FR3044231A1

FR3044231A1 - Dispositif et systeme d'assemblage pour structure d'exercice sportif, systeme d'exercice sportif et procede de montage afferents

Info

Publication number: FR3044231A1
Application number: FR1561429A
Authority: FR
Inventors: Stephane Remy Daniel Sylvere Joseph Risacher
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2015-11-26
Filing date: 2015-11-26
Publication date: 2017-06-02
Anticipated expiration: 2035-11-26
Also published as: WO2017089735A1; FR3044231B1; US10709921B2; US20180369631A1; EP3380202A1

Abstract

L'invention concerne un dispositif d'assemblage (5) destiné à assembler un accessoire à une structure d'exercice sportif (1), ladite structure comportant au moins un trou (10), ledit dispositif (5) étant caractérisé en ce qu'il comporte au moins un corps principal creux qui est pourvu d'au moins une première ouverture et qui est destiné d'une part à être inséré dans ledit trou (10) et d'autre part à recevoir de façon amovible un connecteur mâle destiné à être inséré au sein dudit corps principal creux par la première ouverture afin de relier lesdits accessoire et corps principal creux, et en ce que le dispositif comprend en outre un premier bouchon amovible destiné à obturer ladite première ouverture lorsque le connecteur mâle n'est pas inséré au sein dudit corps principal creux. Dispositifs et systèmes d'assemblage pour structure d'exercice sportif.

Description

DISPOSITIF ET SYSTEME D’ASSEMBLAGE POUR STRUCTURE D’EXERCICE SPORTIF, SYSTEME D’EXERCICE SPORTIF ET PROCEDE DE MONTAGE

AFFERENTS

La présente invention concerne le domaine général de l’entraînement ou l’exercice physique et plus particulièrement les équipements permettant l’exercice sportif tels que les structures ou portiques d'exercice.

Plus particulièrement, l'invention concerne un dispositif d’assemblage destiné à assembler un accessoire à une structure d’exercice sportif, ladite structure comportant au moins un trou. L’invention concerne également un système d’assemblage comprenant un dispositif d’assemblage. L’invention concerne également un système d'exercice sportif comprenant au moins : - une structure d’exercice sportif comportant au moins un trou, - un accessoire, - un connecteur mâle, - et un dispositif d’assemblage dudit accessoire à ladite structure. L'invention concerne enfin un procédé de construction d’un système d’exercice sportif comprenant une structure d’exercice sportif comportant au moins un trou.

Afin de faciliter la pratique de l’exercice sportif ou physique, il est connu d'utiliser des structures sous forme de portiques (également désignées par le terme anglophone « rack »), qui permettent généralement aux utilisateurs, grâce à leur modularité, de pouvoir réaliser différents exercices physiques comme par exemple des tractions. Ces structures connues comportent plusieurs poteaux en bois, entre lesquels peuvent être positionnées des barres d’exercices auxquelles les utilisateurs peuvent par exemple se suspendre (à la force des bras par exemple pour réaliser des tractions). A cette fin, des cavités, dans lesquelles viennent se loger par leurs extrémités les barres d’exercice, sont ménagées dans les poteaux à différentes hauteurs du sol.

Il est ainsi possible de faire varier ia hauteur de ces barres d’exercice, et donc de multipfier les possibilités d’exercices, mais également de tenir compte de la morphologie des utilisateurs pouvant les utiliser.

Ces structures connues donnent globalement satisfaction mais n’en présentent pas moins différents inconvénients, notamment d’un point de vue de la sécurité d’utilisation et de la durabilité de la structure.

En particulier, les poteaux sont exposés à un risque de détérioration et d’usure du fait des insertions et extractions répétées des extrémités des barres d’exercices dans les cavités ménagées dans les poteaux. Ce risque de détérioration et d’usure concerne surtout les cavités et leur voisinage {par exemple risque d’élargissement des cavités et/ou de déformation de leurs bords). Il peut alors en résulter un phénomène d’usure et de détérioration accélérée et prématurée des poteaux, qui peut par exemple se traduire par une détérioration de ia peinture susceptible de recouvrir la structure, par l’apparition de rayures ou de traces de chocs sur la structure.

De plus, il existe avec ces structures connues un risque de déboîtement de la barre d’exercice lors de l’utilisation, notamment en réponse aux mouvements de l’utilisateur qui pourrait de ce fait chuter et se blesser. Ce risque d’extraction fortuite de l'extrémité de la barre hors de la cavité dans laquelle elle se trouvait, peut être accentué par l'éventuelle dégradation de la liaison entre la barre et la cavité évoquée précédemment. En effet, comme mentionné précédemment les frottements et chocs répétés vont avoir tendance à déformer et agrandir les cavités et à augmenter ainsi le jeu entre la barre et le poteau, dégradant ainsi la qualité et la fiabilité de la liaison mécanique entre la barre et le poteau.

Un autre inconvénient des structures connues découle du grand nombre de cavités réalisées dans les poteaux. En effet, afin de garantir leur modularité et polyvalence, les concepteurs de ces structures les ont généralement équipées d’un ratio cavités / barres largement supérieur à 1. En d’autres termes, il existe bien plus de cavités, ou de paires de cavités que de barres, ce qui signifie que de très nombreuses cavités restent inoccupées (ou vides) après l’installation des barres d'exercices et lors de l’utilisation de la structure. En outre, les poteaux des structures connues peuvent également comporter des angles découpés afin de réaliser des encoches destinées à accueillir les barres. Mais ces encoches forment alors des saillies pointues et coupantes, si bien qu’il en résulte de sérieux risques, notamment du point de vue de la sécurité des utilisateurs et de la durabilité de la structure. En effet, les utilisateurs peuvent, notamment par inadvertance, ou par jeu (par exemple pour les enfants), introduire les doigts dans ces cavités et / ou encoches et risquer ainsi des blessures (coupure, fracture, etc ).

Mais ces trous non utilisés présentent également un risque du point de vue de la durabilité de la structure elle-même. En effet, tous ces trous non utilisés sont autant de points d’entrées pour des corps étrangers (eau, insectes, sable, etc.) à l’intérieur même des éléments de la structure, et particulièrement à l’intérieur des poteaux, compromettant alors la durabilité de la structure.

Ces problèmes de sécurité et de durabilité limitent alors considérablement l’usage et le déploiement des structures actuellement connues.

En particulier, compte tenu des problèmes de sécurité mentionnés précédemment (par exemple le risque de déboîtement des barres et le risque de blessure des doigts), les structures connues sont généralement réservées à un public averti (sportif adulte par exemple) si bien qu’il est difficilement envisageable d’installer ces structures connues dans des espaces publics et/ou collectifs (jardins, parcs, cours d'écoles, gymnases, etc.) où n’importe quel utilisateur (y compris des enfants) pourrait y avoir accès sans recommandations spécifiques et risquer donc de se blesser. En outre, compte tenu des problèmes de durabilité mentionnées précédemment (par exemple la pénétration de corps étranger à l’intérieur de la structure) il est difficilement envisageable d’installer ces structures connues à l'extérieur (jardins, parcs, stades, plages, etc.) où de nombreux éléments (eau, neige, sable, insectes, etc.) pourraient pénétrer à l’intérieur de la structure et dégrader prématurément cette dernière, notamment par pourrissement.

