FR3095625A1 - Embase de connexion destiné à coopérer avec des moyens d’adaptation pour former avec ceux-ci un dispositif de connexion pour un balai d’essuie-glace - Google Patents

Abstract

L’embase (1) de connexion pour un balai d’essuie-glace (10) comporte une première face (2) et est destinée à être fixée du côté de la première face (2) à des moyens d’adaptation (6) aptes à être reliés à un bras d’entraînement (7) pour former avec les moyens d’adaptation (6) un dispositif de connexion (9) dudit balai audit bras (7). Ladite embase (1) comporte sur la première face (2) un canal d’insertion central (13) présentant une forme allongée avec une première extrémité (14) et une deuxième extrémité (15), et des premiers et deuxièmes moyens de fixation (16, 17) respectivement situés sensiblement auxdites première et deuxième extrémités (14, 15) et respectivement destinés à coopérer avec des troisièmes et quatrièmes moyens de fixation (36, 37) portés par les moyens d’adaptation (6). Ladite embase (1) comporte en outre au moins une cavité d’insertion (25a, 25b) à proximité d’un côté latéral du canal d’insertion central (13). Chaque cavité (25a, 25b) est configurée pour recevoir une masse associée (34, 35) solidaire desdits moyens d’adaptation (6) et former un calage longitudinal et un calage latéral pour la masse associée (34, 35) lors de la réception de la masse associée (34, 35). Référence : figure 2

Description

Embase de connexion destiné à coopérer avec des moyens d’adaptation pour former avec ceux-ci un dispositif de connexion pour un balai d’essuie-glace

La présente invention concerne une embase de connexion destinée à coopérer avec des moyens d’adaptation pour former avec ceux-ci un dispositif de connexion pour un balai d’essuie-glace, par exemple pour véhicule automobile, des moyens d’adaptation correspondants, ainsi qu’un balai d’essuie-glace plat correspondant.

L’invention trouve une application particulièrement avantageuse mais non exclusive dans le domaine des systèmes d’essuie-glace de véhicules automobiles. Par rapport aux balais conventionnels, un balai d’essuie-glace plat présente la particularité d’être dépourvu de structure à palonniers et comporte toujours une lame d’essuyage souple et une structure flexible reliée à la lame d’essuyage.

D’une façon générale, un balai d’essuie-glace plat comporte un dispositif de connexion pour pourvoir relier une lame d’essuyage à tout bras d’entraînement de formes appropriées.

Il convient de noter qu’il existe différentes sortes de bras d’entraînement tels que les bras à crochet, les bras à axe de pivotement latéral, les bras à clipsage longitudinal, etc.

Le dispositif de connexion comporte généralement
une embase de connexion destinée à porter une lame d’essuyage, et
des moyens d’adaptation aptes à être couplés entre ladite embase de connexion et un bras d’entraînement correspondant.

Les moyens d’adaptation peuvent comporter
soit un adaptateur en une seul pièce apte à être lié de façon directe à une embase de connexion associée et à un bras d’entraînement adapté, par exemple un bras d’entraînement du type dit pivot-latéral (« side-lock type » en langue anglaise) connu de l’homme du métier,
soit un élément de connexion apte à être lié à l’embase de connexion et à recevoir au moins deux types différents d’adaptateur, et un ou plusieurs adaptateurs, chacun étant apte à relier l’embase de connexion à un bras d’entraînement correspondant.

Dans la pratique, il est possible d’utiliser un tel élément de connexion pour adapter différents types d’adaptateur de façon à associer des bras d’entraînement différents.

On connaît du document WO2008/145481 une embase de connexion et des adaptateurs appropriés pour divers types de bras d’entraînement pour attacher une lame d’essuyage.

Dans ce document, l’embase de connexion comporte d’une part des parois de butée pour recevoir une extrémité d’un adaptateur et d’autre part une paire de bras élastiques de verrouillage de l’autre extrémité de l’adaptateur.

Cependant, une telle embase de connexion risque d’être cassée de façon prématurée, notamment au niveau de bras élastiques de l’embase de connexion car ces bras élastiques sont configurés pour transmettre non seulement des forces verticales mais également des forces longitudinales imposées par un bras d’entraînement connecté à l’adaptateur lorsque l’adaptateur est en fonctionnement.

De surcroît, une telle embase de connexion est relativement encombrant et par conséquent inadaptée pour un balai d’essuie-glace plat portant deux vertèbres (« two splines » en langue anglaise).

Il existe ainsi un besoin de proposer une solution technique à faible complexité et à encombrement réduit permettant de rendre une embase de connexion plus robuste et plus polyvalente. Selon une variante de l’invention, l’embase peut également être adaptée à la fois pour un balai d’essuie-glace plat portant une vertèbre et pour un balai d’essuie-glace plat portant deux vertèbres.

