FR2715199A1 - Dispositif de fixation d'un équipement sur la carrosserie d'un véhicule automobile. - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif pour la fixation d'un équipement sur la carrosserie d'un véhicule automobile. Il comprend un organe (10) formant écrou propre à coopérer avec un filet de vis, cet organe comprenant un écrou (22) formé de deux demi-écrous (24) propres à être assemblés entre eux en définissant une surface filetée intérieure (30), ainsi qu'un fourreau d'entraînement (44) comportant un logement intérieur (52) propre à recevoir l'écrou assemblé, des moyens d'immobilisation (38, 60, 42, 62) étant prévus entre l'écrou et le fourreau pour permettre, lors d'une opération de démontage, d'enlever le fourreau (44) de l'écrou (22) qui reste engagé sur un filet de vis, puis d'enlever l'écrou, sans dévissage, par séparation des deux demi-écrous (24). Le dispositif de l'invention facilite le démontage de l'équipement, soit lors d'une réparation, soit lors de la démolition du véhicule rendu à l'état d'épave.

Description

Dispositif de fixation d'un équipement sur la carrosserie d'un véhicule

automobile

L'invention concerne un dispositif de fixation d'un équipe-

ment sur la carrosserie d'un véhicule automobile, du type comprenant un organe formant écrou propre à coopérer avec un

filet de vis.

Pour assurer la fixation d'un équipement sur une carrosserie de véhicule, on utilise généralement au moins une vis qui traverse l'équipement et la carrosserie et qui reçoit un écrou ou organe analogue susceptible d'être entraîné en

rotation au moyen d'une clé de serrage.

Lors du montage de l'équipement, il faut donc procéder à la mise en place et au serrage du ou des écrous prévus pour la

fixation de l'équipement.

Lorsque l'équipement doit être ultérieurement démonté, soit à l'occasion d'une réparation, soit en vue de la récupération ou du recyclage, lorsque le véhicule est en fin de vie, il faut desserrer et dévisser à chaque fois le ou les écrous qui

assuraient la fixation de l'équipement.

Ces opérations de démontage, qui nécessitent toujours le

dévissage complet des écrous, sont longues et coûteuses.

Ceci constitue un inconvénient sérieux qui augmente les temps et les coûts de démontage ou de démolition des épaves de véhicules, en vue de la récupération ou du recyclage des

pièces qui les composent.

L'invention a notamment pour but de surmonter un tel inconvé-

nient. Elle a également pour but de proposer un dispositif de fixation du type précité qui permet un démontage rapide de l'équipement, spécialement à des fins de récupération ou de

recyclage, lorsque le véhicule doit être démonté ou démoli.

Elle a également pour but de minimiser les coûts de démontage et de démolition des épaves de véhicules automobiles. L'invention propose à cet effet un dispositif de fixation du type précité, dans lequel l'organe formant écrou comprend: - un écrou formé de deux demi-écrous propres à être assemblés entre eux le long d'un plan de joint diamétral pour définir une surface intérieure filetée et une surface extérieure sensiblement cylindrique, - un fourreau d'entraînement comportant un logement intérieur propre à recevoir l'écrou assemblé, - des moyens d'immobilisation prévus entre l'écrou et le fourreau pour permettre leur déplacement mutuel en rotation suivant une fraction de tour entre deux positions extrêmes de butée, et leur déplacement mutuel axial dans l'une des deux positions de butée, ce qui permet, lors d'une opération de montage, de mettre en place l'ensemble écrou-fourreau par vissage sur le filet de vis et, lors d'une opération de démontage, d'enlever le fourreau de l'écrou qui reste engagé sur le filet de vis, puis d'enlever l'écrou, sans dévissage, par séparation des

deux demi-écrous.

On réalise ainsi un organe démontable comprenant un écrou

intérieur formé de deux demi-écrous et un fourreau d'entraî-

nement logeant l'écrou une fois assemblé.

L'écrou assemblé peut être ainsi introduit au préalable dans le fourreau pour constituer un organe analogue à un écrou qui peut être mis en place sur un filet de vis et serré sur

celui-ci par rotation.

