"Fauteuil pour véhicule, notamment automobile" La présente invention est relative à un fauteuil pour véhicule, notamment automobile, comprenant un siège et un dossier, au moins la partie du dossier, contre laquelle s'appuie le dos d'une personne prenant place dans le fauteuil, coopérant avec des organes élastiques de manière à pouvoir osciller autour d'un point fixe par rapport au siège, uniquement suivant un mouvement ascendant et descendant.
Un fauteuil présentant ces caractéristiques a fait l'objet du brevet principal 897.046.
Un des buts essentiels de la présente invention est de présenter un fauteuil du type précité permettant de supprimer ou au moins d'atténuer d'une manière très efficace le mal au dos du passager du véhicule, provoqué par les oscillations verticales du fauteuil, induites par exemple par les inégalités de la route dans le cas d'un véhicule automobile.
Il a été constaté qu'un mauvais choix des caractéristiques de la partie mobile du dossier avait un effet néfaste sur le dos du passager au lieu de l'effet bénéfique recherché.
Si par exemple les fréquences propres du siège chargé du passager et de la partie mobile du dossier sont approximativement égales il se produit un phénomène de résonance, de tel sorte que l'oscillation de la partie mobile du dossier peut avoir une amplitude largement supérieure à celle du siège chargé du passager.
Pour résoudre ce problème il a ainsi été proposé de réaliser un fauteuil dont l'inertie de la partie mobile du dossier était aussi faible que possible.
Quoique des résultats relativement favorables ont été obtenus par cette solution, il a été constaté que la réalisation pratique, surtout à l'échelle industrielle d'un fauteuil répondant à cette exigence, risque d'être assez complexe.
Un des buts essentiels de la présente invention est de proposer un fauteuil du type précité d'une construction très simple qui permet, sans nécessiter des précautions particulières, du point de vue choix de matériaux et agencement des parties constitutives du dossier, de supprimer ou au moins de réduire considérablement le mal au dos du passager.
A cet effet, suivant l'invention, il présente des moyens permettant de limiter la transmission, à partir du siège du fauteuil, de vibrations ayant une fréquence supérieure à 10 Hz vers la partie du dossier contre laquelle s'appuie le dos de la personne susdite (Hz = Herz = cycle par seconde).
Avantageusement, les organes élastiques précités coopérant avec la partie mobile du dossier du fauteuil présentent une rigidité inférieure à 1 kg/cm et, de préférence, comprise entre 0,01 kg/cm et 1 kg/cm.
Suivant une forme de réalisation avantageuse, la partie du dossier contre laquelle s'appuie le dos du passager est agencée de manière à reposer sur les organes élastiques et à être guidée suivant la direction dudit mouvement ascendant et descendant.
Suivant une forme de réalisation particulièrement avantageuse de l'invention, sensiblement tout le dossier est agencé de manière à pouvoir subir le mouvement ascendant et descendant par rapport au siège.
Suivant une forme de réalisation préférentielle de l'objet de l'invention, les organes élastiques comprennent au moins un ressort hélicoïdal enfilé sur une tige de guidage s'étendant suivant la direction du mouvement ascendant et descendant précité, cette tige étant fixe par rapport à une partie du dossier et coulissant par rapport à l'autre partie suivant ladite direction.
D'autres détails et particularités de l'invention ressortiront de la description, donnée ci-après, à titre d'exemple non limitatif, d'une forme de réalisation particulière d'un fauteuil suivant l'invention.
La figure 1 est une vue schématique latérale d'un fauteuil suivant cette forme de réalisation particulière de l'invention. La figure 2 est, à plus grande échelle, une coupe longitudinale d'une partie essentielle du fauteuil suivant cette forme de réalisation particulière.
Dans ces deux figures, les mêmes chiffres de référence concernent des éléments identiques.
L'objet essentiel de la présente invention est de présenter un fauteuil pour véhicule dans lequel l'importance relative de l'effet d'inertie a été modifié par rapport à celui d'autres facteurs.
