FR2638148A1 - Traceur de courbes a action progressive comportant un frein pour un rouleau debiteur de papier - Google Patents

Abstract

Ce dispositif comporte un frein à friction 200 associé à un rouleau débiteur de papier et comprend un arbre 208 porté par une plaque 64 portant un élément de tourillonnage 234 bloqué en rotation, sur une extrémité du rouleau, un élément de sollicitation en sens inverse 231, un élément de friction 230 porté par l'arbre entre les éléments 234, 230 et établissant une liaison d'entraînement par frottement entre ces éléments par l'intermédiaire de surfaces de frottement pouvant être repoussées l'une contre l'autre par des moyens 220, 222, 224, et des moyens 242 s'opposant élastiquement à une rotation de l'élément 231 dans un sens à partir d'une position neutre déterminée. Application notamment aux traceurs de courbes utilisés dans l'industrie du vêtement.

Description

La présente invention concerne un traceur de

courbes ou un dispositif semblable. dans lequel un maté-

riau en forme de feuille délivré par un rouleau débiteur est déplacé sur une surface de support, et des figures, des caractères et d'autres graphiques sont tracés segment par segment sur le matériau en forme de feuille au moyen d'un instrument de traçage lorsque le matériau en forme de feuille est avancé de façon intermittente, morceau par

morceau, sur la surface de support, et concerne plus.par-

ticulièrement un agencement simple incluant un frein pour

le rouleau débiteur, qui garantit un positionnement pré-

cis du matériau en forme de feuille à la fin d'une

avance, et le maintien de cette position jusqu'au démar-

rage de l'avance suivante, de manière à garantir une adaptation précise du segment de dessin tracé sur chaque morceau de matériau en forme de feuille avec les segments du dessin tracés sur des morceaux voisins du matériau en

forme de feuille.

Dans le traceur de courbes de la demande de brevet déposée en France en date du 12.5.89 sous le N*89 06 276, le papier est tiré du rouleau récepteur par un moto-réducteur, qui entraîne un rouleau débiteur du papier. Un disque de détection des déplacements vient en contact avec le papier et se déplace avec le papier, et

son mouvement de rotation est détecté, de manière à four-

nir une indication du déplacement du papier. Au cours d'un mouvement d'avance, lorsque le disque indique que l'avance est presque terminée, la vitesse du moteur de renvidage est ralentie, puis lorsque le disque indique que l'avancement est complet, le moteur de renvidage est arrêté. Pour avoir une bonne adaptation du tracé segment

par segment, au moment o le moteur de renvidage est ar-

rêté, le déplacement du papier doit également s'arrêter et sa position par rapport à la surface de support à cet instant doit être également maintenue jusqu'au démarrage

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de l'avance suivante.

Dans le brevet déposé en France sous le

N 89 06 276, on décrit l'utilisation d'un disque de fric-

tion s'appliquant sur une extrémité du rouleau débiteur et servant à appliquer une force s'opposant au déroule- ment du papier à partir du rouleau débiteur, de sorte que le papier est maintenu en tension lorsqu'il est tiré du

rouleau débiteur et que ce rouleau débiteur s'arrête im-

médiatement sans dépassement de course lorsque le moteur de renvidage s'arrête. Lorsque le moteur de renvidage s'arrête, une certaine quantité d'énergie est stockée

comme dans un ressort entre le rotor du moteur de renvi-

dage et le segment de papier situé sur la surface de sup-

port. Dans de bonnes conditions, la force de frottement appliquée au rouleau débiteur s'oppose à cette énergie stockée de sorte que le morceau de papier présent entre les rouleaux reste fixe et tendu. Cependant, si la force

de frottement appliquée au rouleau débiteur est initiale-

ment trop faible ou bien si une telle force de frottement imaginée initialement comme étant suffisante, disparaît, comme par exemple sous l'effet de vibrations du traceur

de courbes, l'énergie stockée peut agir de manière à ti-

rer une faible longueur additionnelle du papier du rou-

leau débiteur et de ce fait décaler le papier sur une faible distance par rapport à la surface de support en l'amenant à perdre sa position déterminée préalablement

de façon précise.

En particulier, on a trouvé que l'efficacité du

disque de friction du brevet français mentionné précédem-

ment est basée sur le fait que les bords latéraux du pa-

pier enroulé du rouleau débiteur peuvent être alignés, à un degré conséquent, l'un sur l'autre de manière à former

une surface d'extrémité uniformément plane pour le rou-

leau. Mais, des rouleaux de papier bobinés commerciale-

ment ne présentent souvent pas des surfaces d'extrémité

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parfaitement plates. C'est pourquoi, la force de friction

désirée ne peut jamais apparaître st en outre, si la sur-

face d'extrémité du rouleau est momentanément décalée par rapport au disque de friction, par suite de vibrations du traceur de courbes, la force de frottement peut être par-

tiellement ou entièrement supprimée.

C'est pourquoi, un but de la présente invention est de prévoir, dans un traceur de courbes, des moyens tels que mentionnés précédemment, à l'aide desquels un papier ou un matériau semblable en forme de feuille peut

être tiré du rouleau débiteur sous tension, indépendam-

ment de l'existence d'une surface d'extrémité parfaite-

ment plane du rouleau, et grâce auquel, à la fin d'une avance, le déplacement du matériau en forme de feuille est arrêté en même temps que se produit l'arrêt du moteur de renvidage et sa position est maintenue fixe jusqu'au

démarrage de l'avance immédiatement suivante, à l'encon-

tre de la force produite par l'énergie stockée entre le papier situé sur la surface du support et le moteur de renvidage, cette énergie stockée maintenant à l'état tendu le morceau de papier présent entre les deux rouleaux. Un autre but de la présente invention est de fournir un frein à friction possédant un agencement simple pour son utilisation avec le rouleau débiteur et qui, en coopération avec les autres parties du traceur de

courbes, applique une force de sollicitation en sens in-

verse au rouleau débiteur de 'manière que le papier soit tiré du rouleau débiteur sous tension, et qui, à la fin d'un mouvement d'avance, continue à appliquer au rouleau débiteur une sollicitation en sens inverse suffisante pour maintenir le papier fixe et tendu à l'encontre des forces élastiques stockées dans le train d'entraînement présent entre le papier situé sur la surface de support

et le rotor du moteur de renvidage.

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L'invention concerne un traceur de courbes com-

portant un rouleau débiteur de papier et un rouleau ré-

cepteur de papier et des moyens pour faire avancer de fa-

çon précise le papier du rouleau débiteur en direction du rouleau récepteur, en le faisant circuler sur une surface de support et ce selon un mode segment par segment. Un moteur de renvidage entraîne le rouleau récepteur. Un capteur détecte le déplacement du papier par rapport à la surface de support au cours d'une avance. A la fin de l'avance, c'est-àdire lorsqu'une distance prédéterminée

de déplacement du papier est détectée, le moteur de ren-

vidage est arrêté. Un frein applique une force-de retar-

dement ou une sollicitation en sens inverse au rouleau débiteur pendant l'avance. A la fin de l'avance, à partir de l'instant o le moteur de renvidage est arrêté, le frein continue également à appliquer une sollicitation en sens opposé au rouleau débiteur de manière à maintenir le papier à l'état tendu et fixe par rapport à la surface de

support, jusqu'au démarrage de l'avance suivante.

