BE461329A - - Google Patents

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BE461329A
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Description


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   La présente invention se rapporte à un procédé d'établissement de soudures en surface, de préférence à   1!aide   de la soudure à l'arc, et à des électrodes pour la réalisa- tion de ce procédé. L 'appellation "soudure en surface" et similaires les appellations/utilisées ci-dessous signifient une soudure obtenue en déposant du métal sur une pièce unique ou sur un   @   élément de construction isolé et non une soudure placée entre deux pièdes ou éléments de construction réunissant ainsi ces deux pièces ou éléments. 



   L'un des plus grands avantages de la soudure en surface est l'économie en coût et en matériaux coûteux qui est réalisée du fait qu'une construction qui devra être résis- tante, par exemple à l'usure et qui,   dans   ce but, devra au moins avoir dans certaines sections une surface dure, peut être faite en un matériau de construction relativement bon marché, tandis que la surface dure peut être appliquée   Eux   endroits où elle est le plus nécessaire. On obtient ainsi   éga-   

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 lement l'avantage que ces parties de la construction consis- tant en un matériau à surface.dure et un matériau de base tendre acquièrent une grande résistance aux forces d'impact aussi bien qu'à la fatigue.

   Bien que la dureté ne soit pas le seul critère pour qu'un matériau soit résistant à l'usure, il est un fait que, plus la dureté est grande, plus grande est la résistance à l'usure. La dureté de soudures contenant surtout du fer dépend de la quantité et de la nature des constituants de l'alliage et de la technique de la soudure, la vitesse de refroidissement ayant une grande importance. 



  Un durcissement profond par l'air est facilité particulière- ment par les éléments d'alliage chrome et manganèse. Pour cette raison, les électrodes à revêtement dur contiennent le plus fréquemment du chrome ou du manganèse ou ces deux éléments à la fois dans le noyau et/ou en revêtement avec du carbone et cela en quantités telles qu'aux vitesses de refroidissement se présentant au cours de la soudure, le métal de soudure acquiert essentiellement la structure de la mar- tensite. Un matériau martensitique a toutefois une très fai- ble ténacité, de sorte, que des fêlures se forment très fa-   cilement   dans la soudure dues aux tensions apparaissant dans la soudure ou lorsque la soudure est soumise ultérieurement à des tensions.

   Ceci s'applique particulièrement au cas ou la soudure devra avoir une dureté de   450.à   550 unités   Brin ell   ou davantage, auquel cas, il était courant jusqu'ici d'utiliser des électrodes ayant une composition telle qu'on obtenait une soudure pauvre en alliage , par exemple une soudure alliée de chrome jusqu'à 10% et un pourcentage correspondant en car- bone. 



   Conformément à la présente invention, l'article en mé- tal, particulièrement en fer ou en alliage ferreux, est re- vêtu dtune couche de métal ayant un caractère différent de colui du matériau de base de l'article, de telle façon que la flaque de soudure obtenue lors de la soudure soit amenée à      

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 contenir, en addition au fer, du chrome et du carbone en quantités telles que le métal soudé soit amené à contenir 
10-20%, de préférence 13% de chrome et 0,15 -   0,50%,de   pré- férence 0,15 - 0,35% de carbone ; il est bien entendu que les impuretés rencontrées normalement et les additions utili- sées communément dans le fer peuvent aussi être présentes, avec la restriction toutefois que la teneur en nickln'excè- dera pas 0,5%.

   Au cas   ou'   la teneur en carbone excéderait   0,50%   ou même 0,35%, la soudure devrait, conformément à une modi- fication de l'invention, être trempée. L'invention comprend . 



  , également une électrode à revêtement pour réaliser le procédé et l'électrode est caractérisée en ce que le coeur de la tige, constitué essentiellement de fer et/ou du revêtement, contient des quantités de chrome et de carbone telles que, dans la soudure à l'arc effectuée de façon normale (la longueur de l'arc approximativement égale à l'épaisseur de l'électrode, le voltage de l'arc environ 25 à 30 volts et l'intensité de courant environ 30 à 50 ampères par millimètre de diamètre de corps), lemétal de soudure déposé   oontienne,   en addition au fer : 
10-20% de chrome max.0,5% de nickel   0,15%     @   0,50% de carbone. 



   Dans un mode opératoire préféré, le pourcentage de chrome dans le métal de soudure est au moins 10 ou 12%, de manière plus adéquate environ 13%, le pourcentage de carbone n'excède pas 0,35% et le pourcentage de nickel n'excède pas 0,5%,auquel cas, on obtient un matériau dit semi-ferritique. Les électrodes peuvent être de nature telle que les substances alliées dans le métal dé soudure sont apportées, soit par l'emploi d'un coeur de tige en alliage, soit par addition de quantités suf- fisantes des éléments de l'alliage dans le revêtement ou par ces 

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 deux procédés combinés, mais de préférence le coeur de   la   tige aura approximativement la même composition que celle que l'on désire dans le métal- de soudure. 