Selon un aspect, il est proposé une embase de connexion pour un balai d’essuie-glace comportant une première face et destinée à être fixée du côté de la première face à des moyens d’adaptation aptes à être reliés à un bras d’entraînement pour former avec les moyens d’adaptation un dispositif de connexion du balai d’essuie-glace au bras d’entraînement.

Ladite embase de connexion comporte sur la première face un canal d’insertion central présentant une forme allongée avec une première extrémité et une deuxième extrémité, et des premiers et deuxièmes moyens de fixation respectivement situés sensiblement auxdites première et deuxième extrémités et respectivement destinés à coopérer avec des troisièmes et quatrièmes moyens de fixation portés par les moyens d’adaptation.

Ladite embase comporte en outre au moins une cavité d’insertion à proximité d’un côté latéral du canal d’insertion central, chaque cavité étant configurée pour recevoir une masse associée solidaire desdits moyens d’adaptation et former un calage longitudinal et un calage latéral pour la masse associée lors de la réception de la masse associée.

Ladite au moins une cavité d’insertion et la ou les masses associées peuvent coopérer mutuellement pour assurer avantageusement à la fois un calage longitudinal et un calage latéral de la masse associée lorsque la masse associée est reçue dans la cavité d’insertion.

De ce fait, les premiers et deuxièmes moyens de fixation de l’embase de connexion ne sont chargés que de contrôler la liberté verticale desdits moyens d’adaptation pour assurer la fixation des moyens d’adaptation lors de sa réception dans l’embase de connexion.

Par conséquent, il représente d’autant moins de risques de casse pour l’embase de connexion qu’il y a moins de mouvements imposés par le bras d’entraînement sur les premiers et deuxièmes moyens de fixation, comparativement aux bras élastiques de l’art antérieur mentionné ci-dessus.

Comme ladite au moins une cavité d’insertion peut être réalisées sous forme simple à proximité du canal d’insertion central et les premiers et deuxièmes moyens de fixation sont disposés respectivement aux première et deuxième extrémités, les largeurs latérales de l’embase de connexion et de l’adaptateur correspondant peuvent être réduites de façon à rendre l’embase et l’adaptateur plus compacts, ce qui permet avantageusement un encombrement réduit, et selon une variante de réalisation non limitative, une adaptation pour un balai d’essuie-glace plat portant deux vertèbres.

Selon un mode de réalisation, l’embase de connexion comporte deux cavités d’insertion situées respectivement à proximité d’un côté latéral du canal d’insertion central. Chaque cavité d’insertion comporte une première longueur et une première largeur, et chaque masse associée comporte une partie d’insertion destinée à être insérée dans la cavité d’insertion associée et comprend une deuxième longueur sensiblement égale à la première longueur et une deuxième largeur sensiblement égale à la première largeur.

Il convient de noter que la première longueur et la deuxième longueur, et la première largeur et la deuxième largeur sont respectivement sensiblement identiques à une tolérance près. Ladite tolérance peut par exemple être de l’ordre de 0,05 mm, ce qui permet avantageusement de former le calage longitudinal et le calage latéral pour les masses associées.

Le fait d’avoir deux cavités d’insertion situées de part et d’autre du canal d’insertion central permet de renforcer encore la robustesse de la connexion entre l’embase de connexion et l’adaptateur une fois que l’adaptateur est reçu dans l’embase de connexion.

Selon un autre mode de réalisation, les deux cavités d’insertion sont symétriques par rapport au canal d’insertion central et à proximité du centre longitudinal du canal d’insertion central.

Le canal d’insertion central peut par exemple posséder une première profondeur et chaque cavité d’insertion peut par exemple posséder une deuxième profondeur plus importante que la première profondeur.

Selon encore un autre mode de réalisation, chaque cavité d’insertion comporte une cavité traversante.

Avantageusement, la ou les masses associées peuvent avoir une ou des profondeurs plus importantes de façon à renforcer le calage longitudinal et le calage latéral pour la ou les masses associées.

A titre d’exemple non limitatif, les premiers moyens de fixation peuvent comporter sur ladite embase un pion apte à être reçu dans un logement associé des troisièmes moyens de fixation des moyens d’adaptation.

Les deuxièmes moyens de fixation peuvent par exemple comporter une paroi de blocage située à proximité de la deuxième extrémité du canal d’insertion central et un trou traversant situé dans un même plan ou au-dessous de la paroi de blocage. La paroi de blocage et le trou traversant sont destinés à recevoir un élément de blocage des quatrièmes moyens de fixation des moyens d’adaptation.

En variante, l’embase de connexion peut également comporter au niveau de chaque cavité d’insertion des moyens de fixation supplémentaires portés d’une part par les moyens d’adaptation et d’autre part par ladite embase.

