BE398834A - - Google Patents

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BE398834A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B21MECHANICAL METAL-WORKING WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21JFORGING; HAMMERING; PRESSING METAL; RIVETING; FORGE FURNACES
    • B21J15/00Riveting
    • B21J15/02Riveting procedures
    • B21J15/04Riveting hollow rivets mechanically
    • B21J15/043Riveting hollow rivets mechanically by pulling a mandrel
    • B21J15/045Riveting hollow rivets mechanically by pulling a mandrel and swaging locking means, i.e. locking the broken off mandrel head to the hollow rivet

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  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Insertion Pins And Rivets (AREA)

Description


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  " RIVET ET PROCEDE DE RIVETAGE" 
Cette invention a trait aux dispositifs de fixation et plus particulièrement aux rivets et aux procédés de rivetage,
A certains points de vue elle constitue un perfeotionnement à l'invention faisant l'objet du brevet belge N  389.137 du 10 Juin 1932 au nom du même demandeur. 



  Les rivets de ce type comportent un organe tubulaire muni d'une tête à l'une de ses extrémités et d'un corps qui s'étend à travers un ouvrage à riveter et présente une partie extrême saillante agencée pour être épanouie par une tige qui traverse l'organe tubulaire et porte une tête destinée à entrer en contact avec la partie épanouie. 



  Pour poser le rivet , on tire l'extrémité opposée de la tige pendant qu'on exerce la force de réaction sur la tête portée par la même extrémité de l'organe tubulaire et, après que l'épanouissement a lieu, la traction accrue de la tige a pour effet de la rompre suivant un col de diamètre réduit qui, à ce moment ,est situé près de la face extrême externe de la tête du corps tubulaire. 

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   Un des buts de la présente invention est d'établir   @   un rivet du caractère général susmentionné et un procédé de rivetage dans lequel l'effet de recul qui fait suite à la rupture de la tige est en grande partie sinon entière- ment évité et dans lequel la tige supporte plus efficacement l'effort de traction dans la rivure finale. 



   L'invention a en outre pour objet un rivet et un procédé de rivetage qui sont dtun caractère tel que les ouvertures de l'ouvrage à riveter sont remplies positivement indépendamment de facteurs variables tels que le désalignement et les variations normales des ouvertures de l'ouvrage. 



   D'autres buts de l'invention seront mis en évidence au cours de la description donnée ci-après en se référant aux dessins annexés dans lesquels : 
Fig. 1 est une vue de la tige faisant partie d'un rivet établi suivant un mode de réalisation de l'invention. 



   Fig, 2 est une vue fragmentaire de la tige après qu'elle a été assemblée avec un rivet tubulaire. 



   Fig. 3 est une coupe transversale représentant le rivet de fig. 2 après le premier stade de l'opération de rivetage. 



   Fig. 4 est une vue analogue représentant le rivet finalement posé. 



   Fig. 5 est une vue analogue à fig. 2 mais représentant un rivet établi suivant un autre mode de réalisation de l'invention. 



   Fig. 6 est une coupe transversale à plus grande échelle représentant le premier stade de l'opération   consis-   / à poser tant/le rivet de fig. 5 . Fig. 7 est une coupe transversale analogue à fig. 6 

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 et représente le stade suivant de l'opération de rivetage. 



   Fig. 8 est une coupe transversale fragmentaire de la tige et représente une autre disposition des rainures prévues près de la tête de la tige. 



   Fig. 9 à   13   représentent un autre mode de réalisation de l'invention dans lequel les ouvertures sont remplies .avant que la tête épanouie ait été formée,
Fig, 14 et 15 ont trait à d'autres formes de rivet dans lesquelles les ouvertures sont remplies par un élargis-   sement   radial mais dans lesquelles un service satisfaisant est subordonné à des tolérances plus petites et à un désalignement moindre des ouvertures de l'ouvrage. 



   Fig. 16 représente un rivet posé correspondant à l'une ou l'autre des fig, 14 et 15. 



