FR2918690A1 - Poignee de manoeuvre codee d'un ouvrant et ouvrant equipe d'une telle poignee. - Google Patents

Poignee de manoeuvre codee d'un ouvrant et ouvrant equipe d'une telle poignee. Download PDF

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Abstract

Cette poignée de manoeuvre codée d'un ouvrant comprend :- une tige d'actionnement d'un pêne lançant,- un organe de manoeuvre (37) propre à mettre en rotation la tige,- un organe d'engagement (42) de la tige propre à solidariser sélectivement la tige et l'organe de manoeuvre (37), l'organe de manoeuvre comprenant un logement dans lequel l'organe d'engagement (42) se déplace en translation.Cette poignée comprend au moins un organe de blocage (45) mobile entre une position prédéterminée correspondant à un marquage confidentiel où l'organe de blocage (45) guide en translation l'organe d'engagement (42) pour que celui-ci engage la tige et au moins une autre position où l'organe de blocage (45) immobilise l'organe d'engagement (42) dans une position où celui-ci n'engage pas la tige.

Description

POIGNEE DE MANOEUVRE CODEE D'UN OUVRANT ET OUVRANT EQUIPE D'UNE TELLE
POIGNEE L'invention a trait à une poignée de manoeuvre codée d'un ouvrant, en particulier une poignée permettant d'ouvrir ou de fermer une porte ou une fenêtre. Lorsque l'on souhaite que l'ouverture d'une porte ou d'une fenêtre se fasse uniquement par une personne autorisée, par exemple un adulte, une solution connue consiste à fermer à clé cette porte ou cette fenêtre. Ceci nécessite qu'il y ait autant de clés que de personnes autorisées et que ces dernières soient en possession de la clé au moment où elles désirent ouvrir la porte ou la fenêtre. On connaît également des serrures à code qui condamnent la porte ou la fenêtre. De telles serrures sont relativement encombrantes. Elles sont particulièrement adaptées lorsque l'on veut mettre en place un dispositif anti-intrusion, par exemple une porte extérieure blindée. En revanche, ces serrures ne sont pas aisées à mettre en oeuvre pour des portes intérieures et/ou pour remplacer des poignées de porte ou de fenêtre existantes.
On connaît par FR-A-2 730 755 une poignée de porte ou de fenêtre pouvant être montée en remplacement d'une poignée existante. La béquille de manoeuvre de cette poignée se prolonge par un fût formant un logement pour la tige de manoeuvre du pêne lançant de la porte. Par pêne lançant, on désigne la pièce en prise avec le dormant et maintenant la porte fermée. Ce fût est pourvu sur une paroi latérale, d'un orifice traversant dans lequel un doigt, percé d'un évidement, peut se déplacer selon une direction sensiblement perpendiculaire à un axe longitudinal du fût. L'évidement a une extrémité dont les dimensions sont propres à assurer le libre passage de la tige de manoeuvre. Une autre extrémité de l'évidement a des dimensions plus réduites que celles de la tige, ce qui permet de bloquer en rotation cette dernière. Ainsi, lorsqu'on appuie sur le doigt, celui-ci se déplace en direction de la tige et l'extrémité de l'évidement de moindre dimension bloque en rotation la tige. Celle-ci est alors solidaire de la poignée et on peut la manoeuvrer par pivotement de la béquille. Lorsqu'on relâche la béquille et la pression sur le doigt, un ressort ramène celui-ci en position initiale. La tige et le fût sont alors désolidarisés l'un de l'autre et le pivotement de la béquille ne permet plus d'ouvrir la porte. Si un tel dispositif est aisé à manoeuvrer par un adulte, qu'il s'agisse d'une personne autorisée ou non à ouvrir la porte, il peut, en revanche, s'avérer d'une mise en oeuvre complexe pour un jeune enfant. On connaît également par EP-A-1 382 780 une poignée de porte avec une béquille équipée d'une serrure à clé et d'un dispositif de sécurité à code. Ce dispositif à code est formé par des bagues rotatives qui, dans une position prédéterminée, permettent de libérer une plaque. Cette plaque, lorsqu'elle est verrouillée, est en appui sur un doigt de blocage de la béquille. Le déverrouillage complet du doigt de blocage se fait à la fois par la manoeuvre de la serrure et le déverrouillage de la plaque. Lorsque le déverrouillage de la plaque est réalisé, on peut déplacer la béquille de sa position initiale afin de pouvoir la faire pivoter pour ouvrir la porte. Un tel dispositif nécessite de connaître à la fois le code et d'avoir la clé sur soi. Par ailleurs, il ne peut être monté sur tout type de porte ou de poignée existantes du fait de son encombrement.
C'est à ces inconvénients qu'entend plus particulièrement remédier l'invention en proposant une poignée de manoeuvre d'un ouvrant, notamment une porte ou une fenêtre, aisément adaptable sur tout type d'ouvrant, que la poignée de l'ouvrant soit équipée d'une serrure à clé, à code ou autre.
A cet effet, l'invention a pour objet une poignée de manoeuvre d'un ouvrant, notamment une porte ou une fenêtre comprenant : - une tige d'actionnement d'un pêne lançant, - un organe de manoeuvre propre mettre en rotation la tige, - un organe d'engagement propre à solidariser sélectivement la tige et l'organe de manoeuvre, l'organe de manoeuvre comprenant un logement dans lequel l'organe d'engagement se déplace en translation, caractérisé en ce qu'elle comprend au moins un organe de blocage mobile entre une position prédéterminée, correspondant à un marquage confidentiel, où l'organe de blocage guide en translation l'organe d'engagement pour que celui-ci engage la tige et au moins une autre position où l'organe de blocage immobilise l'organe d'engagement dans une position où celui-ci n'engage pas la tige.
