FR3060101B1 - Dispositif de connexion de luminaire - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif de connexion de luminaire (1000) comprenant : - un corps de boîte (100) à encastrer qui délimite un espace intérieur (110) fermé à l'arrière et ouvert à l'avant, et - un élément axial (150) qui s'étend dans l'espace intérieur entre l'arrière et l'avant du corps de boîte, et qui comporte des moyens de réception et de fixation, par l'avant du corps de boîte, d'un élément longitudinal (12). Selon l'invention, lesdits moyens de réception et de fixation sont aménagés pour recevoir une portion (5B) d'une partie d'extrémité libre (5A) d'un câble de maintien (5) qui entre dans ledit espace intérieur via un premier passage (350) prévu à l'arrière dudit dispositif de connexion, de sorte que ledit élément longitudinal est adapté à agir sur ladite portion de ladite partie d'extrémité libre du câble de maintien pour bloquer la position dudit corps de boîte sur ledit câble de maintien.

Description

Domaine technique auquel se rapporte l'invention

La présente invention concerne de manière générale le domaine de la connexion de luminaire à une paroi de plafond.

Elle concerne en particulier un dispositif de connexion de luminaire comprenant : - un corps de boîte à encastrer qui délimite un espace intérieur fermé à l’arrière et ouvert à l’avant, et - un élément axial qui s’étend dans l’espace intérieur entre l’arrière et l’avant du corps de boîte, et qui comporte des moyens de réception et de fixation, par l’avant du corps de boîte, d’un élément longitudinal.

Arriere-plan technologique

Les dispositifs de connexion de luminaire connus à ce jour, appelés communément DCL, comportent un boîtier recevant des fils électriques pour l’alimentation électrique d’un luminaire et un crochet rapporté sur le boîtier pour l’accrochage d’un luminaire.

Le boîtier est adapté, d’une part, à être encastré dans une paroi de plafond, et, d’autre part, à être sécurisé au plafond par l’intermédiaire d’un câble de maintien.

Le câble de maintien forme une liaison de reprise de charge entre le boîtier et un élément fixe de bâti tel qu’une poutre auquel le câble est relié.

En général, le câble de maintien est fixé à l’arrière du boîtier préalablement à l’encastrement dudit boîtier dans la paroi de plafond.

Ainsi, une fois le boîtier encastré dans la paroi de plafond, le câble de maintien n’est plus accessible à l’utilisateur qu’en démontant le boîtier de la paroi de plafond, ou en passant par les combles pour accéder à l’arrière du boîtier, de sorte qu’il est difficile d’ajuster la position du boîtier par rapport au câble de maintien.

On connaît des documents FR2965419 et FR2932248, deux dispositifs de connexion de luminaire comportant chacun un système de déblocage du câble accessible à l’utilisateur depuis l’avant du boîtier.

Dans le dispositif selon le document FR2965419, le système de déblocage du câble comprend un organe de manœuvre adapté à agir sur un ressort de rappel élastique dont une première position correspond au blocage du câble et une deuxième position correspond au déblocage du câble, ledit organe de manœuvre étant accessible à l’utilisateur depuis l’avant du boîtier.

Dans ce dispositif, le système de déblocage du câble nécessite de nombreuses pièces agencées les unes par rapport aux autres, ce qui rend le dispositif de connexion et sa fabrication complexes.

Dans le dispositif selon le document FR2932248, le système de déblocage du câble est disposé à l’arrière du boîtier. Il est actionnable par l’utilisateur depuis l’avant du boîtier en utilisant un outil spécifique insérable dans une ouverture du boîtier prévue à cet effet.

Dans ce dispositif, le système de déblocage du câble nécessite l’utilisation d’un outil spécifique qui peut être perdu par l’utilisateur, et requiert de travailler à l’aveugle à l’arrière du boîtier monté dans la paroi de plafond.

Objet de l’invention

Afin de remédier aux inconvénients précités de l’état de la technique, la présente invention propose un dispositif de connexion de luminaire simple à fabriquer, permettant d’accéder au câble de maintien depuis l’avant dudit dispositif de connexion, sans avoir à démonter ledit dispositif de connexion de la paroi de plafond, et sans utiliser d’outils spécifiques.

Plus particulièrement, on propose selon l’invention un dispositif de connexion de luminaire tel que décrit en introduction, dans lequel lesdits moyens de réception et de fixation sont aménagés pour recevoir une portion d’une partie d’extrémité libre d’un câble de maintien qui entre dans ledit espace intérieur via un premier passage prévu à l’arrière dudit dispositif de connexion, de sorte que ledit élément longitudinal est adapté à agir sur ladite portion de ladite partie d’extrémité libre du câble de maintien pour bloquer la position dudit corps de boîte sur ledit câble de maintien.

Ainsi, grâce à l’invention, le corps de boîte est maintenu en position sur ledit câble de maintien grâce audit élément longitudinal fixé dans lesdits moyens de réception et de fixation de l’élément axial. L’élément longitudinal est accessible à l’utilisateur par l’avant du dispositif de connexion et son démontage permet de débloquer le corps de boîte par rapport au câble de maintien.

Il est par conséquent aisé pour un utilisateur de modifier la position du corps de boîte sur ledit câble de maintien, en agissant directement sur l’élément longitudinal.

Avantageusement, on utilise pour le blocage du câble de maintien des moyens existants du dispositif de connexion pouvant servir à l’accrochage du luminaire. D’autres caractéristiques non limitatives et avantageuses du dispositif de connexion conforme à l’invention sont les suivantes : - lesdits moyens de réception et de fixation comportent un fourreau présentant un logement axial dont une embouchure débouche à l’avant dudit corps de boîte pour recevoir ledit élément longitudinal, ledit fourreau étant en outre agencé pour recevoir ladite portion de ladite partie d’extrémité libre du câble de maintien dans ledit logement axial ; - ledit fourreau est agencé pour recevoir ladite portion de la partie d’extrémité libre du câble de maintien selon une direction parallèle à l’axe dudit logement axial ; - ledit fourreau comporte une face interne délimitant ledit logement axial, et il est prévu en creux de ladite face interne au moins une rainure axiale s’étendant au moins sur une partie de la longueur dudit logement axial ; - il est prévu à l’embouchure avant dudit logement axial au moins une encoche de retenue dudit câble de maintien ; - il est prévu à proximité de l’embouchure avant dudit logement axial, au moins une bride de retenue du câble de maintien ; - ledit fourreau comporte deux ouvertures traversantes en vis-à-vis l’une de l’autre de sorte qu’il est agencé pour recevoir ladite portion de la partie d’extrémité libre du câble de maintien selon une direction transversale à l’axe dudit logement axial ; - il est prévu un élément de retenue rapporté sur ledit fourreau pour serrer une autre portion de ladite partie d’extrémité libre du câble de maintien s’étendant à l’extérieur dudit logement axial ; - l’élément axial est rapporté au travers d’une ouverture prévue dans une paroi de fond dudit corps de boîte ; - ledit premier passage appartient à une partie de montage du corps de l’élément axial sur le corps de boîte ; - ledit premier passage est obturé par une membrane d’étanchéité souple, transperçable ; - l’élément axial est intégré au socle d’un module de connexion électrique rapporté dans ledit espace intérieur par l’avant dudit corps de boîte ; - ledit premier passage appartient à une paroi de fond dudit corps de boîte ; - il est prévu un deuxième passage à l’arrière dudit dispositif de connexion pour la sortie de ladite partie d’extrémité libre du câble de maintien depuis l’espace intérieur vers l’extérieur dudit corps de boîte, ledit deuxième passage appartenant à une paroi de fond dudit corps de boîte ; -il est prévu un deuxième passage à l’arrière dudit dispositif de connexion pour la sortie de ladite partie d’extrémité libre du câble de maintien depuis l’espace intérieur vers l’extérieur dudit corps de boîte, ledit deuxième passage appartenant à une partie de montage du corps de l’élément axial sur le corps de boîte ; - le logement axial du fourreau est adapté à recevoir les filets d’un filetage de l’élément longitudinal ; - il est prévu dans ledit logement axial du fourreau une rampe de fixation quart de tour d’un élément de fixation quart de tour de l’élément longitudinal ; - l’élément longitudinal constitue une partie longitudinale du corps d’un crochet prévu pour l’accrochage d’un luminaire ; et - le corps dudit crochet comprend une partie recourbée articulée à pivotement sur ladite partie longitudinale.