Pour faciliter ce serrage, le fourreau d'entraînement a

avantageusement la forme extérieure d'un écrou classique.

Les moyens d'immobilisation permettent également, en vue d'une opération de démontage, d'appliquer un mouvement de rotation entre l'écrou et le fourreau, d'enlever ensuite le fourreau par déplacement axial, puis d'enlever l'écrou en séparant les deux demi-écrous de part et d'autre du filet de vis. Ainsi, pour enlever l'écrou proprement dit, il n'est plus nécessaire de procéder à une opération fastidieuse de

dévissage, comme avec un écrou classique.

L'enlèvement du fourreau d'entraînement puis celui des deux demi-écrous peut se faire de façon extrêmement rapide, ce qui diminue considérablement le temps et les coûts de démontage

de l'équipement.

Selon une caractéristique avantageuse de l'invention, les moyens d'immobilisation comprennent au moins un bossage longitudinal formé sur la surface extérieure de l'écrou et au moins une rainure longitudinale formée sur le logement intérieur du fourreau et propre à recevoir le bossage, ce bossage ayant une largeur inférieure à la largeur de la rainure pour permettre le déplacement mutuel en rotation de

l'écrou et du fourreau.

De préférence, l'écrou comprend deux bossages formés respec-

tivement sur les deux demi-écrous et le fourreau comprend

deux rainures diamétralement opposées.

Selon une autre caractéristique de l'invention, la fraction de tour de déplacement en rotation autorisée par les moyens

d'immobilisation est inférieure à un quart de tour.

De façon avantageuse, les moyens d'immobilisation comprennent en outre au moins un ergot radial dépendant de l'écrou et situé espacé d'une surface annulaire d'appui de l'écrou, ainsi qu'au moins une nervure en arc de cercle formée radialement vers l'intérieur à une extrémité du fourreau, ladite nervure en arc de cercle étant propre à être maintenue

prisonnière entre l'ergot et la surface annulaire d'appui.

Selon une autre caractéristique de l'invention, cette nervure aboutit, d'un côté, à une butée radiale contre laquelle l'ergot vient en butée dans l'une des deux positions extrêmes de butée et, d'un autre côté, à une lumière de forme adaptée à celle de l'ergot, dans laquelle vient se loger l'ergot dans

l'autre position extrême de butée pour permettre le déplace-

ment axial mutuel de l'écrou et du fourreau.

Avantageusement, le dispositif comprend deux ergots formés respectivement sur les deux demi-écrous ainsi que deux nervures en arc de cercle diamétralement opposées formées sur

le fourreau.

Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention, le fourreau d'entraînement a la forme extérieure d'un écrou classique.

De préférence, le fourreau comporte, à l'une de ses extrémi-

tés, une tête d'entraînement, par exemple du type à six pans.

Dans une forme de réalisation préférée de l'invention, l'écrou assemblé comprend, à l'une de ses extrémités, une tête d'entraînement, par exemple du type à six pans, qui dépasse axialement du logement du fourreau lorsque l'écrou et

le fourreau sont dans une position mutuelle d'immobilisation.

Ainsi, la tête d'entraînement de l'écrou peut dépasser à l'extérieur de la tête d'entraînement du fourreau, ce qui

facilite le démontage.

Selon une autre caractéristique de l'invention, les deux demi-écrous sont formés d'une seule pièce, par moulage d'une matière plastique, avec une languette déformable qui les relie. Avantageusement, le fourreau est également formé par moulage

d'une matière plastique.

Dans la description qui suit, faite seulement à titre

d'exemple, on se réfère au dessin annexé, sur lequel: - la figure 1 est une vue partielle de côté montrant la fixation d'un équipement sur une carrosserie de véhicule au

moyen d'une vis et d'un dispositif de fixation selon l'inven-

tion; - la figure 2 est une vue en perspective avec arrachement du fourreau et d'un demi-écrou en position d'immobilisation mutuelle; - la figure 3 est une vue en perspective avec arrachement analogue à celle de la figure 2 après désolidarisation du fourreau et du demi-écrou; et - la figure 4 est une vue de côté des deux demi-écrous

solidaires l'un de l'autre en position découplée.