Selon un autre aspect, il est proposé des moyens d’adaptation pour un balai d’essuie-glace aptes à être reliés d’une part à un bras d’entraînement et d’autre part à une embase de connexion pour former avec cette embase de connexion un dispositif de connexion dudit balai audit bras.

Les moyens d’adaptation comportent un élément de connexion comprenant une partie centrale présentant une forme allongée avec une troisième extrémité et une quatrième extrémité, et des troisièmes et quatrièmes moyens de fixation respectivement situés sensiblement auxdites troisièmes et quatrièmes extrémités et destinés à coopérer respectivement avec des premiers et des deuxièmes moyens de fixation portés par l’embase de connexion.

L’élément de connexion comporte en outre au moins une masse. Chaque masse est configurée pour être reçue dans une cavité d’insertion associée de ladite embase et être longitudinalement et latéralement en butée avec la cavité associée lors de la réception de la masse dans la cavité associée.

Selon un mode de réalisation, l’élément de connexion comporte deux masses solidaires respectivement d’un côté latéral de la partie centrale. Chaque cavité d’insertion comporte une première longueur et une première largeur et chaque masse associée comporte une partie d’insertion destinée à être insérée dans la cavité d’insertion associée et comprend une deuxième longueur sensiblement égale à la première longueur et une deuxième largeur sensiblement égale à la première largeur.

La première longueur et la première largeur peuvent par exemple être respectivement la longueur maximale et la largeur maximale de chaque cavité d’insertion. La deuxième longueur et la deuxième largeur peuvent par exemple être respectivement la longueur maximale et la largeur maximale de chaque masse associée.

Par conséquent, lorsque chaque masse associée est reçue dans la cavité d’insertion, ladite cavité peut former pour la masse associée un calage longitudinal, c’est-à-dire selon la direction de la première longueur et de la deuxième longueur, et un calage latéral, c’est-à-dire selon la direction de la première et de la deuxième largeur.

A titre indicatif mais non limitatif, l’élément de connexion peut comprendre deux masses solidaires respectivement d’un côté latéral de la partie centrale.

Les deux masses peuvent par exemple être symétriques par rapport à la partie centrale et à proximité du centre longitudinal de la partie centrale.

Selon un autre mode de réalisation, la limite basse de chaque cavité d’insertion est moins élevée que la limite basse de la partie centrale.

Comme chaque masse est solidaire d’un côté latéral, au lieu de la face inférieure de la partie centrale comme connu dans des éléments de connexion classiques, la hauteur totale de l’adaptateur peut être réduite tout en restant robuste, ce qui permet avantageusement de réduire l’encombrement de l’élément de connexion ainsi que des moyens d’adaptation.

En outre, les troisièmes moyens de fixation peuvent par exemple comporter sur la partie centrale un logement destiné à recevoir un pion associé de ladite embase.

En variante, les quatrièmes moyens de fixation peuvent par exemple comporter sur la partie centrale un élément de blocage destiné à être reçu contre une paroi de blocage et/ou un trou traversant associés de ladite embase.

Selon un autre mode de réalisation, les quatrièmes moyens de fixation comportent en outre sur la partie centrale un élément d’actionnement lié à l’élément de blocage.

Selon encore un autre mode de réalisation, l’élément de connexion comporte en outre pour chaque masse des moyens de fixation supplémentaires portés d’une part par les moyens d’adaptation et d’autre part par ladite embase de connexion.

L’élément d’actionnement peut par exemple comporter une languette élastique.

Selon un autre aspect, il est proposé un dispositif de connexion pour un balai d’essuie-glace pour véhicule automobile, comportant d’une part une embase de connexion telle que définie ci-avant et d’autre part des moyens d’adaptation tels que définis ci-dessus.

Selon encore un autre aspect, il est proposé un balai d’essuie-glace plat, comportant une lame d’essuyage portée par une embase de connexion telle que définie ci-avant.

D’autres avantages et caractéristiques de l’invention apparaîtront à l’examen de la description détaillée de modes de mise en œuvre et de réalisation, nullement limitatifs, et des dessins annexés sur lesquels :

• la [fig.1] illustre selon une vue en perspective, un bras d’entraînement ainsi qu’une embase de connexion portant une lame d’essuyage et des moyens d’adaptation conformes selon l’invention,
• la [fig.2] illustre un exemple de réalisation de l’embase de connexion et un exemple de réalisation d’un adaptateur associé,
• la [fig.3] et la [fig.4] illustrent respectivement une vue droite et une vue avant de l’adaptateur,
• la [fig.5], la [fig.6] et la [fig.7] illustrent schématiquement des étapes pour connecter un adaptateur à l’embase de connexion,
• la [fig.8] et la [fig.9] illustrent des vues en perspective d’un adaptateur pour un bras d’entraînement à crochet,
• la [fig.10] illustre une embase de connexion portant une lame d’essuyage.