Les objets assignés à la présente invention visent en conséquence à remédier aux différents inconvénients énumérés précédemment et à proposer un nouveau dispositif d’assemblage destiné à assembler un accessoire à une structure d’exercice sportif qui évite la dégradation prématurée de ladite structure et/ou dudit accessoire et à améliorer la sécurité d’utilisation.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau dispositif d’assemblage qui soit particulièrement sûr, robuste et bon marché.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau dispositif d’assemblage qui garantisse une grande sécurité d’utilisation.

Un autre objet de l'invention vise à proposer un nouveau dispositif d’assemblage qui permette une utilisation de la structure en extérieur et/ou dans des lieux publics.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau dispositif d’assemblage qui garantisse un grand confort d’utilisation.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau dispositif d’assemblage qui puisse être facilement remplacé, et ce sans impacter la structure elle-même.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d’assemblage destiné à assembler un accessoire à une structure d’exercice sportif qui soit particulièrement, robuste, fiable et bon marché.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d’assemblage qui soit particulièrement sûr.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d’assemblage qui garantisse un assemblage aisé et particulièrement fiable.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d’assemblage qui soit particulièrement confortable à utiliser.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d’exercice sportif qui soit particulièrement sûr, robuste et bon marché.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d’exercice sportif qui soit particulièrement modulable.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d’exercice sportif qui soit utilisable en extérieur et dans les lieux publics.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d'exercice sportif qui soit particulièrement facile à moduler.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau système d’exercice sportif qui soit particulièrement confortable à utiliser.

Un autre objet de l’invention vise à proposer un nouveau procédé de construction d’une structure d'exercice sportif qui soit particulièrement sûr, facile à mettre en œuvre et bon marché.

Les objets assignés à l’invention sont atteints à l’aide d'un dispositif d’assemblage destiné à assembler un accessoire à une structure d’exercice sportif, ladite structure comportant au moins un trou, ledit dispositif étant caractérisé en ce qu’il comporte au moins un corps principal creux qui est pourvu d’au moins une première ouverture et qui est destiné d’une part à être inséré dans ledit trou et d’autre part à recevoir de façon amovible un connecteur mâle destiné à être inséré au sein dudit corps principal creux par la première ouverture afin de relier lesdits accessoire et corps principal creux, et en ce que le dispositif comprend en outre un premier bouchon amovible destiné à obturer ladite première ouverture lorsque le connecteur mâle n’est pas inséré au sein dudit corps principal creux.

Les objets assignés à l’invention sont également atteints à l’aide d’un système d’assemblage comprenant un dispositif d’assemblage tel que défini précédemment ainsi que ledit connecteur mâle.

Les objets assignés à l'invention sont également atteints à l'aide d’un système d'exercice sportif comprenant au moins : - une structure d’exercice sportif comportant au moins un trou, - un accessoire, - un connecteur mâle, - et un dispositif d’assemblage dudit accessoire à ladite structure tel que défini précédemment, ledit connecteur mâle étant destiné à être inséré au sein dudit corps principal creux par la première ouverture afin de relier lesdits accessoire et dispositif d’assemblage

Les objets assignés à l’invention sont également atteints à l’aide d’un procédé de construction d’un système d’exercice sportif comprenant une structure d’exercice sportif comportant au moins un trou, ledit procédé étant caractérisé en ce qu’il comprend une étape d’insertion dans ledit trou d’un corps principal creux qui est pourvu d’au moins une première ouverture et en ce qu’il comprend en outre l’une ou l’autre des étapes alternatives suivantes : - une étape d’obturation de ladite première ouverture au moyen d'un premier bouchon amovible - ou une étape d’assemblage d’un accessoire à ladite structure, au cours de laquelle un connecteur mâle est reçu de façon amovible au sein dudit corps principal creux par insertion dudit connecteur mâle au sein du corps principal par ladite première ouverture, afin de relier ledit accessoire au corps principal creux. D’autres particularités et avantages de l’invention apparaîtront et ressortiront plus en détails à la lecture de la description faite ci-après, en référence aux dessins annexés, donnés uniquement à titre d’exemple illustratif et non limitatif, dans lesquels : - La figure 1 est une vue d’ensemble en perspective d’une structure d’exercice sportif équipé d’un dispositif d’assemblage tel que défini par l’invention. - La figure 2 est une vue en détail et en perspective d’accessoires (une barre d'exercice et une équerre en demi-cercle) montés sur la structure d’exercice sportif visible à la figure 1 au moyen de dispositifs d’assemblages tels que définis par l’invention. - La figure 3 est une vue en détail et en perspective (selon un autre axe) d’un poteau vertical de la structure d’exercice sportif visible à la figure 2, ledit poteau comportant plusieurs dispositifs d’assemblages tels que définis par l’invention et notamment, de haut en bas : o un dispositif d’assemblage seul o un dispositif d’assemblage qui assemble une barre d’exercice au poteau o un dispositif d’assemblage qui assemble une équerre en demi-cercle au poteau. - La figure 4 est une vue d’ensemble en perspective, selon un premier axe, d’un dispositif d’assemblage tel que défini par l’invention. - La figure 5 est une vue d’ensemble en perspective selon un autre axe, du dispositif d’assemblage visible à la figure 4. - La figure 6 est une vue de face du dispositif d’assemblage visible à la figure 4. - La figure 7 est une vue en coupe du dispositif d’assemblage visible à la figure 4 selon l’axe A-A représenté sur la figure 6. L’invention concerne en tant que tel un dispositif d’assemblage 5 destiné à assembler un accessoire à une structure d’exercice sportif 1, comme l’illustre notamment la figure 1. Par « dispositif d’assemblage » on entend n’importe quel dispositif, moyen, pièce ou ensemble de pièces dont le but est de permettre l’assemblage, c’est-à-dire l’union ou le montage, de plusieurs éléments entre eux, en l’occurrence, un accessoire avec une structure d’exercice sportif. Préférentiellement cet assemblage, ou ce montage, est non permanant, c’est-à-dire qu’il est démontable, avantageusement sans outil particulier, ce qui rend cette opération particulièrement aisée pour un utilisateur qui souhaiterait changer ledit accessoire pour le remplacer par un autre ou bien encore modifier son emplacement au sein de ladite structure 1.

