FR2786831A1 - Mecanisme d'embrayage a friction - Google Patents

Abstract

L'invention propose un mécanisme d'embrayage à friction comprenant un dispositif de rattrapage d'usure comportant une cassette (10) qui comporte une pièce (72) formant support globalement en forme de U pour le montage à rotation d'un équipage (67, 63, 60) et qui comprend une vis sans fin (63) sur laquelle est monté un axe transversal (67) traversant au moins un trou de l'une des ailes latérales (74) du support, et une roue à rochet (60), caractérisé en ce que le moyen élastique de rattrapage comporte au moins une lame élastique (86) de la cassette dont l'extrémité libre (208) coopère avec ladite seconde face latérale de la roue à rochet (60).

Description

La présente invention concerne un mécanisme d'embrayage à friction.

L'invention concerne plus particulièrement un embrayage à friction, notamment pour véhicule automobile, et se rapporte plus particulièrement à un embrayage équipé d'un dispositif de compensation de l'usure due notamment à l'usure d'au moins une garniture de friction, un tel dispositif, dit de rattrapage d'usure, opérant au fur et à mesure de

l'usure des garnitures.

L'invention concerne un mécanisme d'embrayage du type de celui décrit et représenté dans la demande de brevet français No. 96.15865 du 23 décembre 1996. La demande de brevet français No. 98.01453 du 5 février 1998 décrit aussi d'autres exemples de réalisation et des perfectionnements d'un mécanisme d'embrayage comportant un dispositif

de rattrapage d'usure.

Dans ces documents, le mécanisme d'embrayage à friction est du type comportant un couvercle, un plateau de pression lié en rotation au couvercle tout en pouvant se déplacer axialement par rapport à celui-ci, des moyens d'appui portés par le plateau de pression, des moyens embrayeurs à action axiale agissant entre le couvercle et les moyens d'appui, et un dispositif de rattrapage d'usure comprenant, d'une part, des moyens à rampes portant une denture externe et placés entre le plateau de pression et les moyens d'appui pour constituer un plateau de pression d'épaisseur variable entre sa face de friction et les moyens d'appui et comprenant, d'autre part, une cassette portée par le couvercle et qui comporte: - une pièce formant support globalement en forme de U avec une âme centrale et deux ailes latérales dotées chacune d'un trou pour le montage à rotation d'un équipage; - ledit équipage qui comprend une vis sans fin, coopérant avec la denture des moyens à rampes sur laquelle est monté un axe transversal, d'orientation globalement tangentielle par rapport à l'axe central du mécanisme, traversant au moins un trou de l'une des ailes latérales du support, et qui comprend une roue à rochet solidaire axialement et en rotation de la vis sans fin et dont une première face latérale est adjacente à la vis sans fin; - un moyen élastique de rattrapage agissant sur la seconde face latérale du corps de la roue à rochet pour la solliciter élastiquement en permanence; et - un organe élastique doté d'une languette élastique de commande portée par un retour de l'organe élastique et doté d'un cliquet

anti-retours qui sont propres à coopérer avec la roue à rochet.

Un tel embrayage comporte généralement un plateau de réaction, éventuellement en deux parties pour formation d'un volant amortisseur ou d'un volant flexible, calé en rotation sur un premier arbre, usuellement un arbre menant tel que le vilebrequin d'un moteur à combustion interne, et supportant par sa périphérie externe un couvercle auquel est attaché, avec mobilité axiale, au moins un plateau de pression qui est solidaire en rotation du couvercle et du plateau de réaction. Les moyens débrayeurs peuvent consister en des ressorts hélicoïdaux, ou en deux rondelles Belleville montées en série, et ils sont soumis à l'action de leviers de débrayage formant les moyens

débrayeurs.

Un disque de friction portant des garnitures de friction à sa périphérie externe, qui est solidaire en rotation d'un arbre, usuellement un arbre mené tel que l'arbre d'entrée de la boîte de vitesses du groupe motopropulseur, est intercalé entre le plateau de pression et le plateau de réaction de façon à être serré axialement entre eux lorsque l'embrayage est en positon d'engagement pour transmettre le couple de

l'arbre menant à l'arbre mené.

Classiquement les garnitures de friction sont montées à fixation de part et d'autres d'un support axialement élastique. En variante une seule garniture de friction est prévue. Le support est alors par exemple

noyé en partie dans la garniture de friction.

Au cours de la durée de vie d'un tel embrayage, la ou les garnitures de friction ainsi que les contre-matériaux, plateaux de pression et de réaction, s'usent ce qui provoque une variation de la position axiale du plateau de pression et de celle des moyens embrayeurs à action axiale et de la butée de débrayage, d'o il résulte une variation de la forme de serrage entre le disque de friction d'une part et, d'autre part, les plateaux de pression et de réaction en raison des modifications des conditions de travail des moyens embrayeurs, et la

force nécessaire pour débrayer s'en trouve affectée.

