CA2310115A1 - Appareil et procede de repassage avec generation de vapeur - Google Patents
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Abstract
L'invention concerne un appareil et un procédé de repassage. L'appareil de repassage comprend un fer à repasser (2), un générateur de vapeur d'eau (1) et un tube (105) reliant le générateur au fer. La vapeur entraînant avec elle des condensats dans le fer, le fer comporte des moyens de récupération (201, 202) des condensats et une conduite (203) d'évacuation de la vapeur, reliée aux moyens de récupération. Préférentiellement, le fer comporte des moyens d'expulsion (209, 214) des condensats retenus dans les moyens de récupération.
Description
. ~ ~CA 02310115 2000-OS-15 ,, ~, ~ , ,, ..
, . , . , " , , . . , . . , . , .
B.0299~
Appareil et procédé de repassage avec génération de vapeur L'invention se rapporte à un appareil et à un procédé de repassage avec génération de vapeur.
On connaît les fers à repasser alimentés par une centrale productrice de vapeur et reliés à celle-ci par un tube pour la liaison, ce tube suivant généralement la liaison électrique.
La centrale comporte habituellement un bouilleur, ce qui permet de bons débits de vapeur et une autonomie supérieure à
celle des simples fers à repasser à vapeur ; le fer à repasser n'assurant pas la vaporisation du débit d'eau, comporte sur sa semelle une chambre de distribution de vapeur pour assurer la répartition voulue de celle-ci. Cette chambre est généralement obtenue au moins partiellement par des formes issues de la semelle, elle est donc chauffée, ce qui permet l'évaporation des condensats qui se produisent dans la liaison reliant le bouilleur à la chambre de répartition.
On connaît aussi par le brevet US2247438 un dispositif ~ intégré au fer et chauffé par la semelle permettant la séparation et l'évaporation des condensats reçus. _ La présence de ces condensats a pour inconvénient de nécessiter une puissance installée dans le fer nettement supérieure à celle strictement nécessaire au repassage proprement dit, la vapeur étant générée par ailleurs.
De plus, il n'y a pas d'eau disponible dans le fer à repasser, ce qui ne permet pas de réaliser un spray (pulvérisation d'eau) dans les modèles les plus simples. Ceci est un inconvénient car le spray est très efficace entre autres pour le défroissage des faux plis.
~Cv JyL f n f,~tlçt~E
. ~ ° -CA 02310115 2000-OS-15 " , '2 '"' " ,' ~ ", ,. ,.
EXPOSE DE L'INVENTION
L'invention remédie à ces inconvénients. Elle a ainsi pour objet un appareil de repassage permettant d'obtenir une quantité
très faible de condensats arrivant dans la chambre de distribution de vapeur, notamment en début de repassage, et ne requérant donc pas une forte puissance installée dans l'appareil de repassage. L'invention concerne aussi un tel appareil de repassage équipé d'un spray, tout en étant peu coûteux et facile à utiliser.
L'invention a aussi pour objet un procédé de repassage avec génération de vapeur, dans lequel il n'est pas nécessaire de chauffer de façon importante la chambre de distribution de vapeur pour remédier à la présence de condensats.
A cet effet, l'invention s'applique à un appareil de repassage - comprenant un fer à repasser, un générateur de vapeur d'eau et un tube reliant le générateur au fer et destiné à alimenter le fer en vapeur.
Selon l'invention, la vapeur d'eau entraînant avec elle des condensats dans le fer, le fer comporte des moyens de récupération des condensats, comportant des moyens de 2o séparation des condensats hors de la vapeur, communicant avec des moyens de stockage des condensats, et une conduite d'évacuation de la vapeur, reliée aux moyens de récupération.
La présence combinée des moyens de récupération des condensats et de la conduite d'évacuation de la vapeur au sein du fer à repasser permet d'éliminer pour l'essentiel les condensats, sans devoir effectuer un chauffage supplémentaire.
Bien que la vapeur générée soit de la vapeur d'eau, il est bien entendu qu'elle peut contenir des impuretés. De plus, elle peut aussi contenir des additifs, entraînés par grimage.
Les condensats séparés de la vapeur puis accumulés dans les moyens de stockage forment une masse liquide dont on dispose, qui peut être ultérieurement évacuée ou utilisée de diverses manières.
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. , ,CA 02310115 2000-OS-15 .. .1 1 . ( r, ( , , , , n 1 1 , 1 , l 1 , i , 1 1 . , , , 1 ( . n v n 1 1 1 1 ~ . ~ v ~ , t 1 n 1 n ( l ' , , ~ ~ . , . , ~ , 1 . ~ . 1 a Dans une première forme d'utilisation des condensats, détaillée ci-après, la masse liquide est expulsée du fer par des moyens appropriés. Ces moyens d'expulsion sont préférentiellement commandés par un utilisateur.
Dans une deuxième forme d'utilisation des condensats, la masse liquide est lentement recyclée dans le circuit de vapeur ce qui l'entraîne vers la chambre de distribution de vapeur du fer où
elle est évaporée.
Dans une autre forme d'élimination de la masse liquide, celle ci est accumulée dans un réservoir, qui peut être retiré par l'utilisateur lorsqu'il est plein.
Dans une quatrième forme de réalisation, la masse liquide accumulée est évaporée par chauffage. Le chauffage requis n'est alors pas continu mais peut être effectué à des moments choisis par l'utilisateur ou déterminés de manière automatique en fonction de la masse de liquide accumulée.
Ces divers moyens d'utilisation ou d'élimination peuvent être associés selon toutes leurs combinaisons techniquement possibles.
Avantageusement, lorsque les moyens de récupération arrivent à saturation, un indicateur prévient l'utilisateur que la masse liquide accumulée doit être éliminée. Dans une autre forme de mise en oeuvre, l'appareil de repassage comprend un système automatisé évitant la saturation des moyens de récupération.
De toute façon, en cas de ' saturation, les moyens de récupération cessent de remplir leur fonction et sont ainsi désactivés, les condensats étant alors entraînés avec la vapeur comme dans les appareils de repassage connus. Une réévaporation peut dans ce cas être effectuée classiquement au niveau de la chambre de distribution de vapeur du fer.
