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SERRURE A CLE.
La présente invention a pour objet une serrure à clé présentant un paneton profilé, comprenant un pêne coulissant commandé par un organe rotatif et un carter avec au moins une cavité cylindrique et deux fentes de blocage diamétralement opposéeso Cette serrure est caractérisée par une ca- ge rotative en deux pièces solidarisées par emboîtement, à savoir une piè- ce entraîneuse montée rotativement dans ladite cavité et présentant une perforation de guidage pour la clé et une pièce réceptrice accouplée au pêne? cette dernière pièce présentant dans deux parois opposées des fenê- tres de guidage se faisant face, et par des paires de lamelles de verrouil- lage disposées au moins en majeure partie de part et d'autre d'un plan de symétrie axial de la pièce réceptrice,
à raison de deux lamelles complémen- taires dans chaque groupe de deux fenêtres situées sensiblement au même niveau, ces lamelles complémentaires, sollicitées élastiquement en sens contraires vers une position de verrouillage, présentant chacune une sail- lie extrême de blocage apte à pénétrer dans une rainure du carter et une portée de contact destinée à coopérer avec le paneton profilé de la clé pour amener ladite lamelle en position neutre, le tout dans le but que le blocage de la cage rotative soit assuré par un petit nombre de paires de lamelles dont les saillies sont en prise dans les deux dites fentes.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, trois formes d'exécution principales de la présente invention avec des variantes de détails.
La fig. 1 est une coupe partielle passant par l'axe de la cage rotative, prise suivant la-ligne 1-1 de la fig,. 2.
La fig. 2 est une coupe perpendiculaire à l'axe de rotation de la cage, prise suivant la ligne II-II de la fig,. 1.
Les fig. 3 et 4 sont des coupes longitudinales du boîtier, prises suivant les lignes III-III et IV-IV de la fig. 2.
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La fig. 5 est une coupe du carter et de son contenu prise sui- vant la ligne V-V de la fig.1.
La fig. 6 représente, à plus grande échelle et en plan, une paire de lamelles engagée dans la pièce réceptrice.
La figo 7 est une coupe longitudinale du carter, et
La fig.8 en est une vue en plan par dessous
La fig. 9 est une coupe perpendiculaire à l'axe de la cage rotative, d'une seconde forme d'exécution, cette coupe étant prise suivant la ligne IX-IX de la fige 10.
La figo 10 est une coupe axiale suivant la ligne X-X de la figo 9,
La figo 11 représente, en plan, le boîtier récepteur avec un bouton de sécurité appartenant à la deuxième forme d'exécution.
La fig. 12 représente une lamelle mobile coopérant avec une lamelle fixe.
La figo 13 est une vue en bout du fond de la pièce réceptrice suivant une variante.
La fig.14 représente, dans un plan perpendiculaire à celui de la fig. 1 et parallèle à l'axe A-A, une seconde variante de la pièce récep- trice
La figo 15 est une vue en élévation de la troisième forme d'exé- cution, avec coupe partielle suivant l'axe de la cage rotative.
La fig.16 est une vue de face correspondant à la fig.15, le support et le bouton de sécurité étant enlevés.
La fig. 17 est une coupe diamétrale et une vue en élévation partielle de la serrure de la fig. 15 en cours d'assemblage
La fig. 18 représente en élévation un carter de serrure, utili- sé pour un verrou à combinaison.
Le carter 1 de la serrure constituant la première forme d'exé- cution est en fonte injectée d'aluminium. Il présente deux cavités cylin- driques juxtaposées dont l'une, désignée par la référence 2, reçoit la cage rotative d'une serrure à clé, et l'autre 3, les rondelles à encoches et la came, non représentées, d'un verrou à combinaison secrète dont on voit toutefois les organes de commande 4 et 5.
La cavité cylindrique 2 présente dans sa paroi deux fentes axia- les de blocage 6 et 7 diamétralement opposées. Dans une ouverture circulai- re 8 du carter, concentrique à la cavité cylindrique 2, est montée une pièce entraîneuse 9 dont le bord circulaire intérieur est guidé dans la cavité 2 elle-même. La pièce entraîneuse 9 est percée d'une perforation de guidage 10 pour une clé 11 dont le paneton présente des nervures axiales 12 enga- gées dans des sillons correspondants profilés dans ladite perforation. Les bords opposés 13-14 du paneton de la clé 11 présentent des encoches alter- nant avec des bossages destinés à coopérer avec les lamelles qui seront dé- crites plus loin.
La pièce entraîneuse 9 présente deux montants de guidage 15 à surface extérieure cylindrique en contact avec la cavité 2. Les montants 15 se terminent par des tenons 16 engagés dans des ouvertures correspondan- tes prévues dans une pièce réceptrice 17. La pièce réceptrice 17 comprend essentiellement deux parois 18 parallèles à l'axe A-A de la cavité 2 et une partie cylindrique creuse 19. Les parois 18 se prolongent par des tenons 20 encastrés à force dans la tête massive de la pièce entraîneuse.
Le carter 1 (fig. 5, 7 et 8) a une paroi de pourtour munie de pattes d'extrémité 22-23 dans chacune desquelles est emboîtée à force une plaquette 24-25 à trou taraudé (fig1). Une contre-plaque d'appui 26 en- castrée dans un logement correspondant ménagé dans la face intérieure de
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la porte P, est fixée par des vis 27 engagées dans les trous taraudés des plaquettes 24-25 et par des vis plus grosses 28, vissées dans des logements 29, creusés dans le carter. Ce dernier est fermé, sur sa face intérieure par une plaque 30 présentant deux tenons latéraux 31 engagés sous les cro- chets 32 du cartero Cette plaque a une entaille terminale 33 s'adaptant sur une partie en surépaisseur 34 dudit carter.