En dotant un tel embrayage d'un dispositif de rattrapage d'usure, on évite ces inconvénients, les moyens embrayeurs ainsi que la butée de débrayage usuellement en appui constant sur les moyens débrayeurs, occupant la même position lorsque l'embrayage est en position d'engagement. Dans la conception connue de la cassette du dispositif de rattrapage d'usure mentionnée précédemment, la languette de commande est propre à être manoeuvrée par un actionneur appartenant aux moyens embrayeurs de l'embrayage et elle coopère, ainsi que le cliquet, avec les dents de la roue à rochet. La vis sans fin coopère avec les dents de la denture appartenant aux moyens à rampes en forme d'anneau placés entre les moyens d'appui des moyens embrayeurs et le plateau de pression. La vis sans fin coopère avec la denture et avec les moyens d'entraînement en rotation comprenant le moyen élastique de rattrapage, qui sont rendus opérationnels par l'usure de ou des garnitures de friction lorsque l'embrayage est engagé. La vis sans fin est

montée tangentiellement par rapport à sa denture associée.

Dans les différents exemples de réalisation proposés dans les documents mentionnés précédemment, le moyen élastique de rattrapage agissant sur la seconde face latérale du corps de la roue à rochet pour la solliciter élastiquement en permanence est un ressort hélicoïdal de compression qui est traversé par l'axe transversal de l'équipage. Le ressort hélicoïdal de rattrapage est ainsi monté comprimé entre la face latérale en vis-à- vis de la roue à rochet et une face latérale en vis-à-vis appartenant à l'une des ailes latérales de la pièce formant support en forme de U, directement ou avec interposition d'un élément formant

rondelle d'appui.

Quelles que soient les différentes conceptions de l'équipage constitué par l'axe transversal, la vis sans fin, la roue à rochet et le ressort hélicoïdal de rattrapage, il peut être souhaitable de réduire le nombre de composants et donc les coûts. Il peut être souhaitable également de faciliter l'assemblage. En outre l'agencement d'un ressort hélicoïdal de rattrapage impose que la longueur et le diamètre de celui-ci répondent à des impératifs d'encombrement qui influent sur la

détermination de sa constante élastique.

L'invention a pour objet de proposer un perfectionnement à un mécanisme d'embrayage du type mentionné précédemment qui permet de répondre à ces souhaits en proposant une nouvelle conception du

moyen élastique de rattrapage.

Dans ce but, I'invention propose un mécanisme d'embrayage caractérisé en ce que le moyen élastique de rattrapage comporte au moins une lame élastique solidaire de la pièce formant le support de la cassette et dont l'extrémité libre coopère avec ladite seconde face

latérale de la roue à rochet.

Grâce à l'invention, on maîtrise mieux l'action du moyen élastique de rattrapage et la coopération du moyen élastique de rattrapage avec la

roue à rochet, plus précisément avec la face latérale concernée de celle-

ci, est plus facile à réaliser qu'avec un ressort à boudin. En outre on réduit le nombre de pièces et le poids de la cassette. L'assemblage est facilité. Selon d'autres caractéristiques de l'invention - la lame élastique de rattrapage comporte une partie d'enracinement qui la relie à la pièce formant le support de la cassette et à partir de laquelle elle s'étend selon une direction globalement transversale en direction de la roue à rochet en étant incurvée de manière que son extrémité libre en contact avec la seconde face latérale de la roue à rochet soit sensiblement parallèle à cette dernière et perpendiculaire à l'axe transversal pour mieux contrôler encore l'action de la lame élastique; ladite extrémité libre de la lame élastique est conformée en une fourche dont les deux branches parallèles qui coopèrent avec la seconde face latérale de la roue à rochet sont espacées pour permettre le passage d'un tronçon de l'axe transversal dudit équipage; - la lame élastique de rattrapage est réalisée venue de matière en une seule pièce avec ledit organe élastique, ce qui permet de réduire encore le nombre de composants et les coûts. Dans le but de simplifier davantage la conception de la cassette en réduisant le nombre de composants et en facilitant les différentes opérations d'assemblage, le mécanisme selon l'invention est aussi caractérisé en ce que l'organe élastique constitue ladite pièce formant

support et comporte lesdites ailes latérales.

Selon d'autres caractéristiques de l'invention - ladite partie d'enracinement de la lame élastique de rattrapage s'étend transversalement à partir d'un bord libre de l'une des ailes latérales de l'organe élastique formant support; - I'organe élastique formant support comporte au moins une patte pour sa fixation sur le couvercle; - I'organe élastique formant support comporte une patte de fixation d'orientation radiale qui s'étend, dans un plan perpendiculaire à l'axe central du mécanisme, à partir de l'âme centrale; - I'organe élastique formant support comporte deux pattes opposées de fixation d'orientation transversale dont chacune s'étend, dans un plan perpendiculaire à l'axe central du mécanisme, à partir de l'une des ailes latérales;

- I'organe élastique est une pièce en tôle découpée et pliée.