Dans un mode de réalisation préféré, les moyens de récupération comprennent une cavité de séparation, dans laquelle débouche le tube et de laquelle part la conduite d'évacuation, ainsi qu'un réservoir disposé, le fer étant considéré en position de travail, sous la cavité avec laquelle il est en communication.
FC
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Ainsi, Ea simple cavité fait office de séparateur gaz/liquide et le liquide retenu s'accumule dans le réservoir tandis que le gaz s'échappe par la conduite d'évacuation de la vapeur:
Dans ce mode de réalisation préféré, la cavité et le réservoir définissant un axe, le ~ tube débouche avantageusement dans la cavité selon une direction approximativement orthogonale à l'axe et tangentiellement à la cavité.
L'effet séparateur est ainsi accentué grâce à la centrifugation contre une paroi de la cavité, accompagnée d'un effet de capillarité.
Également dans ce mode de réalisation préféré, il est intéressant que la cavité de séparation comporte un volume cylindrique de révolution d'axe vertical avec dans le prolongement inférieur une base conique rétrécissant vers le bas et communiquant avec le réservoir par un orifice situé à l'extrémité.
Dans un mode de réalisation plus perfectionné la cavité
comporte un volume cylindrique de révolution d'axe vertical et dans le prolongement inférieur une base conique rétrécissant vers le bas et deux rainures circulaires en haut et en bas de la partie 2o cylindrique . Elle communique avec le réservoir par un orifice situé
à l'extrémité inférieure de la base, ainsi que par un conduit reliant les rainures.
Dans d'autres modes de réalisation de l'appareil de repassage, celui-ci comprend un autre système séparateur gaz/liquide. Selon un mode de réalisation avantageux, les moyens de récupération comprennent une cavité en forme de T inversé, la barre verticale du T étant reliée à la conduite d'évacuation de la vapeur et la barre horizontale du T ayant une première extrémité
reliée au tube alimentant le fer en vapeur et une seconde extrémité
débouchant dans un réservoir. Les chocs dans le coude du T et les effets de capillarité permettent d'obtenir l'effet séparateur voulu.
Dans un autre mode de réalisation, les moyens de wo ~r~s9is rcz.466 récupération des condensats comportent un système de filtrage.
Préférentiellement le fer comporte des moyens d'expulsion des condensats retenus dans les moyens de récupération.
Par " expulsion ", on entend un rejet dynamique des 5 condensats sous forme de masse liquide, partiel ou total, pouvant être commandé par un utilisateur, tant dans son déclenchement que dans sa durée et son intensité. Une telle expulsion est par exemple effectuée sous forme d'une pulvérisation ou d'un jet sous pression.
Un tel appareil permet non seulement d'éliminer les condensats de la vapeur, mais aussi d'obtenir conjointement une réserve liquide d'eau et de l'utiliser de manière contrôlée pour améliorer les conditions de repassage.
De façon préférée, les moyens d'expulsion constituent un dispositif de pulvérisation, comprenant un gicleur de pulvérisation, et une conduite de pulvérisation partant des moyens de stockage et aboutissant au gicleur.
Ainsi, !es moyens de récupération du condensat participent à
un système de spray, sang qu'il soit nécessaire de rajouter un réservoir supplémentaire. II en résulte une économie et une facilité
d'utilisation, puisqu'il suffit d'assurer le remplissage en eau du générateur de vapeur d'eau au lieu de devoir, en plus, s'occuper de remplir un second réservoir qui serait destiné au spray.
Selon un premier mode de réalisation avec spray, le dispositif de pulvérisation comporte une pompe destinée à propulser les condensats retenus dans les moyens de récupération vers le gicleur.
Selon un second mode de réalisation de l'appareil de repassage avec spray, le dispositif de pulvérisation comporte des moyens de fermeture provisoire de la conduite d'évacuation de la vapeur, destinés à provoquer une montée en pression de la vapeur dans les moyens de récupération et ainsi une propulsion des condensats dans le gicleur.
wo ~ns9is II est alors avantageux que les moyens de fermeture provoquent conjointement une fermeture de la conduite d'évacuation et une ouverture de la conduite de pulvérisation.
La première forme de réalisation, avec une pompe pôur le spray, offre les avantages de permettre un contr8le autonome, n'utilisant pas la pression de vapeur, et de ne pas nécessiter de renforcement du tube de liaison entre les générateurs de vapeur et le fer à repasser. La seconde forme de réalisation, avec utilisation de la pression de vapeur pour le spray, permet d'obtenir un apparAil très économique. La troisième forme de réalisation permet de régulariser le débit de condensats et d'éviter une arrivée massive de condensats dans la chambre de vapeur. La quatrième forme de réalisation permet de disposer d'un débit plus important de condensats, principalement après stabilisation thermique de l'appareil.
Selon un troisième mode de réalisation les moyens d'expulsion comprennent des moyens de recyclage lent des condensats dans la vapeur.
Selon un quatrième mode de réalisation dérivé des précédents l'appareil comporte des moyens de refroidisseri~ent de la vapeur qui comprennent un radiateur dont le circuit est disposé
le long ou dans le prolongement du tube pour la liaison de la centrale de vapeur au fer.
Avantageusement, les moyens de récupération comprennent un récipient amovible.
Dans le mode de réalisation préféré avec cavité et réservoir, ce récipient amovible est préférentiellement constitué par le réservoir.
L'invention concerne également un procédé de repassage dans lequel on génère de la vapeur d'eau avec laquelle on alimente un fer à repasser.
Selon l'invention la vapeur entraînant avec elle des condensats dans le fer, on récupère les condensats par des wo ~rns9is ~y~~,~
moyens de récupération comportant des moyens de séparation et des moyens d'accumulation et on évacue la vapeur dans une conduite d'évacuation à partir des moyens de séparation.
DESCRIPTION SOMMAIRE DES DESSINS
L'invention sera illustrée sans être aucunement limitée par la description qui suit de modes de réalisation préférés.
- La figure 1 est une vue en section longitudinale, montrant un mode de réalisation particulier de l'appareil de repassage selon l'invention.
