FR2817719A1

FR2817719A1 - Colonne bureautique

Info

Publication number: FR2817719A1
Application number: FR0015951A
Authority: FR
Inventors: Jean Louis Demousseau; Cedric Termeau
Original assignee: ELECTRIC PRODUCTION
Current assignee: ELECTRIC PRODUCTION
Priority date: 2000-12-08
Filing date: 2000-12-08
Publication date: 2002-06-14
Anticipated expiration: 2020-12-08
Also published as: FR2817719B1

Abstract

Colonne bureautique comprenant un fût creux (1) pour le passage de câbles de liaison électrique et/ ou optique, et un vérin à vis (2) monté à l'une des extrémités du fût pour la mise en compression longitudinale dudit fût entre le sol et le plafond d'un local, caractérisée en ce que la colonne est modulable, le fût (1) se composant de deux profilés (3 et 4) respectivement inférieur et supérieur, le profilé inférieur (3) étant utilisable seul avec un chapeau et un pied (6) pour former un potelet, ou en combinaison avec le profilé supérieur (4) et le vérin à vis (2) pour former une colonne complète entre sol et plafond lorsque les deux profilés (3 et 4) sont assemblés au moyen d'une pièce d'assemblage (5).

Description

La présente invention concerne une colonne bureautique du type comprenant un fût creux pour le passage de câbles de liaison électrique et/ou optique, et un vérin à vis monté à l'une des extrémités du fût pour la mise en compression longitudinale dudit fût entre le sol et le plafond d'un local.

Les colonnes bureautiques de ce genre sont habituellement installées dans des locaux comportant au moins un poste de travail équipé de matériels informatiques (micro-ordinateur, imprimante, scanner, etc. ) et/ou de matériels de communication (téléphone, télécopieur, etc. ) et/ou d'autres appareils électriques. Les colonnes bureautiques permettent de conduire jusqu'à proximité du ou des postes de travail, des câbles de liaison électrique et/ou optique, qui sont préinstallés dans le sol ou dans le plafond (ou entre le plafond et un faux plafond) du local et qui sont destinés à assurer l'alimentation électrique des matériels informatiques et/ou des matériels de communication et/ou des autres appareils électriques du ou des postes de travail, ou à acheminer des données ou des signaux vers le ou les postes de travail ou à partir de ces derniers vers d'autres postes de travail ou vers un système central de gestion et/ou un central téléphonique. Les colonnes bureautiques de ce genre peuvent aussi être intégrées dans une cloison séparant deux pièces d'un local.

Les colonnes bureautiques connues sont habituellement constituées par des profilés filés ou extrudés, par exemple en aluminium, en alliage d'aluminium ou en matière plastique, qui sont coupés à des longueurs standard correspondant aux hauteurs usuelles de plafond. Pour un local donné ayant une hauteur de plafond donnée, on choisit habituellement un profilé dont la longueur standard est un peu plus faible que la hauteur de plafond du local, la différence de hauteur étant compensée par le vérin à vis qui est installé soit à l'extrémité inférieure, soit à l'extrémité supérieure du profilé.

Le profilé formant le fût de la colonne bureautique est usuellement conformé de manière à définir au moins une goulotte longitudinale, ouverte vers l'extérieur du profilé, pour recevoir les câbles de liaison électrique et/ou optique, et les bords libres de la goulotte sont profilés pour permettre une fixation par clipsage d'au

moins un appareillage électrique et/ou d'un boîtier contenant au moins un appareillage électrique, et/ou d'au moins un cache apte à fermer la goulotte dans la ou les régions de celle-ci qui sont dépourvues d'appareillage électrique en façade. Par"appareillage électrique", on entend ici une prise de courant, simple ou multiple, un disjoncteur, un conjoncteur téléphonique, un boîtier de connexion pour câbles de fibres optiques ou d'autres équipements similaires.

Bien que les colonnes bureautiques connues ont une grande utilité, elles présentent néanmoins certains inconvénients. Leur manutention, leur transport et leur stockage sont malaisés car elles ont une longueur et un poids relativement importants. En outre, leur emploi manque de flexibilité. En effet, les différents modèles d'appareillages électriques provenant des différents constructeurs d'appareillages électriques ont des formes et des dimensions qui ne sont pas standardisées, de sorte que, bien souvent, une colonne bureautique donnée ne peut recevoir que des modèles d'appareillages électriques provenant d'un constructeur particulier. Ceci oblige à prévoir pour les fûts des colonnes bureautiques, des profilés ayant des configurations différentes adaptées respectivement aux différents modèles d'appareillages électriques des différents constructeurs. Manifestement, ceci augmente le volume des stocks de profilés des fabricants et des installateurs de colonnes bureautiques, et complique la gestion des stocks.

La présente invention a donc pour but de remédier au moins partiellement aux inconvénients susmentionnés en fournissant une colonne bureautique dont la manutention, le transport et le stockage sont plus aisés et qui présente une plus grande flexibilité d'emploi que les colonnes bureautiques connues.

A cet effet, la présente invention fournit une colonne bureautique du type défini en préambule, caractérisée en ce que la colonne est modulable, le fût se composant de deux profilés respectivement inférieur et supérieur, le profilé inférieur étant utilisable seul avec un chapeau et un pied pour former un potelet, ou en combinaison avec le profilé supérieur et le vérin à vis pour former une colonne complète entre sol et plafond lorsque les deux profilés sont assemblés au moyen d'une pièce d'assemblage.