Cette plaque 30 présente encore deux ouvertures allongées 35-36 à travers lesquelles passent respec- tivement la partie cylindrique 19 de la cage rotative et une pièce cylindri- que rotative du verrou à combinaisono Grâce à ces moyens, l'assemblage du carter 1 complètement garni et de la plaque 30 peut être obtenu par une sim- ple translation de cette plaque.
La pièce 17 présente une saillie extérieure 93 (fig. 6) dispo- sée de manière à limiter le déplacement angulaire de ladite pièce 17 en butant contre l'une ou 1 autre des extrémités 94-95 d'une entaille du car- ter 1 (fig. 8).
Les parois 18 de la pièce réceptrice présentent six fenêtres de guidage 38 se faisant face deux à deux. Dans chaque groupe de deux fenêtres opposées situées au même niveau, se trouve une paire de lamelles complémen- taires de verrouillage 40, identiques,\1 mais de positions inversées. Chaque lamelle 40 possède une saillie extrême de olocage 41, une portée de contact 42,destinée à coopérer avec le paneton 13-14 de la clé,un tigeron 43 de support d'un ressort 44, un tigeron de guidage 45 et deux rebords de con- tact 46 (voir fig.6)
avec la seconde lamelle de la paire Les ressorts 44 sollicitent les lamelles de telle manière que les saillies de blocage 41 s'engagent dans les fentes axiales 6 et 7 en l'absence de clé. Les lamelles 40 ont des positions retournées à 1800 autour d'un axe longitudinal B-B per- pendiculaire à l'axe de rotation A-A, en passant d'une paire à la suivante, de sorte que les saillies de blocage 41 portent alternativement sur l'un et l'autre bord des fentes de blocage 6 et 7. Il serait alors plus avantageux d'avoir un nombre pair de groupes de lamelles complémentaires?par exemple quatre, pour assurer un blocage symétrique.
Ces lamelles complémentaires 40 sont disposées de part et d'autre d'un plan de symétrie axial de trace B-B et perpendiculaire au plan de la fig. 5 La partie cylindrique 19 est accouplée par une barrette-tournevis 48 à un organe d'accouplement 50 por- tant un maneton 51 sur lequel S'applique élastiquement le bord interne d'un cadre coulissant 52 fixé au premier pêne 53 L'organe d'accouplement 50 est monté contre un panneau 54 faisant partie d'un boîtier 55 qui est vissé dans la face interne de la porte P au moyen de vis engagées dans les perfora- tions 56 (fig.2).
Un ressort 57, prenant appui contre un bloc 58, sollicite le premier pêne 53 vers la position de fermeture c'est-à-dire dans un bol-- tier récepteur'60 fixé au chambranle de la porte La paroi verticale épaisse du boîtier 55 présente deux ouvertures cylindriques 61, 62 (fig. 3 et 4) dans lesquelles peuvent tourillonner un bouton de manoeuvre 63 pour la ser- rure à clé et un bouton de sécurité 64 pour le verrou à combinaison. Le bouton de manoeuvre 63 porte un bras recourbé 65 contre lequel s'applique élastiquement le bord du cadre coulissant 52.
Il est ainsi possible d'ac- tionner le pêne 53 soit au moyen de la clé 11, soit depuis l'intérieur du local.. au moyen du bouton 63
Le bouton de sécurité 64 porte solidairement une équerre ou ma- nivelle de commande 66 ayant une branche 67 constamment engagée dans une encoche 68 d'une barre plate 69 fixée à un second pêne coulissant 70,qui pénètre dans le boîtier récepteur d'arrêt 60 lorsque l'usager actionne le verrou à combinaison 4-5 dansle sens de la fermeture. En fin de course de fermeture la barre 69 heurte la butée fixe 128. Deux goujons 71 portés par le bouton de sécurité 64, peuvent être engagés soit dans les logements de repérage normaux 72, soit dans les logements de repérage spéciaux 73 suivant la position angulaire du bouton de sécurité.
Ces logements 72 et 73 sont ménagés dans une pièce d'accouplement 74 en prise avec un tournevis 75, lui- même actionné par la cage rotative 76 du verrou à combinaison. Un ressort 77 maintient le bouton de sécurité 64 dans l'une ou l'autre des positions angulaires d'accouplement avec la pièce 74.
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Les pièces d'accouplement 50 et 74 sont empêchées de se dépla- cer suivant l'axe A-A par des supports en pontets 78 assemblés au panneau 54 par emboîtement et immobilisées par des goupilles 79
Dans la serrure ci-dessus décrite, le premier pêne 53 peut être actionné soit au moyen de la clé 11, de l'extérieur, soit au moyen du bouton de manoeuvre 63 , de l'intérieur du local
Lorsque l'usager introduit à fond la clé 11 dans la perfora- tion de guidage 10, les saillies des bords 13-14 du paneton, en agissant sur les portées de contact 42, ramènent les lamelles 40 en position de déblocage représentée à la fig. 5. Dans ce mouvement, les saillies extrê- mes de blocage sont retirées des fentes de verrouillage 6 et 7.
On peut alors tourner la clé 11 et la cage rotative 9-18 dans le sens convena- ble pour faire sortir le pêne 53 du boîtier d'arrêt 60.