En effet, il a été constaté, suivant l'invention, sur base d'essais et de mesures effectuées sur des fauteuils aussi bien à dossier entièrement fixe qu'à dossier dont au moins la partie destinée à venir en contact avec le dos du passager est mobile, que les fréquences les plus nocives pour la colonne vertébrale se situent au delà de 10 Herz.
Il a aussi été conclu qu'il n'est pas toujours indispensable que la partie mobile du dossier, contre laquelle s'appuie le dos du passager, aie une faible inertie.
Les vibrations auxquelles est soumise la colonne vertébrale d'un passager de véhicule, notamment automobile, sont dues aux vibrations du plancher sur lequel est fixé le fauteuil dans lequel est assis le passager.
Suivant la présente invention, la qualité principale que doit avoir l'ensemble du fauteuil, c'est-à-dire le siège et le dossier, est que la construction doit être telle que les vibrations du plancher du véhicule, ayant une fréquence supérieure à 10 Hz, n'atteignent pas la colonne vertébrale du passager.
Habituellement, le siège d'un fauteuil de véhicule a une suspension assez souple, afin d'assurer le confort du passager. Typiquement, cette suspension a une raideur ou rigidité de 15 à 30 kg/cm. Une telle suspension, chargée d'un passager pesant environ 75 kg, amortit fortement les vibrations ayant une fréquence supérieure à 10 Hz. De plus, la morphologie du corps humain est telle que les parties charnues de l'assise du passager constituent aussi un bon amortisseur pour les fréquences audelà de 10 Hz. Au total, les vibrations de fréquence supérieure à 10 Hz du plancher d'un véhicule, notamment automobile, ne seront pratiquement pas transmises à la colonne vertébrale du passager par l'intermédiaire de l'assise du fauteuil dans lequel est assis le passager.
Par contre, si le dossier n'est pas mobile ou s'il ne comporte pas de partie mobile pour le dos du passager, les vibrations au delà de
10 Hz ne sont pas amorties, et ces vibrations du plancher peuvent donc atteindre la colonne vertébrale du passager par l'intermédiaire du dossier.
D'une façon générale, l'invention concerne un fauteuil destiné à être utilisé dans n'importe quel type de véhicule, notamment voiture automobile, autobus, camion, tracteur etc..
Une forme de réalisation particulière - d'un fauteuil, suivant l'invention, qui présente les caractéristiques décrites ci-dessus a été représentée aux figures annexées.
Ce fauteuil comprend un siège 1 et un dossier 2, qui est de préférence articulé sur la partie arrière de ce siège.
Dans le cas d'une voiture automobile, autobus ou camion, le siège 1 est fixé, éventuellement à coulissement horizontal, sur le plancher 3 du véhicule. Etant donné qu'il s'agit de moyens de fixation traditionnels, ceux-ci n'ont pas été représentés sur la figure 1.
Au moins la partie 4 du dossier 2, contre laquelle s'appuie le dos d'une personne prenant place dans le fauteuil, coopère avec des organes élastiques 5 de manière à permettre ainsi le déplacement de cette partie 4 dans une même direction suivant un mouvement ascendant et descendant, comme indiqué par les flèches 6, par rapport au siège 1.
Ce fauteuil est caractérisé par le fait que les organes élastiques 5 présentent une faible rigidité dont la valeur est inférieure à 1 kg/cm et est, de préférence, comprise entre 0,01 kg/cm et 1 kg/cm.
Dans la forme de réalisation montrée aux figures, la partie 4 du dossier 2, contre laquelle s'appuie le dos, est agencée de manière à reposer sur les organes élastiques 5 et à être guidée suivant la direction 6 du mouvement ascendant et descendant.
Plus particulièrement, pratiquement tout le dossier est monté de manière à pouvoir subir ce mouvement ascendant et descendant par rapport au siège 1.
