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"Masse plastique d t 6tanch6U'i cation"
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Pour étanchéitier les joints et autres défauts d'étant
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ch'1", en particulier dans la construction automobile, saalar en outre également dans la construction de machines et d'appareils# la construction en surface et en souterrain# on utilise des mises plastiques, qui sont oonat1t'..
de mélanges de aatiere plastique et, de préférence, de charges inorganiques, toom l'asbtfte, dfon
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xyde de zinc et produits similaire., comme le cas échéant de plis
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tir#antr, d'huile minérale comme solvant pour le po11&''', d'huile de ricin pour atténuer Itadhdoivité et de graisses ou de savons
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pour augmenter Itadhéeivïtés Lors de la livraison et du traitement, des masses de ce genre sont plastiques et adhèrent, par ltadhéoivi- te qui leur est propre, par exemple à des surfaces métalliques Normalement, on les utilisepour cette raison, comme couche inter-
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mdditire entre deux surfaces métallique! .
On connaît des masses d'étanchéifi cation à base de polyinobutylène, qui restent plasti- ques de manière durable et d'autres qui, après le traitement, dur-
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cienont pou à peu et de manière incontrôlable* L'objet de l'invention est une masse didtanchéificationg qui, en fait est tout d'abord également plastique et est travaillée à à l'état plastique, puis qui peut être cuite/plus haute température et fournit ainsi une adhérence beaucoup plus solide au métal, que les masses d'étanchéification connues jusqu'à présent, et qui se fixe si solidement au métal qu'elle peut être placée également
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librement à l'endroit à étanchéifierj sans être maintenue par une contre-surface.
De la sorte, une masse cuisable de ce genre con- vient également pour ltétanchéification d'endroits difficilement accessibles, par exemple sur une carosserie et elle peut également être utilisée à la place d'une soudure ou d'un étamages qui est essentiellement plus compliquée et plus coûteuse. Par suite du
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processus de cuisson, la masse dtdtànchdification est un peu plus dure, mais possède cependant encore une plasticité suffisante, qui se maintient également dans le cas d'un long stockage, pratiquement de manière durable.
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La masse diétanclidification plastique selon $/ invention contient, au lieu du polymère d'inobutylène habituel jusqu'à pré- sent, un copolymère, du type du caoutchouc, de butadiène et de nitrile acrylique et une résine phénol-formtl44hydt duroissablel à côté de produits d'addition courants, comme des Charges minérales et des plastifiants. Le copolymère butadiène-nitrile acrylique
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représente la partie prédominante. La résine phénol-formalddhyde est doit# de telle manière, qu'elle assure, après la cuisson# la fixation solide de la masse d'étanchéification au support, mais
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que celle-ci reste encore suffisamment plastique.
En principe tou- te résine phénol-formaldéhyde durciasable, ainsi par exemple une résine de réaol entre en considérations De préférence on utilise . cependant une résine du type Novolak. par exemple do l'hexaméthyl- netétramine qui contient des composés mettant en liberté de la
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formaldéhyde, pendant le processus de cuisson.
Abstraction faite de la n4ofiiité d'un. plaitiotti durable et d'une forte adhérence âpre* la 4uiâi*ni la mes* doit posséder, également avant 10 cuisson une adhésivité aufflaantei pour coller par exemple, & la prête ion de la main, sur une tôle.
Ceci peut être obtenu, par le choix approprié de plastifiants, qui
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agissent comme dissolvant eur le copolymère butadiène m nitrile acrylique du type du caoutchouc, comme par exemple des enters phosphoniques (phosphate de tricrésyle) ou des esters phtaliques (phtalate de dibutyle). De préférence cependant, la fraction de copolymère de la masse d'étanchéification est constituée de deux copolymères différents à base de butadiène et de nitrile acrylique, dont l'un est un caoutchouc artificiel de dureté moyenne, tandis que le second copolymère eat un liquide adhérent à haute viscosité,
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qui communique ? la masse d,6tanclidification la plasticité et l'adhésivité au métal ou à une matière analogue, nécessaire, & la température ambiante.
