FR2801166A1

FR2801166A1 - Chassis de cablage pour armoire electrique et armoire electrique equipee d'un tel chassis

Info

Publication number: FR2801166A1
Application number: FR9914336A
Authority: FR
Inventors: Gino Faccin
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 1999-11-15
Filing date: 1999-11-15
Publication date: 2001-05-18
Anticipated expiration: 2019-11-15
Also published as: FR2801166B1; WO2001037389A1; AU1713001A

Abstract

La présente invention concerne un châssis de câblage à moindre coût, parfaitement adapté et intégré à une armoire électrique choisie, afin que le fournisseur d'armoire électrique puisse, le cas échéant, proposer une armoire complète intégrant un châssis de câblage. Ce châssis de câblage (2) est destiné à une armoire électrique comportant au moins une structure portante (1) et comporte plusieurs rails (5) aptes à recevoir des appareils électriques, chaque rail étant porté à ses extrémités par un étrier (6) à deux branches en forme de U. Il est caractérisé en ce que la seconde branche (8) des étriers (6) est agencée pour être montée directement sur des éléments (3) de la structure portante (1) de l'armoire électrique, cette seconde branche (8) comportant des premiers moyens d'assemblage (9) complémentaires à des seconds moyens d'assemblage (4) prévus sur les éléments (3), ces moyens étant agencés pour permettre un montage rapide des étriers (6) sur les éléments (3).

Description

CHASSIS DE CABLAGE POUR ARMOIRE ELECTRIQUE ET ARMOIRE ELECTRIQUE EQUIPEE D'UN TEL CHASSIS La présente invention concerne un châssis de câblage pour armoire électrique comportant au moins une structure portante, ce châssis comprenant plusieurs rails destinés à recevoir des appareils électriques, chaque rail étant porté à ses extrémités par un étrier à deux branches en forme de U, les rails et une première branche des étriers couplée à ces rails comportant des moyens d'assemblage complémentaires. L'invention concerne également une armoire électrique comportant une structure portante équipée d'un tel châssis de câblage.

Les châssis de câblage sont bien connus dans le domaine électrique et sont agencés pour recevoir les appareils électriques et leur câblage électrique nécessaires à l'alimentation et à la commande d'équipements électriques domestiques ou industriels. Ces châssis de câblage sont habituellement constitués de montants verticaux sur lesquels sont montés des rails horizontaux au moyen par exemple d'étriers en forme de U. Ils sont ensuite logés dans une armoire électrique fermée et verrouillée conformément aux normes en vigueur relatives à la sécurité et à la protection des personnes. Quand une installation électrique doit être réalisée, il convient donc d'adapter le châssis de câblage à l'armoire électrique choisie ou inversement. Si ces deux produits sont fournis par deux sociétés indépendantes, le client final doit effectuer deux démarches parallèles pour commander son matériel. De plus, le châssis de câblage doit être conçu pour former un ensemble complet agencé pour être monté à l'intérieur d'une armoire électrique d'un type quelconque. Ceci nécessite généralement des pièces d'adaptation supplémentaires permettant cet assemblage. De plus, si l'on analyse globalement une armoire électrique dans laquelle est monté un châssis de câblage, on constate que certaines pièces, telles que les montants verticaux, sont doublées. Cette méthode n'est donc pas rationnelle et implique, par conséquent, des coûts élevés.

Le but de la présente invention est de proposer une solution économique permettant de réaliser un châssis de câblage à moindre coût, parfaitement adapté et intégré à une armoire électrique choisie, afin que le fournisseur d'armoire électrique puisse, le cas échéant, proposer une armoire complète intégrant un châssis de câblage. Ainsi, le client n'aura besoin d'effectuer qu'une seule démarche. Ce but est atteint par un châssis tel que défini en préambule et caractérisé en ce que la seconde branche desdits étriers est agencée pour être montée directement sur des éléments de la structure portante de l'armoire électrique, cette seconde branche comportant des premiers moyens d'assemblage agencés pour permettre un montage rapide des étriers sur lesdits éléments.

Dans une première forme de réalisation, les premiers moyens d'assemblage sont agencés uniquement pour bloquer en position lesdits étriers sur lesdits éléments et comportent, par exemple au moins un trou traversant pour un organe de fixation agencé pour se visser dans lesdits éléments.

