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PERFECTIONNEMENTS AUX SACS DE MONTAGNE.
La présente invention se réfère aux sacs destinés à être portés sur le dos et qu'on désigne sous le nom de sacs de montagne parce que c'est là leur principale application.
Dans les sacs du genre en question il est connu de réaliser une sorte d'armature souple par le moyen de plusieurs barrettes ou baguettes de bois ou d'acier disposées verticalement à l'intérieur du sac et d'une lame d' acier à ressort disposée horizontalement au bas de la face dorsale de celui- ci, cette dernière lame pouvant être incurvée de façon plus ou moins pronon- cée par traction d'une sangle sur des boucles ou passants solidaires de ses deux extrémités, laquelle sangle constitue en même temps la sangle ou courroie lombaire du sac. Mais dans les sacs connus du genre en question le démontage des barrettes, baguettes ou lames d'armatures a toujours été soit totalement impossible, soit relativement difficile.
L'invention vise au contraire à réaliser un sac dans lequel l'ar- mature souple est aisément amovible, les dispositifs assurant sa fixation en place étant par ailleurs extrêmement surs, très simples et très légers.
Le sac suivant l'invention est caractérisé en ce que son armature comprend une lame d'acier horizontale inférieure dont les deux extrémités sont enfilées dans deux boucles ou passants solidaires des angles inférieurs du sac, .de-telle-manière qu'une sangle lombaire, passée à la fois dans ces boucles ou passants et dans des boucles ou passants fixés à ladite lame d'acier un peu en retrait de chacune de ses extrémités assure tout à la fois la courbure de la lame et 'sa fixation au sac. -
On comprend en effet que la sangle lombaire ainsi passée empêche le sac de glisser latéralement'par rapport à la lame dans un sens ou dans l'au- tre, puisqu'elle réunit en quelque sorte les boucles ou passants du sac à ceux de la lame.
D'autre part on conçoit aisément que lorsque ladite sangle a été retirée, il est facile de dégager la lame du sac en la recourbant simplement quelque peu à la main pour.. pouvoir retirer l'une de ses extrémités de la boucle
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ou passant dans lequel elle était engagée. Ce mode de fixation est donc très simple, très léger et très sur. Il présente en outre l'avantage notable qu'après enlèvement de la lame il ne laisse subsister aucune pièce formant saillie à arête vive, susceptible de blesser, de telle sorte que lé sac @ suivant l'invention peut parfaitement être porté sans son-armature, à la fa- çon d'un sac tyrolien souple, ce qui constitue un avantage important pour les escalades difficiles.
Dans une première forme d'exécution de l'invention, l'armature du sac comprend en outre des éléments verticaux constitués par des barrettes souples, préférablement faites en bois, enfermées dans des pochettes prévues sur la face dorsale intérieure du sac et fermées par des rabats avec bouton- pression ou autre dispositif équivalent de fixation en place.
Dans une seconde forme d'exécution l'armature du sac comprend u- ne courte lame métallique horizontale supérieure réunie à la lame inférieure - par deux lames obliques croisées. De préférence l'armature en X ainsi réalisée est entièrement démontable du sac, son élément horizontal inférieur s'y fixant exactement comme la lame d'acier décrite précédemment, tandis que son élément horizontal supérieur est enfilé sous un capuchon prévu à la partie supérieure du sac et y est fixé par un agencement judicieux de courroies. Cet agencement peut notamment comporter deux courroies dont chacune traverse deux fois le capuchon en formant à l'intérieur de celui-ci une boucle emprisonnant l'élément supérieur de l'armature, les deux extrémités de la courroie considérée formant attache pour l'une des bretelles du sac.
Cette première fixation est avantageu- sement complétée par deux autres courroies qui, partant de l'élément supérieur de l'armature, traversent le capuchon et redescendent s'amarrer à l'élément in- férieur et forment ainsi tendeurs verticaux de l'armature.
Le dos du sac est préférablement protégé contre le frottement de l'armature par une garniture de cuir ou analogue, à la façon en soi connue.
Sur le dessin annexé donné à titre d'exemple :
Fig. 1 est une vue en élévation de la face dorsale extérieure d'un sac établi conformément à une première forme d'exécution de l'invention, la lame horizontale d'armature supposée enlevée.
Fig. 2 est une vue en coupe horizontale de la partie inférieure du sac, montrant la lame horizontale mise en place, mais non encore bandée par la sangle lombaire.
Fig. 3 reproduit fig. 1, mais après mise en place et tension de la sangle lombaire.
Fig. 4 est une vue en perspective de détail montrant une extré- mité de la lame horizontale.