Le copolymère du type du caoutchouc cité en premier lieu a de préférence une viscosité Mooney de 73 à 87, de préférence environ 83 avec une teneur en nitrile acrylique d'en-
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viron 25 fi zou ,., de préférence 34 . Le copolymbre à haute visco- sité possède de préférence une viscosité d'environ 75.0joz 100.000 cenipoiscs, mesurée A 3UOC et une teneur en nitrile acrylique de 25 à zou ,., ue préférence environ 3.
Oo^.me charges, entrent en considération couramment, les fibres d'asbeste, l'oxyde de zinc, le talc, 3e bioxyde de titane, la farine de quartz, le kaolin, la craie et d'autres produits analogues. Pour la coloration de la masse d'étanchéification, une addition de noir, par exemple de noir de fumée, s'est révélée con- venable.
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Bien que les rapports de mélange des constituants puis- sent être modifiés dans des limites relativement larges, il s'est révélé préférable de respecter les rapports approximatifs de mélan- ge suivants :
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10 , 20 /' de copolymère de but&diène et nitrile acrylique de na- ture 04outchoUtoutit J A 1$ $ de oopolymtre do butadiène et de nitrile acrylique du type d'un liquide adhérant, à haute viaecaitet 2 à 8 )l de résine phénol formaldéhyde avec addition d'hexaméthyl. ènetétramine, 10 à 15 '#/* de plastifiant, en particulier des tort phtaliqutii comme le phtalate de dibutyle, 10 à 30 % d'oxyde de zinc, 5à 30 Si de fibres d'asbeste,
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10 à 40 $ de talc, 0 à 5 y de noir de fumée.
L'ester phtalique, à la place duquel peut également être employé l'ester phosphorique, sert d'une part comme plastifiant et, d'autre part comme solvant pour la résine phénol-formaldéhyde* EXEMPLE 1;
On dissout 3,0 parties de résine phénol-formaldéhyde à une température d'environ 60 C dans 12,0 parties de phtalate de dibutyle.
On refroidit la solution et on ajoute ensuite 10,0 par- ties de copolymère de butadiène-nitrile acrylique d'une teneur en
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nitrile acrylique de .3 /- et une viscosité d'environ 100.000 cen-
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tipois, mesurée à <30 Cj ce copolymère passe également en solution, D'autre part, on malaxe tout d'abord pendant 5 minutes dans un broyeur-mélangeur à cylindres ou, mieux, dans un mortier à pilon 01..',\1'.:
,n mélangeur à revêtement intérieur, 15,0 parties de copolymère, de nature caoutchouteuse de butadiène et de nitrile
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acrylique d'une teneur en nitrile acrylique de 34 el" et une visco- situé Mooney de 83, Un ajoute ensuite, dans le mélangeur, avec la solution mentionnée ci-dessus, 21,0 parties d'oxyde de zinc, 10,0
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parties de libre$ d'asbeste, 28,8 parties de talc et, le cas échéant, 0,2 parties de noir de fumée et l'on malaxe jusqu'à ce qu'il ae forme un mélange homogène, exempt de grumeaux. Il faut veiller à ce que la température de la nasse d'étganch@fication, pen- dant le malaxage, ne dépasse pas 60 à 70 C pour éviter une conden- sation de la résine phénol-formaldéhyde.
La dissolution de la résine phénol-formaldéhyde dans le phtalate de dibutyle se fait de préférence à une température h cylindre$ de 50 à 60 C Lors du malaxage dans le broyeur-mélangeur/ou dans le mortier à pilon, s'établit directement une température d'envi- ron 60 à 70 C. Par là, le caoutchouc artificiel devient beaucoup plus plastique, ce qui favorise le mélange homogène des chargeât
EXEMPLE 2 :
15,0 copolymère de butadiène-nitrile acrylique d'uneteneur en ni- trile acrylique d'une teneur en nitrile acrylique de 34 % et d'une viscosité Mooney de 83,
10,0 copolymère de butadiène-nitrile acrylique d'une teneur en nitrile acrylique de 33% et d'une viscosité d'environ
100.000 cP mesurée à 30 C
3,0 résine phénol-formaldéhyde.
12,0 phtalate de benzylebutyle, 11,0 oxyde de lino.