Dans une deuxième forme de réalisation, les premiers moyens d'assemblage sont également agencés pour guider lesdits étriers sur lesdits éléments et comportent, par exemple, au moins une aile de guidage saillante de la seconde branche de l'étrier et définissant avec elle un angle a sensiblement égal à l'angle correspondant desdits éléments sur lesquels coulisse ledit étrier.

Dans une troisième forme de réalisation, les premiers moyens d'assemblage sont également agencés pour positionner lesdits étriers sur lesdits éléments et comportent, par exemple, au moins un ergot agencé pour s'emboîter dans lesdits éléments.

Dans une quatrième forme de réalisation, les premiers moyens d'assemblage sont également agencés pour accrocher lesdits étriers sur lesdits éléments et comportent, par exemple, au moins un crochet agencé pour s'accrocher sur lesdits éléments.

Dans une cinquième forme de réalisation, les premiers moyens d'assemblage sont également agencés pour clipper lesdits étriers sur lesdits éléments et comportent, par exemple, au moins une languette saillante de la seconde branche de l'étrier et un nez de verrouillage saillant de l'aile de guidage, la languette et le nez étant agencés pour s'emboîter et se verrouiller sur lesdits éléments.

Dans une sixième forme de réalisation, les premiers moyens d'assemblage sont également agencés pour clipper et coulisser lesdits étriers sur lesdits éléments et comportent, par exemple, au moins une patte emboîtable saillante de la seconde branche de l'étrier agencée pour s'emboîter et coulisser sur lesdits éléments. Ce but est également atteint par une armoire électrique comportant une structure portante, caractérisée en ce que ladite structure portante est agencée pour recevoir un châssis de câblage tel que défini ci-dessus, les éléments de ladite structure portante comportant des seconds moyens d'assemblage complémentaires auxdits premiers moyens d'assemblage de la seconde branche de l'étrier du châssis.

D'une manière préférentielle, les éléments de la structure portante sur lesquels est montée la seconde branche dudit étrier sont les montants verticaux et les seconds moyens d'assemblage comportent au moins un ensemble de perforations disposées axialement et régulièrement espacées le long desdits montants verticaux.

La présente invention et ses avantages seront mieux compris dans la description suivante de plusieurs formes de réalisation données à titre d'exemple non limitatif et en référence aux dessins annexés, dans lesquels - la figure 1 représente en perspective une structure portante d'une armoire électrique pourvue d'un châssis de câblage selon l'invention, - les figures 2A et 2B représentent respectivement un étrier en perspective et une section dudit étrier monté sur un montant vertical de l'armoire, et - les figures 3A, 3B à 7A, 7B sont des vues similaires aux figures 2A et 2B représentant d'autres variantes de réalisation dudit étrier.

La figure 1 représente une structure portante 1 d'une armoire électrique pourvue d'un châssis de câblage 2 selon l'invention. La structure portante 1 est destinée à recevoir des panneaux de fermeture (non représentés) agencés pour réaliser une enceinte fermée et verrouillée par une porte pourvue d'une serrure, conformément aux normes en vigueur.

La structure portante 1 est, de manière connue, constituée d'éléments tubulaires 3 assemblés en parallélépipède rectangle. Ces éléments tubulaires 3 définissent quatre montants verticaux et huit traverses horizontales. Ils peuvent être formés d'un même profilé ou de profilés différents selon la conception de la structure portante 1. Ils comportent généralement des perforations 4 disposées axialement et régulièrement espacées le long de chaque face desdits éléments, ces perforations permettant aussi bien la fixation des panneaux de fermeture de l'armoire, la fixation du matériel prévu à l'intérieur de l'armoire et l'allégement de la structure portante 1. Ces éléments 3 peuvent avoir une section carrée, rectangulaire, triangulaire ou complexes. Les perforations 4 peuvent comporter, par exemple, des trous circulaires et/ou des trous oblongs, carrés ou rectangulaires. Ces différents trous peuvent être disposés en alternance, à savoir un trou circulaire et un trou allongé, en respectant un pas, par exemple, de 25 mm. L'ensemble de ces perforations constitue des seconds moyens d'assemblage.

Le châssis de câblage 2 comporte plusieurs rails 5 agencés pour porter des appareils électriques (non représentés) destinés à alimenter et à commander des équipements électriques. Ces rails 5 sont, dans l'exemple illustré, horizontaux et portés à leurs extrémités par un étrier 6 à deux branches parallèles 7, 8 en forme de U. La première branche 7 de l'étrier 6, située en avant, couplée au rail 5 et ledit rail 5 comportent des moyens d'assemblage complémentaires, tels que des formes complémentaires permettant un assemblage rapide par clippage, sans outillage.