Grâce à l'invention on réalise une poignée dont l'organe de manoeuvre, béquille ou bouton, peut être désolidarisé sélectivement de la tige d'actionnement du pêne lançant cela sans intervenir sur la serrure ou la porte en elle-même. Seules la tige et les organes de manoeuvre doivent être changés. Ce dispositif est aisément modifiable au niveau du marquage confidentiel et peut être déconnecté afin de permettre la manoeuvre de l'ouvrant par toute personne. Cette poignée peut n'équiper qu'un côté de l'ouvrant. Selon des aspects avantageux mais non obligatoires de l'invention, le dispositif peut incorporer une ou plusieurs des caractéristiques suivantes : - L'organe d'engagement est un arbre dont une extrémité forme un logement de réception d'une extrémité de la tige, la surface extérieure de l'arbre étant munie d'au moins un relief. - L'organe de blocage comprend au moins une bague pourvue d'une fente montée libre en rotation dans l'organe de manoeuvre. - La fente de la bague est adaptée pour permettre le passage d'au moins un relief de l'organe d'engagement dans une position de guidage en translation de ce dernier. - Chaque bague est manoeuvrable par une molette rendue solidaire de la bague par des crans coopérant avec une bille lorsque celle-ci n'est pas dans une position de guidage de l'organe d'engagement. - L'organe d'engagement est une tige crantée dont une extrémité est adaptée pour s'insérer dans une encoche d'une pièce d'embrayage solidaire de la tige. - L'organe de blocage comprend au moins une touche équipée d'au 30 moins une encoche. -Chaque touche est disposée perpendiculairement à l'organe de blocage de manière qu'au moins une encoche de chaque touche guide en translation la tige crantée lorsque la touche est dans une position prédéterminée. - La poignée comprend des moyens de modification du marquage confidentiel de la position où chaque organe de blocage autorise le guidage en translation de l'organe d'engagement. - Les moyens de modification du marquage comprennent un organe de mise à zéro. - Les moyens de modification du marquage comprennent un verrou déplaçable. - La poignée est reliée à un organe propre à autoriser la manoeuvre de la poignée à partir de l'autre côté de l'ouvrant. L'invention concerne également un ouvrant équipé d'une poignée selon une des caractéristiques ci-dessus. L'invention sera mieux comprise et d'autres avantages de celle-ci apparaîtront plus clairement à la lecture de la description qui va suivre de quatre modes de réalisation d'une poignée de manoeuvre conforme à l'invention, donnée uniquement à titre d'exemple et faite en se référant aux dessins annexés dans lesquels : - La figure 1 est une vue générale d'une poignée, conforme à un premier mode de réalisation, - La figure 2 est une vue éclatée, à une plus petite échelle, des différentes pièces constitutives d'une partie de la poignée représentée à la figure 1, - La figure 3 est une vue similaire à la figure 2 d'une autre partie de la poignée de la figure 1, - La figure 4 est une vue en coupe, à une plus grande échelle, d'une partie de l'organe de blocage, - La figure 5 est une vue de côté, à une plus grande échelle, d'une pièce de la partie de la poignée de la figure 3, - La figure 6 est une vue de face à une plus grande échelle d'une pièce de la poignée de la figure 2, - Les figures 7 et 8 sont des coupes longitudinales à une autre échelle de l'organe d'engagement selon deux modes de réalisation, - la figure 9 est une coupe selon le plan IX à la figure 1, à une plus grande échelle, d'une partie de la poignée en position de dégagement, - La figure 10 est une vue en perspective, à une grande échelle, d'une pièce de la poignée de la figure 1, - Les figures 11 et 12 sont des figures, similaires à la figure 4, à une grande échelle, de l'organe de blocage respectivement en positions de blocage et de guidage de l'organe d'engagement, - Les figures 13A à 13D sont des coupes similaires aux figures 11 et 12, de la cinématique de remise en position de l'organe de dégagement 10 avec effacement du code, - La figure 14 est une vue générale, conforme à un autre mode de réalisation d'une partie d'une poignée conforme à l'invention, - La figure 15 est une vue éclatée des pièces constitutives de la poignée représentée à la figure 14, 15 - Les figures 16 et 17 sont des vues, à une plus grande échelle, de pièces constitutives de la poignée représentée aux figures 14 et 15 et - Les figures 18A à 18D sont des coupes schématiques, partielles, selon le plan XVIII à la figure 14 de la cinématique de changement du code et de remise en position initiale de la poignée représentée à la figure 14. 20 La figure 1 représente une poignée de manoeuvre 1 d'un ouvrant selon un premier mode de réalisation, telle qu'elle apparaît lorsqu'elle est en position sur l'ouvrant. Pour plus de lisibilité, l'ouvrant et la serrure avec le pêne lançant ne sont pas représentés, ces éléments étant connus en soi. Par ouvrant, il faut comprendre une porte ou une fenêtre permettant 25 la mise en relation d'une pièce d'un bâtiment avec l'extérieur ou une autre pièce. Par pêne lançant, on désigne la pièce en prise avec le dormant et qui maintient l'ouvrant fermé. La poignée de manoeuvre 1 désigne ici le dispositif permettant l'ouverture et la fermeture de l'ouvrant à partir d'un des côtés de l'ouvrant, 30 que l'on soit à l'intérieur ou à l'extérieur de la pièce. Comme illustré à la figure 2, une telle poignée 1 comprend une tige 2 à section carrée adaptée pour entraîner en rotation le pêne lançant, non illustré, d'une serrure, par l'intermédiaire d'un fouillot connu en soi. Une extrémité 3 de cette tige 2 carrée est munie d'une fente transversale. Cette extrémité 3 fendue de la tige 2, est adaptée pour se loger dans un évidement 4 ménagé dans un organe d'engagement 5. Cet organe d'engagement est représenté selon deux modes de réalisation aux figures 7 et 8, les mêmes références étant utilisées pour les mêmes éléments. L'organe d'engagement permet, dans les deux modes décrits, de solidariser sélectivement la tige 2 avec un organe de manoeuvre de la poignée 1. L'organe d'engagement est un arbre 5 cylindrique, à section circulaire, dont une extrémité est pourvue de l'évidement 4 propre à engager l'extrémité 3 de la tige 2. Dans cette configuration d'engagement, l'arbre 5 et la tige 2 sont solidaires en rotation. Un ressort 6, en l'espèce un ressort à boudins visible à la figure 2, est inséré dans l'évidement 4. Ainsi, il est intercalé entre l'extrémité 3 et l'arbre 5. Le ressort 6 est maintenu en position par insertion d'une de ses extrémités dans un puits 7, visible aux figures 7 et 8, ménagé dans le fond de l'évidement 4. L'extrémité de l'arbre 5 opposée à celle munie de l'évidement 4, forme un doigt arrondi ou poussoir 8 permettant la manoeuvre de l'organe 5, à savoir un déplacement en translation de ce dernier.
La surface extérieure de cet arbre 5 est équipée de reliefs. Ces derniers peuvent être en forme d'ergots cylindriques 90, comme illustré à la figure 7 ou de reliefs allongés 91 tel qu'illustré à la figure 8. Le nombre, la forme et l'espacement entre les reliefs sont adaptés selon la complexité souhaitée du marquage confidentiel. En l'espèce, au moins un relief 90 ou 91 est requis. Avantageusement, trois reliefs 90 ou 91 permettent la réalisation d'un marquage suffisamment complexe pour empêcher l'utilisation de la poignée par une personne non autorisée. Ces reliefs 90 ou 91, sont alignés sur la surface extérieure de l'arbre 5 selon une direction parallèle à un axe longitudinal A-A' de l'arbre 5.
