FR2460688A1 - Machine a corder les raquettes - Google Patents

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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A63SPORTS; GAMES; AMUSEMENTS
    • A63BAPPARATUS FOR PHYSICAL TRAINING, GYMNASTICS, SWIMMING, CLIMBING, OR FENCING; BALL GAMES; TRAINING EQUIPMENT
    • A63B51/00Stringing tennis, badminton or like rackets; Strings therefor; Maintenance of racket strings
    • A63B51/14Arrangements for stringing, e.g. for controlling the tension of the strings during stringing

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Abstract

L'INVENTION CONCERNE UNE MACHINE A CORDER LES RAQUETTES. LA MACHINE COMPORTE UN BERCEAU SUSCEPTIBLE D'IMMOBILISER LE CADRE DE LA RAQUETTE ET DES MOYENS DE MISE EN TENSION D'UN BOYAU; ELLE EST CARACTERISEE EN CE QUE LES MOYENS DE MISE EN TENSION COMPORTENT UN CHARIOT EXTERIEUR AU BERCEAU ET COMPORTANT DES MOYENS D'ANCRAGE DU BOYAU, PAR AILLEURS SOLIDAIRE DU CADRE, DES MOYENS POUR GUIDER ET DEPLACER LE CHARIOT EN TRANSLATION DANS LE SENS D'UN ELOIGNEMENT OU D'UN RAPPROCHEMENT PAR RAPPORT AU BERCEAU, POUR APPLIQUER UNE TRACTION AU BOYAU, ET DES MOYENS POUR COMPARER A CHAQUE INSTANT LA TENSION INSTANTANEE DU BOYAU A UNE TENSION PREDETERMINEE A ETABLIR, POUR AUTORISER LEDIT DEPLACEMENT DU CHARIOT DANS LE SENS D'UN ELOIGNEMENT TANT QUE LA TENSION INSTANTANEE DU BOYAU EST INFERIEURE A LA TENSION PREDETERMINEE, ET POUR IMMOBILISER LE CHARIOT QUAND CES TENSIONS SONT EGALES. APPLICATION A LA REALISATION D'UNE MACHINE CONFORTABLE ET RAPIDE D'UTILISATION, AVEC UNE PRECISION AMELIOREE.

Description

La présente invention est relative à une machine à corder les raquettes.
Actuellement, la plupart du temps, on utilise pour corder les raquettes des machines mettant en oeuvre un poids qu'il faut manipuler, au fur et à mesure du cordage, pour mettre en tension successivement chaque montant et chaque travers.
Cette manipulation est fastidieuse et pénible ; de plus, de telles machines laissent une large part aux facteurs humains, et notamment au tour de main du cordeur, et il n'est pas rare que l'on constate des irrégularités dans la tension des boyaux cordes par leur moyen
Le but de la présente invention est de proposer une machine à corder re médiant aux inconvenients de ces machines largement répandues.
A cet effet, l'invention propose une machine assurant la mise en tension du boyau, au niveau d'un montant ou d'un travers de la raquette, par déplacement linéaire d'un chariot avec lequel est solidarisée l'extrémité libre du boyau, 1' autre extrémité de celui-ci étant solidaire du cadre de la raquette ; le déplacement du chariot est avantageusement pilote par des moyens électromécaniques à commande électronique, en fonction d'une comparaison constante entre la tension instantanée du boyau, qui est imposée par le déplacement du chariot, et une tension prédéterminée en fonction des caractéristiques souhaitées de la raquette et du sport à la pratique duquel elle est destinée.
Une telle machine se révèle naturellement beaucoup plus confortable d'utilisation qu'une machine mettant en oeuvre des poids, et se révèle conside- rablement plus sensible d'une part du fait qu'elle élimine totalement l'influence des facteurs humains et d'autre part du fait de la possibilité qu'elle affre d'un large recours à l'électronique.
Elle offre aussi une possibilité d'assurer avec une grande précision des mises en tension allant de O à 30 kg , ces chiffres donnes à titre d'exemple non limitatif correspondant à la gamme destensiors usuellesde l'ensemble des raquettes destinées aux différents sports, de la raquette de Badwinton cordée à une tension de 3 à 6 kg à la raquette de tennis cordee à une tension variant généralement de l'ordre de 18 à 22 kg.
Compte tenu de cette large plage de réglage possible , un autre but de l'invention est de rendre l'ensemble de la machine adaptable à tous les types de raquettes, quelle2Usoit leur forme ou leurs dimensions ; à cet effet, dans un mode de mise en oeuvre preféré, l'invention propose des moyens de reglage du berceau immobilisant à volonté sur la machine la raquette en cours de cordage, ce qui rend la machine selon l'invention réellement universelle.
Enfin, comme il ressortira de la description d'un mode de mise en oeuvre préféré, la machine selon ltinvention peut être réalisée de façon particulièrement simple et économique, et sous un encombrement réduit, en dépit de ses possibilités bien supérieures en précision et en gamme de réglages possibles à celles des machines actuellement connues.
La machine à corder les raquettes selon l'invention, comportant un berceau susceptible d'immobiliser le cadre de la raquette et des moyens de mise en tension d'un boyau immobilisé dans une zone du cadre et libre à coulissement dans une deuxième zone de celui-ci, par traction sur une zone du boyau situeeau-delà de la deuxième zone par rapport a la première, est caractérisée en ce que les moyens de mise en tension comportent - un chariot extérieur au berceau et portant des moyens d'ancrage de ladite zone du boyau, - des moyens pour guider et déplacer le chariot en translation dans le sens d'un éloignement ou d'un rapprochement par rapport au berceau, pour appliquer une traction au boyau, - des moyens pour comparer a chaque instant la tension instantanée du boyau a une tension prédéterminée a établir, et pour autoriser ledit mouvement dans le sens d'un éloignement tant que la tension instantanée du boyau est inférieure à la tension prédée8rminée, et pour immobiliser le chariot quand la tension instantanée du boyau est égale a la tension prédéterminée.
L'invention sera mieux comprise si l'on se réfère a la description cidessous, relative a un mode de mise en oeuvre non limitatif, ainsi qu'aux dessins annexés qui font partie intégrante de cette description.
La figure 1 montre une vue d'ensemble, en perspective, d'une machine selon l'invention.
La figure 2 montre une vue de dessous de cette machine.
La figure 3 montre une vue de détail d'un bras reliant à la table d'orientation de la raquette a corder l'un des deux demi -berceaux réglables recevant celle-c.
