BE630298A - Dispositif de fermeture inviolable d'un récipient - Google Patents

Description

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  "Dispositif de fermeture inviolable d'un récipient" 
La présente Invention a pour objet un dispositif de fermeture d'un récipient fixant le couvercle sur le réci- pient, d'une   façon   inviolable, c'est-à-dire nécessitant, pour obtenir l'ouverture la rupture visible d'un ou de plusieurs   (éléments   essentiels composant le dispositif de fermeture* 
La présente invention s'applique à des précipienxx en   matière   plastique de formes et de conceptions très diverses et destinésà contenir des produits   liquides.     pulvérulents,   GRANULéSà   l'état     piteux.   voire même en morceaux, en pastil-   les,   en comprimés, etc....

     à     l'état   solide* 

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Elle est essentiellement   caractérisée   par le fait que l'un des éléments de l'ensemble du récipient: comporte au moins une patte de forme générale sensiblement triangulaire, reliée audit élément par un pédoncule de largeur plus faible que la largeur maximum de la patte, tandis que l'autre élément du récipient comporte au moins une fente dont la largeur est 
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 Inr6rieure à la largeur maximum de la patte* l'emplacement 4# ..

   f."t,81 os te HM k14tttlil à 1 Aii-oitt il il ,'''n1I'hiH\ fi l illio m illit Ill A 11 i' w|tU ï D* de à patte nul, le 111"0ml.., élément!   @ Lors de l'introduction de chaque patte dans la    fente correspondante$ l'élément du   récipient   comportant cette dernière se déforme et   l'expérience   montre que la   déforma-   
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 tion peut Stre permanente localement au moine.

   Dans ces candi- t1on$, il ne peut que l'ouverture du récipient ne nécessite plus la rupture des pattes et le   critère   d'inviolabilité du dispositif ne peut plue alors être garantit 
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 Pour r.md1.r . cet inconvénient qui n'apparaît que dans   certains   cas particuliers* des   perfectionnement    sont prévus suivant   l'invention*     Ces   perfectionnements sont   caractérisée   par le fait -que l'épaisseur de chaque patte est croissan- te vers le pédoncule de liaison et son maximum est   supérieur   
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 à "pais8eur de ce pédoncule   que chaque patte est rendue déformable élas- fclqtwmertë dans la sens de sa largeur par une encoche la soin- dant en deux mors et s'étendant à cet ett4t de non extrémité au pied du 

  p6donoule ; - que chaque fente tist bordée, dans sa Plus   grande     dimension/   par au moins une livre   s'étendant   entre deux 

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 encoches découpées dans la saillie de   l'élément   correspondant du récipients ces encoches débouchant dans la fente pour confé- rer à celle-ci, par l'intermédiaire de la lèvre, une élasticité transversale - que chaque fente est bord'., dans sa plus petite dimension, par au moins une languette délimité. par une perforation de la   saillie   de l'élément correspondant du réci- pient, perforation qui est prévue pour conférer à la fente par   l'intermédiaire   de la languette une   élasticité   longitudinale. 



   D'autre   caractéristiques   et avantages de la présente invention apparaîtront au cours de la description qui va suivre   et 4   l'examen du dessin annexé sur lequel on a représenté,   sohématiquement   et à titre d'exemples seulement, divers modes de   réalisation   de l'invention. 



   Sur ce dessin, - la figure 1 est une vue en élévation d'un pot ou récipient muni de pattes de forme appropriée, . par- mettant la fixation inviolable du couvercle - la figure 2 est une vue en demi-coupe suivant I-I de la figure 1; - la figure 3 est une vue   en   plan par   dessus   du couvercle montrant les fentes correspondant aux pattes   représentées   sur les figures 1   et 2 ;

     - la figure   4   est une vue en coupe du couver- cle suivant   IV-IV   de la figure 3 la figure 5 est une vue en plan par dessus d'un pot ou récipient de forme   analogue h   celle du pot de la figure 1, mais muni de fentes permettant la fixation du cou-   vercle*   - la figure 6 est une vue en élévation du 