Grâce à l'invention on supprime le support de l'art antérieur. La cassette étant plus légère, il en résulte que le mécanisme d'embrayage

est plus facile à équilibrer.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront

à la lecture de la description détaillée qui suit pour la compréhension de

laquelle on se reportera aux dessins annexés dans lesquels: - la figure 1 est une vue de face d'un mécanisme d'embrayage équipé d'un dispositif de rattrapage d'usure conforme aux enseignements de l'invention, avec des arrachements partiels pour montrer notamment c-, montrer notamment la coopération de la denture des moyens rampes avec l'équipage de la cassette; - la figure 2 est une vue de détail à plus grande échelle de la partie supérieure de la figure 1; - la figure 3 est une vue de détail en section selon la ligne 3-3 de la figure 2; - la figure 4 est une vue à plus grande échelle, selon la flèche F4, de la figure 2 qui illustre, en section partielle, I'agencement de la cassette du dispositif de rattrapage d'usure; - la figure 5 est une vue schématique en perspective, selon la flèche F5 de la figure 2, qui représente à plus grande échelle la cassette du dispositif de rattrapage d'usure; - la figure 6 est une vue similaire à celle de la figure 5 qui illustre la pièce unique formant support, organe élastique et moyen élastique de rattrapage; et - la figure 7 est une vue en section selon la ligne 7-7 de la figure 6.

Dans la description qui va suivre, des composants identiques,

similaires ou analogues sont désignés par les mêmes chiffres de

référence.

Les figures représentent un mécanisme d'embrayage équipé d'un dispositif de rattrapage d'usure du type de celui décrit et représenté dans les deux demandes de brevet mentionnées précédemment au contenu desquelles il conviendra de se reporter pour plus de détails, ce contenu devant être considéré comme faisant partie intégrante de cette

description.

En se reportant notamment aux figures 1 à 3, on voit un mécanisme d'embrayage à friction, notamment pour véhicule automobile, d'axe de symétrie axiale X-X, qui constitue un ensemble unitaire et qui comprend principalement un plateau de pression 51 destiné à coopérer par sa face transversale avant 11 avec un disque de friction (non représenté sur les figures) qui porte à sa périphérie externe des garnitures de friction et qui coopère lui-même avec un plateau de réaction (non représenté) qui est destiné à être calé en rotation sur un

arbre menant, tel que le vilebrequin du moteur à combustion interne.

Le disque de friction est solidaire en rotation avec un arbre mené tel que l'arbre d'entrée de la boîte de vitesses et il est intercalé entre le plateau de pression 51, 11 et le plateau de réaction de façon à être serré axialement entre eux lorsque l'embrayage est en position d'engagement pour transmettre le couple de l'arbre menant à l'arbre mené. Les plateaux de pression et de réaction sont en matière moulable,

ici en fonte.

Classiquement, les garnitures de friction sont montées sur un support axialement élastique accouplé de manière rigide ou élastique à

un moyeu calé en rotation sur l'arbre mené.

Grâce à cette disposition, le disque de friction assiste le

diaphragme lors de l'opération de débrayage de l'embrayage.

En variante, une seule garniture de friction est prévue, le support étant par exemple noyé en partie dans cette garniture de friction. Dans

tous les cas le disque de friction présente deux faces de friction.

Le plateau de pression 51 est solidaire en rotation d'un couvercle 52 par l'intermédiaire ici de languettes tangentielles 9 qui sont élastiques axialement et qui constituent en même temps des moyens de rappel, selon la direction axiale, du plateau de pression avant 51 vers le couvercle arrière 52. En variante les languettes sont d'orientation radiale. Les languettes 9 sont fixées par rivetage d'une de leurs extrémités au couvercle 52 et à leur autre extrémité à une patte du plateau de pression 51 et elles autorisent un mouvement axial du

plateau de pression 51 par rapport au couvercle 52.

Le couvercle 52 est une pièce métallique en tôle emboutie qui

comporte un fond 13 d'orientation transversale perpendiculaire a l'axe X-

X, troué centralement et des moyens pour sa fixation à un plateau de

réaction, éventuellement divisée pour formation d'un volant amortisseur.

Ici, le couvercle 52 est globalement en forme d'assiette creuse et il comporte à sa périphérie externe un rebord radial 152 formant les moyens de fixation du couvercle au plateau de réaction, ledit rebord étant doté de trous pour le passage d'organes de fixation, tels que des

vis, du couvercle au plateau de réaction.

Une jupe annulaire 32 d'orientation axiale relie le fond 13 au rebord 152 et est ouverte au niveau des languettes 9. En variante le couvercle 52 est fixé sur le plateau de réaction ou sur un disque flexible solidaire du plateau de réaction par l'intermédiaire de sa jupe 32 dotée de pattes à cet effet pour un montage par sertissage, encliquetage,

soudage etc...