   On a alors été surpris de constater qu'on obtenait un métal de soudure très résistant aux fêlures et auquel on ne pouvait pas s'attendre puisque, dans des constructions sou- dées consistant en matériaux   semirferritiques   répondant à l'analyse ci-dessus, on obtient très facilement des fêlures dans   le.   matériau de base. Ces fêlures apparaissent dams le matériau de base comme conséquence du durcissement ou de la croissance des grains. Les matériaux semi-ferritiques portent ce nom du fait qu'ils contiennent partiellement- de la ferrite même lorsqu'on les chauffe à des températures allant jusqu'à la fusion. A des températures supérieures à la température de conversion, en perlite, ils contiennent de l'austénite en addition.

   Lors de l'accroissement de température se présen- tant au cours de la soudure, un accroissement de grain aura lieu dans la ferrite, tandis que, durant le refroidissement rapide ultéfieur, l'austenite sera convertie en martensite. 



  Ceci explique la tendance à former des fêlures de la part du matériau de base. Cependant, des matériaux de soudure répon- dant à la même analyse acquièrent, grâce aux conditions de solidification lors de la soudure, un grain excessivement fin ce qui peut probablement expliquer en partie la plus grande résistance au fendillement. On croit qu'on peut également l'ex- pliquer en partie en supposant que les grains de martensite seraient enrobés dans une masse tendre en ferrite et que la structure n'est pas par conséquent   prinipalement   de la mar- tensite. La teneur du métal de soudure en ferrite et en mar- tensite et ainsi la dureté du métal de soudure peuvent varier dans des limites données dépendant du pourcentage de carbone. 



  Ainsi, un métal de soudure contenant environ 0,10% de C en ad- dition au pourcentage de chrome d-dessus d'environ 13% a une 

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 dureté d'environ 350 unités Brinell, tamdis qu'un métal de soudure contenant plus de 0,20%-C, particulièrement environ 0,25 à   0,30%   C., et le pourcentage de chrome a une dureté de 450 à 550 unités Brinell. Dans ces ca,s,on utilise des électrodes dont le noyau répond de préférence à la même ana- lyse. D'autres constituants de l'alliage peuvent être ceux qui sont communs dans les aciers de ce type. 



   Si la teneur en chrome est portée au-delà de 13%, par exemple jusqu'à 18 ou 20%, la quantité de ferrite est accrue et la dureté est réduite. Ceci est par conséquent un procédé pour faire varier la dureté, qui est toutefois plus coûteux qu'à l'aide du pourcentage de carbon.e. 



   La structure des aciers contenant plus de 0,35% de carbone consiste aux hautes températures partiellement en austenite et partiellement en carbures de fer et de chrome. 



  Lors d'un refroidissement rapide, comme dans la soudure, la teneur relativement élevée en carbone retardera la conversion de l'austenite, de sorte que cette dernière n'aura pas suf- fisamment de temps pour être convertie en martensite, de toute façon pas complètement, si bien qu'on obtiendra un ré- sidu d'austenite. L'austenite étant également un constituant tendre de la structure, le métal de soudure deviendra également dans ce cas résistant au fendillement vu que l'austénite hérite de la fonction exercée par la ferrite pour des pourcengages de carbone inférieurs à   0,35%.   Pour cette raison, la dureté du métal de soudure décroit à Nouveau quand le pourcentage en carbone n'excède pas   0,35%   si un traitement thermique parti- culier n'est pas mis en oeuvre.

   Il est toutefois possible, à   l'aide   d'un traitement thermique, après la soudure, dans le cas présent par trempe, de convertir le résidu d'austénite en cons- tituants à structure plus dure et de réaliser ainsi une dureté accrue. De cette manière,il est posxible d'obtenir des soudures à l'épreuve du fendillement ayant une dureté d'environ 550 à 

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 600 unités   Brinell@et   plus. Des coeurs de tige convenant particulièrement bien dans ce cas sont ceux ayant environ 0,50% C. ou environ 1,0% C ou des pourcentages de carbone intermédiaires et un pourcentage de chrome d'environ 13% comme précédemment. Le pourcentage de.nickel devra aussi être limité à 0,5% max. et il peut y avoir d'autres subs- tances d'alliage comme il est normal pour ce type d'aciers. 