Il convient de noter que les éléments identiques portent, sur toutes les figures 1 à 10, les mêmes numéros de référence.

La figure 1 illustre une embase de connexion 1 de forme allongée ayant une première face 2 et une deuxième face 3 opposée à la première face 2 et destinée à porter une lame d’essuyage 4, directement ou indirectement grâce à une structure de support.

Cette embase de connexion 1 s’adapte plus particulièrement à un balai d’essuie-glace plat 10 comme celui connu du document WO2006/069648 ou du document WO2008/145481.

Cette embase 1 est destinée à être fixée à des moyens d’adaptation 6 aptes à être liée à un bras d’entraînement 7 pour former avec ces moyens d’adaptation 6 un dispositif de connexion 9 du balai d’essuie-glace 10 au bras d’entraînement 7.

Les moyens d’adaptation 6 peuvent comporter

un élément de connexion 8, plus souvent appelé un adaptateur 8 par l’homme du métier, et

un connecteur 11 apte à relier l’élément de connexion 8 au bras d’entraînement 7.

A des fins de simplification, l’élément de connexion 8 est dénommé ci-après l’adaptateur 8, ce dernier pouvant être réalisé en une ou plusieurs pièces.

En variante, les moyens d’adaptation 6 peuvent également comporter uniquement un adaptateur 8 apte à relier directement la lame d’essuie-glace 4 au bras d’entraînement 7, notamment au bras du type à axe de pivotement latéral (« side lock » en langue anglaise) connu de l’homme du métier.

Comme on le verra plus loin dans la description, et selon une variante de réalisation, pour chaque type de bras d’entraînement, comme par exemple des bras à crochet, des bras à axe de pivotement latéral, des bras à clipsage/encliquetage longitudinal, etc., on aura un adaptateur 8 spécifique.

Cependant chacun de ces adaptateurs 8 s’adapte à la même embase 1 de connexion par une interface normalisée (« standard interface » en langue anglaise).

A titre d’exemple, on illustre dans les figures 2 à 7 un exemple d’adaptateur réalisé pour être connecté à un bras d’entraînement à encliquetage longitudinal.

Il convient de noter que, à l’état assemblé, la lame d’essuie-glace 4, l’embase de connexion 1, l’adaptateur 8 et le bras d’entraînement 7 d’un mécanisme motorisé d’essuyage fait partie d’un dispositif d’essuyage des surfaces optiques, par exemple une pare-brise ou une lunette arrière, d’un véhicule automobile.

On se réfère maintenant à la figure 2 pour illustrer un exemple de réalisation de l’embase de connexion 1 et un exemple de réalisation d’un adaptateur 8 associé.

La deuxième face 3 de l’embase 1 de connexion comporte un canal de maintien 12 traversant longitudinalement l’embase 1 et destiné à porter la lame d’essuyage 4, ici grâce à des vertèbres s’insérant de façon connue dans des crochets de l’embase 1.

L’embase 1 de connexion est destinée à recevoir sur la première face 2 l’adaptateur 8 et la première face 2 comporte un canal d’insertion central 13 présentant une forme allongée.

Le canal d’insertion central 13 comprend

une première extrémité 14,

une deuxième extrémité 15,

des premiers moyens de fixation 16 situés à proximité de la première extrémité 14, et

des deuxièmes moyens de fixation 17 situés à proximité de la deuxième extrémité 15.

Le canal d’insertion central 13 comporte une zone centrale 18 ayant une profondeur centrale 19. Le reste du canal d’insertion central 13 possède une profondeur de canal 20 est légèrement moins importante que la profondeur centrale 19.

A titre d’exemple non limitatif, les premiers moyens de fixation 16 comportent ici

un pion de fixation 21 à proximité de la première extrémité 14, et

une rayure d’insertion 22 située entre la première extrémité 14 et le pion de fixation 21 et étant perpendiculaire au canal d’insertion central 13.

Comme on le voit ci-après, le pion de fixation 21 des premiers moyens de fixation 16 est destiné à coopérer avec des troisièmes moyens de fixation associés de l’adaptateur 8.

Les deuxièmes moyens de fixation 17 comportent

une paroi de blocage 23 située à proximité de la deuxième extrémité 15 du canal d’insertion central 13, et

un trou traversant 24 situés ici par exemple au-dessous de la paroi de blocage 23, partiellement dans le canal d’insertion central 13.

Il convient de noter que le trou traversant 24 peut également être situé dans un même plan de la paroi de blocage 23.

La paroi de blocage 23 et le trou traversant 24 des deuxièmes moyens de fixation 17 sont destinés à recevoir des quatrièmes moyens de fixation portés par l’adaptateur 8.