Le plateau de pression 51, tout en étant solidaire en rotation du couvercle 52, est donc déplaçable axialement par rapport à ce dernier sous la sollicitation de moyens embrayeurs à action axiale commandés par des moyens débrayeurs qui sont ici constitués par un diaphragme 53 monté articulé sur le couvercle 52, par exemple grâce à des colonnettes

portées par le fond 13 du couvercle 52 troué centralement.

Ici le montage est réalisé à l'aide de pattes 26 issues par découpe et pliage du fond 13 du couvercle. Les pattes ou les colonnettes traversent axialement le diaphragme pour porter un appui

secondaire en vis-à-vis d'un appui primaire porté par le fond 13.

Le diaphragme 53 formant moyen élastique à action axiale, a une forme tronconique à l'état libre et comporte une partie périphérique en forme de rondelle Belleville 50 par l'intermédiaire de laquelle le diaphragme prend appui sur la face interne du fond 13 du couvercle 52 pour action sur le plateau de pression 51 et serrage des garnitures de

friction entre les plateaux de pression 51 et de réaction.

Plus précisément à la position d'engagement, la rondelle 50

prend appui sur l'appui primaire.

Le diaphragme 53, par la périphérie interne de sa rondelle Belleville 50, est monté de manière basculante ou pivotante entre les appuis primaire et secondaire portés par le fond 13 du couvercle 52 et par les pattes ou colonnettes de part et d'autre du diaphragme 53. Par la périphérie externe de sa rondelle Belleville 50, le diaphragme 53 est en contact avec des zones d'appui 14, décrites en détail ci-après, formant

moyens d'appui et qui sont portées par le plateau de pression 51.

q Ce diaphragme 53 comporte également une partie centrale prolongeant vers intérieur la rondelle Belleville 50. Cette partie centrale est fragmentée en doigts radiaux par des fentes borgnes, dont les fonds forment des orifices élargis traversés par les pattes 26 ou les colonnettes précitées. C'est sur l'extrémité interne des doigts du diaphragme qu'agit ici en poussant une butée de débrayage pour

désengager l'embrayage en faisant pivoter le diaphragme.

Pour maintenir, lorsque l'embrayage est embrayé, les moyens embrayeurs à action axiale 53 dans une position axiale qui est indépendante de l'usure de ou des garnitures de friction, et dans une moindre mesure de l'usure des plateaux de pression 51 et de réaction dont les faces, dites faces de friction, s'usent au contact des garnitures de friction du disque de friction, il est prévu un dispositif de rattrapage d'usure. Selon une conception générale connue, le dispositif de rattrapage d'usure comprend une cassette 10 et des moyens 54 à

rampes 56.

Plus précisément, les moyens à rampes sont constitués d'un anneau 54 en tôle découpée et emboutie de façon à présenter des rampes 56 disposées circonférentiellement, I'anneau 54 à rampes 56 présentant aussi des zones d'appui 14 constituées par l'arête supérieure arrondie d'emboutis en arcs de cercle qui sont centrés sur l'axe X-X de l'embrayage et qui sont placés radialement à l'extérieur par rapport aux

rampes 56 (voir figures 2 et 3).

Le plateau de pression 51 présente ici, réalisés venus de moulage, sur sa face transversale arrière tournée vers le fond 13 du couvercle 52, des plots 57 répartis circonférentiellement à une distance l'un de l'autre qui correspond à celle qui sépare circonférentiellement deux rampes consécutives 56, les plots 57 étant destinés à coopérer

chacun avec une rampe correspondante 56.

L'anneau 54 à rampes 56 est placé axialement entre le diaphragme 53 et le plateau de pression 51 de sorte que les plots 57 reçoivent les rampes 56 et que le diaphragme 53 coopère avec les zones d'appui 14 qui constituent ainsi les moyens d'appui, ici fractionnés I,. mais qui peuvent être continus en variante, par l'intermédiaire desquels

le diaphragme 53 agit sur le plateau de pression 51.

L'une au moins des zones d'appui 14 de l'anneau 54 à rampes 56 est prolongée à sa périphérie externe par un rebord parallèle à l'axe de I'embrayage se terminant par un retour transversal, qui s'étend radialement vers l'extérieur dans un plan perpendiculaire à l'axe X-X de l'embrayage, qui est muni à sa périphérie externe d'une denture 59, en sorte que les zones d'appui 14 peuvent être continues et que le rebord est centré par la périphérie externe d'une surépaisseur 157 du plateau de pression 51. C'est cette surépaisseur 157 qui porte les plots 57

formant contre-rampes.

Selon une conception générale connue, la cassette 10 du dispositif de rattrapage d'usure 10, 54 comprend un équipage comportant une roue à rochet 60 à dents inclinées solidaire d'un axe 67 qui porte aussi une vis sans fin 63 dont le filet et le pas sont adaptés à la denture 59 avec laquelle la vis sans fin est amenée à coopérer dans les conditions qui seront décrites ci-après, la vis sans fin 63 s'étendant globalement tangentiellement par rapport à la denture 59, ici en forme

de secteur annulaire (figure 1).