La figure 4 montre l'ensemble des moyens de comparaison de la tension instantanée du boyau a une tension prédéterminée et de réglage de cette tension prédéterminée, vu suivant une direction et dans un sens correspondant à la direction et au sens de déplacement de ces éléments correspondant à la mise en tension croissante du boyau.
La figure 5 montre une vue en coupe dans un plan V-V de la figure 4.
La figure 6 montre une vue en perspective des moyens de réglage de la tension prédéterminée a établir dans le boyau.
Ces différentes figures correspondent a un état de repos de la machine, c'est-à-dire a un état préalable à la mise en tension d'un tronçon de boyau correspondant a un montant ou à un travers de la raquette.
A la figure 1, on a schématisé en trait mixte une raquette 1 et en trait discontinu un boyau 2 dont, par exemple, la machine selon l'invention est prête a mettre en tension un tronçon correspondant a un montant.
Pour recevoir et immobiliser la raquette 1, la machine comporte des moyens 3 réglables d'une part afin de s'adapter à toutes les formes et dimensions de raquette , et permettre ainsi d'exploiter au mieux les larges possibilités du systeme de mise en tension qui sera décrit plus loin, et d'autre part afin de permettre l'orientation de la raquette 1 en fonction de la position du montant ou du travers a mettre en tension.
A cet effet, les moyens 3 comportent, sur la face superieure horizontale
5 du socle 6 de la machine, une table horizontale 4 integralement de révolution autour d'un axe 7 fixe par rapport au socle 6, sur lequel la table 4 est montée à rotation libre autour de cet axe 7.
Dans l'exemple illustré, la table 4 présente la forme d'un disque, dont la face supérieure 8 est plane et dont la face inferieure 9 porte, en retrait vers l'axe 7 par rapport à sa périphérie circulaire 10, une jupe continue 11, intérieurement et extérieurement cylindrique de révolution autour de l'axe 7.
Dans des positions diamétralement opposees, la périphérie exterieure cylindrique de la jupe 11 porte deux bras identiques, respectivement 12 et 13, pour l'essentiel verticaux et formant au dessus de la face supérieure 8 de la table 4 une saillie de hauteur identique; pour les raisons qui apparaîtront plus loin, chacun des bras 12 et 13 est relié à la périphérie extérieure cylindrique de la jupe 11 par un rebord horizontal, radial, tel que 14, qui d'une part maintientle bras à distance de la périphérie 10 et d'autre part, se situant à distance de la face 9, degage également la zone de celle-ci située entre la périphérie extérieure cylindrique de la jupe 11 et la périphérie 10.
A sa partie supérieure, à un niveau identique par rapport à la face 8 de la table 4, chacun des bras 12 et 13 porte un demi-berceau en forme de croissant horizontal, respectivement 15 et 16, les deux demi-berceaux 15 et 16 dont les concavités se font face reprenant sensiblement la forme de deux zones opposées du cadre d'une raquette de façon à pouvoir porter un tel cadre par lesdites zones de celui-ci.
A cet effet, les deux demi - berceaux 15 et 16 presentent des faces superieures horizontales coplanaires, respectivement 17 et 18, et chacun présente une pluralité d'orifices verticaux, respectivement 19 et 20, répartis sur sa face supérieure pour permettre le montage sur celle-ci, dans les positions les plus appropriees compte tenu de la forme et des dimensions du cadre d'une raquette à corder, de vérins horizontaux, tels que respectivement 21 et 22, propres à prendre appui sur la périphérie extérieure du cadre de la raquette pour immobiliser celle-ci sur l'ensemble constitue par les demi-berceaux 15 et 16; en outre, en vue de cette immosibilisation est prevu dans la concavite de chaque demi-berceau, dans des positions diamétralement opposées compte tenu de l'axe 7 et en saillie au dessus des faces 17 et 18, un crochet, respectivement 23 et 24, propre a s'appuyer de façon centrifuge sur la périphérie intérieure du cadre de la raquette; a cet effet, chacun des crochets 23 et 24 est régl.âble selon une direction radiale, par rapport au demi-berceau correspondant, au moyen d'un bouton molleté, respectivement 25 et 26.
Pour permettre une adaptation de la machine a des cadres de raquettes présentant des dimensions très différentes, les deux demi -berceaux 15 et 16 sont en outre montés sur les extrémités supérieures des bras 12 et 13, respectivement, par l'intermédiaire de moyens autorisant leur réglage en position suivant une mê- me direction radiale, horizontale.
On se réferera à ce sujet plus particulierement à la figure 3, qui illustre le bras 12 auquel le bras 13 est identique.
La figure 3 montre une vue du bras 12 suivant une direction radiale, vers l'axe 7; il y apparaît que le bras 12 presente vers le haut une face supérieure plane, horizontale, 27, a l'intérieur de laquelle est aménagée une rainure en queue d'aronde 28, horizontale, orientée radialement; complémentairement, le demi-berceau 15 présente une face inférieure plane, horizontale, 29 propre à reposer par l'une de ses zones sur la face supérieure 27 du bras 12, et une nervure 30 orientée radialement, horizontalement, et formant sous la face 29 une saillie dont le profil en queue d'aronde est complémentaire de celui de la rainure 28; à l'intérieur de cette nervure 30 est aménage un canal 31 à l'intérieur duquel peut coulisser une tige 32 solidaire de l'ergot 23 dans la concavite du demi-berceau 15 et portant au niveau de la convexité de celui-ci le bouton molleté 25, apte a se visser plus ou moins sur la tige 32, par rotation, pour régler la position de l'ergot 23 par rapport au demi-berceau 15.
Ainsi, le demi-berceau 15 peut coulisser suivant une direction horizontale, radiale, sur la face supérieure horizontale 27 du bras 12; pour permettre une immobilisation dans une position adaptée au mieux a la forme et aux dimensions du cadre de la raquette à corder, le bras 12 est conçu comme une pince et présente à cet effet une fente verticale 33 le traversant de part en part suivant un plan incluant l'axe 7 et l'axe du fond de la rainure 28, la fente 33 prenant naissance au fond de cette rainure et s'étendant sur la majeure partie de la hauteur du bras 12; cette fente 33 definit à la partie supérieure du bras 12 deux mâchoires, respectivement 34 et 35, dont chacune correspond à l'un des flancs de la rainure 28; l'immobilisation à volonté de la nervure 30 dans la rainure 28 est assurée par serrage des deux mâchoires 34 et 35, au moyen d'une vis les traversant de part en part selon une direction 36 perpendiculaire au plan moyen de la fente 33 (cette vis n'a pas été représentée); on notera que, étant donné la forme en queue d'aronde de la rainure 28 et de la nervure 30, le serrage de la mâchoire 34 s'accompagne d'un placage de la face inferieure 29 du demi-berceau 15 sur la face supérieure 27 du bras 12, ce qui assure un niveau constant de la face supérieure 17 du demi-berceau 15 par rapport à la table 4 quel que soit le réglage adopté; des moyens analogues étant adoptés pour assurer le reglage du demi-berceau 16 suivant une direction radiale à la partie supérieure du bras 13, on est ainsi assuré d'une coplanéarité constante des faces supérieures respectives 17 et 18 des deux demi - berceaux 15 et 16, quel que soit leur réglage; en d'autres termes, quelles que soient sa forme et ses dimensions, une raquette 1 est toujours immobilisee a un même niveau sur la machine, et la rotation de la table 4 autour de l'axe 7 s'accompagne d'un déplacement de la raquette suivant son plan moyen qui reste quant a lui fixe en position.