- La figure 2 est une vue de détail de la figure 1 - La figure 3 est une vue en section longitudinale montrant un autre mode de réalisation particulier du fer d'un appareil de repassage selon l'invention - La figure 4 est une vue en section longitudinale montrant un autre mode de réalisation particulier du fer d'un appareil de repassage selon l'invention - La figure 5 est une vue de détail de la figure 4.
- La figure 6 est une vue en section longitudinale montrant un autre mode de réalisation particulier du fer d'un appareil de repassage selon l'invention.
MEILLEURE MANIERE DE REALISER 'INVENTION
Comme représenté sur la figure 1, un appareil de repassage comporte une centrale de production de vapeur 1 et un fer à vapeur
, . , . , " , , . . , . . , . , .
B.0299~
Appareil et procédé de repassage avec génération de vapeur L'invention se rapporte à un appareil et à un procédé de repassage avec génération de vapeur.
On connaît les fers à repasser alimentés par une centrale productrice de vapeur et reliés à celle-ci par un tube pour la liaison, ce tube suivant généralement la liaison électrique.
La centrale comporte habituellement un bouilleur, ce qui permet de bons débits de vapeur et une autonomie supérieure à
celle des simples fers à repasser à vapeur ; le fer à repasser n'assurant pas la vaporisation du débit d'eau, comporte sur sa semelle une chambre de distribution de vapeur pour assurer la répartition voulue de celle-ci. Cette chambre est généralement obtenue au moins partiellement par des formes issues de la semelle, elle est donc chauffée, ce qui permet l'évaporation des condensats qui se produisent dans la liaison reliant le bouilleur à la chambre de répartition.
On connaît aussi par le brevet US2247438 un dispositif ~ intégré au fer et chauffé par la semelle permettant la séparation et l'évaporation des condensats reçus. _ La présence de ces condensats a pour inconvénient de nécessiter une puissance installée dans le fer nettement supérieure à celle strictement nécessaire au repassage proprement dit, la vapeur étant générée par ailleurs.
De plus, il n'y a pas d'eau disponible dans le fer à repasser, ce qui ne permet pas de réaliser un spray (pulvérisation d'eau) dans les modèles les plus simples. Ceci est un inconvénient car le spray est très efficace entre autres pour le défroissage des faux plis.
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. ~ ° -CA 02310115 2000-OS-15 " , '2 '"' " ,' ~ ", ,. ,.
EXPOSE DE L'INVENTION
L'invention remédie à ces inconvénients. Elle a ainsi pour objet un appareil de repassage permettant d'obtenir une quantité
très faible de condensats arrivant dans la chambre de distribution de vapeur, notamment en début de repassage, et ne requérant donc pas une forte puissance installée dans l'appareil de repassage. L'invention concerne aussi un tel appareil de repassage équipé d'un spray, tout en étant peu coûteux et facile à utiliser.
L'invention a aussi pour objet un procédé de repassage avec génération de vapeur, dans lequel il n'est pas nécessaire de chauffer de façon importante la chambre de distribution de vapeur pour remédier à la présence de condensats.
A cet effet, l'invention s'applique à un appareil de repassage - comprenant un fer à repasser, un générateur de vapeur d'eau et un tube reliant le générateur au fer et destiné à alimenter le fer en vapeur.
Selon l'invention, la vapeur d'eau entraînant avec elle des condensats dans le fer, le fer comporte des moyens de récupération des condensats, comportant des moyens de 2o séparation des condensats hors de la vapeur, communicant avec des moyens de stockage des condensats, et une conduite d'évacuation de la vapeur, reliée aux moyens de récupération.
La présence combinée des moyens de récupération des condensats et de la conduite d'évacuation de la vapeur au sein du fer à repasser permet d'éliminer pour l'essentiel les condensats, sans devoir effectuer un chauffage supplémentaire.
Bien que la vapeur générée soit de la vapeur d'eau, il est bien entendu qu'elle peut contenir des impuretés. De plus, elle peut aussi contenir des additifs, entraînés par grimage.
Les condensats séparés de la vapeur puis accumulés dans les moyens de stockage forment une masse liquide dont on dispose, qui peut être ultérieurement évacuée ou utilisée de diverses manières.
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Dans une deuxième forme d'utilisation des condensats, la masse liquide est lentement recyclée dans le circuit de vapeur ce qui l'entraîne vers la chambre de distribution de vapeur du fer où
elle est évaporée.
Dans une autre forme d'élimination de la masse liquide, celle ci est accumulée dans un réservoir, qui peut être retiré par l'utilisateur lorsqu'il est plein.
Dans une quatrième forme de réalisation, la masse liquide accumulée est évaporée par chauffage. Le chauffage requis n'est alors pas continu mais peut être effectué à des moments choisis par l'utilisateur ou déterminés de manière automatique en fonction de la masse de liquide accumulée.
Ces divers moyens d'utilisation ou d'élimination peuvent être associés selon toutes leurs combinaisons techniquement possibles.
Avantageusement, lorsque les moyens de récupération arrivent à saturation, un indicateur prévient l'utilisateur que la masse liquide accumulée doit être éliminée. Dans une autre forme de mise en oeuvre, l'appareil de repassage comprend un système automatisé évitant la saturation des moyens de récupération.
De toute façon, en cas de ' saturation, les moyens de récupération cessent de remplir leur fonction et sont ainsi désactivés, les condensats étant alors entraînés avec la vapeur comme dans les appareils de repassage connus. Une réévaporation peut dans ce cas être effectuée classiquement au niveau de la chambre de distribution de vapeur du fer.
Dans un mode de réalisation préféré, les moyens de récupération comprennent une cavité de séparation, dans laquelle débouche le tube et de laquelle part la conduite d'évacuation, ainsi qu'un réservoir disposé, le fer étant considéré en position de travail, sous la cavité avec laquelle il est en communication.
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Ainsi, Ea simple cavité fait office de séparateur gaz/liquide et le liquide retenu s'accumule dans le réservoir tandis que le gaz s'échappe par la conduite d'évacuation de la vapeur:
Dans ce mode de réalisation préféré, la cavité et le réservoir définissant un axe, le ~ tube débouche avantageusement dans la cavité selon une direction approximativement orthogonale à l'axe et tangentiellement à la cavité.