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 couvert montrant les pattes correspondant aux fentes repré- senties sur la figure   5   -la figure 7 est une coupe suivant   VII-VII   du pot ou récipient représenté à la figure 5,

   avec son   couver-   cle en position de fermeture - la   figura   8 est une vue en perspective d'un récipient parallélépipédique portant les pattes de fermeture la figure 9 est une vue en perspective du couvercle du récipient précèdent, portant les fentes   corres-   pondant aux pattes ; - la figure 10 est une vue en perspective d'un récipient   parallélépipédique   dont la partie supérieure porte des saillies xxérales dans lesquelles sont pratiquées les fen- tes - la figure   11   est une vue en perspective du couvercle du récipient précédent, montrant les pattes de fer- meture   correspondant   aux fentes ci-dessus ;

   la figure 12 est une vue en   perspective   d'u- ne partie d'une boîte plate de forme rectangulaire dont un bord porte une fente de fermeture - la figure 13 est la vue en perspective du couvercle de la boîte précédente, se posant   par   dessus et   por-   tant une patte de fermeture j - la figure 14 est une vue en perspective d'une partie de boîte plate rectangulaire dont un des bords porte un évidement nécessaire à la fermeture : - la figure 15 est une vue en perspective d'une partie du couvercle de la boîte précédente, qui porte une patte de   fermeture   et se ferme par coulissement ;

   la figure 16 est une   vu*   en perspective d'u- ne partie de botte plate rectangulaire se fermant par soulis- 

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   sèment   du couvercle et portant   un*   patte de   fermeture     * la   figure 17 est une vue en perspective d'une partie du couvercle de   la   botte précédents, portant la fente correspondant à la patte de fermeture de la bot- te. 



   . la figure 18 est une perspective en vue synoptique illustrant le corps et le   couvercle   d'un   récipient   faisant application des perfectionnements du dispositif auxquels correspondent les figures 1à 27 ; - la figure 19 est une élévation latérale par- tielle du corps   représentant à   grande échelle une forme de   réalisation   d'une patte du dispositif. la figure 20 est une coupe partielle   prise   suivant la ligne XX-XX de la figure   19 ;   - les figures 21 et 22, 23 et 24 sont des vues analogues aux figures 18 et 19   respectivement*   montrant deux autres formes de réalisation ; la figure 25 est une vue en plan partielle du couvercle représentant à grande échelle une forme de réali- sation d'une fente du dispositif;

   - la figure 26 est une coupe partielle prise suivant la ligne XXVI-XXVI de la figure   25 j   les figures 27 et 28 sont des vues analogues aux figures 25 et 26 respectivement, montrant une autre forme de réalisation. 



   Dans le premier mode de réalisation représenté sur les figures 1 à 4, le pot ou récipient 1 de forme tronco= nique porte, à sa partie supérieure ouverte, un rebord 2 dans lequel vient s'engager le couvercle 3. 



   Dans   ce   rebord 2 sont pratiquées deux ou 

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 plusieurs encoches 4 (deux dans le cas de la figure 2). Dans l'axe de chaque encoche ce trouve une patte   platée   en   forme   de fer à lance triangulaire qui ont réunie audit rebord par un   pédoncule   plus étroit 5;, le couvercle 3 porte à sa périphérie deux oreilles plates 6 qui, lors de sa mise en placeviennent se loger dans les encoches 4 du rebord 2.

   Chaque oreille 6 porte en son centre une tente 7, La largeur de ladite   fente   7 est très légèrement supérieure à l'épaisseur de la patte   triangu-     laire 5   de manière que cette dernière puisse s'engager dans la fente 7, Cependant, la longueur de la fente 7 est inférieure   à   la largeur maximum de la patte 5. 



   Le   fonctionnement   est le suivant 1   -   le couvercle en polyéthylène ou matière plastique équivalente, possédant les mêmes propriétés de   défor-   mabilité élastique, est présenté à la partie supérieure du réci- pient 1, de manière que les fentes 7 se trouvent en regard des pattes triangulaires 5 portées par le rebord 2 du récipient   1.   