La seconde branche 8 de l'étrier 6, située en arrière, est agencée pour être montée directement sur les éléments 3 de la structure portante 1 de l'armoire électrique. Dans l'exemple illustré, les éléments 3 correspondent aux montants verticaux disposés à l'arrière. Cette seconde branche 8 comporte, par conséquent, des premiers moyens d'assemblage 9 agencés pour permettre un montage rapide des étriers 6 sur lesdits éléments 3.

Grâce à cette astuce de montage, les montants verticaux nécessaires habituellement dans la confection des châssis de câblage sont supprimés et remplacés par ceux constituant la structure portante de l'armoire électrique. On obtient ainsi une réduction de coût importante, un gain de place puisque l'on réduit la profondeur nécessaire au châssis, une rapidité de montage et une solution globale et rationnelle pour le client final. Les premiers moyens d'assemblage 9 prévus sur la seconde branche 8 de l'étrier 5 sont à présent décrits en référence aux figures 2,4, 2B à 7A, 7B qui illustrent différents exemples de réalisation non exhaustifs.

Dans les figures 2A et 2B, les premiers moyens d'assemblage 9 sont agencés pour bloquer en position les étriers 6 sur les éléments 3. A cet effet, ils comportent, dans une zone d'extrémité de la branche 8, au moins un trou traversant 10, par exemple pour un organe de fixation, tel qu'une vis autotaraudeuse ou un boulon, agencé pour se visser dans une perforation 4 prévue dans lesdits éléments 3. L'opérateur positionne la branche 8 de l'étrier 6 en appui sur une face intérieure d'un élément 3 en plaçant le trou traversant 10 en correspondance d'une perforation 4, à la hauteur voulue. Ensuite, il introduit l'organe de fixation dans ces trous et bloque l'étrier 6 en position par vissage.

Dans les figures 3A et 3B, les premiers moyens d'assemblage 9 sont en plus agencés pour guider les étriers 6 sur les éléments 3. A cet effet, ils comportent, par exemple, au moins une aile de guidage 11 saillante de la seconde branche 8 de l'étrier 6 et définissant avec elle un angle a, égal à 90 dans l'exemple illustré. Cet angle a est sensiblement égal à l'angle correspondant de l'élément 3 sur lequel peut coulisser l'étrier 6. L'opérateur positionne la zone d'extrémité de la branche 8 de l'étrier 6 et l'aile de guidage 11 en appui contre les deux faces intérieures d'un élément 3, peut coulisser l'étrier 6 le long de l'élément 3 jusqu'à placer le trou traversant 10 en correspondance d'une perforation 4, à la hauteur voulue. Ensuite, il introduit un organe de fixation dans ces trous et bloque l'étrier 6 en position par vissage. L'aile de guidage 11 peut aussi comporter un trou traversant 10. Ainsi, l'opérateur peut bloquer l'étrier 6 sur les deux faces de l'élément 3, s'il le souhaite.

Dans les figures 4A et 4B, les premiers moyens d'assemblage 9 sont également agencés pour positionner les étriers 6 sur les éléments 3. A cet effet, ils comportent, par exemple, au moins un ergot 12 agencé pour s'emboîter dans une perforation 4 d'un élément 3. Dans l'exemple illustré, la branche 8 de l'étrier 6 comporte l'aile de guidage 11 décrite précédemment et les ergots 12 sont au nombre de quatre, deux disposés dans la zone d'extrémité de la branche 8 et deux disposés sur l'aile de guidage 11, de part et d'autre des trous traversants 10 en respectant le pas des perforations 4 prévues sur l'élément 3. Ainsi, l'opérateur positionne l'étrier 6 sur l'élément 3 de suite à la hauteur voulue en introduisant les ergots 12 dans des perforations 4 consécutives de l'élément 3, les trous traversants 10 étant automatiquement placés en correspondance d'autres perforations 4 de cet élément 3. Ensuite, il introduit un organe de fixation dans ces trous et bloque l'étrier 6 en position par vissage.