L'effet séparateur est ainsi accentué grâce à la centrifugation contre une paroi de la cavité, accompagnée d'un effet de capillarité.
Également dans ce mode de réalisation préféré, il est intéressant que la cavité de séparation comporte un volume cylindrique de révolution d'axe vertical avec dans le prolongement inférieur une base conique rétrécissant vers le bas et communiquant avec le réservoir par un orifice situé à l'extrémité.
Dans un mode de réalisation plus perfectionné la cavité
comporte un volume cylindrique de révolution d'axe vertical et dans le prolongement inférieur une base conique rétrécissant vers le bas et deux rainures circulaires en haut et en bas de la partie 2o cylindrique . Elle communique avec le réservoir par un orifice situé
à l'extrémité inférieure de la base, ainsi que par un conduit reliant les rainures.
Dans d'autres modes de réalisation de l'appareil de repassage, celui-ci comprend un autre système séparateur gaz/liquide. Selon un mode de réalisation avantageux, les moyens de récupération comprennent une cavité en forme de T inversé, la barre verticale du T étant reliée à la conduite d'évacuation de la vapeur et la barre horizontale du T ayant une première extrémité
reliée au tube alimentant le fer en vapeur et une seconde extrémité
débouchant dans un réservoir. Les chocs dans le coude du T et les effets de capillarité permettent d'obtenir l'effet séparateur voulu.
Dans un autre mode de réalisation, les moyens de wo ~r~s9is rcz.466 récupération des condensats comportent un système de filtrage.
Préférentiellement le fer comporte des moyens d'expulsion des condensats retenus dans les moyens de récupération.
Par " expulsion ", on entend un rejet dynamique des 5 condensats sous forme de masse liquide, partiel ou total, pouvant être commandé par un utilisateur, tant dans son déclenchement que dans sa durée et son intensité. Une telle expulsion est par exemple effectuée sous forme d'une pulvérisation ou d'un jet sous pression.
Un tel appareil permet non seulement d'éliminer les condensats de la vapeur, mais aussi d'obtenir conjointement une réserve liquide d'eau et de l'utiliser de manière contrôlée pour améliorer les conditions de repassage.
De façon préférée, les moyens d'expulsion constituent un dispositif de pulvérisation, comprenant un gicleur de pulvérisation, et une conduite de pulvérisation partant des moyens de stockage et aboutissant au gicleur.
Ainsi, !es moyens de récupération du condensat participent à
un système de spray, sang qu'il soit nécessaire de rajouter un réservoir supplémentaire. II en résulte une économie et une facilité
d'utilisation, puisqu'il suffit d'assurer le remplissage en eau du générateur de vapeur d'eau au lieu de devoir, en plus, s'occuper de remplir un second réservoir qui serait destiné au spray.
Selon un premier mode de réalisation avec spray, le dispositif de pulvérisation comporte une pompe destinée à propulser les condensats retenus dans les moyens de récupération vers le gicleur.
Selon un second mode de réalisation de l'appareil de repassage avec spray, le dispositif de pulvérisation comporte des moyens de fermeture provisoire de la conduite d'évacuation de la vapeur, destinés à provoquer une montée en pression de la vapeur dans les moyens de récupération et ainsi une propulsion des condensats dans le gicleur.
wo ~ns9is II est alors avantageux que les moyens de fermeture provoquent conjointement une fermeture de la conduite d'évacuation et une ouverture de la conduite de pulvérisation.
La première forme de réalisation, avec une pompe pôur le spray, offre les avantages de permettre un contr8le autonome, n'utilisant pas la pression de vapeur, et de ne pas nécessiter de renforcement du tube de liaison entre les générateurs de vapeur et le fer à repasser. La seconde forme de réalisation, avec utilisation de la pression de vapeur pour le spray, permet d'obtenir un apparAil très économique. La troisième forme de réalisation permet de régulariser le débit de condensats et d'éviter une arrivée massive de condensats dans la chambre de vapeur. La quatrième forme de réalisation permet de disposer d'un débit plus important de condensats, principalement après stabilisation thermique de l'appareil.
Selon un troisième mode de réalisation les moyens d'expulsion comprennent des moyens de recyclage lent des condensats dans la vapeur.
Selon un quatrième mode de réalisation dérivé des précédents l'appareil comporte des moyens de refroidisseri~ent de la vapeur qui comprennent un radiateur dont le circuit est disposé
le long ou dans le prolongement du tube pour la liaison de la centrale de vapeur au fer.
Avantageusement, les moyens de récupération comprennent un récipient amovible.
Dans le mode de réalisation préféré avec cavité et réservoir, ce récipient amovible est préférentiellement constitué par le réservoir.
L'invention concerne également un procédé de repassage dans lequel on génère de la vapeur d'eau avec laquelle on alimente un fer à repasser.
Selon l'invention la vapeur entraînant avec elle des condensats dans le fer, on récupère les condensats par des wo ~rns9is ~y~~,~
moyens de récupération comportant des moyens de séparation et des moyens d'accumulation et on évacue la vapeur dans une conduite d'évacuation à partir des moyens de séparation.
DESCRIPTION SOMMAIRE DES DESSINS
L'invention sera illustrée sans être aucunement limitée par la description qui suit de modes de réalisation préférés.
- La figure 1 est une vue en section longitudinale, montrant un mode de réalisation particulier de l'appareil de repassage selon l'invention.
- La figure 2 est une vue de détail de la figure 1 - La figure 3 est une vue en section longitudinale montrant un autre mode de réalisation particulier du fer d'un appareil de repassage selon l'invention - La figure 4 est une vue en section longitudinale montrant un autre mode de réalisation particulier du fer d'un appareil de repassage selon l'invention - La figure 5 est une vue de détail de la figure 4.
- La figure 6 est une vue en section longitudinale montrant un autre mode de réalisation particulier du fer d'un appareil de repassage selon l'invention.