Conformément aux enseignements de l'invention, I'équipage 60, 63, 67 est porté à rotation par une pièce unique formant support 72 qui intègre un moyen élastique de rattrapage agissant sur la roue à rochet et qui constitue aussi l'organe élastique de commande du dispositif de

rattrapage d'usure propre à coopérer avec la roue à rochet 60.

La pièce 72 est une pièce en tôle découpée et pliée qui, pour constituer une pièce formant support de la cassette, est en forme générale de U ayant une âme centrale 73 et deux ailes latérales parallèles 74 destinées à supporter l'axe 67, ici incliné comme visible à

la figure 4.

A cet effet, chacune des ailes latérales 74 comporte un trou circulaire 75 adapté à recevoir l'axe 67. Dans l'agencement illustré sur les figures, et comme on peut le voir notamment aux figures 2 et 3, les ailes latérales parallèles sont parallèles à l'axe X-X du mécanisme et agencées symétriquement de part et d'autre d'un plan axial de symétrie

correspondant à la ligne de section 3-3 de la figure 2.

L'âme centrale 73 supérieure (en considérant les figures) en forme de plaque est d'orientation tangentielle, parallèle à l'axe X-X et est située radialement à l'extérieur par rapport à l'axe 67. Pour la fixation de la cassette 10 par l'intermédiaire de la pièce unique 72 formant support en forme de U, elle comporte une première patte avant de fixation 168 qui s'étend à l'équerre à partir du bord avant de l'âme centrale 73. Cette patte 168 s'étend radialement vers I'extérieur dans un plan transversal perpendiculaire à l'axe X-X et est destinée à être fixée, par un rivet 155 traversant un trou 36 de la patte 168, sur une plage 154 du rebord externe 152 du couvercle 52, ladite plage étant décalée axialement vers l'avant par rapport au fond arrière

13 du couvercle 52.

Dans l'exemple illustré sur les figures, la pièce 72 formant support de l'équipage 60, 63, 67 de la cassette 10 comporte aussi deux

pattes latérales arrière de fixation 371.

En considérant les figures 2, 5 et 6, les deux pattes latérales, symétriques et opposées 371 s'étendent chacune transversalement vers I'extérieur par rapport au plan vertical médian de symétrie générale de

la pièce 72, dans un plan transversal commun perpendiculaire à l'axe X-

X et parallèle au plan de la patte avant 168.

Chacune des pattes latérales arrière de fixation 371 s'étend transversalement vers l'extérieur à partir du bord vertical arrière 40

d'une aile latérale 74.

Chacune des deux pattes arrière de fixation 371 comporte un

trou 372 pour le passage d'un rivet 373 de fixation.

Selon une conception connue, la cassette 10 est reçue à la périphérie externe du plateau de pression 51 qui est entaillée localement pour le logement de la cassette 10 (voir figures 3 et 4) et réduction de

l'encombrement axial.

Un logement 110 pour la cassette 10 est formé en surépaisseur, ici par déformation à la presse, au niveau de la plage 154 du rebord 152

du couvercle 52.

Le logement 110 est délimité par la plage 154 solidaire d'une âme d'orientation centrale et il protège la cassette 10 en étant ouvert au

niveau de la plage 154.

Comme on peut le voir notamment aux figures 5 et 6, chacune des ailes latérales 74 se prolonge axialement vers l'arrière au delà de son bord 40 par un bras horizontal 42, chaque bras 42 se prolongeant lui-même par un retour 71 qui s'étend transversalement vers l'intérieur dans un plan sensiblement tangentiel. Les retours 71 sont destinés à constituer des butées de contrôle dont le rôle sera expliqué par la suite, les extrémités libres 69 des retours 71 en vis-à-vis l'une de l'autre étant situées à une distance suffisante pour permettre, sans le gêner, le débattement de l'actionneur lors des opérations d'embrayage et de débrayage. L'actionneur 55 est constitué par une protubérance (ou appendice) que comporte le diaphragme 53 radialement en saillie à sa

périphérie externe.

Conformément aux enseignements de l'invention, les retours 71 sont intégrés à la pièce 72 dont ils sont issus par découpe et pliage à

partir des ailes latérales 74.

La pièce unique 72, outre la fonction de support de la cassette

10 qui vient d'être décrite, assure aussi la fonction d'organe élastique.

L'âme centrale 73 de la pièce 72 se prolonge vers l'arrière, puis obliquement radialement vers l'intérieur par une extension en oblique 84 délimitée notamment par des échancrures 82 et 83 qui confère une certaine élasticité à l'extension 84 qui est découpée centralement pour former deux bras d'extension. A l'extrémité libre, radialement intérieure, de l'extension 84 est formé un retour 85 en forme de barre d'orientation tangentielle qui se prolonge elle-même vers l'avant dans un plan tangentiel par une languette de commande 76 qui s'étend globalement

dans un plan inférieur parallèle au plan de l'âme centrale supérieure 73.