   Les sommets des triangles des pattes 5   oommen-        centà s'engager dans les fentes, mais l'enfoncement total des pattes 5 dans les fentes 7 n'est possible qu'en exerçant une pression notable sur le couvercle.- 
Sous cet effort  les fentes 7 se dilatent dans le sens de leur longueur, tandis que les pattes ont tendance à se comprimer lors du passage dans les fentes de la partie la plus lare des pattes. Lorsque l'enfoncement est terminé, les pattes se trouvent   enclenchées   au-dessus des oreilles 6, la fente ayant repris sa forme après le passage de la partie large de la patte 5 dont le pédoncule 5', du moindre largeur, se trou- ve emprisonné dans la tente 7 

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Il est, des lors, impossible d'enlever le cou-   vérole   sans briser les pattes triangulaires 5.

   Cette opération   d'ailleurs   qui constitue le mode normal d'ouverture de   l'em-   ballage ou récipient par   l'usager,   peut être facilitée et pré- parée en pratiquant une petite rainure - amorce de cassure - dans le support étroit de la patte triangulaire. 



   Le dispositif de fermeture ci-dessus décrite est donc inviolable puisque l'ouverture nécessite la rupture immédiatement visible des pattes de fermeture de forme trian-   gulaire.   



   Dans le deuxième mode de réalisation représenté sur les figures 5, 6 et 7, le récipient 8   porte, à   sa partie supérieure ouverte, une collerette 9 circulaire, comprenant une bordure horizontale 91 et un rebord   vertical   92. 



   Dans la partie horizontale 91 sont pratiquées deux tentes   10. Le   couvercle 11 (figure 6) comporte une base élargie 12 dont le rebord vertical 121 est d'un diamètre très légèrement inférieur' à celui du rebord vertical 92 du   récipient   8, de manière à s'y engager exactement en formant joint. 



   Sous la base élargie 12 du   couvercle   11 se trouvent deux pattes de fermeture en forme de fer de lance triangulaire 13 (figure 7) Ces pattes sont   représentées   au- perposées en 13 (figure 6) dans la vue de profil du couvercle 11 
L'écartement des pattes 13 est identique   à   ce- lui des fentes 10 pratiquées dans la bordure horizontale 91 du récipient 8. 



   Comme dans le premier mode de réalisation, la base du triangle formé par chaque patte 13 est supérieure à la longueur de   chaque   fente 10, 

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Le fonctionnement est identique à celui du premier mode de réalisation. 



   Le troisième mode de réalisation ou d'applica- tion du dispositif, objet de   l'invention,   et représenté sur les figures 8 et 9 concerne un récipient parallélépipédique   14,   figuré en perspective et dans lequel les bords de deux faces opposées portent en leurs milieux des pattes en fer de lance triangulaire   15.   



   Le   couvercle   16 qui vient coiffer l'ouverture du récipient 14 porte, dans son fond, deux lumières 17 dont      l'éoartement est identique   à   celui des pattes triangulaires 15 et 151, portées par le récipient. Suivant l'invention, la lon- gueur des fentes 17 est inférieure à la largeur des bases des triangles formés par les pattes   15.   



   Le fonctionnement est identique   à   celui du pre- mier mode de réalisation. Bien entendu, la forme de la boîte importe peu, elle pourrait tout aussi bien être cylindrique. 



     @   Le quatrième mode de réalisation et   d'applica-   tion représenté en perspective sur les figurer 10 et 11 concer- ne une boîte parallélépipédique 18 dont deux faces opposées portent, à leur partie supérieure des oreilles 19 au centre desquelles sont pratiquées des   fentes   20. 



   Dans le couvercle 21 deux bords opposés   por-   tent des pattes de fer de lance triangulaire 22. 



   Comme dans les modes de réalisation précédentes les bases des triangles formés par les pattes 22 sont supérieures àla longueur des fentes correspondantes 20. 



   Le fonctionnement est le même que dans le pre- mier mode de réalisation. Comme précédemment, la forme de la boîte 18, au lieu d'être parallèlépipèdique pourrait être   oylin-   

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 drique, Dans ce cas, les tentes 20   pourraient être   pratiquées dans une saillie extérieure   circulaire   du corps de la botte. 