Du fait que le fût de la colonne est composé de deux profilés, qui ont individuellement une longueur nettement plus faible que la longueur totale de la colonne, la manutention, le transport et le stockage des profilés sont grandement facilités. En outre, comme les appareillages électriques sont habituellement installés dans la partie inférieure de la colonne bureautique, en l'occurrence dans le profilé inférieur de la colonne bureautique selon l'invention, seul le profilé inférieur a besoin d'avoir une configuration adaptée aux appareillages électriques destinés à être installés dans la colonne bureautique. Il suffit donc de prévoir quelques modèles différents de configuration pour le profilé inférieur, et un modèle de configuration unique pour le profilé supérieur, permettant ainsi de réduire sensiblement le volume des stocks de profilés. En outre, dans le cas où les câbles de liaison électrique et/ou optique ont été pré-installés uniquement dans le sol du local, on peut utiliser seulement le profilé inférieur pour former une mini colonne, usuellement appelée"potelet".

La colonne bureautique selon l'invention peut en outre présenter une ou plusieurs des caractéristiques suivantes : a) elle comprend un élément allongé d'extension qui est monté de manière télescopique dans un guide longitudinal dans le profilé supérieur du fût, et un moyen de blocage pour bloquer une translation de l'élément allongé d'extension dans le guide, ledit moyen de blocage étant déblocable pour permettre un réglage de l'extension de l'élément allongé d'extension au-delà de l'extrémité supérieure du profilé supérieur du fût ; b) l'élément allongé d'extension est constitué par un tube à section ronde ou polygonale et le moyen de blocage est constitué par une bague de serrage qui est serrée sur le tube et qui prend appui vers le bas sur l'extrémité supérieure du guide et/ou du profilé supérieur du fût ; c) le guide fait partie intégrante du profilé supérieur du fût et est situé au milieu de la section transversale dudit profilé supérieur ; d) la bague de serrage comporte, sur sa face frontale inférieure, des protubérances qui sont engagées dans l'extrémité supérieure du profilé supérieur du fût et qui coopèrent avec le guide

et/ou avec des éléments internes du profilé supérieur pour positionner et centrer la bague de serrage par rapport au guide ; e) le vérin à vis est monté à l'extrémité supérieure de l'élément allongé d'extension ; f) dans le cas où l'élément allongé d'extension est constitué par un tube, l'extrémité supérieure du tube est obturée par un bouchon comportant un trou central taraudé dans lequel est vissée une tige filetée du vérin à vis ; g) chacun des deux profilés du fût comporte au moins une cloison longitudinale intérieure qui définit avec des parois extérieures du profilé correspondant au moins une goulotte ouverte vers l'extérieur du profilé pour recevoir les câbles de liaison électrique et/ou optique, et les bords libres de la goulotte sont profilés pour permettre une fixation par clipsage d'au moins un appareillage électrique et/ou d'un boîtier contenant au moins un appareillage électrique, et/ou d'au moins un cache apte à fermer la goulotte ; h) la pièce d'assemblage est constituée par une pièce moulée ayant la forme d'une plaque horizontale comportant, sur sa face supérieure, une première saillie apte à s'emboîter étroitement dans l'extrémité inférieure du profilé supérieur du fût et, sur sa face inférieure, une seconde saillie apte à s'emboîter étroitement dans l'extrémité supérieure du profilé inférieur du fût, ladite pièce moulée étant conformée ou dimensionnée de manière à ménager une communication entre les goulottes des deux profilés du fût ; i) la première saillie de la pièce moulée formant la pièce d'assemblage se trouve au milieu de la face supérieure de la plaque horizontale et est conformée pour pouvoir être emboîtée dans le guide central du profilé supérieur du fût, et la seconde saillie de ladite pièce moulée est conformée pour pouvoir être placée à cheval sur l'extrémité supérieure de la cloison intérieure du profilé inférieur du fût ; j) le profilé supérieur du fût a une section transversale dont les dimensions extérieures sont plus petites que celles de la section transversale du profilé inférieur du fût ; k) la plaque horizontale de la pièce moulée formant la pièce d'assemblage a un contour qui correspond au contour de la section transversale du profilé inférieur du fût, et comporte, sur son pourtour,

un collet inférieur apte à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé inférieur du fût et, sur sa face supérieure, un collet supérieur apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé supérieur du fût ;
1) en variante, la colonne peut comprendre un enjoliveur, de forme générale annulaire, qui comporte un collet supérieur apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé supérieur du fût, un collet inférieur apte à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé inférieur du fût, et une partie annulaire intermédiaire raccordant lesdits collets supérieur et inférieur ; m) elle comprend en outre un enjoliveur, de forme générale annulaire, qui comporte un collet inférieur apte à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé supérieur du fût, un collet supérieur ayant des dimensions plus grandes que celles du collet inférieur, et une partie annulaire intermédiaire raccordant lesdits collets inférieur et supérieur ; n) les deux enjoliveurs ont des formes et des dimensions identiques ; o) chaque enjoliveur est constitué de deux pièces moulées identiques qui sont fixées au profilé supérieur du fût par clipsage ; p) le pied est constitué par une pièce moulée comprenant une plaque de base comportant une large ouverture centrale, pour le passage des câbles de liaison électrique et/ou optique et/ou pour le passage d'un boîtier de raccordement, et des perçages pour des vis de fixation du pied au sol, ladite plaque de base comportant en outre, sur sa face supérieure, un collet apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé inférieur du fût ;

q) le profilé inférieur du fût a une longueur Il qui satisfait la relation 60 cm Il 80 cm, et le profilé supérieur du fût a une longueur 12 qui satisfait la relation 12 2m.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront au cours de la description suivante de deux modes de réalisation donnés à titre d'exemple en référence aux dessins annexés, sur lesquels : -la figure 1 est une vue en perspective d'une colonne bureautique selon un premier mode de réalisation de l'invention ;