Le fonctionnement de la serrure à clé ci-dessus décrite est le suivant :
Pour ouvriron engage la clé 11 à fond dans la perforation 10 de sorte que le paneton 13-14, en agissant sur les portées de contact 42 des lamelles 40, ramène ces dernières en position neutre (fig . 5), à l'encon- tre des ressorts 44. La cage rotative 9-18 étant ainsi déverrouillée, on tourne la clé dans le sens de la flèche F , en se reportant à la fig. 2, de sorte que le maneton 51, agissant sur le' cadre 52, retire le pêne 53 du boîtier récepteur 60. La serrure est ouverte.
Lorsqu'on ferme ensuite la porte sans faire intervenir la clé, le biseau 98 du pêne 53 est chassé par le bord de l'ouverture correspon- dante du boîtier 60. Le ressort 57 est ainsi comprimé. Dès que le pêne 53 est complètement en regard de l'ouverture en question, le ressort 57 peut se détendre et pousser le pêne 53 dans ladite ouverture pour maintenir la porte fermée
La serrure représentée aux figo 9 à 11 comprend un carter ovale 99, une clé normale telle que la clé 11 de la première forme d'exécution et une clé spéciale 80 de même longueur totale, mais dont le paneton comprend un bossage supplémentaire 1050. La pièce réceptrice 97, assemblée à la piè- ce entraîneuse 9,
présente des fenêtres supplémentaires de guidage 81 dans lesquelles peuvent coulisser au moins une lamelle supplémentaire 82 et une lamelle complémentaire 83. Cette dernière a la même forme générale que les lamelles 40 de la première forme d'exécution, mais avec un tigeron 43 plus court. La lamelle supplémentaire 82 se termine à une extrémité par un tige- ron 106 portant un ressort 107, et à l'autre, par une saillie de butée mo- bile 108.
La cavité cylindrique 88 dans laquelle est montée la cage rota- tive 9-97 présente sur toute sa hauteur deux paires de rainures de verrouil- lage 89 et 90 diamétralement opposées pour les saillies extrêmes de blocage des lamelles ordinaires 40 décrites en regard de la fig. 6. Les rainures 89 correspondent à la position ouverte, les rainures 90 à la position femée de la serrure.
La saillie 108 a une largeur de 0,5 mm plus grande que la somme des largeurs des deux saillies de blocage 41 afférentes aux lamelles ordinai- res. Grâce à cette disposition, lorsque la saillie 108 est en contact avec le flanc 109 de la rainure 90 intéressée, qui présente elle-même une largeur un peu plus grande que la somme des largeurs des butées 41 et 43, elles déter- mine la position angulaire correcte des lamelles ordinaires pour la position d'ouverture de la serrure avec un jeu de 0,5 mm de chaque côté Il y a en- core dans la cavité 88 une butée fixe 91, qui coopère avec la saillie 108 de la même manière que ci-dessus pour la mise en place correcte des lamelles ordinaires dans la rainure 89.
L'épaisseur radiale de la butée fixe 91 est égale à la moitié de la profondeur de la creusure en secteur annulaire 110 que présente la cavité 88 pour limiter le déplacement angulaire total de la saillie mobile 108, par un cran d'arrêt 111.
La face intérieure de la porte P à laquelle est destinée cette
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serrure porte un boîtier 112 dans lequel peut tourner un bouton de sécuri- té 113.,accouplé par des goujons 114, à une équerre 67 identique à celle décrite en regard de la fig. 2. Cette équerre est engagée avec jeu dans une encoche 68 d'une barre coulissante 69 reliée au pêne 115.
Les goujons 114 sous Inaction du ressort 116 suivant la flèche F,sont normalement engagés dans les trous 117 du fond de la partie cylindrique 118 prolongeant la pièce réceptrice 97. En cas.de manoeuvre du bouton de.sécurité 113 pour la position fermée de la serrure, les goujons 114 coopèrent avec des trous 119 du fond de la partie cylindrique 118.
De 1,'intérieur du local, on peut actionner le pêne au moyen du bouton de sécurité 113, indépendamment de la position de la cage rota- tive 9-97, en exerçant une traction axiale suivant F2 pour faire sortir les goujons 114 des logements 117. Cette traction axiale qui comprime le res- sort 116, laisse néanmoins le bras d'équerre 67 en prise avec l'encoche 68 On fait alors tourner le bouton 113 jusqu'à ce que les goujons puissent péné- trer dans les logements 119 lors du relâchement de la traction axiale.
Comme on le voit à la fige 13, les trous 117-119 peuvent être remplacés par des rainures radiales 130-131 à 60 l'une de l'autre, ménagées dans le fond de la partie cylindrique 118 de la pièce réceptrice. En outre les goujons 114 peuvent présenter une extrémité tronconiqueo Même si leurs distances à l'axe de rotation de la pièce 97-118 ne sont pas rigoureusement égales, ces goujons s'engagent facilement dans les rainures radiales 130- 131. lors de la manoeuvre du bouton de sécurité 113.
En supposant que l'usager situé à l'intérieur du local désire 9 enfermer et bloquer la serrure, les butées 41, 43 étant restées dans les rai- nures 89, il doit tirer le bouton 113 et le tourner dans le sens convenable pour déterminer la fermeture par le pêne 115 qui s'achève lorsque les goujons 114 pénètrent dans les trous 119, la traction axiale étant relâchée Il serait alors impossible d'ouvrir la serrure, de l'extérieur, au moyen de la clé ordinaire 11 dont le paneton ne peut pas libérer la saillie 108 de la lamelle supplémentaire 82, par rapport au cran d'arrêt 91.