Une découpe 77 ménagée dans l'extension 84 la partage en deux branches ou bras et, à la faveur de cette découpe 77 et d'échancrures

79 et 80 formées dans l'âme centrale 73, est réalisé un cliquet anti-

retour 78 en forme de lame. L'extrémité libre du cliquet 78 s'étend globalement dans un plan transversal perpendiculaire au plan de l'âme centrale supérieure 73, la lame formant cliquet 78 s'étendant

radialement vers l'intérieur à partir de l'âme centrale supérieure 73.

Comme on peut le voir précisément à la figure 7, la languette de commande 76 et le cliquet 78 sont légèrement inclinés respectivement par rapport au plan tangentiel de l'âme centrale 73 et au plan

transversal perpendiculaire.

Le cliquet 78 est décalé par rapport à la languette 76, les extrémités libres du cliquet 78 et de la languette 76 étant décalées circonférentiellement autour de l'axe géométrique de l'axe 67 de la roue

à rochet 60.

Conformément aux enseignements de l'invention, la pièce unique 72 formant support et organe élastique comporte aussi une lame élastique 86 qui constitue le moyen élastique de rattrapage de la cassette 10 qui remplace le ressort hélicoïdal selon les conceptions

connues mentionnées précédemment.

La roue à rochet 60 est délimitée latéralement par une première face latérale 200 adjacente à la vis sans fin 63 et par une deuxième face latérale 202 sur laquelle agit le moyen élastique de rattrapage constitué

ici par une lame élastique réalisée venue de matière avec la pièce 72.

La lame élastique 86 comporte une partie d'enracinement 204 qui la relie au bord vertical arrière 40 de l'aile latérale 74 qui fait face

latéralement à la deuxième face latérale 202 de la roue à rochet 60.

La lame élastique 86 s'étend globalement dans un plan tangentiel et elle est située radialement en dessous de la patte latérale de fixation

voisine 371.

A partir de son bord d'enracinement 204, la lame élastique 86 s'étend transversalement vers l'intérieur de la cassette, et donc de la pièce 72, en direction de la deuxième face latérale 202 de la roue à rochet 60 avec un profil incurvé de manière que son extrémité libre en contact avec la seconde face latérale 202 de la roue à rochet 60 soit sensiblement parallèle à cette face latérale 202 et perpendiculaire à

l'axe 67.

Plus précisément, I'extrémité libre 208 de la lame élastique de rattrapage86 présente un profil incurvé dont la face convexe coopère 9d avec la face latérale 202 de la roue à rochet 60 et elle est conformée en une fourche dont les deux branches parallèles sont espacées l'une de l'autre pour permettre le passage du tronçon correspondant de l'axe

transversal 67 de l'équipage.

La forme et les dimensions de la lame élastique de rattrapage 86 sont telles qu'elle sollicite en permanence élastiquement la roue à rochet 60, c'est-à-dire qu'elle sollicite celle-ci de la droite vers la gauche

en considérant les figures 4 et 5.

La roue à rochet 60 est ainsi implantée globalement entre la vis

sans fin 63 et la lame élastique de rattrapage 86.

La roue à rochet 60 est au droit du cliquet anti-retour 78 qui, par coopération avec les dents inclinées de la roue à rochet 60, empêche la roue à rochet 60 de tourner, ainsi que la vis sans fin 63, dans le sens

contraire à celui des aiguilles d'une montre en considérant la figure 3.

La pièce 72 formant support (portant la roue à rochet 60, la vis sans fin 63) et l'axe 67 étant solidaire du couvercle 52, le diaphragme 53 se déplace par rapport à cette pièce lors des opérations de débrayage et de réembrayage. Le diaphragme 53 porte à sa périphérie un appendice radial 55 constituant l'actionneur qui s'étend radialement pour coopérer avec l'extension 84 de l'organe élastique 72, plus précisément avec une zone arrondie 184 raccordant la partie principale de l'extension en deux branches 84 à la barre formant retour 85 (voir

figure 7).

On comprend que, grâce à cette disposition, lors du basculement du diaphragme 53 lors des opérations de débrayage et de réembrayage, I'actionneur 55 déplace l'extension 84 de la droite vers la gauche en considérant la figure 7, et que la languette de commande 76, par coopération avec les dents de la roue à rochet 60, est amenée à faire tourner la roue à rochet 60 dans le sens horaire, et donc à faire tourner la vis 63 en comprimant la lame élastique de rattrapage 86. Au retour, lorsque l'actionneur 55 est déplacé de la gauche vers la droite en considérant la figure 3, l'élasticité de l'extension 84 de l'organe élastique 72 et l'inclinaison des dents de la roue à rochet 60 font que la 1.5 languette 76 se déplace en montant sur les dents qui sont maintenues

fixes en rotation par le cliquet anti-retour 78.