- la figure 2 est une vue en perspective éclatée de la colonne bureautique de la figure 1 ; -la figure 3 est une vue en perspective, à plus grande échelle, de la partie supérieure de la colonne bureautique de la figure

1 ; - la figure 4 est une vue en coupe transversale du profilé supérieur du fût de la colonne des figures 1 et 2 ; - la figure 5 est une vue en perspective d'une bague de serrage utilisée dans la colonne bureautique des figures 1 à 3 ; -la figure 6 est une vue en coupe horizontale montrant comment la bague de serrage s'adapte au profilé supérieur du fût de la colonne bureautique ; -la figure 7 est une vue en perspective éclatée d'un enjoliveur en deux parties, utilisable dans la colonne bureautique des figures 1 à 3 ; - la figure 8 est une vue en perspective de l'enjoliveur de la figure 7, à l'état assemblé ;

- la figure 9 est une vue de dessus montrant l'enjoliveur à l'état assemblé et fixé au profilé supérieur du fût de la colonne bureautique ; - la figure 10 est une vue en coupe transversale du profilé inférieur du fût de la colonne des figures 1 et 2 ; - la figure 11 est une vue en perspective d'une pièce d'assemblage pour les deux profilés du fût de la colonne des figures 1 et 2 ; - la figure 12 est une vue en perspective du pied de la colonne des figures 1 et 2 ;

- la figure 13 est une vue en perspective d'une colonne bureautique selon un second mode de réalisation de l'invention ; - la figure 14 est une vue en perspective éclatée de la colonne bureautique de la figure 13 ; -la figure 15 est une vue en perspective d'une pièce d'assemblage pour les deux profilés du fût de la colonne des figures 13 et 14 ;

- la figure 16 est une vue en perspective montrant une minicolonne, ou potelet, réalisée à partir du profilé inférieur du fût de la e a colonne des figures 1 et 2 ; - la figure 17 est une vue en perspective éclatée du potelet de la figure 16.

En se référant tout d'abord aux figures 1 et 2, on peut voir que la colonne bureautique se compose essentiellement d'un fût 1 et d'un vérin à vis 2 pour la mise en compression longitudinale du fût 1 de la colonne entre le sol et le plafond (non montrés) d'un local dans lequel la colonne est à installer.

Le fût 1 se compose d'un profilé inférieur 3 et d'un profilé supérieur 4 qui sont assemblés l'un à l'autre et dans le prolongement l'un de l'autre au moyen d'une pièce d'assemblage 5 qui sera décrite en détail plus loin. Les profilés 3 et 4 sont des profilés filés ou extrudés en matière plastique ou en métal, par exemple en aluminium ou en un alliage d'aluminium. De préférence, la longueur Il du profilé inférieur 3 est supérieure ou égale à 60 cm et inférieure ou égale à 80 cm, et la longueur 12 du profilé supérieur 4 est inférieure ou égale à 2 m.

Dans l'exemple de réalisation représenté sur les figures 1 et 2, la colonne bureautique repose sur le sol du local par l'intermédiaire d'un pied 6, constitué par une pièce d'appui moulée qui sera décrite en détail plus loin, et le vérin à vis 2 est monté à l'extrémité supérieure du fût 1, d'une manière qui sera également décrite en détail plus loin.

Dans la pratique, pour un local donné, ayant une hauteur de plafond donnée, on choisit des profilés 3 et 4 ayant des longueurs Il et 12 telles que la longueur totale L du fût 1 avec la pièce d'assemblage 5 et le pied 6 soit plus petite que la hauteur de plafond du local. La différence entre la longueur totale du fût 1 et la hauteur de plafond du local peut être par exemple comprise entre quelques centimètres et quelques dizaines de centimètres selon les longueurs disponibles pour les profilés 3 et 4.

Comme le vérin à vis 2 a usuellement une course maximale relativement faible, par exemple de l'ordre de 5 cm, il peut être parfois nécessaire d'adjoindre au fût 1 de la colonne un élément allongé d'extension 7 qui est monté de manière télescopique dans un guide longitudinal 8 (figure 4) dans le profilé supérieur 4. L'élément allongé d'extension 7 peut être bloqué en translation dans le guide 8 par un

moyen de blocage 9 qui est déblocable pour permettre un réglage de l'extension de l'élément 7 au-delà de l'extrémité supérieure du profilé 4, de façon à compenser, en cas de besoin, l'infériorité de la longueur du fût 1 par rapport à la hauteur de plafond du local.

Comme cela est plus particulièrement visible dans la figure 3, l'élément allongé d'extension 7 peut être constitué par une tige ou un tube à section circulaire, qui est monté coulissant dans le guide 8 (figure 4), et le moyen de blocage 9 est constitué par une bague de serrage 11 constituée par exemple par deux demi anneaux lia et llb qui peuvent être serrés contre la surface périphérique de la tige ou du tube 7 au moyen de deux ensembles boulon-écrou 12. La bague 11 prend appui vers le bas sur l'extrémité supérieure du guide 8 et/ou du profilé 4. Bien entendu, au lieu d'une tige ou d'un tube à section circulaire, on pourrait utiliser une tige ou un tube à section polygonale, par exemple carrée ou hexagonale, pour l'élément allongé d'extension 7. Dans ce dernier cas, le guide 8 et la bague 11 devront avoir un contour intérieur adapté à la section de la tige ou du tube 7.