L’embase 1 de connexion comporte en outre sur la première face 2 au moins une cavité d’insertion à proximité d’un côté latéral du canal d’insertion central 13, ici par exemple une première cavité d’insertion 25a et une deuxième cavité d’insertion 25b situées de part et d’autre du centre longitudinal du canal d’insertion central 13.

A titre indicatif mais non limitatif, les première et deuxième cavités d’insertion 25a, 25b sont ici par exemple symétriques par rapport au canal d’insertion central 13 selon la direction longitudinale du canal d’insertion central 13.

Comme illustré sur la figure 2, chaque cavité d’insertion 25a, 25b comporte une cavité traversante et les parois latérales de chaque cavité traversante comportent des godrons verticaux 26.

Chaque cavité d’insertion 25a, 25b possède

une profondeur de cavité plus importante que la profondeur centrale 19 ou la profondeur de canal 20 du canal d’insertion central 13,

une première largeur étant ici par exemple la largeur maximale de chaque cavité d’insertion 25a, 25b, et

une première longueur étant ici par exemple la longueur maximale de chaque cavité d’insertion 25a, 25b.

Chaque cavité d’insertion 25a, 25b est destinée à recevoir une masse associée de l’adaptateur 8 de façon à former à la fois un calage longitudinal et un calage latéral pour la masse associée lors de la réception de la masse associée.

En d’autres termes, une fois que les masses associées sont reçues dans les cavités d’insertion 25a, 25b, l’adaptateur 8 est privé de libertés longitudinale et latérale, aux tolérances près.

Par conséquent, les premiers et deuxième moyens de fixations 16, 17 ne sont avantageusement pas influencés par des mouvements longitudinaux et latéraux de l’embase 1 de connexion.

Autrement dit, les premiers et deuxièmes moyens de fixations 16, 17 subissent principalement des forces reliées à des tendances de mouvements verticaux de l’embase 1 de connexion, ce qui réduit avantageusement le risque de casse de l’embase 1 de connexion notamment au niveau des premiers et deuxièmes moyens de fixation 16, 17.

Avantageusement, l’embase 1 peut être réalisée d’une seule pièce en matière plastique, par exemple par injection.

L’adaptateur 8 illustré sur la figure 2 comporte

une partie centrale 31 comportant une troisième extrémité 32 et une quatrième extrémité 33,

une première masse 34,

une deuxième masse (35, on la voit pas sur la figure 2),

des troisièmes moyens de fixation 36 situés à proximité de la troisième extrémité 32, et

des quatrièmes moyens de fixation 37 situés à proximité de la quatrième extrémité 33.

La partie centrale 31 est destinée à être insérée dans le canal d’insertion central 13 de l’embase 1 de connexion.

Les première et deuxième masses 34, 35 sont ici par exemple situées de part et d’autre de la partie centrale 31. Les première et deuxième masses 34, 35 sont également respectivement solidaires d’un côté latéral de la partie centrale 31.

Afin d’être reçues par les première et deuxième cavités d’insertion 25a, 25b, les première et deuxième masses 34, 35 sont symétriques par rapport à la partie centrale 31.

Chaque masse 34 ou 35 possède une deuxième largeur et une deuxième longueur qui sont respectivement sensiblement identiques à la première largeur et à la première longueur à une tolérance près. Cette tolérance peut par exemple être 0,05mm.

Il convient de noter que la deuxième largeur et la deuxième longueur sont dans cet exemple respectivement la largeur maximale et la longueur maximale de chaque masse 34, 35.

Les troisièmes moyens de fixation 36 comportent ici par exemple un logement 38 de fixation sous forme d’un trou apte à recevoir le pion de fixation 21 des premiers moyens de fixation 16.

Les quatrièmes moyens de fixation 37 comportent ici par exemple un élément de blocage 39 apte à coopérer avec les deuxièmes moyens de fixation 17 de façon à former avec les premiers et troisièmes moyens de fixation 16, 36 un calage vertical de l’adaptateur 8. La structure détaillée de cet élément de blocage 39 est décrite plus en détails ci-après avec la figure 4.

La partie centrale 31 forme en effet une attache 40 pour un bras d’entraînement à encliquetage longitudinal. A cet effet, l’attache 40 comporte un flanc comportant une pluralité de nervures qui assurent un renforcement mécanique du flanc et une cavité traversante 41 pour recevoir selon une variante de réalisation, un axe de pivotement, notamment d’un bras d’entraînement du type dit pivot-latéral.

Il convient de noter que la partie centrale 31 possède une face inférieure dont les dimensions longitudinale et latérale sont sensiblement identiques que celles du canal d’insertion central 13.

L’adaptateur 8 décrit ci-dessus est avantageusement constitué par une même matière synthétique, par exemple plastique. Cet adaptateur 8 peut ainsi être fabriqué au cours d’une unique opération de moulage, notamment par injection.