Approximativement a ce niveau, la machine comporte dans une zone toujours située à l'extérieur du berceau constitue par les deux demi - berceaux 15 et 16, c'est-à-dire hors de l'aplomb de la table 4, des moyens d'ancrage 37 pour le boyau lesquels sont portés par un ensemble 38 de mise en tension de ce boyau qui sera décrit plus loin.
Une rotation de la table 4 autour de son axe 7 permet de présenter successivement la raquette dans les positions, vis- -vis des moyens d'ancrage 37 et de l'ensemble de mise en tension 38, les plus appropriés pour le cordage successif respectivement de chaque montant et de chaque traverse; la position la plus appropriée au cordage d'un montant98'une traverse correspond à une position où le tronçon de boyau à mettre en tension est immobilisé dans une première zone du cadre de la raquette, libre à coulissement par rapport à une deuxieme zone de celle-ci, et solidarise de façon provisoire avec les moyens d'ancrage 37 au-dela de cette deuxième zone par rapport a la première, avec une forme aussi proche
de la forme rectiligne que possible.
Pour permettre l'immobilisation de la table 4 successivement dans les différentes positions les plus appropriées sont prévus, a l'intérieur du socle 6, des moyens de freinage 39 qui vont être décrits à present plus particulierement en reference a la figure 2.
Ces moyens de freinage 39 sont commandés manuellement par une poigne 40 situee au dessus de la face 5 du socle 6 et mobile a rotation autour d'un axe vertical par rapport à celui-ci, entre trois positions crantées correspondant respectivement à une totale liberté de la table 4 à rotation autour de l'axe 7, à une position de freinage doux autorisant une rotation manuelle de la table 4 autour de l'axe 7 moyennant un effort réduit, pour des raisons de commodite de travail, et une position d'immobilisation ferme de la table 4 par rapport au so- cle 6, pendant une opération de mise en tension.
Les moyens de freinage 39 sont illustrés à la figure 2 dans la première de ces trois positions.
Dans l'exemple illustré, les moyens de freinage 39 comportent un levier horizontal 42 articule à l'une de ses extrémités autour d'un axe vertical 41 fixe par rapport au socle 6 de la machine et disposé par rapport à l'axe 7 de telle façon que, dans ses trois positions correspondant aux trois positions crantees de la poignée 40, le levier 42 soit orienté suivant une corde de la péri phérie interieure cylindrique de la jupe 11 de la table 4, a un niveau légèrement inférieur au niveau inférieur de cette jupe.
A sa deuxième extrémité, incurvée vers le haut et traversant la paroi le levier 42 ndrte superieure horizontale 44 du socle 6 via une lumière 45 de celle-ci/ unpatin 43 placé en regard de la périphérie intérieure cylindrique de la jupe 11; l'application du patin 43 contre cette périphérie intérieure se traduit, en fonction de la pression avec laquelle elle s'effectue, par un freinage doux ou énergique de la table 4.
Entre ses deux extrémités, le levier 42 porte d'une part un point d'ancrage 45 pour une extrémité d'un ressort à boudin 46 dont l'autre extrémite est reliée a un point 47 fixe par rapport au socle 6, dans une position telle que ce ressort 46 applique au levier 42 une traction élastique constante tendant à le faire pivoter autour de l'axe 41 dans le sens d'une application du patin 43 contre la périphérie interieure cylindrique de la jupe 11 de la table 4, et d'autre part un ergot vertical 48 engagé dans une lumière oblongue 49 d'une biellette horizontale 50 de liaison entre le levier 42 et une came 51 solidaire en rotation de la poignée 40 autour d'un axe vertical 52, à l'intérieur du socle 6; la biellette 50 est articulée sur cette came 51, à l'une de ses extrémités, opposée à son extrémité portant la lumière 49, autour d'un axe vertical 53 excentre par rapport à l'axe 52.
Ces éléments sont positionnes de telle façon que la biellette 50, de forme rectiligne, soit orientée transversalement par rapport à la direction générale du levier 42 quelle que soit la position de la came 41 et la position correspondante du levier 42.
Dans l'exemple illustré, la came 51 est située du même côté du levier 42 que la zone de la périphérie intérieure cylindrique de la jupe 11 contre laquelle doit s'appliquer le patin 43,vis-à-vis de ce patin 43, et le fonctionnement des moyens de freinage 39 est le suivant.
Dans la position illustrée, qui correspond à la liberté de rotation de la table 4 autour de son axe 7, l'axe 53 est situé entre l'axe 52 et le levier 42 et la biellette 50 applique à l'ergot 48, alors en contact avec l'extrémité de la lumière 49 la plus proche de l'axe 53, une poussée maintenant le patin 43 à distance de la périphérie intérieure cylindrique de la jupe 11; à cette pre mière position correspond l'engagement, dans une première encoche 54 de la péri phérie par ailleurs circulaire de la came 51, d'un galet 55 que des moyens ap propriés tendent à rapprocher élastiquement de l'axe 52, contre la périphérie de la came 51.
Dans une deuxième position des moyens de freinage 39, correspondant a une rotation de la poigne 40 et de la came 51 dans le sens de la flèche 56 de la figure 2, laquelle amène le galet 55 dans un deuxième crantage 57 de la périphérie de la came 51, l'ergot 48 occupe une position intermédiaire entre les deux extremites de la lumiere oblongue 49 de la biellette 50, cette lumière étant o rientée suivant la direction générale de la biellette, et le ressort 46 applique le patin 43 élastiquement contre la périphérie interieure cylindrique de la jupe 11 de la table 4; cette position correspond à un freinage doux de la table 4.
