CH643384A5

CH643384A5 - Ensemble en grappe d'epingles de fixation.

Info

Publication number: CH643384A5
Application number: CH302181A
Authority: CH
Inventors: Shimo Shiota
Original assignee: Toska Co Ltd
Priority date: 1980-09-11
Filing date: 1981-05-11
Publication date: 1984-05-30
Also published as: GB2083539B; DE3119072C2; USRE32332E; AU6952581A; US4417656A; IT8122625A0; FR2489991A1; FR2489991B1; IT1137967B; JPS5751013A; AU539080B2; ES264972Y; KR850000082B1; NL8102001A; MX154024A; CA1168197A; KR830005018A; ES264972U; JPS6024009B2; PH18666A

Description

La présente invention concerne un ensemble en grappe d'épingles de fixation dans lequel chaque épingle est composée d'une tête, une barre transversale et un corps filiforme reliant entre elles la tête et la barre transversale, cet ensemble étant venu de moulage d'une seule pièce en matière plastique.

L'usage de telles épingles de fixation est très répandu, par exemple pour fixer une étiquette ou une marque sur un article mis en vente. Comme on le voit à la figure 1 du dessin annexé, les épingles connues de ce genre sont composées d'une tête 1, une barre transversale 2 et un corps filiforme 3 reliant entre elles la tête et la barre transversale. Généralement, ces épingles sont des très petites dimensions. Par exemple, le diamètre et la longueur de la barre transversale sont, respectivement, compris entre 0,8 et 1,0 mm et 8 et 10 mm. Ce qui concerne la lar-sgeur, la hauteur et l'épaisseur de la tête, elles peuvent être, par exemple, respectivement comprises entre les limites suivantes: 8 à 10 mm, 3 à 5 mm et 0,7 à 1,0 mm. La longueur du corps filiforme est variable selon le genre d'utilisation envisagé, mais elle est habituellement comprise entre 7 et 125 mm, après îoélongation. La valeur minimale du diamètre du corps filiforme après l'élongation de celui-ci est généralement de 0,3 à 0,4 mm. Le poids de chaque épingle est, en général, de 0,04 à 0,1 g, ce qui montre bien la petitesse de chacune de ces épingles.

i5 En raison des impératifs inhérents à la fabrication, l'emballage le transport et l'utilisation des épingles, on les produit généralement sous forme d'ensembles P comprenant 25 à 50 épingles raccordées à angle droit par des appendices 4, à une tige de connexion commune 5, comme représenté à la figure 1 2odu dessin annexé. Un tel ensemble d'épingles est venu de moulage d'une seule pièce, en une résine thermoplastique,

telle que le nylon, le polypropylène et autres résines synthétiques dont les molécules sont susceptibles d'être réorientées de manière relativement facile.

25 Dans les ensembles d'épingles du type habituel, le diamètre de la barre transversale 2 et l'épaisseur de la tête sont de l'ordre de 1 mm compte tenu d'impératifs inhérents à la fabrication du moule. Les barres transversales 2 sont disposées, par rapport à la tige de connection 5, avec un pas de l'ordre de 30 2 mm. Il en résulte que la distance entre les barres transversales ainsi qu'entre les têtes des épingles adjacentes de l'ordre de 1 mm. On constate fréquemment que, lors de leur stockage ou de leur transport, de tels ensembles s'enchevêtrent mutuellement, les têtes des épingles de l'un d'entre eux venant se coin-35 cer entre celles des épingles d'un autre ensemble ou s'emmêler dans leurs barres transversales.

Les corps filiformes 3 des épingles de l'ensemble sont généralement étirés de façcon à avoir un diamètre minimum de l'ordre de 0,35 à 0,4 mm. Ces corps filiformes sont donc très 40 fins et délicats. Il en résulte que si les ensembles viennent à s'emmêler entre eux, leur séparation est une opération laborieuse.

En outre, dans le cas de tels ensembles, dans lesquels les épingles sont disposées en laissant entre elles des intervalles 45 relativement grands, il peut arriver que, même lorsqu'il ne se produit pas d'enchevêtrement entre plusieurs ensembles, les têtes des épingles faisant parties d'un même ensembles se disposent de manière désordonnée et/ou s'emmêlent entre elles.

En particulier, dans le cas d'un ensemble d'épingles com-50 prenant un grand nombre d'épingles disposées sur une tige de connection relativement longue en laissant entre elles des intervalles relativement importants, il peut arriver que la tige de connexion se plie, sans que les barres transversales des épingles adjacentes ne se touchent entre elles, ce qui permet donc 55 une courbure facile de tout l'ensemble. Afin d'éviter une telle situation, il est nécessaire de conférer une épaisseur importante à la tige de connexion.