MEILLEURE MANIERE DE REALISER 'INVENTION
Comme représenté sur la figure 1, un appareil de repassage comporte une centrale de production de vapeur 1 et un fer à vapeur
2. La centrale contient un bouilleur 101 fermé par un bouchon de remplissage 102 et chauffé électriquement par un élément chauffant 103 muni d'une régulation de pression et de température.
La vapeur s'échappe par une tubulure 104 vers un tube de liaison souple 105 à travers une électrovanne de commande 106 normalement fermée. Le tube 105 relie la centrale au fer 2.
Lorsque l'électrovanne 106 est ouverte, la vapeur arrive dans wo ~r~s9is le fer 2 tangentiellement à une cavité 201 dont un orifice 216 situé
à sa base conique débouche dans un réservoir 202. La cavité 201, l'orifice 216 et le réservoir 202 sont alignés selon un axe 215 orthogonal à l'arrivée du tube 105 dans la cavité 201. La vapeur repart ensuite par une conduite 203 vers une chambre de distribution de vapeur 204 où elle se répartit sur les trous de vapeur 205 de la semelle 206 du fer.
Dans un premier mode de réalisation (figures 1 et 2) de l'invention, la conduite de vapeur 203 relie directement la cavité
201 à la chambre de distribution de vapeur 204. La conduite 209 relie le réservoir 202 à une pompe à piston commandée par une gâchette 400, la pompe délivrant de l'eau issue des condensats à
un gicleur de pulvérisation 214. De préférence la pompe est munie d'un dispositif assurant la fermeture au repos de la conduite 209 à
son arrivée dans la pompe, comprenant deux joints 403 qui définissent une chambre annulaire fermée, autour du piston 406, où débouche l'orifice de la conduite 209 quand le piston est au repos. Le piston 406 comporte une deuxième chambre annulaire 405 où débouche la conduite 209 lorsque la commande de gâchette 400 est actionnée, et un clapet 402 d'admission relié par des perforations à la chambre 405. La pompe comporte classiquement un clapet de refoulement 401 et un ressort de rappel 407 du piston en position repos. Dans une autre version, les condensats sont repris par une pompe électrique mise en route quand on appuie sur un bouton mis à la place de la gâchette 400.
Une gâchette 211 située sous la poignée du fer permet à
l'utilisatrice d'actionner un contact 212, lequel commande l'ouverture de l'électrovanne 106. Le fer 2 est muni d'un élément chauffant la semelle 206 et de sa régulation.
Lorsque l'utilisatrice branche son appareil, le bouilleur 101 et la semelle 206 s'échauffent et atteignent les températures de réglage et de consigne. La ménagère peut alors se saisir du fer et repasser. Quand elle appuie sur la gâchette 211, l'électrovanne 106 s'ouvre et permet le passage de la vapeur. Le tube 105 est alors encore froid et une quantité d'eau appréciable se condense.
Cette eau arrive avec la vapeur tangentiellement à la cavité 201, se WO 99/5915 PG"f/FR98JOZ466 dépose sur les parois par centrifugation et s'écoule dans le réservoir 202. La vapeur ne peut s'échapper par le réservoir 202 et emprunte ia conduite 203 pour se distribuer dans la chambre de répartition 204, et aller humecter le tissu via les trous 205.
Lorsqu'après un moment de repassage, le tube souple 105 s'est réchauffé, la condensation est moins importante. Cependant elle subsiste à la faveur des temps ~ morts, du fait que cette conduite n'est pas chauffée, et d'autre part, il subsiste dans la vapeur saturée un peu d'eau de primage due à l'ébullition dans le bouilleur 101, ce qui fait que le réservoir 202 continue à se remplir.
Si, dans ce premier mode de réalisation de l'invention la ménagère pousse la gâchette 400, le piston 406 de la pompe avance, la conduite 209 est alors reliée au clapet 402 fermé, le liquide contenu dans la pompe est expulsé vers le gicleur de pulvérisation 214. Au relâchement de la gâchette 400 le ressort 407 fait reculer le piston, le clapet d'admission 402 s'ouvre et les condensats sont aspirés par la conduite 209 jusqu'à ce que la position de repos soit atteinte où les joints 403 ferment le passage de l'orifice de la conduite 209. La pompe est alors prête pour une nouvelle pulvérisation. La ménagère dispose alors d'un excellent spray pour pulvériser sur son linge. L'eau récupérée ne se réévapore pas sur la semelle, ce qui est particulièrement sensible au démarrage du fer, et on peut disposer une puissance installée plus faible sur le fer sans préjudice pour le repassage. Cette puissance économisée peut être installée sur le bouilleur 101 pour en augmenter les performances. L'usage d'une pompe permet de doser et pulvériser sans utiliser la pression de vapeur, et ne nécessite pas le renforcement du tube de liaison 105.
Dans un deuxième mode de réalisation (figure 3) de l'invention, le long de la conduite 203 de vapeur on trouve un distributeur 207 dont le tiroir 208 laisse normalement le passage libre à la vapeur. De l'eau se rassemble à la base du réservoir 202 d'où part une conduite 209 vers un gicleur de pulvérisation 214 situé à l'avant du fer. Le passage de l'eau est normalement interrompu par le distributeur 207 dont un circuit est le long de la conduite 209. Un ressort 210 rappelle le tiroir 208 dans cette wo ~ns9is l0 position. Une gâchette 211 située sous la poignée du fer permet à
l'utilisatrice d'actionner un contact 212, lequel commande l'ouverture de l'électrovanne 106. Le fer 2 est muni d'un élément chauffant la semelle 206 et de sa régulation.
Le tiroir 208 du distributeur 207 peut être commandé par l'utilisatrice par l'appui sur un bouton 213.
Lorsque l'utilisatrice utilise son appareil, l'eau se condense dans les mêmes conditions que dans le premier mode de réalisation. Cette eau arrive avec la vapeur tangentiellement à la cavité 201, se dépose sur les parois par centrifugation et s'écoule dans le réservoir 202. La vapeur ne peut s'échapper par le réservoir 202 et emprunte la conduite 203 via le distributeur 207, ouvert, pour se distribuer dans la chambre de répartition. 204, et aller humecter le tissu via les trous 205.