Enfin, dans une troisième position correspondant à la poursuite de la rotation de la poignée mode la came 51 dans le sens de la flèche 56 autour de l' axe 52, le galet 55 s'engage dans un troisième crantage 58 de la périphérie de la came 51 et l'ergot 48 est en contact avec l'extrémité de la lumiere 49 la plus éloignée de l'axe 53, la biellette 50 appliquant au levier 42 une traction se traduisant par une application ferme du patin 43 contre la périphérie intérieure cylindrique de la jupe 11 de la table 4, ce qui se traduit par l'immobilisation totale de celle-ci en rotation autour de son axe 7.
Des moyens appropriés 59 sont prévus pour permettre un réglage de la longueur de la biellette 50 de telle sorte qu'à chacune des trois positions crantées de la came 51 corresponde effectivement l'une des positions du patin 43 définies ci-dessus; on a schématise par une fleche 60, à la figure 2, le mouvement du patin 43 accompagnant la rotation de la came 51 dans le sens de la flèche 56.
Naturellement, on pourrait envisager d'autres modes de réalisation des moyens de freinage de la table 4 sans sortir pour autant du cadre de l'invention, de même que l'on pourrait prévoir une adpatation de celle-ci aux différentes formes et dimensions de raquettes par des moyens autres que ceux qui ont été décrits.
Outre les moyens de freinage 39, la figure 2 montre des moyens préféres pour imprimer atxmoyetxd'ancrage 37, conformément a l'invention, un mouvement de translation sensiblement parallèlement au plan moyen de la raquette immobilisee sur les deux demi -berceaux 15 et 16, ce mouvement se traduisant par la mise en tension d'un tronçon du boyau.
Selon le mode de réalisation particulierement simple illustré, ces moyens comportent un moteur électrique 69, dont l'arbre de sortie est en prise, le cas échéant par l'intermédiaire d'un jeu de pignons reducteurs 63, avec une vis 64 qu'il entraîne en rotation, a volonté dans un sens ou dans l'autre, autour de son axe horizontal 65 orienté suivant la direction de translation des moyens d'ancrage 37 souhaitée (cette direction est celle de la flèche 66 de la figure 1 et de la flèche 67 de la figure 2, ces flèches indiquant le sens de translation des moyens d'ancrage 37 correspondant à un accroissement de la tension du boyau).
Le filet de la vis 64 est en prise avec un écrou 68 quant a lui fixe en rotation par rapport au socle 6 de la machine, de telle sorte que la rotation de la vis 64 respectivement dans un sens ou dans l'autre se traduise par une translation de l'écrou 68 parallèlement à l'axe 65, respectivement dans un sens ou dans l'autre.
Cet écrou 68 est solidaire d'un chariot 69 guidé en translation parallèlement à l'axe 65 par rapport au socle 6, par exemple au moyen de deux glissières rectilignes, fixes, 70 et 71 parallèles à cet axe 65; les glissières 70 et 71 sont par exemple définies par des tringles rectilignes autour desquelles glissent des manchons complémentaires du chariot 69, lesquels sont avantageusement garnis intérieurement de tout matériau améliorant le glissement.
Vers le haut, le chariot 69 porte de façon solidaire un carter 72 portant lui-même les moyens d'ancrage 37; ce carter 72 traverse la paroi supérieure 44 du socle 6 via une lumière 73 oblongue selon une direction parallele à celle de l'axe 65, de façon à autoriser le déplacement de l'ensemble formé par le chariot 69 et le carter 72 suivant cette direction consécutivement à la rotation de la vis 64; avantageusement, la zone de la lumière 73 dégagée lorsque le carter 72 occupe une position déterminée est occultée par un volet coulissant le long de la paroi 44 solidairement avec le chariot 69.
Le carter 72 a pour double rôle de transmettre le mouvement de translation du chariot 69 aux moyens d'ancrage 37, et de protéger les moyens de comparaison de la tension instantanée du boyau à une tension prédéterminée réglable.
Ces moyens vont être décrits à présent,pl-us particulièrement en référence aux figures 4 à 6.
Dans l'exemple illustré, le carter 72 comporte deux joues verticales 74 et 75, parallèles entre elles et parallèles a la direction de deplacement du chariot 69 dont elles sont directement solidaires à travers la lumiere 73, et un couvercle 76 oté aux figures 4 et 5.
A leur partie supérieure, les deux joues 74 et 75 portent des paliers, respectivement 78 et 79, définissant un axe de rotation 77, horizontal et situé dans un plan perpendiculaire à la direction de déplacement du chariot 69, pour un arbre 80 pour l'essentiel cylindrique de révolution autour de cet axe 77.
Cet arbre 80 traverse la joue 74 de part en part, et porte dans sa zone située hors de l'intervale entre les deux joues les moyens 37 d'ancrage pour le boyau.
Ces moyens 37 sont conçus de telle sorte que la mise en tension du boyau par translation de l'ensemble 38 dans le sens de la fleche 66 tende , par reaction, à faire pivoter l'ensemble solidaire forme par ces moyens 37 et l'arbre 80 autour de l'axe 77, par rapport aux joues 74 et 75, dans le sens de la fleche 81 de la figure 5.
Par exemple, les moyens 37 sont constitués par une pince auto-serrante comportant une mâchoire 82 solidaire de l'axe 80 et une mâchoire 83 articulée sur la mâchoire 82, ces deux mâchoires definissant conjointement une périphérie 84 légèrement tronconique de révolution autour de l'axe 77 pour recevoir le boyau a enroulement et, entre elles, une fente 85 apte à recevoir un brin du boyau et à l'immobiliser par pincement, du fait que l'enroulement sur la périphérie 84 se traduit par un serrage des mâchoires.
Le long de sa génératrice supérieure , qui correspond à une zone de la mâchoire 82, la peripherie 84 porte deux têtons voisins 86 definissant entre eux une position précise de la zone du boyau 2 enroulée autour de la périphérie 84 pour assurer le serrage de la pince.
Entre les joues 74 et 75, ici dans sa zone la plus proche de la première de ces joues, l'arbre 80 porte vers le bas un méplat 87 contre lequel est soli darisée une extrémité 88 aplatie d'un ressort spiral 89, décrivant au moins une portion de spire autour de la périphérie cylindrique de l'arbre 80 et comportant une deuxieme extrémité plate 90 en butée contre la périphérie d'un galet 91 monté en rotation libre, autour de son axe 92, parallele à l'axe 77, sur la joue 74; le ressort 89, le méplat 87 et le galet 91 sont disposés de telle sorte que le ressort tende à appliquer à l'arbre 80 un rappel élastique en sens inverse du sens de la flèche 81 lorsque la mise en tension du boyau par déplacement de l'ensemble 38 dans le sens de la flèche 66 tend à provoquer une rotation conjointe des moyens d'ancrage 37 et de l'arbre 80 dans le sens de cette flèche 81.
