FR2462967A1 - Mecanisme d'entrainement de chariot pour machine-outil - Google Patents

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Abstract

L'INVENTION CONCERNE LES MECANISMES D'ENTRAINEMENT DE CHARIOTS DES MACHINES-OUTILS. ELLE SE RAPPORTE A UN MECANISME DANS LEQUEL L'AVANCE NORMALE DE TRAVAIL EST COMMANDEE PAR UNE VIS MERE 18, RELIEE A UN MOTEUR 124 PAR L'INTERMEDIAIRE D'UN EMBRAYAGE. L'AVANCE RAPIDE AU DEBUT DE LA COURSE D'AVANCE DE TRAVAIL ET LE RETOUR EN POSITION INITIALE SONT COMMANDES PAR UN MECANISME DANS LEQUEL UNE CREMAILLERE 160 FAIT PIVOTER UN ORGANE 152 QUI DEPLACE RAPIDEMENT UN LEVIER 106 ARTICULE SUR LE CHARIOT. LORSQUE LE CHARIOT A AVANCE, UN CLIQUET 202 EST LIBERE ET COMMANDE L'AVANCE DE TRAVAIL PAR L'INTERMEDIAIRE D'UN LEVIER COUDE 216. APPLICATION AU DEPLACEMENT RAPIDE DES TETES D'USINAGE DES MACHINES AUTOMATIQUES D'USINAGE.

Description

La présente invention concerne un mécanisme
d'entraînement de chariot pour machine-outil.
L'invention concerne le domaine de l'enlèvement de métal par perçage, rabotage et fraisage, dans des appareillages comprenant plusieurs postes et dans les- quels un outil rotatif avance rapidement vers la pièce, décrit une course d'avance de travail en étant au
contact de la pièce, et vient en retrait vers une po-
sition dans laquelle la pièce peut être déplacée vers
un autre poste.
Dans les machines à plusieurs postes de tra-
vail, constituant des appareillages automatiques, cha-
que poste est destiné à remplir une certaine fonction
d'enlèvement de métal. Lorsqu'un bloc-moteur est trans-
porté d'un poste à un autre, certains trous sont per-
cés à un premier poste, d'autres à un autre poste, certaines opérations de rabotage sont effectuées à un autre poste et certaines opérations de fraisage sont
aussi effectuées, etc. Chaque outil d'enlèvement de mé-
tal doit avancer vers la pièce puis se déplacer en ar-
rière afin qu'il permette le passage de la pièce d'un poste à un autre. La synchronisation des opérations est importante puisque des secondes économisées à l'un quelconque des postes finissent par représenter
des heures étant donné les chiffres élevés de produc-
tion atteints dans de nombreuses industries.
Dans le domaine des machines automatiques à
transfert ayant de nombreux postes, utilisées pour l'usi-
nage des métaux, notamment le fraisage, le perçage, le rabotage ou le taraudage, on utilise couramment, aux différents postes qui effectuent ces opérations, des mécanismes formant des ensembles à glissièresou voies sur lesquels les chariots porte-outils sont montés et avancent rapidement vers la pièce, jusqu'à ce que les outils touchent presque la pièce mais pas tout à fait, les chariots se déplaçant alors à une
vitesse beaucoup plus faible afin que les outils pé-
nètrent dans la pièce et effectuent les opérations cor-
respondantes de coupe.
Dans le cas des ensembles classiques à glissiè-
res commandés mécaniquement, par l'intermédiaire d'une vis-mère ou d'un dispositif équivalent, la transition entre le mouvement à grande vitesse d'avance rapide et le mouvement relativement lent d'avance de travail est assurée par un type ou un autre de frein ou d'embrayage à friction, destiné à embrayer à une vitesse relative
élevée. Il existe donc une certaine plage d'incerti-
tude sur la position exacte à partir de laquelle les outils avancent vers la pièce avec la vitesse voulue d'avance de travail. La même considération s'applique aux ensembles d'avance et de retrait hydrauliques car
leur réglage exact est difficile.
L'invention concerne un mécanisme dans lequel le chariot ou le coulisseau portant les outils avance
rapidement vers la pièce, au cours d'un mouvement pré-
déterminé accéléré et décéléré, contrairement au mou-
vement classique d'avance rapide qui est effectué à vitesse sensiblement constanteet qui décélère de façon
brutale à la vitesse d'avance de travail.
L'invention concerne aussi un mécanisme dans
lequel la transition entre le mouvement d'avance ra-
pide et le mouvement d'avance de travail correspond à
une position très exacte et très reproductible du cha-
riot ou du coulisseau sur lequel les outils sont montés.
Cette caractéristique non seulement économise du temps
mais évite aussi la rupture des outils.
A la fin de la course ou du mouvement d'a-
vance de travail, le chariot porte-outil est habituel-
lement ramené dans la position initiale dans une cour-
se rapide de retour à vitesse relativement grande.
L'opération est effectuée en général par le même méca-
nisme d'entraînement à vitesse constante qui est déjà utilisé pour la course d'avance rapide, si bien que le mouvement comprend une courte accélération très intense
au début de la course de retour rapide et une courte dé-
célération très intense à la fin de la même course.
L'invention concerne un mécanisme dans lequel le coulisseau ou le chariot portant les outils revient rapidement en position initiale, par mise en oeuvre d'un mouvement accéléré et décéléré ayant une course qui corrEsond à la somme des déplacements antérieurs d'avance
rapide et d'avance de travail.
D'autres caractéristiques et avantages de
l'invention ressortiront mieux de la description qui
va suivre, faite en référence aux dessins annexés sur
lesquels: -
- la figure 1 est une élévation latérale avec des parties arrachées d'un exemple d'ensemble classique d'avance; - la figure 2 est une coupe suivant la ligne 2-2 de la figure 1; - la figure 3 est une coupe suivant la ligne 3-3 de la figure 1; - la figure 4 est une coupe suivant la ligne 4-4 de la figure 3;
- la figure 5 est un schéma fonctionnel il-
lustrant la mise en oeuvre d'un ensemble d'avance selon l'invention; - la figure 6 est une coupe verticale par un plan longitudinal médian du mécanisme d'entraînement de la figure 5, représenté en position de retour; - la figure 7 est une élévation partielle suivant les flèches 7 de la figure 6, représentant une partie d'embrayage; - la figure 8 est une coupe suivant la ligne 8-8 de la figure 6; - la figure 9 est une coupe suivant la ligne 9-9 de la figure 6; - la figure 10 est une coupe suivant la ligné -10 de la figure 6; - la figure 11 est une coupe suivant la ligne ae e
246298?
11-11 de la figure 6;
- la figure 12 est une coupe du mécanisme d'avan-
ce et de retour rapidesà la fin de l'avance rapide; - les figures 13i 14 et 15 sont des schémas simplifiés représentant les mouvements de la tringlerie pendant différentes courses d'avance rapide et d'avance de travail;
- la figure 16 est un schéma simplifié repré-
sentant le mouvement de la tringlerie pendant la course de retour rapide; - les figures i7, 18 et 19 sont des schémas représentant des variantes de mécanismes de commande de la tringlerie d'avance et de retour rapides; la figure 20 est une élévation latérale d'un second mode de réalisation de mécanisme dans lequel la tringlerie est montée sur le chariot; - la figure 21 est un schéma simplifié du mécanisme de la figure 20, représentant le mouvement de la tringlerie pendant l'avance rapide, l'avance de travail et le retour rapide; - la figure 22 est unè coupe suivant la ligne 22-22 de la figure 20; - la figure 23 est une élévation latérale d'un
autre mode de réalisation de l'invention mettant en oeu-
vre des coulisseaux à la place de bielles; - la figure 24 est une coupe suivant la ligne 24-24 de la figure 23; - la figure 25 est une élévation latérale d'une
variante du mécanisme de la figure 23, comprenant un cou-
lisseau et une bielle; - la figure 26 est une élévation latérale d'un autre mode de réalisation de l'invention dans lequel le coulisseau secondaire est monté sur le chariot; - la figure 27 est une coupe suivant la ligne 27-27 de la figure 26;
- la figure 28 est une coupe agrandie du mé-
canisme de blocage de la figure 26; - la figure 29 est une coupe agrandie d'une
variante de mécanisme de blocage destinée au mode de ré-
alisation de la figure 26 et comprenant un levier articu-
lé de blocage; - la figure 30 est une élévation latérale par- tielle d'une variante du mécanisme de la figure 26, ayant
une seule bielle articulée à la place d'un coulisseau se-
condaire; - la figure 31 est une coupe suivant la ligne 31-31 de la figure 30; et
- la figure 32 est une élévation latérale par-
tielle du mécanisme de la figure 30, représentant une came montée sur la bielle, le galet formant toucheau de
came étant monté sur la base.
Les figures 1, 2, 3 et 4 représentent un
exemple de configuration d'un équipement classique.
Comme indiqué sur les figures 1 et 2, une base 2 de coulisseau ou chariot est montée rigidement sur une base 4 d'une aile de la machine-outil. Un chariot ou
coulisseau 6 peut coulisser sur la base 2 et est main-
tenu en place par des entretoises 8 et des contre-plaques 10. Un outillage particulier 12 est monté sur le chariot 6 et comprend en général un moteur, un réducteur, des broches et les outils de coupe eux- mêmes. Le chariot 6 est entraîné suivant un trajet rectiligne, le long de la base 2, par un écrou à billes 14 fixé à la face iniérieure du chariot 6 par un support 16; l'écrou 14 est entraîné par une vis-mère 18 de logement de billes, pouvant tourillonner convenablement dans la base 2 de
support du chariot.
La vis-mère 18 est elle-même entraînée par un
mécanisme à réducteur logé dans un carter 20. Comme indi-
qué sur les figures 3 et 4, l'extrémité menée de la vis
18 est supportée par des paliers 22 dans le réducteur 20.
Une couronne dentée menante 24 est fixée à l'extrémité
de la vis 18 et l'entraîne. Un arbre 26 d'entrée assu-
rant l'avance rapide et le retour rapide tourillonne dans le réducteur 20, sur des paliers 28; une couronne dentée 30 d'entrée est montée à une première extrémité
et une poulie 32, montée à l'autre extrémité, est en-
traînée par une courroie 34 et une poulie 36 montée sur le moteur 38 d'avance et de retour rapides (figure 1). Un frein électrique 40 est monté sur le réducteur
et commande un disque 42 de freinage monté sur l'ar-
bre 26; lorsqu'il est excité électriquement,le frein 40
maintient le disque 42 en position fixe et empêche ain-
si la rotation de l'arbre 26.
Un porte-satellites 44 tourillonne sur l'ar-
bre 18, par l'intermédiaire d'un palier 46, et sur l'arbre 26 par l'intermédiaire d'un palier 48. Trois pignons satellites composites 50 sont montés dans le porte-satellites 44, sur des arbres 52. Une première partie de chaque pignon composite 50 est en prise avec le pignon 30 de l'arbre 26 et l'autre partie de chaque pignon composite est en prise avec le pignon 24 porté par la vis-mère 18. Il faut noter que.le pignon 30 est
plus petit que le pignon 24 et que les parties des pi-
gnons composites 50 ont des dimensions correspondantes.
Un pignon 54 à vis est monté à la périphérie du porte-
satellites 44 et est en prise avec une vis 56 d'engre-
nage montée dans des manchons 58 et 60 et des paliers
62 et 64, dans le réducteur 20. La vis 5& et les man-
chons 58 et 60 tournent comme un tout par rapport au réducteur 20; en outre, la vis 56 peut se déplacer axialement vers la droite (figure 3) par coulissement
dans les manchons 58 et 60 et par compression d'un res-
sort 66 qui prend appui contre le manchon 60 et l'épau-
lement 68 de la vis 56. Le ressort 66 assure l'appli-
cation de l'épaulement 70 de la vis 56 contre le man-
chon 58 lorsque la poussée axiale appliquée à la vis 56 est inférieure à une valeur donnée. La vis 56 est entraînée par une poulie 72 montée sur elle et qui est elle-même entraînée par une courroie 74 et par un moteur
76 (figure 1).
Le fonctionnement de ce mécanisme est le suivant. A partir de la position de retour, le chariot est entraîné vers l'avant à vitesse relativement élevée dans une course d'avance rapide. Pendant ce déplacement, le frein 40 est débrayé et le moteur.38 entraîne l'arbre 26 par l'intermédiaire de la courroie 34 et des poulies 32 et 36; l'arbre 26 entraîne à son tour la vis-mère 38 par l'intermédiaire des pignons 30, 50 et 24 qui jouent le rôle d'un simple train d'engrenages. On note que la réduction assurée par ce train d'engrenages est relativement faible et que la vitesse angulaire de la vis correspond à peu près à la moitié de la vitesse angulaire de l'arbre 26 d'entrée; la vis 18 qui tourne à vitesse relativement élevée entraîne le chariot 6 vers
la gauche (figure 1) par l'intermédiaire de l'écrou 14.