Dans le cas où l'on utilise des ensembles de ce genre, dans lesquels les épingles sont disposées irrégulièrement, les épin-60 gles étant enfoncées une par une dans un article, il peut arriver que, chaque fois que l'on actionne l'appareil de fixation, l'ensemble oscille de la manière représentée à la figure 2, ou bien que les épingles se déplacent individuellement. De tels phénomènes entraînent différentes difficultés qui empêchent d'utili-65 ser l'appareil de fixation avec toute l'efficacité requise. Il peut arriver, par exemple, que le guidage l'épingle à travers l'article se fasse de manière défectueuse et que l'épingle s'accroche dans l'article en provoquant, notamment dans le cas où ce

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dernier est constitué par un tissu en fil fin, des dommages telles que la rupture des fils, un effilochage, une déchirure, etc.

En outre, le fait de conférer une valeur importante à l'intervalle entre les épingles adjacentes, limite le nombre des épingles que l'on peut former sur une tige de connexion d'une longueur donnée.

Par exemple, en supposant que le pas de l'arrangement des barres transversales 2 est de 2 mm, on ne peut raccorder que 50 épingles sur une tige de connexion ayant une longueur de 100 mm.

Par conséquent, pour un nombre d'épingles donné par ensemble, la fabrication d'un ensemble ayant une valeur élevée de l'intervalle de récurrence requiert l'utilisation d'un moule de plus grandes dimensions que si cet intervalle est plus petit. On se heu heurte en outre aux difficultés posées par le risque d'emmêlement des épingles mantionné plus haut.

En vue d'éliminer ces dernières difficultés, on a proposé de relier les têtes des épingles au moyen d'un filament. Un tel filament de connexion subit un allongement lorsque l'on sépare de l'ensemble l'épingle introduite dans l'article et reste arro-ché à la surface de la tête de cette épingle sous forme d'un appendice semblable à un poil de moustache.

Par exemple, dans le cas d'une épingle en nylon l'allongement du filament de connection lui confère une longueur qui est de 4 à 5 fois plus grande que sa longueur initiale. Il en résulte qu'un «poil de moustache» de grande longueur reste attaché à la surface de la tête de l'épingle.

Les épingles sont utilisées pour attacher des étiquettes à des articles de nature très variée. Il en résulte que, dans le cas où de tels articles sont constitués par des tissus en fibres fines, les «poils de moustache» sont susceptibles de s'accrocher à ces fibres, en provoquant leur déchirure ou leur effilochage.

Ainsi, dans le cas des ensembles d'épingles de type habituel, comprenant, par exemple, 50 épingles disposées, avec un pas de 2 mm, sur une tige de connexion de 100 mm, ces assemblages oscillent de la manière représentée à la figure 2 lorsqu'ils sont chargés dans un appareil de fixation. Ceci diminue l'efficacité de cet appareil et entraîne en outre un risque de coupure et d'effilochage des fibres de l'article comme indiqué ci-dessus.

L'invention a précisément pour d'éliminer les inconvénients qui viennent d'être mentionnés.

A cet effet, l'ensemble selon l'invention pésente les caractéristiques spécifiées dans la revendication 1.

L'invention sera mieux comprise grâce à la description détaillée qui va suivre, donnée à titre d'exemple, de certaines formes d'exécution de l'ensemble selon l'invention, en se référant au dessin annexé, dans lequel:

la figure 3 est une vue en élévation de face d'une partie d'un ensemble d'épingles, selon une première forme d'exécution;

la figure 4 est une vue en élévation latérale de l'ensemble représenté à la figure 1 ;

les figures 5 et 6 sont des vues en élévation latérale montrant le corps filiforme avant l'opération d'élongation;

la figure 7 est une vue partielle de l'ensemble de la figure 3 observée dans la direction indiquée par la flèche A-A;

la figure 8 est une vue partielle de l'ensemble de la figure 3 observée dans la direction indiquée par la flèche B-B;

la figure 9 montre une variante des parties de liaison entre les barres transversales de la figure 8;

la figure 10 est une vue en élévation de face d'une variante d'une première forme d'exécution dans laquelle les barres transversales ont une section polygonale ou rectangulaire;

la figure 11 est une vue en élévation de face d'une partie d'un ensemble d'épingles selon une deuxième forme d'exécution;

la figure 12 est une vue en élévation latérale de l'ensemble représenté à la figure 10;

la figure 13 est une vue d'une partie de l'assemblage de la figure 11 observée dans la direction de la flèche A'-A';

5 la figure 14 est une vue d'une partie de l'ensemble de la figure 11 observée dans la direction de la flèche B'-B';

la figure 15 est une vue en élévation de face d'une partie d'un ensemble d'épingles selon une troisième forme d'exécution;

io la figure 16 représente l'état dans lequel se trouvent les barres transversales des épingles de l'ensemble selon la forme d'exécution de la figure 15 lorsque l'on plie un tel ensemble;

la figure 17 est une vue en élévation de face d'une partie des épingles d'un ensemble, selon une quatrième forme d'exé-15 cution, dans laquelle l'ensemble comprend un groupe d'épingles ayant des têtes séparées et un groupe d'épingles ayant des têtes réunies entre elles, ces deux groupes étant disposés en alternance;

les figures 18,19 et 20 sont des vues en plan des têtes des 20 épingles, respectivement selon une cinquième, sixième et septième forme d'exécution de l'ensemble;

la figure 21 est une vue en élévation de face d'une partie des épingles d'un ensemble selon une huitième forme d'exécution;