Ainsi, il s'établit à chaque instant de la mise en tension du boyau,
entre l'effet de la tension instantanee de celui-ci et la réaction élastique du ressort spiral 89, un équilibre se traduisant par une rotation plus ou moins grande de l'arbre 80 dans le sens de la flèche 81, la valeur instantanée de cette rotation temoignant de la valeur instantanée de la tension du boyau.
Des moyens autres qu'un ressort spiral 89 pourraient être utilises pour imposer à l'arbre 80 une réaction a l'action du boyau mis sous tension, mais on notera qu'un ressort spiral tel que 89 présente l'avantage de se déformer linéairement en fonction d'un couple de rotation d'axe 77 qui lui est impose, ce qui signifie en d'autres termes, puisque l'effet de la tension du boyau et celui du ressort spiral 89 s'équilibreita chaque instant, que la valeur instantanee de la rotation des moyens d'ancrage 37 autour de l'axe 77 par rapport à une position correspondant à une tension nulle du boyau et à une tension nulle du ressort spiral 89 est une fonction linéaire de la valeur instantanee de la tension du boyau, ce qui facilite l'affichage de la tension prédéterminée à etablir dans celui-ci, comme il apparaîtra plus loin.
Pour limiter la valeur de la rotation des moyens d'ancrage 37 et de l'arbre 80 autour de leur axe commun 77 sont prévues, sur la joue 75, deux butées respectivement 93 vers l'amont compte tenu du sens de la flèche 81 et 94 vers l'aval compte tenu de ce sens; complémentairement, l'arbre 80 porte de façon solidaire, vers le bas, à proximite de la joue 75, un organe 95 dont un bord 96, orienté vers l'amont compte tenu du sens de la flèche 81, vient s'appliquer contre la butée 93 lorsque la tension du ressort est nulle, et dont un deuxième bord 97, orienté vers l'aval compte tenu du sens de la flèche 81, vient s'appliquer contre la butée 94 lorsque la tension du ressort spiral 89 est maximale, ce qui correspond à un maximum de tension applicable à un boyau au moyen de la machine selon l'invention, c'est-à-dire par exemple à un effort de trente kilos.
On notera que le débattement angulaire possible de l'arbre 80 et des organes qu'il porte de façon solidaire entre les butées 93 et 94 est faible, par exemple de l'ordre de quarartedegrés, et des moyens sont prevus pour amplifier de façon linéaire la rotation de l'arbre 80 afin d'en fournir une image significative et en outre d'offrir des possibilités de réglage plus précis de la tension du boyau, dont témoigne la rotation de l'arbre 80.
A cet effet, l'organe 95 est partiellement délimité, a sa partie inférieure, par un bord 98 de révolution autour de l'axe 77 et portant une denture d'engrenage, complémentaire de celle d'un pignon 99 monté à rotation sur la joue 75 autour d'un axe 100 parallèle à l'axe 77; la démultiplication entre l'organe 95 et le pignon 99 est importante, de telle façon que la rotation de l'organe 95 entre les deux butees 93 et 94 se traduise par une rotation du pignon 99 autour de l'axe 100 sur un angle aussi proche que possible de trois cent soixante degrés, dans un sens indiqué par la flèche 101 de la figure 5 lorsque l'arbre 80 tourne dans le sens de la flèche 81, l'organe 95 tournant naturellement dans le même sens que l'arbre 80 comme l'indique la flèche 102 de la figure 5.
A son extrémité la plus éloignée de la joue 75, approximativement à midistance des joues 74 et 75, le pignon 99 porte de façon solidaire un bras radial 103 dont le rayon est aussi grand que possible compte tenu de ses possibilités de rotation à l'intérieur du couvercle 76 de l'ensemble 38.
A son extrémité la plus éloignée du pignon 99, ce bras 103 porte vers la joue 74 un rebord 104 parallèle a l'axe 100 et, à l'extrémité de ce rebord 104 la plus proche de la joue 74, c'est-à-dire entre le bras 103 et cette joue 74, une plaquette 105 en retour vers l'axe 100, parallèlement au bras 103; cette plaquette 105 constitue un drapeau témoignant de la position instantanée du bras 103 en rotation autour de l'axe 100, c'est-à-dire de la position instantanée de l'arbre 80 autour de l'axe 77, c'est-à-dire également la tension instantanée du boyau 2.
Divers moyens peuvent être prévus pour détecter cette position instantanée de la plaquette 105, comme par exemple des détecteurs de proximité opto-électroniques, un jeu de deux bobines d'induction haute fréquence disposées de part et d'autre du passage obligé de la plaquette 105 lorsque le bras 103 tourne autour de l'axe 100, la plaquette 105 ou d'autres moyens équivalents étant alors conçue de la façon la plus appropriée en fonction de ces moyens de detection.
Dans l'exemple illustré où, comme il apparaîtra plus loin, on pratique une détection de la position instantanée de la plaquette 105 par rupture d'un champ magnétique, cette plaquette 105 est réalisée en un matériau apte à constituer un écran magnétique, c'est-à-dire en fer doux, le bras 103 etant quant à lui realisé en un matériau amagnétique. et
Les moyens de détection de la position de la plaquette 105 de réglage de la tension prédéterminée à établir dans le boyau vont à présent être décrits plus particulièrement en référence aux figures 4 et 6.
Ces moyens sont portés par la joue 74, sur laquelle ils sont montés à rotation autour d'un axe horizontal 106 coïncidant avec l'axe 100.
A cet effet, la joue 74 est traversée de part en part par un arbre 108 pour l'essentiel cylindrique de révolution autour de l'axe 106,/ectomporte pour faciliter la rotation de cet arbre 108 autour de l'axe 106 un palier 107.
A l'extérieur de l'espace séparant les joues 74 et 75, l'arbre 108 porte de façon solidaire un bouton gradué 109 permettant d'afficher, face à un repere 110 apposé sur la joue 74, la tension que l'on désire imposer au boyau (voir également la figure 1).
La position du bouton 109 illustrée aux figures 4 à 6 correspond à l'affichage d'une valeur nulle de cette tension.
Entre les deux joues 74 et 75, l'arbre 108 porte par ailleurs de façon solidaire un disque radial 111, situé entre la joue 74 et le passage obligé de la plaquette 105 lors de sa rotation autour de l'axe 100, les rayons respectifs du disque 111 autour de l'axe 106 et du bras 103 autour de l'axe 100 étant sensiblement voisins.