Fig. 5 est une autre vue en perspective de détail montrant le haut d'une pochette de logement d'une baguette verticale d'armature, à la position ouverte, la baguette légèrement dégagée.
Fig. 6 est une vue en perspective d'un angle du sac.
Fig. 7 est une vue générale par l'arrière d'un sac établi confor- mément à une deuxième forme d'exécution de l'invention.
Fig. 8 reproduit partiellement la partie supérieure de fige 7 pendant le démontage de l' armature .
Fig. 9 montre la face dorsale du sac une fois l'armature enle- vée.
Fig. 10 est une vue de l'armature isolée.
Le sac représenté en fig. 1 à 6 est un sac tyrolien, fait en toile ou équivalent et armé par une série d'éléments indépendants les uns des autres, réalisant ainsi un ensemble non rigide, savoir deux éléments verti- caux et un élément horizontal inférieur.
L'élément horizontal inférieur est constitué par une lame 1 d'a
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cier à ressort (fig. 2 et 3), pourvue au voisinage de chacune de 'ses extrémités d'une boucle ou passant 2 (fig 4) de forme rectangulaire, fixé en place par un de ses grands cotés préférablement par le moyen de trois points 3 de soudu- re autogène ou de brasure. Ces deux boucles ou passants sont inclinés de fa- çon marquée par rapport au plan général de la lame, de manière à diverger 1' un par rapport à l'autre, comme le font bien comprendre fige 2 et 3. Vautre part chacun des angles inférieurs de la face dorsale 4 du sac est pourvu d' une boucle ou passant 5, également de forme rectangulaire et qui lui est fixé à.pivotement par une patte de cuir 6 à la façon usuelle en matière de sellerie.
Les deux boucles ou passants 5 sont disposés à une distance l'un de l'autre sensiblement égale à l'écartement des boucles ou passants 2 sur la lame 1.
Pour mettre en place la lame 1, on engage une de ses extrémités dans un passant 5 et en la recourbant on engage l'autre dans le second passant
5, l'ensemble se présentant alors comme clairement indiqué en fig. 2. Les pas- sants 2 de la lame 1, étant à une certaine distance de chacun des bords termi- naux de celle-ci, ne peuvent gêner cette mise en place, comme on le conçoit ai- sément.
Ceci fait, on passe la sangle lombaire 7 du sac à la fois dans les passants 2 et dans les passants 5 et on la tend (fig. 3). La traction ain- si réalisée tend à rapprocher les cotés transversaux extrêmes des passants 2 et oblige ainsi la lame 1 à s'incurver en direction du sac contre lequel elle vient porter par toute sa zone médiane. Pour faciliter ce serrage, il est avan- tageux que la sangle 7 soit pourvue d'une boucle de serrage à autoblocage par coincement ou par des griffes, suivant les cas.
La lame 1 se trouve ainsi fixée en place de façon sûre, ses ex- trémités ne risquent nullement de se dégager intempestivement quoi qu'il arri- ve, en raison de ce que la sangle 7 a en quelque sorte rendu les passants 5 so- lidaires des passants 2. La sangle lombaire 7 est d'autre part convenablement ,tendue et la courbure de la lame 1 maintient la face dorsale du sac à une dis- tanoe appropriée du dos du porteur.
Le démontage éventuel s'effectue en procédant de façon inverse.
Il est très rapide et une fois la lame enlevée, il ne reste plus de son dis- ,(positif de fixation que les passants 5 (fig. 1) lesquels constituent des piè- ces arrondies qui se plaquent d'ailleurs par pivotement contre la face dorsa- le du sac où elles ne risquent nullement de blesser le porteur du sac ainsi démuni de son armature horizontale, ce qui, ainsi qu'on l'a expliqué plus haut, constitue un avantage important pour l'escalade.
On remarquera encore que le dispositif de fixation sus-décrit ne comporte que des pièces simples et très légères.
L'armature comporte encore deux éléments verticaux constitués par deux baguettes 8 (fig. 1 et 5) faites en un bois à haute élasticité tel que le frêne, et qui sont enfilées dans deux pochettes allongées 9 prévues sur 1' intérieur de la face dorsale 4 du sac. A chacune de ces pochettes est associé un rabat 10 qui peut en assurer la fermeture par dessus l'extrémité supérieure de la baguette 8 correspondante, ce rabat se fixant en place par un bouton- pression 11.
Les baguettes 8 sont ainsi positivement retenues en place verti- calement dans le sac et elles ne risquent nullement de remonter sous l'effet de chocs ou autres, et de provoquer ainsi une usure inadmissible ou même une détérioration de la patte supérieure du sac ou des objets serrés immédiatement sous celle-ci.