Le terme accessoire peut désigner n’importe quel élément destiné à être assemblé ou monté à la structure d’exercice sportif 1, comme par exemple une équerre de déport par exemple destinée à proposer une extension de ladite structure 1 ou bien une équerre en demi-cercle 42 par exemple destinée à recevoir un panier de basket ou encore à constituer des points d’appui pour qu'un utilisateur puisse effectuer des exercices sportifs (par exemple visible sur la figure 1) ou n’importe quel autre élément qui pourrait se monter à ladite structure 1 et qui permettrait à un utilisateur de réaliser un exercice physique. Selon un mode de réalisation avantageux, ledit accessoire est une barre d’exercice 31, c’est-à-dire une barre à partir de laquelle l’utilisateur peut effectuer une pluralité d’exercices, avec ou sans éléments accessoires. Par exemple, l’utilisateur peut simplement se suspendre à la dite barre, notamment pour réaliser des exercices de traction, ou encore accrocher à la dite barre différents éléments comme par exemple des sangles ou des élastiques, ces derniers permettant à l’utilisateur de varier la nature des exercices (étirements, flexions, etc.). Avantageusement, ladite barre d’exercice 31 est de section ronde ou toute autre section présentant une bonne ergonomie, et réalisée en un matériau solide et résistant, préférentiellement pour résister aux efforts mécanique engendrés par la suspension d’un Homme, comme de l’acier inoxydable par exemple. Préférentiellement, la résistance mécanique en flexion de ladite barre est supérieure à 2000 N. L’expression structure d’exercice sportif désigne avantageusement une structure, ou un portique, de taille suffisante pour permettre à un utilisateur d’effectuer différents exercices physiques, et notamment des tractions. En d’autres termes, l’utilisateur est capable de se suspendre par les mains, bras tendus à ladite structure 1 cette dernière étant alors avantageusement d’une hauteur d'au moins 1,50 m, et préférentiellement de l’ordre de 3 m. Avantageusement, et comme l’illustre par exemple la figure 1, ladite structure 1 comporte au moins un montant qui s'étend longitudinalement entre une première et une deuxième extrémité. Un montant peut par exemple désigner un poteau vertical 21 ou une traverse horizontale 22, c’est-à-dire un élément de structure qui permet de construire et maintenir ladite structure 1.

De manière avantageuse, ladite structure 1 est destinée à former un bâti fixe, par exemple sous forme de cage (ou compartiment) délimitée par plusieurs montants, et préférentiellement par plusieurs poteaux verticaux 21 (par exemple quatre) avantageusement disposés aux quatre coins d’un rectangle ou d’un carré. L’utilisateur peut alors par exemple se placer à l’intérieur de ce bâti pour réaliser ses exercices physiques, notamment à l’aide du ou des accessoires précédemment mentionnés. De manière avantageuse, lesdits poteaux verticaux 21 sont reliés entre eux deux à deux, c’est-à-dire par paire, par au moins une traverse horizontale 22 de manière à donner à ladite cage une certaine rigidité et résistance. Préférentiellement ladite structure 1 comporte quatre poteaux verticaux agencés de manière à délimiter les arrêtes d’un parallélépipède rectangle ainsi que quatre traverses horizontales, agencées aux extrémités supérieures desdits poteaux verticaux de manière à constituer quatre autres arrêtes dudit parallélépipède, et ainsi participer pleinement à l’intégrité et la résistance mécanique de ladite structure 1. Avantageusement la distance séparant lesdits poteaux verticaux est sensiblement comprise entre 1 et 4 m et correspond de préférence à la longueur d’une traverse horizontale 22, c’est-à-dire à sensiblement 1,5m. Préférentiellement, ladite structure défini une cage (ou compartiment) suffisamment rigide et dont la résistance mécanique permet à au moins un utilisateur de se suspendre au sein de cette dernière.

Préférentiellement, ladite structure 1 comporte également, en tant qu’élément de structure, une plaque d'embase 23 (par exemple visible sur la figure 1) destinée à être posée au sol et à assurer la fixation et le maintien d’un poteau vertical 21, par exemple au moyen d'une platine de fixation 231 ou d’une équerre de fixation. De manière avantageuse, ladite structure 1 comporte une pluralité de plaques d’embase 23, reliées entre elles, si bien que ces dernières participent à la rigidité et l’intégrité de ladite structure 1, en maintenant un écart fixe entre les différents poteaux verticaux. En outre, ladite plaque d’embase 23 permet d’affranchir ladite structure 1 des contraintes liées au sol et permet ainsi une installation de cette dernière sur une multitude de sols de nature différentes (herbe, gravier, béton, terre, etc), puisqu’aucun montant, et particulièrement aucun poteau vertical 21 n’a besoin d’être fixé directement au sol. Ainsi de lourds travaux de maçonnerie (fondations) sont évités grâce auxdites platines de fixation 231 et plaques d’embase 23. Avantageusement, lesdites plaques d’embase 23 sont réalisées en un matériau suffisamment résistant et lourd afin de conférer à ladite structure 1 un centre de gravité relativement bas et ainsi garantir la stabilité de cette dernière. Ladite plaque d’embase 23 peut d’ailleurs constituer une invention en tant que telle.

De manière particulièrement avantageuse, il est possible de faire varier la taille de ladite structure 1 grâce au nombre et à l’agencement de ces éléments de structure. En effet, il est parfaitement possible, par exemple en accolant à la structure 1 précédemment définie (et visible sur la figure 1) d’autres éléments de structure et notamment d’autres plaques d’embases 23, d’autres poteaux verticaux 21 et d’autres traverses horizontales 22, de manière à construire une seconde cage accolée (c’est-à-dire juxtaposée et reliée) à la première précédemment réalisée et décrite. Pour ce faire, il est par exemple possible de relier à la précédente structure 1 (ou précédente cage) au moins deux poteaux verticaux 21 par exemple par l’intermédiaire de deux traverses horizontales 22 et une pluralité de plaques d’embase 23 de manière à construire une seconde cage de forme parallélépipédique, dont deux des poteaux verticaux sont alors partagés avec la première cage. En d’autres termes, un tel agencement permet de construire une structure d’exercice sportif 1 plus grande, plus complexe et définissant une pluralité de cages, multipliant ainsi les possibilités d’usage et le nombre d’utilisateurs pouvant exploiter ladite structure 1 simultanément. Ainsi, grâce à ces éléments de structures remarquables il est avantageusement possible, sans sortir du cadre de l’invention, de réaliser une structure d’exercice sportif 1 qui soit modulaire (c’est-à-dire modulable), ce qui permet de multiplier les possibilités d’applications et d’usages de cette dernière. En effet, une structure de petite taille (par exemple ne proposant qu’un seul espace parallélépipédique, ou une seule cage, telle que définie précédemment et visible sur la figure 1) sera particulièrement adaptée et recherchée par un utilisateur seul, comme par exemple une personne qui désirerait installer ladite structure 1 dans son jardin afin de pratiquer ses exercices physiques à son domicile en totale indépendance et autonomie. A l’inverse une structure plus grande et plus complexe, c’est-à-dire présentant une pluralité d’espaces de travail parallélépipédiques (ou une pluralité de cages) sera particulièrement appréciée dans le cadre d’un usage collectif et / ou public, comme par exemple dans un parc, un square, un stade, etc. Préférentiellement, la taille et la résistance mécanique de ladite structure 1 permet à une pluralité d’utilisateurs et de préférence entre 2 et 15 utilisateurs de se situer à l’intérieur de celle-ci et de se suspendre à ladite structure 1, avantageusement par une pluralité de barres d’exercice 31.