Si, dans ce deuxième mode de réalisation, la ménagère appuie sur le bouton 213, le distributeur 207 ferme le passage de la vapeur vers les trous 205 et assure la continuité de la conduite 209 du réservoir 202 au gicleur 214. La vapeur ne pouvant s'échapper monte en pression dans le réservoir 202, ce qui propulse l'eau dans le gicleur. La ménagëre dispose alors d'un excellent spray pour pulvériser sur son linge. L'eau récupérée ne se réévapore pas sur la semelle, ce qui est particulièrement sensible au démarrage du fer, et on peut disposer une puissance installée plus faible sur le fer sans préjudice pour le repassage.
Cette puissance économisée peut ëtre installée sur le bouilleur 101 pour en augmenter les performances.
Dans un troisième mode de réalisation (figures 4 et 5) de l'invention la conduite 209 est un tube rigide s'étendant du fond du réservoir 202 au sommet de la cavité 201 le long de l'axe 215. Ce tube comporte en face de l'orifice de départ de la conduite 203 dans une zone dépressionnaire 214 un orifice 217 et à sa base un fil 218 introduit dans ie tube et recourbé à l'extérieur qui en limite la section de passage.
Lorsque l'utilisatrice utilise son appareil, l'eau se condense wo ~r~s9is rcr~ss~ss dans les mêmes conditions que dans le premier mode de réalisation. Cette eau arrive avec la vapeur tangentiellement à la cavité 201, se dépose sur les parois par centrifugation et s'écoule dans le réservoir 202. La vapeur ne peut s'échapper par le réservoir 202 et emprunte la conduite 203, pour se distribuer dans la chambre de répartition 204, et aller humecter le tissu via les trous 205.
Dans ce troisième mode de réalisation, quand la ménagère actionne la gâchette 211 après la grosse arrivée de condensats du démarrage, ceux ci remontent avec un débit, limité par le fil 218, dans la conduite 209 jusqu'à l'orifice 217 situé dans une zone dépressionnaire où ils sont aspirés par la conduite 203 et conduits dans la chambre de distribution de vapeur 204 où ils sont évaporés. De cette façon il n'arrive jamais de gros débits de condensats dans cette chambre et il n'est pas nécessaire de sur dimensionner la puissance de chauffage.
Dans un quatrième mode de réalisation (figure 6) de l'invention, le fer de préférence selon le premier ou deuxième mode de réalisation comprend un radiateur disposé sur le talon. Ce radiateur est constitué d'une plaque métallique 300 qu'une grille en matière plastique 302 protége des contacts avec l'extérieur sans gêner la convection de l'air contre la plaque et un conduit 301 thermiquement solidaire de la plaque 300, constituant un circuit de vapeur prolongeant le tube 105. Le tube de liaison 105 est de préférence connecté à l'entrée du tube 30 1 dont la sortie est reliée à la cavité 201.
Quand la ménagère appuie sur la gâchette 211, l'électrovanne 106 s'ouvre et permet le passage de la vapeur. Celle ci passe dans le tube de liaison 105 puis dans son prolongement 301 du radiateur 300 ou une quantité d'eau supplémentaire se refroidit, se condense et s'ajoute aux condensats existants. Cette .eau arrive avec la vapeur tangentiellement à la cavité 201, se dépose sur les parois par centrifugation et s'écoule dans le réservoir 202. Le fonctionnement est identique à celui du premier ou deuxième mode de réalisation, mais on dispose de plus d'eau pour la pulvérisation, ce qui est surtout sensible lorsque le tube 105 a atteint son équilibre thermique.
POSSIBILITE D'APPLICATION INDUSTRIELLE
L'invention trouve son application dans te domaine technique des appareils et procédés de repassage avec génération de vapeur.
La vapeur s'échappe par une tubulure 104 vers un tube de liaison souple 105 à travers une électrovanne de commande 106 normalement fermée. Le tube 105 relie la centrale au fer 2.
Lorsque l'électrovanne 106 est ouverte, la vapeur arrive dans wo ~r~s9is le fer 2 tangentiellement à une cavité 201 dont un orifice 216 situé
à sa base conique débouche dans un réservoir 202. La cavité 201, l'orifice 216 et le réservoir 202 sont alignés selon un axe 215 orthogonal à l'arrivée du tube 105 dans la cavité 201. La vapeur repart ensuite par une conduite 203 vers une chambre de distribution de vapeur 204 où elle se répartit sur les trous de vapeur 205 de la semelle 206 du fer.
Dans un premier mode de réalisation (figures 1 et 2) de l'invention, la conduite de vapeur 203 relie directement la cavité
201 à la chambre de distribution de vapeur 204. La conduite 209 relie le réservoir 202 à une pompe à piston commandée par une gâchette 400, la pompe délivrant de l'eau issue des condensats à
un gicleur de pulvérisation 214. De préférence la pompe est munie d'un dispositif assurant la fermeture au repos de la conduite 209 à
son arrivée dans la pompe, comprenant deux joints 403 qui définissent une chambre annulaire fermée, autour du piston 406, où débouche l'orifice de la conduite 209 quand le piston est au repos. Le piston 406 comporte une deuxième chambre annulaire 405 où débouche la conduite 209 lorsque la commande de gâchette 400 est actionnée, et un clapet 402 d'admission relié par des perforations à la chambre 405. La pompe comporte classiquement un clapet de refoulement 401 et un ressort de rappel 407 du piston en position repos. Dans une autre version, les condensats sont repris par une pompe électrique mise en route quand on appuie sur un bouton mis à la place de la gâchette 400.
Une gâchette 211 située sous la poignée du fer permet à
l'utilisatrice d'actionner un contact 212, lequel commande l'ouverture de l'électrovanne 106. Le fer 2 est muni d'un élément chauffant la semelle 206 et de sa régulation.
Lorsque l'utilisatrice branche son appareil, le bouilleur 101 et la semelle 206 s'échauffent et atteignent les températures de réglage et de consigne. La ménagère peut alors se saisir du fer et repasser. Quand elle appuie sur la gâchette 211, l'électrovanne 106 s'ouvre et permet le passage de la vapeur. Le tube 105 est alors encore froid et une quantité d'eau appréciable se condense.