30,- fibres d'asbeste.
18,8 tala, 0,2 noir de fumée* 100,0
Comparativement aux masses d'étanohéificaation des exem- pies 1 et 3, on observe dans le cas de la masse d'étanchéification de l'exemple 2, une adhésivité et une capacté de fixation su mé tal encore plus forte avant la cuisson. Elle est, en outre, après la cuisson, un peu plua molle et plus plastique que les intente d' étanchéification des exemples 1 et 3.
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EXEMPLE 3 15,0 copolymère de butadiène-nitrile acrylique d'une teneur en nitrile acrylique de 38 % et d'une viscosité Mooney de 83, 10,0 copolymère de butadiène-nitrile acrylique d'une teneur en nitrile acrylique de 33 % et d'une viscosité d'environ 100,000 cp, mesurèe à 30 C
3,0 résine phénol-formaldéthyde.
12,0 phtalate de dibutyle.
21,0 oxyde de zinc.
10,0 fibres d'asbeste.
28,8 talc.
0,2 -noir de fumée.
100,0.
Une masse d'étanchéifidation selon la formule de l' exemple 3 présente, comparativement aux masses d'étanchéification selon les exemples/et 2, une stabilité encore plus élevée aux huiles aliphatiques et à la benzine.
Du fait que les masses d'étanchéification se laissent travailler au mieux sous forme d'un cordon d'étanchéification. le formage des masses précédemment décrites se fait de préférence par extrudage à l'aide d'une boudineuse à filière profilée.La tempé- rature lors de l'extrudage est$ de préférence de 40- 50 C. Pour éviter le collage des profilés individuels entre eux, ceux-ci peuvent être extradés sur une feuille en matière plastique, par exemple en polychlorure de vinyle dur et ensuite enroulés ou emballés d'une autre manière.
Lorsqu'un tel cordon est déposé sur une. surface métalli- que, par exemple une tôle en fer brut phosphaté imprimée ou vernie, et y est appliquée à la pression de la main, elle adhère d'une manière remarquable sur la tôle. Par chauffage approprie, tel qu'on le pratique de manière courante pour la cuisson des vernis ou des impressions, la résine phénol-formaldéhyde contenue dans la masse
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dt'tlnehlil1cat10d'.1 condense et cela # pour résultat que 11 masse subit un léger durcissement et adhère de manière beaucoup plus forte à la tôles, La température et la durée de la suieson
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dépendant réciproquement l'une de l'autre. A une température de 170'C, la cuisson nécessite par exemple 30 minutes) à une ttispirt ture de 15C, elle demande par contre 61nut...
Le cordon d"tanoh'it1oat1on après chauffage réalise une étanchéité parfaite entre des parties métalliques et peut, comme il a été dit) être utilisé dans maints ces à la place d'une soudure
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ou d'un étamage, La masse d'étanch4ification après chauffage est stable vis-à-vis des huiles aliphatiques, la benzine et l'eau et convient particulièrement bien, pour cette raison, dans la cons- truction automobile. En outre, elle est stable dans le domaine de températures situées entre -35 C à +90*C (pendant un court instant même jusqu'à +170 C) et ne devient pas cassante à froid et présen- te seulement une augmentation relativement faible de la plasticité à chaud.
REVENDICATIONS
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le Masse plastique d'étanchdification à base de poly- mères butadiène-nitrile acrylique et de résines phénol-aldéhyde avec addition de chargée inorganiques et, le cas échéant, de plas-
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"Sealing plastic mass"
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To seal gaskets and other structural defects
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ch'1 ", in particular in the automotive industry, saalar additionally also in the construction of machines and devices # surface and underground construction # plastic layouts are used, which are oonat1t '..
mixtures of plastic and, preferably, inorganic fillers, toom the astbtfte, dfon
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zinc xide and similar products, such as folds where appropriate
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tir # antr, mineral oil as a solvent for the po11 & '' ', castor oil to reduce the tackiness and fats or soaps
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to increase adhesiveness During delivery and processing, masses of this kind are plastic and adhere, by their own adhesion, for example to metal surfaces. Normally, they are therefore used for this reason as an inter-
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meditate between two metal surfaces! .