On remarquera encore que la partie inférieure 12 des bretelles du sac se fixe directement entre les deux épaisseurs 11 et 14 de cuir ou autre garnissant l'angle inférieur de celui-ci, comme montré fig. 6. On évite ainsi toute saillie latérale susceptible de gêner le porteur.
Dans la forme d'-exécution représentée dans les fig. 7 à 10 l'ar- mature souple du sac comporte comme dans le cas précédent, une lame d'acier
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à ressort portant à ses extrémités des boucles ou passants 2 soudés à une posi- tion oblique. Sur cette lame sont soudées deux lames plus étroites 20 qui se coisent en forme de X et sont assemblées à leurs extrémités supérieures par une lame horizontale 21 relativement courte. A la lame horizontale 21 sont at- tachées deux courroies 22 destinées à coopérer avec deux boucles à ardillon 23 fixées à la lame 1 au voisinage de ses extrémités (fig. 10).
La face dorsale du sac porte encore deux bandes de cuir croisées 24, destinées à former garniture protectrice, comme il sera exposé ci-après.
Enfin le sommet de ladite face dorsale 4 porte un capuchon de cuir 25 percé de six fenêtres pour le passage de courroies, à la façon ci-après exposée.
Les éléments obliques 20 s'appliquent contre les bandes 24 qui protègent la toile du sac contre leur contact et contre l'usure qui pourrait en résulter. L'élément supérieur 21 est enfilé sous la capuchon 25. Cette fixa- tion est complétée par deux courroies 26 dont chacune traverse deux fois le capuchon 25 en formant à l'intérieur de celui-ci une boucle qui enserre l'élé- ment supérieur 21. La vue de fig. 8 montre à gauche une courroie 26 encore passée autour de l'élément supérieur de l'armature, mais dont les deux brins extérieurs sont libres. Cette même figure montre à droite une courroie 26 dont l'un des brins est complètement dégagé du capuchon 25 pour permettre l'enlève- ment de l'armature.
Pour rendre les courroies 26 imperdables, on peut les fixer au dos du sac en leur milieu par un rivet.
Chacune des courroies 26, repliée à double, sert d'attache à celle des bretelles 27 du sac qui se trouve du coté correspondant, comme le fait bien comprendre fig. 7. Cette liaison entre les courroies 26 et les bre- telles 27 assure d'une part le fixation de l'élément supérieur 21, puisque les courroies 26 sont refermées autour de lui, et transmet d'autre part à cet élément 21 une partie au moins de l'effort de retenue que la bretelle exer- ce a-rencontre du poids du sac. En d'autres termes, une partie au moins du poids du sac est supportée directement par l'intermédiaire de l'armature et de la bretelle.
Les courroies 22 sus-décriteset qui, comme on l'a expliqué, sont amarrées à l'élément supérieur 21, traversent le capuchon 25 et redescendent s'accrocher aux boucles inférieures 23 solidaires de la lame 1. Cette dispo- sition permet de tendre verticalement l'armature et, si besoin est, de la cam- brer légèrement dans le sens vertical.
On comprend aisément que l'armature sus-décrite reste parfaite- ment démontable. Il suffit de dégager les courroies 26 des bretelles 27, de dégager ensuite le brin inférieur de chacune de ces courroies du capuchon 25 (comme montré fig. 8 à gauche), de dégager encore les courroies 22 dudit capu- chon 25 (fig. 8 à droite), de libérer la lame inférieure 1 comme exposé plus haut, puis de tirer l'armature. Le sac se présente alors comme indiqué en fig.
9. L'armature démontée forme une pièce unique, et non plus un ensemble de piè- ces séparées, ce qui présente un avantage sur la forme d'exécution décrite pré- cédemment.
Il doit d'ailleurs être entendu que la description qui précède n'a été donnée qu'à titre d'exemple et qu'elle ne limite nullement le domaine de l'invention dont on ne sortirait pas en remplagant les détails d'exécution décrits par tous autres équivalents.
Résumé et Revendications.
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IMPROVEMENTS TO MOUNTAIN BAGS.
The present invention refers to bags intended to be carried on the back and which are referred to as mountain bags because this is their main application.
In bags of the type in question it is known to produce a kind of flexible frame by means of several bars or rods of wood or steel arranged vertically inside the bag and a spring steel blade. arranged horizontally at the bottom of the dorsal face thereof, the latter blade possibly being curved to a greater or lesser extent by pulling a strap on loops or loops secured to its two ends, which strap constitutes at the same time the lumbar strap or strap of the bag. But in the known bags of the type in question, the dismantling of the bars, rods or reinforcement blades has always been either totally impossible or relatively difficult.