Ainsi, dans cette forme de réalisation particulière, la partie inférieure du dossier 2 coopère, par l'intermédiaire des organes élastiques 5, avec un support 8 qui est, de préférence, monté sur la partie arrière du siège 1 par l'intermédiaire d'une articulation 9, permettant ainsi de régler l'inclinaison du dossier par rapport au siège.
Comme montré clairement à la figure 2, toujours dans cette forme de réalisation particulière, les organes élastiques 5 sont constitués par un ressort hélicoïdal enfilé sur une tige de guidage 10 s'étendant suivant la direction du mouvement ascendant et descendant du dossier 2, indiqué par la flèche 6.
Une des extrémités de cette tige 10 est fixe par rapport à la partie mobile du dossier 2, l'autre extrémité étant montée à coulissement dans le support 8 suivant la direction des flèches 6.
En pratique, comme montré aux figures, le dossier 2 peut comprendre une armature métallique constituée par exemple par un tube en forme de U renversé 11, dans chacune des deux extrémités libres 12 duquel est fixée une tige 10.
Le support 8 peut être constitué de deux bouts de tube 16, dont l'extrémité inférieure est solidaire de l'articulation 9, de manière à pouvoir être bloqué dans une position angulaire réglable par rapport au siège, et dont l'extrémité supérieure est munie d'une glissière tubulaire 17 à billes 18 dans laquelle peut coulisser la tige 10 avec un minimum de frottement.
Enfin, un manchon 19 en caoutchouc souple relie les extrémités en regard de l'armature 11 et des bouts de tube 16 en recouvrant ainsi le ressort 5 et la tige 10.
Le ressort 5 permet à la partie mobile 4 du dossier d'osciller autour d'un point fixe par rapport au siège 1, ce point fixe correspondant à la position occupée par le dossier lors de l'arrêt du véhicule.
Ainsi, l'appui lombaire 7 de la partie mobile 4 du dossier 2 suivra correctement les mouvements oscillants du dos du passager. Ceci n'est par exemple pas le cas si cette partie mobile est constituée par une simple bande sans fin montée autour de rouleaux à rotation libre.
L'armature 11 peut être garnie d'un coussin façonné 13 en mousse, par exemple, contre lequel le dos peut s'appuyer, ainsi que d'un appui-tête 15 agencé sur la partie supérieure de l'armature 11.
Etant donné la pression exercée par le dos d'une personne assise dans le fauteuil contre la partie 4 du dossier 2, ce dernier suivra exactement le mouvement oscillatoire ascendant et descendant du dos du passager.
Il est bien entendu que l'invention n'est pas limitée à la forme de réalisation décrite ci-dessus et que bien des variantes peuvent être envisagées sans sortir du cadre de la protection revendiquée.
C'est ainsi que, dans certains cas, le dossier n'est pas articulé sur le siège.
REVENDICATIONS
1. Fauteuil pour véhicule, notamment automobile, comprenant un siège et un dossier, au moins la partie du dossier 2 contre laquelle s'appuie le dos d'une personne prenant place dans le fauteuil coopérant avec des organes élastiques de manière à pouvoir osciller autour d'un point fixe par rapport au siège, uniquement suivant un mouvement ascendant et descendant, caractérisé en ce qu'il présente des moyens permettant de limiter la transmission, à partir du siège du fauteuil, de vibrations ayant une fréquence supérieure à 10 Hz vers la partie du dossier contre laquelle s'appuie le dos de la personne susdite.
"Armchair for vehicle, in particular automobile" The present invention relates to an armchair for vehicle, in particular automobile, comprising a seat and a backrest, at least the part of the backrest, against which rests the back of a person taking place in the chair, cooperating with elastic members so as to be able to oscillate around a fixed point relative to the seat, only in an upward and downward movement.
An armchair with these characteristics was the subject of main patent 897,046.
One of the essential aims of the present invention is to present a chair of the aforementioned type making it possible to eliminate or at least attenuate in a very effective way the pain in the back of the passenger of the vehicle, caused by the vertical oscillations of the chair, induced by example by the unevenness of the road in the case of a motor vehicle.