L'invention réside également dans le fait que le frein est un frein à friction constitué par un arbre supporté par le cadre du traceur de courbes et dont l'axe

longitudinal est aligné avec l'axe du rouleau débiteur.

Un élément de tourillonnage est supporté par l'arbre au voisinage de l'extrémité voisine du rouleau débiteur et est raccordé de façon amovible à une broche fixée dans le

mandrin du rouleau débiteur de manière à supporter radia-

lement l'extrémité voisine du rouleau débiteur et à l'en-

traîner en rotation avec lui. Un élément de sollicitation

en sens inverse est supporté, avec possibilité de rota-

tion, sur l'arbre et possède une partie de tête entourant l'arbre et une partie formant bras s'étendant radlalement vers l'extérieur. Un couple de surfaces de friction aptes

à engrener réciproquement et disposées dans un plan per-

pendiculaire à l'arbre sont situées entre l'élément de

sollicitation en sens inverse et l'élément de tourillon-

nage, et des moyens appliquant une pression réglable sont prévus pour repousser les deux surfaces de friction pour les amener à engrener réciproquement. Les surfaces de friction sont en outre agencées de manière que, pendant une rotation du rouleau débiteur, une surface est fixée à et tourne avec le rouleau débiteur et l'autre surface de friction est fixée à l'élément de sollicitation en sens

inverse. L'élément de sollicitation en sens inverse pos-

sède une position neutre autour de l'axe de l'arbre et est sollicité par un ressort de manière à être écarté élastiquement d'une telle position neutre dans le sens d'une rotation de déroulement de la bobine débitrice. Le déplacement de l'élément de sollicitation en sens inverse dans le sens de déroulement de la bobine débitrice est limité par une butée. Par conséquent, pendant une avance du papier, l'élément de sollicitation en sens inverse se

déplace tout d'abord avec le rouleau jusque dans sa posi-

tion limitée, s'il ne se trouve pas déjà dans une telle position limitée, et pendant un tel déplacement, la force du ressort de sollicitation s'oppose élastiquement à un tel déplacement et applique une force de sollicitation en

sens inverse au rouleau débiteur. Une fois que la posi-

tion limite est atteinte, les deux surfaces de friction se déplace l'une par rapport à l'autre et produisent une force de frottement continuant à appliquer un couple de sollicitation en sens inverse au rouleau.débiteur. A la fin d'une avance et aussitôt après l'arrêt du moteur de renvidage, la sollicitation du ressort appliquée à

l'élément de sollicitation applique à nouveau une solli-

citation en sens inverse au rouleau débiteur.

D'autres caractéristiques et avantages de la

présente invention ressortiront de la description donnée

ci-après prise en référence aux dessins annexés, sur les-

quels:

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- la figure 1 représente une vue en perspective du traceur de courbes utilisant le frein à friction conforme à la présente invention, représenté selon une vue partiellement arrachée; - la figure 2 représente une vue en plan du traceur de courbes de la figure 1, dont les capots d'extrémité ont été retirés;

- la figure 3 représente une vue en coupe ver-

ticale partielle prise suivant la ligne 3-3 sur la figure 2 et montrant les moyens de support et d'entraînement prévus pour le rouleau récepteur du matériau en forme de feuille;

- la figure 4 représente une vue en coupe ver-

ticale partielle prise suivant la ligne 4-4 sur la figure 2 et montrant le frein à friction conforme à la présente

invention en association avec le rouleau débiteur du ma-

tériau en forme de feuille;

- la figure 5 représente une vue en coupe ver-

ticale prise suivant la ligne 5-5 sur la figure 4 et re-

présente, au moyen des lignes en trait mixte, le fonc-

tionnement du frein à friction-conforme à la présente in-

vention; et - la figure 6 représente une vue schématique

d'une autre forme de réalisation de l'invention.

En se référant aux dessins, tout d'abord aux figures 1 et 2, on y voit représenté un traceur de

courbes à action progressive, conforme à l'invention, dé-

signé d'une manière générale par la référence 16. Il est constitué fondamentalement par une table 18 comportant une structure de base appropriée 20 et une surface de support 22 tournée vers le haut, deux rails de guidage parallèles 24, un chariot allongé 26 déplaçable le long des rails de guidage 24 dans la direction de coordonnées Y représentée, et un chariot porte-style 28 déplaçable le

long du chariot 26, déplaçable suivant Y, dans la direc-

tion de coordonnées X représentée. Sur la figure 1, le

traceur de courbes est représenté dans l'état o des par-

ties de l'un des deux capots d'extrémité 27 et du rail de

guidage 24 ont été retirées pour montrer le positionne-

ment du rouleau débiteur par rapport à la surface de sup-

port 22 de manière à illustrer plus clairement l'inven-

tion. Comme cela est mieux visible sur la figure 2,

la table 18 comprend, sur son côté droit, des moyens ser-

vant à supporter de façon amovible un rouleau débiteur de papier 30, de manière qu'il puisse tourner autour de son axe central 31, et comporte également des moyens situés

au voisinage de son côté gauche et permettant de sup-

porter de façon amovible un rouleau récepteur de papier 32, de manière qu'il puisse tourner autour de son axe central 33. Le papier 34 déroulé du rouleau débiteur 30 est guidé sur la surface de support 22 et s'enroule sur le rouleau récepteur 32, comme cela sera expliqué plus loin de façon plus détaillée. Un moteur 74 d'entraînement du papier fait tourner le rouleau récepteur 32 de manière que le papier s'enroule sur ce rouleau tout en tirant le

papier du rouleau débiteur et en le déplaçant dans la di-

rection 35, qui est parallèle à l'axe longitudinal du pa-

pier. Une section de longueur du papier est supportée par la surface de support 22, et un style 36 porté par le

chariot porte-style 28 peut y tracer un dessin.