On se réfère tout d'abord à la figure 1 qui représente un organe formant écrou désigné dans son ensemble par la référence 10 et qui coopère avec une vis classique 12

comportant un filet 14 et une tête 16.

L'organe 10 et la vis 12 sont utilisés conjointement pour fixer un équipement 18, par exemple un appareil de chauffage et/ou de climatisation, sur la carrosserie 20 d'un véhicule automobile. L'organe 10 comprend un écrou 22 (figure 2) formé lui-même de deux demi-écrous 24 solidaires l'un de l'autre par une languette élastique déformable 26 (figure 4) et propres à

être assemblés entre eux le long d'un plan de joint diamé-

tral 28. Lorsque les deux demi-écrous 24 sont ainsi assem-

blés, ils peuvent coopérer par vissage avec le filet 14 de la

vis 12.

Chacun des deux demi-écrous 24 a la forme d'une demi-coquille délimitant une surface intérieure filetée 30 et une surface

extérieure sensiblement cylindrique 32.

Chaque demi-écrou 24 comporte à l'une de ses extrémités

(celle située au bas de la figure 2) une demi-tête d'entraî-

nement 34 du type six pans qui dépend elle-même d'une demi-

rondelle 36.

Ainsi, lorsque les deux demi-écrous 24 sont assemblés entre eux, les deux demi-têtes 34 forment ensemble une tête d'entraînement à six pans, tandis que les deux demi-rondelles

36 forment entre elles une rondelle complète.

Chaque demi-écrou comprend en outre un bossage longitudinal

38 qui s'étend dans la direction axiale depuis la demi-

rondelle 36 jusqu'à une demi-surface annulaire 40 prévue à

l'autre extrémité du demi-écrou (vers le haut de la figu-

re 2). Lorsque les deux demi-écrous sont assemblés, les deux

bossages 38 sont diamétralement opposés et les deux demi-

surfaces annulaires 40 forment entre elles une surface

annulaire complète.

Par ailleurs, chaque demi-écrou 24 comprend un ergot radial 42 qui se rattache à la surface annulaire 40, en étant situé espacé de celle-ci, tout en étant dirigé radialement vers l'extérieur. Lorsque l'écrou est assemblé, les deux ergots 42

sont situés diamétralement opposés.

L'écrou 22 ainsi constitué par les deux demi-écrous 24 et la languette 26 peut être formé d'une seule pièce par moulage

d'une matière plastique.

L'organe de fixation 10 comprend en outre un fourreau

d'entraînement 44 formé d'un corps 46 généralement cylindri-

que terminé, à l'une de ses extrémités, par une tête d'en-

traînement 48 du type six pans. L'autre extrémité du corps 46

aboutit à une face d'extrémité 50.

Le fourreau 44 comporte un logement intérieur 52 propre à

recevoir l'écrou 42, une fois assemblé.

Le logement 52 comprend, du côté de la tête 48, une partie cylindrique 54 délimitant un épaulement 56 (figure 3) contre lequel peut venir en butée la collerette 36 de l'écrou 22. La partie cylindrique 54 aboutit à une autre partie cylindrique 58 de plus faible diamètre dans laquelle sont formées deux rainures longitudinales 60 situées de manière diamétralement opposée. Les rainures longitudinales 60 sont propres à

recevoir respectivement les deux bossages 38 de l'écrou.

Chacune des rainures a une largeur supérieure à celle du bossage pour permettre un débattement en rotation de l'écrou à l'intérieur du fourreau suivant un angle généralement

inférieur à un quart de tour.