En une position diamétralement opposée à chaque relief 90 ou 91, l'arbre 5 comprend des empreintes en forme d'évidements coniques 92, comme à la figure 8 ou de puits 93 comme à la figure 7. A la figure 8, l'évidement 92 situé le près du logement 4 n'est pas en face du premier relief 91 situé le plus près du logement 4, mais en face du deuxième relief 91. En d'autres termes, il y a un décalage d'un relief 91 entre les alignements de reliefs 91 et les alignements d'évidements 92. Ces évidements 92 et ces puits 93 peuvent être de forme, de nombre et de dimension autres que ceux décrits. L'arbre 5 a une forme et des dimensions adaptées pour être inséré dans un logement 10 de forme complémentaire, tout en étant mobile en translation dans ce logement. Le logement 10, visible aux figures 2 et 9, est ménagé dans le corps 11 d'un organe de manoeuvre 12 représenté à la figure 2. Le logement 10 est muni d'une rainure longitudinale 100, visible à la figure 2. Cette rainure est adaptée pour recevoir les reliefs 90 ou 91 et les guider en translation lors d'un mouvement de l'arbre 5. On solidarise ainsi en rotation l'arbre 5 et l'organe de manoeuvre 12. En l'espèce, l'organe de manoeuvre est une béquille 12 configurée en L. La partie définie comme étant le corps 11 de l'organe de manoeuvre correspond à la petite branche du L. En d'autres termes, le corps 11 correspond à la partie qui n'est pas prise en main par l'utilisateur pour la manoeuvre de la poignée 1. Dans d'autres modes de réalisation non illustrés, l'organe de manoeuvre 12 a des formes différentes, par exemple pour un côté d'une porte de WC. Ce peut être un bouton prolongeant le corps 11 pourvu du logement 10 de réception de l'organe 5 d'engagement. Le logement 10 traverse le corps 11 de la béquille 12, les extrémités du corps 11 étant ouvertes. Le corps 11 et, de facto le logement 10, a une longueur inférieure à celle de l'arbre 5, de telle sorte que l'extrémité arrondie formant poussoir 8 de l'arbre 5 s'étend à l'extérieur du corps 11, au niveau de l'extrémité du corps 11 opposée à celle pourvue du logement 10. Le corps 11 est équipé de découpes radiales 13 formant des fenêtres d'accès au logement 10. Ces fentes ou fenêtres 13 s'étendent sur environ la moitié de la circonférence du corps 11. La disposition des fenêtres 13 et leur nombre sont adaptés pour qu'elles soient situées entre deux reliefs 90 ou 91 de l'organe 5 d'engagement lorsque celui-ci est en place dans le corps 11, au fond du logement 10, le poussoir 8 s'étendant à l'extérieur du corps 11.
Des organes de blocage 14 sont insérés dans le logement 10, au niveau des fenêtres 13. Dans le mode de réalisation illustré aux figures 1, 2 et 9, les organes de blocage 14 comprennent une molette 16, une bague 14 et une bille 19.
Dans l'exemple, les organes de blocage 14 comprennent trois bagues 14, trois molettes 16 et trois billes 19. Chaque bague 14 est montée libre en rotation dans le logement 10, au niveau de chaque fenêtre 13. Le diamètre intérieur Di, indiqué à la figure 4, de chaque bague 14 est légèrement supérieur au diamètre externe De, indiqué à la figure 12, de l'organe 5 d'engagement. Les bagues 14 sont adaptées pour occuper une position angulaire prédéterminée où elles autorisent et guident le déplacement en translation de l'organe 5 d'engagement dans le logement 10, en direction de la tige 2. Chaque bague 14 a une position prédéterminée. Chaque bague 14 est pourvue d'une fente 15 qui a des dimensions et une forme correspondant à celles d'un relief 90 ou 91. En d'autres termes, lorsque la fente 15 d'une bague 14 est en regard avec un relief 90 ou 91, la fente 15 forme alors un logement de réception d'un relief 90, 91. Lorsque l'arbre est déplacé en translation, la fente 15 forme un organe de guidage en translation du relief 90, 91. Lorsque la fente 15 n'est pas en regard d'un relief 90 ou 91, la partie pleine de la bague 14 est située entre deux reliefs 90 ou 91 et forme alors une butée s'opposant à tout déplacement en translation de l'arbre 5. Chaque bague 14 est montée coaxialement dans une molette 16 annulaire insérée dans une fenêtre 13. La face externe de chaque molette 16 est tangente à la face externe du corps 11 de l'organe 12 de manoeuvre. Chaque molette 16 est équipée, sur sa circonférence, d'un doigt de manoeuvre 17 permettant la mise en rotation de la molette 16, ce doigt 17 s'étendant radialement par rapport au corps 11. Dans un autre mode de réalisation non illustré, la face externe de chaque molette 16 est saillante par rapport au corps 11. Dans ce cas, la mise en rotation de chaque molette 16 s'effectue directement, sans préhension d'un doigt de manoeuvre.
Les faces interne et externe de chaque molette 16 sont crantées. La forme et les dimensions de chacun des crans internes 18 d'une molette 16 correspondent à la forme et aux dimensions d'une bille 19 maintenue en position sur la bague 14, dans un orifice 20 ménagé dans la bague 14.
La bague 14 a une épaisseur légèrement inférieure au diamètre de la bille 19. La bille 19 s'étend ainsi partiellement vers l'extérieur de la bague, à partir de l'orifice 20. Elle dépasse légèrement de la circonférence externe de la bague 14 lorsque la bille 19 est tangente à la face interne de la bague 14. La partie de la bille 19 située hors de l'orifice 20 coopère avec un cran 18 de la molette 16. Comme illustré aux figures 4, 11 et 12, l'orifice 20 de la bague 14 recevant la bille 19 est diamétralement opposé à la fente 15. Dans la position illustrée aux figures 4 et 11, la bague 14 et la molette 16 sont solidaires en rotation et tournent ensemble lorsqu'on manoeuvre le doigt 17 de la molette 16.