En effet, le ressort 107 pousse la lamelle 82 dans le sens de la flèche F (figo 9) jusqu'à ce que le taquet 121 heurte la pièce réceptrice 97. Lors de la rotation de cette pièce 97, la saillie mobile 108 coo- père avec la butée fixe 91 pour arrêter cette rotation et empêcher d'ou- vrir la serrure au moyen de la clé ordinaireo Par contre, lorsque l'on introduit à fond la clé spéciale 80 dans la pièce 9, le paneton 105 ramène les lamelles juxtaposées 40 dans la position neutre représentée à la fig.
5 et, de plus, agit aussi à l'encontre du ressort 107, sur la lamelle sup-: plémentaire 82 qui prend alors la position de libération visible en fige 9 On peut dès lors faire tourner la cage 9-97 dans le sens F jusqu'à ce que la saillie mobile 108 heurte le cran d'arrêt 111, ce mouvement ayant pour effet d'ouvrir la serrure, puisqu'il provoque une rotation du bras d'équer- re 67 dans le sens voulu pour retirer le pêne 115 du boîtier de chambranle 60.
Au moyen de la clé spéciale 80, il est donc possible d'ouvrir la serrure,de l'extérieur, même si une personne, à l'intérieur du local, avait préalablement mis le bouton de sécurité 113 dans une position corres- pondant à la fermeture de la serrure.
Dans un édifice tel qu'un hôtel, par exemple, comprenant plu- sieurs chambres, dont toutes les portes doivent pouvoir être ouvertes ou fermées au moyen d'une clé générale en mains du directeur, tandis que la serrure d'une porte quelconque ne doit pouvoir être actionnée, en outre, qu'au moyen de sa propre clé ordinaire individuelle, en mains de l'hôte? il est avantageux de. prévoir, pour les différentes serrures, diverses com- binaisons de lamelles coopérant cependant avec des cages rotatives identi- ques o
Pour une cage rotative telle que 9-97 des fig. 9 et 10 à quatre paires de fenêtres de guidage 38, on aura, par exemple, quatre lamelles mobiles ordinaires au lieu de sept, plus une lamelle supplémentaire dans un
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jeu complet.
En variant la position de ces lamelles mobiles on peut, pour les quatre paires de fenêtres 38, obtenir 35 combinaisons différen- tes susceptibles d9être actionnées au moyen de la même clé générale.
Quand une paire de fenêtres 38 porte une seule lamelle mobile 40, comme on le voit à la fige 12, la seconde lamelle 125 engagée dans les- dites fenêtres 38, y est maintenue stationnaire par les tenons 126 butant contre la pièce réceptrice 18. Le paneton de chaque clé ordinaire ne pré- sente que les bossages nécessaires pour déverrouiller les lamelles mobiles d'une serrure correspondante. Par contre, le paneton de la clé spéciale en mains du directeur présente tous les bossages nécessaires pour déver- rouiller toutes les combinaisons de lamelles mobiles.
Les lamelles 40 et 125 sont interchangeables d'un groupe 38 de fenêtres de guidage à un autre groupe, le tout dans le but de permettre des combinaisons différentes de lamelles fixes et de lamelles coulissantes.
Dans les deux formes d'exécution décrites, les clés 11 et 80, la pièce réceptrice 18 ou 97, la plaque de fermeture 30, la plaque de re- pérage 26, le panneau 54, les lamelles des deux types, l'équerre 66-67, le cadre 52, la barre plate 69, les pontets 78 et d'autres pièces encore peuvent être fabriqués par étampage et emboutissage, pour diminuer le prix de revient. Les pièces ainsi réalisées sont plus précises que si elles étaient moulées.
La pièce réceptrice 180 représentée à la fig. 14 possède des fenêtres de guidage à deux moitiés 135-136 légèrement décalées en hauteur.
Chaque moitié contient l'une des lamelles complémentaires 40 qui, dans ce cas, se chevauchent sur une largeur égale à l'épaisseur du paneton.
Par ailleurs, ces lamelles 40 ont sensiblement la forme générale visible à la fig. 6, si ce n'est que les portées de contact mutuel 46 sont rempla- cées par les extrémités des demi-fenêtres 135-136.
Les fige 15, 16 et 17 se rapportent à une troisième forme de réalisation principale et concernent une serrure, destinés à équiper une porte de local et comprenant un bouton de sécurité analogue au bouton 64 visible aux fig. 1 et 3, c'est-à-dire un bouton disposé de manière à pouvoir tourner et coulisser axialement dans un support destiné à être fixé sur la face intérieure de la porte par rapport au local.
Dans cette forme de réalisation,le carter, à fond amovible, et le support du bouton de sécurité sont assemblés entre eux et avec la porte, d'une part au moyen d'organes de fixation présentant, suivant le même axe parallèle à l'axe de la cage rotative,une partie filetée extérieurement et une partie creuse filetée intérieurement, ainsi qu'un épaulement extérieur destiné à maintenir le fond du carter en place, l'u- ne de ces parties de chaque organe de fixation étant en prise avec un élé- ment fileté du carter, l'autre partie étant enprise avec un organe de vissage présentant une surface de butée axiale en contact avec une par- tie correspondante du support, et par le fait que le bouton de manoeuvre porte un organe de centrage coopérant avec un élément de centrage corres- pondant de la cage rotative,
lorsque la serrure est assemblée
Le carter 200 de la serrure est encastré dans une ouverture 201 de la porte P contre la face extérieure de laquelle il est appliqué par son rebord 202. Ce carter 200 est creusé d'une cavité cylindrique, non représentée, dans laquelle peut tourner une cage rotative d'axe A-A, munie d'un prolongement cylindrique creux 203. Cette cage rotative com- prend encore une pièce entraîneuse 9 dans un forage axial de laquelle pénètre une 'clé 11 à paneton profilé. La cage rotative porte, dans des groupes de fenêtres opposées deux à deux, des lamelles de verrouillage non figurées. Le fond 204 du carter sert à maintenir la cage rotative dans sa position axiale.