Il convient de noter que l’adaptateur 8 ne comporte pas une plaque située au-dessous de l’attache 40 comme connue dans des arts antérieurs classiques, ce qui permet avantageusement d’avoir un encombrement réduit en une hauteur totale diminuée de l’adaptateur 8.

Les figures 3 et 4 illustrent respectivement une vue droite et une vue avant de l’adaptateur 8.

Chaque masse 34, 35 possède une partie horizontale 34h, 35h solidaire d’un côté latéral de la partie centrale 31 et une partie verticale 34v, 35v s’étendant verticalement vers le bas et destinée à être insérée dans une cavité d’insertion associée.

La limite basse de chaque partie horizontale 34h, 35h est dans un même plan que la limite basse de la partie centrale 31.

En effet, les parties horizontales 34h, 35h solidaires des côtés latéraux de la partie centrale 31 remplacent la fonctionnalité de la plaque située classiquement au-dessous de la partie centrale 31 de façon à rendre avantageusement l’adaptateur 8 plus compact avec notamment une hauteur diminuée.

A titre indicatif mais non limitatif, la hauteur totale de l’adaptateur 8 peut être diminuée de l’ordre de 6 mm grâce à l’utilisation des masses 34, 35.

Afin d’assurer une fixation longitudinale et latérale de l’adaptateur 8 sur l’embase 1 de connexion, chaque partie verticale 34, 35 comporte une deuxième largeur, qui est ici la largeur maximale de chaque partie verticale et une deuxième longueur, qui est ici la longueur maximale de chaque partie verticale.

La deuxième longueur et la deuxième largeur sont respectivement sensiblement identiques à la première longueur et à la première largeur des cavités d’insertion à une tolérance près, à savoir par exemple de 0,05 mm.

A titre d’exemple préférentiel, la deuxième largeur et la deuxième longueur sont respectivement de 3,0 mm et de 12,7 mm.

Il est également possible d’avoir au moins une fente dans la face inférieure de chaque partie verticale 34v, 35v de façon à réduire la quantité de matériau utilisée tout en maintenant la rigidité des première et deuxième masse 34, 35.

Comme on peut le voir sur la figure 3, le logement 38 est un trou traversant qui rend le flanc de l’attache 40 traversant (voir la figure 4).

Il convient de noter qu’il est également possible d’avoir dans une variante un logement 38 non traversant.

L’attache 40 comporte en outre une protubérance 42 sur un côté latéral de la partie centrale 31. L’adaptateur 8 est destiné à coopérer avec un connecteur 11 par encliquetage élastique de la protubérance 42 dans une cavité du connecteur 11.

En fonction du connecteur associé, l’adaptateur 8 peut également comporter deux protubérances ou pas du tout de protubérance.

L’adaptateur 8 comporte également des rampes 43 de la protubérance 42 de façon à faciliter le montage du connecteur 11 sur l’adaptateur 8.

L’adaptateur 8 comporte en outre des chanfreins 44 ménagés dans la face opposée de la protubérance 42. Ces chanfreins 44 délimitent le flanc de l’attache 40 et au droit desquels la cavité traversante 41 se termine.

On se réfère maintenant à la figure 4 dans laquelle on peut voir que l’élément de blocage 39 des quatrièmes moyens de fixation 37 comporte ici par exemple un crochet 45 s’étendant à partir de la limite basse de la quatrième extrémité 33 et est destiné à coopérer avec les deuxièmes moyens de fixation 17 pour former un calage vertical pour l’adaptateur 8 lors de la réception de l’adaptateur 8 dans l’embase 1 de connexion.

Les quatrièmes moyens de fixation 37 peuvent par exemple comporter en outre sur la partie centrale 31 un élément d’actionnement 46 lié à l’élément de blocage 39.

Bien qu’un tel élément d’actionnement 46 ne soit pas obligatoire pour les quatrièmes moyens de fixation 37, il est préférable de l’avoir notamment pour des balais d’essuie-glace dédiés au marché secondaire (« aftermarket » en langue anglaise) connu de l’homme du métier de façon à permettre à des consommateurs de changer facilement et librement des balais d’essuie-glace.

L’élément d’actionnement 46 peut par exemple comporter une languette élastique 46 liée à l’élément de blocage 39.

Selon une variante, il est également possible d’avoir des moyens de fixation supplémentaires tels que les troisièmes et quatrièmes moyens de fixation, pour chaque masse et pour chaque cavité d’insertion de façon à renforcer le calage vertical pour l’adaptateur 8.

Les figures 5 à 7 illustrent schématiquement des étapes pour connecter un adaptateur 8 à l’embase 1 de connexion.

Comme on le voit sur la figure 5, le pion de fixation 21 des premiers moyens de fixation 16 situé à proximité de la première extrémité 14 est introduit dans le logement 38 des troisièmes moyens de fixation 36.