Sealing compounds based on polyinobutylene are known which remain plastic durably and others which, after treatment, become durable.
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The object of the invention is a didtancheificationg mass which, in fact, is first of all also plastic and is worked in a plastic state, then which can be fired / higher temperature and thus provides a much stronger bond to metal than hitherto known sealing compounds, and which attaches so firmly to metal that it can also be placed
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freely in the place to be sealed without being held by a counter-surface.
In this way, a firing mass of this kind is also suitable for sealing places which are difficult to reach, for example on a bodywork and it can also be used instead of soldering or tinning which is essentially more complicated. and more expensive. As a result of
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process, the decaying mass is a little harder, but still has sufficient plasticity, which is also maintained in the case of long storage, practically permanently.
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The plastic dietanclidification mass according to the invention contains, instead of the inobutylene polymer customary until now, a copolymer, of the rubber type, of butadiene and acrylic nitrile and a hardenable phenol-formtl44hydt resin next to products. additives, such as mineral fillers and plasticizers. Butadiene-acrylic nitrile copolymer
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represents the predominant part. The phenol-formaldehyde resin must # in such a way that it ensures, after baking # the solid attachment of the sealing compound to the support, but
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that it still remains sufficiently plastic.
In principle any curable phenol-formaldehyde resin, thus for example a sheaol resin comes into consideration. Preferably is used. however a resin of the Novolak type. for example hexamethylnetetramine which contains compounds which release
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formaldehyde, during the cooking process.
Apart from the number of a. Durable plaitiotti and of a strong rough adhesion * the 4uiâi * nor the mes * must have, also before 10 firing an aufflaantei tackiness for sticking for example, & the ready ion of the hand, on a sheet.
This can be achieved by the appropriate choice of plasticizers, which
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act as a solvent for the butadiene m nitrile acrylic copolymer of the rubber type, such as, for example, phosphonic enters (tricresyl phosphate) or phthalic esters (dibutyl phthalate). Preferably, however, the copolymer fraction of the sealant consists of two different copolymers based on butadiene and acrylic nitrile, one of which is an artificial rubber of medium hardness, while the second copolymer is an adherent liquid. high viscosity,
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who communicates? the bonding mass plasticity and adhesiveness to metal or the like as required at room temperature.
The first mentioned rubber-type copolymer preferably has a Mooney viscosity of 73 to 87, more preferably about 83 with an acrylic nitrile content of.
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about 25%, preferably 34. The high viscosity co-polymer preferably has a viscosity of about 75,000 to 100,000 cenipoiscs, measured at 3UOC and an acrylic nitrile content of 25 to 20, preferably about 3.
Commonly considered fillers are asbestos fibers, zinc oxide, talc, titanium dioxide, quartz flour, kaolin, chalk and the like. For the coloring of the sealing compound an addition of black, for example carbon black, has been found to be suitable.
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Although the component mixing ratios can be varied within relatively wide limits, it has been found preferable to adhere to the following approximate mixing ratios:
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10, 20% of copolymer of butadiene and acrylic nitrile of type 04 rubber, all JA $ 1 of butadiene and acrylic nitrile copolymer of the adhesive liquid type, with high yield and 2 to 8) of phenol formaldehyde resin with addition of hexamethyl. enetetramine, 10 to 15 '# / * of plasticizer, in particular phthalic acids such as dibutyl phthalate, 10 to 30% zinc oxide, 5 to 30 Si of asbestos fibers,
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$ 10 to $ 40 talc, 0 to 5 y carbon black.
The phthalic ester, in place of which the phosphoric ester can also be used, serves on the one hand as a plasticizer and on the other hand as a solvent for the phenol-formaldehyde resin * EXAMPLE 1;
3.0 parts of phenol-formaldehyde resin are dissolved at a temperature of about 60 ° C. in 12.0 parts of dibutyl phthalate.
The solution was cooled and then 10.0 parts of butadiene-acrylic nitrile copolymer of a content of.