A proximité de sa peripherie, en regard du passage obligé de la plaquette 105 lors de sa rotation autour de l'axe 100 et dans une position en regard de cette plaquette 105 lorsque la tension prédéterminée affichée au moyen du bouton 109 est nulle et lorsque la tension du boyau l'est egalement, c'est-à-dire lorsque l'organe 95 est au contact de la butée 93 (position illustrée), le disque 111 porte un interrupteur à lame souple 112 pilotant le fonctionnement du moteur 62, en fermant le circuit d'alimentation de celui-ci en électricité lorsqu'il est soumis à l'action d'un champ magnétique appliqué en regard de la face du disque 111 sur laquelle il est fixé, pour provoquer le fonctionnement du moteur 62 dans le sens d'un entraînement du chariot 68 dans le sens de la fleche 67, et pour ouvrir ce circuit et arrêter aussi instantanément que possible le moteur 62 lorsque l'action du champ magnétique cesse.
Ce champ magnétique est applique à l'interrupteur à lame souple 112, lorsque la plaquette 105 n'est pas située en regard de celui-ci, par un aimant permanent 113 porté par un bras 114 radial par rapport à l'axe 106, et situé
entre les passages obligés respectifs de la plaquette 105 et du bras 103 lors
de la rotation de ce dernier autour de l'axe 100.
Le bras 114 est monté à rotation autour de l'axe 106 par rapport à l'ar
bre 108, mais il est rappelé élastiquement par un ressort 115, en sens inverse
du sens d'une flèche 116 correspondant à la rotation de l'ensemble solidaire dis
que 111-bouton 109 dans le sens d'un affichage de tension croissante, cette fle-
che 116 étant dans le même sens que la flèche 101, contre une butée 117 réglable
de façon que, lorsque le bras 114 est au contact de cette butée 117 sous l'action
du ressort 115, l'aimant 113 soit placé directement en regard de l'interrupteur
à lame souple 112.
Ainsi, la mise en tension d'un tronçon du boyau 2 correspondant par
exemple à un montant, comme il est illustré à la figure 1, s'effectue de la
façon suivante, le boyau étant solidaire du cadre de la raquette dans sa zone la
plus éloignée des moyens d'ancrage 37, suivant les cas de façon définitive par
exemple par nouage ou de façon provisoire au moyen d'une pince volante ou d'une
pince 118 intégrée à la machine comme il sera décrit plus loin, et libre de cou
lisser par rapport au cadre de la raquette dans sa zone la plus proche des moyens d'ancrage 37.
Dans un premier temps, le moteur 62 étant à l'arrêt dans une position de la vis 64 ou le zen chariot 69 de l'ensemble 38 de mise en tension est au plus près de la table 4, on fixe sur les moyens d'ancrage 37 une zone du boyau située à l'ex
térieur du cadre de la raquette, dans l'exemple illustre en enroulant cette zone
sur quelques tours autour de la périphérie 84 des moyens d'ancrage 37 puis en
engageant une zone du boyau voisine de sa zone enroulée entre les deux mâchoires
82 et 83 ou elle se trouve immobilisee par serrage du fait de l'enroulement.
On affiche alors au moyen du bouton 109 la tension à appliquer au tronçon
du boyau envisagé , dans le cas de l'exemple préféré illustré par rotation du
bouton 109 dans le sens de la flèche 116 selon un angle proportionnel à la ten
sion à établir, par rapport à la position de ce bouton correspondant à l'affi
chage d'une tension nulle.
Ceci a pour effet de déplacer du même angle, conjointement, l'interrup
teur à lame souple 112 et l'aimant 113 qui, initialement séparés par la plaquette
105 du fait de la tension nulle du boyau, se trouvent dégagés de cette plaquette
105, l'aimant 113 provoquant alors la fermeture de l'interrupteur à lame souple
112 dans le circuit d'alimentation du moteur 62 en électricité.
L'opérateur met alors en route le moteur 62, par fermeture d'un inter
rupteur 130 également intercalé dans le circuit d'alimentation de celui-ci, pour
provoquer un déplacement du chariot 69 dans le sens de la flèche 67, et conjoin
tement un déplacement de l'ensemble de mise en tension 38, y compris les moyens d'ancrage 37, dans le sens de la fleche 66.
Ce déplacement, compte tenu de l'ancrage énergique du boyau sur les moyens 37 et de l'aptitude de ces derniers à tourner autour de l'axe 77 en tendant le ressort spiral 89, s'accompagne d'une mise en tension progressive du tronçon de et boyau, simultanément, d'une rotation de l'arbre 80 et des différents éléments qui en sont solidaires, suivant une fonction linéaire de cette tension dans l'exemple illustré du fait de la nature du ressort 89.
En particulier, cette rotation, qui s'effectue dans le sens de la flèche 81, s'accompagne d'une rotation du bras 103 et de la plaquette 105 dans le sens de la fleche 101, si bien que la plaquette 105 se rapproche progressivement de l'interrupteur à lame souple 112 et de l'aimant 113 toujours placés en regard l'un de l'autre, puis, lorsque la tension affichée au moyen du bouton 109 est atteinte, vient s'intercaler entre ces éléments 112 et 113, ce qui provoque d'une part l'ouverture du circuit d'alimentation du moteur 62 en électricité, et d'autre part, par un système de relais de préférence électroniques dont la réalisation est du domaine des connaissances de l'Homme de l'Art, un freinage brutal de ce moteur 62, pour arrêter brutalement le mouvement de translation du chariot 69, de l'ensemble de mise en tension 38, et des moyens d'ancrage 37, c'est-à-dire pour figer le tronçon de boyau dans l'état de tension recherché; le freinage brutal du moteur 62 peut être par exemple assuré, si l'on utilise un moteur 62 à courant alternatif, par injection brutale d'une tension continue dans les enroulements de ce moteur, d'autres moyens pouvant naturellement être envisagés sans que l'on sorte pour autant du cadre de l'invention.