   Dans la fig.   2 ,   10 désigne un rivet tubulaire muni d'un corps cylindrique 11 et d'une tête ou élargissement 12 à l'une de ses extrémités , la surface externe de cette tête étant axialement conique , par exemple suivant un angle de 2  comme représenté, Une tige jetait saillie à travers l'organe tubulaire 10etporte à l'une de ses extrémités une tête 14 qui prend appui contre la face extrême du corps 11 de l'organe tubulaire ; et près de cette tête la tige présente une rainure annulaire 15 dans laquelle fait saillie une partie extrême 16 de l'organe tubulaire.

   Il est évident que l'extrémité de l'organe tubulaire possède en regard de la rainure 15 de la tige une épaisseur radiale plus grande que le reste du corps et que, par conséquent, cette extrémité de l'organe tubulaire résiste mieux à l'élargissement vers l'extérieur ou à l'éclatement. La façon dont cette partie extrême de l'organe tubulaire est verrouillée dans la 

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 rainure il de la tige est   décrite'et''représentée   plus particulièrement dans le brevet susmentionné. 



   En un point intermédiaire de sa longueur et près de la tête 12 de l'organe tubulaire la tige 13 présente, comme on le voit dans la   fig.     2 ,  des rainures ou filets 18 qui peuvent être inolinés hélicoidalement et, près desdites rainures ou filets et sur le côté de ces derniers qui est opposé à la tête 14 ,ladite tige présente une autre rainure un peu plus profonde 20 . A partir de la rainure 20 et sur le côté de cette rainure qui est opposé aux filets ou rainures 18 ,la tige possède un diamètre un peu plus petit en vue de faciliter l'assemblage des éléments du rivet.

   Entre la rainure 20 et les rainures 18 la tige peut être munie d'un léger cône 19 pour éviter un bord vif qui serait sujet à enlever du métal de la surface inférieure de l'organe tubulaire par une action de cisaillement au cours de l'insertion de la tige dans cet organe. La partie de la tige qui fait saillie hors de la tête 12 présente des rainures ou filets 21 qui peuvent être   hélioot-   daux pour faciliter la préhension de cette partie de la tige par les mâchoires d'une   machine à   riveter.,
Pour poser un rivet de ce genre on peut insérer l'ensemble tel qu'on le voit dans la fig. 2 à travers les ouvertures 22 des éléments de charpente 23 et 24 ,représentés dans la fig. 3 , jusqu'à ce que la tête 12 de l'organe tubulaire entre en contact avec la face externe de l'élément de charpente 24 .

   En saisissant alors la partie rainurée ou filetée 21 de la tige et en la tirant dans le sens indiqué par la lettre A , la force de réaction de la traction étant appliquée contre la tête 12 de l'organe tubulaire comme 

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 indiqué par la lettre B ,  ,le   mouvement de la tige à travers l'organe tubulaire et,le contact de la tête 14 avec la partie extrême dudit organe ont pour effet d'épanouir vers l'exté- rieur le corps de l'organe tubulaire , entre l'élément de charpente et la rainure 15 de la tige, pour constituer une tête épanouie indiquée en   25   dans la fig. 3 . 



   Lorsque la tête épanouie 25 a été constituée, la continuation de la traction exercée sur la tige rompt oelle-ci à l'endroit du col ou rainure de rupture 20 qui, de préférence, est situé ,après que la tête épanouie a été formée , sensiblement au droit de la face externe de la tête 12 comme représenté plus particulièrement dans la fig. 3 . 



  Toutefois, en raison du grand effort de traction qu'il est nécessaire d'exercer sur la tige pour la rompre, un recul considérable s'exerce sur la partie de la tige qui reste dans l'organe tubulaire après la rupture , et c'est pour éviter l'effet de ce recul et le retour élastique de la partie déformée de l'organe tubulaire qu'on a prévu sur la tige les rainures ou filets 18 . Ceux-ci jouent efficacement ce rôle en ce sens que , après la formation de la tête 25 , la tête 12 de l'organe tubulaire se contracte radialement et est refoulée dans les filets ou rainures 18 , qui sont alors situés à l'intérieur de la tête , pour verrouiller la tige à la tête , avant que s'effectue la rupture de la tige à l'endroit du col 20 .