A la fin de la course d'avance rapide, un commutateur
convenable de limite (non représenté) vient en coopéra-
tion avec le chariot 6 ou l'outillage 12. Le moteur 38 d'avance rapide est alors arrêté et le frein 40 est alimenté; de cette manière,l'arbre 26 est arrêté par
le disque 42 du frein.
Pendant la course suivante d'avance de tra-
vail; le moteur 76 entraîne la vis 56 par l'intermédiaire de la courroie 74 et de la poulie 72; la vis 56 entraîne à son tour le pignon 54 et, par son intermédiaire, le porte-satellites 44. Comme l'arbre 26 et le pignon 30 sont fixes, la rotation du porte-satellites 44 provoque
l'entraînement de la vis 18 par l'intermédiaire du pi-
gnon 24 et du train différentiel comprenant le pignon
30, les pignons composites 50 et le pignon 24. La ré-
duction globale assurée entre la vis 56 et la vis-mère 18 est très importante et la vis-mère 18 tourne avec
une vitesse angulaire relativement faible, mais le cou-
ple appliqué est très élevé et convient à l'entraine-
ment du chariot 6 et de l'outillage 12 vers la pièce,
pendant que les outils assurent une coupe.
A la fin de la course d'avance de travail,
- 246296?
le chariot 6 rencontre une butée qui limite son dépla-
cement plus important vers l'avant; la vis-mère est
alors bloquée et ne peut plus tourner. Le porte-satel-
lites 44 et le pignon 54 à vis sont aussi arrêtés, mais la poursuite de la rotation de la vis 56 qui est
en prise avec le pignon arrêté 54, provoque le déplace-
ment axial de la vis 56 vers la droite (figure 3) et la compression du ressort 66. L'extrémité externe de la vis 56 commande un commutateur 78 de limite qui arrête le moteur 76 si bien que la course d'avance
de travail est terminée.
La course de retour rapide est pratiquement identique à la course d'avance rapide, mais le moteur
38 tourne en sens opposé; le frein 40 cesse à nouveau-
d'être -alimenté et la vis-mère 18 est entraînée par l'arbre 26 par l'intermédiaire des pignons 24, 50 et 30. La course de retour rapide s'effectue pratiquement
à la même vitesse linéaire que la course d'avance rapide.
On note que la course d'avance rapide et la
course de retour rapide s'effectuent toutes deux à vi-
tesse sensiblement constante, et présentent une accélé-
ration brutale au début de la course, étant donné la mise sous tension du moteur 38, et une décélération brutale à la fin de la course étant donné la commande du frein 40. En outre, à la fin de la course d'avance rapide, la position du point de transition entre la vitesse d'avance-rapide et la vitesse d'avance de travail est déterminée par la reproductibilité du couple de freinage du frein 40 et du disque 42. Comme ce couple de freinage dépend du frottement qui dépend
à son tour de l'humidité, de l'usure et d'autres pa-
ramètres, il existe une plage d'incertitude sur la position exacte du point de transition entre l'avance rapide et l'avance de travail. En pratique, cette incertitude sur la position du point de transition est compensée par passage du chariot à la vitesse d'avance de travail alors que les outils se trouvent encore a une distance de la pièce comprise entre 6 et
13 mm. Comme la vitesse d'avance de travail est con-
sidérablement plus faible que celle d'avance rapide, cette transition précoce augmente la durée totale du cycle d'environ 1 à 2 s, par rapport à la situation idéale dans laquelle le point de transition correspond à un éloignement des outils d'une distance de l'ordre de 0,8 mm de la pièce. Les mécanismes considérés dans
la suite permettent l'obtention de cette valeur idéale.
La figure 5 est un schéma fonctionnel illus-
trant la mise en oeuvre de l'invention. La base 2 qui porte le chariot est encore montée sur une base ou un socle 4 formant une aile d'une machine et permet le
coulissement du chariot 6 sur lequel est monté l'ou-
tillage 12. Le chariot 6 est entraîné par deux dispo-
sitifs différents, le premier, utilisé pour l'avance de travail, mettant en oeuvre une vis-mère 18 à billes, un écrou 14 à billes et un support 16 monté sur le
chariot 6, la vis-mère étant entraînée par un réduc-
teur 100 décrit dans la suite en détail. L'autre dis-
positif d'entraînement du chariot, pendant son avance rapide et son retour rapide, agit par l'intermédiaire d'une équerre 102 reliée par un axe 104 à une bielle 106 qui est déplacée par un mécanisme d'accélération et de décélération, placé dans le cadre 108 en traits mixtes, alors que la vis tourne librement car elle est
débrayée à l'intérieur du réducteur 100.
La figure 6 est une coupe du réducteur 100.
La vis-mère 18 à billes est montée dans des paliers
110 placés dans le réducteur 100. Un corps 112 d'em-
brayage tourillonne sur un prolongement de la vis 18, sur des paliers 114, et une roue 116 à vis est montée concentriquement à sa périphérie. Cette roue 116 est entraînée par une vis 56 d'une manière pratiquement
identique à celle du mécanisme d'avance décrit en ré-
férence aux figures 3 et 4, c'est-à-dire que la vis 56
peut se déplacer axialement contre l'action d'un res-
- 2462967
sort antagoniste, à la fin de la course d'avance de travail. La vis 56 est entraînée par une poule 118 montée sur elle, une courrie 120 et une poulie 122 qui
passe sur le moteur 124 d'avance de travail.
Un collier 126 d'entraînement est vissé sur l'extrémité de la vis 18 et il a des cannelures 128 découpées à sa périphérie sur laquelle est monté un disque coulissant 130 d'embrayage ayant des cannelures internes complémentaires. Ce disque 130 d'embrayage a des dents en forme de denture de scie formées à sa face interne et destinées à coopérer avec des dents de forme complémentaire portées par le corps 112,
d'embrayage (figure 7). Le disque coulissant 130 d'em-
brayage est maintenu à distance du corps 112 par un
ressort 132 logé dans le collier 126.
Un dispositif 134 d'adaptation est monté concentriquement dans le disque 130 d'embrayage, sur une butée 136. Un ressort 138 de mise en coopération se loge dans une cavité du dispositif 134 d'adaptation et vient en appui contre un épaulement 140 d'un plongeur
142 d'un dispositif de mise en action qui peut coulis-
ser dans un manchon 144 placé dans le boîtier 100. Ce plongeur 142 est commandé de l'extérieur comme décrit dans la suite; lorsqu'il occupe la position indiquée sur la figure 6, le plongeur n'est pas commandé et l'embrayage qui forme l'interface annulaire du corps
112 et du disque 130 d'embrayage, n'assure pas un-entraî-
nement. Dans ces conditions, la vis 56 n'entraîne pas la vis-mère 18. Cette condition se maintient lorsque
le chariot 6 est entraîné par la bille 106 pendant l'a-
vance et le retour rapides. La vis-mère 18 est entraî-
née en sens inverse par l'écrou 14 et la vis-mère tour-
ne dans les paliers 110 et 114; le collier 126, le dis-
que 130 et le ressort 132 tournent librement avec la
vis-mère 18.
En d'autres termes, lorsque le chariot 6 est
entraîné par la bielle 106 pendant l'avance et le re-
1l tour rapides, l'écrou 14 se déplace avec le chariot 6 et son déplacement axial provoque la rotation de la vis-mère 18; cette rotation est possible du fait des caractéristiques de très faible frottement entre l'écrou et la vis-mère. Cette dernière peut tourner librement dans ces conditions car le disque 130 d'embrayage qui tourne avec la vis-mère 18 ne coopère pas avec le corps 112 qui est entraîné par le mécanisme d'avance
de travail.
Lorsque le plongeur 142 se déplace vers la
gauche (figure 6), comme décrit dans la suite, le res-
sort 138 de mise en coopération, prenant appui sur le dispositif 134 d'adaptation, déplace celui-ci vers la gauche aussi; le dispositif 134, prenant appui sur
la butée 136, transmet ce déplacement au disque cou-
lissant 130 d'embrayage qui comprime le ressort 132.
Les dents du disque 130 coopèrent avec les dents du corps 112 de l'embrayage qui est ainsi embrayé. Dans ces conditions, c'est-à-dire lorsque le plongeur 142 a été déplacé vers la gauche, un mouvement de rotation
appliqué à la roue à vis 116 montée sur le corps- d'em-
brayage 112, par rotation de la vis 56, se transmet à la vis-mère 18 par l'intermédiaire du corps 112, du disque 130 de l'embrayage, des cannelures 128 et du
collier 126. Il s'agit de la condition de fonctionne-
ment du mécanisme contenu dans le réducteur 100 pendant
l'avance de travail.
Les figures 6 et 8 à 11 représentent un mode de réalisation de mécanisme 108 d'accélération et de
décélération. Deux prolongements distants 150 du ré-
ducteur 100 forment un châssis dans lequel est monté le mécanisme d'accélération et de décélération. Une
bielle principale 152 a des parties formant une four-
che, articulées sur un arbre 154 monté dans les pro-
longements 150. La bielle 152 est reliée à une bielle
156 d'entraînement par l'intermédiaire d'une articu-
lation comprenant un arbre 158. La partie allongée de
cette dernière bielle forme un tronçon 160 de cré-
maillère qui est en prise avec un pignon 162 d'entraî-
nement. Celui-ci est solidaire de deux arbres 164 (figure 11) montés dans des plaques distantes 166 en forme de joues et montées elles-mêmes sur des arbres 168 et 170 qui tournent dans des paliers 172 et 174
montés dans les prolongements 150, sur un axe A -
L'ensemble comprenant lès arbres 168 et 170, les pla-
ques 166, le pignon 162 et les arbres 164 forme: une manivelle et tournecomme un tout autour de l'axe Al. Il faut noter que cet axe A coïncide pratiquement
avec le cercle primitif du pignon 162 d'entraînement.
Le tronçon 160 de crémaillère est maintenu
au contact des dents du pignon 162 par un ensemble com-
prenant une plaque 176 d'appui qui est montée entre deux plaques latérales 178 qui tourillonnent sur les arbres 164, par l'intermédiaire de paliers 180. Ces plaques latérales 178 sont en outre reliées par des blocs 182 d'espacement montés entre elles. L'ensemble
du mécanisme comprenant les éléments 160 à 182 cons- -
-titue un mode de réalisation de l'invention décrite
dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n0 3 789 676.
L'arbre 168 est entraîné par une poulie ou un pignon à chaîne 184 et par une courroie ou une chaîne 186,
passant sur un moteur 188 d'avance rapide (figure 6).
Dans de nombreux cas, un pignon réducteur peut être monté entre la poulie 184 et l'arbre 168 ou dans le moteur électrique 188 lui-même. De toute manière, la course d'avance rapide est provoquée par un seul tour
du pignon 162 autour de l'axe A1 dans le sens anti-
horaire (figure 6). De cette manière, le tronçon de crémaillère remonte dans une course pratiquement égale à la longueur de la circonférence du cercle primitif
du pignon 162 d'entraînement. En outre, pour une vi-
tesse angulaire supposée constante du pignon 162,
pendant un tour, la montée de la crémaillère 160 cor-
respond à une accélération progressive jusqu'à une
vitesse maximale, à mi-course environ, puis à une dé-
célération progressive jusqu'à l'arrêt à la fin de la
course. La remontée de la crémaillère provoque un dé-
placement angulaire anti-horaire de la bielle princi-
pale 152 autour de l'arbre 154. Une bielle asservie 185 est articulée sur la bielle principale 152 au niveau d'un arbre 187. L'autre extrémité de la bielle 185 a une fente 189 dans laquelle se loge la bielle 106 dont l'autre extrémité entraîne le chariot 6. La bielle 185 est articulée sur la bielle 106 au niveau d'un axe 190; cette articulation peut être réalisée dans la position représentée, ou l'axe peut être introduit dans deux autres jeux de trous 192 et 194 (figure 6) donnant des courses différentes d'avance rapide comme décrit dans la suite. Une came
196 est fixée à un premier côté de la bielle secon-
daire 185 par un axe 198 d'articulation; cette came est boulonnée sur le côté de la bielle 185, les boulons passant dans des trous allongés permettant un réglage angulaire de la came 196 autour de l'axe 198 par rapport à la bielle 185. Cette came 196 coopère avec un galet
monté sur un prolongement 150.