Le traceur de courbes 16 est particulièrement adapté pour la réalisation de longs dessins comme par exemple des marquages pour l'industrie du vêtement, même

si la zone de traçage possède, dans la direction en lon-

gueur du dessin, une dimension habituellement plusieurs fois inférieure à la longueur du dessin. Par exemple, dans un cas donné, le papier 34 peut posséder une largeur de 2,03 cm et un dessin-reproduit sur le papier 34 peut posséder une longueur comprise entre 27,4 et 45,7 mètres

ou plus. La surface de support 22 possède une forme rec-

tangulaire et est définie par deux bords d'extrémité 38 et deux bords latéraux 40 possédant chacun un rayon de courbure relativement faible, par exemple inférieur à 2,54 cm et de préférence inférieur à 1,27 cm. La partie principale de la surface de support 22 est une zone de traçage définie par les courbes combinées de déplacement du style 36 dans les directions de coordonnées X et Y. Outre le fait d'être fixés par rapport à la

surface de support 22 et d'être perpendiculaires à la di-

rection 35 de déplacement du papier, les rails de guidage 24 sont séparés l'un de l'autre d'une distance inférieure à la largeur du papier 34 ou à la course de déplacement

du style parallèlement à l'axe de coordonnées Y. De pré-

férence, ils sont séparés l'un de l'autre par une distan-

ce d, qui est au moins inférieure à la moitié de la lar--

geur du papier 34 ou est plusieurs fois inférieure à cet-

te largeur. Par exemple, dans un cas spécifique, le pa-

pier 34 possède, comme cela a été mentionné, une largeur de 2,03 m. Entre les bords 38, la surface de support 22 possède une largeur égale à environ 2,16 m et, entre les bords latéraux 40, possède une longueur égale à environ 6,11 cm. Le style 36 possède une course de déplacement égale à 2,03 m dans la direction de coordonnées Y, qui

est égale à la largeur du papier 34, et une course de dé-

placement égale à 0,43 m dans la direction de coordonnées X, ce qui définit sur la surface de support 22 une zone de traçage correspondant à environ 0,43 x 2,03 mètres. La distance i entre les deux rails latéraux 24 est égale à environ 0,568 m, ce qui signifie que la distance d entre les rails de guidage est environ 3,5 fois inférieure à la largeur du papier 34 et à la zone associée de traçage de

la surface de support 22. Le chariot 26 déplaçable sui-

vant la direction Y est allongé de manière à s'étendre

entre les deux rails de guidage 24, mais le faible écar-

tement présent entre les rails de guidage signifie que l'on peut donner des dimensions relativement faibles et

un poids réduit à ce chariot, qui peut être aisément sup-

porté et guidé sur ses deux extrémités par les rails 24, tout en étant encore suffisamment résistants aux vibra-

tions et aux déformations, tout en évitant ainsi des er-

reurs de tracé. De façon analogue, le chariot porte-style

28 peut être également réalisé avec des dimensions rela-

tivement faibles et un poids réduit. La faible dimension et le poids réduits des chariots 26 et M28 permettent en

outre de les réaliser d'une manière relativement bon mar-

ché et de les entraîner avec des accélérations et des dé-

célérations admissibles à l'aide de moteurs bon marché,

possédant une alimentation en énergie relativement fai-

ble. On peut utiliser différents moyens pour guider et déplacer les chariots 26 et 28 respectivement dans les directions de coordonnées Y et X, sans sortir du cadre de l'invention. Par exemple, comme cela est indiqué sur la figure 2, les deux chariots peuvent être entraînés par

des dispositifs d'entraînement à câble, qui sont clas-

siques d'une manière générale et incluent un tambour à câble 44 d'entraînement suivant la direction Y, entraîné par un moteur 46 d'entraînement suivant la direction Y, et un tambour à câble 48 d'entraînement dans la direction X, entraîné par un moteur 50 d'entraînement suivant la direction X. Comme représenté sur la figure 2, une plaque d'extrémité 62 supporte une unité de commande 69 qui contient un processeur numérique, des servoamplificateurs et d'autres composants électroniques nécessaires pour la commande du traceur de courbes, l'unité 69 pouvant être raccordée à d'autres parties d'un système de marquage et

de gradation de patrons, assisté par ordinateur, ou ana-

logue par l'intermédiaire d'un câble 70. En particulier,

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des données définissant des dessins devant être créés par

le traceur de courbes lui sont envoyées par l'intermé-

diaire du câble 70. Ces données sont ensuite traitées par

le processeur et converties en des ordres envoyés ulté-

rieurement au moteur 46 de déplacement suivant la direc-

tion de coordonnées Y, au moteur 50 de déplacement sui-

vant la direction X et au moteur 74 d'entraînement du rouleau récepteur de manière à commander le déplacement

du style et du papier de manière à amener le style à tra-

cer, sur le papier, les dessins représentés par les don-

nées. En outre, une plaque d'extrémité 64 telle que re-

présentée sur la figure 2 comprend une console.72 suppor-

tant les tambours à câble 48 et 44 d'entraînement suivant les directions X et Y et les moteurs associés 50 et 46 d'entraînement suivant les directions de coordonnées X et

Y. La même plaque d'extrémité supporte également le mo-

teur 74 d'entraînement du papier, servant à entraîner le rouleau récepteur 32 comme cela sera expliqué ci-après de

façon plus détaillée.

Comme indiqué précédemment, le rouleau récep-

teur 32 est entraîné en rotation de manière à enrouler sur lui un papier et tirer le papier du rouleau débiteur , de manière à déplacer le papier dans la direction 35

sur la figure 2. Le papier est en outre déplacé d'une ma-

nière intermittente segment par segment au-dessus de la surface de support 22. C'est-à-dire qu'une fois qu'un segment d'un dessin est tracé sur la partie du papier portée par la surface de support 22, le rouleau récepteur est entraîné en rotation par le moteur d'entraînement 74 de manière à faire avancer à nouveau le segment de papier sur la surface de support, puis un nouveau segment du dessin est tracé sur le segment de papier. La longueur d'avancement du papier pendant chaque mouvement d'avance de ce type est mesurée et commandée par un capteur 75 de

déplacement du papier. Ce capteur peut prendre diffé-

il

rentes formes, mais de préférence est identique aux cap-

teurs de la demande de brevet français N'89 06 276 men-

tionnée précédemment. Ce capteur comporte un disque rota-

tif qui s'applique sur le papier et est entraîné par le papier lorsque ce dernier avance. Les moyens de détection

détectent alors le mouvement de rotation du disque de ma-

nière à fournir une indication du déplacement du papier.

Une longueur donnée de papier est préréglée en tant que longueur de papier devant être déplacée pendant chaque mouvement d'avance. Lors du démarrage de chaque mouvement

d'avance, le moteur 74 d'entraînement du papier est bran-

ché et tourne à une vitesse sensiblement constante sur la

majeure partie du mouvement d'avance. Lorsque le détec-

teur 75 détecte la proximité de la fin de l'avance, la vitesse du moteur 75 est réduite. Ensuite, lorsque le

capteur 75 détecte la fin de l'avance du papier, le mo-

teur 74 d'entraînement du papier est arrêté. Etant donné que le moteur d'entraînement est arrêté à l'instant o le capteur 75 indique la fin de l'avance, il est important d'avoir une adaptation correcte entre les segments du dessin de manière que le déplacement du papier sur la surface de support 22 s'arrête dès que le moteur d'entraînement 74 s'arrête et que la position relative du papier par rapport à la surface de support soit maintenue de façon fixe jusqu'au démarrage du déplacement d'avance immédiatement suivant. A cet effet, conformément à la présente invention et comme cela sera expliqué plus loin de façon plus détaillée, un frein est associé au rouleau débiteur, ce frein appliquant une force de retardement au

rouleau débiteur pendant une avance de manière à mainte-

nir tordu le papier présent entre le rouleau récepteur et le rouleau débiteur, ce frein appliquant, à la fin de l'avance, une force de sollicitation en sens inverse au

rouleau débiteur jusqu'à l'avance suivante, afin de main-

tenir le papier fixe sur la surface de support 22 et à l'état tendu, à l'encontre de forces développées par

l'énergie stockée à la manière d'un ressort entre le pa-

pier situé sur la surface de support et le rotor du mo-

teur d'entraînement 74.