Dans la position dite haute, illustrée à la figure 11, lorsque l'organe 5 d'engagement est inséré dans la bague 14, la région de la face externe de l'organe 5 dépourvu de reliefs 90, 91 et d'empreintes 92, 93 obture le débouché intérieur de l'orifice 20. En d'autres termes, une partie de la face externe de l'organe 5 forme un fond pour l'orifice 20. La bille 19 est alors maintenue en position. Dans cette position, dite haute, la bille 19 est en prise, à savoir qu'elle engrène avec un cran 18 de la molette 16 tout en étant logée partiellement dans l'orifice 20 de la bague 14. Dans cette configuration, le relief 90 ou 91 de l'arbre 5 n'est pas en face de la fente 15 de la bague 14 et l'empreinte 92 ou 93 de l'arbre 5 n'est pas en face de l'orifice 20. Dans cette configuration, la bague est manoeuvrable par le doigt 17 de la molette 16 et elle forme une butée au déplacement en translation de l'organe 5 d'engagement. Dans la position illustrée à la figure 9, l'organe 5 d'engagement est maintenu en retrait de l'extrémité 3 de la tige 2 car le ressort 6 s'oppose à l'insertion de l'extrémité 3 dans l'évidement 4. Dans cette position, l'organe 5 d'engagement n'est pas solidaire de la tige 2. Celle-ci ne peut donc être mise en rotation par un pivotement, orienté vers le bas, de la béquille 12. En d'autres termes, dans cette position, il n'est pas possible d'ouvrir la porte, la poignée 1 tournant folle autour de la tige 2. Lorsque la bille 19 est dans une position dite basse, illustrée à la figure 12, elle est reçue totalement dans l'orifice 20, à savoir qu'aucune partie de la bille 19 ne dépasse de l'orifice 20, c'est-à-dire de la circonférence externe de la bague 14. Ainsi, la bille 19 n'est plus en prise avec un cran interne 18 de la molette 16. La bague 14 et la molette 16 sont donc désolidarisées et peuvent être mises en rotation indépendamment l'une de l'autre. Dans une telle position, un changement de code est possible. Dans la position illustrée à la figure 12, la molette 16 et la bague 14, sont dans une configuration où la fente 15 de la bague 14 est en regard avec un relief 90 de l'organe 5 d'engagement,. Compte tenu de sa position, l'empreinte, ici le puits 93, de l'organe 5 d'engagement est en regard avec l'orifice 20 recevant la bille 19. Cette dernière peut alors se dégager du cran 18 de la molette 16 et s'insérer, partiellement, dans le puits 93. Avantageusement, le puits 93, reçoit un moyen d'amortissement, par exemple un élastomère, non représenté. Ce moyen d'amortissement évite que la bille 19 ne tombe au fond de l'empreinte. En effet, il convient que la bille 19 puisse aisément se dégager de l'empreinte 92 ou 93 pour pouvoir reprendre une position dite haute. Dans cette position, la bague 14 est désolidarisée de la molette 16 puisque la bille 19 formant un moyen de solidarisation, n'est plus dans une position où elle engrène un cran 18. Une rotation de la molette 16, par manoeuvre du doigt 17, ne permet plus de faire pivoter la bague 14. Quand l'arbre 5 est dans une position où la bille 19 de chaque bague 14 est diamétralement en regard d'une empreinte 92 ou 93, tous les reliefs 90, respectivement 91 de l'arbre 5, sont insérés dans les fentes 15 correspondantes des bagues 14. Ainsi, les bagues 14 sont immobilisées en rotation et elles peuvent guider en translation l'arbre 5. Une poussée, selon la flèche F à la figure 9, sur l'extrémité de l'organe 5 d'engagement, c'est-à-dire sur le poussoir 8, permet de s'opposer
à la force de rappel du ressort 6 et d'engager l'extrémité 3 de la tige 2 dans l'évidement 4 de l'organe d'engagement 5. Bien évidemment, le déplacement de l'arbre 5 n'est possible que lorsque toutes les bagues 14 sont solidaires en rotation de l'arbre 5, c'est-à- dire lorsque tous les reliefs 90 ou 91 sont en position dans une fente 15 d'une bague 14. Les molettes 16 sont alors, elles, toutes libres en rotation. En d'autres termes, cette configuration n'est possible que lorsque les bagues 14 sont chacune dans leur position prédéterminée respective. Cette position des bagues 14 correspond à un marquage confidentiel permettant au seul utilisateur autorisé de connaître cette position prédéterminée. Lors du mouvement de translation de l'organe 5, un logement 21, ménagé sur l'organe 5 d'engagement, visible à la figure 9, est situé au voisinage de l'extrémité pourvue du logement 4 de la tige 2. Ce logement 21 est en regard d'une goupille 22 insérée dans un organe de rappel, en l'espèce un cliquet 23 équipé de reliefs en élastomère. Ces reliefs, de par leur élasticité, permettent de repérer tactilement le passage d'un cran à l'autre de chaque molette 16, tout en participant au maintien en position de chaque molette 16. Cet organe 23 de rappel et cette goupille 22, disposés radialement par rapport à l'arbre 5 sont solidaires de la béquille 12 de manoeuvre. Ainsi, lorsque l'organe 5 d'engagement est en prise avec la tige 2, la goupille 22 est insérée dans le logement 21 et elle est maintenue en place par appui sur l'élastomère du cliquet 23. Dans une variante non représentée, cette goupille est insérée dans un puits et montée sur un ressort.
Lorsque la goupille 22 est en place dans le logement 21, la position de l'arbre 5 permettant un changement de code, est aisée à repérer. Du fait du décalage entre les alignements de reliefs 91 et les alignements d'évidements 92, il y a une course plus importante de l'arbre 5. Dans ce cas, pour que les bagues 14 soient solidaires en rotation de l'arbre 5 et pour que les billes 19 soient en regard des évidements 92, il faut retirer la tige 2 pour déplacer en translation l'arbre 5. Cette translation s'effectue jusqu'à une position où la goupille 22 est en place dans le logement 21. Pour cela, il convient de désolidariser la poignée de la porte, en l'espèce de la plaque de porte. Ainsi, on évite que tout changement de code soit trop aisément réalisable. Un anneau de retenue ou circlips 24, en forme d'épingle, est situé sur la face intérieure d'une plaque 25 de couverture de la serrure. Ce circlips 24 est engagé dans la rainure 100 du logement 10, ce qui permet le rappel en position de la béquille 12 après un mouvement d'ouverture. En effet, lors du pivotement de la béquille 12, une zone pliée 240 du circlips 24, en prise dans l'extrémité de la rainure 100, déforme ce circlips 24. Lors du relâchement de la béquille 12, la contrainte exercée sur le circlips 24 cesse et celui-ci ramène, par appui de la zone pliée 240 dans la rainure 100, la tige 2 en position initiale et donc, de facto, également la béquille 12. Lorsque la béquille 12 revient à sa position initiale, il est avantageux que les bagues 14 ne soient plus dans une position où elles sont solidaires en rotation avec des reliefs 90, 91 de la barre 5. En d'autres termes, il est préférable que la position des molettes 16 n'indique pas une position prédéterminée, repérée par un marquage confidentiel ou un code, par exemple par des lettres, des chiffres, des symboles ou des couleurs sur certaines zones. Un tel marquage permet, au seul utilisateur autorisé, de repérer la position, pour chaque molette 6, dans laquelle la fente 15 de chaque bague 14 est alignée avec un relief 90, 91 de l'arbre 5, c'est-à-dire la position déverrouillée où la manoeuvre de la porte ou fenêtre est possible. II est donc nécessaire de réaliser une remise à zéro , à la fin de la manoeuvre de la béquille 12, pour que le prochain utilisateur soit obligé de réafficher le code, en manoeuvrant les molettes 16 grâce aux doigts 17, afin d'aligner les fentes 15 des bagues 14 avec les reliefs 90, 91. Lorsqu'il y a engagement de l'arbre 5 avec la tige 2 carrée ou lorsque la goupille 22 est en position dans l'empreinte 21, il est aisé de faire tourner chaque molette 16, de manière à modifier la position du doigt 17 de manoeuvre de la molette 16 par rapport à la bague 14. En effet, cette dernière a sa fente 15 engagée