Une bielle 202 de blocage est articuléesur la bielle principale152 au niveau d'un axe 204. Une première extrémité de la bielle 202 qui a une forme sensiblement triangulaire, est destinée à loger une extrémité d'un ressort 206 de compression dont l'autre
extrémité se loge dans une cavité de la bielle princi-
pale 152. Ce ressort 206 applique un couple à la biel-
le 202 de blocage, autour de l'axe 204 et dans le sens horaire, par rapport à la bielle principale 152. Un autre coin de la bielle 202 de blocage porte un galet
208 formant toucheau de came (figure 9) destiné à coo-
pérer avec une came 210 en forme de secteur (figure
12) montée sur l'arbre 168, autour de l'axe A1, et tour-
nant avec cet arbre. Le troisième coin de la bielle 202 de blocage, ayant une fente qui permet le passage de la
bielle 106, porte un tronçon 212 de blocage ou un cro-
chet qui coopère avec un tronçon complémentaire de blo-
* cage ou un crochet 214 formé sur la bielle secondaire 185. Lorsque le crochet 212 de la bielle 202 est en prise avec le crochet 214 de la bielle 185, cette dernière est maintenue contre une butée 215 montée sur la bielle principale 152. Dans des conditions, la bielle secondaire 185 et la bielle principale 152 sont
bloquées l'une sur l'autre par la bielle 202 et for-
ment en fait un seul corps rigide.
Un levier coudé 216 comprenant un bras hori-
zontal 218 et un bras vertical 220, tourillonne sur un arbre 202 monté dans les prolongements 150. Ce levier
coudé 216 constitue le dispositif qui relie mécanique-
ment le mécanisme d'avance de travail logé dans le ré-
ducteur 100 au mécanisme d'accélération et de décélé-
ration utilisé pour l'avance et le retour rapides et
comprenant les éléments 150 à 215.
Au début de la course d'avance rapide, l'en-
semble du mécanisme est dans la position représentée sur la figure 6. Pendant la course d'avance rapide, le pignon 162 d'entraînement tourne d'un tour dans le sens anti-horaire, autour de l'axe A1, comme indiqué
précédemment. Le mouvement de montée accéléré et dé-
céléré créé par le tronçon 160 de crémaillère est transmis à la bielle principale 152 par l'intermédiaire de l'arbre 158 et provoque la rotation de la bielle principale 152 dans le sens anti-horaire autour de
l'arbre fixe 154, d'un angle correspondant à 800 en-
viron. A ce moment, la bielle principale 152, la biel-
le secondaire 185 et la bielle 202 de blocage tournent comme un tout. L'axe 187 d'articulation des bielles 185 et 106 se déplace sur un même arc de cercle de 80 environ, autour de l'arbre 154, si bien que la bielle 106 se déplace vers la gauche et fait avancer le chariot 6
pendant une course fixe d'avance rapide.
Lorsque le pignon 182 d'entraînement s'appro- che de la fin de son tour unique, le tronçon 160 de crémaillère atteint
une position de repos et, à ce moment, ce tronçon 160 a atteint pratiquement la fin de sa course et est pratiquement fixe alors que le pignon d'entraînement continue à tourner d'un petit
angle, par exemple 100 environ. La position du mé-
canisme représenté sur la figure 12 correspond au
début de la période de repos. Le tronçon 160 de cré-
maillêre, représenté schématiquement par raison de clarté, a atteint l'extrémité de sacourse vers le
haut, de même que la bielle principale 152 et la biel-
le secondaire 185. A ce moment, la came 210 en forme de secteur, montée sur l'arbre 168, a coopéré avec le galet 208 monté sur la bielle 202 de blocage, par une partie de niveau inférieur 224. Il faut aussi noter que, après la rotation angulaire fixe d'environ 800 des trois bielles 152, 185 et 202 comme un tout (figure 12), la partie externe de la bielle 202 de blocage vient juste
d'entrer en contact avec le bras horizontal 218 du le-
vier coudé 216.
Pendant la rotation finale d'environ 100 de l'arbre 168 et de la came 210, la crémaillère et les - bielles étant au repos, un tronçon de transition 226 de la came 210, rejoignant une partie 228 de niveau
supérieur correspondant à un repos, vient en coopé-
ration avec le galet 208. En conséquence, la bielle 202 de blocage doit tourner d'un petit angle dans le sens anti-horaire autour de l'axe 204 monté dans la bielle principale 152 qui est alors fixe. Cette petite rotation angulaire de la bielle 202 provoque aussi la
séparation du crochet 212 de la bielle 202 et du cro-
chet 214 de la bielle 185. Ce mouvement angulaire des-
cendant du crochet de la bielle 202 provoque aussi la descente du bras horizontal 218 du levier coudé 216 et
ce dernier tourne dans le sens horaire autour de l'ar-
bre 222; en conséquence, le bras vertical 220 du levier coudé 216 se déplace vers la gauche et déplace aussi le
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plongeur 142 vers la gauche si bien que le mécanisme d'embrayage contenu dans le réducteur 100 et décrit précédemment, est embrayé. Lorsque les crochets des bielles 202 et 185 sont séparés, la bielle secondaire 185 peut alors tourner librement vers la gauche autour
de l'arbre 187 porté par la bielle principale fixe 152.
Le moteur 124 d'avance de travail est alors alimenté et entraîne la vismère 18 par l'intermédiaire de l'embrayage qui est maintenu embrayé par le plongeur 142. Le chariot 6 est entraîné vers la gauche (figure ) et l'outillage avance dans la pièce. Lorsque le chariot se déplace vers la gauche, il tire la bielle 106 avec lui; cette bielle tire à son tour la bielle secondaire 185 qui est alors libre de tourner, vers la gauche, autour de l'arbre 187. La course d'avance de travail se poursuit sur une longueur prédéterminée et réglable, fixée par la position angulaire de la
came 196 portée par la bielle secondaire 185.
A la fin de la course d'avance de travail, la came 196 vient au contact du galet 200 et empêche toute
rotation supplémentaire de la bielle secondaire 185 au-
tourde l'arbre 187. Une butée permettant une meilleure précision de positionnement peut entrer simultanément
en action, entre le chariot 6 et la base2, mais ce phé-
nomène n'a pas de conséquence sur le mécanisme. Le cha-
riot, comme il ne peut pas se déplacer de façon plus importante, provoque un calage de la vis-mère et la vis 56 se déplace axialement comme décrit en référence à la figure 1. Le commutateur 78 de limite est alors commandé et interrompt l'alimentation du moteur 124
d'avance de travail et commande l'alimentation du mo-
teur rapide 188, en sens inverse, afin que le pignon 162 tourne d'un tour dans le sens horaire et provoque
la course de retour rapide.
Pendant la rotation initiale d'environ 10 dans le sens horaire de l'arbre 168 et du pignon 162, pendant que le tronçon de crémaillère est encore au repos, le tronçon 228 de la came 210 qui se trouve à
un niveau supérieur et qui correspond au repos, s'é-
carte du galet 208 et permet au ressort 206 de dépla-
cer la bielle 202 de blocage dans le sens horaire au-
tour de l'axe 204, dans la bielle principale 152 qui est encore fixe. De cette manière, la force appliquée vers la gauche et exercée sur le plongeur 142 par
le levier coudé 216 est supprimée si bien que le res-
sort 132 permet l'éloignement du disque 130 d'embrayage
du corps 112, et la vis-mère peut à nouveautourner li-
brement, de la quantité nécessaire au déplacement de
l'écrou 14.
Comme le pignon 162 d'entraînement continue à tourner dans le sens horaire autour de l'axe Ai, le tronçon 160 de crémaillère accélère vers le bas et provoque la rotation dans le sens horaire de la bielle principale 152 autour de l'arbre 154. Le mouvement de la bielle secondaire est réglé par le trajet courbe de
l'arbre 187 qui assure la connexion à la bielle princi-
pale 152, et par la came 196 qui coopère avec le galet fixe 200. Lorsque l'arbre 187 s'écarte de sa position avancée (figure 12) vers sa position de retour (figure 6) suivant un trajet courbe centré sur l'arbre 154, la came 196 portée par la bielle secondaire 185, glissant contre le galet 200, ramène la bielle 185 contre sa butée 215 formée sur la bielle principale 152. Dès que cette condition est atteinte, c'est-à-dire après les deux tiers environ de la course de retour, le crochet
212 de la bielle 202 de blocage vientcoopérer à nou-
veau avec le crochet 214 de la bielle principale 152.
Cette opération de rappel de la bielle secondaire 185
dans sa position normale bloquée par rapport à la biel-
le principale 152, sous la commande de la came 196 et du galet 200, provoque le déplacement de la bielle 106
et du chariot 6 qu'elle ramène pendant la course de re-
tour rapide, suivant une course qui correspond à la somme de la course d'avance rapide et de la course
suivante d'avance de travail. Cette course combinée to-
tale de retour rapide est provoquée par la seule rota-
tion dans le sens horaire du pignon 162 qui provoque une descente accélérée et décélérée du tronçon 160 de crémaillère, égale à sa remontée pendant l'avance ra- pide.
Les figures 13 à 16 sont des schémas qui re-
présentent en trait plein les bielles principale et
secondaire reliant le centre de l'arbre 187 d'articula-
tion au centre de l'axe 190, lors du déplacement entre les trois positions de montage. Ces figures montrent les différents mouvements et montrent aussi comment la
course d'avance rapide peut être modifiée par déplace-
ment de l'axe 190 dans les trous 192 ou-194. Sur les figures 13 à 15, le suffixe "a" désigne les positions
des éléments dans la position après retour, les élé-
ments étant alors représentés en traits interrompus; les références sans suffixe représentent les positions
des éléments à la fin de l'avance rapide et avant l'a-
vance de travail, les éléments étant alors représentés en trait plein; les références suivies du suffixe "b" désignent les positions des éléments à la fin de la course d'avance de travail, les éléments étant encore
représentés en traits interrompus.
Sur la figure 13, l'axe 190 est représenté dans le trou le plus bas correspondant à l'emplacement
indiqué sur les figures 6 et 12. Pendant l'avance ra-
pide, la bielle principale se déplace suivant un angle
fixe, entre les positions 152a et 152; la bielle se-
condaire se déplace entre les positions 185a et 185
et l'axe entre les positions 190a et 190. La projec-
tion horizontale du mouvement de l'axe 190 (raccordé à la bielle 106) est pratiquement égale à la course d'avance rapide transmise au chariot 6. Pendant cet intervalle, les bielles principale et secondaire sont commandées sous forme d'une paire bloquée. A la fin de l'avance rapide, la bielle secondaire 185 est débloquée
par rapport à la bielle principale comme décrit précé-
demment; le chariot 6 avance sous la commande de la vis-mère et de l'écrou et la bielle secondaire qui est alors débloquée est tirée vers l'avant par la bielle 106, entre les positions 190 et 190b, la bielle pivo- tant autour de l'arbre 187 par rapport à la bielle principale 152 qui est alors fixe. La vitesse d'avance de travail est réglée par la vis- mère. A la fin de cette course d'avance, la position 185b'est atteinte par la bielle secondaire. Pendant la course de retour de la
- bielle principale vers la position 152a, la bielle se-
condaire revient dans la position bloquée représentée
par la référence 185a, comme indiqué sur la figure 16.
La séquence décrite en référence à la figure 13 s'applique encore à la figure 14. Cependant, l'axe
d'articulation de la bielle 106 sur la bielle se-
condaire s'est déplacé vers une autre paire de trous 192 (figure 6). L'effet de cette modification est une augmentation de la distance séparant l'articulation des bielles 106 et 185 du centre de rotation dé l'ensemble de la tringlerie, c'est-à-dire de l'arbre 154. Ainsi, bien que la bielle principale 152 tourne du même angle que précédemment (figure 13) , la projection horizontale
du mouvement de l'axe 190 a augmenté du fait de l'aug-
mentation du rayon de l'arc de cercle parcouru. On peut noter cette disposition par comparaison des
courses d'avance rapide des figures 13 et 14.
De manière analogue, on peut obtenir une cour-
se d'avance rapide encore plus grande, indiquée sur la
figure 15, par déplacement de l'axe 190 afin qu'il dé-
crive un arc de cercle de rayon encore plus grand, l'axe étant introduit dans le jeu de trous 194 (figure
6), correspondant à cette représentation de la figure 15.