Les moyens permettant de supporter et d'entraî-

ner d'une manière amovible et en rotation le rouleau ré-

cepteur 32 sont représentés sur la figure 3. En se réfé-

rant à cette figure, le rouleau récepteur 32 est, d'une

manière similaire au rouleau débiteur 30, du type compor-

tant un mandrin central tubulaire 104, sur lequel le pa-

pier 34 est enroulé. L'extrémité de gauche du rouleau est accouplée de façon amovible au moteur 74 d'entraînement du papier par un accouplement en deux éléments constitué

par une partie cylindrique 134 fixée à l'arbre d'entrai-

nement 136 du moteur, et par un bouchon extensible 138 fixé de façon amovible sur le tube 104 du rouleau. Le bouchon amovible 138 est inséré dans et fixé au mandrin

104 avant que le rouleau 32 ne soit chargé dans le tra-

ceur de courbes. Il est constitué de deux parties 140 et 142 possédant une structure de forme générale cylindrique

et entre lesquelles est logé uh corps annulaire compres-

sible 144 formé de néoprène ou analogue. La partie inté-

rieure 142 est supportée de manière à avoir un déplace-

ment axial par rapport à la partie extérieure 140, au moyen de deux vis 146, vissée dans la partie extérieure et traversant avec glissement la partie intérieure 142. Par conséquent, en faisant tourner la vis centrale 148, la partie intérieure 142 peut être rapprochée ou écartée de la partie extérieure de manière à comprimer ou

détendre le corps annulaire 144, dont le diamètre aug-

mente ou diminue, afin que ce corps saisisse ou libère la surface intérieure du tube 104. On insère tout d'abord le bouchon 138 dans l'extrémité associée du tube 104, le corps 144 étant dans un état en général détendu. Puis, on fait tourner la vis 148 de manière à rapprocher la partie 142 de la partie 140 afin d'accroître le diamètre du

corps 144 et à amener à bloquer. bouchon 138 en posi-

tion fixe, avec blocage en rotation, sur le tube. Puis on déplace le bouchon 138 pour l'accoupler à la partie 134, au niveau de laquelle une liaison d'entraînement est éta- blie entre elle-même et le bouchon 138. Afin d'établir une telle liaison d'entraînement, deux goupilles 150, qui pénètrent avec glissement dans des trous adaptés ménagés

dans la partie 134, sont fixées au bouchon 138.

L'extrémité opposée ou extrémité de droite du rouleau récepteur 32 est supportée avec possibilité de rotation et est sollicitée par un ressort vers la gauche

par le bouchon 118. Le bouchon 138 est supporté de ma-

nière à pouvoir tourner autour de l'axe central 31 du rouleau 30 et également de manière à avoir un déplacement axial limité le long d'un tel axe, au moyen d'un arbre 124 supporté par la plaque d'extrémité 62 par

l'intermédiaire de deux paliers 126. Un ressort hélicoï-

dal 128, dont une extrémité s'applique contre le bouchon 118 et dont l'autre extrémité s'applique contre la plaque

d'extrémité 62, entoure l'arbre 124. Un blindage cylin-

drique 130 est fixé au bouchon 118 et s'étend sur une partie de la longueur du ressort 128. Le ressort 128 agit en tant que ressort de compression et repousse le bouchon 118 vers la gauche comme cela est visible sur la figure 3, pour garantir un appui continuel du bouchon 118 à l'intérieur du tube 104. Un déplacement vers la gauche est limité par une goupille 132 portée par l'extrémité de droite de l'arbre 124 et pouvant s'appliquer contre la

plaque d'extrémité 62 dans la position limite. Un dépla-

cement du bouchon 118 vers la droite est limité par la venue de l'extrémité de droite du blindage 130 contre la

plaque d'extrémité 62. Une telle course limitée de dépla-

cement axiale du bouchon. 118 suffit pour permettre le re-

trait d'un rouleau débiteur du traceur de courbe et son remplacement. Lors du retrait du rouleau 30, on repousse

manuellement ce dernier vers la droite comme cela est vi-

sible sur la figure 3 de manière à comprimer le ressort

128 jusqu'à ce que l'extrémité opposée du rouleau se dé-

gage de la partie 134. Puis on fait pivoter latéralement l'extrémité du rouleau située au voisinage de la partie 134 jusqu'à ce qu'elle se dégage de la partie 134 et d'autres parties du traceur de courbes, et on la déplace

d'une manière générale axialement vers la gauche pour re-

tirer l'extrémité de droite du bouchon 118. On utilise une procédure inverse pour mettre en place un nouveau

roule. récepteur sur le traceur de courbes.

Conformément à l'invention, un frein à friction est prévu au niveau du support du rouleau débiteur 30 de telle sorte que pendant le déroulement du papier à partir

du rouleau débiteur sous l'action du moteur 74, une force.

est appliquée au rouleau, cette force s'opposant à sa ro-

tation de déroulement de sorte que la partie du papier située entre les rouleaux 30 et 32 est maintenue tendue et, lorsque la rotation du rouleau récepteur est arrêtée sous l'effet de l'arrêt du moteur d'entraînement 74, une force ou un couple de sollicitation en sens inverse continue à être appliquée au rouleau débiteur 30 de sorte que ce rouleau s'arrête immédiatement sans dépassement de course, l'effet de sollicitation en arrière étant main-

tenu jusqu'au démarrage de l'avance suivante.

Comme cela est représenté sur la figure 4, le

frein à friction représenté 200 est utilisé avec le rou-

leau débiteur 30 du type comportant un mandrin central tubulaire 104 constitué par du carton ou analogue et sur lequel le papier 34 estenroulé. Sur son extrémité de

droite, comme cela est visible sur la figure 4, le rou-

leau est supporté de manière à pouvoir tourner et glis-

ser, par des-.moyens très semblables à ceux utilisés pour

supporter l'extrémité de droite du rouleau récepteur 32.

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* En particulier, lorsque le bouchon 118 est inséré dans le mandrin 104, il supporte le rouleau débiteur 30 sur son extrémité de droite, de telle sorte que ce rouleau peut tourner autour de son axe 31 sur l'arbre 124 supporté de façon fixe par la plaque d'extrémité 62 montée sur les

paliers 126.