   Le cinquième mode de réalisation et   d'applioa-   tion   représenta   partiellement, en   perspective   sur les figures 12 et 13, concerne une botte plate rectangulaire 23 dont une des extrémités   cet   coule   représentée*   
Le bord 24 de la botte 23 présente une partie en retrait 25 dans le haut de laquelle est pratiquée une   lu-     mibre   26. 



   Le couvercle   27   qui vient coiffer la boîte porte au centre du bord de sa partie supérieure 28, une patte en fer de lance triangulaire 29 
Le principe de   construction   des pattop et des lumières et le fonctionnement sont les mêmes que dans les cas précédents. 



   Le sixième mode de réalisation et   d'applica-   tion représenté partiellement en perspective sur les figures 14 et 15 concerne une botte rectangulaire 30 dont les   cotes   opposés 31 portent à leurs parties supérieures des nervures ou rebords 32, 
D'autre part, le couvercle 33 porte, sur ses bords   34,   des cannelures 35   (figure   15) dans lesquelles vien- nent s'emboîter les rebords ou nervures 32 de la botte, en vue d'assurer la fermeture par   coulissement.   



   La partie supérieure du couvercle   33   Porte, au centre de son bord 36 une patte en fer de lance triangulaire 
37 
Dans le bord correspondant 38 de la botte 30 se trouve en son centre, une oreille 39 percée d'une fente 40 correspondant a la patte triangulaire 37 du couvercle 33 

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Le principe de   construction   des pattes et lu- mières et le fonctionnement sont les mêmes que dans les cas précédents.

   il est cependant figura sur la patte 37 du couver- cle une amorce de cassure facultative 41 en forme de rainure dont il a été question précédemment et qui est applicable dans tous les modes de réalisation précédents le septième mode de réalisation et d'applioa- tien représenté   partiellement   en perspective aux   figurée   16 et 17   concerne,   comme dans le cas précédente une boîte se fermant par ooulissement du couvercle* 
A cet effets la boîte 42 porte sur mes bords   opposas   443, dos nervures ou rebords 44 et le couvercle 45 por- te sur ses bords correspondants des rainures 46 (figure 17), 
Au centre du bord 47 de la boîte 42 se trouve une patte en fer de lance triangulaire   48   et placée horizonta- lement.

   Au centre du bord correspondant 49 du couvercle 45 se trouve placée une fente 50, 
Le principe de construction des pattes et lu- mières et le fonctionnement sont les mêmes que dans les cas précédents. 



   La pénétration complète de la patte triangulai- re dans la fente, dans tous les modes de réalisation ci-dessus décrits ne peut se faire que   nous   un effort ou une pression notable qui allonge temporairement la   fente   pour permettre le passage complet de la patte triangulaire, laquelle se trouve, ensuite , enclenchée par la fente reprenant sa longueur norma- le lorsque le pédoncule de la patte plus étroit a atteint la tente, ceci étant dû à l'élasticité de la matière plastique dont sont constituée le récipient et le couvercle. Du fait de cet enclenchement, l'ouverture du récipient est rendue   imposai-   

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 ble par tout autre moyen que par la rupture visible de la pat- te   triangulaire   
La figure 18 montre un récipient se fermant par emboîtement..

   Ce récipient comprend un corps cylindrique 51 et un couvercle circulaire 52, devant obturer avec élan-   chiite   oe   dernier,   
A cet effet, le couvercle 52 comporte un re- bord annulaire   5   profilé en U, pour coiffer le bord 54 du corps 51, corps qui est d'ailleurs solidaire d'une Jupe   exté-   rieur* concentrique 55, prévue notamment pour compléter le profil du joint   5.3-54   ainsi obtenu, à la manière d'un   laby-     rinthe,   la jupe 55 est prolongée au-dessus du corps 51 et constitue un élément de centrage pour le couvercle 52 dont le rebord 53 présente latéralement deux saillies 56-57 diamétralement opposées, qui sont logées,

   lorsque ledit   cou-   vercle est en place* dans des échancrures 58- 59 de cette jupe. 