De préférence, le guide 8 fait partie intégrante du profilé 4 et il est réalisé sous la forme d'un conduit à section circulaire situé au milieu de la section transversale du profilé 4, comme montré dans la figure 4. Le guide 8 est disposé entre deux cloisons intérieures parallèles 4a et 4b du profilé 4, qui relient le guide 8 aux parois extérieures 4c et 4d dudit profilé. Le guide 8 et les cloisons intérieures 4a et 4b s'étendent sur toute la longueur du profilé 4 et ils définissent avec chacune des deux parois extérieures 4c et 4d un canal 13 ou 14 dans lequel sont engagées des protubérances 15a, 15b et 16a, 16b formées sur la face inférieure des deux demi anneaux lia et llb de la bague de serrage 11 (figure 5). Comme montré dans la figure 6, les protubérances 15a, 15b et 16a, 16b épousent le contour extérieur du guide 8 et coopèrent avec celui-ci et avec les cloisons intérieures 4a et 4b pour positionner et centrer la bague de serrage 11 par rapport au guide 8. De préférence, le tube 7 a un diamètre extérieur un peu plus petit que le diamètre intérieur du guide 8 de façon à pouvoir coulisser facilement dans ledit guide. Dans ces conditions, la bague de serrage Il, avec ses protubérances 15a, 15b et 16a, 16b, sert aussi à stabiliser radialement le tube 7 par rapport au guide 8.

Comme on peut le voir dans la figure 4, chacune des deux cloisons intérieures 4a et 4b du profilé 4 définit, en outre, avec les deux parois extérieures 4c et 4d du profilé 4, une goulotte 17 ou 18 qui est ouverte vers l'extérieur du profilé 4 pour recevoir des câbles de liaison électrique et/ou optique (non montrés). Les bords libres des parois extérieures 4c et 4d, qui forment aussi les bords libres des goulottes 17,18 sont profilés de façon à présenter des paires de lèvres 19 ou 21 qui sont dirigées l'une vers l'autre et qui permettent une fixation par clipsage d'au moins un cache 22 ou 23 (figures 1 à 4) apte à fermer la goulotte 17 ou 18 correspondante. Chacune des deux parois extérieures 4c et 4d du profilé 4 comporte, sur sa face intérieure, deux paires de nervures longitudinales 20. Chaque paire de nervures 20 définit un canal ouvert à section sensiblement circulaire, dans l'une ou l'autre extrémité duquel peut être vissée une vis auto-taraudeuse dont on verra l'utilité plus loin.

Le vérin à vis 2 comporte, de façon classique, un moyeu 2a qui porte, à une de ses extrémités, un disque 2b pour l'appui du vérin contre le plafond d'un local et, à son autre extrémité, une tige filetée 2c. Dans le cas où l'élément allongé d'extension 7 est constitué par un tube, l'extrémité supérieure du tube est obturée par un bouchon 24 comportant un trou central taraudé 25 dans lequel est vissée la tige filetée 2c du vérin à vis 2. Dans le cas où l'élément allongé d'extension 7 est constitué par une tige pleine, un trou borgne taraudé, d'une longueur au moins égale à celle de la tige filetée 2c du vérin à vis 2, peut être formé dans l'extrémité supérieure de la tige pour recevoir la tige filetée du vérin à vis.

Pour faciliter le vissage de la tige filetée 2c dans le trou taraudé 25, le moyeu 2a du vérin à vis 2 peut avoir une section hexagonale ou il peut être pourvu d'au moins un trou radial, pour que l'on puisse le faire tourner à l'aide d'une clé ou d'un outil approprié.

Comme on peut le voir dans les figures 1 à 3, un enjoliveur 26, de forme générale annulaire, peut être disposé à l'extrémité supérieure du profilé supérieur 4 du fût 1. L'enjoliveur 26 est utilisé par exemple dans le cas où le local dans lequel la colonne bureautique doit être installée, est équipé d'un faux plafond. Dans ce cas, une ouverture doit être découpée dans le faux plafond pour permettre le

passage de l'extrémité supérieure du profilé supérieur 4 à travers ladite ouverture, afin que le vérin à vis 2 puisse être appuyé contre le plafond. L'enjoliveur 26 sert ensuite à masquer ladite ouverture après que la colonne bureautique a été mise en place.

Comme montré dans la figure 7, l'enjoliveur 26 est, de préférence, constitué par deux demi coques identiques moulées 26a et 26b, en une matière plastique. Dans l'état assemblé des deux demi coques 26a et 26b (figure 8), l'enjoliveur 26 comporte un collet inférieur 27 apte à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé 4, un collet supérieur 28 ayant des dimensions plus grandes que celles du collet inférieur 27 (et aussi de l'ouverture découpée dans le plafond), et une partie annulaire intermédiaire 29 raccordant les deux collets 27 et 28. Dans la zone de jonction entre les deux demi coques 26a et 26b, chaque demi coque comporte une languette 31 qui recouvre à chevauchement le bord adjacent 32 de l'autre demi coque. En outre, chacune des demi coques 26a et 26b comporte à proximité du collet 27, une barrette 33, qui porte deux languettes flexibles 34, sensiblement en forme de V, permettant une fixation par clipsage de chaque demi coque 26a ou 26b sur les lèvres 19 ou 21 du profilé 4, comme montré dans la figure 9.