25 la figure 22 est une vue en élévation latérale de l'ensemble représenté à la figure 21;

la figure 23 est une vue en élévation de face d'une partie des épingles d'un ensemble selon une neuvième forme d'exécution;

30 la figure 24 est une vue en élévation latérale de l'ensemble représenté à la figure 23;

la figure 25 est une vue en élévation latérale de la tête d'une épingle dans un ensemble conforme à une dixième forme d'exécution; et 35 les figures 26A à 26F sont des vues en élévation latérale montrant les têtes d'épingles faisant partie d'ensembles conformes, respectivement, à des onzième à seizième formes d'exécution.

En se référant tout d'abord aux figures 3 et 4, on voit que 40 l'ensemble P, selon la première forme d'exécution, comprend une pluralité d'épingles p dont chacune est composeé d'une tête 1, une barre transversale 2 et un corps filiforme 3 reliant entre elles la tête et la barre transversale. Les épingles sont raccordées à angle droit, par des appendices 4, à une tige de 45 connexion 5. Chaque ensemble peut, par exemple, comprendre 25 à 50 épingles et, dans certains cas, 100 épingles raccordées à la tige de connexion. L'ensemble est venu de moulage d'une seule pièce en une matière plastique telle que le nylon, le polypropylène, etc.

so Dans les conditions ordinaires de moulage, les résines polymères synthétiques telles que le nylon, le polypropylène, etc. sont dans un état cristallin. On peut soumettre une pièce conformée, par exemple le corps filiforme d'une épingle, en une telle résine synthétique, à un étirage à chaud ou à froid de ma-55 nière à provoquer une diminution progressive du diamètre d'un tel corps filiforme, tout en augmentant sa longueur, et, en même temps, sa résistance.

L'étude attentive des relations existantes entre les paramè-60 très de l'opération de moulage de corps en résines polymères synthétiques linéaires de ce genre et les paramètres de l'opération d'allongement a permis de découvrir que l'on peut obtenir, par moulage à froid, des épingles de fixation présentant certaines caractéristiques particulières.

65 Les épingles obtenues par moulage à une température de l'ordre de 20 °C, ou refroidies à une température inférieure, ont une structure amorphe. On peut facilement allonger leurs corps filiformes à la température ambiante. Cette caractéristi

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que peut être mise à profit dans les ensembles selon la présente invention. En effet, en entraînant chaque épingle au moyen d'un dispositif de fixation, on peut conférer, par allongement, une longueur appropriée à leurs corps filiformes. Plus particulièrement, lorsque les épingles sont destinées à être dans des articles de grande épaisseur, par exemple dans une pluralité de couches de mouchoirs, une pluralité de paires de chausettes, etc., on étire le corps filiforme, au moyen d'un levier faisant partie de l'appareil de fixation, de manière à lui conférer une longueur suffisante pour traverser ces articles et les fixer solidement entre eux.

Le corps filiforme 3 d'une ébauche d'épingle, telle qu'elle se présente avant l'opération d'allongement, peut avoir une forme conique, comme représenté à la figure 5, ou bien une forme ne présentant aucun rétrécissement, comme représenté à la figure 6.

Conformément à la première forme d'exécution représentée aux figures 3 et 4, la partie centrale des faces latérales des têtes des épingles forme un renflement 1 a. Les parties renflées la de la tête de chaque épingle s'appuient sur les parties renflées des têtes des épingles adjacentes et elles sont réunies entre elles à leurs extrémités lb. La formation de la partie renflée la se fait par amincissement progressif en direction de l'arête périphérique. Dans cette première forme d'exécution, la partie renflée la a une forme pyramidale à section hexagonale, comme représenté à la figure 4. Ceci ne constitue toutefois pas une limitation et la partie renflée la pourrait également avoir une forme pyramidale avec une autre forme de section, telle qu'une section triangulaire, carrée ou circulaire. D'autres variantes de formes entrent également en ligne de compte, notamment celles dans lesquelles les faces latérales destêtes ont une forme générale plane et comprennent des parties renflées uniquement dans leur partie centrale.

Comme on le voit à la figure 7, les têtes 1 adjacentes, comprenant les parties renflées la, laissent entre elles de petits intervalles 6 en forme de V. Comme on le voit à la figure 8, les barres transversales 2 ont une épaisseur ou largeur plus grande dans leur partie centrale qu'à qu'à leurs deux extrémités latérales. La partie centrale des barres transversales ayant la plus grande épaisseur constituent une partie de jonction 7 entre ces barres. Plus précisément, les barres transversales adjacentes 2,2' sont réunies entre elles à leur partie de jonction 7 en laissant de part et d'autre de ces parties de jonction des petits intervalles 6', 6' en forme d V. En variante, comme représenté à la figure 9, les barres transversales 2 et 2' pourraient avoir une épaisseur pratiquement constante en dehors des parties renflées formées au voisinage de leur partie centrale.