It was found that a poor choice of the characteristics of the movable part of the backrest had a harmful effect on the back of the passenger instead of the desired beneficial effect.
If, for example, the natural frequencies of the loaded passenger seat and the movable part of the backrest are approximately equal, a resonance phenomenon occurs, so that the oscillation of the movable part of the backrest can have an amplitude much greater than that of the passenger seat.
To resolve this problem, it has therefore been proposed to produce an armchair whose inertia of the movable part of the backrest was as low as possible.
Although relatively favorable results have been obtained with this solution, it has been observed that the practical production, especially on an industrial scale of a chair meeting this requirement, risks being fairly complex.
One of the essential aims of the present invention is to propose an armchair of the aforementioned type of a very simple construction which makes it possible, without requiring special precautions, from the point of view of choice of materials and arrangement of the constituent parts of the backrest, to delete or to less significantly reduce the passenger's back pain.
To this end, according to the invention, it presents means making it possible to limit the transmission, from the seat of the chair, of vibrations having a frequency greater than 10 Hz towards the part of the backrest against which the person's back rests. above (Hz = Herz = cycle per second).
Advantageously, the above-mentioned elastic members cooperating with the movable part of the back of the chair have a rigidity of less than 1 kg / cm and, preferably, between 0.01 kg / cm and 1 kg / cm.
According to an advantageous embodiment, the part of the backrest against which the passenger's back rests is arranged so as to rest on the elastic members and to be guided in the direction of said upward and downward movement.
According to a particularly advantageous embodiment of the invention, substantially the entire backrest is arranged so as to be able to undergo the upward and downward movement relative to the seat.
According to a preferred embodiment of the object of the invention, the elastic members comprise at least one helical spring threaded on a guide rod extending in the direction of the above-mentioned upward and downward movement, this rod being fixed relative to part of the backrest and sliding relative to the other part in said direction.
Other details and particularities of the invention will emerge from the description, given below, by way of nonlimiting example, of a particular embodiment of an armchair according to the invention.
Figure 1 is a schematic side view of an armchair according to this particular embodiment of the invention. Figure 2 is, on a larger scale, a longitudinal section of an essential part of the chair according to this particular embodiment.
In these two figures, the same reference numbers relate to identical elements.
The essential object of the present invention is to present a vehicle chair in which the relative importance of the inertia effect has been modified compared to that of other factors.
Indeed, it has been found, according to the invention, on the basis of tests and measurements carried out on armchairs both with entirely fixed backrest and with backrest, at least the part intended to come into contact with the back of the passenger is mobile, that the frequencies most harmful to the spine are beyond 10 Herz.
It was also concluded that it is not always essential that the movable part of the backrest, against which the passenger's back rests, have low inertia.
The vibrations to which the vertebral column of a passenger of a vehicle, in particular an automobile, is subjected, are due to the vibrations of the floor on which the wheelchair in which the passenger is seated is fixed.
According to the present invention, the main quality which the whole of the armchair, that is to say the seat and the backrest, must have is that the construction must be such that the vibrations of the floor of the vehicle, having a frequency greater than 10 Hz, do not reach the passenger's spine.
Usually, the seat of a vehicle chair has a fairly flexible suspension, to ensure the comfort of the passenger. Typically, this suspension has a stiffness or rigidity of 15 to 30 kg / cm. Such a suspension, loaded with a passenger weighing approximately 75 kg, strongly absorbs vibrations having a frequency greater than 10 Hz. In addition, the morphology of the human body is such that the fleshy parts of the passenger seat also constitute a good shock absorber for frequencies above 10 Hz. In total, vibrations of frequency greater than 10 Hz from the floor of a vehicle, especially a motor vehicle, will hardly be transmitted to the spine of the passenger via the seat of the chair in which the passenger is seated.