En se reportant maintenant à la figure 10, on peut voir que le profilé 3 du fût 1 de la colonne bureautique a une section transversale dont la forme générale est semblable à celle de la section transversale du profilé 4. Toutefois, dans l'exemple représenté, le profilé 3 comporte une unique cloison longitudinale intérieure 3a, qui relie les deux parois extérieures 3b et 3c du profilé 3 en leur milieu. La cloison 3a définit avec les deux parois extérieures 3b et 3c, deux goulottes 35 et 36, qui sont ouvertes vers l'extérieur du profilé 3 pour recevoir des câbles de liaison électrique et/ou optique (non montrés). Les bords libres des parois extérieures 3b et 3c formant les bords libres des goulottes 35 et 36, sont profilés de façon à présenter plusieurs paires de lèvres 37,38, 39 et 41, qui sont dirigées deux à deux, l'une vers l'autre, et qui permettent une fixation par clipsage d'un cache 42 ou 43 (figures 1,2 et 10) apte à fermer la goulotte 35 ou 36 correspondante.

Dans le cas où un ou plusieurs appareillages électriques (non montrés) du type défini en préambule, sont encastrés dans l'une et/ou l'autre des

deux goulottes 35 et 36, les lèvres 37, 38, 39 et 41 peuvent également servir à la fixation par clipsage du ou desdits appareillages. Dans ce cas, le ou les caches 42 et 43 sont subdivisés en au moins deux éléments, chaque élément fermant une partie de la goulotte correspondante 35 ou 36 au-dessus ou au-dessus de l'appareillage électrique encastré dans la goulotte.

Chacune des deux parois extérieures 3b et 3c du profilé 3 comporte, sur sa face intérieure, deux paires de nervures longitudinales 44. Chaque paire de nervures 44 définit un canal ouvert à section sensiblement circulaire, dans l'une ou l'autre extrémité duquel peut être vissée une vis de fixation auto-taraudeuse, dont on verra l'utilité plus loin.

En se reportant maintenant à la figure 11, on peut voir que la pièce d'assemblage 5 destinée à l'assemblage des deux profilés 3 et 4 du fût 1 de la colonne bureautique, est constituée par une pièce moulée en matière plastique, comportant une plaque horizontale 5a dont le contour correspond sensiblement au contour du profilé 3 complété par les caches 42 et 43. La plaque 5a porte, au milieu de sa face supérieure, une première saillie Sb, de forme générale cylindrique, apte à s'emboîter étroitement dans l'extrémité inférieure du guide cylindrique 8 du profilé 4. Sur sa face inférieure, la plaque 5a porte une seconde saillie 5c apte à s'emboîter étroitement dans l'extrémité supérieure du profilé 3. La saillie Sc comporte une fente 45, qui s'étend sur toute la hauteur de la saillie 5c et d'un côté à l'autre de cette dernière, de telle façon que la saillie 5c puisse être placée à cheval sur l'extrémité supérieure de la cloison intérieure 3a du profilé 3.

La plaque horizontale Sa de la pièce d'assemblage 5 comporte, en outre, sur son pourtour, un collet inférieur 5d apte à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé 3 et, sur sa face supérieure, un collet supérieur 5e apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé 4. Etant donné que, dans l'exemple de réalisation représenté, le profilé 4 a une section dont les dimensions extérieures sont plus petites que celles du profilé 3, le collet 5e se trouve en retrait par rapport au bord périphérique de la plaque 5a. Deux ouvertures 46 et 47 sont formées dans la plaque 5a, à l'intérieur du collet 5e, afin de mettre les goulottes 17 et 18 du profilé 4 en

communication respectivement avec les goulottes 35 et 36 du profilé 3, et de permettre ainsi le passage des câbles de liaison électrique et/ou optique de la goulotte 17 à la goulotte 35 et de la goulotte 18 à la goulotte 36.

La plaque 5a peut, en outre, comporter quatre trous 48 (un seul trou est visible dans la figure 11) qui sont respectivement alignés avec les quatre canaux à section circulaire formés par les nervures 20 du profilé 4, de telle sorte que, si on le désire, la pièce d'assemblage 5 peut être fixée au profilé 4 par des vis auto-taraudeuses.

En se reportant maintenant à la figure 12, on peut voir que le pied 6 est constitué par une pièce moulée comprenant une plaque de base 6a qui comporte deux trous 49 (un seul des deux trous est visible dans la figure 12) pour des vis destinées à la fixation du pied 6 sur le sol d'un local dans lequel la colonne bureautique est à installer. Dans sa partie centrale, la plaque 6a comporte une ouverture rectangulaire 51 à travers laquelle on peut faire passer des câbles de liaison électrique et/ou optique pré-installés dans le sol du local. De préférence, l'ouverture 51 est suffisamment large pour que l'on puisse faire passer un boîtier de raccordement dans le cas où les câbles sont pré-équipés avec un tel boîtier de raccordement. La plaque 6a du pied 6 comporte, en outre, sur sa face supérieure, un collet 52 apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé 3. La plaque 6a peut, en outre, comporter quatre trous 53 (seulement deux trous 53 sont visibles dans la figure 12), qui sont alignés respectivement avec les quatre canaux à section circulaire formés par les nervures 44 du profilé 3. Si on le désire, le pied 6 peut être fixé au profilé 3 par quatre vis autotaraudeuses qui sont passées respectivement par les trous 53 et sont vissées dans les canaux susmentionnés du profilé 3.