Ainsi, dans l'ensemble d'épingles selon la pemière forme d'exécution, les épingles adjacentes sont réunies entre elles par leurs têtes et leurs barres transversales. De la sorte une pluralité d'épingles sont rangées d'une manière régulière en formant une sorte de plaque.

La force de liaison entre les épingles aux parties de liaison lb et 7 des têtes 1 et des barres transversales 2 est suffisante pour assurer la cohésion des épingles adjacentes, dans des conditions normales, tout en étant suffisamment faible pour permettre la rupture de ces parties de liaison et la séparation des épingles lorsque ces dernières sont entraînées par un appareil de fixation à travers un article et que l'on excerce alors une force de cisaillement sur les parties renflées des têtes et des barres transversales.

Lors de la fabrication des moules destinés à la production de l'ensemble d'épingles selon la première forme d'exécution, la formation de parois permettant l'obtention de petits intervalles 6', 6', en forme de V, a une grande importance du point de vue technique.

Dans les épingles de fixation ordinaires, la longueur des têtes et des barres transversales est de l'ordre de 9 mm. L'épaisseur de la tête et le diamètre des barres transversales est de 0,8 à 1,0 mm.

Les parois du moule destiné à la formation du petit intervalle en forme de V ont une épaisseur minimale de l'ordre de 50,04 mm et une épaisseur maximale de 0,2 à 0,3 mm. On voit donc que ces parois sont aussi bien affilées que le tranchant d'une lame de couteau.

Dans le cas où l'ensemble est réalisé en Nylon 66, la partie de jonction 7 entre les barres transversales 2 peut être rompue io sans étirage notable si l'on confère à cette partie une section ayant des dimensions de 0,6 x 0,4 mm. De préférence, on tient compte de cette caractéristique lors de la conception et de la réalisation de la partie de jonction.

Bien que la barre transversale soit représentée, à la figure 15 3, avec une section circulaire, elle pourrait également avoir une forme polygonale comme représenté à la figure 10. Comme dans le cas de la barre transversale de la figure 3, la barre transversale représentée à la figure 10 a sa largeur maximale dans sa partie centrale, cette largeur diminuant progres-20 sivement en direction de ses deux extrémités. La partie centrale de plus grande largeur constitue une partie de jonction 7 par laquelle les barres transversales adjacentes sont réunies entre elles.

Comme décrit ci-dessus, dans la première forme d'exécu-25 tion, les têtes et les barres transversales des épingles comprennent des parties renflées réunissant les épingles adjacentes entre elles. Ces parties de jonction sont localisées au point de contact entre les parties renflées opposées des têtes ou des barres transversales adjacentes, ce qui facilite la séparation de ces 30 parties de contact en réduisant au minimum la surface de contact, ce qui permet d'éviter la formation de «poils de moustache» lorsque l'on sépare, sous l'effet d'une force de cisaillement, lors de la séparation de chaque épingle de fixation des autres épingles de l'ensemble.

ss II est, d'autre part, à remarquer que le fait que, conformément à cette première forme d'exécution de l'ensemble en grappe, les têtes et les barres transversales des épingles soient respectivement réunies aux têtes et aux barres transversales des épingles adjacentes, par l'intermédiaire de leurs parties 40 renflées centrales, confère à cet ensemble un comportement général analogue à celui d'une plaque, ce qui permet d'éviter complètement l'enchevêtrement mutuel des ensembles, de même de l'apparition de défauts dans l'alignement des épingles.

45 D'autre part, dans cette première forme d'exécution, les épingles sont disposées de manière si dense que, dans le cas où l'ensemble, monté sur un appareil de fixation, a tendance à s'incurver, les barres transversales des épingles adjacentes entrent en contact mutuel en opposant une résistance efficace à so l'oscillation de l'ensemble. Ceci permet, non seulement de faciliter notablement la manipulation générale de l'ensemble, mais également de diminuer le risque d'endommager les articles destinés à être fixés au moyen des épingles.

De préférence, on confère aux parties de jonction mutuelle 55 des épingles une section de connexion aussi réduite que possible, pour une force de liaison suffisante, de façon à éviter tout risque de rupture de ces parties de jonction lors de l'entre- po-sage etou le transport des ensembles. La section de connexion et la force de liaison sont, en outre, de préférence, telles que, 60 lors de l'introduction des épingles dans la marchandise, au moyen d'un appareil de fixation, l'application d'une force de cisaillement sur la partie de jonction permette la séparation mutuelle des épingles sans risque de formation d'appendices en forme de «poils de moustache» et, par conséquent, de pro-65 voquer des ruptures de fil lors de l'utilisation des épingles pour la fixation d'articles abriqués à partier de fibres.