L'extrémité opposée de gauche du rouleau débi-

teur 30 représenté sur la figure 4 est accouplée de façon

amovible et avec possibilité de rotation au frein à fric-

tion 200 par un accouplement en deux éléments constitués

par un élément de tourillonnage 234 et un bouchon exten-

sible 138. Le bouchon extensible 138 est identique à ce-

lui décrit précédemment en référence à la figure 3, par le fait qu'il est constitué par la partie intérieure 142, la partie extérieure 140, le corps annulaire compressible 144 et la vis centrale 148 sollicitant un corps 144 entre les parties 140 et 142 de manière à fixer le bouchon 138 à l'intérieur du mandrin 104. L'élément de tourillonnage

234 et le bouchon 138 sont accouplés d'une manière blo-

quée en rotation l'un par rapport à l'autre par les deux

goupilles 150, qui sont fixées au bouchon 138 et pénè-

trent par glissement dans des trous de forme adaptée mé-

nagés dans l'élément 234, lorsqu'on déplace l'extrémité de gauche du rouleau débiteur 30 pour l'accoupler à l'élément de tourillonnage 234 pendant la procédure de chargement.

L'élément de tourillonnage 234 possède une ou-

verture circulaire traversante 207 logée dans un arbre

208 et permettant de supporter avec possibilité de rota-

tion la partie 234 conformément à une relation de soutien avec la surface extérieure lisse de l'arbre 208. L'arbre 208 est supporté à l'intérieur d'une ouverture de montage 210 dans une partie rapportée de la plaque 64 de sorte que l'axe central de l'arbre 208 coïncide avec l'axe 31

du rouleau 30. Cependant l'arbre 208 est fixé avec blo-

cage en rotation dans la plaque 64 grâce à l'insertion d'une clavette 212 entre deux gorges, qui sont parallèles entre elles et à l'axe 31, chaque gorge étant ménagée le long d'éléments de surface correspondants de l'arbre 208 et de l'ouverture 210. La face d'extrémité de l'élément de tourillonnage 234 située en vis-à-vis du bouchon 138

possède un renfoncement circulaire 216 formé concentri-

quement avec l'ouverture traversante 207 et s'étendant

sur une profondeur donnée dans la partie 234. A une ex-

trémité de l'arbre 208 se trouve formée une tête 214 pos-

sédant un diamètre suffisamment inférieur à celui du ren-

foncement 216 de sorte qu'une partie ou la totalité de la

tête peut être logée dans le renfoncement 216 sur la pro-

fondeur donnée de ce dernier. Cependant, la tête 214 est espacée du fond du renfoncement 216 par une unité formant palier de butée 218, qui, sinon, peut être remplacée par une rondelle à faible coefficient de frottement, réalisée en un matériau connu sous la marque déposée Téflon ou un matériau analogue. Ainsi, il est évident que, tout en étant maintenu axialement sur l'arbre 208, l'élément de tourillonnage 234 est libre de tourner par rapport à cet arbre. Un filetage recevant un écrou de serrage 220 est formé sur l'autre extrémité de l'arbre 208. Lorsqu'on fait tourner suffisamment l'écrou 220, ce dernier agit en coopération avec une rondelle 224 à l'encontre de la force de compression d'un ressort hélicoïdal 222 monté

concentriquement autour de la tige 208. L'extrémité oppo-

sée du ressort 222, qui n'est pas en contact avec la ron-

delle 224, est en butée contre la partie rapportée de la plaque 64, ce qui permet à l'écrou 220 de tirer l'arbre 208 vers la gauche à l'encontre de la sollicitation du ressort 222. On notera que la gorge ménagée dans l'ouverture 210 recevant la clavette 212 est ouverte à ses extrémités opposées, ce qui permet à la clavette 212 de se déplacer librement axialement à l'intérieur de

cette gorge, lorsqu'on fait tourne_ l'écrou de renvidage.

Un palier de butée possédant la forme d'une rondelle à coefficient de frottement élevé 226, la partie de tête circulaire 229 d'un élément de sollicitation en

sens inverse 231 et une rondelle à coefficient de frotte-

ment élevé 230 sont intercalés entre l'élément de tou-

rillonnage 234 et la face 264 de la plaque 64. L'élément de sollicitation en sens inverse possède également un

bras radial 228 et est de préférence réalisé en un métal.

Chacun de ces éléments intercalés possède une ouverture traversante, que traverse l'arbre 208 selon une relation de soutien rotatif par rapport à ces éléments. Lorsque l'écrou de serrage est suffisamment serré, la face de droite de la rondelle 230 à coefficient de frottement élevé vient en contact avec la surface extérieure opposée de l'élément de tourillonnage 234, et la face opposée-de gauche de la rondelle 230 vient en contact avec la face opposée de droite de la partie de tête circulaire 229 de l'élément de sollicitation 231. En outre, la face de gauche de la partie de tête 229 vient en contact avec la face opposée de droite du palier de butée 226 et la face opposée de gauche du palier de butée 226 vient en contact avec la face opposée 264 de la plaque 64. En outre la force qui serre ces éléments les uns contre les autres est transmise par l'intermédiaire du ressort 222 de sorte qu'on peut augmenter ou réduire de façon sélective la force repoussant l'une vers l'autre les surfaces aptes à engrener réciproquement et déterminant la capacité d'accouplement par friction entre la face de gauche de la partie 234-et la face de droite de ?a partie de tête 229, en faisant tourner l'écrou 220 sur l'arbre 208. La partie de tête circulaire 229 de l'élément 231 est accouplée par frottement, d'une manière relativement forte, à l'élément de tourillonnage 234 par la rondelle 230, étant donné que cette dernière est réalisée en un matériau à coefficient de frottement élevé. Cependant, on notera que seul un

très faible accouplement par friction, s'il existe, appa-

raît entre la face fixe 264 de la plaque 67 et la face de gauche de la partie circulaire 229, étant donné que le palier de butée 226, qui est représenté sous la forme

d'une rondelle à faible coefficient de frottement, réa-

lisé sous le matériau dénommé Téflon ou en un matériau semblable, permet aux surfaces en contact réciproque de glisser l'une par rapport à l'autre lorsque seulement un faible couple apparaît entre ces faces. Sinon, le palier 226 pourrait posséder la forme d'une unité formant palier de butée comportant des galets ou des billes, de manière à lui conférer cette capacité de glissement avec un

faible coefficient de frottement.

A l'extrémité du bras 228 de l'élément de sol-

licitation en sens inverse se trouvent ménagés une ouver-

ture 240 ou d'autres moyens appropriés de fixation, qui raccordent une extrémité libre d'un ressort 242 au bras -20 228. Le ressort 242 est fixé, au niveau de son extrémité opposée, à une structure dépendante 364 de la plaque 64,

espacée en avant du bras 228 en diretion du rouleau ré-

cepteur 32. Une ouverture ou d'autres moyens de liaison analogues fixent l'extrémité opposée du ressort à la structure dépendante 364. L'espacement entre le bras 228

dans sa position de repos, tel que représenté sur la fi-

gure 4, et la structure 364 est approximativement égal à

la longueur du ressort 242 dans son état normal non dé-

ployé. Le ressort 242 est un ressort hélicoïdal de trac-

tion en acier connu d'une manière usuelle et qui est apte à s'allonger lorsqu'on le tire axialement de manière à appliquer un couple à l'élément de sollicitation en sens

inverse 231.