avec un relief 90, 91 et elle n'est plus solidaire en rotation de la molette 16. En d'autres termes, cette position dite de déverrouillage de la molette 16 par rapport à la bague 14 est une position où l'on peut aisément modifier le marquage confidentiel. La remise à zéro peut s'effectuer manuellement ou par l'intermédiaire d'un dispositif permettant, par action sur la béquille 12, de mettre simultanément en rotation toutes les molettes 16. Pour réaliser la rotation simultanée de l'ensemble des molettes 16, il est prévu un organe 26 de remise à zéro . Cet organe 26 est représenté à la figure 10. Il est de forme allongée, et il est équipé d'au moins un relief longitudinal 27 dont les dimensions et la forme sont adaptées pour s'insérer dans des crans externes 18' de chaque molette 16. L'organe 26 est avantageusement pourvu de quatre reliefs 27 allongés, régulièrement répartis selon une direction parallèle à un axe longitudinal Al-A'1 de l'organe 26. A une extrémité, cet organe 26 comprend un pignon 28. Ce pignon 28 est propre à engager avec un secteur denté 29 situé sur une rondelle 30, représentée à la figure 6, fixée sur une face de la plaque 25 de couverture. Le secteur denté 29 occupe environ un quart de la circonférence de la rondelle 30, ce qui correspond globalement à la course de la béquille 12 lorsqu'elle pivote vers le haut, c'est-à-dire la manoeuvre inverse de la manoeuvre de la béquille permettant l'ouverture de la porte. Cette course correspond à la course nécessaire pour ramener toutes les molettes 16 au point mort bas, en fonction du nombre de tours réalisés par l'organe 26. Lorsque l'on souhaite remettre à zéro le dispositif et/ou pouvoir changer simultanément le marquage de toutes les molettes 16, on procède comme illustré aux figures 13A à 13D. Une position de départ est représentée à la figure 13A. Dans cette position, la bague 14 et la molette 16 sont solidaires, les reliefs 90, 91 de l'arbre 5 sont hors des bagues 14, la béquille 12 étant schématiquement représentée parun polygone. La béquille 12 est en position dite de repos, c'est-à-dire en position horizontale telle qu'illustrée à la figure 1. La molette 16 ne peut pas pivoter indépendamment de la bague 14. La fente 15 de la bague 14 n'est pas en regard avec un relief 90, 91. Lors de l'étape illustrée à la figure 13B, on relève la béquille de manoeuvre selon la flèche Fi. Lors de ce mouvement, le pignon 28 du cliquet engrène avec le secteur denté 29. L'organe 26 est donc mis en rotation sur lui-même, selon la flèche F2 de même sens que Fi. Ce mouvement de rotation entraîne la rotation de la molette 16, en sens inverse, selon la flèche F3, par coopération de formes entre les reliefs 27 et les crans 18'. Le mouvement de la molette 16 déplace le doigt 17 en direction du point mort haut de la molette 16. La bague 14 est également entraînée en rotation, la fente 15 n'étant toujours pas en regard avec un relief 90, 91 de l'arbre 5. Le mouvement se poursuit jusqu'à ce que le doigt 17 de manoeuvre de la molette 16 soit en butée contre l'extrémité de la fente 13 ménagée dans le corps 11 de l'organe 12 de manoeuvre. Dans cette position, illustrée à la figure 13C, la béquille 12 de manoeuvre n'a pas atteint son point mort haut mais la molette 16 ne bloque pas la poursuite du mouvement. Les reliefs allongés 27 étant en élastomère, ils peuvent subir une certaine déformation lors de leur passage dans les crans 18' et/ou lorsqu'on arrive en fin de mouvement. En d'autres termes, si on poursuit le mouvement alors que la béquille 12 n'est pas en fin de course, les reliefs 27 se déforment sans entraîner ni endommager les crans 18' de la molette 16. Dans cette position, la bague 14 est toujours solidaire de la molette 16.
Un retour en position horizontale, illustré à la figure 13D, de la béquille 12 entraîne l'organe 26 en rotation sur lui-même, selon la flèche F4 qui est orientée en sens inverse de F2. Cette rotation induit une rotation, selon la flèche F5, en sens inverse de la flèche F3, de la molette 16 et donc ramène le doigt 17 à une position où le doigt 17 est à proximité du point mort bas de la molette 16. Ce point mort correspond sensiblement à la position de l'extrémité basse de la fente 13. L'absence de pression, de la part de l'utilisateur, sur le poussoir 8, permet l'action du ressort 6, ce qui induit le désengagement mutuel de l'arbre 5 et de la tige 2. La remise à zéro n'est réalisable que si l'arbre 5 est désengagé de la tige 2, afin que les bagues 14 soient libres en rotation, et que si on effectue un mouvement de relevage puis d'abaissement de la béquille 12. Dans la position de la béquille 12 illustrée à la figure 13A, le poussoir 8 est en position de repos, la bague 14 et la molette 16 sont solidaires en rotation, c'est-à-dire que cette position correspond à une position prédéterminée de la bague 14, où l'on peut manoeuvrer la poignée en appuyant sur le poussoir 8 pour rendre l'arbre 5 solidaire de la tige 2. A l'étape suivante, illustrée à la figure 13B, la béquille est dans un mouvement de relevage, selon la flèche F1, la tige 12 et l'arbre 5 sont alors désolidarisés. La translation de l'arbre 5 entraîne le retrait des reliefs 90, 91 des fentes 15, ce mouvement étant induit par le ressort 6. Dans cette position, on réalise à nouveau une solidarisation de chaque molette 16 avec une bague 14. La poursuite du mouvement de retour vers le bas de la béquille 12 de manoeuvre, tel qu'illustré à la figure 13c, entraîne à la fois la bague 14 et la molette 16, jusqu'à une position où le doigt 17 de manoeuvre de la molette 16 est en butée contre l'autre extrémité de la fenêtre. En d'autres termes, il y a une remise à zéro des molettes 16 et 15 des bagues 14 de manière que le code ne soit plus apparent. En variante non représentée, la remise à zéro est réalisée par un ressort dont une extrémité est fixée sur la plaque 25 et dont l'autre extrémité s'étend sur toute la longueur du corps 11. La partie s'étendant le long du corps 11 s'engage avec une roue cannelée ou crabot. Cette partie du 20 ressort se déplace lorsque les molettes 16 sont mises en rotation, elle est alors immobilisée dans un cran du crabot correspondant à la position de la molette qui a effectué la course la plus grande. Lorsqu'on relève la béquille, le crabot et la partie du ressort en prise avec le crabot sont libérés et reviennent à la position initiale, lorsqu'on relève la béquille 2, en entraînant 25 les doigts de manoeuvre des molettes, ce qui permet une remise à zéro des ces dernières. De l'autre côté de l'ouvrant, le corps creux 31 de l'autre organe de manoeuvre ou béquille 32 est équipé d'un manchon 310, visible à la figure 3, dont une extrémité ouverte comporte deux languettes 311 aux extrémités 30 recourbées vers l'intérieur du manchon 310. Les extrémités de ces languettes 311 sont adaptées pour venir s'insérer, sélectivement, dans des rainures 33 ménagées sur deux faces opposées de la tige 2. Ces rainures 33 permettent de maintenir la tige 2 plus ou moins enfoncée dans le corps 31. De cette manière, on règle la longueur de la tige 2 située entre les deux béquilles 12, 32. Un tel dispositif permet donc d'adapter, avec une même tige 2, une poignée 1 de manoeuvre aux différentes épaisseurs d'ouvrant, en particulier aux différentes épaisseurs de portes existantes. Le corps creux 31 traversant la béquille 32 est pourvu, à l'extrémité opposée à celle recevant la tige 2, d'un ergot non représenté. Cet ergot s'étend radialement à l'intérieur du corps et il est adapté pour s'insérer dans une rainure 34, ménagée sur la circonférence externe d'un bouton 35, visible aux figures 3 et 5. La forme de cette rainure 34 et ses dimensions sont telles qu'un mouvement de translation et/ou de rotation du bouton 35 induit un déplacement de ce dernier dans le corps creux 31, en direction de la tige 2, par coopération entre la rainure 34 et l'ergot du corps 31.