   On peut réaliser ce résultat en exerçant initialement la force de réaction par l'inter- médiaire d'une enclume 27 appliquée contre la face extrême de la tête   12 ,  près et autour de la tige, jusqu'à ce que la tête épanouie 25 ait été formée et que les plaques 23 et   24   aient été fermement serrées l'une contre l'autre.      

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  On voit que cette enclume dirige la force de réaction sensiblement parallèlement à l'axe du rivet et, par suite, ne tend pas efficacement à refouler le métal de la tête dans les rainures ou filets 18 de la tige. 



   Lorsque la tête 25 a été formée et que les rainures ou filets 18 sont logés dans la tête 12 , avec le col de rupture 20 sensiblement au droit de la face externe de cette dernière tête ,on peut, à l'aide d'une seconde enclume 28 , contracter la tête de façon à refouler une partie du métal de cette tête dans les rainures ou filets. De préférence ,cette enclume possède une face avant 29 inclinée de 15  environ sur l'axe du rivet et une seconde face 30 tournée vers l'arrière et faisant un angle de 2  environ avec l'axe ou correspondant sensiblement à la face externe de la tête 12 du rivet. Lorsque cette enclume secondaire devient effective , elle se meut sur la tête , cette dernière se contracte comme représenté dans la fig. 4 et le métal qu'elle contient est refoulé dans les rainures ou filets 18 .

   Il va de soi que cette contraction de la tête a lieu pendant que la tige est sous tension comme elle l'est après que la tête 25 a été formée ; et que l'enclume secondaire peut être actionnée par la force de réaotion se rapportant à la traction de la tige. 



   Pendant que la tête 12 se contracte de cette manière, elle peut aussi s'allonger axialement dans une certaine mesure comme on le voit par la comparaison des fig. 3 et 4 , et cet allongement peut être désirable en ce sens que , avec la tige verrouillée à la tête par le métal engagé dans les rainures ou filets 18 ,le dit allongement tend à 

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 resserrer davantage la rivure et les éléments de charpente en soumettant la partie de la tige que renferme l'organe tubulaire à un effort de traction supplémentaire. 



   Dans tous les cas , après que le métal a été refoulé dans les rainures ou filets 18 de la tige comme représenté dans la fig. 4 , la continuation de la traction exercée sur la tige produit sa rupture au col 20 . Il est évident que tout effet de recul sur le reste de la tige que contient le rivet ou tout retour élastique de la partie déformée de l'organe tubulaire sont évités par l'assemblage à rainure et languette constitué entre la tête 12 et la tige ou, en d'autres termes, par le métal que contiennent les rainures ou filets 18 , le mouvement de sens inverse de la tige à travers le rivet étant ainsi évité, Le fait de maintenir la tige dans une telle position après sa rupture maintient naturellement la tête      serrée contre la charpente.

   On constate dans la pratique que ce verrouillage mutuel réalisé entre la tête et la tige après la formation de l'épanouissement donne une rivure plus serrée et qu'il devient plus difficile de faire tourner les plaques 23 et 24 l'une par rapport à l'autre après que le rivet a été posé. 



   Dans la construction de rivet de fig. 5 l'organe tubulaire est muni d'une tête tronconique ou noyée 30 qui, ainsi qu'on le voit clairement dans la fig. 6 , est agencée pour s'ajuster dans une ouverture fraisée 31 de l'élément de charpente 24 . Autour de la tige, la tête présente une rainure ou oreusure cylindrique 32 dont le diamètre est plus grand que celui de la tige et ,à l'intérieur de cette rainure ou creusure , une face conique   .33. faisant   par 

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 exemple un angle de 300 avec   l'axe*',   va en s'inclinant axialement à partir de la zone interne de la rainure ou creusure vers la tige et vers l'intérieur.