    Indépendamment   du fait que la teneur en carbone est moindre ou plus élevée que   0,35%   C, le coeur des tiges est de pré- férence muni d'un revêtement, par exemple conformément au brevet belge n  437.328. Au cours de la soudure, les électro- des sont attachées de préférence au pôle positif lors de la soudure en courant continu,   Riais   elles peuvent aussi être soudées avec courant alternatif.   L'ampérage   et les autres conditions de la soudure peuvent être celles qui sont nor- males pour la soudure à l'arc avec des électrodes en alliage, par exemple des électrodes pour la soudure des matériaux inoxydables.

   Une caractéristique particulière de   l'invention   est le fait que toute soudure peut être réalisée à l'état froid,c'est à dire sans chauffer la pièce, sans que des fêlu- res n'apparaissent dans le métal de soudure sauf le cas   ou.   le matériau de base est si chargé en alliage qu'il se forme de la martensite dans la zone de transition.   ou.,   en pareil cas, peuvent se former des fêlures qui peuvent s'étendre dans le métal de soudure. Un tel matériau doit donc être préalable- ment chauffé afin de pouvoir éviter de telles fêlures qui que se forment autrement , quelle soit l'électrodeutiliséer. 



   Des électrodes ayant un noyau contenant 0,10 à   0,15%   C sont déjà connues pour la soudure de matériaux inoxydables répondant à la même analyse et ont probablement aussi été utilisées pour recoovrir par soudure et pour réparer le même 

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 genre de matériaux. L'invention toutefois ne comprend pas une telle soudure sur un matériau de même nature mais seulement la soudure sur un matériau différent,quant au genre et à la composition, des noyaux utilisés depuis, comme mentionné dans le préambule ; les plus grands avantages de la soudure en surface conformément à l'invention sont obtenus en utilisant un matériau de construction tendre et en le recouvrant d'une surface dure uniquement aux endroits où c'est nécessaire.

   Les électrodes peuvent toutefois être employées aussipour des ma- tériaux plus durs d'un type et d'une composition différents du matériau de l'électrode, ce qui peut, par exemple être le cas lors dtune soudure de réparation lorsqu'il est question de remplacer un matériau usé dans une partie de construc- tion partiellement affaiblie par   l'usure.   Dans de pareils cas également, un métal de soudure   particuliculièrement   à l'épreuve des fêlures sera obtenue conformément à l'inven- tion pour autant que des additions des substances alliées en mélangeant le métal de soudure à un autre matériau peut uniquement influencer la formation de ferrite ou d'austenite mais ne pas avoir pour résultat que la structure se compose principalement de martensite avec par conséquent un abaisse- ment dans la résistance au fendillement.

Claims (1)

  1. R e v e n d i c a t i o n s.
    --------------------------- l.- Procédé de revêtement d'un article en métal, particu- lièrement en fer ou en alliage de fer,d'une couche de métal ayant un autre caractère que celui du matériau de base de l'article,en particulier en ce qui concerne la dureté et la résistance à l'usure, en soudant, particulièrement en soudant à l'arc, à l'aide d'une baguette de soudure, caractérisé en <Desc/Clms Page number 8> ce que la flaque de soudure formée durant la soudure est amenée à contenir,en addition au fer,du chrome et du car- bone en quantités suffisantes pour produire un métal de soudure contenant 10-20%, de préférence 13% de chrome et 0,15 à 0,50, de préférence 0,15 - 0,35% de carbone,
    avec la possibilité que des impuretés qui se rencontrent norma- lement et les additions qui-se trouvent communément dans le fer soient présentes, mais avec la restriction toute- fois que la teneur en Ni n'excède pas 0,5%.
    2. - Variante du procédé suivant la revendication 1, carac- térisée en ce que la pièce soudée est soumise à la trempe après la soudure dans le cas où le pourcentage de carbone dans le métal de soudure est supérieur à 0,35% et tout-au moins s'il est supérieur à 0,50%.
    3.- Electrode à revêtement pour la réalisation du procédé suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le coeur de la tige consiste surtout en fer et/ou que le revêtement contient de telles quantités de chrome et de carbone que le métal de soudure déposé par soudure à l'arc de manière normale contienne en addition au fer : 10 - 20% de chrome au max. 0,5% de nickel 0,15 - 0,50% de carbone.
    4. - Electrode suivant la revendication 3, caractérisée en ce que la teneur en chrome du métal de soudure est au moins d'environ 12%,de préférence environ 13%.
    5. - Electrode suivant les revendications 3 et 4, caractérisée en ce que la teneur en carbone dans le métal¯'de soudure déposé est tout au plus 0,35. <Desc/Clms Page number 9>
    6. - Electrode suivant les revendications 3 à 5, caractérisée en ce que la composition du coeur de la tige est essentiel- lement égale à celle du métal de soudure désiré.
BE461329D BE461329A (fr)

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