Généralement, après cette mise en tension initiale, le boyau se détend alors que l'ensemble 38 reste immobile, ce qui se traduit par une rotation de l'arbre 80 et des éléments qui en sont solidaires, autour de l'axe 77, en sens inverse de l'axe 81; cette rotation aboutit à degager l'interrupteur à lame souple 112 et l'aimant 113 de l'action de la plaquette 105, ce qui remet le moteur 62 en route pour entraîner le chariot 69 dans le sens de la flèche 67, et l'ensemble de mise en tension dans le sens de la fleche 66, jusqu'à ce que la tension affichée soit à nouveau atteinte, la plaquette 105 s'interposant alors à nouveau entre les éléments 112 et 113 pour provoquer l'arrêt brutal du moteur 62; ce processus peut se répeter de façon automatique; lorsqu'il s'écoule un temps long entre deux remises en route successives du moteur 62, on considère que la tension du tronçon de boyau est stabilisée; on immobilise alors par rapport au cadre la zone de ce tronçon initialement montée à coulissement par rapport à celui-ci, par exemple au moyen d'une pince volante ou de la pince 118 qui sera decrite plus loin, puis on détache le boyau des moyens d'ancrage 37 et on l'engage à coulissement dans une autre zone du cadre de la raquette, par exemple pour définir le montant suivant ou le travers suivant, et l'on répète l'opération, après avoir provoqué manuellement le retour de l'ensemble 69-38 à-'sa position initiale.
Divers moyens peuvent être utilisés pour assurer l'immobilisation provi soire d'une zone du boyau par rapport au cadre de la raquette, mais on a repre senté à la figure 1 un système de pince tout spécialement adapté aux possibilités de réglage des deux demi - berceaux 15 et 16 en fonction d'une gamme très étendue de formes et de dimensions de cadres de raquettes.
Ce sytème de pince 118 comporte une pince proprement dite 119, connue en elle-même, libre à coulissement vertical et en rotation dans un manchon vertical 120 qui, selon l'invention, peut être amene puis immobilise extrêmement rapidement dans une position quelconque sur la table 4.
A cet effet, le manchon 120 est porté de façon solidaire par une embase 121 susceptible de coulisser radialement par rapport à l'axe 7, sur la face supérieure 8 de la table 4, le long d'un organe radial 122 quant à lui libre de pivoter autour de l'axe 7; par exemple, l'organe 122 comporte, disposées symétri- rPnPivPmPn. quemeht7de~påPt-et~d'autre de sa direction moyenne orientée radialement par rapport à l'axe 7, deux tringles parallèles, horizontales, 123 et 124 le long desquelles peuvent coulisser librement deux manchons paralleles aménages complé- mentairement dans l'embase 121, de préférence avec intercalation de tout moyen facilitant le glissement.
Les deux tringles 123 et 124 sont reliées de façon solidaire d'une part à proximite de l'axe 7 par une pièce 125 montée à rotation libre autour de cet axe, par rapport à la table 4, mais immobilisée en translation le long de cet axe, et d'autre part à proximite de la périphérie 10 de la table 4 par une pièce 126 chevauchant cette périphérie et comportant, sous le rebord défini sur la to talité de la périphérie de la table 4 par la zone de la face 9 de celle-ci située à l'extérieur de la jupe 11, deux griffes 127 et 128 immobilisant cette pièce en translation parallèlement à l'axe 7 tout en autorisant sa translation le long de la totalité de la périphérie 10 de la table 4, totalement dégagée à cet effet comme il a été dit plus haut, par rotation de l'ensemble de l'organe 122 autour de l'axe 7.
Il est ainsi possible d'amener la pince proprement dite 119 à l'aplomb d'une zone quelconque de la table 4 par rotation de l'organe 122 autour de l'axe 7 et coulissement de l'embase 121 le long des tringles 123 et 124.
L'immobilisation dans la position requise est assurée en une seule opération, au moyen d'un patin disposé sous l'embase 121 et qu'un levier 129 permet de presser à volonté contre la face supérieure 8 de la table 4, l'organe 125 et les griffes 127 et 128 empêchant l'embase 121 de s'ecarter de cette face 8.
Naturellement, de nombreux autres systèmes de pince pourraient être utilisés sans que l'on sorte pour autant du cadre de l'invention.
De même, de façon générale, on pourrait envisager de nombreuses variantes de réalisation de la machine, par rapport au mode de réalisation décrit et repré senté, sans sortir pour autant du cadre de l'invention.
On pourrait notamment prévoir un mode de réalisation différent des moyens de comparaison de la tension appliquée par le boyau aux moyens d'ancrage 37,lui imposant une traction par leur translation, avec la tension prédéterminée à établir, et des moyens en rapport d'affichage de cette tension prédéterminée.
En outre, on peut prévoir diverses dispositions accessoires tendant à accroître notamment la sécurité d'emploi de la machine.
Ces dispositions accessoires comportent par exemple des interrupteurs de fin de course, prévus dans l'exemple illustre pour detecter les positions extrêmes du chariot 69 et provoquer une commutation automatique du sens de rotation du moteur 62 lorsque l'un des fins de course est actionné.
La réalisation des circuits correspondants est du domaine des connaissances de l'Homme de l'Art.
On a en outre illustré, aux figures 4 et 6 notamment, un dispositif de sécurité évitant qu'une fausse manoeuvre manuelle de l'opérateur puisse entrainer un dépassement de la tension affichee au moyen du bouton 109.
A cet effet sont prévus des moyens tels qu'un dépassement par la plaquette 105, lors de sa rotation dans le sens de la flèche 101, de la position ou elle est interposée entre l'aimant 113 et l'interrupteur à lame souple 112 ne provoque pas une remise en route du moteur 62 dans le sens des tensions croissantes.
A cet effet, comme il a ete dit plus haut, le bras 114 portant l'aimant 113 n'est pas directement solidaire du disque 111 portant l'interrupteur à lame souple 112, mais il est ramené élastiquement par un ressort 115 contre une butée 117 disposee de façon à placer en regard l'un de l'autre l'aimant 113 et l'interrupteur à lame souple 112; complementairement, le bras 103 porte en saillie la joue 74, vers l'amont compte tenu du sens de la flèche 101, une butee 131 dont le passage oblige coupe celui du bras 114, de telle sorte que le dépassement par la plaquette 105 de la position où elle est intercalée entre les éléments 112 et 113 s'accompagne d'une mise en contact de la butée 131 etdu bras 114, et de l'entraînement de ce bras 114 par le bras 103 avec mise en tension du ressort 115; ainsi, le fait que la plaquette 105 ne soit plus placée en regard de l'écran 112 quant à lui immobile lors de ce depassement n'entraîne pas la soumission à nouveau de cet interrupteur 112 à l'action du champ magnetique de l'aimant 113, et n entraîne pas une remise en route du moteur 62; la rotation peut se poursuivre jusqu'à l'entrée en service des interrupteurs de fin de course évoqués plus haut, qui provoquent l'arrêt automatique du moteur ou sa rotation en sens inverse pour ramener le chariot 69 et l'ensemble 38 à leur position la plus proche de la table 4; lors de la rotation du bras 103 en sens inverse du sens de la flèche 101 accompagnant la décroissance de la tension du boyau, le ressort 115 ramene le bras 114 jusqu'à sa position en contact avec la butée 117, c'est-à-dire jusqu'à sa position où l'élément 113 qu'il porte est en regard de l'interrupteur à lame souple 112, ce qui ramène le système à son etat d'origine.