On peut donc noter que la longueur de la cour-
se d'avance rapide peut être réglée par pas, par dépla-
cement de l'axe 190 entre les différents jeux de trous formés dans la bielle secondaire 185. La position de la course d'avance rapide peut être réglée par variation de la longueur de la bielle 106 par mise en oeuvre de
diverses techniques courantes, par exemple par forma-
tion de la bielle 106 en deux parties dont l'une a une extrémité vissée dans l'autre. Le comportement de la bielle secondaire par
rapport à la bielle primaire est indiqué schématique-
ment sur la figure 16 et s'applique également à toute position de l'axe 190 dans la bielle secondaire. Comme indiqué précédemment, la bielle principale tourne d'une position 152a à une position 152 pendant la course d'avance rapide. La bielle secondaire, représentée par un segment de droite reliant l'axe 187 à l'axe
198 d'articulation de la came, se déplace vers une po-
sition 185, et la came 196 se déplace vers la position 196 pendant cette même course d'avance rapide. Pendant l'avance de travail, la bielle secondaire se déplace de la position 185 à la position 185b et la came montée
sur cette bielle passe de la position 196 à la po-
sition 196b. Il faut noter que, à la fin de la course d'avance de travail, la came 196b vient en butée contre le galet fixe 200. Pendant la course de retour rapide, l'arbre 187 parcourt à nouveau son trajet en arc de cercle et revient vers la position 187a. Pendant les deux premiers tiers environ de cette course de retour
rapide, le galet fixe repousse la came 196 et la biel-
le secondaire 185 sur laquelle il est monté dans la position de blocage par rapport à la bielle principale 152, cette condition étant atteinte lorsque la bielle
principale occupe la position 152c, la bielle secon-
daire la position 185c et la came la position 196c.
Il est évident que la longueur de la courbe d'avance de travail est déterminée par la rotation permise à la bielle secondaire autour de l'arbre 187 après la
fin de la course d'avance rapide, et que cette rota-
tion est déterminée par la position angulaire de la came 196 sur la bielle secondaire 185, autour de l'axe 198. Indépendamment de la position particulière de la came 196 autour de l'axe 198, on note que la came 196 et la bielle secondaire 185 sont entraînées vers la position de blocage par rapport à la bielle principale 152 au moment de la course d'avance rapide dans laquelle
le galet 200, l'axe 198 et l'arbre 154 sont colinéai-
res, c'est-à-dire pour la position repérée par le suf-
fixe c. Cette disposition est due au fait que la partie de la came 196 qui est adjacente à l'axe 198 correspond
à un arc de cercle centré sur le centre de l'axe 198.
Dans le mode de réalisation décrit précédem-
ment, le mécanisme fondamental d'accélération et de dé-
célération utilisé pour la commande de la tringlerie assurant l'avance rapide et le retour rapide correspond à un mode de réalisation du mécanisme décrit dans le
brevet précité des Etats-Unis d'Amérique n0 3 789 676.
D'autres mécanismes peuvent aussi être utilisés. Les figures 17 à 19 représentent schématiquement plusieurs
de ces variantes. Il faut noter que la bielle princi-
pale 152, dans tous ses schémas, est représentée par un segment de droite reliant le centre de rotation, l'arbre 154, à l'arbre 158 auquel la force d'entrée est appliquée, et le suffixe a s'applique à tous les éléments occupant leur position de retour, alors que
les éléments occupant la position d'avance sont repé-
rés par.les références sans suffixe.
Comme indiqué sur la figure 17, un bras 230 de levier est monté sur un arbre rotatif 232 capable
d'appliquer le couple:. nécessaire à l'application con-
sidérée, par exemple sur l'arbre de sortie d'un pignon réducteur monté sur le réducteur 100 et entraîné par un moteur tel que le moteur 188. A l'extrémité externe de ce bras 230, une tige ou bielle 234 de connexion peut tourillonner sur un axe 236 alors que l'autre extrémité de cette tige est articulée sur la bielle principale 152, au niveau de l'arbre 158. Dans une première position 230a du levier, la tige 234a maintient
la bielle principale 152 dans la position 152a de re-
tour. Lorsque le levier tourne de la position 230a à la position 230, la bielle principale est entraînée de la position 152a à la position 152 et exécute la couae d'avance rapide. De manière analogue, lorsque le bras de levier tourne de la position 230 à la position 230a, la bielle principale 152 revient à la position 152a et exécute la course de retour rapide. Il faut
se rappeler qu'une came, par exemple la came 210 (fi-
gure 6) est montée sur l'arbre 232 afin qu'elle com-
mande la bielle 202 de blocage comme décrit précédem-
ment. La figure 18 représente un autre exemple de mécanisme convenant à la mise en action de la bielle principale 152. Ce mécanisme correspond à un mode de réalisation de mécanisme décrit dans la demande de brevet des Etats-Unis d'Amérique no 3 777 580. Une crémaillère fixe 240 est montée de façon convenable
sur le réducteur 100; un pignon mobile 242 est main-
tenu de façon convenable en prise avec la crémaillère 240 lorsqu'il roule le long de la crémaillère entre deux positions 242 et 242a d'extrémité qui sont séparées par une distance égale à la circonférence du cercle primitif de ce pignon. Le pignon est entraîné entre
ses deux positions par une tige ou bielle 244 entraî-
née par un vérin 246 monté sur le réducteur 100. Un axe 248 d'articulation est monté sur le pignon 242,
le centre de cet axe se trouvant sur le cercle pri-
mitif du pignon ou à son voisinage. Une tige ou bielle 250 de connexion est articulée à une première extrémité sur l'axe 248 et, à l'autre extrémité, sur la bielle principale 152, sur l'arbre 158. Lorsque le pignon roule le long de la crémaillère fixe 240, suivant un
tour, sous la commande du vérin 246, il passe de la po-
sition 242a à la position 242.,La tige ou bielle de connexion et la bielle principale se déplacent -alors des positions 250a et 152a aux positions 250 et 152, suivant un mouvement accéléré et décéléré progressivement, bien que la tige 244 se déplace à vitesse constante. Dans cecas, la bielle de blocage est commandée par un poussoir porté par l'ensemble utilisé pour le maintien du cercle primitif du pignon roulant sur la droite primitive de
la crémaillère.
La figure 19 est un schéma d'un système à came formé dans une Plaque et destiné à la mise en action- de la bielle principale 152. Une came 252 est montée sur un arbre menant 253 tel que l'arbre de sortie d'un réducteur convenable. Un galet 254 monté sur un bras 255 est logé dans une gorge 256 fraisée dans la came 252. Le bras 255 tourillonne sur un arbre 257 monté dans le bâti, et l'extrémité externe du bras 255 est raccordée par une bielle 258 à la bielle principale 152, au niveau d'un axe 259 d'articulation. La gorge 256 de la came a un profil tel qu'elle provoque le déplacement de la bielle
principale 152 avec accélération et décélération pro-
gressives, pour une rotation angulaire à vitesse cons-
tante de la came 252 autour de son arbre 253 d'entraî-
nement. La came 252 est représentée dans une seule position correspondant à la position de la bielle principale 152 après la course d'avance rapide; il faut noter que cette position de la came 252 est atteinte après 2700 de rotation dans le sens horaire depuis la position de retour qui n'est pas représentée par raison de clarté. Dans cette position de retour de la came 252, le galet se trouve dans la position 250a, le bras dans
la position 255a et la bielle dans la position 258a.
Pendant la course de retour rapide, la came 252 tourne de 270 dans le sens anti-horaire sous la commande de l'arbre 253 qui ramène le galet dans la position 254a et la bielle principale dans la position
152a.
Il faut noter que l'angle de déplacement de
la bielle principale 152, dans les mécanismes des fi-
gures 17 à 19, est le même que l'angle de déplacement
de la même bielle sur les figures 6 et 12. Il faut aus-
si noter que le comportement et le déplacement séquen-
tiel de la bielle secondaire 185, de la bielle de blo-
cage 202 et des mécanismes associés sont les mêmes que
ceux qu'on a décrits précédemment.
Les figures 20 à 22 représentent un autre mode de réalisation de l'invention. Les principes mis en oeuvre sont les mêmes que dans les modes de réalisation
précédents, mais une partie du mécanisme a été trans-
portéesur le chariot lui-même.
Comme indiqué sur les figures 20 à 22, une
base 2 de support de chariot porte un chariot coulis-
sant 6 sur lequel est monté l'outillage 12 comme dans les modes de réalisation décrits précédemment. Dans la course d'avance de travail seulement, une vis-mère 18 placée dans la base (comme indiqué sur la coupe de la figure 22) entraîne le chariot 6 à l'aide d'un écrou
14 à billes, et la vis-mère est entraînée par un méca-
nisme pratiquement identique à celui qui est logé
dans le réducteur 100 de la figure 6 pour l'entraîne-
ment de la vis-mère. Le mécanisme d'accélération et
de décélération, qui est un mode de réalisation dé-
crit dans le brevet précité des Etats-Unis d'Amérique no 3 789 676 et qui est représenté en coupe sur la figure 11, est à nouveau utilisé mais, dans ce mode de réalisation, il est orienté de manière que le sens de déplacement du tronçon 260 de crémaillère soit
pratiquement parallèle au sens de déplacement du cha-
riot 6. Les arbres 168 et 170 (figures il et 20)
tourillonnent dans des prolongements distants diffé-
rents 262 du bâti, dépassant du réducteur 100, et le moteur 188 d'entraînement assure encore la mise en
action du mécanisme.
Comme décrit précédemment, la course du tronçon 260 de crémaillère entre deux positions de repos est égale à la circonférence du cercle primitif du pignon 162 d'entraînement et elle est dirigée vers la
gauche lorsque le pignon 162 tourne dans le sens anti-
horaire et vers la droite lorsque le pignon 162 tourne dans le sens horaire. L'extrémité menante du tronçon 260 de crémaillère est raccordée à un levier vertical 264 par un axe d'articulation 266, l'autre extrémité du levier vertical coopérant, par clavetage ou par des cannelures, avec un arbre 268 qui tourillonne dans
une équerre 270 montée à l'arrière du chariot 6 (fi-
gure 2Q.
Pendant l'avance rapide, le levier vertical 264 est en appui contre une butée 272 montée sur l'équerre 270; le levier vertical 264 est maintenu contre la butée 272 par une bielle 274 de blocage de forme en L, montée sur un axe 276 porté par l'équerre 270. Un ressort 278 de compression prenant appui contre l'arrière de la butée 272 et contre la bielle 274 de blocage applique à celle-ci un couple de sens anti-horaire qui maintient la condition de coopération
d'un crochet de la bielle 274 de blocage et d'un cro-
chet de la partie inférieure du levier vertical 264.
Une tige 280 d'un dispositif de mise en action est
raccordée à une première extrémité à la partie supé-
rieure de la bielle 274 de blocage, au niveaud'un axe 282. L'autre extrémité de la tige 280 passe avec du jeu dans un trou formé dans une équerre 284 montée
sur les plaques latérales 178 du mécanisme d'accéléra-
tion et de décélération. L'extrémité arrière de la tige
porte un élargissement 286 en forme de capuchon. L'ar-
bre 268 dépasse au-delà de l'équerre 270 d'un premier côté (figure 22) et un levier horizontal 288 coopère
avec lui par clavetage ou par des cannelures; l'ex-
trémité externe de ce levier horizontal 288 porte un galet 290 qui coopère avec une came 292 en forme de
plaque, portée par la base 2 du chariot par l'intermé-
diaire d'une entretoise 294.
246296?
Le mécanisme d'embrayage placé à l'intérieur du réducteur 100 est pratiquement identique à celui qu'on a décrit en référence aux figures 6 et 7, il est encore commandé par un plongeur 142 qui, lorsqu'il se déplace vers la gauche, assure la connexion de la vis-
mère et du moteur 124 d'entraînement alors que, lors-
qu'il revient vers la droite sous la commande d'un res-
sort, il permet la rotation libre de la vis-mère. Le plongeur 142 est commandé par un levier coudé 295
qui tourillonne sur un arbre 296 monté dans le pro-
longement 262 du châssis. Un galet 297 formant tou-
cheau de came est monté sur le levier coudé 295; ce
galet 297 est commandé par une came 298 agissant la-
téralement et montée sur l'arbre 168. La came 298 a une partie inclinée telle que, lorsque la crémaillère
260 est en position de repos, la came 298, par l'inter-
médiaire du galet 297 et du levier coudé 295, provoque l'enfoncement du plongeur 142 (déplacement vers la gauche) et sa coopération avec le mécanisme d'embrayage placé dans le réducteur 100. Lorsque la crémaillère 260 n'est pas en position de repos, la came permet au
plongeur 142 de prendre sa position avancée et l'em-
brayage est débrayé. Il faut noter que, dans ce type de montage, le plongeur 142 est enfoncé et l'embrayage est réembrayé dans la partie de repos dans la position de retour,à la fin de la course de retour rapide et avant la course suivante d'avance rapide (ce qui n'est pas le cas du mécanisme des figures 6 et 12),mais ce n'est pas un inconvénient puisque le chariot est fixe
de toute manière.
Le mécanisme de la figure 20 est représenté dans la position de retour avant la course d'avance
rapide. Lors de cette course d'avance rapide, le pi-
gnon 162 tourne d'un tour dans le sens anti-horaire et entraîne le tronçon de crémaillère vers la gauche, dans une course de longueur égale à la circonférence du
cercle primitif du pignon 162; en conséquence, le cha-
riot 6 décrit une course égale sous la commande du levier vertical 264, de la butée 272, de l'arbre 268 et de l'équerre 270. Pendant la période de repos, à la fin de cette course, le capuchon 286 de la tige 280 vient au contact d'une face de l'équerre 284 et, du fait du déplacement des plaques latérales 178 et de l'équerre 184 vers la droite, effectué pendant cette période de repos, déplace la tige 280 vers la droite d'unepetite quantité. Il faut noter que, avant
la course d'avance rapide, la distance séparant l'é-
querre 284 du capuchon 286 est pratiquement égale à
cette course.