En fonctionnement, le bras de sollicitation en sens inverse 228, tel que représenté sur la figure 5,

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fonctionne entre sa position de repos ou position verti-

cale représentée par une ligne en -rait plein, et une po-

sition limitée représentée par une ligne en trait mixte, qui est espacée en avant de la position neutre dans la direction du sens de déroulement du rouleau débiteur.

Pendant une avance, le papier 34 est tiré depuis le rou-

leau débiteur 30 sur le rouleau récepteur 32, dans la di-

rection désignée par 35. Le tirage du papier 34 entraîne en rotation le rouleau débiteur dans le sens repéré par A. Etant donné que l'élément de tourillonnage 234 et le bouchon 138 sont accouplés en rotation l'un à l'autre par les goupilles 150, l'élément 234 tourne par conséquent de concert avec le rouleau 30 dans le sens A. La partie de tête 229 de l'élément de sollicitation 231 est maintenue par frottement dans une position fixe sur l'élément de tourillonnage 234 pendant le déplacement initial du bras 228 à partir de sa position neutre, et par conséquent l'élément de sollicitation 231 tourne avec l'élément 234,

jusqu'à ce que son bras 228 vienne en contact avec la bu-

tée 464 fixée à et supportée par la plaque 64. La butée 464 est positionnée par rapport au bras 228 de telle sorte que ce dernier peut pivoter sur un arc d'environ 15 à 20 degrés avant de s'arrêter. Le déplacement initial de l'élément de sollicitation du bras est obtenu gr&ce au fait que le couple appliqué à l'élément de sollicitation par son ressort 242 est inférieur à ce qui est nécessaire pour vaincre le couple de frottement qui lui est appliqué

par l'intermédiaire de la rondelle de friction 230. Ce-

pendant, une fois que le bras 228 s'applique contre la

butée 464, l'élément de tourillonnage 234 tourne par rap-

port à l'élément de sollicitation et cette rotation rela-

tive s'accompagne d'un glissement relatif entre soit les

faces, qui engrènent entre elles, de la rondelle de fric-

tion 230 et l'élément de sollicitation 231, soit entre les faces, qui engrènent réciproquement, de la rondelle

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de friction 230 et de l'élément de tourillonnage 234 de manière à créer un couple de frottement s'opposant à une

rotation du rouleau débiteur dans le sens du déroulement.

C'est-à-dire qu'une force de retenue par frottement est appliquée au rouleau débiteur, qui à son tour applique

une force de tension au papier situé entre le rouleau dé-

biteur et le rouleau récepteur. On peut accroître ou ré-

duire l'intensité de la force de retenue créée par le frein 200 en faisant tourner de façon sélective l'écrou de serrage 220 de manière à modifier l'intensité de la force normale agissant sur les surfaces engrenant par

frottement et les repoussant l'une vers l'autre.

Lorsque le déplacement d'avance du papier 34 s'arrête, sous l'effet de l'arrêt du moteur 74, -le bras

228 est positionné dans sa position déployée, dans la-

quelle il s'applique contre la butée 464, et le ressort 242 est étiré audelà de sa longueur normale de repos. La rotation du moteur 74 étant maintenant arrêtée, la partie de tête de l'élément de sollicitation 231 est à nouveau maintenue par frottement sur l'élément de tourillonnage 234, et le bras 220 agissant par l'intermédiaire de la partie de tête 229 applique un couple de sollicitation en sens inverse au rouleau 30 dans le sens B représenté sur

la figure 5. Ce faisant, le papier 34 est tendu et main-

tenu fixe par rapport à la surface de support 22, à l'encontre de la force stockée entre le papier situé sur

la surface 22 et le rotor du moteur 74, et tendant à ti-

rer le papier vers l'avant à partir du rouleau débiteur.

Naturellement on comprendra que différentes mo-

difications peuvent être apportées aux freins appliqués aux rouleaux débiteurs, sans sortir du cadre des aspects

les plus larges de l'invention. Par exemple, il est envi-

sagé d'utiliser différents moyens pour créer une force

réglable maintenant l'une contre l'autre les deux sur-

faces de frottement, qui glissent l'une par rapport à

2638 148

l'autre de manière à créer une tension dans le papier pendant la partie principale d'une avance; et de façon

analogue on peut utiliser différents moyens pour sollici-

ter l'élément de sollicitation de manière à s'opposer élastiquement à son mouvement de rotation en l'écartant

de sa position neutre en direction de sa position limite.

Par exemple, il est possible que, dans certaines formes

de réalisation, on puisse utiliser une unité formant res-

sort de compression et de torsion combiné pour à la fois repousser les surfaces de frottement l'une vers l'autre et s'opposer élastiquement à un mouvement de torsion de l'élément de sollicitation en sens inverse à partir de sa

position neutre. De même, comme cela sera expliqué ci-

après en référence à la figure 6, il est envisagé

d'utiliser un frein autre qu'un frein à friction en co-

opération avec le rouleau débiteur.

En référence à la figure 6, le traceur de courbes, qu'on y voit représenté, est identique à celui

des figures 1 et 5, hormis qu'il possède un frein élec-

trique 270 appliqué au rouleau débiteur 30 à la place du frein à friction 200 représenté précédemment. Dans ce

cas, un arbre de support 236, qui est supporté avec pos-

sibilité de rotation par le cadre (non représenté) du traceur de courbes, est fixé avec blocage en rotation sur l'élément de tourillonnage 234. L'arbre 236 est raccordé au rotor du frein électrique 270, qui peut être excité électriquement de manière à appliquer un couple variable en sens inverse à l'arbre 236, s'opposant à un mouvement

d'entraînement du papier à partir du rouleau débiteur 30.

L'excitation du frein 270 est commandée par l'unité de commande 69 en réponse à un capteur 272 qui détecte le diamètre du rouleau débiteur 30. Cette commande est telle que, lorsque le diamètre du rouleau débiteur 30 diminue, le couple inverse appliqué par le frein 270 à l'arbre 236 est également réduit. Par conséquent, la force de tension

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appliquée au papier par le frein 270 reste sensiblement constante en dépit de variations du diamètre du rouleau débiteur.

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Claims (18)

REVENDICATIOrTS

1. Frein à friction destiné à être utilisé dans un dispositif faisant avancer un matériau en forme de feuille depuis un rouleau débiteur (30) pour l'enrouler sur un rouleau récepteur (32), ce dispositif incluant un support (64) situé au voisinage d'une extrémité dudit rouleau débiteur (30) et un arbre (208) possédant un axe central longitudinal monté dans ledit support; ledit frein étant caractérisé par: un élément de tourillonnage (234) supporté par ledit arbre (208) et adapté de manière

à être raccordé avec blocage en rotation à ladite pre-

mière extrémité du rouleau débiteur (30), ledit arbre étant aligné avec l'axe (31) dudit rouleau débiteur de manière que ledit élément de tourillonnage (234) tourne avec ledit rouleau débiteur; un élément de sollicitation en sens inverse (231) monté rotatif sur ledit arbre (208); un élément de friction (230) supporté sur ledit arbre entre ledit élément de tourillonnage (234) et ledit élément de sollicitation en sens inverse (231); ledit

élément de sollicitation en sens inverse (231) étant rac-

cordé, selon une liaison d'entraînement par frottement, audit élément de tourillonnage (234) par l'intermédiaire dudit élément de friction, ladite liaison d'entraînement incluant au moins un couple de surfaces, qui engrènent par frottement et sont perpendiculaires audit arbre (208); des moyens (220,222,224) servant à repousser l'une vers l'autre ledit couple de surfaces, aptes à engrener par frottement; des moyens (242) servant à s'opposer

élastiquement à une rotation dudit élément de sollicita-

tion en sens inverse dans un sens (A) à partir d'une po-

sition neu'tre donnée par rapport audit support, le sens (A) étant le sens dans lequel ledit rouleau débiteur

tourne par rapport à l'axe dudit arbre lorsque le maté-

riau en forme de feuille (34) est tiré de ce rouleau; et des moyens (464) servant à limiter le déplacement dudit

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élément de sollicitation en sens inverse (231) dans ledit

sens à partir de ladite position neutre.