Dans les figures 5A et 5B, les premiers moyens d'assemblage 9 sont aussi agencés pour accrocher les étriers 6 sur les éléments 3. Ils comportent, par exemple, au moins un crochet 13 agencé pour s'accrocher dans une perforation 4 de l'élément 3. Dans l'exemple illustré, les crochets 13 sont au nombre de deux et sont disposés dans la zone d'extrémité de la branche 8 de l'étrier 6. Les deux crochets 13 sont superposés et distants d'un pas équivalent à celui des perforations 4 de l'élément 3. Cet étrier 6 comporte également une aile de guidage 11 telle que décrite précédemment pourvue d'un trou traversant 10 et de deux ergots 12. L'opérateur suspend l'étrier 6 par ses crochets 13 dans deux perforations 4 consécutives de l'élément 3, rabat l'aile de guidage 11 contre la face correspondante de l'élément 3, les ergots 12 s'introduisant dans d'autres perforations 4 consécutives dudit élément 3, les trous traversants 10 étant automatiquement placés en correspondance d'autres perforations 4 de cet élément 3. Ensuite, il introduit un organe de fixation dans ces trous et bloque l'étrier 6 en position par vissage.

En référence aux figures 6A et 6B, les premiers moyens d'assemblage 9 sont également agencés pour clipper les étriers 6 sur les éléments 3. A cet effet, ils comportent au moins une languette 14 saillante de la seconde branche 8 de l'étrier 6 et un nez de verrouillage 15 saillant de l'aile de guidage 11, la languette 14 et le nez 15 étant agencés pour s'emboîter et se verrouiller sur l'élément 3. Dans l'exemple illustré, la languette 14 est prévue à l'extrémité libre de la branche 8 de l'étrier 6 parallèlement à l'aide de guidage 11 et l'intervalle existant entre les deux étant sensiblement égal à la largeur de la face correspondante de l'élément 3. Les nez de verrouillage 15 sont au nombre de deux, superposés, disposés de part et d'autre du trou traversant 10 et distants d'un pas équivalent à celui des perforations 4 de l'élément 3. L'opérateur positionne d'abord la languette 14 de l'étrier 6 contre la face correspondante de l'élément 3 puis fait pivoter cet étrier en direction de l'élément 3 jusqu'à ce que les nez de verrouillage 15 soient introduits et verrouillés dans les perforations 4 correspondantes. Les trous traversants 10 sont placés automatiquement en correspondance d'autres perforations 4, et l'opérateur peut introduire un organe de fixation dans ces trous afin de bloquer l'étrier 6 en position par vissage.

En référence aux figures 7A et 7B, les premiers moyens d'assemblage 9 sont également agencés pour clipper et coulisser les étriers 6 sur les éléments 3. A cet effet, ils comportent, par exemple, au moins une patte emboîtable 16 saillante de la seconde branche 8 de l'étrier 6 agencée pour coulisser sur l'élément 3. Dans l'exemple illustré, la patte emboîtable 16 est prévue à l'extrémité libre de la branche 8 et présente une section en forme de queue d'aronde. L'élément 3 présente, dans cet exemple, une partie centrale 3' dont la section intérieure définit une rainure égaiement en forme de queue d'aronde. L'étrier 6 comporte en plus une aile de guidage 11 telle que décrite ci-dessus avec ou sans ergot ou nez de verrouillage. L'opérateur positionne l'aile de guidage 11 en appui contre la face correspondante de l'élément 3 puis introduit en force la patte emboîtable 16 dans la rainure 3' de l'élément 3. Ceci est possible grâce à la souplesse de cette patte due à sa faible épaisseur. Ainsi, l'étrier 6 une fois monté est autoverrouillé et peut coulisser librement le long de l'élément 3 permettant de le placer à la hauteur voulue. II est ensuite bloqué en position par vissage, soit par son ou ses trous traversants 10, soit par ses encoches 17 prévues sur les bords de sa branche 8 et/ou de son aile de guidage 11. Bien entendu, la forme de la patte emboîtable 16 est adaptée à celle de l'élément 3 sous réserve qu'il autorise un tel assemblage.

II ressort clairement de la présente description que l'invention permet d'atteindre les buts fixés, notamment de réaliser un châssis de câblage comportant moins de pièces donc ayant un prix de revient abaissé, ce châssis pouvant être proposé à la vente pour équiper des armoires électriques ou pouvant directement intégrer des armoires électriques.