Lorsque le capuchon 286 est entraîné vers la droite par l'équerre 284, la tige 180 qui agit en tension déplace le bras supérieur de la bielle 274 de blocage en L dans le sens horaire autour de l'axe 276 et comprime le ressort 278. Le crochet de la bielle 274 de blocage se déplace vers le bas et se sépare du crochet de l'extrémité inférieure de la bielle verticale 264. Simultanément, la came 298 portée par l'arbre 168 commande lelevier coudé 295 par l'intermédiaire du galet 197 qui commande le plongeur 142 (figure 6) placé dans le réducteur 100 il faut se rappeler que, en conséquence, l'embrayage
est commandé de manière que l'entraînement de la vis-
mère 18 commence. A ce moment, c'est-à-dire à la fin de la course d'avance rapide et avant la course d'avance de travail, le levier vertical 264, l'arbre 268, le levier horizontal 288 et le galet 290 ont
pris les positions indiquées par les références sui-
vies du suffixe a, c'est-à-dire les positions 264a,
268a, 288a et 290a respectivement sur la figure 20.
Ces positions relatives ont été déplacées vers le bas, sur la figure 21, par raison de clarté, pour la
description des mouvements ultérieurs. -
Le moteur 124 d'lavance de travail est alors commandé alors que le moteur 188 est arrêté. Le chariot 6 est entraîné plus loin vers la gauche (avance) par la vis-mère pendant la course d'avance de travail alors que la crémaillère 260 reste fixe. Cette avance du chariot 6 et du support 270 qui est monté sur
lui provoque le déplacement simultané de l'arbre 268.
Comme indiqué sur la figure 21, cet arbre se déplace d'une position horizontale-268a à une position 268b, décalée en rotation (le suffixe b désigne la position des éléments après la course d'avance de travail>. Ce mouvement de l'arbre 268 alors que la crémaillère 260 ne peut pas se déplacer longitudinalement car elle est
maintenue par le pignon alors fixe 162, provoque la ro-
tation dans le sens anti-horaire du levier vertical 264 de la position 264a à la position 264b. Il faut noter que ce mouvement nécessite une légère remontée de la crémaillère 260, représentée par son axe central seulement sur la figure 21, de la position 260a à la position 260b; ce mouvement est permis puisque la crémaillère 260 peut changer de position angulaire dans l'espace par roulement sur le pignon fixe 162. Le levier horizontal 288 est aussi entraîné dans le sens
anti-horaire par le levier vertical 264, par l'inter-
médiaire de l'arbre 268, du même angle que le levier vertical 264, de la position 288a avant l'avance de travail à la position 288b après cette avance. Dans cette dernière position, le galet 290 atteint une position 290b dans laquelle il est au contact de la came 292-et empêche unerotation plus importante des leviers 288 et 264, avec empêchement de toute avance supplémentaire du chariot 6. Dans les applications de précision poussée, le chariot 6 peut encore coopérer avec une butée portée parla base 2, lorsque le galet
* 290 vient au contact de la came 292 ou peu avant.
Dans tous les cas, l'avance est interrompue
à ce moment parce que la vis-mère 18 ne peut pas tour-
ner, la vis 56 se déplace axialement et déclenche le commutateur 78 de limite comme décrit précédemment en référence à la figure 3, et le moteur 124 d'avance de travail est arrêté, si bien que la course d'avance de
travail est interrompue.
Lors du retour rapide, le moteur 188 est ali-
menté afin qu'il tourne en sens opposé a celui de l'avance rapide et le pignon 162 t@*rne d'un tour dans
le sens horaire. Comme l'arbre 168 et le pignon 162 com-
mencent à tourner dans le sens horaire, le plongeur 142 (figure 6) libère l'embrayage interne et la vis peut à nouveau tourner librement, comme elle l'a fait pendant l'avance rapide. La crémaillère 260 se déplace vers la droite, dans une course égale à la course vers la gauche pendant l'avance rapide. La crémaillère 260 tire le chariot par l'intermédiaire du levier vertical 264, de l'arbre 268 et de l'équerre 270. Le
levier vertical 264 commence la course de retour ra-
pide depuis la position 264b qu'il a atteinte à la fin de l'avance de travail. Cependant, lorsque le chariot 6 se déplace vers la droite, le galet 290,
partant de la position 290b, parcourt un segment rec-
tiligne de la surface de la came 292. En conséquence, le levier horizontal, partant de la position 288b, doit tourner dans le sens horaire autour de l'arbre 268 lors du déplacement vers la droite. Cette rotation de l'arbre 268 dans le sens horaire fait tourner le levier vertical 264 dans le sens horaire si bien que l'arbre 268 (et le chariot 6 auquel il est fixé par l'équerre 270) se déplace vers la droite suivant une course plus importante que celle de la crémaillère 260 fixée à la partie inférieure du levier vertical
par l'axe 276.-Il s'agit d'un mouvement à récupéra-
tion ou accru obtenu par superposition des mouvements angulaires dans le sens horaire des leviers horizontal et vertical 288 et 264 lors de la translation, les deux mouvements étant provoqués par le déplacement
de la crémaillère 260 vers la droite.
En d'autres termes, lorsque la crémaillère 260 se déplace d'une distance donnée vers la droite
sous la commande du pignon 162 (ou de tout autre mo-
teur convenable), une première composante équivalente de déplacement vers la droite du levier vertical 264, du levier horizontal 288, de l'arbre 268, de l'équer- re 270 et du chariot 6 est créée, et cette première composante oblige les leviers 264 et 288 à tourner dans le sens horaire autour de l'arbre 268 lorsque le galet 290 est entraîné vers le haut par la came 292; cette rotation dans le sens horaire du levier vertical
264 fait apparaître une seconde composante du déplace-
ment (vers la droite) de l'arbre 268, de l'équerre 270, du levier horizontal 288 et du chariot 6, par
rapport à la crémaillère 260.
Cette seconde composante induite, due aux rotations des leviers, se superpose ou s'ajoute à la
première composante due à leur translation. En con-
séquence, pour tout déplacement élémentaire donné de la crémaillère 260 vers la droite (retour), le chariot
6 se déplace de la même distance élémentaire addition-
née d'une quantité qui dépend de la pente de la came 292. Dans le cas d'une came pratiquement rectiligne comme représenté, le déplacement total supplémentaire du chariot 6 par rapport à la crémaillère 260, dû à la rotation des leviers, estpratiquement proportionnel
à la première composante du mouvement de la crémaillère.
Le mouvement de la crémaillère elle-même est un mou-
vement accéléré et décéléré progressivement, dû au pignon 162 d'entraînement; le déplacement de retour du chariot.6 est amplifié, c'està-dire correspond à une plus grande course, avec lesmêmes caractéristiques
d'accélération et de décélération progressives.
A la fin de la course de retour rapide, comme indiqué par le suffixe c des références des éléments correspondants sur la figure 21, la came 292 a provoqué
le retour du levier horizontal dans sa position hori-
zontale originale 288c sous la commande du galet 290c.
Ce mouvement qui est transmis par l'arbre 268 ramène le levier vertical dans sa position originale 264c et la bielle 274 de blocage, du fait du couple appliqué par le ressort 278, met à nouveau en coopération son crochet avec celuide la partie inférieure de la bielle verticale 264. Cette bielle ou levier vertical 264, l'arbre 268 et le levier horizontal 288 sont encore bloqués par rapport à l'équerre 270, et le mécanisme est prêt pour la course suivante d'avance rapide. Il faut noter que, pour que ce déplacement ait lieu, il faut que l'extrémité droite de la came 292, placée au contact du galet 290 lorsque le chariot est dans sa position de retour (position extrême droite), soit à un niveau suffisamment élevé pour qu'elle déplace le levier horizontal 288 vers sa position horizontale ou de retour. Ce point de la came est donc commun
quelles que soient les courbes d'avance de travail.
On note sur la figure 21 que la longueur de la course d'avance de travail est déterminée par la rotation permise des leviers 264 et 288, après la fin de la-course d'avance rapide, et que cette rotation
est réglée par la hauteur du point de contactdu ga-
let 290 avec la came 292, comme indiqué par la posi-
tion 290b. Plus cette position est élevée et plus l'avance de travail est courte; en fait, si la face
supérieure de la came était horizontale, aucune avan-
ce de travail n'aurait lieu. En conséquence, la lon-
gueur d'avance de travail est réglée par la pente de
la face supérieure de la came 292 et, lorsque la cour-
se d'avance de travail doit être réglable, la came 292 peut être montée de manière réglable par rapport à la base 2 du chariot, l'extrémité droite de la came 292 devant cependant être suffisamment élevée pour
qu'elle ramène le galet 290 dans la position de re-
tour comme indiqué par la référence 290c.
Dans le mode de réalisation des figures 20,
21 et 22, le dispositif d'entraînement assurant l'avan-
ce rapide et le retour rapide est un mode de réalisa-
tion décrit dans le brevet précité des Etats-Unis d'Amérique n0 3 789 676. Il faut se rappeler que d'autrestypes de mécanisme peuvent être utilisés, par exemple des types représentés sur les figures 17 à 19,
avec cependant le mécanisme de récupération ou d'ad-
dition des figures 20 à 22., Les figures 23 et 24 représentent un autre
mode de réalisation de l'invention. Il faut se rappe-
ler que le réducteur 100 est fixé à la base 2 sur lequel est monté un chariot 6, que ce chariot est
entraîné uniquement dans la course d'avance de tra-
vail par la vis-mère 18 et l'écrou 14, et que la vis-
mère est entraînée par un mécanisme à embrayage, comme décrit en référence à la figure 6. En outre, le chariot 6 est entraîné, pendant l'avance et le retour rapides, par une bielle 300 fixée par une équerre
telle que 102 (figure 5).
Comme indiqué sur les figures 23 et 24, un prolongement 302 du châssis du réducteur, forme une base sur laquelle est monté un coulisseau principal
304, se déplaçant le long d'un plan incliné à 450 en-
viron par rapport au plan de déplacement du chariot 6.
Une came cylindrique 306 est montée sur un arbre 308 qui tourillonne dans le prolongement du châssis et
qui est entraîné par un réducteur interne 310 lui-
même entraîné par le moteur 188. Une came 312 à sur-
face latérale active est montée près de la came cy-
lindrique 306 et tourne avec elle. La came cylindri-
que comporte une gorge 314 de came qui est usinée et qui a un angle d'hélice variant progressivement d'une partie arrière 316 de repos à une partie avant 318 de repos par l'intermédiaire d'une partie ayant un
angle maximal d'hélice, en position médiane. Un tou-
cheau 320 de came monté au-dessous du coulisseau prin-
cipal sur une équerre 322 coopère avec la gorge 314.
Une base 324 de coulisseau secondaire est montée sur le coulisseau principal 304 et porte un coulisseau secondaire 326 qui.se déplace dans un plan pratiquement perpendiculaire au plan de déplacement du coulisseau principal 304. Un support 328 en forme d'étrier est monté sur le coulisseau secondaire 326 qui est raccordé à la bielle 300 par un axe 330. La
descente du coulisseau secondaire qui n'est pas com-
mandée par un moteur, est limitée par une butée 332
montée sur le coulisseau principal 304. Le coulis-
seau secondaire 326 est maintenu contre cette butée 332 par un levier 334 de blocage en L qui coopère avec une patte fixe 336 du coulisseau secondaire 326; le levier 334 de blocage est articulé sur le coulisseau principal 304 au niveau d'un axe 338 porté par une équerre 340. Le levier 334 de blocage est commandé par un galet 342 qui coopère avec la came latérale 312 comme décrit dans la suite; une troisième partie du levier 334 de blocage commande un levier coudé 344
qui peut pivoter sur un axe 346 porté par le prolonge-
ment 302 du bâti, ce levier coudé commandant à son tour le plongeur 142 représenté par exemple sur la figure 6. Un ressort 348, placé entre le levier 334 de blocage et la face inférieure du chariot principal
304, exerce un couple dans le sens horaire sur le le-
vier 334. Un galet 350 formant toucheau de came est
monté sur l'équerre 328 du coulisseau secondaire 326.
Ce galet 350 coopère avec une came réglable 352 montée sur une équerre 354 qui est elle-même montée sur le
prolongement 302 du châssis.
La position du mécanisme représenté sur la
figure 23 correspond au retour complet du chariot 6.