   Le dispositif de fermeture inviolable du réci- pient de l'invention comporte* d'une part, deux pattes 60 et 61 s'étendant dans les échancrures 58-59 en prolongement de la jupe 55 du corps et   reliées   au fond de ces   échancrures   par des pédoncules 62-63 dont la largeur est plus faible que la largeur maximale desdites pattes, d'autre part, deux fentes   64 -   65 situées dans les saillies   56-57   du couvercle et dont la largeur est inférieure   à   la largeur maximale des pattes.

   Il est bien évident que l'emplacement des fentes doit   correspon-   dre à   1.'emplacement   des pattes, 
Il peut être avantageux que le corps 51 soit constitua par une matière plastique relativement rigide et 

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 le couvercle, par une matière plastique relativement souple, ces matières constitutives présentant toutefois une élasticité propre. 



   Lorsque la déformation des tentes décrites dans ce qui   procède   risque de devenir permanente, le   disposi-   tif de fermeture pouvant alors ne plus être inviolable, les perfectionnements décrits dans ne qui suit peuvent être mis en oeuvre* Ces perfectionnements se rapportent aux pattes et/ou aux fentes, ils ne sont représentés sur les figures 19 à 28 que pour la patte 60 et pour la fente 64, bien qu'ils concer- nent toutes les pattes et toutes les fentes et bien qu'ils puissent être combinés de toutes les   manièrio   possibles entre eux. 



   La patte 60 présente une forme arquée dont la largeur maximale est plus grande que celle du pédoncule de liaison 62. L'épaisseur de cette patte est croissante, de son   extrémité   libre vers ledit pédoncule et son maximum est supé-   rieure   à   l'épaisseur   de celui-ci, La différence entre les di- mensions de la patte 60 et celles do la fente 64 peut alors être réduite, à seule fin que la déformation de cette dernière soit limitée au domaine élastique. L'accrochage obtenu est en outre plus   efficace.   



   Suivant une première forme de réalisation il- lustrée par les figures 19 et 20, la patte 60 présente une face 66 située dans le prolongement du pédoncule 62 et une   tare   en pente 67 reliée à ce dernier par un épaulement 68. Le profil ainsi obtenu (figure 20) est celui'd'un demi fer de lance. 



   Suivant une deuxième forme de réalisation re- présentée aux figures 21 et 22,la patte 60 présente deux faces en pontes symétriques   69-70, 'reliées   au pédoncule 62 par des 

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 épaulements 71-72. Le profil est alors celui d'un fer de lance, 
Les conformations décrites ci-dessus, do la patte 60 permettent, non seulement de   15 miter   la déformation de la fente 64 au domaine élastique, maie aussi de répartir cette déformation de manière sensiblement uniforme. 



   Suivant une   troisième   forme de réalication (figures 23 et 24), la patte 60 est rendue   déformable   élasti-   quement   dans le sens de sa largeur. A cet effet, la patte est scindée en deux mors 73-74 par une encoche 75 s'étendant de   l'extrémité   libre de ladite patte   jusqu'au   pied du pédoncule 62 et même   au-delà.     Ainsi*   lors de l'introduction de la patte 60 dans une fente 64, la déformation qui prend naissance est répartie sur chacune d'entre   elles,   puisque les mors 63-74 de la patte tendent à se rapprocher et, par suite, que   l'allonge-   ment de la fente est moins important. 



   Les perfectionnements décrits dans ce qui pré- cède concernent les pattes 60 et 61. Ils peuvent être combi- n6s ou non aux perfectionnements décrits dans ce qui suit pour la ou les fentes 64-65 
Suivant une première forme de réalisation re- présentée aux figures 25 et 26, la fonte 64 est bordée dans sa plus grande dimension, par au moins une   lèvre   76 rendue plus déformable   élastique mène   que les autres bords de la- dite fente. A cet effet, la lèvre 76 s'étend entre deux enco- ches 77 et 78 découpées dans la saillie % du couvercle pour déboucher dans la fente.