Description detaillee d’un exemple de réalisation

La description qui va suivre en regard des dessins annexés, donnés à titre d’exemples non limitatifs, fera bien comprendre en quoi consiste l’invention et comment elle peut être réalisée.

Sur les dessins annexés : - la figure 1 est une vue schématique en coupe axiale partiellement éclatée d’un premier mode de réalisation d’un dispositif de connexion de luminaire selon l’invention, encastré dans une paroi de plafond, recevant un câble de maintien, dans laquelle l’élément longitudinal n’a pas été représenté ; - la figure 2 est une vue schématique en coupe axiale assemblée du dispositif de la figure 1, encastré dans la paroi de plafond et recevant le câble de maintien ; - la figure 3 est une vue schématique en perspective de trois quart partiellement éclatée du dispositif de connexion de luminaire de la figure 1 représenté sous un angle différent ; - la figure 4 est une vue en perspective de l’élément axial du dispositif de connexion de luminaire de la figure 1 ; - la figure 5 est une vue arrachée en perspective de l’élément axial de la figure 4 ; - la figure 6 est une vue en coupe axiale partiellement éclatée d’une variante de réalisation du dispositif de la figure 1 dans laquelle le couvercle et l’élément longitudinal n’ont pas été représentés ; - la figure 7 est une vue en perspective de dessus de l’élément de retenue du dispositif de connexion de luminaire de la figure 6 ; - la figure 8 est une vue en coupe axiale du dispositif de connexion de luminaire de la figure 6 encastré dans une paroi de plafond et recevant un câble de maintien ; - la figure 9 est une vue en loupe de la zone B de la figure 8 ; - la figure 10 est une vue en perspective de l’élément axial du dispositif de connexion de luminaire de la figure 6 ; - la figure 11 est une vue arrière de l’élément axial de la figure 10 ; - la figure 12 est une vue en coupe selon le plan E-E de l’élément axial de la figure 11 ; - la figure 13 est une vue en coupe axiale partiellement éclatée d’un autre mode de réalisation d’un dispositif de connexion de luminaire selon l’invention, encastré dans une paroi de plafond, recevant un câble de maintien, dans laquelle le couvercle et l’élément longitudinal n’ont pas été représentés ; - la figure 14 est une vue en coupe axiale assemblée du dispositif de connexion de luminaire de la figure 13 encastré dans une paroi de plafond et recevant le câble de maintien, dans laquelle le couvercle n’a pas été représenté ; - la figure 15 est une vue en loupe de détail de l’élément axial du dispositif de connexion de luminaire de la figure 14 ; - la figure 16 est une vue avant de l’élément axial du dispositif de connexion de la figure 14 ; - la figure 17 est une vue en perspective avant d’une variante de réalisation du dispositif de la figure 13, recevant un câble de maintien, dans charge qui sécurise le DCL 2000 dans la paroi de plafond 1.

Classiquement, comme le montrent les figures 2 et 14, le corps de boîte 100; 200 (qui sera décrit en détail ultérieurement) délimite un espace intérieur 110; 210, fermé à l’arrière et ouvert à l’avant. Le couvercle 130; 230 vient recouvrir l’ouverture avant du corps de boîte 110; 210 pour fermer l’espace intérieur 110; 210 et réaliser une finition apparente du DCL 1000; 2000 (voir figures 2 et 20). L’espace intérieur 110; 210 loge généralement les éléments de connexion servant à l’alimentation électrique du luminaire (non représenté). Ces éléments de connexion (décrits plus en détail ultérieurement, en référence aux divers modes de réalisation de l’invention) sont alimentés en courant directement ou indirectement via des conducteurs électriques provenant du réseau d’alimentation électrique. Ces conducteurs électriques circulent usuellement dans des gaines courant à l’arrière de la paroi de plafond 1.

Les éléments de connexion du DCL 1000; 2000 sont accessibles à l’intérieur d’un puits 137 ; 237 qui débouche sur la face avant 130B ; 230B du couvercle 130 ; 230 du DCL 1000 ; 2000 pour recevoir une fiche de connexion du luminaire non représentée (voir figures 4 et 20). L’espace intérieur 110 ; 210 du corps de boîte 100 ; 200 du DCL 1000 ; 2000 enferme également un élément axial 150; 160; 250; 260, réalisé généralement en matériau plastique rigide, qui s’étend entre l’arrière et l’avant du corps de boîte 100 ; 200 et qui sert au montage d’un élément longitudinal 12 ; 22 rapporté par l’avant du DCL 1000 ; 2000 au travers du couvercle 130 ; 230 (voir figures 2, 8, 14 et 17). L’élément longitudinal 12 ; 22 forme ici la partie longitudinale d’un crochet 10; 20 de fixation d’un luminaire mais il pourrait s’agir du corps fileté d’une vis ou tout autre élément de verrouillage du couvercle 130 ; 230. L’élément axial 150; 160; 250; 260 comprend alors des moyens de réception et de fixation de l’élément longitudinal 12 ; 22.

Selon une caractéristique particulièrement remarquable du DCL 1000 ; 2000 selon l’invention, lesdits moyens de réception et de fixation prévus sur l’élément axial 150 ; 160 ; 250 ; 260 sont aménagés pour recevoir une portion 5B d’une partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 qui entre dans ledit espace intérieur 110 ; 210 via un premier passage 350 ; 360 ; 450 prévu à l’arrière du DCL 1000 ; 2000, de sorte que ledit élément longitudinal 12 ; 22 est adapté à agir sur ladite portion 5B de ladite partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 pour bloquer la position dudit corps de boîte 100; 200 sur ledit câble de maintien 5.

Plus précisément, le DCL 1000, représenté sur les figures 1 à 12, comprend un corps de boîte 100 tout à fait classique qui présente une forme générale cylindrique.

Comme le montrent les figures 1, 2, 3, 6 et 8, ce corps de boîte 100 comprend une paroi latérale 101 tubulaire de révolution autour d’un axe central AZ.

Cette paroi latérale 101 est fermée à l’arrière par une paroi de fond 102 et ouverte à l’avant. Elle délimite ainsi l’espace intérieur 110.

La paroi latérale 101 du corps de boîte 100 est par ailleurs bordée à l’avant par un trottoir 103 adapté à prendre appui contre la face avant de la paroi de plafond 1 lorsque le corps de boîte 100 est inséré dans la cavité 2 (voir figure 2).