En cas d'usure de la ou des garnitures de friction, I'inclinaison du diaphragme 53 change en sorte que la languette de commande est admise a sauter une dent. Le fonctionnement du dispositif de rattrapage de jeu qui vient d'être décrit est connu et il ne sera pas détaillé. Si besoin est, on pourra se reporter au contenu des demandes de brevet français mentionnées

précédemment dont les parties de la description correspondante doivent

être considérées comme faisant partie de la présente demande, sachant que lors de l'opération de débrayage, la course de retour ou d'armement de la languette de commande 76 est limitée par la venue en butée de l'extension 84, plus précisément de la zone arrondie 184 contre les

retours 71 qui ont pour rôle de ménager l'organe élastique 72.

La vis sans fin 63 et la roue à rochet 60 peuvent être réalisées d'une seule pièce et être enfilées à force sur l'axe 67 porté par la pièce 72. L'axe 67 traverse les trous 75 des ailes 74 et il est solidaire de l'ensemble monobloc vis sans fin 63-roue à rochet 60 qui est immobilisé axialement par l'aile latérale de gauche 74 en considérant la figure 4 vers laquelle l'équipage est en permanence poussé axialement par la

lame élastique de rattrapage 86.

Afin de conférer une grande souplesse au cliquet 78, il est possible d'amincir la partie correspondante de tôle de la pièce 72 dans laquelle est découpé le cliquet 78. Comme cela est illustré aux figures, il est aussi possible de rigidifier la languette 76 par un bossage ou une nervure réalisée sous la forme d'un embouti (non référence). Cela

permet de ramener les contraintes vers le centre.

Du fait de la réalisation sous la forme d'une pièce unique 72 du support de la cassette 10 de l'organe élastique et du moyen élastique de rattrapage, la cassette 10 est particulièrement simple et économique à réaliser, son poids est réduit et les opérations d'assemblage sont simplifiées. On réduit le nombre de pièces et donc les coûts. En outre on maîtrise bien l'action de la lame élastique de rattrapage 86 sur la roue à 1 r, rochet 60 avec de bon contact avec la face latérale 202 de cette roue du fait du profil incurve de l'extrémité libre 208 La configuration en fourche

de cette extrémité libre 208 permet le passage de l'axe 67.

Il est plus facile d'équilibrer le couvercle 52 avec sa cassette 10 plus légère. En effet le couvercle 52 comporte trois logements 110 répartis régulièrement circonférentiellement ici à 120 les uns par rapport aux autres comme décrit dans le document FR98 01769 déposé le 13 février 1998 auquel on se reportera pour plus de précisions. Les logements 110 non concernés par la cassette 10 sont visibles à la figure 1 sans être référencés. Les fonds de ces logements sont fermés et portent des moyens

de prééquilibrage pour prééquilibrer le couvercle et la cassette 10.

Pour les opérations de prééquilibrage et d'équilibrage on se reportera à ce document sachant que des trous existent dans le rebord 152 de part et d'autre des logements 110 pour le montage de rivets d'équilibrage, ces trous étant voisins des trous que présente le rebord 152 pour passage des vis de fixation du couvercle 52 ou plateau de réaction ou à une pièce solidaire de celui-ci. Le rivet de fixation du jeu de languettes, qui est diamétralement opposé à la cassette 10, peut

consister en un rivet de prééquilibrage.

A la figure 2 on a représenté en 8 un anneau doté de trous 19.

Cet anneau présente à sa périphérie externe des pattes représentées en pointillés. Ces pattes sont introduites sous des pattes 5 de butée, que présente le fond du couvercle 52 à la périphérie interne. Les pattes 5, d'orientation radiale, alternent avec les pattes 26 de support, ici d'une couronne-jonc portant l'appui secondaire du diaphragme 53 à sa

périphérie externe, l'appui primaire étant formé ici par emboutissage.

Les pattes de l'anneau 8 sont interposées axialement entre le diaphragme 53 et les pattes 5 de butée par un montage du type baïonnette grâce à un ou des outils qui, par pénétration dans les trous 19, permettent de faire tourner l'anneau pour amener ses pattes sous des pattes 5. L'anneau 8 protège ainsi la cassette 10 lorsque le mécanisme est à l'état de stockage, c'est-à-dire non monté sur le volant I 7 moteur comprenant le plateau de réaction Après montage du mécanisme sur le volant moteur, on démonte l'anneau 8, formant cale,

en tournant en sens inverse l'anneau.

Dans les figures on voit en 25 un moyen de freinage sous la forme d'une languette d'orientation tangentielle fixé au plateau de pression 51 pour agir par son extrémité libre sur les rampes 56 afin de plaquer l'anneau 54 contre le plateau de pression pour rendre insensible le rattrapage d'usure aux vibrations du vilebrequin du moteur du véhicule. Tout ceci est décrit dans le document FR98 01769 dont le

contenu est considéré comme incorporé à la présente description.

Bien entendu la présence du cliquet anti-retour 78 n'est pas obligatoire. Pour cela la denture 59 peut appartenir à une pièce intermédiaire liée en rotation à l'anneau 54 avec possibilité de mouvement axial de l'anneau 54 par rapport à la pièce intermédiaire calée axialement sur le couvercle 52. Par exemple les languettes 9 sont dotées de prolongement pour pincer la pièce intermédiaire dotée de pattes pour engrener avec des rainures ménagées dans l'anneau 54 et

créer une liaison du type tenon-mortaise.