2. Frein à friction (200) destiné à être uti-

lisé dans un dispositif faisant avancer un matériau en forme de feuille depuis un rouleau débiteur (30) pour l'enrouler sur un rouleau récepteur (32), ce dispositif

incluant un arbre (208) possédant un axe central longitu-

dinal et étant disposé dans une ouverture (210) ménagée dans un support (64), ledit frein étant caractérisé en ce que ledit arbre (208) est disposé de manière à pouvoir glisser à l'intérieur de ladite ouverture (210) dans un support (64) et comporte, à une première extrémité, des moyens de retenue axiaux (214) et, à son autre extrémité, des moyens (220, 222,224) sollicitant axialement ledit arbre (208) dans la direction allant de ladite première extrémité en direction de ladite autre extrémité, et en ce que le frein comporte un élément de tourillonnage (234) supporté, de manière à pouvoir tourner, par ledit arbre (208) au voisinage desdits moyens de retenue axiaux (214) et comportant une face extérieure perpendiculaire audit axe de l'arbre, ledit élément de tourillonnage étant adapté de manière à être raccordé avec blocage en rotation sur une extrémité du rouleau débiteur (30) comme indiqué précédemment, ledit arbre (208) étant aligné avec

l'axe (31) dudit rouleau débiteur de sorte que ledit élé-

ment de tourillonnage (204) tourne avec ledit rouleau dé-

biteur; un élément de sollicitation en sens inverse (231) supporté, de manière à pouvoir tourner, par ledit arbre (208) et possédant des première et seconde faces opposées perpendiculaires audit axe (31) de l'arbre; un élément de friction (230) supporté supporté, de manière à pouvoir tourner, par ledit arbre et comportant des troisième et quatrième faces perpendiculaires à l'axe dudit arbre, et ladite troisième 'ace de l'élément de friction pouvant

engrener avec ladite face extérieure de l'élément de tou-

rillonnage, tandis que ladite quatrième face de l'élément de friction peut engrener avec ladite première face de l'élément de sollicitation en sens inverse; un élément de palier (226) disposé au voisinage dudit support (64) et pouvant engrener avec ladite seconde face de l'élément de

sollicitation en sens inverse; et des moyens (242) ser-

vant à s'opposer élastiquement à une rotation dudit élé-

ment de sollicitation en sens inverse dans un sens (A) à partir d'une position neutre donnée, ce sens étant le sens dans lequel ledit rouleau débiteur (30) tourne par rapport audit arbre lorsqu'un matériau en forme de

feuille (34) est tiré de ce rouleau.

3. Frein à friction (200) selon la revendica-

tion 2, caractérisé en outre en ce que ledit élément de palier (226) est supporté, de manière à pouvoir tourner, par ledit arbre et comporte une cinquième face servant à

engrener avec ladite seconde face de l'élément de solli-

citation en sens inverse, et possède une sixième face

pouvant engrener avec ledit support (64). -

4. Frein à friction (200) selon- la revendica-

tion 2, caractérisé en outre en ce que ledit élément de sollicitation en sens inverse (231) possède une partie de tête (229) comportant une ouverture traversante destinée à recevoir ledit arbre (208) et portant lesdites première

et seconde faces. -

5. Frein à friction (200) selon la revendica-

tion 4, caractérisé en ce que ledit élément de sollicita-

tion en sens inverse (231) comporte également un bras (228) s'étendant radialement vers l'extérieur à partir de ladite partie de tête (229), et un ressort (242) monté entre ledit bras et ledit support de manière à s'opposer

élastiquement au déplacement dudit élément de sollicita-

tion en sens inverse à partir de la position neutre, dans

ledit sens de déplacement (A).

6. Frein à friction (200) selon la revendica-

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tion 5, caractérisé en outre en ce que ledit arbre (208)

situé sur ladite autre extrémité est fileté et que les-

dits moyens servant à solliciter axialement ledit arbre (208) incluent un écrou de réglage (220) vissé sur ledit arbre (208) et un ressort de compression (222). disposé concentriquement autour dudit arbre et travaillant entre

ledit écrou de réglage (220) et ledit support (64).

7. Frein à friction (200) selon la revendica-

tion 2, caractérisé en outre en ce que ledit élément de

tourillonnage possède une face intérieure située au voi-

sinage desdits moyens (214) de retenue de l'arbre; ledit élément de tourillonnage possédant un renfoncement (216)

qui s'étend vers l'extérieur à partir de ladite face in-

térieure sur une profondeur donnée et est concentrique

audit axe (31) de l'arbre, et que ledit élément de tou-

rillonnage possède une ouverture (207) mettant en commu-

nication ladite face extérieure et ledit renfoncement

(216).

8. Frein à friction (200) selon la revendica-

tion 7, caractérisé en outre en ce que lesdits moyens de retenue axiaux sont constitués par une tête élargie (214)

possédant un diamètre suffisant pour être logée dans le-

dit renfoncement (216), et que ladite tête (214) est au

moins partiellement logée à l'intérieur dudit renfonce-

ment (216).

9. Frein à friction (200) selon la revendica-

tion 8, caractérisé en outre en ce que des paliers de bu-

tée (218) sont intercalés entre le fond dudit renfonce-

ment (216) et ladite tête (214).

10. Frein à friction (200) selon la revendica-

tion 6, caractérisé en outre en ce que ledit arbre (298) est monté avec blocage en rotation dans ladite ouverture de support (210) au moyen d'une clavette (212) logée dans des gorges correspondantes ménagées à la fois dans ladite

ouverture de support (210) et dans ledit arbre (208).

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11. Frein à friction (20o) selon la revendica-

tion 2, caractérisé en ce que ledit élément de palier (226) est une rondelle réalisée en un matériau à faible

coefficient de frottement et que ledit élément de fric-

tion est une rondelle de friction (230) réalisée en un

matériau à coefficient de frottement élevé.

12. Frein à friction (200) selon la revendica-

tion 3, caractérisé en ce que ledit élément de palier (226) est une rondelle réalisée en un matériau à faible

coefficient de frottement, que ledit élément de friction -

(230) est une rondelle de frottement réalisée en un maté-'

riau à coefficient de frottement élevé et que ledit élé-

ment de sollicitation en sens inverse (231) est réalisé

en un métal.