Ainsi, la partie centrale 31 et les première et deuxième masses 34, 35 de l’adaptateur 8 sont respectivement guidées latéralement et longitudinalement au-dessus du canal d’insertion central 13 et des première et deuxième cavités d’insertion 25a, 25b.

Autrement dit, la partie centrale 31 et les première et deuxième masses 34, 35 sont respectivement prêtes à être insérées dans le canal d’insertion central 13, ainsi que la première et la deuxième cavités d’insertion 25a, 25b.

En poussant les quatrièmes moyens de fixation 37 vers le bas, l’élément de blocage 39, ici le crochet 45, est inséré dans le trou traversant 24 et déformé à cause de la paroi de blocage 23 (figure 6).

Si on continue à pousser les quatrièmes moyens de fixation 37 jusqu’à entendre un click, l’élément de blocage 39 est complètement inséré dans le trou traversant 24, le crochet 45 est verticalement bloqué par la paroi de blocage 23 et le pion de fixation 21 est reçu dans le logement 38. Les premiers et deuxièmes moyens de fixation 16, 17 coopèrent respectivement avec les troisièmes et quatrièmes moyens de fixation 36, 37 de façon à former donc un calage vertical pour l’adaptateur 8.

La partie centrale 31 est reçue par le canal d’insertion central 13 et les première et deuxième masses 34, 35 sont respectivement insérées dans les première et deuxième cavités d’insertion associées 25a, 25b.

Le fait que la première largeur et la première longueur de chaque cavité d’insertion 25a, 25b soient sensiblement identiques à la deuxième largeur et à la deuxième longueur de chaque masse 34, 35, forme des calages longitudinaux et latéraux pour l’adaptateur 8, ce qui diminue le risque de casse des quatre moyens de fixation 16, 17, 36, 37.

Par ailleurs, comme les première et deuxième masses 34, 35 sont formées à partir des côtés latéraux de la partie centrale 31 de l’adaptateur au lieu d’une plaque située au-dessous de la partie centrale 31, la hauteur totale de l’adaptateur 8 est diminuée tout en gardant la robustesse de l’adaptateur 8.

Comme illustré sur la figure 7, afin de retirer l’adaptateur 8 de l’embase 1 de connexion, il suffit d’appuyer sur la languette élastique 46 de façon à faire déformer l’élément de blocage 39 vers les première et deuxième masses 34, 35. Lorsque le crochet 45 n’est plus situé au-dessous de la paroi de blocage 23, l’adaptateur 8 récupère de nouveau la liberté verticale dans la quatrième extrémité 4.

Par conséquent, on peut sortir l’adaptateur 8 en tirant l’adaptateur 8 premièrement vers le haut et puis vers l’arrière.

De surcroît, grâce à leur encombrement réduit, l’adaptateur 8 et l’embase 1 de connexion sont également adaptés pour des balais d’essuie-glace ayant deux vertèbres (« splines » en langue anglaise).

Sur les figures 8 et 9 sont montrées des vues en perspective d’un adaptateur 8 pour un bras d’entraînement à crochet. Ce genre d’adaptateur 8 comporte particulièrement une structure d’attache 50 adaptée pour coopérer avec ce type de bras d’entraînement.

En outre, on voit sur la figure 9 que la partie centrale 31 de l’adaptateur 8 comporte une zone centrale 51 sous forme d’un trou traversant. Les première et deuxième masses 34, 35 sont respectivement formées à partir d’un côté latéral de cette zone centrale 51.

Il convient de noter que l’adaptateur 8 est configuré pour coopérer avec un capot articulé (non représenté) qui se fixe de manière connue de l'homme du métier à l'avant de l’adaptateur 8.

On comprend que l’embase de connexion selon l’invention présente une interface de connexion compacte avec des adaptateurs polyvalents ayant une hauteur totale diminuée et permettant un encombrement réduit tout en fournissant une meilleure fiabilité lors du balayage.

La figure 10 illustre une embase 1 de connexion portant une lame d’essuyage plate 4 comme par exemple celle décrite dans le document WO2006/069648 ou WO2008/145481.

On a également représenté les trois types adaptateurs 8 des figures précédentes qui s’adaptent directement ou par l’intermédiaire de connecteurs à des divers types de bras d’entraînement 7 représentés sur une ligne en haut de la figure 10, à savoir de gauche à droite : trois bras différents à clipsage/encliquetage longitudinal, un bras à crochet et un bras à axe de pivotement latéral, bien connus de l’homme du métier.

Ainsi, les lames d’essuyage avec les embases de connexion 1 peuvent être fabriquées comme des pièces standardisées qui s’emploient avec tous les types de bras d’actionnement.

La description qui précède explique clairement comment l’invention permet d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés et notamment de proposer une embase de connexion plus robuste, à encombrement réduit et ayant une hauteur totale diminuée.