Conformément à la deuxième forme d'exécution de l'ensemble, représentée aux figures 11,12,13 et 14, les têtes 1 ont

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une forme aplatie et ne comprennent pas de parties de liaison entre elles. Comme on le voit, plus précisément, aux figures 11 et 13, les têtes 1 des épingles adjacentes de l'ensemble sont séparées les unes des autres.

D'autre part, comme dans le cas de la première forme d'exécution, les barres transversales ont une forme telle qu'elles ont leur plus grande largeur dans leur partie centrale, définie par rapport à leur axe longitudinal, cette largeur diminuant progressivement en direction de leurs deux extrémités. Ces parties centrales de plus grande largeur constituent des parties de liaison 7 réunissant ensembles des barres transversales 2 adjacentes, comme représenté aux figures 11 et 14. On confère à l'intervalle / entre les têtes adjacentes, une valeur suffisamment faible par rapport à l'épaisseur t de ces têtes 1. Plus particulièrement, l'épaisseur t de la tête est habituellement comprise entre 0,7 et 1,0 mm, l'intervalle / ayant une valeur 0,2 à 0,7 mm, de préférence comprise entre 0,2 et 0,5 mm et, encore mieux, entre 0,2 et 0,3 mm. En conférant ainsi; à l'intervalle l une valeur suffisamment faible par rapport à l'épaisseur t de la tête, les têtes adjacentes sont pratiquement maintenues en contact mutuel.

Dans cette deuxième forme d'exécution de l'ensemble, les épingles sont alignées et maintenues sous une forme similaire à celle d'une plaque, en partie grâce à la réunion mutuelle des épingles adjacentes par les parties de liaison 7 des barres transversales 2 et en partie grâce au fait que l'intervalle / entre les têtes adjacentes a une valeur suffisamment faible par rapport à leur épaisseur t. Ceci facilite la manipulation de l'ensemble selon cette deuxième forme d'exécution, sans risque d'enchevêtrement avec un autre ensemble et sans détérioration de l'alignement des épingles dans chaque ensemble. Lorsque l'on enfonce les épingles dans un article, la liaison mutuelle entre les épingles au niveau de ces parties de liaison est rompue sous l'effet d'une force de cisaillement tout en évitant la formation d'appendices en forme de «fils de moustache».

Dans la troisième forme d'exécution de l'ensemble d'épingles, représentée à la figure 15, les têtes 1 et les barres transversales présentent, comme dans la première forme d'exécution, des parties renflées, dans les parties centrales de leurs faces latérales, ces parties renflées constituant des parties de liaison 1 b et 7 qui réunissent entre elles les épingles adjacentes. Toutefois, dans cette troisième forme d'exécution, l'ensemble ne présente ni appendice de connecion 4 ni tige de connexion 5. Cette troisième forme d'exécution obéit au principe suivant:

Dans le cas de la première forme d'exécution représentée à la figure 3, la partie de jonction 7 est formée dans la partie centrale de la barre transversale 2 de chaque épingle, de petite intervalles 6', 6', en forme de V, étant formés entre les têtes ainsi qu'en les barres transversales des épingles adjacentes. Par conséquent, lorsque la tige connection 5 se plie, l'ensemble des barres transversales 2 prend une forme incurvée avec un rayon de courbure R, comme représenté à la figure 16. Toutefois, en pratique, on n'atteint pas un rayon de courbure aussi faible, en partie du fait que les surfaces latérales des barres transversales ne viennent pas en contact serré les unes avec les autres et, en partie, du fait que le diamètre et la longueur des barres transversales ont des valeurs respectivement comprises entre 0,8 et 1 mm et entre 8 et 10 mm. En outre, l'élasticité de la tige de connexion 5 empêche, elle-même, l'ensemble de prendre une forme incurvée avec un aussi faible rayon de courbure. Bien entendu, le rayon de courbure R représenté à la figure 16 prend une valeur relativement élevée si l'on confère une faible valeur à l'angle formé par les intervalles 6', 6', en forme de V, formés entre les barres transversales 2 adjacentes.

Par conséquent, si l'on supprime la tige de connexion 5 et les appendices 4, il devient possible de plier l'assemblage de la manière représentée à la figure 16 et d'empêcher toute déformation ultérieure de celui-ci.

Conformément â cette troisième forme d'exécution de l'ensemble, on supprime les appendices 4 et la tige de connexion, qui ne remplissent aucune fonction en relation avec l'utilisation des épingles pour la fixation d'étiquettes ou les autres usages de ces épingles, les épingles adjacentes étant réunies uniquement par les parties de liaison lb et 7 de leurs têtes et de leurs barres transversales. Ceci augmente la compacité générale de l'ensemble et permet une importante économie de matière plastique.