Pour la fixation du corps de boîte 100 à la paroi de plafond 1, la paroi latérale 101 comporte sur sa face externe deux renfoncements 122 diamétralement opposés et accueillant des griffes 121 de fixation en appui contre une rampe 125 prévue au fond des renforcements 122 (voir figure 2). Chaque griffe 121 de fixation est manœuvrable le long de la rampe 125 par un utilisateur à l’aide d’une vis 123 insérée dans un puits de vissage 124 (voir figures 1 et 2).

Plus précisément, chaque griffe 121 est manœuvrable entre une position dans laquelle ladite griffe 121 est rétractée dans ledit renfoncement 122, en retrait de la face externe de la paroi latérale 101 du corps de boîte 100 afin de permettre l’insertion de ce dernier dans la cavité 2, et une position de fixation dans laquelle ladite griffe 121 est sortie en saillie de la face externe de la paroi latérale 101 du corps de boîte 100 inséré dans ladite cavité 2, en appui contre la face arrière de la paroi de plafond 1.

Lorsque les griffes 121 de fixation adoptent leur position de fixation, la paroi de plafond 1 est prise en sandwich entre les griffes 121 et le trottoir 103 du corps de boîte 100 de sorte que ce dernier est fixé dans cette paroi de plafond 1.

Tel que représenté sur les figures 1, 2, 3, 6 et 8, le corps de boîte 100 comporte classiquement des ouvertures 107 qui s’étendent sur la paroi latérale 101 et la paroi de fond 102. Ces ouvertures 107 sont fermées par des opercules 108 détachables ou déchirables. Chaque opercule 108, en matériau plastique souple, incorpore une languette 109 sur laquelle un utilisateur peut tirer pour détacher ou déchirer ledit opercule 108 du reste du corps de boîte 100 afin d’ouvrir une ouverture 107 et insérer au travers une gaine électrique (non représentée) dans l’espace intérieur 110.

Comme le montre plus particulièrement la figure 2, l’espace intérieur 110 du corps de boîte 100 du DCL 1000, loge un bornier 135 comportant une pluralité de bornes de connexion 136. Ce bornier 135 appartient à un socle solidaire de la face interne 130A du couvercle 130. Les bornes de connexion 136 sont accessibles aux éléments de connexion d’une fiche d’un luminaire (non représenté) au fond du puits 137 prévu dans ledit socle et débouchant sur la face avant 130B du couvercle 130 (voir figure 3).

Le bornier 135 est alimenté en courant par des fils électriques extraits d’une gaine électrique insérée dans l’espace intérieur 110 au travers d’une ouverture 107 du corps de boîte 100 du DCL 1000.

Comme le montrent les figures 1 et 2, la paroi de fond 102 du corps de boîte 100 comporte une ouverture 104 adaptée à recevoir l’élément axial 150 ; 160 rapporté sur celui-ci.

Cette ouverture 104 est ici globalement centrée sur l’axe central AZ du corps de boîte 100. L’élément axial 150 ; 160 rapporté sur le corps de boîte 100 s’étend alors selon l’axe central AZ du corps de boîte 100.

Comme le montrent plus précisément les figures 4, 5, 10, 11 et 12, l’élément axial 150 ; 160 comprend un corps 170 ; 180 formant, à l’arrière, une partie de montage 171 ; 181 de l’élément axial 150 ; 160 dans le corps de boîte 100, et, à l’avant, un fourreau 172 ; 182 constituant lesdits moyens de réception et de fixation de l’élément longitudinal 12 ; 22.

Plus précisément, la partie de montage 171 ; 181 de l’élément axial 150 ; 160 comprend une collerette 171A ; 181A destinée à venir en appui contre la face externe de la paroi de fond 102 du corps de boîte 100 lorsque l’élément axial 150 ; 160 est inséré au travers de l’ouverture 104.

La partie de montage 171 ; 181 comprend par ailleurs deux anses de préhension 171B ; 181B pour faciliter l’insertion de l’élément axial 150 ; 160 à travers l’ouverture 104.

Cette partie de montage 171 ; 181 est prolongée à l’avant par le fourreau 172 ; 182 qui présente une forme globalement cylindrique.

Le fourreau 172 ; 182 comprend un corps creux 173 ; 183 délimitant intérieurement un logement axial 175 ; 185, également de forme globalement cylindrique, qui s’étend selon l’axe central AZ du corps de boîte 100 (voir figures 1 et 8).

Ce logement axial 175 ; 185 présente un fond 175B ; 185B qui sépare ladite partie de montage 171 ; 181 dudit fourreau 172 ; 182, et, à l’opposé du fond 175B ; 185B, une embouchure 175A ; 185A qui débouche à l’avant dudit corps de boîte 100 pour recevoir l’élément longitudinal 12 (voir figures 1,4, 5, 8 et 9).

Comme le montrent les figures 2, 8 et 21, l’élément longitudinal forme ici la partie longitudinale 12 d’un crochet 10 qui comprend une partie recourbée 11 servant à l’accrochage du luminaire (non représenté).

Le logement axial 175 ; 185 présente alors un diamètre interne égal, au jeu près, au diamètre externe de la partie longitudinale 12 du crochet 10.

Comme le montrent les figures 1, 2, 5, 6, 8 et 12, la face interne 173A ; 183A du corps creux 173 ; 183 du fourreau 172 ; 182 (qui délimite le logement axial 175 ; 185) est adaptée à recevoir les filets 14 auto-taraudant d’un filetage porté par la face externe de la partie longitudinale 12 du crochet 10 (représenté sur la figure 21). Le vissage desdits filets 14 auto-taraudant dans le logement axial 175; 185 taraude ladite face interne 173A ; 183A, de sorte que cette dernière coopère avec lesdits filets 14.

Comme le montrent les figures 2 et 8, le logement axial 175 ; 185 de l’élément axial 150 ; 160 étant centré sur l’axe central AZ du corps de boîte 100, la partie longitudinale 12 du crochet 10 fixé dans l’élément axial 150 ; 160 est alors elle-même centrée sur l’axe central AZ du corps de boîte 100 et la partie recourbée 11 du crochet 10 est alors placée au centre du DCL 1000 pour l’accrochage du luminaire (non représenté).

Comme le montrent les figures 5 et 6, la face externe 173B ; 183B du corps creux 173 ; 183 du fourreau 172 ; 182 porte des crans 177 ; 187 destinés à la fixation du couvercle 130 sur le corps de boîte 100.

En correspondance, le couvercle 130 porte sur sa face arrière 130A un manchon 131 adapté à être emmanché sur le fourreau 172 ; 182 de l’élément axial 150 ; 160 (voir figure 1).

Le manchon 131 s’étend globalement selon l’axe central AZ du corps de boîte 100.

Ce manchon 131 est terminé à l’arrière par des dents 132 venant en prise sur lesdits crans 177 ; 187 de la face externe 173B ; 183B du corps creux 173; 183 du fourreau 172; 182 lorsque le couvercle 130 est rapporté sur l’ouverture avant du corps de boîte 100 (voir figure 2).

Le couvercle 130 comprend par ailleurs une ouverture centrale 134 débouchant dans ledit manchon 131 et à travers laquelle peut être inséré par la face avant 130B, la partie longitudinale 12 du crochet 10, lorsque le couvercle 130 est rapporté sur le corps de boîte 100, de telle sorte que le filet 14 du filetage de ladite partie longitudinale 12 du crochet 10 soit vissé dans le logement axial 175 ; 185 du fourreau 172 ; 182 (voir figures 2 et 8).