Cette eau arrive avec la vapeur tangentiellement à la cavité 201, se WO 99/5915 PG"f/FR98JOZ466 dépose sur les parois par centrifugation et s'écoule dans le réservoir 202. La vapeur ne peut s'échapper par le réservoir 202 et emprunte ia conduite 203 pour se distribuer dans la chambre de répartition 204, et aller humecter le tissu via les trous 205.
Lorsqu'après un moment de repassage, le tube souple 105 s'est réchauffé, la condensation est moins importante. Cependant elle subsiste à la faveur des temps ~ morts, du fait que cette conduite n'est pas chauffée, et d'autre part, il subsiste dans la vapeur saturée un peu d'eau de primage due à l'ébullition dans le bouilleur 101, ce qui fait que le réservoir 202 continue à se remplir.
Si, dans ce premier mode de réalisation de l'invention la ménagère pousse la gâchette 400, le piston 406 de la pompe avance, la conduite 209 est alors reliée au clapet 402 fermé, le liquide contenu dans la pompe est expulsé vers le gicleur de pulvérisation 214. Au relâchement de la gâchette 400 le ressort 407 fait reculer le piston, le clapet d'admission 402 s'ouvre et les condensats sont aspirés par la conduite 209 jusqu'à ce que la position de repos soit atteinte où les joints 403 ferment le passage de l'orifice de la conduite 209. La pompe est alors prête pour une nouvelle pulvérisation. La ménagère dispose alors d'un excellent spray pour pulvériser sur son linge. L'eau récupérée ne se réévapore pas sur la semelle, ce qui est particulièrement sensible au démarrage du fer, et on peut disposer une puissance installée plus faible sur le fer sans préjudice pour le repassage. Cette puissance économisée peut être installée sur le bouilleur 101 pour en augmenter les performances. L'usage d'une pompe permet de doser et pulvériser sans utiliser la pression de vapeur, et ne nécessite pas le renforcement du tube de liaison 105.
Dans un deuxième mode de réalisation (figure 3) de l'invention, le long de la conduite 203 de vapeur on trouve un distributeur 207 dont le tiroir 208 laisse normalement le passage libre à la vapeur. De l'eau se rassemble à la base du réservoir 202 d'où part une conduite 209 vers un gicleur de pulvérisation 214 situé à l'avant du fer. Le passage de l'eau est normalement interrompu par le distributeur 207 dont un circuit est le long de la conduite 209. Un ressort 210 rappelle le tiroir 208 dans cette wo ~ns9is l0 position. Une gâchette 211 située sous la poignée du fer permet à
l'utilisatrice d'actionner un contact 212, lequel commande l'ouverture de l'électrovanne 106. Le fer 2 est muni d'un élément chauffant la semelle 206 et de sa régulation.
Le tiroir 208 du distributeur 207 peut être commandé par l'utilisatrice par l'appui sur un bouton 213.
Lorsque l'utilisatrice utilise son appareil, l'eau se condense dans les mêmes conditions que dans le premier mode de réalisation. Cette eau arrive avec la vapeur tangentiellement à la cavité 201, se dépose sur les parois par centrifugation et s'écoule dans le réservoir 202. La vapeur ne peut s'échapper par le réservoir 202 et emprunte la conduite 203 via le distributeur 207, ouvert, pour se distribuer dans la chambre de répartition. 204, et aller humecter le tissu via les trous 205.
Si, dans ce deuxième mode de réalisation, la ménagère appuie sur le bouton 213, le distributeur 207 ferme le passage de la vapeur vers les trous 205 et assure la continuité de la conduite 209 du réservoir 202 au gicleur 214. La vapeur ne pouvant s'échapper monte en pression dans le réservoir 202, ce qui propulse l'eau dans le gicleur. La ménagëre dispose alors d'un excellent spray pour pulvériser sur son linge. L'eau récupérée ne se réévapore pas sur la semelle, ce qui est particulièrement sensible au démarrage du fer, et on peut disposer une puissance installée plus faible sur le fer sans préjudice pour le repassage.
Cette puissance économisée peut ëtre installée sur le bouilleur 101 pour en augmenter les performances.
Dans un troisième mode de réalisation (figures 4 et 5) de l'invention la conduite 209 est un tube rigide s'étendant du fond du réservoir 202 au sommet de la cavité 201 le long de l'axe 215. Ce tube comporte en face de l'orifice de départ de la conduite 203 dans une zone dépressionnaire 214 un orifice 217 et à sa base un fil 218 introduit dans ie tube et recourbé à l'extérieur qui en limite la section de passage.
Lorsque l'utilisatrice utilise son appareil, l'eau se condense wo ~r~s9is rcr~ss~ss dans les mêmes conditions que dans le premier mode de réalisation. Cette eau arrive avec la vapeur tangentiellement à la cavité 201, se dépose sur les parois par centrifugation et s'écoule dans le réservoir 202. La vapeur ne peut s'échapper par le réservoir 202 et emprunte la conduite 203, pour se distribuer dans la chambre de répartition 204, et aller humecter le tissu via les trous 205.
Dans ce troisième mode de réalisation, quand la ménagère actionne la gâchette 211 après la grosse arrivée de condensats du démarrage, ceux ci remontent avec un débit, limité par le fil 218, dans la conduite 209 jusqu'à l'orifice 217 situé dans une zone dépressionnaire où ils sont aspirés par la conduite 203 et conduits dans la chambre de distribution de vapeur 204 où ils sont évaporés. De cette façon il n'arrive jamais de gros débits de condensats dans cette chambre et il n'est pas nécessaire de sur dimensionner la puissance de chauffage.
Dans un quatrième mode de réalisation (figure 6) de l'invention, le fer de préférence selon le premier ou deuxième mode de réalisation comprend un radiateur disposé sur le talon. Ce radiateur est constitué d'une plaque métallique 300 qu'une grille en matière plastique 302 protége des contacts avec l'extérieur sans gêner la convection de l'air contre la plaque et un conduit 301 thermiquement solidaire de la plaque 300, constituant un circuit de vapeur prolongeant le tube 105. Le tube de liaison 105 est de préférence connecté à l'entrée du tube 30 1 dont la sortie est reliée à la cavité 201.