On the contrary, the invention aims to produce a bag in which the flexible frame is easily removable, the devices ensuring its fixing in place being moreover extremely safe, very simple and very light.
The bag according to the invention is characterized in that its frame comprises a lower horizontal steel blade, the two ends of which are threaded into two loops or loops integral with the lower corners of the bag, .de-such as a lumbar strap , passed both in these loops or loops and in loops or loops attached to said steel blade a little behind each of its ends ensures both the curvature of the blade and 'its attachment to the bag. -
It will in fact be understood that the lumbar strap thus passed prevents the bag from sliding laterally relative to the blade in one direction or the other, since it in a way unites the loops or loops of the bag to those of the blade. blade.
On the other hand, it is easy to see that when said strap has been removed, it is easy to release the blade from the bag by simply bending it somewhat by hand in order to be able to remove one of its ends from the loop.
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or passer-by in which she was engaged. This method of fixing is therefore very simple, very light and very secure. It also has the notable advantage that after removal of the blade it leaves no part remaining forming a sharp-edged projection, liable to injure, so that the bag according to the invention can perfectly be worn without its frame. , like a flexible Tyrolean bag, which is an important advantage for difficult climbs.
In a first embodiment of the invention, the frame of the bag further comprises vertical elements constituted by flexible bars, preferably made of wood, enclosed in pockets provided on the inner dorsal face of the bag and closed by flaps with press stud or other equivalent securing device in place.
In a second embodiment, the frame of the bag comprises a short upper horizontal metal blade joined to the lower blade - by two crossed oblique blades. Preferably the X-shaped frame thus produced is completely removable from the bag, its lower horizontal element being fixed there exactly like the steel blade described above, while its upper horizontal element is slipped under a cap provided at the upper part of the bag. bag and is fixed there by a judicious arrangement of straps. This arrangement may in particular comprise two straps, each of which passes through the cap twice, forming inside the latter a loop imprisoning the upper element of the frame, the two ends of the strap considered forming a fastener for one of the shoulder straps of the bag.
This first attachment is advantageously completed by two other straps which, starting from the upper element of the frame, pass through the cap and come down to anchor to the lower element and thus form vertical tensioners for the frame.
The back of the bag is preferably protected against the friction of the frame by a lining of leather or the like, in the manner known per se.
In the attached drawing given by way of example:
Fig. 1 is an elevational view of the outer dorsal face of a bag established in accordance with a first embodiment of the invention, the horizontal reinforcing blade supposedly removed.
Fig. 2 is a horizontal sectional view of the lower part of the bag, showing the horizontal blade in place, but not yet bandaged by the lumbar strap.
Fig. 3 shown in fig. 1, but after placing and tensioning the lumbar strap.
Fig. 4 is a detailed perspective view showing one end of the horizontal blade.
Fig. 5 is another detailed perspective view showing the top of a pocket for accommodating a vertical frame rod, in the open position, the rod slightly disengaged.
Fig. 6 is a perspective view from an angle of the bag.
Fig. 7 is a general rear view of a bag constructed in accordance with a second embodiment of the invention.
Fig. 8 partially reproduces the upper part of the rod 7 during the dismantling of the frame.
Fig. 9 shows the dorsal face of the bag once the frame has been removed.
Fig. 10 is a view of the isolated frame.
The bag shown in fig. 1 to 6 is a Tyrolean bag, made of canvas or the like and reinforced by a series of elements independent of each other, thus achieving a non-rigid assembly, namely two vertical elements and a lower horizontal element.
The lower horizontal element consists of a blade 1 of a
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spring (fig. 2 and 3), provided in the vicinity of each of its ends with a loop or loop 2 (fig 4) of rectangular shape, fixed in place by one of its long sides preferably by means of three 3 points of autogenous solder or solder. These two loops or loops are inclined in a marked manner with respect to the general plane of the blade, so as to diverge from one another, as is clearly understood in figs 2 and 3. On the other hand each of the angles of the dorsal face 4 of the bag is provided with a loop or loop 5, also rectangular in shape and which is fixed to it pivotally by a leather tab 6 in the usual way in saddlery.
The two loops or loops 5 are arranged at a distance from each other substantially equal to the spacing of the loops or loops 2 on the blade 1.
To set up the blade 1, one of its ends is engaged in a loop 5 and by bending it we engage the other in the second loop
5, the assembly then appearing as clearly indicated in FIG. 2. The passers 2 of the blade 1, being at a certain distance from each of the end edges thereof, cannot interfere with this positioning, as can easily be seen.