Les figures 13 et 14 montrent un autre mode de réalisation d'une colonne bureautique selon l'invention. Dans les figures 13 et 14, les éléments qui sont semblables ou qui jouent le même rôle que ceux du mode de réalisation décrit plus haut, sont désignés par les mêmes numéros de référence, augmentés du nombre 100, et ne seront pas décrits à nouveau en détail, sauf en ce qui concerne les différences par rapport au premier mode de réalisation.

La colonne bureautique représentée dans les figures 13 et 14 comprend donc un fût 101 composé de deux profilés 103 et 104 assemblés l'un à l'autre par une pièce d'assemblage 105. A la base de la colonne se trouve un pied 106, tandis que, à l'extrémité supérieure de la colonne, se trouve un vérin à vis 102 monté à l'extrémité supérieure d'un élément allongé d'extension 107 qui est lui-même monté coulissant dans un guide (non montré dans les figures 13 et 14), semblable au guide 8 de la figure 4. Une bague de serrage 109 permet de régler la quantité dont l'élément allongé d'extension 107 fait saillie au-delà de l'extrémité supérieure du profilé 104. Deux enjoliveurs 122 et 123 ferment les goulottes du profilé 104 et un enjoliveur 126 est fixé à l'extrémité supérieure de celui-ci. En fait, les éléments 102,104, 107, 109,122, 123 et 126 peuvent être rigoureusement identiques aux éléments correspondants de la colonne des figures 1 et 2.

Le profilé 103 de la colonne des figures 13 et 14 a une section transversale dont les dimensions extérieures sont plus grandes que celles du profilé 3 des figures 1,2 et 10. Elle est dimensionnée pour pouvoir recevoir au moins un boîtier clipsable 154 qui a sensiblement la forme générale d'un parallélépipède rectangle et qui contient un ou plusieurs appareillages électriques du type défini en préambule. Dans ce cas, le cache 143 est composé de deux éléments qui sont clipsés sur le profilé 103, respectivement au-dessus et audessous du boîtier 154, comme montré dans les figures 13 et 14.

Le pied 106 a une structure semblable à celle montrée dans la figure 12, avec un collet 152 plus large que le collet 52 de la figure 12 et apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé 103. A titre de variante, le pied 106 peut avoir une forme et des dimensions identiques à celle du pied 6 de la figure 12, le collet 52 étant alors engagé à l'intérieur du profilé 103. Dans ce dernier cas, des encoches doivent être prévues dans le collet 52 afin que ce dernier n'interfère pas avec la cloison intérieure du profilé 103, ni avec les lèvres et autres nervures intérieures dudit profilé, qui correspondent aux lèvres 38 et 41 et aux nervures 44 du profilé 3.

La pièce d'assemblage 105 est représentée à plus grande échelle, dans la figure 15. Comme on peut le voir dans cette figure, la plaque 105a de la pièce d'assemblage 105 ne comporte aucun collet

inférieur ou supérieur, tels les collets 5d et 5e de la pièce d'assemblage 5 de la figure 11, et aucune ouverture, telles les ouvertures 46 et 47 de la pièce d'assemblage 5. Dans ce cas, la plaque 105a, de forme approximativement rectangulaire, a une largeur plus petite que la plus grande dimension de la section transversale du profilé 103, mesurée entre les deux caches 142 et 143, de manière à ménager une communication de chaque côté de la pièce d'assemblage 105 entre les goulottes des deux profilés 103 et 104 correspondant aux goulottes 35, 36 et 17,18 des profilés 3 et 4.

Dans ce cas, la colonne bureautique des figures 13 et 14 comporte un autre enjoliveur 155, qui est de préférence composé de deux demi coques identiques 155a et 155b ayant une structure semblable à celle des deux demi coques 26a et 26b des figures 7 et 8.

Dans ce cas, le collet inférieur 128 des deux demi coques 155a et 155b, qui correspond au collet supérieur 28 des demi coques 26a et 26b, est conformé de façon à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé 103, tandis que le collet supérieur 127 des deux demi coques 155a et 155b, qui correspond au collet inférieur 27 des deux demi coques 26a et 26b, est conformé de manière à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé 104. Les deux enjoliveurs 126 et 155 ont, de préférence, des structures, des formes et des dimensions identiques.

Comme cela ressort de la description qui précède, le fût 1 ou 101 de la colonne bureautique selon l'invention, est composé de deux profilés séparés 3 et 4 ou 103 et 104 qui peuvent être manutentionnés, transportés et stockés plus aisément que le fût des colonnes bureautiques antérieurement connues. En outre, du fait que le fût 1 ou 101 de la colonne est réalisé à partir de deux profilés séparés 3 et 4 ou 103 et 104, le profilé supérieur 4 ou 104 peut avoir une section transversale de dimensions plus faibles que celles du profilé inférieur 103. Il est ainsi possible de réaliser des colonnes bureautiques ayant un aspect moins massif que les colonnes bureautiques antérieurement connues, et il est également possible de décliner des couleurs différentes non seulement entre les profilés 103 et 104, mais également entre les caches 22, 23, 42,43 ou 122,123, 142,143 équipant les deux profilés. Enfin, le plus important, la colonne bureautique selon

l'invention est modulable, c'est-à-dire que, selon que l'on utilise des appareillages électriques qui sont encastrés et clipsés directement dans la ou les goulottes du profilé inférieur 3, ou que l'on utilise un ou plusieurs boîtiers récepteurs d'appareillage 154 qui sont encastrés et clipsés dans la ou les goulottes du profilé inférieur 103, il suffit d'utiliser le profilé inférieur approprié 3 ou 103, sans que la totalité du fût de la colonne ait besoin d'avoir une structure adaptée au type d'appareillage électrique ou au boîtier récepteur d'appareillage utilisé.