Quand la ménagère appuie sur la gâchette 211, l'électrovanne 106 s'ouvre et permet le passage de la vapeur. Celle ci passe dans le tube de liaison 105 puis dans son prolongement 301 du radiateur 300 ou une quantité d'eau supplémentaire se refroidit, se condense et s'ajoute aux condensats existants. Cette .eau arrive avec la vapeur tangentiellement à la cavité 201, se dépose sur les parois par centrifugation et s'écoule dans le réservoir 202. Le fonctionnement est identique à celui du premier ou deuxième mode de réalisation, mais on dispose de plus d'eau pour la pulvérisation, ce qui est surtout sensible lorsque le tube 105 a atteint son équilibre thermique.
POSSIBILITE D'APPLICATION INDUSTRIELLE
L'invention trouve son application dans te domaine technique des appareils et procédés de repassage avec génération de vapeur.
Claims (11)
1. Appareil de repassage comprenant un fer à repasser (2), un générateur (1) de vapeur d'eau et un tube (105) reliant le générateur (1) au fer (2) et destiné à
alimenter le fer (2) en vapeur, caractérisé en ce que la vapeur d'eau entraînant avec elle des condensats dans le fer (2), le fer comporte d'une part des moyens de récupération (201, 202) desdits condensats comprenant des moyens de séparation (201) des condensats hors de la vapeur communicant avec des moyens de stockage (202) des condensats sous forme d'une masse liquide et une conduite (203) d'évacuation de la vapeur reliée aux moyens de récupération, et d'autre part des moyens d'expulsion (207-209, 213-214) des condensats liquides retenus dans les moyens de récupération (201, 202).
alimenter le fer (2) en vapeur, caractérisé en ce que la vapeur d'eau entraînant avec elle des condensats dans le fer (2), le fer comporte d'une part des moyens de récupération (201, 202) desdits condensats comprenant des moyens de séparation (201) des condensats hors de la vapeur communicant avec des moyens de stockage (202) des condensats sous forme d'une masse liquide et une conduite (203) d'évacuation de la vapeur reliée aux moyens de récupération, et d'autre part des moyens d'expulsion (207-209, 213-214) des condensats liquides retenus dans les moyens de récupération (201, 202).
2. Appareil de repassage selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de récupération comprennent une cavité (201), dans laquelle débouche ledit tube (105) et de laquelle part la conduite (203) d'évacuation, et un réservoir (202) en communication avec la cavité (201) et disposé, le fer étant considéré en position de travail, sous la cavité (201).
3. Appareil de repassage selon la revendication 2, caractérisé en ce que la cavité (201) et le réservoir (202) définissant un axe (215), ledit tube (105) débouche dans la cavité
(201) selon une direction approximativement orthogonale audit axe (215) et tangentiellement à la cavité (201).
(201) selon une direction approximativement orthogonale audit axe (215) et tangentiellement à la cavité (201).
4. Appareil de repassage selon l'une des revendications 2 ou 3, caractérisé en ce que la cavité (201) a une base conique rétrécissant inférieurement et communique avec le réservoir (202) par un orifice (216) situé à l'extrémité inférieure de ladite base.
5. Appareil de repassage selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que lesdits moyens d'expulsion constituent un dispositif de pulvérisation, comprenant un gicleur (214) de pulvérisation, et une conduite de pulvérisation (209) partant des moyens de récupération (202) et aboutissant au gicleur (214).
6. Appareil de repassage selon la revendication 5, caractérisé en ce que le dispositif de pulvérisation comporte une pompe destinée à propulser les condensats retenus dans les moyens de récupération (201, 202) vers le gicleur (214).
7. Appareil de repassage selon la revendication 5, caractérisé en ce que le dispositif de pulvérisation comporte des moyens de fermeture (207, 208, 213) provisoire de la conduite d'évacuation (203) de la vapeur, destinés à provoquer une montée en pression de la vapeur dans les moyens de récupération (201, 202) et ainsi une propulsion des condensats dans le gicleur (214)
8. Appareil selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé
en qu'il comporte un radiateur de refroidissement (300) de la vapeur dont le circuit (301) est installé le long ou en prolongement du tube (105).
en qu'il comporte un radiateur de refroidissement (300) de la vapeur dont le circuit (301) est installé le long ou en prolongement du tube (105).
9. Appareil de repassage selon la revendication 1 caractérisé en ce que les moyens d'expulsion comportent des moyens de recyclage des condensats dans le circuit de vapeur.
10.Appareil de repassage selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les moyens de récupération comprennent un récipient amovible.
11. Procédé de repassage dans lequel on génère de la vapeur d'eau avec laquelle on alimente un fer à repasser (2), caractérisé en ce que la vapeur entraînant avec elle des condensats dans le fer (2), on retient les condensats par des moyens de récupération (201, 202) comportant des moyens de séparation desdits condensats hors de la vapeur communicant avec des moyens de stockage des condensats sous forme d'une masse liquide, on récupère la vapeur dans une conduite d'évacuation (203) à
partir des moyens de récupération et on utilise les condensats liquides dans des moyens d'évacuation 214, 209.
partir des moyens de récupération et on utilise les condensats liquides dans des moyens d'évacuation 214, 209.
Applications Claiming Priority (3)
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| FR9714743A FR2771110B1 (fr) | 1997-11-19 | 1997-11-19 | Appareil et procede de repassage avec generation de vapeur |
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| PCT/FR1998/002466 WO1999025915A1 (fr) | 1997-11-19 | 1998-11-19 | Appareil et procede de repassage avec generation de vapeur |
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| CA2310115A1 true CA2310115A1 (fr) | 1999-05-27 |
Family
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Family Applications (1)
| Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
|---|---|---|---|
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|---|---|
| EP (1) | EP1032730A1 (fr) |
| JP (1) | JP2001523498A (fr) |
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| WO (1) | WO1999025915A1 (fr) |
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Legal Events
| Date | Code | Title | Description |
|---|---|---|---|
| FZDE | Discontinued |