En outre, du fait que les têtes et les barres transversales des épingles adjacentes sont réunies entre elles, la disposition des épingles est très dense ce qui rend leur ensemble particulièrement compact. Par exemple, il est possible de réunir 100 épingles de fixation dans un ensemble ayant une longueur de l'ordre de 100 mm. Comme dans le cas des formes d'exécution précédentes, le risque d'enchevêtrement mutuel de plusieurs ensembles et celui de dérangement de l'alignement des épingles dans chaque ensemble sont complètement éliminées.

Dans la quatrième forme d'exécution, représentée à la figure 17, une groupe p, d'épingles ayant leurs têtes séparées et un groupe p2 d'épingles ayant leurs têtes réunies entre elles sont disposés en alternance. Cette disposition en alternance des deux groupes d'épingles pb p2 permet, de manière efficace, d'éviter le dérangement de l'alignement des têtes des épingles.

En effet, dans le cas où les têtes 1 des épingles adjacentes sont réunies entre elles comme dans la première forme d'exécution (figure 3) ou dans la troisième forme d'exécution (figure 15), il ne se produit pas d'oscillation de grande amplitude des têtes réunies entre elles à condition que le corps filiforme 3 soit de petite longueur, c'est-à-dire que les têtes se déplacent comme une seule pièce. Toutefois, si le corps filiforme 3 a une longueur importante et un faible diamètre, il n'est plus capable de supporter les têtes réunies entre elles. Dans un tel cas, le corps filiforme 3 s'incurve notablement.

On peut empêcher le mouvement d'ensemble des têtes en disposant en altervance deux groupes Pi et p2 d'épingles, de la manière représentée à la figure 17. Ceci empêche, de manière efficace, le mouvement d'ensemble d'une pluralité de tête en diminuant le nombre de têtes supportées par le corps filiforme 3, ce qui permet d'éviter un pliage non désiré de ce dernier et, par conséquent, le dérangement de l'alignement des têtes 1, même lorsque le corps filiforme 3 se trouve être long et fin.

En outre, dans l'ensemble représenté à la figure 17, il existe, entre l'épaisseur des têtes et la distance entre les têtes adjacentes du groupe pj de têtes séparées les unes des autres, la même relation que dans la deuxième forme d'exécution (figure 11), l'intervalle entre les têtes étant maintenu suffisamment faible par rapport à leur épaisseur.

Dans la deuxième et la quatrième forme d'exécution, comme représenté à la figure 11, les têtes des épingles ne sont pas réunies entre elles mais elles sont disposées perpendiculairement à la tige de connexion 5.

Il est toutefois possible de disposer les têtes avec tout angle d'inclinaison voulu par rapport à la tige de connexion 5, c'est-à-dire avec une certaine inclinaison par rapport à la perpendiculaire à la tige de connexion 5. Ce principe est à la base des cinquième à septième formes d'exécution, décrites ci-dessous.

Dans l'ensemble selon la cinquième forme d'exécution, représentée à la figure 18, les têtes 1 sont inclinées d'un angle 0 par rapport à la ligne de référence, c'est-à-dire la tige de connexion 5, lorsque on les observe en plan. Les barres transversales adjacentes sont réunies entre elles, de la manière représentée à la figure 8. En même temps, on confère à l'intervalle compris entre les têtes 1 adjacentes une valeur suffisamment faible, par rapport à l'épaisseur des têtes 1, comme dans le cas

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de la deuxième forme d'exécution représentée à la figure 11. En disposant les têtes 1 avec une telle inclinaison, on obtient le résultat que, lorsque deux ensembles viennent en contact l'un avec l'autre, l'orientation des intervalles entre les têtes du premier ensemble diffère de celles des intervalles entre les têtes de l'autre ensemble, de sorte que l'on peut éviter, assez efficacement, l'enchevêtrement mutuel des deux ensembles par engagement des têtes des épingles de l'un d'entre eux dans les intervalles entre les têtes des épingles de l'autre ensemble.

En outre lorsque les têtes se déplacent à partir de leur position inclinée jusque dans la position représentée par une ligne en trait interrompu, c'est-à-dire la position l'perpendiculaire à la ligne de référence C, les têtes 1 viennent en contact mutuel ce qui élimine le risque d'enchevêtrement des ensembles aussi bien que celui de dérangement de l'alignement des têtes dans chacun des ensembles. On évite également le risque de dérangement de l'alignement des têtes en cas de pliage de la tige de connexion.

Dans la sixième forme d'exécution, représentée à la figure 19, les têtes 1 ont, lorsqu'elles sont observées en plan, une forme similaire à celle d'un chevron et les barres transversales adjacentes sont réunies entre elles. En outre, la relation t > /, entre l'intervalle / entre les têtes des épingles adjacentes et l'épaisseur t de ces têtes, décrite dans le cas de la deuxième forme d'exécution, s'applique également dans le cas de la sixième forme d'exécution. Dans celle-ci, du fait que la tête a, vue en plan, une forme en chevron, et du fait que la relation t > l s'applique, la têtel a, dans le cas où elle est forcée à se déplacer latéralement par rapport à l'axe central C, vient en contact avec les têtes adjacentes 1 et lb, ce qui permet une élimination efficace du dérangement de l'alignement des épingles dans chaque ensemble.