On the other hand, if the backrest is not mobile or if it does not include a mobile part for the passenger's back, the vibrations beyond
10 Hz is not damped, and these vibrations of the floor can therefore reach the spine of the passenger through the backrest.
In general, the invention relates to an armchair intended to be used in any type of vehicle, in particular a motor car, bus, truck, tractor, etc.
A particular embodiment - of an armchair, according to the invention, which has the characteristics described above has been shown in the accompanying figures.
This chair comprises a seat 1 and a backrest 2, which is preferably articulated on the rear part of this seat.
In the case of a motor car, bus or truck, the seat 1 is fixed, possibly horizontally sliding, on the floor 3 of the vehicle. Since these are traditional fixing means, these have not been shown in FIG. 1.
At least part 4 of the backrest 2, against which rests the back of a person taking place in the chair, cooperates with elastic members 5 so as to thus allow the movement of this part 4 in the same direction in a movement ascending and descending, as indicated by the arrows 6, relative to seat 1.
This chair is characterized in that the elastic members 5 have a low rigidity whose value is less than 1 kg / cm and is preferably between 0.01 kg / cm and 1 kg / cm.
In the embodiment shown in the figures, the part 4 of the backrest 2, against which the back rests, is arranged so as to rest on the elastic members 5 and to be guided in the direction 6 of the upward and downward movement.
More particularly, practically the entire backrest is mounted so as to be able to undergo this upward and downward movement relative to the seat 1.
Thus, in this particular embodiment, the lower part of the backrest 2 cooperates, by means of the elastic members 5, with a support 8 which is preferably mounted on the rear part of the seat 1 by means of an articulation 9, thus making it possible to adjust the inclination of the backrest relative to the seat.
As clearly shown in Figure 2, still in this particular embodiment, the elastic members 5 are constituted by a helical spring threaded on a guide rod 10 extending in the direction of upward and downward movement of the backrest 2, indicated by arrow 6.
One end of this rod 10 is fixed relative to the movable part of the backrest 2, the other end being slidably mounted in the support 8 in the direction of the arrows 6.
In practice, as shown in the figures, the backrest 2 can comprise a metal frame constituted for example by an inverted U-shaped tube 11, in each of the two free ends 12 of which is fixed a rod 10.
The support 8 may consist of two ends of tube 16, the lower end of which is integral with the articulation 9, so that it can be locked in an adjustable angular position relative to the seat, and the upper end of which is provided a tubular slide 17 with balls 18 in which the rod 10 can slide with a minimum of friction.
Finally, a flexible rubber sleeve 19 connects the opposite ends of the frame 11 and the ends of the tube 16, thus covering the spring 5 and the rod 10.
The spring 5 allows the movable part 4 of the backrest to oscillate around a fixed point relative to the seat 1, this fixed point corresponding to the position occupied by the backrest when the vehicle stops.
Thus, the lumbar support 7 of the movable part 4 of the backrest 2 will correctly follow the oscillating movements of the passenger's back. This is for example not the case if this movable part is constituted by a simple endless band mounted around rollers with free rotation.
The frame 11 can be furnished with a shaped cushion 13 made of foam, for example, against which the back can rest, as well as a headrest 15 arranged on the upper part of the frame 11.
Given the pressure exerted by the back of a person seated in the chair against part 4 of the backrest 2, the latter will follow exactly the upward and downward oscillatory movement of the passenger's back.
It is understood that the invention is not limited to the embodiment described above and that many variants can be envisaged without departing from the scope of the protection claimed.
Thus, in some cases, the backrest is not articulated on the seat.
CLAIMS
1. Armchair for vehicle, in particular motor vehicle, comprising a seat and a backrest, at least the part of the backrest 2 against which the back of a person taking place in the armchair cooperates cooperating with elastic members so as to be able to oscillate around of a fixed point relative to the seat, only in an upward and downward movement, characterized in that it has means making it possible to limit the transmission, from the seat of the chair, of vibrations having a frequency greater than 10 Hz towards the part of the file against which the back of the above person leans.