   Initialement, un anneau 34 est prévu dans la rainure ou creusure 32 et fait saillie vers l'extérieur de la tête 30 et ,de préférence ,cet anneau est fait d'une matière dont les caractéristiques physiques sont analogues à celles de la matière dont est fait l'organe tubulaire. comme représenté clairement dans les fig. 6 et 7 , la tige   13   présente en un point intermédiaire de sa longueur le col de rupture 20 et ,près de ce col, une surface conique 35 destinée à éviter un bord vif , comme on l'a dit au sujet du cône 19 de fig. 2 ;

   et une rainure 36 est prévue à l'intérieur de ce   cône ,   A un certain écartement de cette rainure, à l'intérieur de ladite rainure, la tige présente une rainure 37 possédant une longueur axiale plus grande et dont la paroi latérale 38 adjacente à la rainure 36 est conique suivant un angle de 20  environ avec l'axe du rivet. 



   Pour poser un rivet de ce genre , on l'insère dans des ouvertures des plaques avec la tête 30 ajustée dans l'ouverture 31 ,puis, en serrant et tirant la tige et exerçant la force de réaction sur la tête 30 à l'aide d'une enclume externe 40 , on peut former la tête 25 . 



  Lorsque la tête 25 a été formée , les rainures 36 et 37 sont logées à l'intérieur de la tête 30 , la paroi latérale conique 38 constituant conjointement avec la surface conique 33 de l'ouverture de la tête une entrée en forme de coin vers la base de la rainure 37 . A ce moment, la rainure 36 est située radialement à l'intérieur de la rainure ou creusure 32 de la tête. Lorsque la tête 25 a ainsi été   constituée ,  une seconde enclume,représentée dans la   fig.   7, 

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 peut être appliquée contre l'anneau 34 .

   Il est préférable que la face de'travail de cette enclume soit légèrement concave pour s'adapter une face extrême convexe de l'anneau, et la   larur   radiale de la face est un peu plus grande que l'épaisseur radiale de l'anneau pour empêcher la possibilité que du métal de l'anneau soit refoulé par-dessus la périphérie externe de l'enclume. 



   Le mouvement de pénétration de l'anneau dans la tête 30 continuant, cet anneau est contraint à se mouvoir le long de la surface conique 33 , entre cette surface et la surface conique 38 de la tige , et à pénétrer dans la rainure    ,   comme représenté dans la   fig. 7 .   L'entrée en forme de coin entre les surfaces 33 et 38 est désirable parce qu'elle compense les légères variations dans les positions relatives de la tige et de l'organe tubulaire après que la tête 25 a été formée .

   La oontinuation de l'application de la force de réaction sur l'anneau 34 a pour effet que le métal dudit anneau adjacent à la rainure 36 se trouve extrudé ou refoulé radialement dans cette rainure comme on le voit dans la fig.   7 .   Pendant ces opérations, le mouvement de pénétration de l'anneau 34 dans la tête 30 a naturellement pour effet de resserrer ou mater la tête par rapport à l'ouvrage , étant donné que la force tend à élargir la tête dans son ouverture fraisée. Ceci contribue aussi à resserrer la rivure. En outre , le mouvement du métal dans l'anneau 34 augmente la traction exercée sur la tige et tend à resserrer encore la rivure. Pendant le mouvement final de l'anneau et de l'enclume , cette dernière peut en réalité s'enfoncer dans la tête 30 autour de la creusure 32 . 

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   La continuation de la traction exercée sur la tige rompt celle-ci au col 20 et il devient alors évident que l'anneau 34 , verrouillé à la tige et disposé fermement dans la tête 30 et contre le cône 33 , évite efficacement l'effet de recul auquel tend à être soumise la tige après la rupture , et le retour élastique de la partie déformée de l'organe tubulaire. 



   Dans l'un quelconque des rivets , on peut juger désirable de donner à la tête 14 de la tige une forme polygonale et de donner aux rainures ou filets de verrouillage une direction hélicoïdale ou substituer des rainures ou filets hélicoïdaux similaires aux'rainures 36 et 37 . Dans ces conditions , après que le rivet a été posé, il suffit , en vue d'enlever la tige pour quelque cause que ce soit, de faire tourner la tête 14 et de dévisser la tige hors de l'organe tubulaire. A cet effet , on pourrait éviter le verrouillage de l'organe tubulaire dans la rainure 15 de la tige près de la tête 14 ,et s'il était désirable de renforcer cette extrémité de l'organe tubulaire , on pourrait traiter thermiquement ou durcir par écrouissage cette partie de l'organe. 