A sa périphérie, le carter 200 présente trois renflements 205 orientés suivant les génératrices du cylindre suivant lequel est conformée la surface latérale de ce carter. Ces renflements 205 sont
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engagés dans des rainures correspondantes de l'ouverture 201, de manière à empêcher le carter de tourner dans son logement. Au droit de chaque ren- flement 205, le carter présente un trou borgne taraudé 206 d'axe parallèle à l'axe A-A de la cage rotative 9-203.
Un support 207 appliqué contre la face intérieure de la porte P autour de l'ouverture 201 qu'il recouvre complètement, porte dans un palier 208 centré sur l'axe A-A, un bouton de sécurité 209, susceptible d'être tourné et tiré axialement par un opérateur situé à l'intérieur du lo- cal. Le bouton de sécurité 209 porte solidairement une manivelle 210 de commande du pêne, non représenté.. Deux goujons 211, fixés au bouton de sécurité 209, peuvent s'engager par coulissement, dans l'une ou l'autre de deux paires de perforations 212-213 ménagées dans le prolongement 203 de la cage rotative. Un ressort 116, comprimé entre le palier 208 et la manivelle 210, tend à maintenir le bouton 209 accouplé avec la cage ro- tative 9-203.
Le bouton 209 porte une cheville de centrage 214 centrée sur l'axe A-A et destinée à pénétrer dans un trou de centrage 215 du prolon- gement 203 de la cage rotative lors de l'assemblage du carter 200 et du support 2070 Cet assemblage est obtenu au moyen de trois organes de fi- xation,comprenant une tige filetée 216 et une partie tubulaire taraudée in- térieurement 217, et de trois vis 218. Chaque tige filetée 216 est vissée dans un trou borgne 206 jusqu'à ce qu'un épaulement 219 de l'organe de fi- xation 216-217 applique le fond 204 contre le carter 200. Le vissage des pièces 216-217 est facilité par des fentes diamétrales 220.
Après avoir vissé les pièces 216-217, on pose le support 207 contre l'ouverture 201 en s'assurant que la cheville 214 s'engage dans le trou de centrage 215, puis on visse successivement les trois vis 218 dans les parties taraudées 17 des organes de fixation, jusqu'à ce que les têtes des vis 218 se bloquent dans les perforations alésées 221 dû-support 207, ce qui solidarise le carter 200,le support 207 et la porte P. Les trois pièces 216-217 bloquées dans le carter 200, assurent le centrage précis du support 207 sur l'axe A-A lorsque les vis 218 sont vissées.
La variante représentée à la fige 18 s'applique au carter 230 d'un verrou à combinaison secrète dont la cage rotative, également munie d'un prolongement'axial 231, est commandée au moyen d'un organe de manoeuvre 5. La came, non représentée, de ce verrous-est commandée à l'aide d'un bouton 4. Le carter 230 est assemblé avec un support de bouton de sécurité identique à celui qui vient d'être décrit. Les orga- nes de fixation 216-217 et les vis 218 sont identiques aux pièces de mêmes références décrites en regard des figures 15 à 17.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
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KEY LOCK.
The present invention relates to a key lock having a profiled paneton, comprising a sliding bolt controlled by a rotary member and a housing with at least one cylindrical cavity and two diametrically opposed locking slots. This lock is characterized by a rotating frame in two parts joined together by interlocking, namely a driving part mounted rotatably in said cavity and having a guide perforation for the key and a receiving part coupled to the bolt? the latter part having in two opposite walls guide windows facing each other, and by pairs of locking slats arranged at least for the most part on either side of a plane of axial symmetry of the part receiver,
at the rate of two complementary slats in each group of two windows located substantially at the same level, these complementary slats, resiliently biased in opposite directions towards a locking position, each having an extreme locking projection capable of entering a groove of the casing and a contact surface intended to cooperate with the profiled paneton of the key to bring the said blade into neutral position, all with the aim that the locking of the rotating cage is ensured by a small number of pairs of blades, the projections of which are engaged in the two said slots.
The appended drawing represents, by way of example, three main embodiments of the present invention with variant details.
Fig. 1 is a partial section passing through the axis of the rotary cage, taken along line 1-1 of FIG. 2.
Fig. 2 is a section perpendicular to the axis of rotation of the cage, taken along line II-II of FIG. 1.
Figs. 3 and 4 are longitudinal sections of the housing, taken along lines III-III and IV-IV of FIG. 2.
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Fig. 5 is a sectional view of the housing and its contents taken along the line V-V of fig.1.
Fig. 6 shows, on a larger scale and in plan, a pair of slats engaged in the receiving part.
Figo 7 is a longitudinal section of the housing, and
Fig. 8 is a plan view from below
Fig. 9 is a section perpendicular to the axis of the rotary cage, of a second embodiment, this section being taken along the line IX-IX of the pin 10.
Figo 10 is an axial section along the line X-X of Figo 9,
Figo 11 shows, in plan, the receiver box with a safety button belonging to the second embodiment.
Fig. 12 shows a movable blade cooperating with a fixed blade.
Figo 13 is an end view of the bottom of the receiving part according to a variant.