De manière avantageuse, selon les modes de réalisation représentés sur les figures 1 à 12, le premier passage 350 ; 360 destiné à l’entrée de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 dans l’espace intérieur 110 du corps de boîte 100 appartient à la partie de montage 171 ; 181 du corps 170 ; 180 de l’élément axial 150 ; 160 sur le corps de boîte 100 (voir figures 1 et 6).

Plus précisément, selon le premier mode de réalisation, tel que représenté sur les figures 1 et 2, le premier passage 350 est formé par une ouverture centrale s’étendant selon l’axe central AZ et traversant de part en part la partie de montage 171 pour déboucher dans le logement axial 175 du fourreau 172.

Comme montrent les figures 1,2 et 5, le débouché du premier passage 350 est avantageusement obturé par une membrane d’étanchéité 351 souple transperçable. Elle est réalisée préférentiellement en SEBS.

Selon ce premier mode de réalisation, le fourreau 172 est agencé pour recevoir ladite portion 5B de ladite partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 dans ledit logement axial 175 selon une direction parallèle à l’axe dudit logement axial 175 (voir figures 1 et 2).

Ainsi, la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 formant une boucle autour d’une poutre 6 de bâti peut être insérée depuis l’extérieur du corps de boîte 100 vers l’espace intérieur 110 via le premier passage 350 prévu dans la partie de montage 171 du corps 170 de l’élément axial 150. La partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 transperce la membrane d’étanchéité 351 et court alors longitudinalement dans le logement axial 175 du fourreau 172 pour déboucher dans l’espace intérieur 110 via l’embouchure 175A du logement axial 175 (voir figure 1).

Puis, lorsque la partie longitudinale 12 du crochet 10 est insérée dans le logement axial 175 du fourreau 172, elle comprime la portion 5B du câble de maintien 5 contre la face interne 173A du corps creux 173 du fourreau 172 (voir figure 2).

Avantageusement, comme le montre en détail la figure 5, il est ici prévu, en creux de la face interne 173A du corps creux 173 du fourreau 172, quatre rainures axiales 179 qui s’étendent sur toute la longueur dudit logement axial 175 et qui sont réparties autour de l’axe dudit logement axial 175.

Ces rainures 179 présentent une dimension sensiblement équivalente, et préférentiellement inférieure, au diamètre externe du câble de maintien 5 de sorte qu’elles sont adaptées à recevoir ladite portion 5B de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 qui court dans une des quatre rainures 179 pour déboucher à l’embouchure 175A dudit logement axial 175.

Avantageusement, les filets 14 du filetage de la partie longitudinale 12 du crochet 10 vissés dans ledit logement axial 175, compriment la portion 5B de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 dans une des rainures 179 sans entamer ni cisailler ledit câble de maintien 5, de manière à bloquer la position du corps de boîte 100 sur le câble de maintien 5.

Bien entendu, selon une variante non représentée, on pourrait prévoir que lesdites rainures ne s’étendent que sur une partie de la longueur du logement axial.

En outre, on pourrait prévoir une seule rainure sur la face interne du corps creux du fourreau.

Enfin, on pourrait envisager que le corps creux du fourreau soit réalisé en un matériau déformable de sorte que malgré le diamètre restreint du logement axial, ce dernier puisse recevoir à la fois la portion de la partie d’extrémité libre du câble de maintien et la partie longitudinale du crochet de telle manière que la fixation de la partie longitudinale du crochet dans le logement axial dudit élément axial entraîne le coincement dudit câble de maintien dans ledit logement axial.

Comme le montrent les figures 1 et 3, le manchon 131 du couvercle 130 laquelle le couvercle et l’élément longitudinal n’ont pas été représentés ; - la figure 18 est une vue en perspective de l’élément longitudinal du dispositif de connexion de luminaire de la figure 17 ; - la figure 19 est une vue partielle arrière du dispositif de connexion de luminaire de la figure 17, dans laquelle l’élément longitudinal est en position de blocage ; - la figure 20 est une vue globale du dispositif de connexion de luminaire de la figure 13 monté dans la paroi de plafond et recevant le câble de maintien formant une boucle autour d’une poutre de bâti ; et - la figure 21 est une vue en perspective d’un élément longitudinal d’un dispositif de connexion de luminaire selon l’invention.

Par convention, dans la suite de la description, les termes « avant » et « arrière » seront définis par rapport au regard d’un utilisateur tourné vers le dispositif de connexion de luminaire encastré dans une paroi de plafond. Ainsi le terme « avant » désignera le côté du dispositif de connexion de luminaire, tourné vers l’utilisateur et le terme « arrière » celui tourné à l’opposé de l’utilisateur.

Sur les figures 1 à 20 on a représenté plusieurs modes de réalisation d’un dispositif de connexion de luminaire 1000; 2000 selon l’invention. Un tel dispositif est communément appelé DCL et nous l’appellerons ainsi dans la suite du texte par commodité.

Comme le montrent plus particulièrement les figures 2 et 14, le DCL 1000; 2000 selon l’invention comprend de manière usuelle un corps de boîte 100 ; 200 à encastrer dans une cavité 2 prévue dans une paroi de plafond 1, et un couvercle 130 ; 230 à rapporter à l’avant du corps de boîte 100 ; 200 de manière à former un boîtier servant à l’accrochage et à l’alimentation électrique d’un luminaire.

Le corps de boîte 100 ; 200 et le couvercle 130 ; 230 sont réalisés en matériau plastique rigide (typiquement en polypropylène). Ils peuvent comprendre des portions en matériau plastique plus souple (typiquement en SEBS, acronyme anglais de polystyrène-b-poly(éthylène-butylène)-b-polystyrène).

En position d’utilisation, comme cela est détaillé sur la figure 20, le DCL 2000 selon l’invention encastré dans la paroi de plafond 1, est retenu par un câble de maintien 5 qui forme une boucle autour d’une poutre 6 de bâti dissimulée derrière la paroi de plafond 1. Ce câble de maintien 5 est une liaison de reprise de comporte au moins une fenêtre 133 latérale au travers de laquelle sort la longueur inutilisée de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 dans l’espace intérieur 110 du corps de boîte 100.

Si cette longueur inutilisée est démesurée, il est possible de couper une partie de cette longueur inutilisée.

Comme le montre plus particulièrement la figure 4, il est prévu dans le bord 174 délimitant l’embouchure 175A avant dudit logement axial 175, au moins une encoche de retenue 550 dudit câble de maintien 5.

Ici, comme le montrent les figures 4 et 5, chaque rainure axiale 179 est prolongée par une encoche de retenue 550.

Cette encoche de retenue 550 est adaptée à pincer le câble de maintien 5 le temps de la fixation du crochet 10 dans le logement axial 175 du fourreau 172, de sorte que la position du corps de boîte 100 sur ledit câble de maintien 5 est maintenue le temps de cette fixation.

Pour installer dans la cavité 2 de la paroi de plafond 1, le premier mode de réalisation du DCL 1000, représenté sur les figures 1 à 5, il convient tout d’abord de former une boucle avec le câble de maintien 5 autour de la poutre 6 de bâti. La partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 s’étend alors au travers de la cavité 2.