13. Traceur de courbes à action progressive, qui fait avancer un matériau en forme de feuille depuis le rouleau débiteur (30) jusqu'à un rouleau récepteur (32) et comporte une table (18) fournissant une surface de support (22) comportant des moyens servant à supporter un rouleau récepteur de papier et un rouleau débiteur de papier, disposés tous les deux au voisinage de ladite surface de support (22) de telle sorte que le papier passe dudit rouleau débiteur audit rouleau récepteur en circulant sur ladite surface de support (22), à un moteur de renvidage (74) servant à entraîner en rotation ledit rouleau récepteur et un capteur (75) servant à détecter le déplacement du papier par rapport à ladite surface de support pendant une avance du papier, et raccordé à des moyens de commande sensibles audit capteur pour arrêter ledit moteur de renvidage à la fin d'une avance, ledit traceur de courbes à action progressive étant caractérisé en ce qu'il comporte un frein (270,200) associé à ladite

bobine débitrice (30) et servant à appliquer une sollici-

tation en sens inverse (B) audit rouleau débiteur (30) pendant une avance, de manière à s'opposer au déroulement

26 38 148

du papier (34) à partir dudit rouleau débiteur (30) et à

mettre en tension le papier situé entre ledit rouleau dé-

biteur et ledit rouleau récepteur, et servant à continuer

à appliquer une sollicitation en sens inverse audit rou-

leau débiteur à la fin d'une avance, une fois que le mo-

teur de renvidage (74) est arrêté.

14. Traceur de courbes à action progressive se-

lon la revendication 13, caractérisé en outre en ce que ledit frein (200) est un frein à friction possédant un arbre (208) supporté par le cadre (64) dudit traceur de courbes et dont l'axe longitudinal (Y) est aligné avec ladite bobine débitrice (30), et en ce que le traceur comporte un élément de tourillonnage (234) supporté par

ledit arbre (208) au voisinage de l'extrémité voisine du-

dit rouleau débiteur (30) et raccordé de façon amovible (150) audit rouleau débiteur (30) de manière à soutenir

radialement ladite extrémité voisine dudit rouleau débi-

teur et à l'entraîner en rotation avec lui-même; un élé-

ment de sollicitation en sens inverse (203) supporté, de

manière à pouvoir tourner, sur ledit arbre (208) et pos-

sédant une partie de tête (229) entourant ledit arbre

(208) et une partie formant bras (228) s'étendant radia-

lement vers l'extérieur, des moyens (230) formant un couple de surfaces de friction engrenant réciproquement et disposées dans un plan perpendiculaire audit arbre entre ledit élément de sollicitation en sens inverse (231) et ledit élément de tourillonnage (234), lesdites surfaces de friction étant associées audit élément de sollicitation en sens inverse (231) et audit élément de

tourillonnage (234) de telle sorte que pendant la ro-

tation de ladite bobine débitrice (30), une surface est fixée sur et tourne avec ledit rouleau débiteur (30), et l'autre surface est fixée à l'élément de sollicitation en sens inverse (231); des moyens (220,222,224) servant à

repousser l'une vers l'autre lesdites surfaces de fric-

tion aptes à engrener réciproquement; des moyens (242)

servant à solliciter élastiquement ledit élément de sol-

licitation en sens inverse (231) vers une position neutre par rapport audit cadre (64) et à s'opposer élastiquement à un mouvement d'écartement de cet élément par rapport à ladite position neutre dans le sens (A) de rotation de déroulement dudit rouleau débiteur (30); et des moyens

(464) servant à limiter ledit mouvement d'écartement du-

dit élément de sollicitation en sens inverse (231) par

rapport à ladite position neutre.

15. Traceur de courbes à action progressive se-

lon la revendication 14, caractérisé en outre en ce que lesdits moyens (220,222,224) servant à repousser l'une vers l'autre lesdites deux surfaces de friction aptes à

engrener réciproquement comprennent des moyens (220) ser-

vant à régler la force, avec laquelle lesdites surfaces

de friction aptes à engrener réciproquement sont repous-

sées l'une vers l'autre.

16. Traceur de courbes à action progressive, à déplacement unidirectionnel du papier entre un rouleau débiteur (30) et un rouleau récepteur (32) et comportant un élément de tourillonnage (234) possédant des moyens à l'aide desquels il peut être accouplé de façon sélective à une broche insérée à l'intérieur du rouleau débiteur,

ledit traceur de courbes à action progressive étant ca-

ractérisé en ce qu'il comporte un frein à friction (200) associé audit rouleau débiteur (30) et incluant un arbre (208) comportant, sur une première extrémité, une tête (214) et étant fileté à son autre extrémité, l'extrémité filetée dudit arbre (208) traversant une ouverture (210) ménagée dans une plaque de support (64) et étant bloquée en rotation tout en étant supportée de manière à pouvoir glisser à l'intérieur de ladite ouverture (210), tandis que ledit élément de tourillonnage (234) est supporté, avec possibilité de rotation, entre ladite tête (214) et

2638 14 8

ladite plaque de support (64), une rondelle de friction (230) supportée, avec possibilité de rotation, par ledit

arbre (208) et intercalée entre ledit élément de touril-

lonnage (234) et ladite plaque de support (64); un bras de sollicitation en sens inverse (228) comportant, sur une extrémité, une partie circulaire (229) supportée avec

possibilité de rotation sur ledit arbre (208) et raccor-

dée, à son autre extrémité, à ladite plaque de support (64) par un ressort de traction (242); un palier de butée (226) intercalé entre ladite partie circulaire (229) du bras de sollicitation en sens inverse et ladite plaque de support (64); un ressort de compression (222) situé au voisinage de ladite extrémité filetée dudit arbre (208) et monté coaxialement autour dudit arbre; un écrou et une

rondelle de renvidage (220,224) supportés concentrique-

ment par ladite extrémité filetée dudit arbre (208); et des moyiens de limitation (464) coopérant avec ledit bras

de sollicitation en sens opposé (228) pour limiter la ro-

tation, et en ce que ledit ressort de compression (222)

est intercalé entre ladite plaque de support (64) et le-

dit écrou et ladite rondelle de renvidage (220,224).

17. Traceur de courbes à action progressive se-

lon la revendication 16, caractérisé en outre en ce que ledit élément de tourillonnage possède un renfoncement (216) situé au voisinage de l'une de ses extrémités et

logeant ladite tête (214) de l'arbre.

18. Traceur de courbes à action progressive se-

lon la revendication 17, caractérisé en outre par un pa-

lier de butée (218) intercalé entre ladite tête (214) de l'arbre et la base dudit renfoncement (216), et en ce que

ledit frein à friction (200) est associé à un rouleau dé-

biteur (30) et agit de manière à appliquer une force de retenue audit rouleau et que ledit ressort de traction (240) applique uns sollicitation en sens inverse (B) à un

rouleau débiteur (30) une fois qu'il a cessé de tourner.