Fig. 14 represents, in a plane perpendicular to that of fig. 1 and parallel to the A-A axis, a second variant of the receiving part
Fig. 15 is an elevational view of the third embodiment, partially sectioned along the axis of the rotary cage.
Fig.16 is a front view corresponding to Fig.15, the support and the safety button being removed.
Fig. 17 is a diametrical section and a partial elevational view of the lock of FIG. 15 during assembly
Fig. 18 shows in elevation a lock housing, used for a combination lock.
The casing 1 of the lock constituting the first embodiment is made of die-cast aluminum. It has two juxtaposed cylindrical cavities, one of which, designated by the reference 2, receives the rotary cage of a key lock, and the other 3, the notched washers and the cam, not shown, of a secret combination lock of which we see however the control members 4 and 5.
The cylindrical cavity 2 has two diametrically opposed axial locking slots 6 and 7 in its wall. In a circular opening 8 of the housing, concentric with the cylindrical cavity 2, there is mounted a driving part 9, the inner circular edge of which is guided in the cavity 2 itself. The driving part 9 is pierced with a guide perforation 10 for a key 11, the paneton of which has axial ribs 12 engaged in corresponding grooves profiled in said perforation. The opposite edges 13-14 of the paneton of the key 11 have notches alternating with bosses intended to cooperate with the strips which will be described later.
The driving part 9 has two guide uprights 15 with a cylindrical outer surface in contact with the cavity 2. The uprights 15 end in tenons 16 engaged in corresponding openings provided in a receiving part 17. The receiving part 17 essentially comprises two walls 18 parallel to the axis AA of the cavity 2 and a hollow cylindrical part 19. The walls 18 are extended by tenons 20 forcibly embedded in the massive head of the driving part.
The housing 1 (fig. 5, 7 and 8) has a perimeter wall provided with end tabs 22-23 in each of which is fitted by force a plate 24-25 with a threaded hole (fig1). A backing plate 26 recessed in a corresponding housing provided in the inner face of
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the door P is fixed by screws 27 engaged in the threaded holes of the plates 24-25 and by larger screws 28, screwed into housings 29, hollowed out in the housing. The latter is closed, on its inner face, by a plate 30 having two lateral tenons 31 engaged under the hooks 32 of the casing. This plate has an end notch 33 which fits over a portion 34 of said casing which has an increased thickness.
This plate 30 also has two elongated openings 35-36 through which pass respectively the cylindrical part 19 of the rotating cage and a rotating cylindrical part of the combination lock. Thanks to these means, the assembly of the housing 1 completely lined and the plate 30 can be obtained by a simple translation of this plate.
The part 17 has an external projection 93 (fig. 6) arranged so as to limit the angular displacement of said part 17 by abutting against one or 1 other of the ends 94-95 of a notch in the housing 1. (fig. 8).
The walls 18 of the receiving part have six guide windows 38 facing each other two by two. In each group of two opposite windows located at the same level, there is a pair of complementary locking slats 40, identical, \ 1 but in inverted positions. Each strip 40 has an extreme protrusion of olocage 41, a contact surface 42, intended to cooperate with the paneton 13-14 of the key, a shank 43 for supporting a spring 44, a guide shank 45 and two flanges of contact 46 (see fig. 6)
with the second leaf of the pair The springs 44 urge the leaves in such a way that the locking projections 41 engage in the axial slots 6 and 7 in the absence of a key. The slats 40 have positions returned to 1800 about a longitudinal axis BB perpendicular to the axis of rotation AA, passing from one pair to the next, so that the locking projections 41 bear alternately on the one and the other edge of the locking slots 6 and 7. It would then be more advantageous to have an even number of groups of complementary lamellae - for example four, to ensure symmetrical locking.
These complementary strips 40 are arranged on either side of an axial plane of symmetry of trace B-B and perpendicular to the plane of FIG. 5 The cylindrical part 19 is coupled by a screwdriver bar 48 to a coupling member 50 carrying a crank pin 51 on which the inner edge of a sliding frame 52 fixed to the first bolt 53 is resiliently applied. The coupling 50 is mounted against a panel 54 forming part of a housing 55 which is screwed into the internal face of the door P by means of screws engaged in the perforations 56 (fig.2).
A spring 57, bearing against a block 58, urges the first bolt 53 towards the closed position, that is to say in a receiving bowl 60 fixed to the doorframe The thick vertical wall of the housing 55 has two cylindrical openings 61, 62 (Figs. 3 and 4) in which an operating button 63 for the key lock and a safety button 64 for the combination lock can be journaled. The operating button 63 carries a curved arm 65 against which the edge of the sliding frame 52 resiliently rests.
It is thus possible to actuate the bolt 53 either by means of the key 11, or from inside the room .. by means of the button 63
The safety button 64 integrally carries a square or control lever 66 having a branch 67 constantly engaged in a notch 68 of a flat bar 69 fixed to a second sliding bolt 70, which enters the stop receiver box 60 when the user activates the combination lock 4-5 in the closing direction. At the end of the closing stroke, the bar 69 strikes the fixed stop 128. Two studs 71 carried by the safety button 64, can be engaged either in the normal marking housings 72, or in the special marking housings 73 depending on the angular position the security button.
These housings 72 and 73 are provided in a coupling part 74 engaged with a screwdriver 75, itself actuated by the rotary cage 76 of the combination lock. A spring 77 maintains the safety button 64 in one or the other of the angular positions of coupling with the part 74.
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The coupling parts 50 and 74 are prevented from moving along the axis A-A by bridge supports 78 assembled to the panel 54 by interlocking and immobilized by pins 79
In the lock described above, the first bolt 53 can be actuated either by means of the key 11, from the outside, or by means of the operating button 63, from inside the room.