Selon l’invention, ladite structure comporte au moins un trou 10 avantageusement réalisé dans un montant. Par trou on entend n’importe quelle cavité, préférentiellement débouchante (c’est-à-dire traversante), au sein de laquelle on peut avantageusement venir introduire un élément extérieur. Préférentiellement, ledit trou 10 est de forme sensiblement cylindrique et l’axe de perçage est sensiblement perpendiculaire à la surface à partir de laquelle il est réalisé. Avantageusement ce trou 10 est destiné à permettre la fixation desdits accessoires.

Préférentiellement, ledit trou 10 est ménagé transversalement à travers toute l’épaisseur dudit montant de façon à former un trou débouchant. Le dit montant peut indifféremment présenter une structure pleine ou creuse et être réalisé dans n’importe quel matériau suffisamment solide, rigide et résistant pour conférer à ladite structure 1 toute sa résistance et son intégrité mécanique. Par exemple, lesdits montants pourront être formés par des poutres de bois, ou bien par des profilés métalliques, ces derniers étant avantageusement de section carrée ou ronde et préférentiellement de section creuse. L’expression « trou débouchant » désigne un trou réalisé de part en part dudit montant, c’est-à-dire qu’il traverse entièrement ce dernier, et ce même si le montant a une section creuse (dans ce cas, le trou 10 traverse alors au moins deux épaisseurs de matériaux).

De manière avantageuse, ladite structure 1 comporte une pluralité de trous 10 préférentiellement répartis de manière sensiblement uniforme sur ladite structure 1, et ce afin de proposer une pluralité de possibilités d’installations des accessoires. Avantageusement lesdits trous sont réalisés au sein dudit montant selon des axes de perçage sensiblement perpendiculaires, et préférentiellement à partir de faces perpendiculaires desdits montants dans le cas avantageux où ces derniers sont de section carrée, comme on peut le voir sur la figure 1. Par exemple, lesdits trous 10 peuvent être séparés par une distance fixe (avantageusement 600 mm). Dans ce cas, de manière préférentielle, un dispositif d’assemblage 5 est inséré dans chacun desdits trous 10, et ce notamment afin, comme cela sera détaillé par la suite, de ne pas laisser d’orifices c'est-à-dire de trous 10, apparents, avantageusement en vue de prévenir toute introduction fortuite ou volontaire de corps étranger (eau, poussière, doigt, etc.) à l’intérieur de ladite structure 1.

Toujours selon l’invention, ledit dispositif 5 comporte au moins un corps principal creux 51 qui est pourvu d’au moins une première ouverture 511 comme l’illustrent par exemple les figures 4 à 7. En d’autres termes, ledit corps principal 51 comporte un trou, c’est-à-dire une cavité, de manière à définir une première ouverture 511.

Ledit corps principal creux 51 est alors destiné d’une part à être inséré dans ledit trou 10 et d'autre part à recevoir de façon amovible un connecteur mâle. L’expression « connecteur mâle » désigne n’importe quelle pièce dont la forme est sensiblement complémentaire de celle du creux (ou du trou) du corps principal creux 51. En d’autres termes, ledit connecteur mâle a une forme qui lui permet de venir s’insérer à l’intérieur du corps principal creux 51, de manière à réaliser un assemblage.

Avantageusement, ledit accessoire forme au moins en partie ledit connecteur mâle. En d'autres termes, selon un mode de réalisation avantageux, l'accessoire, et préférentiellement une barre d’exercice 31 telle que définie précédemment est introduite préférentiellement par une de ses extrémités, à l'intérieur du corps principal creux 51, ce dernier étant lui-même introduit à l’intérieur du trou 10 de la structure d’exercice sportif 1. Ainsi, ladite barre d’exercice 31 physique (c’est-à-dire l’accessoire) n’est pas au contact direct de la structure d’exercice sportif 1, puisqu’elle est assemblée à cette dernière par l’intermédiaire du dispositif d’assemblage 5. En d’autres termes, le corps principal creux 51 est une pièce intermédiaire située entre l’accessoire et la structure d’exercice sportif 1, ce qui permet de conférer à l’assemblage des propriétés remarquables et notamment en termes de durabilité et de confort puisque l'accessoire, et en particulier la barre d’exercice 31, n’est pas au contact direct de la structure 1 ce qui évite ainsi toutes problématiques de rayure, de frottements ou encore de bruit connues dans les structures de l’art antérieur.

Avantageusement, ledit connecteur mâle est solidaire dudit accessoire, et de préférence vient de matière avec ce dernier. En d’autres termes, ledit connecteur est intégré audit accessoire et préférentiellement dans la continuité de la matière de ce dernier, c’est à dire que le connecteur est réalisé dans la même matière et avantageusement au cours du même processus de fabrication, que ledit accessoire. Ainsi, selon un mode de réalisation particulier, ledit accessoire peut par exemple désigner une barre d’exercice 31 qui comporterait, à chacune de ses extrémités une forme spécifique qui lui permettrait d’être similaire au connecteur mâle précédemment défini.

De manière alternative, un axe de fixation 32 forme ledit connecteur mâle ce dernier étant alors avantageusement utilisé pour la fixation d’un accessoire spécifique, par exemple une équerre de déport ou une équerre en demi-cercle 42 mentionnés précédemment sur ladite structure d’exercice sportif 1. Plus précisément, selon ce mode de réalisation particulier, et par exemple visible sur la figure 3, ledit accessoire spécifique a sensiblement la forme d'une équerre dont une partie forme avantageusement un creux complémentaire de la forme dudit montant auquel elle est destinée à se monter. Avantageusement, ledit montant est un poteau vertical 21 de section sensiblement carrée et l’équerre comporte alors une partie en forme de U destinée à venir se placer autour dudit poteau vertical 21. Préférentiellement, cette partie en forme de U comporte, un trou débouchant réalisé avantageusement à travers les deux parois opposées du U, ce trou étant destiné à accueillir la pièce de fixation 5. Préférentiellement, afin d’augmenter la rigidité de ladite pièce de connexion 5, un axe de fixation 32 est placé à l’intérieur de cette dernière, de manière à jouer le rôle du connecteur mâle précédemment défini. En effet, les efforts appliqués sur l’accessoire spécifique, sont transmis à la structure 1 par l’intermédiaire de la pièce de fixation 5, mais la rigidité et la résistance mécanique de cette dernière a alors été considérablement accrue grâce audit axe de fixation 32 qui vient ainsi combler le trou du corps principal creux 51.

Ainsi, selon l’invention, ledit connecteur mâle est destiné à être inséré au sein dudit corps principal creux 51 par la première ouverture 511 afin de relier lesdits accessoire et corps principal creux 51.En d’autres termes, une liaison, et avantageusement une liaison encastrement comme cela sera détaillée par suite, est réalisée entre ledit accessoire et le corps principal creux 51 grâce au connecteur mâle, ce dernier pouvant avantageusement être utilisé directement comme pièce de liaison et/ou comme pièce de renfort.