   Les enclumes représentées ont un contact annulaire' avec la tête ou le collet , mais il est évident qu'on pourrait obtenir un verrouillage mutuel convenable entre la tige et la tête en refoulant ou contractant la tête ou collet en des points circonférentiellement espacés. 



   Fig. 8 montre une série de rainures 42 adjacentes à la tête 14 de la tige en remplacement de la rainure unique 15 . Ces rainures possèdent des faces sensiblement radiales 

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 43 qui se comportent à la façon de butées entrant en contact avec la partie de l'organe tubulaire que contiennent les rainures. Ces faces radiales secondent le contact superficiel entre la tête 14 et l'extrémité de l'organe tubulaire et augmentent la surface de contact prévue entre la tige et l'organe tubulaire et dont l'effet est d'épanouir ce dernier. on se référera maintenant à fig. 9 . La charpente comprend des plaques 45 et 46 présentant des ouvertures 47 pour le rivet.

   Le rivet comprend un organe tubulaire 48 qui comporte une tête 49 agencée pour prendre appui contre la plaque 10 ; et l'on peut durcir le métal de la tête en l'écrouissant par son travail à froid. De préférence, cette tête est légèrement conique, ainsi qu'on l'adit précédemment . L'organe tubulaire comprend une partie 50 , dont la longueur est sensiblement égale mais de préférence un peu inférieure à celle de l'ouverture 47 , et une partie 51 , qui fait saillie hors de la plaque 46 et dont le diamètre externe est sensiblement égal à celui de la partie 50 mais qui possède un plus grand diamètre interne et, par suite, une paroi plus mince. Cette construction constitue un épaulement interne 52 . La surface périphérique interne de la tête 49 , laquelle surface est indiquée en 53 , correspond en diamètre au diamètre interne de la partie 51 .

   A son extrémité externe, la partie 16 peut comporter un secteur 54 qui peut par lui-même être renforcé , par exemple par le travail à froid du métal. 



   Le rivet comprend aussi une tige 55 ; et l'extrémité interne de la tige, présente une tête 56 ,dont le diamètre externe est sensiblement égal à celui des parties 15 

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 et 16 de l'organe tubulaire ,et une rainure annulaire 57 près de la tête . On voit qu'étant donné la façon dont les éléments sont disposés , la tête 56 ést considérablement espacée de l'extrémité de la partie 51. Près de l'épaulement 17 de l'organe tubulaire , la tige est munie d'un épaulement conique 58, et l'on voit par suite que, lors d'un mouvement quelconque de la tige à travers l'organe tubulaire , l'épaulement 58 entre en contact avec l'épaulement 52 et commence à élargir la partie 50 . 



   Près et à gauche de l'épaulement 58 ,la tige est munie d'un col de rupture 59 dont le diamètre est tel que cette partie de la tige est la plus faible. La tige présente aussi plusieurs rainures de verrouillage 60 situées à gauche du col de rupture et un anneau ou collet / annulaire   @élargisseur/61   destiné à prendre appui contre l'extrémité de la partie tubulaire 51 . Les côtés de cet anneau ou collet sont coniques comme indiqué en 62 et 63 et , de préférence, l'anneau est ajusté à frottement assez dur sur la tige et occupe initialement la position représentée. Cet anneau est fait d'un métal qui est moins ductile que celui de l'organe tubulaire mais plus ductile que celui de la tige. 



  Bien entendu , la tige possède une grande résistance à la ' traction , alors que l'organe tubulaire est relativement ductile. 