Lors de l'avance rapide, le moteur 188 et le réduc-
teur 310 entraînent la came 306 sur un peu plus d'un tour, si bien que le galet 320 passe de sa position de repos 316 de retour à une position de repos 318
vers l'avant. De cette manière, le coulisseau prin-
cipal 304 avance avec le coulisseau secondaire 326 bloqué sur lui, sur une distance égale à la distance comprise entre les repos, sur la came 306. L'angle d'hélice variant progressivement sur la came assure un
déplacement accéléré et décéléré progressif du coulis-
seau principal 304. Ce déplacement est transmis par la bielle 300 au chariot 6 sous forme de sa course
d'avance rapide.
Il faut se rappeler que, pendant cette course d'avance rapide, l'embrayage placé dans le réducteur
100 est débrayé et la vis-mère est entraînée par le dé-
placement axial de l'écrou 14. Il faut aussi noter que la course totale d'avance rapide du chariot 6 et de la bielle 300 est inférieure à la course du coulisseau
principal 304 puisque le déplacement de celui-ci s'ef-
fectue suivant une droite inclinée par rapport à l'axe
de déplacement du chariot 6 et ce n'est que la compo-
sante du mouvement du coulisseau 304 projetée sur l'axe de déplacement du chariot 6 qui assure le déplacement réel de ce chariot le long de son trajet. A la fin de cette course d'avance rapide, le galet 350 occupe la
position indiquée par la référence 350a.
A proximité de la fin de la course d'avance
rapide du coulisseau principal 304, le galet 342 pé-
nètre dans le plan de lacame 312 et, à la fin de la
course d'avance rapide, le galet 320 étant dans la po-
sition de repos avant318, une partie ascendante de la
came latérale 312, coopérant avec le galet 342, provo-
que la rotation de la bielle 334 de blocage sur une faible distance dans le sens anti-horaire autour de l'axe 338, avec compression du ressort 348. Le levier coudé 344 doit alors tourner dans le sens horaire autour de l'axe 346 et déplace le plongeur 142 vers l'intérieur du réducteur 100 si bien que l'embrayage
de la vis-mère assure la connexion au mécanisme d'en-
traînement; simultanément, le crochet du levier 334
de blocage libère la patte 336 du coulisseau secon-
daire 326 et permet à celui-ci de remonter sur sa
base 324.
La course d'avance de travail commence alors le moteur 124 d'avance de travail est alimenté et fait tourner la vis-mère 18, par l'intermédiaire du réducteur 100. Le chariot 6 avance à la vitesse d'avance de tra- vail sous la commande de l'-écrou 14 et la bielle 300
est tirée avec le chariot. De cette manière, le coulis-
seau secondaire 326 remonte (en se déplaçant vers la
gauche) sur sa base 324. Ce mouvement d'avance de tra-
vail se poursuit jusqu'à ce que le galet 350, partant
de la position 350a, atteigne la position 350b au con-
tact de la came 352. A ce moment, l'avance de travail
est interrompue et la vis 56 vient au contact du commu-
tateur 78 de limite et arrête le moteur d'avance de travail comme décrit précédemment, la course d'avance
de travail étant terminée.
Le moteur 188 est alimenté afin qu'il tourne
en sens opposé si bien que les cames 312 et 306 tour-
nent en sens opposé à celui qui correspond à la course
d'avance rapide. Le galet 342 quitte la partie ascendan-
te de la came 312 et permet au ressort 348 de faire tourner le levier 342 de blocage dans le sens horaire sur unepetite distance si bien que ce levier revient dans la position indiquée sur la figure 23. Le levier
coudé 344 est ainsi libéré et le plongeur 142 peut re-
venir dans sa position de séparation dans laquelle
l'embrayage de la vis-mère 18 est débrayée. La ro-
tation continue des cames 312 et 306 provoque une accélération et une décélération progressives du coulisseau principal 304 vers sa position de retour, sous la commande du galet 320 placé dans la gorge 314, jusqu'à ce que le galet arrive dans la partie
316 de repos de retour.
Ce mouvement du coulisseau principal dans sa course de retour (vers le haut et vers la droite)
provoque le déplacement vers le bas du coulisseau se-
condaire 326 sur sa base 324 sous-la commande du ga-
let 350 qui coopère avec la came 362; comme la des-
cente du coulisseau secondaire 326 a aussi une compo-
sante vers la droite, un mouvement supplémentaire
de la bielle 300 s'ajoute afin qu'il compense la cour-
se précédente d'avance de travail. La position du galet
350 au début de cette course de retour rapide est-re-
pérée par la référence 350b; pendant cette course de
retour rapide, ce galet se déplace le long de la sur-
face de la came 352 lors du passage de la position 350b à la position initiale 350. A la fin de la course de retour rapide, le coulisseau secondaire 326 est revenu dans la position de coopération avec la butée 332 et le levier 334 de blocage coopère à nouveau avec la patte 336 si bien que le coulisseau secondaire 326 est bloqué dans sa position inférieure, près pour
la course suivante d'avance rapide.
La longueur de la course d'avance de travail est réglée d'après la longueur.de la course induite du coulisseau secondaire, permise par la position de la came 352 comme indiqué par la distance séparant les positions 350a et 350b du galet. La course réelle
d'avance de travail permise est indiquée par la compo-
sante de cette distance mesurée parallèlement à l'axe
de déplacement du chariot 6. En conséquence, la lon-
gueur de la course d'avance de travail peut être ré-
glée par modification de la pente de la came 352, la partie droite de cette came ayant cependant la position constante nécessaire au retour du chariot secondaire 326 contre la butée 332 lorsque le chariot principal
304 atteint sa-position de retour complet ou avant.
Les axes de déplacement des coulisseaux prin-
cipal et secondaire sont représentés.inclinés de 450 environ par rapport à l'axe de déplacement du chariot 6 et à 90 environ l'un par rapport à l'autre. Cette disposition n'est pas obligatoire. Diverses variantes sont manifestement possibles et dépendent des rapports voulus entre la course d'avance rapide et la plage prévue de courses d'avance de travail. Par exemple, si
les courses d'avance rapide sont très longues, l'incli-
naison du coulisseau principal peut être réduite à 300 et même moins alors que le coulisseau secondaire peut resté incliné à 450, comme représenté. La figure 25 représente une variante du mode
de réalisation de la figure 23 dans laquelle le cou-
lisseau secondaire est remplacé par une bielle articu-
lee pratiquement équivalente. Il faut noter que les mécanismes à came, le réducteur 100 et tous les autres
mécanismes non représentés sur la figure 25 sont identi-
ques à ceux qu'on a décrits en référence aux figures 23 et 24. Sur la figure 25, une équerre 360 est montée sur lecoulisseau principal 304 et supporte une bielle articulée 362 sur un axe 364. Cette bielle 362 prend appui contre une butée 366 du coulisseau primaire 304 contre laquelle elle est maintenue par le levier 334 de blocage. Il faut noter qu'une partie de la bielle
362 a un tronçon 368 d'enclenchement destiné à coo-
pérer avec le levier 334 de blocage. La bielle 300 est articulée sur la bielle 362 au niveau d'un axe 370 qui
dépasse de la bielle 362 et supporte un galet 372 for-
mant toucheau coopérant avec la came 352.
Le mécanisme de la figure 25 est représenté dans la position de retour complet. La course d'avance rapide est commandée par le coulisseau principal 304 qui est entraîné par la came 306 comme décrit pour le
mécanisme de la figure 23. A la fin de la course d'a-
vance rapide, le levier 334 de blocage est écarté de la partie 368 d'enclenchement de la bielle 362 qui est
ainsi libérée et peut tourner dans le sens horaire au-
tour de l'axe 364. L'opération est à nouveau commandée
par la came libre 312 et le levier 334 de blocage pro-
voque à nouveau la coopération de l'embrayage d'avan-
ce de travail par le plongeur 142.Pendant l'avance de travail, commandée par la vis-mère, la bielle 300, par l'intermédiaire de l'axe 370, provoque la rotation de la bielle 362 autour de l'axe 364-; le galet 372 qui occupe la position 372a à la fin de l'avance rapide,
décrit un arc de cercle jusq à.une position 372b pen-
dant la course d'avance de travail, se terminant lors-
que le galet 372 est au contact de la came 352. Pen-
dant la course de retour rapide, le coulisseau princi-
pal 304 est entraîné vers sa position de retour par la came 306. Une rotation dans le sens anti-horaire de la
bielle 362 autour de l'axe 364 se superpose donc lors-
que le galet 372, revenant de la position 372b à la position 372 le long de la face de la came 352, est repoussé par cette came de manière que la bielle 362 revienne contre la butée 366, cette bielle étant alors
bloquée dans cette position par le levier 334, le mé-
canisme étant prêt pour le cycle suivant. On note que, dans ce mode de réalisation, c'.est la rotation dans le sens anti-horaire de la bielle 362 pendant le retour
dacoulisseau primaire 304 qui ajoute une course corres-
pondant à la course précédente d'avance de travail.
Dans les mécanismes des figures 23 et 25, le mécanisme générateur de déplacement qui commande les courses d'avance rapide et de retour rapide comporte une came cylindrique ou à tambour qui entraîne uh toucheau de came passant dans-une voie de came ou une gorge. On note que ce même type de mécanisme peut être utilisé pour l'obtention d'un déplacement angulaire fixe de la bielle principale 152 sur la figure 6 ou
pour le déplacement longitudinal fixe de la crémail-
lère 260 de la figure 20. De manière analogue, on note que le mécanisme générateur de mouvement de la figure 6 comprenant les éléments 160 à 182 ou l'un quelconque des mécanismes des figures 17 à 19, peut être utilisé dans les modes de réalisation des figures 23 et 25
pour la commande du coulisseau principal 304.
Les figures 26 à 29 représentent un autre mode de réalisation de mécanisme selon l'invention. Dans ce mode de réalisation, le coulisseau secondaire est monté
sur le chariot, et le procédé de mise en action du dis-
positif de blocage est modifié par rapport au mécanis-
me de la figure 20.
Sur les figures 26 à 28, des variantes de prolongements 380 de châssis sont montées sur le ré- ducteur 100 dans lequel le mécanisme d'accélération et
de décélération représenté sur la figure 11 peut tou-
rillonner, ce mécanisme comprenant, sur la figure 26, un pignon excentrique 162 monté sur des arbres 168 et
170 et en prise avec une crémaillère 382, dans ce mo-
de de réalisation. La crémaillère 382 est articulée sur une équerre 384 par un axe 386; cette équerre 384 est elle-même montée sur un coulisseau secondaire 388 qui peut coulisser sur une base 390 montée sur le chariot 6 qui porte aussi l'outillage 12. Il faut noter que l'axe de déplacement du coulisseau 388 est incliné par rapport à l'axe de déplacement du chariot 6, d'un angle à peu près égal à 600, mais cette valeur n'est pas primordiale. Il faut aussi noter que, pendant
la course d'avance de travail, le chariot 6 est entraî-
né par un écrou 14 et une vis-mère 18 commandés comme représenté sur la figure 5 par le mécanisme d'embrayage placé dans le réducteur 100 et qui est commandé par
le plongeur 142 comme décrit précédemment.
Un prolongement 392 (figure 27) de l'équerre 384 porte un galet 394 formant toucheau pour une came 396 montée sur la base 2, par l'intermédiaire d'une entretoise 398. L'équerre 384 porte aussi un bloc 400 de blocage dans lequel un organe 402 de blocage peut coulisser; cet organe 402 a un nez qui forme un coin
à double inclinaison, coopérant avec une cavité com-
plémentaire qui se rétrécit, formée dans un bloc-404 de réaction monté à l'extrémité supérieure de la base 390 du coulisseau secondaire. Comme indiqué sur la
coupe agrandie de la figure 28, l'organe 402 de blo-
cage a un épaulement 406 permettant l'application d'un ressort 408 de compression monté dans le bloc 400 et dont le rôle est de repousser l'organe 402 de
blocage vers l'intérieur du bloc 404 de réaction.
L'autre extrémité externe de l'organe 402 est articulée par un axe 410 sur une tige 412 d'un dispositif de mise en action. Cette tige 412 passe
librement dans un levier 414 en forme de T qui tou-
rillonne sur un arbre 416 monté entre des prolonge-
ments 380 du châssis. L'extrémité externe de la tige 412 porte un capuchon 418 de forme élargie de trop grande dimension pour qu'il puisse passer dans le
trou formé dans le levier 414. L'autre branche du-
levier 411 est au contact du plongeur 142 qui comman-
de l'embrayage placé dans le réducteur 100. Un ressort 420 de compression monté entre le réducteur 100 et le levier 414 exerce un couple dans le sens horaire sur le levier 414, autour de son arbre 416 de montage. La
branche centrale du levier 414 porte un galet 422 for-
mant toucheau pour une came 424 montée sur l'arbre 168 du mécanisme d'entraînement avec accélération et
décélération.