De manière avantageuse, le corps principal creux 51 comprend : - une paroi latérale tubulaire 514 s’étendant entre ladite première ouverture 511 et une deuxième ouverture 512, le terme « paroi latérale tubulaire » se référent alors préférentiellement à une entretoise dont la forme est sensiblement celle d’un tube, - et un épaulement 513 situé au niveau de ladite première ouverture 511, le terme « épaulement » désignant avantageusement une augmentation de diamètre préférentiellement destinée à servir d’appui. Préférentiellement, lors de l’insertion du corps principal 51 dans le trou 10, ledit épaulement 513 vient en butée contre ledit montant, de manière à immobiliser en translation le corps principal creux 51 au sein dudit montant. Avantageusement, le diamètre extérieur de l’épaulement 513 est compris entre 20 et 90 mm et est préférentiellement égal à sensiblement 55 mm. Préférentiellement l’épaisseur dudit épaulement 513 est compris entre 2 et 20 mm et est sensiblement égal à 5 mm.

Préférentiellement le corps principal 51 a une forme de tube cylindrique de section circulaire s’étendant longitudinalement entre deux extrémités et délimitant un volume intérieur continu débouchant à chaque extrémité pour former respectivement lesdites première et deuxième ouverture 511, 512. En d’autres termes, ledit corps principal creux 51 a une forme de révolution, et avantageusement une forme sensiblement cylindrique, lesdites premières et deuxièmes ouvertures 511, 512 se situant alors sur chacune des faces planes opposées du cylindre, de manière à définir un cylindre creux, c’est-à-dire un tube. Dans ce cas préférentiel, lesdites premières et deuxième ouverture 511, 512 présentent alors la forme d’un disque définissant chacune les ouvertures dudit tube. Avantageusement, le diamètre dudit corps principal 51 est ajusté à celui dudit trou 10, afin que le corps principal 51 puisse être inséré dans ledit trou 10 et avantageusement y rester. De manière préférentielle, l’ajustement en question est un ajustement avec jeu, c’est-à-dire qu’il permet d’insérer et/ou de retirer ledit corps principal 51 au sein du trou 10 sans effort excessif tout en garantissant un bon centrage et un bon guidage dudit corps principal. En d’autres termes, le diamètre extérieur du corps principal creux 51 correspond sensiblement (moyennant un jeu fonctionnel pour l’insertion et/ou l’extraction dudit corps) au diamètre du trou 10. Avantageusement le diamètre extérieur du corps principal 51 est sensiblement compris entre 20 et 60 mm et de préférence sensiblement égal à 42 mm.

Dans le cas préférentiel décrit ci-dessus où le corps principal creux 51 a sensiblement la forme d’un tube, le connecteur mâle aura alors une forme sensiblement complémentaire cylindrique de manière à pouvoir être insérée à l’intérieur du tube, et ce afin de réaliser avantageusement une liaison pivot glissant (un cylindre à l’intérieur d’un trou cylindrique). Avantageusement, le diamètre intérieur du corps principal creux 51 est sensiblement égal au diamètre dudit connecteur mâle et est sensiblement compris entre 10 et 60 mm et de préférence sensiblement égal à 35 mm.

Préférentiellement, ledit corps principal creux 51 est dimensionné de façon à dépasser de chaque côté du montant, comme on peut par exemple le voir sur la figure 2 ou 3. En d’autres termes la longueur du corps principal creux 51 est supérieur à l’épaisseur (ou la section) dudit montant, si bien qu’une partie du corps principal creux 51 fait saillie de chacun des côtés dudit montant. Avantageusement la longueur totale du corps principal creux 51 est comprise entre 50 et 400 mm et de préférence entre 100 et 200 mm.

Préférentiellement, le corps principal creux 51 est en matière plastique, et est de préférence réalisé par injection / moulage de matière plastique, ou par tout autre procédé permettant de mettre en œuvre rapidement, avec une grande reproductibilité et à moindre coup une pièce plastique au sein d’un moule destiné à lui donner sa forme finale. En outre, le corps principal creux 51 et par extension le dispositif d’assemblage peut constituer une pièce d’usure, c’est-à-dire une pièce destinée à s’user avant les autres pièces, et avantageusement avant ladite structure 1 elle-même et avant ledit accessoire. En effet, il est préférable pour l’utilisateur de la structure 1 ou son propriétaire de remplacer aisément le dispositif d’assemblage 5 qui est une pièce de petite taille peu coûteuse plutôt que de changer un élément de structure, comme par exemple un poteau vertical 21 ou une traverse horizontale 22, ces éléments étant beaucoup plus encombrants, délicats à remplacer et onéreux.

Selon l’invention, le dispositif d’assemblage 5 comprend en outre un premier bouchon amovible 53 destiné à obturer ladite première ouverture 511 lorsque le connecteur mâle n’est pas inséré au sein dudit corps principal creux 51. Le terme bouchon désigne préférentiellement n’importe quel dispositif dont la fonction principale est de boucher, c’est-à-dire occulter ou obstruer une ouverture et en l’occurrence la première ouverture 511 précédemment définie. La forme du premier bouchon 53 est alors sensiblement complémentaire, au moins sur une certaine partie de celui-ci, de la forme du creux (ou du trou) dudit corps principal creux 51. Avantageusement, et comme l'illustrent par exemple les figures 4 à 7, ledit premier bouchon 53 comporte un premier disque extérieur 531 dont le diamètre est sensiblement supérieur à celui de ladite première ouverture 511 de manière à venir totalement occulter cette dernière lors de la mise en place du bouchon.

Ledit bouchon étant amovible, il est donc avantageusement prévu pour pouvoir être mis en place et ôté à volonté, c’est-à-dire de manière à pouvoir boucher ou déboucher ladite première ouverture 511 à volonté. Préférentiellement ces opérations de bouchage et débouchage peuvent être effectuées sans outil spécifique et à main nu par un utilisateur. De manière particulièrement avantageuse, ledit premier bouchon amovible 53 est notamment mis en place lorsque l’intérieur du corps principal creux 51 reste inoccupé, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de connecteur mâle à l’intérieur de celui-ci. Ledit bouchon comporte de manière avantageuse une première languette 533, c’est-à-dire une excroissance, qui fait saillie, préférentiellement selon une direction centrifuge, du premier disque extérieur 531.

Préférentiellement, le diamètre du premier disque extérieur 531 est inférieur ou égal et avantageusement égal à celui dudit épaulement 513, de manière à ce que ledit premier disque extérieur 531 recouvre, outre la première ouverture 511, la surface apparente formée par ledit épaulement 513. Dans ce cas, seule la première languette 533 fait alors saillie de l’épaulement 513 ce qui permet facilement à un utilisateur de saisir ledit bouchon 53, notamment pour l’ôter.