Dans le cas où les appareillages électriques sont clipsés directement dans la ou les goulottes du profilé inférieur 3, il est possible de prévoir un petit nombre de profilés 3 dont les lèvres ou les nervures, telles que les nervures 38 et 41, ont des formes, des dimensions ou des positions différentes adaptées aux différents modèles d'appareillage électrique disponibles dans le commerce.

On notera également que du fait que l'élément allongé d'extension 7 est monté coulissant dans un conduit de guidage 8 séparé des goulottes contenant les câbles de liaison électrique et/ou optique, ces derniers ne risquent pas d'être endommagés au cours des opérations d'installation de la colonne bureautique, ni de perturber la manoeuvre de l'élément allongé d'extension.

En outre, dans le cas où les câbles destinés à alimenter en courant le ou les postes de travail, ou destinés à acheminer des signaux ou des données jusqu'au poste de travail ou à partir de ce dernier, sont pré-installés uniquement dans le sol d'un local, il est possible d'utiliser uniquement le profilé inférieur du fût de la colonne, par exemple le profilé 3, comme montré dans les figures 16 et 17, avec le pied 6 et un chapeau 56, pour former une mini-colonne ou potelet. Le chapeau 56 peut être, par exemple, constitué par une plaque en matière plastique, en aluminium ou en alliage d'aluminium ayant un contour correspondant au contour de la section du profilé 3. Le chapeau 56 comporte quatre trous 57 (figure 17) qui sont respectivement alignés avec les canaux à section circulaire formés par les nervures 44 du profilé 3, et il est fixé à ce dernier par quatre vis auto-taraudeuses 58 (figure 16) qui sont passées à travers les trous 57 et vissées dans lesdits canaux du profilé 3.

Il va de soi que les modes de réalisation de l'invention qui ont été décrits ci-dessus, ont été donnés à titre d'exemple purement indicatifs et nullement limitatifs, et que de nombreuses modifications peuvent être facilement apportées par l'homme de l'art sans pour autant sortir du cadre de l'invention. Par exemple, bien que les profilés 3 et 4 ou 103 et 104 décrits plus haut, comportent chacun deux goulottes disposées dos à dos, les profilés pourraient être conçus de manière à présenter une seule goulotte ou plus de deux goulottes réparties à la périphérie des profilés. En outre, bien que les profilés inférieur et supérieur décrits plus haut aient des sections transversales qui ont, de préférence, des dimensions extérieures différentes, ils pourraient avoir des sections transversales ayant le même contour et les mêmes dimensions extérieures, au détriment toutefois d'une esthétique allégée.

En outre, le vérin à vis pourrait être monté à l'extrémité inférieure du profilé inférieur, de façon à prendre appui sur le sol d'un local, tandis que le profilé supérieur du fût de la colonne pourrait prendre appui sur le plafond du local par l'intermédiaire d'une pièce d'appui semblable au pied 6, ou être fixé au plafond ou autre support d'appui par une pièce de fixation appropriée.

Claims

REVENDICATIONS 1. Colonne bureautique comprenant un fût creux (1) pour le passage de câbles de liaison électrique et/ou optique, et un vérin à vis (2) monté à l'une des extrémités du fût pour la mise en compression longitudinale dudit fût entre le sol et le plafond d'un local, caractérisée en ce que la colonne est modulable, le fût (1) se composant de deux profilés (3 et 4) respectivement inférieur et supérieur, le profilé inférieur (3) étant utilisable seul avec un chapeau (56) et un pied (6) pour former un potelet, ou en combinaison avec le profilé supérieur (4) et le vérin à vis (2) pour former une colonne complète entre sol et plafond lorsque les deux profilés (3 et 4) sont assemblés au moyen d'une pièce d'assemblage (5).
2. Colonne bureautique selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comprend en outre un élément allongé d'extension (7) qui est monté de manière télescopique dans un guide longitudinal (8) dans le profilé supérieur (4) du fût (1), et un moyen de blocage (9) pour bloquer une translation de l'élément allongé d'extension dans le guide, ledit moyen de blocage étant déblocable pour permettre un réglage de l'extension de l'élément allongé d'extension au-delà de l'extrémité supérieure du profilé supérieur du fût.
3. Colonne bureautique selon la revendication 2, caractérisée en ce que l'élément allongé d'extension (7) est constitué par un tube à section ronde ou polygonale et le moyen de blocage (9) est constitué par une bague de serrage (11) qui est serrée sur le tube et qui prend appui vers le bas sur l'extrémité supérieure du guide (8) et/ou du profilé supérieur (4) du fût (1).
4. Colonne bureautique selon la revendication 2 ou 3, caractérisée en ce que le guide (8) fait partie intégrante du profilé supérieur (4) du fût (1) et est situé au milieu de la section transversale dudit profilé supérieur.
5. Colonne bureautique selon la revendication 4, caractérisée en ce que la bague de serrage (11) comporte, sur sa face frontale inférieure, des protubérances (15a, 15b, 16a, 16b) qui sont engagées dans l'extrémité supérieure du profilé supérieur (4) du fût (1) et qui coopèrent avec le guide (8) et/ou avec des éléments internes (4a,