Le mécanisme de la figure 26 est représenté dans la position de retour. Il faut noter que, dans cette position, la came 424 assure le maintien, par l'intermédiaire du galet 422, du levier 414 dans sa position horaire extrême; le plongeur 142 est donc enfoncé et l'embrayage est embrayé. Cependant, cette caractéristique n'a pas d'importance car le mécanisme
d'accélération et de décélération est au repos.
Lors de la course d'avance rapide, le pignon
162 effectue un tour dans le sens anti-horaire et as-
sure le déplacement accéléré et décéléré progressive-
ment de la crémaillère 382 vers la gauche (figure 26).
Pendant les dix premiers degrés de rotation du pignon 162, la came 424 s'écarte du galet 422 et permet au ressort 420 de faire tourner le levier en T dans le sens anti-horaire, et le plongeur 142 se déplace vers-la droite et permet le débrayage de l'embrayage du mécanisme d'avance de travail. En conséquence, la
vis 18 peut tourner librement.
La crémaillère 382 entraîne le chariot 6 vers
la gauche dans sa course d'avance rapide par l'intermé-
diaire de l'axe 386, de l'équerre 384, du coulisseau 388 et de la base 390; le coulisseau 388, pendant cette course, est bloqué sur la base 390 par l'organe 402 qui empêche tout déplacement relatif. A la fin de la course d'avance rapide, le capuchon 418 de la tige 412 vient au contact de la face complémentaire du levier 414 ou s'arrête très près de cette face. La
crémaillère 382, le chariot 6 et la tige 412 ont at-
teint leur position de repos avant que le pignon 162 ait terminé son tour complet. A ce moment, pendant les dix derniers degrés de rotation environ du pignon 162 et d.e la came 424, cette dernière vient à nouveau en contact avec le galet 422 et le commande si bien que le levier en T tourne d'un petit angle dans le
sens horaire.
Ce déplacement provoque la commande simulta-
née du plongeur 142 qui est déplacé vers la gauche et provoque la mise en coopération de l'embrayage et le fonctionnement du mécanisme d'avance de travail à vis-mère, la tige 412 étant déplacée vers la droite
par l'intermédiaire du capuchon 418 et retirant l'or-
gane 402 de blocage du bloc 408 de réaction. Le cou-
lisseau 388 peut donc se déplacer librement sur la base 390. Le moteur d'avance de travail est alimenté afin qu'il déplace encore plus le chariot 6 vers la gauche par l'intermédiairede la vis-mère 18 et de
l'écrou 14 lorsque les outils avancent dans la pièce.
Comme la crémaillère 382 est maintenue fixe en direc-
tion longitudinale par le pignon 162, ce déplacement supplémentaire vers la gauche du chariot 6 provoque un déplacement vers le bas du coulisseau 388 sur la
base 390. La crémaillère 382 doit en conséquence rou-
ler dans le sens anti-horaire sur le pignon 162 et ce mouvement est permis étant donné la connexion. Pendant le mouvement d'avance rapide, le galet 394 se déplace
de la position de retour à la position 394a de la fi-
gure 26. Pendant la course d'avance de travail, le galet 394 descend suivant un arc de cercle de très
grand rayon, avec le coulisseau 388, jusqyfà une posi-
tion de tangence à la came 396 comme indiqué par la
référence 394b. Le coulisseau 388 ne peut pas descen-
dre de façon plus importante, et, en conséquence, le chariot 6 ne peut pas se déplacer plus loin vers la gauche; la vis-mère se bloque, le pignon 56 avance
* et déclenche le commutateur 78 comme décrit précédem-
ment et le moteur d'avance de travail s'arrête.
Pendant cette course d'avance de travail, le déplacement vers la gauche du chariot 6 provoque une descente du coulisseau 388 sur la base 390 étant donné
l'inclinaison des deux axes de déplacement des coulis- seaux. Si le coulisseau 388, pour la position finale
du chariot 6, revient hypothétiquement à la position -
verticale qu'il avait au début de l'avance de travail sur la base 390, le centre du galet 394 se trouve au point 426. La distance horizontale comprise entre ce point 426 et la position du galet 394a au début de
l'avance de travail correspond à la course de tra-
vail permise par le coulisseau, le galet et la came.
On note encore que la position de la came 396 déter-
mine la longueur de la course permise d'avance de travail; plus la came est élevée et plus la course
d'avance de travail est faible.
La course de retour rapide est à nouveau due à une rotation d'un seul tour dans le sens horaire du pignon 162. Pendant les dix premiers degrés environ de rotation du pignon 162 et de la came 424, la came se sépare du galet 422 et permet la séparation de
l'embrayage de la vis-mère, par l'intermédiaire du le-
vier 414 et du plongeur 142. Lorsque la crémaillère
382 se déplace vers la droite sous la commande du pi-
gnon 162, elle tire le chariot 6 par l'intermédiaire de l'axe 386, de l'équerre 384, du coulisseau 388 et
de la base 390. Un mouvement de récupération se super-
pose au chariot 6 du fait de la remontée du coulisseau 388 sur la base 390, cette remontée étant due à l'ac-
tion de la came 396 et du galet 394 sur l'équerre 384.
A la fin de cette course de retour rapide ou à son voisinage, le coulisseau 388 a atteint sa position normale haute sur la base 390, et l'organe 402 de
blocage, sous la commande du ressort 406, bloque à nou-
veau le coulisseau 388 dans cette position, dans l'at-
tente de la course suivante d'avance rapide.
Il faut noter que le mécanisme de blocage, dans ce mode de réalisation, est à double effet et qu'aucune butée n'est nécessaire pour le coulisseau 388. En outre, l'organe 402 de blocage est coulissant et non pivotant. La figure 29 représente une variante de dispositif de blocage ayant un organe articulé à double effet. On note que cet organe peut remplacer l'ensemble qui comprend les éléments 400 à 408 dans le mode de réalisation de la figure 6. Comme indiqué
sur la figure 29, un organe 426 de blocage est arti-
culé sur un bloc 428 de blocage sur un axe 430, le bloc 428 faisant partie de l'équerre 384 ou étant fixé à
celle-ci. L'organe 426 de blocage a une saillie effi-
lée 432 qui se loge dans une cavité complémentaire de section qui se rétrécit formée dans un bloc 434
de réaction monté sur la base 390 du coulisseau se-
condaire. Un couple de sens anti-horaire est appliqué à l'organe 426 de blocage par un ressort 436 placé entre cet organe et le bloc 428 si bien que l'organe de blocage reste logé dans le bloc de réaction. La tige 412 est encore utilisée pour la libération de l'organe de blocage à la fin de l'avance rapide et
au début de la course d'avance de travail comme indi-
qué précédemment.-
Les figures 30 et 31 représentent une variante - 24629e?
du mode de réalisation des figures 26 et 27, dans la-
quelle le coulisseau secondaire est remplacé par une
simple bielle articulée en U. Il faut noter que le mé-
canisme d'entraînement à accélération et décélération et le mécanisme d'entraînement à vis-mère et embrayage ainsi que les mécanismes de mise en action de blocage sont les mêmes que ceux qu'on a décrits en référence aux figures 26 et 27, mais la branche supérieure du levier 414 en T est raccourcie-afin que la tige 412
se trouve en dessous du niveau de la crémaillère 382.
Comme indiqué sur les figures 30 et 31, la crémaillère 382 est articulée sur une bielle 440 en U au niveau d'un axe 442 et de prolongements 444 formant un étrier et solidaires de la bielle 440 ou boulonnés sur celleci. Cette bielle 440 est articulée sur le chariot 6 au niveau de deux arbres 446 portés par des plaques 448 de base. La position normale de la bielle 440 est en appui contre une butée 450 montée sur une équerre 452 placée sur le chariot 6. La bielle 440 est maintenue contre la butée 450 par un organe 454 de blocage qui est monté de manière qu'il puisse coulisser dans un bloc 456 de blocage monté sur la
partie transversale de la bielle 440. L'organe de blo-
cage est commandé par un ressort, d'une manière compa-
rable à celle qui est représentée sur la figure 28. Une première extrémité de l'organe 454 de blocage a un
tronçon d'enclenchement qui, lorsque l'organe de blo-
cage a avancé, assure le blocage- par coopération avec un tronçon complémentaire 458 d'enclenchement formé sur l'équerre 452. L'autre extrémité de l'organe de blocage est articulée sur la tige 412 au niveau d'un axe 460; il faut se rappeler que cette tige 412 est commandée à son autre extrémité par le levier 414 et la came 424. Un galet 462 formant toucheau est monté d'un premier côté de la bielle 440 et coopère
avec une came 464 montée sur la base 2 par l'inter-
médiaire d'une entretoise 466.
246296t La séquence de fonctionnement du mécanisme est analogue à celle des mécanismes des figures 26 et 27, les courses d'avance rapide étant tout à fait identiques. A la fin de la course d'avance rapide, l'organe de blocage 454 est tiré à distance du tron- çon 458 d'enclenchement et l'embrayage de la vis-mère est embrayé comme décrit précédemment. Lorsque le chariot 6 est entraîné vers l'avant (vers la gauche) pendant la course d'avance de travail, la bielle 440 tourne dans le sens horaire autour des arbres 456 si bien que la crémaillère 382 tourne à nouveau dans le
sens anti-horaire par roulement sur le pignon 162.
L'axe 442 d'articulation de la crémaillère 382 et de la bielle 440, qui s'est déplacé vers la position
442a pendant l'avance rapide, descend en arc de cer-
cle autour du centre mobile de rotation de la cré-
maillère 382 pendant la course d'avance de travail
et atteint une position 442b à la fin de cette course.
A ce moment, le galet 462 atteint une po-
sition 462b dans laquelle il est tangent à la came 364 et empêche ainsi toute rotation supplémentaire
vers le bas de la bielle en U autourdes arbres 446.
Il faut noter que l'axe du galet 462 est décalé de l'axe 442 pour des raisons de commodité. La vis-mère est bloquée et le moteur d'avance de travail est arrêté comme décrit précédemment. La longueur de
la course d'avance de travail ainsi permise corres-
pond à la distance mesurée horizontalement entre la position 442a de l'axe et le point 468 qui-correspond à la position hypothétique qu'aurait le centre de l'axé 442,
si la bielle 440 tournait autour des arbres 446 con-
tre la butée 450, le chariot 6 occupant sa position de fin d'avance de travail. Cette distance équivaut à la distance parcourue par le chariot pendant l'avance de travail, alors que la bielle 440 descend
pour permettre ce mouvement.
La course de retour rapide est encore comman-
dée par un seul tour dans le sens horaire du pignon, 162. La crémaillère 382 se déplace vers la droite et tire le chariot 6 avec elle, par l'intermédiaire de la bielle 440. Cependant, comme cette dernière se déplace vers la droite, le galet 462, à partir de la position 462b,est repoussé et roule sur la partie inclinée de la came 464; en conséquence, la bielle 440 tourne vers le haut avec le galet et ajoute une composante au déplacement du chariot 6 par rapport à celui de la crémaillère 482. A la fin de la course
de retour rapide ou à proximité, le galet 462 a ra-
mené la bielle 440 contre la butée 450 et l'organe 454 de blocage coopère à nouveau avec la partie 458 d'enclenchement, le mécanisme étant alors prêt pour
la course suivante d'avance rapide.
La figure 32 représente une petite variante
du mode de réalisation des figures 30 et 31 dans la-
quelle le galet formant toucheau de came est monté sur la base du coulisseaualors que la came est montée
sur la bielle en U. Il faut noter que le reste du mé-
canisme est tel que décrit en référence aux figures
et 31.
Sur la figure 32, un galet 470 formant tou-
cheau de came est monté sur une équerre 472 qui est fixée à la base 2 du coulisseau, non représentée. Une came 474 est montée sur la bielle 440 afin qu'elle coopère avec un galet fixe 470 formant toucheau. Ces éléments sont représentés dans la position de fin de
course de retour rapide et de début de course d'avan-
ce rapide, la bielle 440 étant bloquée contre la bu-
tée 450. Pendant la course d'avance rapide, le chariot 6 et la bielle 440 se déplacent vers la gauche alors
que la bielle 440 est bloquée comme décrit précédem-
ment. A la fin de la course d'avance rapide, la po-
sition relative de la came 474 et du galet est in-
diquée par la position 470a. On peut noter que le déplacement sur la figure du galet 470 vers la droite vers la position 470a donne la même relation entre la came et le galet que le déplacement de la came vers la
gauche. En conséquence, à la fin de la course d'avan-
ce rapide, les positions relatives de la came et du galet sont représentées par les références 474 et 470a.