La présente invention n'est pas limitée aux exemples de réalisation décrits mais s'étend à toute modification et variante évidentes pour un homme du métier. Notamment, les premiers et seconds moyens d'assemblage peuvent différer selon les profilés définissant les éléments 3 de la structure portante 1 de l'armoire électrique. De même, les premiers moyens d'assemblage décrits peuvent être combinés entre eux ou utilisés indépendamment.

Claims

Revendications

1. Châssis de câblage (2) pour armoire électrique comportant au moins une structure portante (1), ce châssis comprenant plusieurs rails (5) destinés à recevoir des appareils électriques, chaque rail étant porté à ses extrémités par un étrier (6) à deux branches en forme de U, les rails (5) et une première branche (7) des étriers couplée à ces rails comportant des moyens d'assemblage complémentaires,caractérisé en ce que la seconde branche (8) desdits étriers (6) est agencée pour être montée directement sur des éléments (3) de la structure portante (1) de l'armoire electrique, cette seconde branche (8) comportant des premiers moyens d'assemblage (9) agencés pour permettre un montage rapide des étriers (6) sur lesdits éléments (3).

2. Châssis de câblage selon la revendication 1, caractérisé en ce que les premiers moyens d'assemblage (9) sont agencés pour bloquer en position lesdits étriers sur lesdits éléments.

3. Châssis de câblage selon la revendication 2, caractérisé en ce que ces premiers moyens d'assemblage (9) comportent au moins un trou traversant (10) pour un organe de fixation agencé pour se visser dans lesdits éléments.

4. Châssis de câblage selon la revendication 3, caractérisé en ce que les premiers moyens d'assemblage (9) sont également agencés pour guider lesdits étriers sur lesdits éléments.

5. Châssis de câblage selon la revendication 4, caractérisé en ce que ces premiers moyens d'assemblage (9) comportent au moins une aile de guidage (11) saillante de la seconde branche (8) de l'étrier et définissant avec elle un angle a sensiblement égal à l'angle correspondant desdits éléments (3) sur lesquels coulisse ledit étrier.

6. Châssis de câblage selon la revendication 3 ou 5, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens d'assemblage (9) sont également agencés pour positionner lesdits étriers sur lesdits éléments.

7. Châssis de câblage selon la revendication 6, caractérisé en ce que ces premiers moyens d'assemblage (9) comportent au moins un ergot (12) agencé pour s'emboîter dans lesdits éléments.

8. Châssis de câblage selon la revendication 3, 5 ou 7, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens d'assemblage (9) sont également agencés pour accrocher lesdits étriers sur lesdits éléments.

9. Châssis de câblage selon la revendication 8, caractérisé en ce que ces premiers moyens d'assemblage (9) comportent au moins un crochet (13) agencé pour s'accrocher sur lesdits éléments.

10. Châssis de câblage selon la revendication 5 ou 7, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens d'assemblage (9) sont également agencés pour clipper lesdits étriers sur lesdits éléments.

11. Châssis de câblage selon la revendication 10, caractérisé en ce que ces premiers moyens d'assemblage (9) comportent au moins une languette (14) saillante de la seconde branche de l'étrier et un nez de verrouillage (15) saillant de l'aile de guidage (11), la languette et le nez étant agencés pour s'emboîter et se verrouiller sur lesdits éléments.

12. Châssis de câblage selon la revendication 5 ou 7, caractérisé en ce que lesdits premiers moyens d'assemblage (9) sont également agencés pour clipper et coulisser lesdits étriers sur lesdits éléments.

13. Châssis de câblage selon la revendication 12, caractérisé en ce que ces premiers moyens d'assemblage (9) comportent au moins une patte emboîtable (16) saillante de la seconde branche (8) de l'étrier agencée pour s'emboîter et coulisser sur lesdits éléments.

14. Armoire électrique comportant une structure portante (1), caractérisée en ce que ladite structure portante (1) est agencée pour recevoir un châssis de câblage (2) selon les revendications précédentes, les éléments (3) de ladite structure portante comportant des seconds moyens d'assemblage (4) complémentaires auxdits premiers moyens d'assemblage (9) de la seconde branche (8) de l'étrier (6) du châssis.

15. Armoire électrique selon la revendication 14, caractérisée en ce que les éléments (3) de la structure portante (1) sur lesquels est montée la seconde branche dudit étrier sont les montants verticaux.

16. Armoire électrique selon la revendication 15, caractérisée en ce que lesdits seconds moyens d'assemblage comportent des perforations (4) disposées axialement et régulièrement espacées le long desdits montants verticaux (3).