En tout état de cause, l’invention ne saurait pas se limiter aux modes de réalisation spécifiquement décrits ci-avant dans ce document, et s’étend en particulier à tous moyens équivalents et à toute combinaison techniquement opérante de ces moyens.

Claims (10)

1. Embase (1) de connexion pour un balai d’essuie-glace (10) comportant une première face (2) et destinée à être fixée du côté de la première face (2) à des moyens d’adaptation (6) aptes à être reliés à un bras d’entraînement (7) pour former avec les moyens d’adaptation (6) un dispositif de connexion (9) dudit balai audit bras (7), ladite embase (1) comportant sur la première face (2) un canal d’insertion central (13) présentant une forme allongée avec une première extrémité (14) et une deuxième extrémité (15), et des premiers et deuxièmes moyens de fixation (16, 17) respectivement situés sensiblement auxdites première et deuxième extrémités (14, 15) et respectivement destinés à coopérer avec des troisièmes et quatrièmes moyens de fixation (36, 37) portés par les moyens d’adaptation (6), ladite embase (1) comportant en outre au moins une cavité d’insertion (25a, 25b) à proximité d’un côté latéral du canal d’insertion central (13), chaque cavité (25a, 25b) étant configurée pour recevoir une masse associée (34, 35) solidaire desdits moyens d’adaptation (6) et former un calage longitudinal et un calage latéral pour la masse associée (34, 35) lors de la réception de la masse associée (34, 35).
2. Embase (1) de connexion selon la revendication 1, comportant deux cavités d’insertion (25a, 25b) situées respectivement à proximité d’un côté latéral du canal d’insertion central (13), chaque cavité d’insertion (25a, 25b) comportant une première longueur et une première largeur, et chaque masse associée (34, 35) comportant une partie d’insertion (34v, 35v) destinée à être insérée dans la cavité d’insertion associée (25a, 25b) et comprenant une deuxième longueur sensiblement égale à la première longueur et une deuxième largeur sensiblement égale à la première largeur.
3. Embase (1) de connexion selon la revendication 2, dans laquelle les deux cavités d’insertion (25a, 25b) sont symétriques par rapport au canal d’insertion central (13) et à proximité du centre longitudinal du canal d’insertion central (13).
4. Embase (1) de connexion selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans laquelle le canal d’insertion central (13) possède une première profondeur et chaque cavité d’insertion (25a ,25b) possède une deuxième profondeur plus importante que la première profondeur.
5. Embase (1) de connexion selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans laquelle chaque cavité d’insertion (25a, 25b) comporte une cavité traversante.
6. Moyens d’adaptation (6) pour un balai d’essuie-glace (10) aptes à être reliés d’une part à un bras d’entraînement (7) et d’autre part à une embase (1) de connexion pour former avec cette embase (1) de connexion un dispositif de connexion (9) dudit balai audit bras (7), les moyens d’adaptation comportant un élément de connexion (8) comprenant une partie centrale (31) présentant une forme allongée avec une troisième extrémité (32) et une quatrième extrémité (33), et des troisièmes et quatrièmes moyens de fixations (36, 37) respectivement situés sensiblement auxdites troisièmes et quatrièmes extrémités (32, 33) et destinés à coopérer respectivement avec des premiers et des deuxièmes moyens de fixation (16, 17) portés par l’embase (1) de connexion, l’élément de connexion (8) comportant en outre au moins une masse (34, 35), chaque masse (34, 35) étant configurée pour être reçue dans une cavité d’insertion (25a, 25b) associée de ladite embase (1) et être longitudinalement et latéralement en butée avec la cavité (25a, 25b) associée lors de la réception de la masse (34, 35) dans la cavité associée (25a, 25b).
7. Moyens d’adaptation (6) selon la revendication 6, comportant deux masses (34, 35) solidaires respectivement d’un côté latéral de la partie centrale (31), chaque cavité d’insertion (25a, 25b) comportant une première longueur et une première largeur, et chaque masse (34, 35) associée comportant une partie d’insertion (34v, 35v) destinée à être insérée dans la cavité d’insertion (25a, 25b) associée et comprenant une deuxième longueur sensiblement égale à la première longueur et une deuxième largeur sensiblement égale à la première largeur.
8. Moyens d’adaptation (6) selon la revendication 7, dans lesquels la limite basse de chaque partie d’insertion (34v, 35v) est moins élevée que la limite basse de la partie centrale (31).
9. Dispositif de connexion pour un balai d’essuie-glace (10) pour véhicule automobile, comportant d’une part une embase (1) de connexion selon l’une quelconque des revendications 1 à 5 et d’autre part des moyens d’adaptation (6) selon l’une quelconque des revendications 6 à 8.
10. Balai d’essuie-glace plat, comportant une lame d’essuyage (3) portée par une embase (1) de connexion selon l’une quelconque des revendications 1 à 5.