Au voisinage de la face d'extrémité 50, le fourreau 44

comprend deux nervures 62 en arc de cercle situées diamétra-

lement opposées et formées radialement vers l'intérieur du fourreau. Chacune des nervures s'étend sur une hauteur axiale qui correspond à l'espace défini entre l'ergot 42 et la face annulaire 40. Il en résulte que chacune des nervures 62 peut être maintenue prisonnière entre un ergot 42 et la surface annulaire d'appui 40. Dans ce cas, l'écrou 22 se trouve

bloqué axialement par rapport au fourreau 24.

Comme on le voit sur les figures 2 et 3, chacune des nervures 62 aboutit, d'un côté, à une butée radiale 64 contre laquelle un ergot 42 peut venir en butée dans une première position extrême et, d'un autre côté, à une lumière 66 de forme adaptée à celle de l'ergot 42, et dans laquelle l'ergot peut

venir se loger dans une autre position extrême de butée.

Ainsi, l'écrou 22 et le fourreau 44 peuvent être déplacés mutuellement en rotation entre deux positions extrêmes dont l'une est définie par la venue en butée de chacun des ergots 42 contre la butée 64 correspondante et l'autre par la venue

en butée de chacun des ergots 42 dans la lumière 66 corres-

pondante. Dans cette dernière position, l'écrou 22 et le fourreau 46 peuvent être séparés l'un de l'autre par déplacement axial suivant l'axe de filetage et donc de la vis. Il est à remarquer que la hauteur de la tête d'entraînement 34 de l'écrou est telle qu'elle dépasse axialement par rapport à la

tête 48 du fourreau (figure 1).

Ainsi, dans la position de serrage, la tête 34 de l'écrou 22 vient en appui contre l'équipement 18 et peut être actionnée

par une clé plate (non représentée) glissée entre l'équipe-

ment 18 et la tête d'entraînement 48 du fourreau 44.

Le dispositif de l'invention s'utilise de la manière suivan-

te. Tout d'abord, l'écrou 22 est assemblé par rapprochement des deux demi-écrous 24 et est ensuite inséré axialement dans le logement 52 du fourreau 44. Pour cela, les deux ergots 42 sont alignés axialement avec les lumières 66 puis l'écrou est entraîné en rotation par rapport au fourreau de manière que les deux ergots viennent coopérer avec les rainures en arc de

cercle 62.

L'organe 10 ainsi constitué par la réunion de l'écrou 22 et du fourreau 44 est utilisé comme un écrou normal (figure 1), l'entraînement en rotation de l'ensemble se faisant au moyen

de la tête d'entraînement 48.

Lorsque l'on veut ultérieurement démonter l'équipement 18 de

la carrosserie 20, par exemple lorsque le véhicule correspon-

dant doit être détruit, il suffit d'appliquer un mouvement de rotation entre l'écrou 22 et le fourreau 44 de manière que les deux ergots 42 viennent se placer dans les lumières 66 correspondantes. Normalement, ce mouvement de rotation est appliqué seulement sur le fourreau 44, l'écrou 22 restant

bloqué en rotation par rapport à l'équipement 18.

S'il advient que la rotation du fourreau 44 provoque égale-

ment la rotation de l'écrou 22, il suffit d'utiliser une clé plate pour maintenir l'écrou 22 en position et d'utiliser une

autre clé pour assurer la rotation du fourreau 44.

Lorsque les deux ergots 42 sont en face des lumières 66, il suffit alors d'enlever le fourreau 44 par déplacement axial, l'écrou 22 restant sur le filet 14 de la vis 12, puis de séparer les deux parties 24 de l'écrou en les éloignant du

filet de vis 14.

Ainsi, il n'est plus nécessaire de procéder à une opération

de dévissage, comme c'est le cas avec les écrous classiques.

L'invention trouve ainsi une application à la fixation

d'équipements sur les carrosseries de véhicules automobiles.

Elle permet un démontage rapide de tels équipements, soit à l'occasion d'une réparation, soit surtout à l'occasion du démontage ou de la démolition du véhicule, lorsque celui-ci

est rendu à l'état d'épave.