Lorsque le bouton 35 est en fin de course dans le corps 31, son extrémité, qui est au contact du manchon 310 recevant l'extrémité de la tige 2, repousse le manchon 310 et donc la tige 2 en direction du corps creux 11 de l'autre béquille 12. Lors de ce mouvement, le ressort 6 est comprimé et l'extrémité 3 fendue de la tige 2 est insérée dans le logement 4 de l'arbre 5. On rend ainsi actif , à partir d'un côté de l'ouvrant, l'organe 12 de manoeuvre située de l'autre côté de l'ouvrant. Dans cette position dite active de l'organe 12, il n'est plus nécessaire de composer le code pour pouvoir engager la tige 2 avec l'arbre 5. Les béquilles 12, 32 sont alors utilisées comme des poignées normales. Lorsque le bouton 35 est en position dite éloignée, c'est-à-dire lorsqu'il n'est pas enfoncé dans le corps 31, son extrémité est néanmoins en contact avec le manchon 310 recevant la tige 2. Dans cette position, le ressort 6 repousse la tige 2 en direction du bouton 35. Le corps 31, recevant le bouton 35, est solidaire de la tige 2 par l'intermédiaire du manchon 310 et on peut ouvrir la porte à partir de la béquille 32. Par contre, l'extrémité de l'arbre 5 d'engagement n'est plus en prise avec l'extrémité 3 fendue de la tige 2 et donc la béquille 12 n'est pas active. Pour l'activer, il convient de composer le code et, à l'aide du poussoir 8, de déplacer l'organe 5 d'engagement jusqu'à ce qu'il soit en prise avec la tige 2. En d'autres termes, l'ouvrant ne peut être manoeuvré qu'à partir de la béquille 32 par une personne non autorisée.
L'ensemble molette 16, bague 14 et bille 19 tel que décrit ci-dessus permet, selon la position de la bille 19, de modifier aisément la position angulaire de la molette 16 par rapport à la bague 14. Ainsi, une telle poignée peut équiper tout système à ouverture codée par molette, tel un cadenas. De même, un organe 26 en élastomère tel que décrit ci-dessus peut équiper un tel système. Les figures 14 à 18D illustrent un autre mode de réalisation de l'invention. Les éléments en commun ont les mêmes références. Dans ce mode de réalisation, une grande branche 36 d'un organe de manoeuvre ou béquille 37, c'est-à-dire la partie de prise en main, reçoit à la fois le marquage confidentiel et l'organe d'engagement sélectif de la tige 2 carrée. Dans ce mode de réalisation, l'extrémité de la tige 2 carrée est insérée dans une pièce 38 d'embrayage, visible à la figure 15. Cette pièce 38 est équipée d'un logement 39 axial à section carrée, traversant et adapté pour immobiliser en rotation la tige 2. Une extrémité 40, de forme cylindrique à section circulaire, de cette pièce 38 d'embrayage est munie, sur sa circonférence, d'une encoche 41 de forme complexe à savoir une partie hélicoïdale et une partie trapézoïdale. Cette pièce 38 d'embrayage est insérée dans un logement ménagé dans le corps 370 de l'organe 37 de manoeuvre, dans lequel elle est libre en rotation. La partie 371 de prise en main proprement dite de la béquille 37 est, dans l'exemple, venue de matière avec le corps 370 comme illustré à la figure 15. La partie 371 reçoit un organe d'engagement formée par une tige crantée 42, mobile en translation et représentée aux figures 15 et 16. Une extrémité 43 de cette tige 42 est adaptée pour s'insérer dans l'encoche 41 de la pièce 38 d'embrayage. Cette encoche 41 est adaptée pour réaliser un accrochage et un renvoi d'angle entre la tige 42 et la pièce 38. Cette encoche 41 comprend un logement 410 de réception de la tige 42, équipé de deux faces inclinées 411, 412. La face inclinée 412 est adaptée pour faire reculer la tige 42, par abaissement de la béquille 37, lorsque la tige 42 n'est pas en position dans le logement 410. La face 411 permet de repousser la tige 42 hors du logement 410, lorsqu'on relève la béquille 37. En d'autres termes, les faces 411, 412 permettent une remise à zéro quelle que soit la manoeuvre, ascendante ou descendante, de la béquille 37. La tige 42 est pourvue de crans 44, en l'espèce à fond arrondi. Dans l'exemple, elle comprend dix crans. En variante, ce nombre de crans 44 peut être différent, le minimum étant d'un cran. Les crans 44 sont adaptés pour coopérer avec un nombre équivalent de touches 45, visibles aux figures 15 et 16. Une extrémité arrondie 46 de chaque touche 45 s'étend radialement vers l'extérieur à partir d'ouvertures ménagées dans la partie 371 de la béquille 37.