Préférentiellement, ledit premier bouchon 53 comporte également une première bague 532 accolée audit premier disque extérieur 531 et destinée à venir coopérer avec la première ouverture 511 du corps principal creux 51. En d’autres termes cette première bague 532 fait saille depuis le premier disque extérieur 531, de manière à venir s’insérer à l’intérieur dudit corps principal creux 51 lorsque le bouchon est mis en place dans la première ouverture 511. Avantageusement, le diamètre extérieur de cette première bague 532 correspond sensiblement (moyennant un léger jeu fonctionnel) au diamètre de ladite première ouverture 511 de manière à pouvoir être introduite dans cette dernière. Ainsi, lorsque le bouchon est en place sur la première ouverture 511, le premier disque extérieur 531 est en appui, préférentiellement en appui surfacique sur le corps principal creux 51 et avantageusement sur l’épauîement 513, tandis que la première bague 532 est à l’intérieur du corps principal creux 51, avantageusement selon un contact annulaire. Ladite première bague 532 peut indifféremment être réalisée au cours du même processus de fabrication que ledit premier disque extérieur 531 (notamment par usinage ou moulage par exemple) en venant de matière avec ce dernier ou au contraire être rapportée sur ledit disque, par exemple par un processus d’assemblage bien connu en tant que te! comme par exemple un processus de collage ou de soudage.

De manière avantageuse, ledit premier bouchon 53 est réalisé dans un matériau relativement souple (tel que par exemple du silicone ou du caoutchouc), et avantageusement sensiblement plus souple que celui dans lequel est réalisé le corps principal creux 51, de manière à pouvoir légèrement se déformer lors de sa mise en place, assurant ainsi une étanchéité optimale. Plus précisément, c’est avantageusement la première bague 532 qui se déforme légèrement lors de son introduction au sein de la première ouverture 511 du corps principal creux 51 afin d’optimiser l’étanchéité, et notamment en vue de garantir une étanchéité à l’eau et à la poussière. En outre cette légère déformation permet de maintenir en place le bouchon et d’éviter que celui-ci ne soit ôté de manière fortuite, par exemple sous l’effet du vent ou d’un léger choc.

Ainsi, le premier bouchon amovible 53, comportant avantageusement les deux parties précédemment définies (le premier disque extérieur 531 et la première bague 532), est remarquablement adapté à être partiellement inséré à l’intérieur du corps principal creux 51 du dispositif d’assemblage, et ce de manière à venir boucher, c’est-à-dire occulter, la première ouverture 511, et ce préférentiellement lorsqu’aucun connecteur mâle se trouve à l’intérieur dudit corps principal creux 51. Ce premier bouchon amovible 53 permet donc de prévenir un corps étranger (tel qu’une saleté, de l’eau, ou le doigt d’un utilisateur) de pénétrer à l’intérieur du dispositif d’assemblage 5.

En effet, lorsque le dispositif d’assemblage 5 n’est pas utilisé, ou utilisé que partiellement, c’est-à-dire notamment lorsqu’il est positionné dans un trou 10 de la structure 1 mais qu’il ne comporte pas, au sein de son corps principal creux 51 un connecteur mâle, le premier bouchon amovible 53 précédemment décrit permet avantageusement d’obturer la première ouverture 511, et ce pour des raisons de durabilité (l’eau ne peut pas pénétrer à l’intérieur de la structure 1), et/ou de sécurité (un utilisateur ne peut pas introduire ses doigts à l’intérieur). A l’inverse, lorsqu’un connecteur mâle se trouve à l’intérieur du corps principal creux 51, l’orifice de ce dernier est déjà obturé (par ledit connecteur mâle) ce qui rend inutile l’utilisation dudit premier bouchon, voire même incompatible l’utilisation de ce dernier dans la mesure où il est tout à fait possible et même préférable que la longueur du connecteur mâle soit sensiblement supérieure à la longueur du corps principal creux 51.

Préférentiellement, le dispositif d’assemblage comprend un lien 55 sensiblement souple reliant ledit premier bouchon amovible 53 audit corps principal 51, c'est-à-dire que ledit premier bouchon 53 est attaché par un lien 55 audit corps principal 51, et ce afin d'éviter à un utilisateur d’égarer ledit bouchon lorsque celui-ci n’est pas utilisé pour obturer la première ouverture 511, comme décrit précédemment. En d’autres termes, ledit premier bouchon amovible 53 est relié, c’est-à-dire attaché par un lien 55, audit corps principal 51. Le terme « lien » désigne ici n’importe quel élément qui permet de relier un élément avec un autre, tout en conservant une relative liberté de mouvement entre les deux éléments. Ainsi, on pourra par exemple utiliser un lien mettant en œuvre un élément sensiblement souple tel qu’une corde, un fil ou une chaîne. Préférentiellement, ledit lien 55 pourra être constitué par une bande sensiblement souple du matériau constitutif dudit premier bouchon (silicone ou élastique par exemple). De manière avantageuse, ledit premier bouchon 53 est relié au corps principal 51 par une pluralité de liens 55, et préférentiellement deux, afin de limiter le risque de perte dudit bouchon en cas de rupture d’un desdits liens.

Avantageusement, le corps principal 51 vient de matière avec le premier bouchon 53 et le lien 55, c’est-à-dire que ces trois éléments sont avantageusement réalisés au cours d’un même processus (par exemple un processus d’injection ou de moulage plastique) et sont tous les trois reliés entre eux par la même matière.

Avantageusement, ledit corps principal creux 51 s’étend longitudinalement entre ladite première ouverture 511 et une deuxième ouverture 512 opposée et le dispositif d’assemblage 5 comprend en outre un deuxième bouchon amovible 54 destiné à obturer ladite deuxième ouverture 512, selon un principe et un fonctionnement sensiblement similaire à celui du premier bouchon amovible 53 avec la première ouverture 511 définis précédemment. Préférentiellement, tout comme le premier bouchon amovible 53 défini précédemment, le deuxième bouchon amovible 54 comporte un deuxième disque extérieur 541 dont le diamètre est sensiblement supérieur à celui de ladite deuxième ouverture 512 de manière à venir totalement occulter cette dernière lors de la mise en place du deuxième bouchon 54. La forme du deuxième bouchon 54 est alors sensiblement complémentaire, au moins sur une certaine partie de celui-ci, de la forme du creux (ou du trou) dudit corps principal creux 51.

Ledit deuxième bouchon 54 étant amovible, il est donc avantageusement prévu pour pouvoir être mis en place et ôté à volonté, c’est-à-dire de manière à pouvoir boucher ou déboucher ladite deuxième ouverture 512 à volonté. Préférentiellement ces opérations de bouchage et débouchage peuvent être effectuées sans outil spécifique et à main nu par un utilisateur. Pour ce faire, ledit bouchon comporte de manière avantageuse, et selon le même schéma que le premier bouchon 53, une deuxième languette 543, c’est-à-dire une excroissance, qui fait saillie, préférentiellement selon une direction axiale, du deuxième disque extérieur 541. La dite languette est alors particulièrement adaptée pour ôter ou mettre en place ledit bouchon en proposant une surface de contact aisément préhensible par les doigts d’un utilisateur.

Préférentiellement, ledit deuxième bouchon 54 comporte également une deuxième bague 542 accolée audit deuxième disque extérieur 541 et destinée à venir coopérer avec la deuxième ouverture 512 du corps principal creux 51. En d’autres termes, ladite deuxième bague 542 fait saillie depuis le deuxième disque extérieur 541 et préférentiellement dans une direction opposée à celle de ladite deuxième languette 543. Avantageusement, le diamètre extérieur de cette bague 542 correspond sensiblement (moyennant un léger jeu fonctionnel avantageusement similaire à celui défini précédemment pour le premier bouchon 53) au diamètre de ladite deuxième ouverture 512 de manière à pouvoir être introduite dans cette dernière. Ladite bague 542 peut indifféremment être réalisée au cours du même processus de fabrication que ledit deuxième disque extérieur 541 (notamment par usinage ou moulage par exemple) et vient alors de matière avec ce dernier ou au contraire être rapportée sur ledit disque, par exemple par un processus d’assemblage bien connu en tant que tel comme par exemple un processus de collage ou de soudage.