<Desc/Clms Page number 18>

4b) du profilé supérieur (4) pour positionner et centrer la bague de serrage par rapport au guide.
6. Colonne bureautique selon l'une quelconque des revendications 2 à 5, caractérisée en ce que le vérin à vis (2) est monté à l'extrémité supérieure de l'élément allongé d'extension (7).
7. Colonne bureautique selon la revendication 6, caractérisée en ce que dans le cas où l'élément allongé d'extension (7) est constitué par un tube, l'extrémité supérieure du tube est obturée par un bouchon (24) comportant un trou central taraudé (25) dans lequel est vissée une tige filetée (2c) du vérin à vis (2).
8. Colonne bureautique selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisée en ce que chacun des deux profilés (3 et 4) du fût (1) comporte au moins une cloison longitudinale intérieure (3a ; 4a, 4b) qui définit avec des parois extérieures (3b, 3c ; 4c, 4d) du profilé correspondant au moins une goulotte (35,36 ; 17,18) ouverte vers l'extérieur du profilé pour recevoir les câbles de liaison électrique et/ou optique, et les bords libres de la goulotte sont profilés pour permettre une fixation par clipsage d'au moins un appareillage électrique et/ou d'un boîtier (154) contenant au moins un appareillage électrique, et/ou d'au moins un cache (42,43 ; 22,23) apte à fermer la goulotte.
9. Colonne bureautique selon la revendication 8, caractérisée en ce que la pièce d'assemblage (5 ; 105) est constituée par une pièce moulée ayant la forme d'une plaque horizontale (Sa ; 105a) comportant, sur sa face supérieure, une première saillie (Sb ; 105b) apte à s'emboîter étroitement dans l'extrémité inférieure du profilé supérieur (4) du fût et, sur sa face inférieure, une seconde saillie (Sc ; 105c) apte à s'emboîter étroitement dans l'extrémité supérieure du profilé inférieur (3) du fût, ladite pièce moulée étant conformée ou dimensionnée de manière à ménager une communication entre les goulottes (17,35 ; 18,36) des deux profilés (3 et 4) du fût (1).
10. Colonne bureautique selon les revendications 4 et 9, caractérisée en ce que la première saillie (5b ; 105b) de la pièce moulée formant la pièce d'assemblage (5 ; 105) se trouve au milieu de la face supérieure de la plaque horizontale (Sa ; 105a) et est conformée pour pouvoir être emboîtée dans le guide central (8) du profilé supérieur (4)

<Desc/Clms Page number 19>

du fût, et la seconde saillie (Sc ; 105c) de ladite pièce moulée est conformée pour pouvoir être placée à cheval sur l'extrémité supérieure de la cloison intérieure (3a) du profilé inférieur (3) du fût.
11. Colonne bureautique selon la revendication 9 ou 10, caractérisée en ce que le profilé supérieur (4) du fût a une section transversale dont les dimensions extérieures sont plus petites que celles de la section transversale du profilé inférieur (3) du fût.
12. Colonne bureautique selon la revendication 11, caractérisée en ce que la plaque horizontale (Sa) de la pièce moulée formant la pièce d'assemblage (5) a un contour qui correspond au contour de la section transversale du profilé inférieur (3) du fût, et comporte, sur son pourtour, un collet inférieur (5d) apte à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé inférieur (3) du fût et, sur sa face supérieure, un collet supérieur (Se) apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé supérieur (4) du fût.
13. Colonne bureautique selon la revendication 11, caractérisée en ce qu'elle comprend en outre un enjoliveur (155), de forme générale annulaire, qui comporte un collet supérieur (127) apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé supérieur (4) du fût, un collet inférieur (128) apte à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé inférieur (3) du fût, et une partie annulaire intermédiaire (129) raccordant lesdits collets supérieur et inférieur.
14. Colonne bureautique selon l'une quelconque des revendications 1 à 13, caractérisée en que qu'elle comprend en outre un enjoliveur (26 ; 126), de forme générale annulaire, qui comporte un collet inférieur (27) apte à entourer étroitement l'extrémité supérieure du profilé supérieur (4) du fût, un collet supérieur (28) ayant des dimensions plus grandes que celles du collet inférieur, et une partie annulaire intermédiaire (29) raccordant lesdits collets inférieur et supérieur.
15. Colonne bureautique selon les revendications 13 et 14, caractérisée en ce que les deux enjoliveurs (126, 155) ont des formes et des dimensions identiques.
16. Colonne bureautique selon la revendication 15, caractérisée en ce que chaque enjoliveur (26 ; 126,155) est constitué

<Desc/Clms Page number 20>

de deux pièces moulées identiques qui sont fixées au profilé supérieur du fût par clipsage.
17. Colonne bureautique selon l'une quelconque des revendications 1 à 16, caractérisée en ce que le pied (6) est constitué par une pièce moulée comprenant une plaque de base (6a) comportant une large ouverture centrale (51), pour le passage des câbles de liaison électrique et/ou optique et/ou pour le passage d'un boîtier de raccordement, et des perçages (49) pour des vis de fixation du pied au sol, ladite plaque de base comportant, en outre, sur sa face supérieure, un collet (52) apte à entourer étroitement l'extrémité inférieure du profilé inférieur (3) du fût (1).
18. Colonne bureautique selon l'une quelconque des

revendications 1 à 17, caractérisée en ce que le profilé inférieur (3) du fût (1) a une longueur Il qui satisfait la relation 60 cm < Il 80 cm, et le profilé supérieur du fût a une longueur 12 qui satisfait la relation 12 2m.