Les touches 45 ont une forme allongée et sont munies d'encoches 48 transversales, configurées en U. Les touches 45 sont toutes identiques. Ces touches 45 sont adaptées pour se déplacer en translation selon une direction perpendiculaire à un axe longitudinal A2-A'2 de la tige 42. Lors de cette translation, les touches 45 sont immobilisées en rotation par une plaque de verrouillage. Cette plaque de verrouillage ou verrou 47, visible aux figures 15 et 17, comprend, sur une face, des lamages 470 concaves, orientés selon une direction perpendiculaire à un axe longitudinal A3-A'3 du verrou 47. Ces lamages alternent régulièrement avec des zones plates 471. L'extrémité 49 des touches 45, opposée à l'extrémité 46, est en appui sur un ressort 50, lorsque les touches sont en position dans leur logement. Les touches 45 sont ainsi maintenues et guidées entre la tige 42 et le verrou 47. Selon la position relative des touches 45 dans la béquille 37, soit une zone plate 480 d'une touche 45 est située entre deux crans 44 et donc bloque en translation la tige 42, soit une encoche 48 est située entre deux crans 44 et, dans ce cas, le déplacement en translation de la tige 42 est possible. Le déplacement de la tige 42 s'effectue, entre autres, sous l'action
d'un ressort 51, visible à la figure 15, qui est en appui sur l'extrémité 52 de la tige 42. En d'autres termes, selon la position des touches 45 soit une zone plate 480 d'au moins une touche 45 forme une butée au mouvement de translation de la tige 42 lorsque la zone plate 480 est en position dans un cran 44, soit une encoche 48 est positionnée au dessus de la tige 42 et permet le libre passage de la tige 42 en direction de la pièce 38. Il convient, lorsque la tige 42 est dans une position prédéterminée, dite de retrait, que cette position corresponde, pour chacune des touches 45, soit à une position où une encoche 48 est en regard d'un cran 44 soit à une position où une zone 480 est en regard d'un cran 44. Certaines touches 45 sont dites inactives, c'est-à-dire qu'en position initiale où elles ne sont pas enfoncées, c'est une encoche 48 qui est en regard des crans 44. Autrement dit ces touches n'ont pas besoin d'être enfoncées pour permettre le déplacement de la tige 42 et n'ont, dans leur position initiale, aucune action de blocage en translation de la tige 42. Seules les touches dites actives ont, en position initiale, une zone plate 480 positionnée entre deux crans 44. Les touches dites actives bloquent, en position initiale la tige 42. Ces touches actives correspondent à un marquage confidentiel permettant de les identifier. Ce marquage n'est connu que des seuls utilisateurs autorisés. Les touches 45 doivent être manoeuvrées pour autoriser la translation de la tige 42. Le nombre de touches 45 dites actives ou inactives est déterminé par l'utilisateur lors d'une opération de changement de code décrite ultérieurement.
II convient que les touches 45 soient guidées et maintenues lors de leur mouvement de translation, en évitant toute rotation sur elles mêmes. Pour cela, les zones plates 471 du verrou 47 sont en appui sur les zones plates 480 des touches 45. Il convient de maintenir en place les touches 45 lorsqu'elles sont enfoncées. Pour cela, il convient de s'opposer, au moins temporairement, à l'action des ressorts 50 qui ramènent en position initiale les touches 45. Une barrette de blocage 53, visible à la figure 15, comporte sur une face une série de languettes transversales 54. En d'autres termes, l'ensemble a l'aspect d'un râteau. Cette barrette 53 est solidaire de la face inférieure de la tige 42, les languettes 54 étant orientées angulairement en direction des ressorts 50. Lorsque la tige 42 est bloquée en translation, les languettes 54 ne sont pas en appui contre les touches 45.
Dans cette configuration, les languettes 54 ne s'opposent pas à l'action du ressort 50 qui maintient en position les touches 45 dites mortes c'est-à-dire les touches qui, dans cette position initiale, ont une encoche 48 au dessus des crans 44. Lorsqu'une touche 45 est enfoncée, la languette 54 correspondante est en appui, sur un épaulement 490 située à proximité de l'extrémité 49. Dans ce cas, la languette 54 s'oppose au retour en position initiale de la touche 45 sous l'action du ressort 50. La touche est donc bien maintenue dans une position dite active et une encoche 48 est située au dessus des crans 44.
Lorsque toutes les encoches 48 de toutes les touches 45 sont positionnées au dessus des crans 44, la tige 42 est mobile en translation, sous l'action du ressort 51, en direction de l'encoche 41 de la pièce d'embrayage 38. Cette translation se poursuit jusqu'à ce que l'extrémité 43 de la tige 42 soit en appui dans le fond de l'encoche 41, ce qui permet de solidariser la béquille 37 avec la tige carrée 2 et donc de manoeuvrer cette dernière pour ouvrir la porte. Lors du déplacement de la tige 42, la barrette 53 fixée sur cette dernière se déplace également. Dans ce cas, les languettes 54 ne sont plus en regard des touches 45 mais positionnées entre deux touches 45. En d'autres termes, ces languettes 54 ne s'opposent plus à l'action des ressorts 50 qui repoussent les touches 45 vers la position où les touches 45 font saillie hors de la partie 371 de prise en main. La course des touches 45 est limitée par appui des encoches 48 sur les zones de la tige 42 situées entre deux crans 44. On évite ainsi que, sous l'action des ressorts 50, les touches 45 sortent de la béquille 37. Compte tenu de la configuration de l'encoche 41 ménagée sur la pièce d'embrayage 38, un mouvement de pivotement de la béquille 37 vers le bas a pour effet de déplacer l'extrémité 43 de la tige 42 du fond de l'encoche 41 en direction de la face externe de la pièce d'embrayage 38. Ce mouvement de pivotement, qui peut être orienté vers le bas ou vers le haut, permet de repousser la tige 42 en direction de la périphérie de la pièce 38, en s'opposant à la force de rappel du ressort 51. Lors de ce mouvement les crans 44 se trouvent positionnés, à un moment donné et pour chacune des touches 45, en face des encoches 48. L'action de rappel des ressorts 50 s'exerce puisque les zones plates intercrantales 480 ne forment plus des butées au mouvement de retour des touches 45 en position. On ramène ainsi toutes les touches 45 en une position où elles font partiellement saillie hors de la béquille 37. Le débattement de la béquille 37 dans la plaque 250 est limité par une lumière angulaire 374, visible à la figure 15, dans laquelle passe un doigt 373 relié à une partie 372 de la béquille. Un circlips 375 est relié à la plaque 250 et au doigt 373. Ce circlips 375 assure un retour en position initiale de la béquille 37, selon un fonctionnement similaire à celui décrit précédemment dans le premier mode de réalisation. Ce circlips peut être remplacé par deux ressorts répartis de part et d'autre du doigt 373. Lorsqu'on désire modifier le code, c'est-à-dire rendre actives des touches précédemment inactives ou l'inverse, il convient de déplacer les touches 45 actives correspondant à l'ancien code. En enfonçant ces touches 45, on permet le déplacement de la tige 42, sous l'action du ressort 51. Préalablement à ce mouvement, un ergot 57, situé sur l'extrémité 52 de la tige 42, est en contact avec une lame 58. Cette lame 58, fixée angulairement dans un lamage 580 ménagé à l'extrémité 473 du verrou 47, est en butée contre un épaulement 581 de la béquille 37. Dans ce cas, la lame 58 s'oppose à un mouvement de translation du verrou 47, comme illustré à la figure 18A. Lors du mouvement de la tige 42, l'ergot 57 se déplace et repousse la 30 lame 58 jusqu'à dégager celle-ci de l'épaulement 581, comme représenté à la figure 18B. Dans cette position, la translation du verrou 47 est autorisée et l'on peut amener ce dernier dans la position illustrée à la figure 18C.