De manière avantageuse, ledit deuxième bouchon 54 peut également être attaché par un autre lien audit corps principal 51 et / ou à l'élément d’attache 52 défini ci-dessous.

Ledit dispositif 5 comprend avantageusement un élément d’attache 52 conçu pour attacher de façon amovible le connecteur mâle audit corps principal 51. En d’autres termes, ledit élément d’attache 52, ou élément de fixation, est destiné à immobilier ledit connecteur mâle au sein dudit corps principal creux 51, et ainsi verrouiller ou bloquer l’assemblage. L’expression « élément d’attache » désigne avantageusement n’importe quel dispositif bien connu en tant que tel dont la fonction principale est avantageusement d’immobiliser une pièce par rapport à une autre au moins selon une direction. Ainsi, ledit élément de fixation 51 est préférentiellement choisi parmi le groupe comportant les vis, les goupilles, les anneaux d’arrêt (ou « circfips »), les clavettes, etc. Préférentiellement, ledit élément de fixation est formé par une goupille et avantageusement une goupille cylindrique ou une goupille de type « cavalier» de manière à pouvoir être montée et démontée à volonté et sans outils ni efforts spécifiques.

Cet élément de fixation est donc destiné à interagir entre ledit connecteur mâle et ledit corps principal 51 de manière à immobiliser c’est-à-dire empêcher le mouvement de l’accessoire au sein du corps principal creux 51, et ce selon au moins une direction, et notamment en bloquant la translation selon l’axe principal dudit corps principal creux 51. Dans le cas préférentiel présenté précédemment où le connecteur mâle et le corps principal creux 51 forment une liaison pivot glissant, l’élément d’attache 52 vient alors au moins immobiliser la translation de ladite liaison pour en faire une liaison pivot, ne laissant ainsi possible que la rotation du connecteur mâle au sein du corps principal creux 51.

De manière avantageuse, le corps principal 51 comprend une paroi latérale tubulaire 514 comprenant un premier orifice 515 et l’élément d’attache 52 comprend une goupille destinée à être enfilée à la fois dans ledit orifice 515 ainsi que dans un orifice ménagé dans le connecteur mâle. En d’autres termes, ledit élément d’attache 52 permet de réaliser une liaison encastrement, c’est-à-dire qu’il permet de bloquer tous les mouvements possibles entre le connecteur mâle et le corps principal creux 51. Pour ce faire, et selon un mode de réalisation préférentiel, d'une part, ledit connecteur comporte selon une direction radiale un trou débouchant dans lequel est destiné à venir s’insérer ledit élément d’attache 52, par exemple une goupille. D’autre part, le corps principal creux 51 comporte lui aussi, selon une direction radiale un premier orifice 515 débouchant, avantageusement réalisé radialement à travers la paroi latérale tubulaire 514 et destiné à recevoir également ledit élément d’attache 52. Dès lors, ce dernier traverse à la fois le corps principal creux 51 et le connecteur mâle ce qui permet de totalement immobiliser ce dernier au sein du corps principal creux 51 et donc de créer une liaison encastrement. Avantageusement le diamètre dudit premier orifice 515 est compris entre 2 et 20 mm et est sensiblement égal à 8 mm, de manière à correspondre sensiblement à celui de l’élément d’attache 52.

De manière avantageuse, ledit élément d’attache 52 peut être relié au corps principal creux 51, par exemple au moyen d’un lien sensiblement souple tel qu’une corde ou une chaîne.

Préférentiellement, ledit élément d’attache 52 est également conçu pour attacher ledit deuxième bouchon 54 de façon amovible audit corps principal 51. En d’autre termes, ledit deuxième bouchon 54 interagit avec l’élément d’attache 52, ce dernier étant avantageusement situé à proximité de la deuxième ouverture 512. En d’autres termes, en plus de traverser avantageusement le corps principal creux 51 et le connecteur mâle comme précédemment défini, l’élément d’attache 52, préférentiellement constitué par une goupille, traverse en outre préférentiellement le deuxième bouchon amovible 54, notamment par l’intermédiaire d’un deuxième orifice 544, avantageusement réalisé radialement dans la deuxième bague 542. Ainsi, lorsque le deuxième bouchon amovible 54 et l’élément d’attache 52 sont en place, il n’est plus possible d’ôter ledit deuxième bouchon 54. En d’autres termes, pour pouvoir retirer le deuxième bouchon amovible 54, il est d’abord nécessaire de retirer l’élément d’attache 52, Ainsi, le deuxième bouchon 54 comprend un second orifice 544, et la goupille est destinée à être enfilée à la fois dans ledit second orifice 544 ainsi que dans l’orifice ménagé dans le connecteur mâle et dans le premier orifice 515 ménagé dans la paroi latérale 514. Avantageusement le diamètre dudit deuxième orifice 544 est compris entre 2 et 20 mm et est sensiblement égal à 8 mm, de manière à correspondre à celui de l’élément d’attache 52.

En outre, ce dispositif d’assemblage 5 présente une fonctionnalité de sécurité remarquable pour les utilisateurs dans la mesure où il permet d’éviter la présence d'arrêtés tranchantes, qui seraient formées par les trous 10 réalisés à l’intérieur des éléments de structure de ladite structure d’exercice sportif 1. En effet, ces trous 10 étant équipés dudit dispositif d’assemblage, et notamment du corps principal creux 51, les arêtes vives métalliques des trous 10 sont avantageusement remplacées par un tube préférentiellement en matière plastique, éliminant alors les risques de coupure si un utilisateur introduit (volontairement ou involontairement) son doigt à l’intérieur. L’invention concerne également en tant que tel un système d’assemblage comprenant un dispositif d'assemblage 5 tel que défini précédemment ainsi que le connecteur mâle défini ci-dessus. L’invention concerne également en tant que tel un système d’exercice sportif comprenant au moins : - une structure d’exercice sportif 1 comportant au moins un trou 10, préférentiellement tels que décrits précédemment, - un accessoire, avantageusement similaire à celui décrit précédemment - un connecteur mâle, avantageusement similaire à celui décrit précédemment, - et un dispositif d’assemblage 5 dudit accessoire à ladite structure 1 selon l’un des modes de réalisation décrit précédemment, ledit connecteur mâle étant destiné à être inséré au sein dudit corps principal creux 51 par la première ouverture 511 afin de relier lesdits accessoire et dispositif d'assemblage. L’invention concerne également en tant que tel un procédé de construction d’un système d’exercice sportif comprenant une structure d’exercice sportif 1 comportant au moins un trou 10, ledit procédé comprenant une étape d’insertion dans ledit trou 10 d’un corps principal creux 51 qui est pourvu d’au moins une première ouverture 511 et comprenant en outre l’une ou l’autre des étapes alternatives suivantes : - une étape d’obturation de ladite première ouverture 511 au moyen d’un premier bouchon amovible 53, - ou une étape d'assemblage d’un accessoire à ladite structure 1, au cours de laquelle un connecteur mâle est reçu de façon amovible au sein dudit corps principal creux 51 par insertion dudit connecteur mâle au sein du corps principal 51 par ladite première ouverture 511, afin de relier ledit accessoire au corps principal creux 51, de manière à ne laisser aucun trou 10 ni aucune ouverture 511 apparente au sein de ladite structure 1.