   On pose le rivet en tirant la tige comme indiqué en A et en appliquant la force de réaction par une enclume primaire représentée en 27 dans la fig. 3 . Il en résulte un mouvement de la tige à travers l'organe tubulaire et un élargissement de la partie 50 du dit organe avant que la tête      ait été forcée contre l'anneau élargisseur 61 ; et le 

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 trou 47 se remplit positivement pendant cet élargissement pour éviter les jeux ou espaces vides. En raison de varia- tions normales dans les dimensions et l'alignement des trous 47 ,il peut y avoir un excédent de métal comme indiqué en 65 ,et cet excédent est poussé devant l'épau- lement 58 et pénètre dans l'ouverture élargie 53 de la tête 49 . 



   Pendant que la tige continue à être soumise à une traction croissante , l'eanneau 61 , initialement de forme conique ,se tord partiellement et s'élargit de façon à amener les faces 62 et 63 à des positions sensiblement radiales, ce qui augmente naturellement le diamètre de 1' anneau et constitue une surface d'appui plus grande pour l'extrémité de la partie tubulaire 51 . Bien entendu , cet accroissement ne pourrait pas être obtenu avant l'inser- tion du rivet. Pendant que la traction continue,'la partie 51 commence à s'épanouir comme représenté en 66 et forme      finalement la tête 67 .

   La résistance à l'éclatement du secteur durci ou plus résistant 54   augmente ,   ce secteur provoque la formation de la tête épanouie et, pendant la pose du rivet , une partie du métal peut être refoulée sous l'anneau 61 et pénétrer dans la rainure 57 . 



   Lorsque la tête 67 a été formée ,les rainures 60 sont situées dans la tête 49 et ,dans la continuation de la traction exercée sur la tige, on se sert d'une enclume      pour comprimer radialement la tête 49 de façon à con- traindre le métal à pénétrer dans les rainures. En même temps, il s'effectue un certain allongement axial de la tête 49 , ce qui a pour effet d'augmenter la force de trac- tion exercée sur la tige et de resserrer encore les plaques. 



  Pendant l'élargissement radial de la partie 50 il peut 

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 se produire un certain extrudage axial de cette partie, ce qui peut avoir pour effet d'éloigner légèrement la tête
49 de la plaque 45 , même si l'enclume 27 prend appui contre elle, en raison de la multiplication des forces par l'épau- lement conique 58 . Toutefois, l'enclume 28 a en réalité pour effet d'allonger ou extruder de nouveau la tête contre la plaque 45 . Dans la continuation de la traction de la tige, celle-ci se rompt au col 59 . 



   Fig. 13 représente un organe tubulaire dans lequel la partie 16 est munie d'une zone progressivement écrouie ou travaillée à froid , qui augmente progressivement sa résistance jusqu'à l'extrémité externe comportant le secteur
54 encore plus durci. Cette construction permet de régler l'épanouissement d'une manière définie et fait commencer cet épanouissement plus près de la plaque 46 . Le secteur 54 a aussi avantageusement pour effet d'augmenter la résistance à l'éclatement à l'extrémité de la partie 51 . 



   Le rivet des   fig.   9 , 10,   11 ,  12 et 13 est parti- culièrement agencé pour fonctionner d'une façon satisfai- sante même avec des variations normales de dimensions et d'alignement des trous 47 ,auquel cas il peut ou non y avoir du métal en excès dans la partie   S'il   y a du   } métal   métal en excès , l'ouverture élargie 53 de la tête
49 est désirable pour permettre l'échappement dudit métal qui, s'il n'avait pas la possibilité de s'échapper, pourrait faire obstaole à la continuation du mouvement de la tige et provoquer sa rupture prématurée.

   Même lorsque l'excédent de métal est mis à même de s'échapper, il faut une force considérable pour élargir la partie 50 où cet excédent de 

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 métal se produit, et si cet élargissement avait lieu quand la partie 51 est épanouie l'action des deux forces sur la tige pourrait briser celle-ci prématurément. Par conséquent, il est désirable d'élargir la partie 50 avant que la partie 51 ait été épanouie. 