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acrylic nitrile of .3 / - and a viscosity of about 100,000 cents
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Typically, measured at <30 Cj, this copolymer also goes into solution. On the other hand, the mixture is first kneaded for 5 minutes in a roller mill-mixer or, better still, in a pestle mortar 01 .. ', \ 1 '.:
, n internally coated mixer, 15.0 parts of copolymer, rubbery nature of butadiene and nitrile
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acrylic with an acrylic nitrile content of 34 µl and a Mooney viscosity of 83. Un then add, to the mixer, with the above-mentioned solution, 21.0 parts of zinc oxide, 10.0
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parts of asbestos free, 28.8 parts of talc and, if appropriate, 0.2 parts of carbon black and kneaded until a homogeneous mixture, free of lumps, is formed. Care must be taken to ensure that the temperature of the organic water trap during mixing does not exceed 60 to 70 C to avoid condensation of the phenol-formaldehyde resin.
The dissolution of the phenol-formaldehyde resin in the dibutyl phthalate is preferably carried out at a temperature h cylinder $ from 50 to 60 C. During mixing in the grinder-mixer / or in the pestle mortar, a temperature is directly established. around 60 to 70 C. In this way, the artificial rubber becomes much more plastic, which favors the homogeneous mixing of the fillers.
EXAMPLE 2:
15.0 butadiene-acrylic nitrile copolymer with an acrylic nitrile content of 34% acrylic nitrile content and a Mooney viscosity of 83,
10.0 butadiene-acrylic nitrile copolymer with a 33% acrylic nitrile content and a viscosity of approximately
100,000 cP measured at 30 C
3.0 phenol-formaldehyde resin.
12.0 benzylbutyl phthalate, 11.0 lino oxide.
30, - asbestos fibers.
18.8 tala, 0.2 carbon black * 100.0
Compared with the etanoheificaation masses of Examples 1 and 3, in the case of the sealing mass of Example 2, an even stronger adhesiveness and a surface fixing capacity are observed before firing. It is, moreover, after firing, a little softer and more plastic than the sealing intents of Examples 1 and 3.
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EXAMPLE 3 15.0 butadiene-acrylic nitrile copolymer with an acrylic nitrile content of 38% and a Mooney viscosity of 83, 10.0 butadiene-acrylic nitrile copolymer with an acrylic nitrile content of 33% and with a viscosity of approximately 100,000 cp, measured at 30 C
3.0 phenol-formaldehyde resin.
12.0 dibutyl phthalate.
21.0 zinc oxide.
10.0 asbestos fibers.
28.8 talc.
0.2 - smoke black.
100.0.
A sealing compound according to the formula of Example 3 exhibits, compared with the sealing compounds according to Examples / and 2, an even higher stability to aliphatic oils and to benzine.
Due to the fact that the sealing compounds can best be worked in the form of a sealing bead. the forming of the masses described above is preferably carried out by extrusion using a profiled die extruder. The temperature during the extrusion is preferably 40-50 C. To avoid sticking of the individual profiles between them, these can be extruded onto a plastic sheet, for example hard polyvinyl chloride and then wound up or wrapped in some other way.
When such a bead is deposited on a. metal surface, for example a printed or varnished phosphated raw iron sheet, and is applied to it by hand pressure, it adheres remarkably to the sheet. By suitable heating, as is commonly practiced for baking varnishes or prints, the phenol-formaldehyde resin contained in the mass
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dt'tlnehlil1cat10d'.1 condenses and this # results in that the mass undergoes a slight hardening and adheres much more strongly to the sheets, The temperature and duration of the soot
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reciprocally dependent on each other. At a temperature of 170 ° C, cooking requires for example 30 minutes) at a temperature of 15 ° C, on the other hand it requires 61nut ...
The tanoh'it1oat1on bead after heating achieves a perfect seal between metal parts and can, as has been said) be used in many these instead of welding.
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or tin plating. The sealant after heating is stable towards aliphatic oils, benzine and water and is therefore particularly suitable for automotive construction. In addition, it is stable in the range of temperatures between -35 C to + 90 * C (for a short time even up to +170 C) and does not become brittle in cold conditions and shows only a relatively small increase. hot plasticity.
CLAIMS
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the plastic sealing mass based on butadiene-acrylic nitrile polymers and phenol-aldehyde resins with the addition of inorganic fillers and, where appropriate, of plas-