Pour cela, on pousse sur l'extrémité 473 du verrou. Un mouvement du verrou 47 est alors effectué dans le même sens que celui de la tige 42. De cette manière, les zones 470 concaves du verrou 47 sont en face des crans 44 et dans l'axe des touches 45.
La rotation des touches 45 est alors possible, ce qui permet de modifier la zone, 48 ou 480, de chaque touche 45 qui doit être en regard de la tige 42 comme illustré à la figure 18D. Ainsi, on modifie le code. Des lumières ménagées sur une plaque 56 formant la face supérieure de la béquille 37 permettent, par exemple par un marquage en couleur, de visualiser les touches 45 qui sont actives. Le verrou 47 peut être relié à la béquille 37 par un organe de liaison, par exemple une vis à tête spécifique, nécessitant l'usage d'un outil adapté pour démonter cet organe de liaison et déplacer le verrou 47. Dans ce cas, l'organe de liaison remplace le lamage 580 de l'extrémité 473. Un tel organe limite les changements de code à certains utilisateurs munis de l'outil spécifique. Lorsqu'on ramène le verrou 47 à la position illustrée à la figure 18A, la lame 58 n'est plus soulevée par l'ergot 57 et elle est en butée dans le corps 37. Le verrou est immobilisé en translation et, pour déplacer la tige 42, il faut connaître le nouveau code permettant d'activer les touches 45. Dans l'exemple, les touches 45 sont par exemple numérotées de zéro à neuf, en variante ce peut être des chiffres, des symboles ou des couleurs ou tout autre pictogramme Une telle poignée 1 est particulièrement avantageuse, puisque lors de la prise en main par l'utilisateur de la béquille 37, celui-ci peut, dans un même mouvement, appuyer sur les touches 45 et faire pivoter la béquille 37. Un dispositif additionnel de codage peut être placé à l'extrémité de la tige 42, à l'arrière du ressort 51. Par exemple, une bague de retenue sélective retient en translation la tige 42, une seule position de cette bague autorisant la translation de la tige 42. Le nombre de positions possibles de cette bague dépend du nombre de combinaisons possibles entre les touches 45. En effet, le nombre de positions angulaires possibles de cette bague de retenue multiplie le nombre de combinaisons possibles générées par le nombre de touches 45. L'utilisateur devra connaître la position de la bague de retenue où il y a libération de la tige 42 puis enfoncer les touches 45 prédéterminées pour manoeuvrer la poignée. L'autre côté de l'ouvrant est muni d'une poignée similaire à la poignée 32, dite intérieure décrite dans le premier mode de réalisation. Dans d'autres modes de réalisation, les touches 45 ont des encoches de forme et en nombre différentes. De même les crans sont adaptés. Dans un autre mode de réalisation, le verrou peut être relié à la béquille par un organe spécifique manoeuvrable par un outil approprié. De même la manoeuvre du verrou peut n'être réalisable que par un organe spécifique. Ceci limite les changements de code autorisés . De telles poignées de manoeuvre 1 sont aisément adaptables sur tout type de serrure d'ouvrant.

Claims (13)

REVENDICATIONS
1. Poignée (1) de manoeuvre codée d'un ouvrant notamment une porte ou une fenêtre comprenant : - une tige (2) d'actionnement d'un pêne lançant, - un organe de manoeuvre (12, 32 ; 37) propre à mettre en rotation la tige, -un organe d'engagement (5 ; 42) de la tige (2) propre à solidariser sélectivement la tige (2) et l'organe de manoeuvre (12, 32 ; 37), l'organe de manoeuvre comprenant un logement (10) dans lequel l'organe d'engagement (5 ; 42) se déplace en translation, caractérisé en ce qu'elle comprend au moins un organe de blocage (14 ; 45) mobile entre une position prédéterminée correspondant à un marquage confidentiel où l'organe de blocage (14 ; 45) guide en translation l'organe d'engagement (5 ; 42) pour que celui-ci engage la tige (2) et au moins une autre position où l'organe de blocage (14 ; 45) immobilise l'organe d'engagement (5 ; 42) dans une position où celui-ci n'engage pas la tige (2).
2. Poignée selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'organe d'engagement est un arbre (5) dont une extrémité forme un logement (4) de réception (3) d'une extrémité de la tige (2), la surface extérieure de l'arbre étant munie d'au moins un relief (90, 91).
3. Poignée selon la revendication 2, caractérisée en ce que l'organe de blocage comprend au moins une bague (14) pourvue d'une fente (15) montée libre en rotation dans l'organe de manoeuvre (12).
4. Poignée selon la revendication 3, caractérisée en ce que la fente (15) de la bague (14) est adaptée pour permettre le passage d'au moins un relief (90, 91) de l'organe d'engagement (5) dans une position de guidage en translation de ce dernier.
5. Poignée selon la revendication 3, caractérisé en ce que chaque bague (14) est manoeuvrable par une molette (16) rendue solidaire de la bague (14) par des crans (18) coopérant avec une bille (19) lorsque celle-ci n'est pas dans la position de guidage de l'organe d'engagement (5).
6. Poignée selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'organe d'engagement est une tige crantée (42) dont une extrémité (43) est adaptée pour s'insérer dans une encoche (41) d'une pièce d'embrayage (38) solidaire de la tige (2).
7. Poignée selon la revendication 6, caractérisée en ce que l'organe de blocage comprend au moins une touche (45) équipée d'au moins une encoche (48).
8. Poignée selon la revendication 7, caractérisée en ce que chaque touche (45) est disposée perpendiculairement à l'organe de blocage (42) de manière qu'au moins une encoche (48) de chaque touche guide en translation la tige crantée (42) lorsque la touche (45) est dans une position prédéterminée.
9. Poignée selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens de modification du marquage confidentiel de la position où chaque organe de blocage (14 ; 45) autorise le guidage en translation de l'organe d'engagement (5 ; 42).
10. Poignée selon la revendication 9, caractérisé en ce que les moyens de modification du marquage comprennent un organe de mise à zéro (26).
11. Poignée selon la revendication 9, caractérisée en ce que les moyens de modification du marquage comprennent un verrou (47) déplaçable.
12. Poignée selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'elle est reliée à un organe (35) propre à autoriser la manoeuvre de ladite poignée à partir de l'autre côté de l'ouvrant.
13. Ouvrant équipé d'une poignée selon l'une des revendications précédentes.
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