Dans la septième forme d'exécution, représentée à la figure 20, la forme de la tête est telle que celle-ci, vue en plan, comprend deux parties d'extrémité le, ld, perpendiculaires à l'axe central C, et une partie centrale le disposée obliquement par rapport à cet axe. Les épingles adjacentes sont réunies entre elles par leurs barres transversales. La relation t > /, entre l'intervalle l et l'épaisseur t des têtes, s'applique également à cette forme d'exécution. Dans celle-ci, le déplacement latérale d'une épingle 1, par rapport à l'axe C est limité par le fait que les points de courbure lf ou lg viennent en contact avec les épingles adjacentes, en raison de la forme particulière de la tête (les têtes ayant, vues en plan, une forme suivant une ligne brisée composée de trois segments dont les deux segments d'extrémité sont égaux et parallèles entre eux, le segment central faisant un angle de 140 à 160 0 avec les deux autres) et en raison du fait que t > l.

Dans la huitième forme d'exécution, représentée aux figures 21 et 22, les têtes et les barres transversales ont une forme identique et sont respectivement réunies aux têtes et aux barres transversales des épingles adjacentes. Cette forme d'exécution permet de réduire la quantité de résine nécessaire au moulage de l'ensemble et de simplifier la construction du moule grâce au fait que l'on confère à la tête la même forme qu'à la barre transversale.

Dans la neuvième forme d'exécution, représentée aux figures 23 et 241'ensemble a une forme similaire à celle de la huitième forme d'exécution, mais les appendices 4 et la tige de connexion 5 sont supprimés. Ainsi, 1 ensemble a, en section, une forme générale de H, comme représenté à la figure 24. Dans cette forme d'exécution, l'agencement de l'ensemble est très simplifié et sa forme compacte permet une économie supplémentaire de résine synthétique. La simplification de la forme permet également de faciliter la manipulation de l'ensemble.

On va maintenant donner une description de la forme des têtes dans le cas d'ensembles d'épingles ayant des têtes séparées.

Lors de la description qui précède de la deuxième et de la quatrième forme d'exécution, représentées, respectivement, saux figures 11 et 17, on a considéré la disposition des épingles en élévation de face et en plan. Cependant, la disposition en élévation latérale de chaque épingle est également un facteur important pour éviter l'enchevêtrement des têtes. Ainsi, les épingles peuvent avoir différentes formes en élévation Ia-îotérale , , .

Par exemple, dans le cas des epmgles faisant parties de l'ensemble selon la deuxième forme d'exécution représentée à la figure 12, l'arête inférieure 1 h de la tête 1 est parallele à la barre transversale. Une telle forme rend toutefois difficile la 15 séperation mutuelle des têtes 1 des épingles dans le cas où celles-ci sont emmêlées. On peut résoudre ce problème en conférant à l'arête inférieure lh de la tête 1 une forme en V. En effet, une telle forme de l'arête inférieure permet un mouvement glissant qui facilite la séparation des têtes d'épingles emmê-20 lées. Dans la dixième forme d'exécution, représentée à la figure 25, on a donc conféré à l'arête inférieure 1 h de la tête une forme de V. Dans ce cas, l'arête inférieure s'éloigne de la barre transversale dans la direction opposée à l'axe du corps filiforme 3.

25 Dans la onzième forme d'exécution, représentée à la figure 26 (A), la tête a la forme d'un secteur circulaire, alors que, dans la douzième forme d'exécution, représentée a la figure 26 (B), elle a une forme semi-circulaire. Dans la treizième forme d'exécution, représentée à la figure 26 (C), la tête a une forme 30 ressemblant à celle d'un tube cathodique.

Dans les quatorzième à seizième formes d'exécution, représentées, respectivement, aux figures 26D à 26F, l'arête inférieure 1 h de la tête 1 a une forme telle que la partie inférieure de la tête s'amincit progressivement en se rapprochant du pro-35 longement du corps filiforme 3.

Grâce à l'adoption d'une telle forme de têtes, en élévation latérale, dans lesquelles l'arête inférieure est conformée de façcon que la tête s'amincisse progressivement vers le bas, on peut facilement séparer les têtes, même dans le cas où elles 40 sont emmêlées les unes avec les autres.

Comme on le voit, d'après la description qui précède, l'ensemble selon l'invention permet de réaliser un degré d'intégration élevé des épingles, tel que les barres transversales de ces épingles sont disposées sous forme d'une feuille ou plaque. Il 45 en résulte que les corps filiformes sont alignés sous forme d'une plaque aplatie, de sorte que les têtes sont également alignées en bon ordre, même dans le cas où elles sont séparées les unes des autres.