Claims (11)

Revendications

1.- Dispositif de fixation d'un équipement sur la carrosserie d'un véhicule automobile, du type comprenant un organe formant écrou propre à coopérer avec un filet de vis, caractérisé en ce que cet organe (10) comprend: - un écrou (22) formé de deux demi-écrous (24) propres à être assemblés entre eux le long d'un plan de joint diamétral (28) pour définir une surface intérieure filetée (30) et une surface extérieure sensiblement cylindrique (32), - un fourreau d'entraînement (44) comportant un logement intérieur (52) propre à recevoir l'écrou assemblé, -des moyens d'immobilisation (38,60,42,62) prévus entre

l'écrou (22) et le fourreau (44) pour permettre leur déplace-

ment mutuel en rotation suivant une fraction de tour entre deux positions extrêmes de butée et leur déplacement mutuel axial dans l'une des deux positions de butée, ce qui permet, lors d'une opération de montage, de mettre en place l'ensemble écrou (22)-fourreau (44) par vissage sur le filet de vis (14) et, lors d'une opération de démontage, d'enlever le fourreau (44) de l'écrou (22) qui reste engagé sur le filet de vis (14), puis d'enlever l'écrou (22), sans

dévissage, par séparation des deux demi-écrous (24).

2.- Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens d'immobilisation comprennent au moins un bossage longitudinal (38) formé sur la surface extérieure (32) de l'écrou (22) et au moins une rainure longitudinale (60) formée sur le logement intérieur (52) du fourreau (44) et propre à recevoir le bossage (38), le bossage (38) ayant une largeur inférieure à la largeur de la rainure (60) pour permettre le déplacement mutuel en rotation de l'écrou et du fourreau. 1l 3.- Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que l'écrou (22) comprend deux bossages longitudinaux (38) formés respectivement sur les deux demi-écrous (24) et en ce

que le fourreau (44) comprend deux rainures (60) diamétrale-

ment opposées.

4.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 3, caracté-

risé en ce que la fraction de tour du déplacement en rotation autorisé par les moyens d'immobilisation est inférieure à un

quart de tour.

5.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 4, caracté-

risé en ce que les moyens d'immobilisation comprennent en outre au moins un ergot radial (42) dépendant de l'écrou (22) et situé espacé d'une surface annulaire (40) d'appui de l'écrou, ainsi qu'au moins une nervure (62) en arc de cercle formée radialement vers l'intérieur à une extrémité du fourreau (44), ladite nervure en arc de cercle étant propre à être maintenue prisonnière entre l'ergot (42) et la surface

annulaire d'appui (40).

6.- Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce que la nervure (62) en arc de cercle aboutit, d'un côté, à une butée radiale (64) contre laquelle l'ergot (42) est propre à venir en butée dans l'une des deux positions extrêmes de butée et, d'un autre côté, à une lumière (66) de forme adaptée à celle de l'ergot, dans laquelle l'ergot (42) peut venir se loger dans l'autre position extrême de butée pour permettre le déplacement axial mutuel de l'écrou (22) et

du fourreau (44).

7.- Dispositif selon l'une des revendications 5 et 6,

caractérisé en ce qu'il comprend deux ergots (42) formés respectivement sur les deux demi-écrous (24), ainsi que deux

nervures (62) en arc de cercle formées, de manière diamétra-

lement opposée, sur le fourreau (44).

8.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 7, caracté-

risé en ce que le fourreau (44) a la forme extérieure d'un

écrou classique.

9.- Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que le fourreau (44) comporte, à l'une de ses extrémités, une

tête d'entraînement (48), par exemple du type à six pans.

10.- Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce

que l'écrou assemblé (22) comprend, à l'une de ses extrémi-

tés, une tête d'entraînement (34), par exemple du type à six pans, qui dépasse axialement du logement (52) du fourreau (44) lorsque l'écrou (22) et le fourreau (44) sont dans une

position mutuelle d'immobilisation.

11.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 10,

caractérisé en ce que les deux demi-écrous (22) sont formés d'une seule pièce par moulage d'une matière plastique avec

une languette déformable (26) qui les relie.

12.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 11,

caractérisé en ce que le fourreau (44) est réalisé par

moulage d'une matière plastique.