Puis, il faut tirer l’extrémité d’une gaine électrique (non représentée), qui circule derrière la paroi de plafond 1 (logeant les fils électriques), au travers de la cavité 2, pour l’introduire dans l’espace intérieur 110 du corps de boîte 100 via une ouverture 7 dont on a retiré l’opercule 8.

On insère ensuite la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien dans le premier passage 350 de l’élément axial 150 du DCL, jusqu’à ce qu’elle perce la membrane d’étanchéité 351 pour s’enfiler dans le logement axial 175 du fourreau 172.

En tirant sur ladite extrémité libre 5A du câble de maintien 5, on place une portion 5B de cette extrémité libre 5A dans une des rainures 179 prévues sur la face interne 173A du fourreau 172. On introduit également le câble de maintien 5 dans une des encoches 550 prévues à l’embouchure 175A dudit fourreau 172.

Puis on fixe le corps de boîte 100 dans la cavité 2 grâce au système de griffes 121 et de vis 123 de griffes.

On peut alors connecter les fils électriques issus de la gaine électrique aux bornes de connexion 136 du bornier 135 et faire passer l’excédant de câble de maintien 5 sortant du fourreau 172 au travers d’une fenêtre 133 du manchon 131 du couvercle 130 afin de diriger cet excédant vers l’espace intérieur 110 du corps de boîte 100. On coupe une partie de la longueur de cet excédant si cette longueur est trop importante.

On clippe le couvercle 130 dans l’ouverture avant du corps de boîte 100 de sorte que celui-ci vienne s’appuyer sur la face avant de la paroi de plafond 1.

Puis on visse la partie longitudinale 12 du crochet 10 dans le logement axial 175 du fourreau 172, via l’ouverture 134 du couvercle 130, afin de fixer le crochet 10 à l’élément axial 160 du DCL 1000 et de serrer la portion 5B de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 contre le fond d’une rainure 179 de la face interne 173A du fourreau 172. On bloque ainsi la position du corps de boîte 1000 sur le câble de maintien 5.

Si, ultérieurement, l’installateur souhaite intervenir sur le câble de maintien 5, il suffit qu’il dévisse simplement le crochet 10, qu’il enlève le couvercle 130 et il accède très facilement par l’avant du DCL à la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 logée dans l’espace intérieur 110 du corps de boîte 100.

La variante de réalisation du DCL 1000 représentée sur les figures 6 à 12 , diffère de celle représentée sur les figures 1 à 5, en ce que ledit fourreau 182 est agencé pour recevoir ladite portion 5B de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 selon une direction transversale à l’axe dudit logement axial 185.

Pour ce faire, le corps creux 183 du fourreau 182 est traversé de part en part par deux ouvertures traversantes 365 en vis-à-vis l’une de l’autre.

En outre, la partie de montage 181 du corps 180 de l’élément axial 160 comporte deux passages 360, 361 pour la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5. Les deux passages 360, 361 sont symétriques par rapport à l’axe AZ de l’élément axial 160. Ils comportent chacun une partie droite qui se prolonge par une partie en biais débouchant dans l’espace intérieur 110 du corps de boîte 100, à proximité d’une des ouvertures traversantes 365 (voir figure 6).

Ainsi, lors du montage du DCL 1000 représenté sur les figures 6 à 12, la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 est insérée via le premier passage 360 dans l’espace intérieur 110, à l’extérieur dudit logement axial 185, puis emprunte le passage transversal formé à l’intérieur du logement axial 185 par les ouvertures traversantes 365 et ressort dudit logement axial 185 pour s’engager dans le deuxième passage 361 et sortir à l’extérieur du corps de boîte 100, à l’arrière de celui-ci (voir figure 8).

Avantageusement, comme le montre la figure 8, la forme globalement en U adoptée par le câble de maintien 5 dans l’espace intérieur 110 permet de retenir en partie le corps de boîte 100 sur le câble de maintien 5, avant que ce dernier ne soit comprimé par la partie longitudinale 12 du crochet 10.

On notera que les ouvertures 365 traversantes sont situées à proximité du fond 185B dudit logement axial 185 si bien que c’est la pointe de la partie longitudinale 12 du crochet, insérée dans le logement axial, qui va comprimer la portion 5B (traversant ledit logement axial) de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5, contre le fond 185B dudit logement axial 185 (voir figure 9).

Selon cette variante de réalisation, le premier passage 360 et le deuxième passage 361 peuvent être intervertis pour l’entrée et la sortie du câble de maintien 5 dans l’espace intérieur 110 du corps de boîte 100.

On pourrait également envisager que le deuxième passage appartienne à la paroi de fond du corps de boîte.

Selon une autre variante non représentée, on pourrait prévoir un seul passage pour le câble de maintien, celui-ci traversant le logement axial dudit élément axial et restant logé dans le corps de boîte.

De manière avantageuse, selon cette variante du DCL 1000 représentée sur les figures 6 à 12, il est en outre prévu un élément de retenue 560 adapté à être rapporté sur ledit fourreau 182.

Cet élément de retenue 560 est destiné à serrer une portion 5C externe du U formé par le câble de maintien 5 enfilé dans le logement axial 185 (voir figures 8 et 9).

Comme le montrent plus particulièrement les figures 6 et 7, l’élément de retenue 560 comprend un manchon 561 de forme globalement cylindrique qui porte quatre ailes de fixation 562 arrière.

Le manchon 561 de l’élément de retenue 560 présente un diamètre interne légèrement supérieur au diamètre externe du fourreau 182 de sorte qu’il est adapté à être emmanché sur le fourreau 182 de l’élément axial 160.

Chaque aile de fixation 562 présente une gorge de fixation 562A dont un des bords est adapté à venir se clipper sur le rebord 105A d’une bague 105, engagée dans l’ouverture 104 de la paroi de fond 102 du corps de boîte 100, de manière à solidariser l’élément de retenue 560 au corps de boîte 100 et à l’élément axial 160 (voir figure 8).

Ainsi, comme le montrent les figures 8 et 9, l’élément de retenue 560 clippé sur la bague 105 après le passage complet du câble de maintien 5 dans le corps de boîte 100 serre la portion 5C du câble de maintien 5 extérieure au logement axial 185 contre la face externe de la partie de montage 181 du corps 180 de l’élément axial 160.

Avantageusement, l’élément de retenue 560 permet de retenir provisoirement le corps de boîte 100 sur le câble de maintien 5, préalablement à la fixation du crochet 10 dans le logement axial 185. L’installation de cette variante du DCL 1000 est identique à celle représentée sur les figures 1 à 5 (comme cela a déjà été décrit précédemment), à l’exception de l’insertion de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 dans le logement axial 185 (voir la description supra) et du préblocage du corps de boîte 100 grâce à l’élément de retenue 560 enfilé sur le fourreau 182 de l’élément axial 160 jusqu’à ce qu’il soit clippé sur la bague 105 du corps de boîte.

Sur les figures 13 à 20, on a représenté deux autres modes de réalisation du DCL 2000 selon l’invention, qui comprend un ensemble : corps de boîte 200 et module de connexion électrique 240, pour un montage simplifié.

Un tel corps de boîte a déjà été décrit en tant que « boîte électrique » dans la demande de brevet français FR3000310 appartenant aux demanderesses.

On se rapportera donc à la description de la demande FR3000310 pour plus de détails sur cet ensemble de connexion.