Dans le cas d'un ensemble d'épingles de type habituel, il se 50 produit d'importantes oscillations et balancements d'ensemble lors de l'utilisation d'un tel ensemble dans un dispositif de fixation tel que celui qui est repésenté à la figure 2. Il en résulte une diminution d'efficacité de cet appareil qui diminue beaucoup l'intérêt pratique. En outre, il y a un risque d'accro-55 chage d'une partie de l'épingle dans les articles tissés, susceptible de provoquer la rupture ou l'effilochage de tels articles. Ces difficultés sont complètement éliminés dans le cas de l'ensemble d'épingles selon l'invention.

Cet ensemble se prête bien à une production en grande ségo rie ainsi qu'à une utilisation pour la fixation rapide d'un grand nombre d'épingles, grâce au fait que le nombre d'épingles dans chaque ensemble est au moins le double de celui que l'on trouve dans les ensembles d'épingles de type habituel de même longueur.

65 En outre, du fait que les épingles sont disposées avec des intervalles négligeables entre elles, on élimine les difficultés résultant, notamment, de l'enchevêtrement mutuel des épingles, ce qui facilite la manipulation des ensembles lors de leurs emballage et de leur transport.

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Dans le cas des ensembles d'épingles de type habituel, les têtes sont réunies entre elles au moyen de filaments de liaison courts qui sont déchirés lors de la séparation mutuelle des épingles, en laissant des appendices en forme de «poils de moustache» susceptibles d'endommager gravement les articles fixés au moyen des épingles. Ce probème est complètement éliminé dans le cas de l'ensemble selon l'invention grâce au fait que les parties de liaison des barres transversales entre elles sont formées par des parties renflées formées sur les faces latérales de ces barres transversales, comme représenté, par exemple, à la figure 11.

En outre, du fait que les épingles sont assemblées avec une grande densité, l'assemblage a, dans son ensemble, des dimensions réduites par rapport à un ensemble de type conventionnel comportant le même nombre d'épingles, ce qui permet de s diminuer les dimensions du moule nécessaire pour le produire, tout en permettant également un bon écoulement de la résine fondue, en réduisant ainsi la proportion de pièces à mettre au rebut. Le prix de revient de chaque épingle est donc abaissé.

C

4 feuilles dessins

Claims

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1. Ensemble en grappe d'épingles de fixation, dans lequel chaque épingle est composée d'une tête, une barre transversale et un corps filiforme reliant entre elles la tête et la barre transversale, cet ensemble étant venu de moulage d'une seule pièce en matière plastique, caractérisé par le fait qu'une partie renflée est formée au moins dans la partie centrale des faces latérales des barres transversales, les parties renflées des barres transversales adjacentes étant réunies entre elles, de sorte que ces barres sont disposées sous forme d'une plaque.

2. Ensemble selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les parties renflées ont une forme conique allant en diminuant à partir des bords vers le centre des faces latérales des barres transversales.

2

REVENDICATIONS

3. Ensemble selon la revendication 1, caractérisé par le fait que des parties renflées sont formées dans la partie centrale des faces latérales des têtes et que les parties renflées des têtes adjacentes sont réunies entre elles.

4. Ensemble selon la revendication 3, caractérisé par le fait que les parties renflées ont une forme conique allant en diminuant à partir des bords vers le centre des faces latérales des têtes.

5. Ensemble selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'il comprend deux groupes d'épingles disposés en alternance, le premier de ces groupes comprenant des épingles dont les deux faces latérales de leurs têtes ont une forme conique allant en diminuant vers le centre de ces faces de manière à constituer une partie centrale renflée réunissant entre elles les têtes des épingles adjacentes, le second groupe comprenant des épingles ne comportant pas de parties renflées sur les faces latérales de leur tête, les têtes des épingles de ce groupe étant séparées les unes des autres.

6. Ensemble selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les têtes des épingles ont une forme aplatie et apparaissent inclinées vers les barres transversales lorsqu'on les observe en plan.

7. Ensemble selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les têtes des épingles sont aplaties et ont, vues en plan, la forme d'un chevron.

8. Ensemble selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les têtes des épingles sont aplaties et ont, vues en plan, une forme suivant une ligne brisée composée de trois segments dont les deux segments d'extrémité sont égaux et parallèles entre eux le segment central faisant un angle de 140 à 160°

avec les deux autres.

9. Ensemble selon la revendication 3, caractérisé par le fait que les têtes des épingles ont une forme correspondant à celle des barres transversales.

10. Ensemble selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisé par le fait que les arêtes de la tête placées en regard de la barre transversale s'éloignent de cette dernère dans la direction opposée à l'axe du corps filiforme.

11. Ensemble selon l'une des revendication 1 à 10, caractérisé par le fait que les barres transversales sont raccordées par des appendices à une tige de connection.