This done, we pass the lumbar strap 7 of the bag both in the loops 2 and in the loops 5 and we tighten it (fig. 3). The traction thus achieved tends to bring the extreme transverse sides of the loops 2 closer together and thus forces the blade 1 to curve in the direction of the bag against which it comes to bear through its entire median zone. To facilitate this tightening, it is advantageous for the strap 7 to be provided with a self-locking tightening loop by wedging or by claws, as the case may be.
The blade 1 is thus securely fixed in place, its ends are in no way likely to come out untimely whatever happens, because the strap 7 has in a way made the passers-by 5 so- lidaires of the passers-by 2. The lumbar strap 7 is on the other hand suitably, stretched and the curvature of the blade 1 keeps the dorsal face of the bag at an appropriate distance from the back of the wearer.
Any disassembly is carried out in reverse order.
It is very fast and once the blade has been removed, all that remains of its device, (positive fixing only the loops 5 (fig. 1) which constitute rounded parts which are flattened by pivoting against the the dorsal face of the bag where there is no risk of injuring the wearer of the bag thus deprived of its horizontal frame, which, as explained above, constitutes a significant advantage for climbing.
It will also be noted that the fixing device described above only comprises simple and very light parts.
The frame further comprises two vertical elements constituted by two rods 8 (Figs. 1 and 5) made of a high elasticity wood such as ash, and which are threaded into two elongated pockets 9 provided on the inside of the dorsal face. 4 from the bag. Each of these pockets is associated with a flap 10 which can ensure its closure over the upper end of the corresponding rod 8, this flap being fixed in place by a press-stud 11.
The rods 8 are thus positively retained in place vertically in the bag and there is no risk of them rising under the effect of shocks or the like, and thus causing inadmissible wear or even deterioration of the upper tab of the bag or of the parts. objects clamped immediately below it.
It will also be noted that the lower part 12 of the shoulder straps of the bag is fixed directly between the two layers 11 and 14 of leather or other lining the lower corner thereof, as shown in FIG. 6. This avoids any lateral protrusion likely to hamper the wearer.
In the form of execution shown in fig. 7 to 10 the flexible frame of the bag comprises, as in the previous case, a steel blade
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spring carrying loops or loops 2 welded at an oblique position at its ends. On this blade are welded two narrower blades 20 which fit together in the shape of an X and are assembled at their upper ends by a relatively short horizontal blade 21. To the horizontal blade 21 are attached two straps 22 intended to cooperate with two pin buckles 23 fixed to the blade 1 in the vicinity of its ends (fig. 10).
The dorsal face of the bag also carries two crossed leather bands 24, intended to form a protective lining, as will be explained below.
Finally, the top of said dorsal face 4 carries a leather cap 25 pierced with six windows for the passage of straps, in the manner described below.
The oblique elements 20 apply against the bands 24 which protect the canvas of the bag against their contact and against the wear which could result therefrom. The upper element 21 is slipped under the cap 25. This fixing is completed by two straps 26, each of which passes through the cap 25 twice, forming a loop inside the latter which encloses the upper element. 21. The view of FIG. 8 shows on the left a belt 26 still passed around the upper element of the frame, but the two outer strands of which are free. This same figure shows on the right a belt 26, one of the strands of which is completely disengaged from the cap 25 to allow the removal of the reinforcement.
To make the straps 26 captive, they can be fixed to the back of the bag in the middle by a rivet.
Each of the straps 26, double folded, serves as an attachment to that of the straps 27 of the bag which is on the corresponding side, as is clearly understood in fig. 7. This connection between the belts 26 and the belts 27 on the one hand secures the upper element 21, since the belts 26 are closed around it, and on the other hand transmits a part to this element 21. at least the retaining force that the strap exerts meets the weight of the bag. In other words, at least part of the weight of the bag is supported directly through the frame and the sling.
The belts 22 described above and which, as has been explained, are anchored to the upper element 21, pass through the cap 25 and come down again to hook onto the lower loops 23 integral with the blade 1. This arrangement makes it possible to tighten the frame vertically and, if necessary, to arch it slightly vertically.
It will easily be understood that the frame described above remains perfectly removable. It suffices to release the straps 26 from the shoulder straps 27, then release the lower end of each of these straps from the cap 25 (as shown in fig. 8 on the left), further release the straps 22 from said cap 25 (fig. 8). on the right), release the lower blade 1 as described above, then pull the frame. The bag is then presented as indicated in fig.
9. The dismantled frame forms a single piece, and no longer a set of separate pieces, which has an advantage over the embodiment described above.
It must also be understood that the above description has been given only by way of example and that it in no way limits the field of the invention, which would not be departed from by replacing the details of execution described. by all other equivalents.
Summary and Claims.
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