Pour l’essentiel, le corps de boîte 200 comprend une paroi latérale 201 tubulaire de révolution autour d’un axe central AZ, fermée à l’arrière par une paroi de fond 202 et ouverte à l’avant de manière à délimiter l’espace intérieur 210.

La paroi latérale 201 du corps de boîte 200 est elle aussi bordée à l’avant par un trottoir 203 adapté à prendre appui contre la face avant de la paroi de plafond 1 lorsque le corps de boîte 200 est inséré dans la cavité 2.

Les moyens de montage du corps de boîte 200 dans la cavité 2 de la paroi de plafond 1 comprennent quatre pattes de flexion diamétralement opposées qui sont découpées dans la paroi latérale 201 du corps de boîte 200, et une dent d’encliquetage portée par chaque patte de flexion, à l’arrière desdites pattes de flexion. Lorsque le corps de boîte 200 est inséré dans la cavité 2 de la paroi de plafond 1, les dents d’encliquetage permettent de pré-maintenir le corps de boîte 200 dans la paroi de plafond 1.

Tel que représenté sur la figure 13, il est prévu sur la face avant de la paroi de fond 202 du corps de boîte 200 un bornier de connexion alimenté par des fils électriques (non représentés) arrivant jusqu’audit bornier par une gaine électrique (non représentée) débouchant dans une ouverture 207 d’arrivée de gaine électrique. L’espace intérieur 210 du corps de boîte 200 est destiné à recevoir un module de connexion électrique 240. Autrement dit, le module de connexion électrique 240 est rapporté dans ledit espace intérieur 210 par l’avant dudit corps de boîte 200.

Le module de connexion électrique 240 comporte un socle isolant et des fiches 236 de connexion.

Les fiches 236 de connexion sont disposées à l’arrière dudit module de connexion électrique 240 et destinées à être connectées au bornier de connexion du corps de boîte 200 pour connecter électriquement ledit module de connexion électrique 240.

Comme le montre la figure 13, le socle du module de connexion électrique 240 comprend une paroi latérale 241 fermée à l’avant par une paroi avant 243.

Le socle du module de connexion électrique 240 comprend le puits 237 adapté à recevoir la fiche de connexion électrique d’un luminaire (non représenté) et au fond duquel les moyens de connexion du luminaire ont accès aux moyens de connexion du module de connexion 240 sortant à l’arrière par les fiches 236 de connexion. Le puits 237 débouche sur la face avant de la paroi avant 243 dudit socle du module de connexion électrique 240.

La paroi avant 243 du socle du module de connexion électrique 240 porte également des fenêtres 246 adaptées à recevoir des dents d’encliquetage du couvercle 230 pour solidariser ledit couvercle 230 au socle (voir figures 17 et 20).

La paroi latérale 241 du socle du module de connexion électrique 240 est bordée à l’avant par un trottoir avant 244 adapté à prendre appui contre la face avant d’un rebord interne du corps de boîte 200 de sorte que la paroi avant 243 du socle du module de connexion 240 vient à effleurement de la face avant du trottoir 203 du corps de boîte 200 (voir figures 14 et 17).

Pour la fixation du module de connexion électrique 240 au corps de boîte 200, la paroi latérale 241 est en outre munie de deux pattes de flexion 245 diamétralement opposées et découpées dans ladite paroi latérale 241. Ces pattes de flexion 245 sont terminées par des dents d’encliquetage adaptées à s’encliqueter dans des fenêtres 206 correspondantes de la paroi latérale 201 du corps de boîte 200.

Lorsque le module de connexion électrique 240 est encliqueté dans le corps de boîte 200, les pattes de flexion de la paroi latérale 201 dudit corps de boîte 200 s’écartent vers l’extérieur de sorte le corps de boîte 200 est alors solidement maintenu à la paroi de plafond 1.

De manière avantageuse, tel que cela est représenté sur les figures 13, 14 et 17, ici, l’élément axial 250; 260 est intégré au socle dudit module de connexion électrique 240.

Plus précisément, l’élément axial 250 ; 260 comprend un fourreau 272 ; 282 constituant lesdits moyens de réception et de fixation de l’élément longitudinal 12 ; 22.

Le fourreau 272 ; 282 présente un logement axial 275 ; 285 de forme globalement cylindrique, qui s’étend selon l’axe central AZ du corps de boîte 200.

Le logement axial 275 ; 285 est fermé à l’arrière par un fond 275B. Ce logement axial 275 ; 285 présente une embouchure 275A ; 285A qui débouche sur la face avant de la paroi avant 243 du socle du module de connexion électrique 240 (c’est-à-dire à l’avant dudit corps de boîte 200) pour recevoir par l’avant l’élément longitudinal 12 ; 22.

Il est prévu sur le couvercle 230 du DCL 2000, une ouverture d’accès débouchant dans ledit logement axial 275 ; 285. Ainsi, lorsque le couvercle 230 est en position sur le socle du module de connexion électrique 240, l’élément longitudinal 12 ; 22 peut être inséré dans le logement axial 275 ; 285, par l’avant du DCL 2000, via l’ouverture du couvercle 230.

Ici aussi, comme le montrent les figures 14, 18, 20 et 21, l’élément longitudinal constitue la partie longitudinale 12 ; 22 d’un crochet 10; 20. Ce crochet 10; 20 comprend également une partie recourbée 11 ; 21 servant à l’accrochage du luminaire.

La face interne 273A du logement axial 275 du fourreau 272 est adaptée à recevoir les filets 14 auto-taraudant de la partie longitudinale 12 filetée du crochet 10. Le vissage desdits filets 14 auto-taraudant dans le logement axial 257 taraude ladite face interne 273A, de sorte que cette dernière coopère avec lesdits filets 14. L’élément axial 250 et le logement axial 275 étant centrés sur l’axe central AZ du corps de boîte 200, la partie longitudinale 12 du crochet 10, fixée dans l’élément axial 250, est alors elle-même centrée sur l’axe central AZ du corps de boîte 200.

Avantageusement, le luminaire accroché au crochet 10 est alors centré sur le DCL 2000.

Selon la variante de réalisation représentée sur la figure 19, les moyens de fixation du crochet 20 sont des moyens de fixation à quart de tour 24. II est alors prévu dans ledit logement axial 285 du fourreau 282 une rampe de fixation quart de tour 287 adaptée à coopérer avec lesdits moyens de fixation quart de tour de la partie longitudinale 22 du crochet 20.

Ici, les moyens de fixation quart de tour 24 sont prévus à l’extrémité arrière de la partie longitudinale 22 du crochet 20.

En variante, ils pourraient être prévus à un autre endroit le long de ladite partie longitudinale du crochet.

La rampe de fixation quart de tour 287 présente, sur l’intégralité de la longueur du logement axial 285, une forme qui correspond à la forme des moyens de fixation quart de tour 24 de la partie longitudinale 22 du crochet 20.

Ici, la rampe de fixation quart de tour 287 et les moyens de fixation quart de tour 24 présente une forme oblongue.

Par ailleurs, comme le montrent les figures 13 à 19, ici, il est prévu dans la paroi du fond 202 du corps de boîte 200 deux passages 450, 451, parallèles à l’axe AZ, et destinés respectivement à l’entrée de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 dans l’espace intérieur 210 du corps de boîte 200 ainsi qu’à sa sortie depuis l’espace intérieur 210 du corps de boîte 200 vers l’extérieur.