When the user fully introduces the key 11 into the guide perforation 10, the projections of the edges 13-14 of the paneton, by acting on the contact surfaces 42, bring the blades 40 back to the unlocking position shown in fig. . 5. In this movement, the extreme locking protrusions are removed from the locking slots 6 and 7.
The key 11 and the rotating cage 9-18 can then be turned in the appropriate direction to release the bolt 53 from the stop box 60.
The operation of the above described key lock is as follows:
To open, engage the key 11 fully in the perforation 10 so that the paneton 13-14, by acting on the contact surfaces 42 of the strips 40, brings them back to the neutral position (fig. 5), at the opposite end. be springs 44. The rotating cage 9-18 being thus unlocked, the key is turned in the direction of arrow F, referring to FIG. 2, so that the crank pin 51, acting on the frame 52, removes the bolt 53 from the receiver box 60. The lock is open.
When the door is then closed without using the key, the bevel 98 of the bolt 53 is driven out by the edge of the corresponding opening in the housing 60. The spring 57 is thus compressed. As soon as the bolt 53 is completely opposite the opening in question, the spring 57 can relax and push the bolt 53 into said opening to keep the door closed.
The lock shown in figs 9 to 11 comprises an oval casing 99, a normal key such as key 11 of the first embodiment and a special key 80 of the same total length, but the paneton of which includes an additional boss 1050. The lock receiving part 97, assembled to the driving part 9,
has additional guide windows 81 in which can slide at least one additional strip 82 and one additional strip 83. The latter has the same general shape as the strips 40 of the first embodiment, but with a shorter shank 43. The additional lamella 82 ends at one end with a rod 106 carrying a spring 107, and at the other end with a movable stop projection 108.
The cylindrical cavity 88 in which the rotating cage 9-97 is mounted has over its entire height two pairs of locking grooves 89 and 90 diametrically opposed for the extreme locking projections of the ordinary lamellae 40 described with reference to FIG. . 6. The grooves 89 correspond to the open position, the grooves 90 to the closed position of the lock.
The protrusion 108 has a width of 0.5 mm greater than the sum of the widths of the two locking protrusions 41 relating to the ordinary lamellae. Thanks to this arrangement, when the projection 108 is in contact with the side 109 of the groove 90 concerned, which itself has a width which is slightly greater than the sum of the widths of the stops 41 and 43, they determine the position. correct angle of the ordinary slats for the opening position of the lock with a clearance of 0.5 mm on each side There is still in the cavity 88 a fixed stop 91, which cooperates with the projection 108 in the same way than above for the correct positioning of the ordinary blades in the groove 89.
The radial thickness of the fixed stop 91 is equal to half the depth of the recess in the annular sector 110 which the cavity 88 has to limit the total angular displacement of the mobile projection 108, by a stopper 111.
The inside face of the door P for which this
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The lock carries a housing 112 in which a safety button 113 can be turned, coupled by studs 114, to a bracket 67 identical to that described with reference to FIG. 2. This bracket is engaged with play in a notch 68 of a sliding bar 69 connected to the bolt 115.
The studs 114 under Inaction of the spring 116 following the arrow F, are normally engaged in the holes 117 of the bottom of the cylindrical part 118 extending the receiving part 97. In the event of operation of the safety button 113 for the closed position of the lock, the studs 114 cooperate with holes 119 in the bottom of the cylindrical part 118.
From 1, inside the room, the bolt can be actuated by means of the safety button 113, independently of the position of the rotary cage 9-97, by exerting an axial traction along F2 to release the studs 114 from the housings. 117. This axial traction which compresses the spring 116, nevertheless leaves the right angle arm 67 in engagement with the notch 68 The knob 113 is then rotated until the studs can enter the housings 119. when the axial tension is released.
As seen in fig 13, the holes 117-119 can be replaced by radial grooves 130-131 to 60 from one another, provided in the bottom of the cylindrical part 118 of the receiving part. In addition, the studs 114 may have a frustoconical end. Even if their distances from the axis of rotation of the part 97-118 are not strictly equal, these studs easily engage in the radial grooves 130- 131. during the maneuver. security button 113.
Assuming that the user inside the room wishes 9 to lock and block the lock, the stops 41, 43 having remained in the grooves 89, he must pull the knob 113 and turn it in the appropriate direction to determine the closing by the bolt 115 which ends when the studs 114 enter the holes 119, the axial traction being released It would then be impossible to open the lock, from the outside, by means of the ordinary key 11 including the paneton cannot free the projection 108 of the additional blade 82, relative to the stopper 91.
Indeed, the spring 107 pushes the blade 82 in the direction of the arrow F (figo 9) until the stopper 121 strikes the receiving part 97. During the rotation of this part 97, the movable projection 108 coo- father with the fixed stop 91 to stop this rotation and prevent opening the lock by means of the ordinary key o On the other hand, when the special key 80 is inserted fully into part 9, the paneton 105 brings back the slats juxtaposed 40 in the neutral position shown in FIG.
5 and, moreover, also acts against the spring 107, on the additional strip 82 which then takes the release position visible in frozen 9 We can therefore rotate the cage 9-97 in the direction F until the movable projection 108 strikes the stopper 111, this movement having the effect of opening the lock, since it causes a rotation of the right arm 67 in the desired direction to withdraw the bolt 115 of the jamb box 60.
By means of the special key 80, it is therefore possible to open the lock from the outside, even if a person inside the room had previously put the safety button 113 in a position corresponding to closing the lock.
