CH678799A5 - - Google Patents

Description

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CH678799 A5

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Description

La présente invention concerne un châiit, qui peut être converti en une chaise de relaxation, et inversement.

On connaît un grand nombre de chaises, qui permettent à une personne de passer d'une position assise verticale vers une position inclinée, ainsi que des chaises dites chaises de relaxation, dont la position peut être changée à volonté, comme par exemple celtes décrites dans les brevets israéliens Nos. 55 298, 57 628 et 59 834. Tous les modèles de ce type ont certains avantages les uns par rapport aux autres, ainsi que certains désavantages. L'objet de cette invention pourrait être classé comme appartenant au groupe des chaises de relaxation.

L'objet de l'invention est conforme à la revendication t.

L'invention sera décrite maintenant en se reportant aux dessins en annexe, où:

Fig. 1 est une vue schématique latérale du châlit dans la position «lit».

Fig. 2 est une vue similaire du châlit, mais dans la position «chaise de relaxation».

Fig. 3 est une vue en coupe verticale (également tout à fait schématique) d'une des parties de la structure.

Fig. 4 et 5 représentent en détails les charnières connectant les parties recouvertes.

Lorsqu'on se reporte d'abord à la Fig. 1, le châlit comprend deux parties principales, le châssis de support 1 et la structure sur laquelle une personne s'allonge ou s'assoit (désignée dans la suite par «superstructure»). Dans la présente forme d'exécution la superstructure, qui comprend quatre parties, est connectée par des charnières au châssis en 5, 6 et 7. Au moins une des charnières de connexion 6 ou 7 est «flottante», dans un sens défini plus loin.

Comme mentionné ci-dessus, la superstructure comprend (dans la présente forme d'exécution) quatre parties 11,12,13 et 14. Les parties 11 et 12 forment ensemble un support des jambes, la partie 13 est le siège, alors que la partie 14 est le support du dos et de la tête.

Lesdites quatre parties sont interconnectées par des dispositifs à charnières (qui seront décrits) qui permettront le mouvement sans à-coups des différentes parties, lorsqu'on change de position. On prévoit des moyens de verrouillage d'un type conventionnel quelconque, permettant de verrouiller les parties du lit ou de la chaise dans une position quelconque et d'immobiliser les parties les unes par rapport aux autres.

Dans leur forme la plus avantageuse, les parties du châlit 11,12,13 et 14 sont chacune constituée d'un cadre à quatre bords peu élevés en forme de plateau 15 dans le creux duquel vient se loger un matelas élastique, recouvert et aisément pliable 16 qui s'étend de chacune des quatre parties vers la partie voisine. Les charnières 17,18, connectant la partie 12 à la partie 13 et la partie 13 à la partie 14, sont placées aux bords fout à fait supérieurs des cadres en forme de plateau 15 (voir Figs. 4 et 5). Le résultat de ceci est que le matelas 16 s'étire lorsque les éléments des charnières 17,18, passent d'une position où ils sont dans le même plan (Fig. 4) en une position où ils forment un angle (Fig. 5) et où la chaise est dans la position de la Fig. 2. En effet, un allongement du matelas est plus facile à obtenir qu'une compression.

Le nouveau agencement lit/chaise fonctionne de la manière qui suit. Lorsque le poids du corps d'une personne installée dans le lit/chaise agit sur la partie siège 13, cette partie s'abaisse de la position représentée sur ia Fig. 1, pendant que le dossier 14 bascule par rapport à l'axe de charnière 7 dans la direction de la flèche X et que le support des jambes 12 bascule par rapport à l'axe de charnière 6 dans la direction de la flèche Y. La partie 11 du support des jambes se déplace dans la direction de la f lèche Z — ce mouvement étant possible grâce à une charnière flottante. La charnière flottante connectant ia partie 14 de la superstructure au châssis consiste en un bras 8, qui a une extrémité connectée en pivotement à la partie 14 et son autre extrémité, en 9, au châssis. Une telle connexion est adaptable aux différentes positions adoptées par les différentes parties. Un agencement similaire est prévu à la connexion de la partie 11 au châssis, permettant un mouvement parallèle de la partie 11 par rapport au châssis.

Lorsqu'une pression (du corps) est appliquée sur le dossier 14, il se produit l'inverse de ce qui a été décrit, c'est-à-dire que le mouvement du dossier 14 se fait en sens inverse. Lorsque la pression des jambes de la personne agit sur les parties 11 et 12, le mouvement du support des jambes est inversé. Les supports du dos et des jambes peuvent être actionnés séparément.

Dans une autre forme d'exécution, une des deux sections du support des jambes peut être enlevée, et le support des jambes n'est constitué alors que de la section 12.

Dans une autre forme d'exécution encore, la charnière 10 est déconnectée, alors que la charnière 17 est correctement fixée dans une position souhaitée: les sections 12 et 13 forment alors une partie rigide, comme cela est représenté par la ligne discontinue de ia Fig. 2.

Claims (1)

1. Revendications

   1. Article d'ameublement constituant un châlit, quî peut être converti en fauteuil ou chaise de relaxation comprenant un châssis, lequel porte une structure comprenant à son tour un certain nombre de parties: un dossier pour le dos et la tête, un siège et un support des jambes, les parties de ladite structure étant interconnectées par des charnières et chacune des parties de la structure étant connectée par des charnières au châssis, si bien que n'importe quelle partie de la structure peut changer sa position angulaire par rapport à une autre partie de la structure, chaque fois qu'elle est soumise à la pression du poids d'une personne allongée ou semi-allongée sur l'article d'ameublement.

   2. Article d'ameublement selon la revendication 1,

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   caractérisé en ce que les parties de la structure portent un matelas, qui s'étend sur toutes les parties de la structure.

   3. Article d'ameublement selon la revendication 2, caractérisé en ce que les charnières connectant les parties de ladite structure sont positionnées sur le bord tout à fait supérieur des parties voisines que les charnières respectives connectent, si bien qu'en convertissant l'article d'ameublement de châlit en chaise de relaxation, le matelas se trouve étiré.

   4. Article d'ameublement selon la revendication 1, où le support des jambes comprend deux portions connectées par des charnières.

   5. Article d'ameublement selon ia revendication 1, caractérisé en ce qu'au moins une partie de ladite structure est connectée au châssis au moyen d'une charnière qui consiste en un bras dont une extrémité est connectée en pivotement à cette partie de ia structure, alors que son autre extrémité est connectée en pivotement au châssis.

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