Les premier et deuxième passages 450, 451 sont formés par deux conduits traversant de part en part la paroi de fond 202 du corps de boîte 200. Les extrémités internes (c’est-à-dire celles débouchant dans l’espace intérieur 210) des premier et deuxième passages 450, 451 peuvent avantageusement être obturées par des membranes d’étanchéité transperçables réalisées en SEBS.

Le premier conduit traversant, correspondant au premier passage 450, s’étend selon une direction parallèle à l’axe central AZ, à proximité dudit axe central AZ dans le prolongement dudit logement axial 275 ; 285 du fourreau 272 ; 282, tandis que le deuxième conduit, correspondant au deuxième passage 451, est décalé par rapport au logement axial 275 (voir figure 14).

Ici, le fourreau 272 ; 282 est agencé pour recevoir ladite portion 5B de ladite partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 dans ledit logement axial 275 ; 285 parallèlement à l’axe AZ (voir figure 14).

En correspondance, le deuxième passage 451, communique avec un conduit traversant supplémentaire 454 ; 464 prévu dans le socle du module de connexion électrique 240, parallèlement à l’axe AZ (voir figures 14 et 19).

Il est prévu une ouverture traversante dans le fond 275B dudit logement axial 275, en correspondance avec ledit conduit traversant formant le premier passage 450, de sorte que la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 introduite dans ledit premier passage 450 puisse déboucher dans ledit logement axial 275.

La face interne du fourreau 272 ; 282 comporte, en creux, au moins une rainure axiale 279 ; 289 s’étendant au moins en partie le long dudit logement axial 275 ; 285, pour recevoir ladite portion 5B de la partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 (voir figures 15, 16 et 19).

Comme le montrent les figures 15 et 16, ici, la rainure axiale 279 s’étend sur toute la longueur du logement axial 275.

Dans la variante représentée sur les figures 17 et 19, la rainure axiale 289 s’étend uniquement sur une portion arrière du logement axial 285, située au niveau des moyens de verrouillage quart de tour de la rampe quart de tour 287.

Cette rainure axiale 289 est prolongée vers l’avant par un conduit 463 prévu dans le socle du module de connexion électrique 240 et débouchant à l’avant dudit socle, à proximité de l’embouchure 285A du logement axial 285.

La partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 peut être insérée depuis l’extérieur du corps de boîte 200 vers l’espace intérieur 210 via le conduit traversant 450 prévu dans la paroi de fond 202 du corps de boîte 200. Elle transperce la membrane d’étanchéité éventuelle et s’introduit dans le logement axial 275 ; 285, court le long dudit logement axial, et débouche à l’embouchure 275A ; 285A dudit logement axial 275 ; 285.

La partie d’extrémité libre 5A du câble de maintien 5 est ensuite introduite dans le conduit traversant 454 ; 464 supplémentaire du socle du module de connexion électrique 240 puis traverse le deuxième passage 451 pour sortir à l’extérieur du corps de boîte 200.

Avantageusement, en face avant du socle du module de connexion électrique 240, le câble de maintien 5 forme un U qui permet de retenir le corps de boîte 200 sur le câble de maintien 5 avant la fixation de la partie longitudinale 12 ; 22 du crochet 10 ; 20 dans le logement axial 275 ; 285.

De manière avantageuse, selon la variante représentée sur la figure 17, il est en outre prévu sur la face avant du socle du module de connexion électrique 240, à proximité de l’embouchure avant 285A du logement axial 285, au moins une bride de retenue 580 du câble de maintien 5.

Lorsque le câble de maintien 5 est inséré à travers cette bride de retenue 580, ledit câble de maintien 5 est forcé de réaliser une chicane à l’avant du socle du module de connexion électrique 240, ce qui renforce le maintien du corps de boîte 200 sur le câble de maintien 5 aussi bien avant la fixation de la partie longitudinale 22 du crochet 20 dans le logement axial 285 qu’après cette fixation.

Lorsque la partie longitudinale 12 ; 22 du crochet 10 ; 20 est vissée ou verrouillée à quart de tour dans le logement axial 275 ; 285 celle-ci comprime la portion 5B du câble de maintien contre le fond de la rainure 279 ; 289 prévue dans la face interne du fourreau 272 ; 282.

Les différents éléments du DCL 1000; 2000 selon l’invention sont simples à fabriquer par moulage de matières synthétiques. Ils sont simples à assembler.

Ils permettent d’accéder au câble de maintien 5 depuis l’avant dudit DCL 1000 ; 2000, sans avoir à le démonter de la paroi de plafond 1, et sans utiliser d’outils spécifiques.

La présente invention n’est nullement limitée aux modes de réalisation décrits et représentés mais l’homme du métier saura y apporter toute variante conforme à son esprit.

En particulier, il est envisageable que la partie recourbée 11 du corps du crochet 10 soit articulée à pivotement sur ladite partie longitudinale 12 du corps du crochet 10.

Par exemple, comme le montre la figure 21, cette articulation peut être réalisée par un axe de pivotement 15 reliant la partie recourbée 11 à la partie longitudinale 12.

Avantageusement, la partie recourbée 11 du corps du crochet 10 5 inutilisée peut alors être rabattue dans un renfoncement 239 prévu à cet effet en face avant 230B du couvercle 230 du dispositif de connexion 2000 (voir figure 20).

Selon une variante non représentée de l’invention, on pourrait prévoir que l’élément longitudinal qui coince le câble de maintien soit un simple corps de vis, ou un simple élément de fixation quart de tour sans crochet. 3 Le corps de boîte du dispositif de connexion pourrait aussi présenter une forme différente, notamment parallélépipédique plutôt que cylindrique. dispositif de connexion de luminaire de la figure 17 ; - la figure 19 est une vue partielle arrière du dispositif de connexion de luminaire de la figure 17, dans laquelle l’élément longitudinal est en position de blocage ; - la figure 20 est une vue globale du dispositif de connexion de luminaire de la figure 13 monté dans la paroi de plafond et recevant le câble de maintien formant une boucle autour d’une poutre de bâti ; et - la figure 21 est une vue en perspective d’un élément longitudinal d’un dispositif de connexion de luminaire selon l’invention.

Par convention, dans la suite de la description, les termes « avant » et « arrière » seront définis par rapport au regard d’un utilisateur tourné vers le dispositif de connexion de luminaire encastré dans une paroi de plafond. Ainsi le terme « avant » désignera le côté du dispositif de connexion de luminaire, tourné vers l’utilisateur et le terme « arrière » celui tourné à l’opposé de l’utilisateur.

Sur les figures 1 à 20 on a représenté plusieurs modes de réalisation d’un dispositif de connexion de luminaire 1000; 2000 selon l’invention. Un tel dispositif est communément appelé DCL et nous l’appellerons ainsi dans la suite du texte par commodité.

Comme le montrent plus particulièrement les figures 2 et 14, le DCL 1000; 2000 selon l’invention comprend de manière usuelle un corps de boîte 100 ; 200 à encastrer dans une cavité 2 prévue dans une paroi de plafond 1, et un couvercle 130 ; 230 à rapporter à l’avant du corps de boîte 100 ; 200 de manière à former un boîtier servant à l’accrochage et à l’alimentation électrique d’un luminaire.

Le corps de boîte 100 ; 200 et le couvercle 130 ; 230 sont réalisés en matériau plastique rigide (typiquement en polypropylène). Ils peuvent comprendre des portions en matériau plastique plus souple (typiquement en SEBS, acronyme anglais de polystyrène-b-poly(éthylène-butylène)-b-polystyrène).

