise (105) comporte un mécanisme de rehausse (160) adapté à déplacer le flasque (20) de ladite deuxième structure d’assise (105) entre une position haute et une position basse.