La bielle 440 est alors débloquée comme indiqué pré-
cédemment et le chariot 6 et les arbres 446 se dépla-
cent vers la gauche pour la course d'avance de travail, la bielle 440 tournant vers le bas d'un arc de cercle repéré par la référence 476, jusqu'à ce que la came 474 soit au contact du galet occupant la position 470a, la course d'avance de travail étant alors interrompue comme décrit précédemment. Pendant la course de retour rapide, le galet 470 qui roule sur la surface courbe de la came 474, repousse celle-ci et la bielle 440 dans leur position de blocage. Il est évident que le mécanisme de la figure 32 est une simple inversion des positions relatives de la came et du galet du mode
de réalisation des figures 30 et 31. Cette même in-
version peut être utilisée-dans les autres modes de
réalisation. De manière analogue, les divers mécanis-
mes d'accélération et de décélération décrits précé-
demment conviennent auxmodesde réalisation des figures
26 à 32.
Dans ces différents modes de réalisation,
pendant la course de retour rapide, le chariot 6 dé-
crit une course allongée par rapport à la course d'avance rapide. Cet allongement est créé par une tringlerie qui superpose une seconde composante au mouvement de retour. Cette tringlerie fonctionne très bien tant qu'une force unidirectionnelle de traction
existe entre le dipositif d'entraînement et le chariot.
Cette caractéristique est en général rencontrée étant donné le frottement entre le chariot et la base du coulisseau. Cependant, dans le cas de vitesse élevée de retour, ces forces de frottement peuvent ne pas
suffire et le chariot peut avoir tendance à se dépla-
-2462967
cer en avant du dispositif d'entraînement pendant la
partie de décélération de la course de retour rapide.
Ce phénomène se manifeste par une tendance du toucheau à s'écarter de la surface de came, la bielle ou le coulisseau venant frapper le dispositif de blocageou
la butée. Cette. situation peut être corrigée de plu-
sieurs manières très simples.L'une d'elles comprend l'augmentation intentionnelle du frottement dans le mécanisme,par exemple par serrage des contre-plaques des glissières. Une autre solution comprend l'addition d'un dispositif classique d'arrêt entre le coulisseau ou la bielle commandée par la came et l'organe associé de support. Ces dispositifs d'arrêt comportent par exemple de petits vérins hydrauliques soumis à une charge préalable, n'ayant pas de connexion extérieure
et ayant un petit orifice dans le piston, ou des dis-
positifs équivalents qui opposent une résistance au déplacement, de façon à peu près proportionnelle à la
vitesse du mouvement commandé extérieurement.
Le mécanisme d'embrayage monté entre la vis-
mère 18 et le mécanisme associé d'entraînemént est un embrayage à dents ou à griffes, comme indiqué sur les figures 6 et 7. Ce type particulier d'embrayage
peuLêtre remplacé par différents embrayages parmi les-
quels on peut citer un embrayage à friction à un seul disque, un embrayage à friction à plusieurs disques, ou même un embrayage commandé électriquement, et dans ce cas, le plongeur 142 est remplacé fonctionnellement par un commutateur de limite. Les critères auxquels l'embrayage doit satisfaire sont relativement simples, essentiellement oarce que la mise en position embrayée ou débrayée a lieu pour une vitesse pratiquement nulle
des organes complémentaires.
Un mécanisme classique à vis-mère à billes est utilisé pour la course d'avance de travail étant
donné sa rigidité élevée et sa démultiplication.
Dans certaines applications, l'utilisation d'un mé-
canisme à pignon et crémaillère à vitesse constante peut
être avantageuse et dans ce cas le mécanisme d'entraî-
nement de pignon comporte un embrayage comparable à ce-
lui qui est utilisé pour le mécanisme à vis-mère.
On note que les éléments essentiels mis en
oeuvre selon l'invention comprennent d'abord un méca-
nisme d'entraînement à vitesse constante pratiquement classique, déplaçant le chariot utilisé pour la course d'avance de travail, un mode de réalisation avantageux étant un mécanisme à vis-mère et écrou à billes du type
représenté, deuxièmement un mécanisme différent et to-
talement séparé d'entraînement qui commande le mouve-
ment accéléré et décéléré, par exemple l'un des méca-
nismes des figures 6 et 20 et du brevet précité des Etats-Unis d'Amérique no 3 789 676, commandant les
courses d'avance rapide et de retour rapide, troisiè-
mement un mécanisme de commutation sélectionnant auto-
matiquement l'un ou l'autre des mécanismes d'entraîne-
ment qui doivent coopérer avec le chariot et assurant
simultanément la séparation de l'autre mécanisme d'en-
trainement, comme indiqué par l'embrayage associé à la vis-mère, coopérant avec un mécanisme à levier de blocage du mécanisme d'accélération et de décélération afin qu'un seul des mécanismes d'entraînement soit connecté au chariot lorsque l'autre est en roue libre
ou tourne à vide et quatrièmement un mécanisme à récu-
pération ou d'addition, par exemple l'un des divers mé-
canismes à came et galet et les bielles ou coulisseaux commandés qui, pendant la course de retour du mécanisme
d'accélération et de décélération, provoquent le déplace-
ment du chariot suivant une course qui est égale à la
somme des courses précédentes d'avance rapide et d'avan-
ce de travail.
Ainsi, la course initiale qui porte l'outil jusqu'à la pièce, estcommandée par un mécanisme très
rapide ayant des caractéristiques convenables d'accélé-
ration et de décélération et des points de butée qui peuvent être déterminés de façon très précise, si bien que l'outil peut être placé près de la pièce sans risque de contact et de rupture et sans utilisation d'un espace de sécurité dont le parcours prend du temps avant que la coupe réelle du métal commence en réalité. La course de
retour peut aussi être rapide et est prolongée de la va-
leur de la course d'avance dans la pièce, si bien que le retour est rapide et complet de façon automatique, avec
encore les caractéristiques très souhaitables d'accélé-
ration et de décélération.

Claims (16)

REVENDICATIONS
1. Mécanisme d'entraînement de chariot de machine-
outil, du type qui comporte une base (2) et un chariot
(6) de support d'outil, mobile sur la base, le déplace-
ment du chariot comprenant une première course d'avance rapide assurant le déplacement du chariot vers l'avant
d'une position initiale prédéterminée en retrait jus-
qu'à une position intermédiaire prédéterminée, avec une vitesse relativement élevée afin que l'outil avance à proximité de la pièce, une seconde course d'avance de
travail, à la fin de la course d'avance rapide, pen-
dant laquelle l'outil avance de la position intermé-
diaire à une position de pénétration dans la pièce, avec une vitesse constanterelativement lente d'avance de travail, et une troisième course de retour rapide
dans laquelle le chariot revient dans la position initia-
le en retrait, à vitesse relativement élevée, ledit mé-
canisme d'entraînement étant caractérisé en ce qu'il comprend un premier dispositif d'entraînement monté
sur la base (2) et destiné à créer un mouvement réver-
sible relativementrapide de sortie à accélération et
décélération progressives, un second dispositif d'en-
trainement (14, 18) monté sur la base (2) et destiné à créer un mouvement de sortie à vitesse constante relativement lente prédéterminée, un premier dispositif de connexion du premier dispositif d'entraînement au
chariot afin que celui-ci effectue les courses d'a-
vance rapide et de retour rapide, un second dispositif (16) de connexion du second dispositif d'entraînement
au chariot afin que celui-ci effectue la course d'a-
vance de travail, le premier dispositif de connexion comprenant un premier organe de sortie (152) entraîné
de façon réversible par le premier dispositif d'en-
trainement pendant les courses d'avance rapide et de
retour rapide et un second organe de sortie (185) con-
necté au chariot afin qu'ils s'entraînent l'un l'autre, le premier et le second organe de sortie étant connectés l'un à l'autre afin qu'ils puissent se déplacer l'un
par rapport à l'autre, le premier dispositif d'entraî-
nement donnant au premier organe de sortie (152) une position initiale prédéterminée par rapport à la base (2) lorsque le chariot est dans sa position initiale en retrait, un dispositif d'enclenchement (212, 214) destiné à bloquer les organes de sortie l'un sur
l'autre en position fixe prédéterminée l'un par rap-
port à l'autre pendant la course d'avance rapide afin qu'ils se déplacent comme un tout et provoquent ainsi
le déplacement du chariot (6) de façon pratiquement pro-
portionnelle au déplacement du premier organe de sortie
(152) pendant cette course d'avance rapide, un disposi-
tif (208, 210) de libération du dispositif d'enclenche-
ment à la fin de la course d'avance rapide afin que
l'un des organes de sortie puisse se déplacer par rap-
port à l'autre pendant la course d'avance de travail dans laquelle le chariot (6) est déplacé par le second dispositif d'entraînement, un dispositif de récupération commandé par le déplacement en sens inverse du premier
organe de sortie (152) pendant la course de retour ra-
pide et destiné à déplacer un organe de sortie-dans la
position prédéterminée fixe par rapport à l'autre or-
gane de sortie, si bien que le chariot (6-) revient en position initiale en retrait lorsque le premier organe de sortie (152) est revenu dans sa position initiale sous la commande du premier dispositif d'entraînement, et un dispositif de commutation (216) destiné à coupler
sélectivement l'un seulement des dispositifs d'entraîne-
ment au chariot.
2. Mécanisme selon la revendication 1, caractéri-
sé en ce que le dispositif de commutation est destiné à commander le fonctionnement du second dispositif de connexion à la fin de la course d'avance du chariot (6) et à le rendre inopérant pendant la course de
retour rapide.
3. Mécanisme selon la revendication 2, caracté-
2462e6l
risé en ce que le dispositif de commutation est con-
necté au premier dispositif d'entraînement qui le commande.
4. Mécanisme selon la revendication 3, carac-
térisé en ce que le dispositif de commutation comporte une came (210) entraînéepar le premier dispositif d'entraînement et un dispositif (216) commandé par le déplacement de la came à une position prédéterminée
et destiné à coupler le second dispositif d'entraîne-
ment au chariot (6).
5. Mécanisme selon la revendication 1, caracté-
risé en ce que le dispositif d'enclenchement (212, 214) comprend un verrou monté afin qu'il se déplace avec l'un des organes de sortie et destiné à coopérer avec l'autre organe de sortie et à empêcher son déplacement
par rapport à cet organe de sortie.
6. Mécanisme selon la revendication 5, caracté-
risé en ce qu'il comprend un dispositif (206) repoussant le verrouversla position de blocage afin qu'il assure le blocage chaque fois que les deux organes de sortie
(152, 185) sont dans leur position fixe relative pré-
déterminée.
7. Mécanisme selon la revendication 6, caracté-
risé en ce que le dispositif de libération d'enclenche-
ment (208, 210) est commandé par le premier dispositif
d'entraînement à la fin de la course d'avance rapide.
8. Mécanisme selon la revendication 6, caracté-
risé en ce que le dispositif de libération d'enclenche-
ment (208, 210) est commandé par un mécanisme reliant
le chariot (6) à la base (2) et commandé par le dépla-
cement du chariot (6) vers la fin de sa course d'avan-
ce rapide.
9. Mécanisme selon la revendication 6, caracté-
risé en ce qu'il comprend un dispositif destiné à com-
mander le dispositif de libération du dispositif de dé-
clenchement et le dispositif de commutation pratiquement
simultanément à la fin de la course d'avance rapide.
10. Mécanisme selon la revendication 1, caracté-
risé en ce que le dispositif destiné à déplacer un
organe de sortie afin qu'il reprenne la position pré-
déterminée par rapport à l'autre organe de sortie com-
prendune came (210) disposée afin qu'elle coopère avec l'un des organes de sortie lors du déplacement en sens
inverse du premier organe de sortie (152).
11. Mécanisme selon la revendication 10, caracté-
risé en ce que la came (292) est fixe par rapport à la
base (2).
12. Mécanisme selon la revendication 11, carac-
térisé en ce que le premier organe de sortie est un le-
vier et le second organe de sortie est un organe de sup-.
port fixé au chariot (6) et sur lequel le levier est
articulé.
13. Mécanisme selon la revendication 12, caracté-
risé en ce que le levier est articulé sur un axe qui est pratiquement perpendiculaire au trajet du chariot (6).
14. Mécanisme selon la revendication 12, carac-
térisé en ce que le levier comprend un levier coudé
(288) articulé entre ses extrémités, une première par-
tie d'extrémité de ce levier coudé étant connectéeau premier dispositif d'entraînement et son autre extrémité portant un toucheau de came (290) destiné à coopérer
avec la came.
15. Mécanisme selon la revendication 1, caracté-
risé en ce que le premier et le second organe de sortie
sont articulés l'un sur l'autre.
16. Mécanisme selon la revendication 1, carac-
térisé en ce que le premier et le second organe de sortie
coulissent l'un par rapport à l'autre.
FR8016818A 1979-08-07 1980-07-30 Mecanisme d'entrainement de chariot pour machine-outil Withdrawn FR2462967A1 (fr)

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