   Ainsi, les   encoches   77 et 78   confè-   rentà ladite fente par l'intermédiaire de la ou des lèvres 76 une   élasticité   transversale plus grand   
Suivant une deuxième forme de réalisation illus- trée par les figures 27 et 28, la fente 64 est bordée dans sa 

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 lus petite dimension par au moins une languette, deux   lan.     guettée   par exemple 79-80.   Celles-ci   sont   délimitées,   d'une part, par la fente 64 et, d'autre part, par des perforations 
81- 82 de la saillie 56 du couvercle. Les languettes   79-80   sont évidemment solidaires par leurs   extrémités.,   de la sail- lie 56.

   En   conséquence,   les perforations 81 et 82 confèrent à la fente 64, par l'intermédiaire des languettes, une élastioi- té longitudinale plus grandet 
L'invention n'est pas limitée aux formes de réalisation représentées et décrites en   détail,   car diver- ses modifications peuvent y être apportées !Sans sortir de son cadre, En particulier, on peut concevoir d'autres moyens pour accroître le domaine de déformation élastique, pour limiter la déformation à ce domaine et pour répartir ladite déforma- tion sur les deux parties coopérantes du dispositif (pattes et fentes) et sur toute leur étendue.

Claims (1)

1. REVENDICATIONS 1- Dispositif de fermeture inviolable d'un récipient quelconque en matière plastique élastiqueaent défor- mable. caractérisé par le fait que l'un des éléments de l'en- semble du récipent comporte au moins une patte de forme géné- rale sensiblement triangulaires reliée audit élément par un pédoncule de largeur plus faible que la largeur maximum de la patte, tandis que l'autre élément du récipient comporte au moins une fente dont la largeur est inférieure & la largeur maximum de la patte, l'emplacement de la fente sur ce second élément du récipient 'correspondant à l'emplacement de la patte sur le premier élément, 2 - Dispositif suivant la revendication 1,

   caractérisé par le fait que l'épaisseur de chaque patte est croissante vers la pédoncule de liaison, son maximum étant au périeur à l'épaisseur de oe pédoncule) 3 Dispositif suivant les revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que chaque patte présente une face située dans le prolongement du pédoncule et une face en pente reliée à ce dernier par un épaulement.

   4 - Dispositif suivant les revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que chaque patte présente deux faces en pentes symétriques, reliées au pédoncule par des épaulements.

   5 - Dispositif suivant la revendication 1, ca- ractérisé par le fait que chaque patte est rendue déformable élastiquement dans le sens de sa largeur par une encoche la scindant en deux mors et s'étendant à cet effet de son extrémi- té au pied du pédoncule. <Desc/Clms Page number 16>

   6 - Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que chaque fente est bordée, dans sa plus grande dimension. par au moins une lèvre s'étendant entre deux encoches découpées dans la saillie de l'élément corres- pondant du récipient* ces encoches débouchant dans la fente pour conférer à celle-ci par l'intermédiaire de la lèvre une élasticité transversal** 7 - Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que chaque fente est bordée, dans sa plus petite dimension, par au moine une languette délimitée par une perforation de l'élément correspondant du récipient,

   perforation qui est prévue pour conf6rer à la. fente par l'in- termédiaire de la languette une élasticité longitudinale, 8 - Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que les pattes sont disposées sur le couvercle du récipient et les fentes, sur le corps du récipient ; 9- Dispositif suivant la revendication 1, caractérise par le fait que les pattes sont disposées sur le corps du récipient et les fentes sur le couvercle ; 10- Dispositif suivant la revendication 1, caractérisa par le fait que les fentes sont disposées sur des saillies d'un dos éléments du récipient 11 - Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que les pattes sont disposées sur des saillies prévues sur l'un des éléments du récipient ;

   12 - Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait qu'une fente est disposée dans le bord d'un couvercle coulissant tandis qu'une patte est disposée sur un des bords correspondant du corps du récipient sur lequel <Desc/Clms Page number 17> coulisse le couvercle 13- Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait qu'une patte est disposée dans le bord d'un couvercle coulissant tandis qu'une fente est disposée sur un des bords correspondants du corps du récipient sur lequel coulisse le couvercle.

   14- Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que la patte peut comporter, sur le pédoncule qui la relie à l'un des éléments du récipient, une amorce de cassure.