In a building such as a hotel, for example, comprising several rooms, all the doors of which must be able to be opened or closed by means of a general key in the hands of the manager, while the lock of any door cannot be must be able to be operated, moreover, only by means of its own individual ordinary key, in the hands of the host? it is advantageous to. provide, for the different locks, various combinations of slats, however cooperating with identical rotating cages o
For a rotating cage such as 9-97 of fig. 9 and 10 to four pairs of guide windows 38, there will be, for example, four ordinary movable slats instead of seven, plus an additional slat in one
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full game.
By varying the position of these movable slats it is possible, for the four pairs of windows 38, to obtain 35 different combinations capable of being actuated by means of the same general key.
When a pair of windows 38 carries a single movable slat 40, as seen in fig 12, the second slat 125 engaged in said windows 38, is held stationary there by the tenons 126 abutting against the receiving part 18. The Bracket of each ordinary key has only the bosses necessary to unlock the movable slats of a corresponding lock. On the other hand, the paneton of the special key in the hands of the director has all the bosses necessary to unlock all the combinations of movable slats.
The slats 40 and 125 are interchangeable from one group 38 of guide windows to another group, all with the aim of allowing different combinations of fixed slats and sliding slats.
In the two embodiments described, the keys 11 and 80, the receiving part 18 or 97, the closing plate 30, the locating plate 26, the panel 54, the slats of the two types, the square 66 -67, the frame 52, the flat bar 69, the bridges 78 and other parts still can be manufactured by stamping and stamping, to reduce the cost price. The parts thus produced are more precise than if they were molded.
The receiving part 180 shown in FIG. 14 has two-halved guide windows 135-136 slightly offset in height.
Each half contains one of the complementary strips 40 which, in this case, overlap over a width equal to the thickness of the paneton.
Furthermore, these strips 40 have substantially the general shape visible in FIG. 6, except that the mutual contact surfaces 46 are replaced by the ends of the half-windows 135-136.
The pins 15, 16 and 17 relate to a third main embodiment and relate to a lock, intended to equip a room door and comprising a security button similar to the button 64 visible in FIGS. 1 and 3, that is to say a button arranged so as to be able to turn and slide axially in a support intended to be fixed on the inside face of the door relative to the room.
In this embodiment, the casing, with removable bottom, and the support of the safety button are assembled with each other and with the door, on the one hand by means of fasteners having, along the same axis parallel to the axis of the rotating cage, an externally threaded part and an internally threaded hollow part, as well as an external shoulder intended to hold the bottom of the casing in place, the one of these parts of each fastener being in engagement with a threaded element of the housing, the other part being engaged with a screwing member having an axial abutment surface in contact with a corresponding part of the support, and by the fact that the operating button carries a centering member cooperating with a corresponding centering element of the rotary cage,
when the lock is assembled
The casing 200 of the lock is embedded in an opening 201 of the door P against the outer face of which it is applied by its rim 202. This casing 200 is hollowed out of a cylindrical cavity, not shown, in which a cage can rotate. rotary axis AA, provided with a hollow cylindrical extension 203. This rotary cage further comprises a driving part 9 in an axial bore from which penetrates a key 11 with a profiled paneton. The rotating cage carries, in groups of windows opposite two by two, not shown locking slats. The bottom 204 of the casing serves to maintain the rotating cage in its axial position.
At its periphery, the casing 200 has three bulges 205 oriented along the generatrices of the cylinder along which the lateral surface of this casing is shaped. These 205 bulges are
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engaged in corresponding grooves of the opening 201, so as to prevent the housing from rotating in its housing. In line with each bulge 205, the casing has a threaded blind hole 206 with an axis parallel to the axis A-A of the rotary cage 9-203.
A support 207 applied against the inside face of the door P around the opening 201 which it completely covers, carries in a bearing 208 centered on the axis AA, a safety button 209, capable of being turned and pulled axially. by an operator located inside the premises. The safety button 209 integrally carries a crank 210 for controlling the bolt, not shown. Two studs 211, fixed to the safety button 209, can engage by sliding, in one or the other of two pairs of perforations. 212-213 formed in the extension 203 of the rotary cage. A spring 116, compressed between the bearing 208 and the crank 210, tends to keep the button 209 coupled with the rotating cage 9-203.
The button 209 carries a centering pin 214 centered on the axis AA and intended to penetrate into a centering hole 215 of the extension 203 of the rotary cage during the assembly of the casing 200 and of the support 2070 This assembly is obtained by means of three fasteners, comprising a threaded rod 216 and an internally threaded tubular part 217, and three screws 218. Each threaded rod 216 is screwed into a blind hole 206 until a shoulder 219 of the fixing member 216-217 applies the bottom 204 against the casing 200. The screwing of the parts 216-217 is facilitated by diametral slots 220.
After having screwed the parts 216-217, the support 207 is placed against the opening 201 making sure that the plug 214 engages in the centering hole 215, then the three screws 218 are successively screwed into the threaded parts 17 fasteners, until the heads of the screws 218 lock in the bored holes 221 of the support 207, which secures the casing 200, the support 207 and the door P. The three parts 216-217 blocked in the casing 200, ensure the precise centering of the support 207 on the axis AA when the screws 218 are screwed.
The variant shown in fig 18 applies to the housing 230 of a secret combination lock whose rotary cage, also provided with an axial extension 231, is controlled by means of an actuator 5. The cam, not shown, this lock is controlled by means of a button 4. The casing 230 is assembled with a safety button support identical to that which has just been described. The fasteners 216-217 and the screws 218 are identical to the parts with the same references described with reference to Figures 15 to 17.
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