En position d’utilisation, comme cela est détaillé sur la figure 20, le DCL 2000 selon l’invention encastré dans la paroi de plafond 1, est retenu par un câble de maintien 5 qui forme une boucle autour d’une poutre 6 de bâti dissimulée derrière la paroi de plafond 1. Ce câble de maintien 5 est une liaison de reprise de

Claims (3)

1. REVENDICATIONS

   1. Dispositif de connexion de luminaire (1000 ; 2000) comprenant : - un corps de boîte (100 ; 200) à encastrer qui délimite un espace intérieur (110 ; 210) fermé à l’arrière et ouvert à l’avant, - un élément longitudinal (12 ; 22) à rapporter dans ledit espace intérieur (110 ; 210), par l’avant du corps de boîte (100 ; 200), et - un élément axial (150 ; 250) qui s’étend dans l’espace intérieur (110 ; 210) entre l’arrière et l’avant du corps de boîte (100 ; 200), et qui comporte des moyens de réception et de fixation dudit élément longitudinal (12 ; 22), caractérisé en ce que lesdits moyens de réception et de fixation (172 ; 182; 272; 282) sont aménagés pour recevoir une portion (5B) d’une partie d’extrémité libre (5A) d’un câble de maintien (5) qui entre dans ledit espace intérieur (110 ; 210) via un premier passage (350 ; 450) prévu à l’arrière dudit dispositif de connexion, de sorte que ledit élément longitudinal (12 ; 22) est adapté à agir sur ladite portion (5B) de ladite partie d’extrémité libre du câble de maintien (5) pour bloquer la position dudit corps de boîte sur ledit câble de maintien.
2. 2. Dispositif de connexion de luminaire (1000 ; 2000) selon la revendication 1, dans lequel lesdits moyens de réception et de fixation comportent un fourreau (172 ; 182 ; 272 ; 282) présentant un logement axial (175 ; 185 ; 275 ; 285) dont une embouchure (175A ; 185A ; 275A ; 285A) débouche à l’avant dudit corps de boîte (100 ; 200) pour recevoir ledit élément longitudinal (12 ; 22), ledit fourreau étant en outre agencé pour recevoir ladite portion (5B) de ladite partie d’extrémité libre (5) du câble de maintien (5) dans ledit logement axial. 3. Dispositif de connexion de luminaire (1000 ; 2000) selon la revendication 2, dans lequel ledit fourreau (172 ; 272 ; 282) est agencé pour recevoir ladite portion (5B) de la partie d’extrémité libre (5) du câble de maintien (5) selon une direction parallèle à l’axe AZ dudit logement axial (175 ; 275 ; 285). 4. Dispositif de connexion de luminaire (1000 ; 2000) selon la revendication 3, dans lequel ledit fourreau (172 ; 272) comporte une face interne (173A ; 273A) délimitant ledit logement axial (175 ; 275), et il est prévu en creux de ladite face interne (173A ; 273A) au moins une rainure (179 ; 279) axiale s’étendant au moins sur une partie de la longueur dudit logement axial (175 ; 275). 5. Dispositif de connexion de luminaire (1000) selon l’une des revendications 2 à 4, dans lequel il est prévu à l’embouchure (175A) avant dudit logement axial (175) au moins une encoche de retenue (550) dudit câble de maintien (5).
3. 6. Dispositif de connexion de luminaire (2000) selon l’une des revendications 2 à 4, dans lequel il est prévu à proximité de l’embouchure (285A) avant dudit logement axial (285), au moins une bride de retenue du câble de maintien. 7. Dispositif de connexion de luminaire (1000) selon la revendication 2, dans lequel ledit fourreau (182) comporte deux ouvertures traversantes (365) en vis-à-vis l’une de l’autre de sorte qu’il est agencé pour recevoir ladite portion (5B) de la partie d’extrémité libre (5A) du câble de maintien (5) selon une direction transversale à l’axe AZ dudit logement axial (185). 8. Dispositif de connexion de luminaire (1000) selon la revendication 7, dans lequel il est prévu un élément de retenue (560) rapporté sur ledit fourreau (182) pour serrer une autre portion (5C) de ladite partie d’extrémité libre (5A) du câble de maintien (5) s’étendant à l’extérieur dudit logement axial (185). 9. Dispositif de connexion de luminaire (1000) selon l’une des revendications 1 à 8, dans lequel l’élément axial (150 ; 160) est rapporté au travers d’une ouverture (104) prévue dans une paroi de fond (105) dudit corps de boîte (100). 10. Dispositif de connexion de luminaire (1000) selon la revendication 9, dans lequel ledit premier passage (350 ; 360) appartient à une partie de montage (171 ; 181) du corps (170 ; 180) de l’élément axial (150 ; 160) sur le corps de boîte (100). 11. Dispositif de connexion de luminaire (1000) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel ledit premier passage (350) est obturé par une membrane d’étanchéité (351) souple, transperçable. 12. Dispositif de connexion de luminaire (2000) selon l’une quelconque des revendications 1 à 8, dans lequel l’élément axial (250 ; 260) est intégré au socle d’un module de connexion électrique (240) rapporté dans ledit espace intérieur (210) par l’avant dudit corps de boîte (200). 13. Dispositif de connexion de luminaire (2000) selon la revendication 12, dans lequel ledit premier passage (450) appartient à une paroi de fond (202) dudit corps de boîte (200). 14. Dispositif de connexion de luminaire (1000 ;2000) selon l’une des revendications 1 à 13, dans lequel il est prévu un deuxième passage (361 ;451) à l’arrière dudit dispositif de connexion pour la sortie de ladite partie d’extrémité libre (5A) du câble de maintien (5) depuis l’espace intérieur (110 ;210) vers l’extérieur dudit corps de boîte (200), ledit deuxième passage appartenant à une paroi de fond dudit corps de boîte. 15. Dispositif de connexion de luminaire (1000) selon l’une des revendications 9 à 11, dans lequel il est prévu un deuxième passage (361) à l’arrière dudit dispositif de connexion pour la sortie de ladite partie d’extrémité libre (5A) du câble de maintien (5) depuis l’espace intérieur (110) vers l’extérieur dudit corps de boîte (100), ledit deuxième passage (361) appartenant à une partie de montage (181) du corps (180) de l’élément axial (160) sur le corps de boîte (100). 16. Dispositif de connexion de luminaire (1000 ; 2000) selon l’une des revendications 2 à 15, dans lequel le logement axial (175 ; 185 ; 275) du fourreau (172 ; 182 ; 272) est adapté à recevoir les filets (14) d’un filetage de l’élément longitudinal (12). 17. Dispositif de connexion de luminaire (2000) selon l’une des revendications 2 à 15, dans lequel il est prévu dans ledit logement axial (285) du fourreau (282) une rampe de fixation quart de tour (287) d’un élément de fixation quart de tour (24) de l’élément longitudinal (22). 18. Dispositif de connexion de luminaire (1000 ; 2000) selon l’une des revendications 1 à 17, dans lequel l’élément longitudinal (12 ; 22) constitue une partie longitudinale du corps d’un crochet (10 ; 20) prévu pour l’accrochage d’un luminaire. 19. Dispositif de connexion de luminaire (1000 ; 2000) selon la revendication 18, dans lequel le corps dudit crochet (10) comprend une partie recourbée (11) articulée à pivotement sur ladite partie longitudinale (12).