En variante des languettes élastiques du type des languettes 9

relient la pièce intermédiaire à l'anneau 54.

1 "

Claims (10)

REVENDICATIONS

1. Mécanisme d'embrayage à friction, notamment pour véhicule automobile, du type comportant un couvercle (52), un plateau de pression (51) lié en rotation au couvercle (52) tout en pouvant se déplacer axialement par rapport à celui-ci, des moyens d'appui (14) portés par le plateau de pression (51), des moyens embrayeurs (53) à action axiale agissant entre le couvercle (52) et les moyens d'appui (14), et un dispositif de rattrapage d'usure comprenant d'une part des moyens (54) à rampes (56) solidaires en rotation d'une denture externe (59) et placés entre le plateau de pression (51) et les moyens d'appui (14) pour constituer un plateau de pression (51, 54) d'épaisseur variable entre sa face de friction () et les moyens d'appui (14) et comprenant, d'autre part, une cassette (10) portée par le couvercle (52) et qui comporte: - une pièce (72) formant support globalement en forme de U avec une âme centrale et deux ailes latérales (74) dotées chacune d'un trou (75) pour le montage à rotation d'un équipage (67, 63, 60); - ledit équipage qui comprend une vis sans fin (63), coopérant avec la denture (59) solidaire en rotation des moyens (54) à rampes (56) sur laquelle est monté un axe transversal (67), d'orientation globalement tangentielle par rapport à l'axe central (X-X) du mécanisme, traversant au moins un trou (75) de l'une des ailes latérales (74) du support, et qui comprend une roue à rochet (60) solidaire axialement et en rotation de la vis sans fin (63) et dont une première face latérale (200) est adjacente à la vis sans fin (63); - un moyen élastique (86) de rattrapage agissant sur la seconde face latérale (202) du corps de la roue à rochet (60) pour la solliciter Plastiquement en permanence; et - un organe élastique (72) doté d'une languette élastique de commande (76) portée par un retour (85) de l'organe élastique (72) et doté d'un cliquet anti-retour (78) qui sont propres à coopérer avec la roue à rochet (60), caractérisé en ce que le moyen élastique de rattrapage comporte au moins une lame élastique (86) solidaire de la pièce (72) formant le 1i ç support de la cassette dont l'extrémité libre (208) coopère avec ladite

seconde face latérale de la roue à rochet (60).

2. Mécanisme d'embrayage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que la lame élastique (86) de rattrapage comporte une partie d'enracinement (204) qui la relie à la pièce (72) formant le support de la cassette (72, 74, 40) et à partir de laquelle elle s'étend selon une direction globalement transversale en direction de la roue à rochet (60) en étant incurvée de manière que son extrémité libre (208) en contact avec la seconde face latérale (202) de la roue à rochet (60) soit sensiblement parallèle à cette dernière et perpendiculaire à l'axe

transversal (67).

3. Mécanisme selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisé en ce que ladite extrémité libre (208) de la lame élastique (86) est conformée en une fourche dont les deux branches parallèles (208) qui coopèrent avec la seconde face latérale (202) de la roue à rochet (60) sont espacées pour permettre le passage

d'un tronçon de l'axe transversal (67) dudit équipage.

4. Mécanisme selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisé en ce que la lame élastique de rattrapage (86) est réalisée venue de matière en une seule pièce avec ledit organe

élastique (72).

5. Mécanisme selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisé en ce que ledit organe élastique constitue ladite pièce (72) formant support et comporte lesdites ailes latérales

(74).

6. Mécanisme selon la revendication précédente prise en

combinaison avec les revendications 2 et 4, caractérisé en ce que ladite

partie d'enracinement (204) de la lame élastique de rattrapage s'étend transversalement à partir d'un bord libre (40) de l'une des ailes latérales

(74) de l'organe élastique formant support (72).

7. Mécanisme selon l'une des revendications 4 ou 5, caractérisé

en ce que l'organe élastique (72) formant support comporte au moins

une patte (168. 371) pour sa fixation sur le couvercle (52).

8. Mécanisme d'embrayage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que l'organe élastique (72) formant support comporte une patte de fixation (168) d'orientation radiale qui s'étend, dans un plan perpendiculaire a l'axe central (X-X) du mécanisme, à partir de l'âme centrale (73).

9. Mécanisme selon l'une des revendications 7 ou 8, caractérisé

en ce que l'organe élastique (72) formant support comporte deux pattes opposées de fixation (371) d'orientation transversale dont chacune s'étend, dans un plan perpendiculaire à l'axe central (X-X) du

mécanisme, a partir de l'une des ailes latérales (74).

10. Mécanisme selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisé en ce que l'organe élastique (72) est une pièce

en tôle découpée et pliée.