Claims

REVENDICATIONS

1 - Dispositif d’assemblage (5) destiné à assembler un accessoire à une structure d’exercice sportif (1), ladite structure comportant au moins un trou (10), ledit dispositif (5) étant caractérisé en ce qu’il comporte au moins un corps principal creux (51 ) qui est pourvu d’au moins une première ouverture (511) et qui est destiné d’une part à être inséré dans ledit trou (10) et d’autre part à recevoir de façon amovible un connecteur mâle destiné à être inséré au sein dudit corps principal creux (51 ) par la première ouverture (511 ) afin de relier lesdits accessoire et corps principal creux (51 ), et en ce que le dispositif comprend en outre un premier bouchon amovible (53) destiné à obturer ladite première ouverture (511) lorsque le connecteur mâle n’est pas inséré au sein dudit corps principal creux (51 ).
2 - Dispositif d’assemblage (5) selon la revendication précédente caractérisé en ce qu’il comprend un lien (55) sensiblement souple reliant ledit premier bouchon amovible (53) audit corps principal (51).
3 - Dispositif d’assemblage (5) selon la revendication précédente caractérisé en ce que le corps principal (51 ) vient de matière avec le premier bouchon (53) et le lien (55).
4 - Dispositif d'assemblage (5) selon l’une des revendications précédentes caractérisé en ce que ledit corps principal creux (51) s'étend longitudinalement entre ladite première ouverture (511) et une deuxième ouverture (512) opposée, et en ce qu’il comprend en outre un deuxième bouchon amovible (54) destiné à obturer ladite deuxième ouverture (512).
5 - Dispositif selon l’une des revendications précédentes caractérisé en ce qu’il comprend un élément d’attache (52) conçu pour attacher de façon amovible le connecteur mâle audit corps principal (51).
6 - Dispositif d’assemblage (5) selon les revendications 4 et 5 caractérisé en que ledit élément d’attache (52) est également conçu pour attacher ledit deuxième bouchon (54) de façon amovible audit corps principal (51 ).
7- Dispositif d’assemblage (5) selon la revendication 5 ou 6 caractérisé en ce que le corps principal (51) comprend une paroi latérale tubulaire (514) comprenant un premier orifice (515) et l’élément d’attache (52) comprend une goupille destinée à être enfilée à la fois dans ledit orifice (515) ainsi que dans un orifice ménagé dans le connecteur mâle.
8 - Dispositif d’assemblage (5) selon les revendications 6 et 7 caractérisé en ce que le deuxième bouchon (54) comprend un second orifice (544), et en ce que la goupille est destinée à être enfilée à la fois dans ledit second orifice (544) ainsi que dans l’orifice ménagé dans le connecteur mâle et dans le premier orifice (515) ménagé dans ladite paroi latérale (514).
9 - Dispositif d’assemblage (5) selon l’une des revendications précédentes caractérisé en ce que le corps principal creux (51) comprend : - une paroi latérale (514) s’étendant entre ladite première ouverture (511) et ladite deuxième ouverture (512), - et un épaulement (513) situé au niveau de ladite première ouverture (511 ).
10 - Dispositif d'assemblage (5) selon l’une des revendications précédentes caractérisé en ce que le corps principal (51) a une forme de tube cylindrique de section circulaire s’étendant longitudinalement entre deux extrémités et délimitant un volume intérieur continu débouchant à chaque extrémité pour former respectivement ladite première ouverture (512) et une deuxième ouverture (512).
11 -Dispositif d’assemblage (5) selon la revendication précédente caractérisé en ce que le diamètre dudit corps principal (51 ) est ajusté à celui dudit trou (10).
12 - Dispositif d’assemblage (5) selon l’une des revendications précédentes caractérisé en ce que le corps principal creux (51 ) est en matière plastique, et est de préférence réalisé par injection / moulage de matière plastique.
13-Système d’assemblage comprenant un dispositif d’assemblage (5) selon l’une des revendications précédentes ainsi que ledit connecteur mâle.
14-Système d’assemblage selon la revendication précédente caractérisé en ce que ledit connecteur mâle est solidaire dudit accessoire, et de préférence vient de matière avec ce dernier.
15 - Système d’exercice sportif comprenant au moins : - une structure d’exercice sportif (1) comportant au moins un trou (10), - un accessoire, - un connecteur mâle, - et un dispositif d'assemblage (5) dudit accessoire à ladite structure (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 12, ledit connecteur mâle étant destiné à être inséré au sein dudit corps principal creux (51) par la première ouverture (511) afin de relier lesdits accessoire et dispositif d’assemblage.
16 - Système d’exercice sportif selon la revendication précédente caractérisée en ce que ladite structure (1) comporte au moins un montant qui s’étend longitudinalement entre une première et une deuxième extrémité, ledit trou (10) étant ménagé transversalement à travers toute l’épaisseur dudit montant de façon à former un trou débouchant, ledit corps principal creux (51) étant dimensionné de façon à dépasser de chaque côté du montant.
17-Système d’exercice sportif selon la revendication 16, ledit dispositif d’assemblage (5) étant défini selon la revendication 9, caractérisé en ce que ledit épaulement (513) vient en butée contre ledit montant.
18 -Système d’exercice sportif selon l’une des revendications 15 à 17 caractérisée en ce que ledit accessoire forme au moins en partie ledit connecteur mâle.
19 - Système d’exercice sportif selon l’une des revendications 15 à 18 caractérisée en ce qu’un axe de fixation (32) forme ledit connecteur mâle.
20 - Système d’exercice sportif selon l’une des revendications 15 à 19 caractérisée en ce que ledit accessoire est une barre d’exercice (31).
21 - Procédé de construction d’un système d’exercice sportif comprenant une structure d’exercice sportif (1) comportant au moins un trou (10), ledit procédé étant caractérisé en ce qu’il comprend une étape d’insertion dans ledit trou (10) d’un corps principal creux (51) qui est pourvu d’au moins une première ouverture (511) et en ce qu’il comprend en outre l’une ou l’autre des étapes alternatives suivantes : . - une étape d’obturation de ladite première ouverture (511) au moyen d’un premier bouchon amovible (53), - ou une étape d’assemblage d’un accessoire à ladite structure (1), au cours de laquelle un connecteur mâle est reçu de façon amovible au sein dudit corps principal creux (51) par insertion dudit connecteur mâle au sein du corps principal (51) par ladite première ouverture (511), afin de relier ledit accessoire au corps principal creux (51).