Claims (13)

REVENDICATIONS
1. Machine à corder les raquettes, comportant un berceau susceptible d'immobiliser le cadre de la raquette et des moyens de mise en tension d'un boyau immobilise dans une zone du cadre et libre à coulissement dans une deuxième zone de celui-ci, par traction sur une zone du boyau située au-del de la deuxième zone par rapport à la premiere, caractérisée en ce que les moyens de mise en tension comportent - un chariot extérieur au berceau et comportant des moyens d'ancrage de ladite zone du boyau, - des moyens pour guider et déplacer le chariot en translation dans le sens d'un éloignement ou d'un rapprochement par rapport au berceau, pour appliquer une traction au boyau, - des moyens pour comparer à chaque instant la tension instantanée du boyau à une tension prédéterminée à établir, et pour autoriser ledit deplacement du chariot dans le sens d'un éloignement tant que la tension instantanée du boyau est inférieure à la tension prédéterminée, et pour immobiliser le chariot quand ces tensions sont égales.
2. Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que les moyens pour guider et déplacer le chariot comportent des moyens de guidage suivant une direction rectiligne, et des moyens d'entraînement à vis suivant ladite direction.
3. Machine selon l'une quelconque des revendications précédentes, carac terisée en ce que les moyens pour comparer à chaque instant la tension instantanée du boyau à la tension prédéterminée comportent - un organe de liaison des moyens d'ancrage avec le chariot, ledit organe étant mobile par rapport au chariot en rotation autour d'un axe perpendiculaire à la direction de translation et tendant à pivoter autour de cet axe lors du deplacement du chariot dans le sens d'un éloignement par rapport au berceau, sous 1 'ac- tion du boyau ainsi mis en tension, - des moyens tendant à s'opposer élastiquement à ladite rotation, - des moyens pour comparer la position angulaire instantanée de l'organe de liaison avec une position angulaire prédéterminée correspondant à l'application à l'organe de liaison, respectivement par le boyau par l'intermédiaire des moyens d'ancrage et par les moyens pour s'opposer élastiquement à la rbtation de l'organe de liaison, d'efforts antagonistes prédéterminés.
4. Machine selon la revendication 3, caractérisée en ce que les moyens pour s'opposer élastiquement à la rotation de l'organe de liaison sont choisis tels qu'ils appliquent à celui-ci une réaction d'intensité proportionnelle à son angle de rotation.
5. Machine selon la revendication 4, caractérisée en ce que les moyens pour s'opposer élastiquement à la rotation de l'organe de liaison comportent un ressort spiral enroulé autour dudit axe de l'organe de liaison, et comportant deux extrémités dont l'une est solidaire de l'organe de liaison et dont l'autre prend appui sur un point fixe du chariot.
6. Machine selon l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisée en ce que les moyens pour comparer la position angulaire instantanée de l'organe de liai-son avec une position angulaire prédéterminée comportent un doigt solidaire en rotation de l'organe de liaison, et des moyens pour repérer le passage du doigt dans ladite position angulaire prédéterminée.
7. Machine selon la revendication 6, caractérisée en ce que le doigt est solidaire en rotation de l'organe de liaison par l'intermédiaire de moyens amplifiant le déplacement de ce dernier en rotation.
8. Machine selon l'une quelconque des revendications 6 et 7, caractérisée en ce que les moyens de repérage comportent dans ladite position angulaire prédéterminée, face à face respectivement de part et d'autre du passage oblige du doigt lors de sa rotation, un aimant et un interrupteur à lame souple pilotant le déplacement du chariot dans le sens d'un éloignement par rapport au berceau de façon à autoriser ce déplacement lorsqu'il est soumis à l'action du champ magnétique de l'aimant et à l'interrompre lorsqu'il n'est plus soumis à cette action, et en ce que le doigt comporte un ecran magnétique apte à isoler l'interrupteur à lame souple et l'aimant lorsque le doigt occupe ladite position angulaire prédéterminée.
9. Machine selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens de réglage de ladite tension prédéter- minée.
10. Machine selon la revendication 9 et l'une quelconque des revendications 6 à 9, caractérisée en ce que les moyens de réglage de la tension prédéterminée comportent des moyens de réglage de la position des moyens de repérage le long du passage obligé du doigt.
11. Machine selon l'une quelconque des revendications précédentes, comportant un berceau subdivisé en deux demi-berceaux coplanaires, des moyens pour éloigner ou rapprocher à volonte les deux demi-berceaux en les maintenant coplanaires, et des moyens pour les immobiliser dans la position relative voulue, caractérisée en ce que les moyens pour éloigner ou rapprocher à volonté les demi-berceaux en les maintenant coplanaires comportent deux supports solidaires respectivement pour l'un et l'autre demi-berceaux, le support de l'un au moins des demi-berceaux et le demi-berceau correspondant portant respectivement une rainure et une nervure en queue d'aronde, complémentaires, orientees suivant une direction allant d'un demi-berceau à l'autre, suivant une direction parallèle au plan commun des deux demi-berceaux, en ce que ledit support portant la rainure en queue d'aronde constitue une pince présentant deux mâchoires dont chacune correspond à un flanc de la rainure, et en ce que les moyens pour immobiliser le demi-berceau correspondant comportent des moyens pour tendre à rapprocher à volonté les deux mâchoires.
12. Machine selon l'une quelconque des revendications précédentes, comportant des moyens pour amener et immobiliser à volonté à proximité de toute zone du cadre de la raquette, à l'intérieur de celui-ci, une pince d'immobilisation provisoire du boyau en tension, caractérisée en ce que ces moyens comportent une table solidaire du berceau et parallele à celui-ci, un organe rotatif monté à rotation libre contre cette table autour d'un axe perpendiculaire à celle-ci, de façon à décrire la zone de la table située à l'aplomb du berceau, un organe porte pince monté à coulissement radial le long de cet organe pivotant, sur la table, et des moyens pour immobiliser à volonté ledit organe porte pince par rapport à la table.
13. Machine selon la revendication 12, caractérisée en ce que les moyens pour immobiliser à volonté l'organe porte pince par rapport à la table comportent des moyens s'opposant à un éloignement de l'organe pivotant par rapport à la table, et, sur l'organe porte pince, des moyens pour appliquer une pression sur cette table.
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