   En accroissant les dimensions effectives de la tête 56 , l'anneau élargisseur 61 empêche cette tête de s'enfoncer profondément dans la tête épanouie ou de passer à travers elle. Cet anneau est en particulier désirable lorsque le diamètre du trou est tel que l'élargissement de la partie 50 ne laisse pas de métal en excès et que la résistance de frottement offerte à la continuation du mouvement de la tige est relativement faible. Cet anneau élargisseur peut aussi être agencé pour   's'élargir   après que la tête épanouie a été formée et à mesure que la tête 49 est étirée ou étampée radialement. 



   Les rainures 60 sont placées à gauche de l'épaulement 58 de façon qu'elles soient dans la partie la plus grosse de la tige ; et lorsque la tête épanouie a été formée, ces rainures sont situées dans l'ouverture   ,53 et   un grand mouvement radial du métal n'est pas nécessaire pour les remplir. 



   Les rivets représentés dans les fige 14 et 15 comportent tous deux des parties tubulaires 50 agencées pour être élargies par l'épaulement 58 mais sont avantageux lorsque l'espace qui existe derrière la plaque 46 est plus petit et qu'il ne serait pas possible d'employer un rivet tel que celui de fig. 9 en raison de sa saillie plus grande. 



  Les rivets des fig. 14 et 15 sont en outre avantageux en ce que la longueur de tige perdue est moindre. Avec l'un et 

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   @   et l'autre de ces rivets il est nécessaire d'éviter le grand espace entre la tête 56 et l'extrémité de la partie 51 et il s'ensuit que, pour loger finalement les rainures 60 dans la tête 49 ,il faut que ces rainures soient situées initialement à droite de l'épaulement 58 ,ce qui exige qu'elles soient placées dans la partie la plus petite de la tige. Cette position empêche à son tour pratiquement l'ap- plication d'une ouverture plus grande 53 dans la tête 49 , étant donné que cette ouverture plus grande rendrait dif- ficile d'étamper la tête suffisamment pour remplir les rainures. 



   Il résulte de ce qui précède que ces rivets peu- vent être posés d'une façon satisfaisante dans les ouvrages où les ouvertures 47 sont établies aveo des tolérances plus faibles et où le désalignement est moindre de sorte qu'il ne se produit pas ou guère d'excédent de métal comme résul- tat de l'élargissement de la partie tubulaire 50 . 



   En outre dans l'un quelconque des rivets des figs. 14 et 15 il n'est pas désirable de faire mouvoir l'épaulement 58 de façon qu'il pénètre dans la tête 49 et élargisse celle-ci. Par conséquent ,il faut que l'épaulement soit espacé initialement , à gauche de la tête, d'une dis- tance égale au mouvement qu'exige la tige pendant la forma- tion de la tête épanouie. Comme l'extrémité interne de la partie 51 est disposée légèrement à l'intérieur de la plaque 11 ,il est évident qu'il faut prévoir un espace entre les épaulements 52 et 58 lorsque l'épaisseur des deux plaques ou éléments de charpente est moindre que le mouvement qu'exige la tige pour constituer la tête épanouie. Le rivet de fig. 14 se prête à ce cas où l'épaisseur de la charpente 

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 est moindre que le mouvement qu'exige la tige pour épanouir la tête.

   Dans ce rivet on peut verrouiller la partie tubulaire      à la tige en prévoyant une partie extrême élargie 40 pénétrant dans une rainure 41 . De préférence, la partie élargie est travaillée à froid et une zone progressive d'éorouissage ou de travail à froid peut être appliquée dans la partie 16 . Cette disposition éviterait l'emploi d'un anneau élargisseur 61 même si les ouvertures 47 sont légèrement trop grandes. 



   Lorsque l'épaisseur de la charpente est plus grande que la distance dont se meut la tige dans l'opération de rivetage, la tête 56 est espacée de l'extrémité de la partie 51 , avec l'épaulement 58 contre l'épaulement 52 , comme représenté dans la fig.   15 ,  de sorte que l'épaulement 58 est espacé, à gauche de la tête 49 , d'une distance au moins égale au mouvement qu'effectue la tige pendant la pose du rivet, L'élargissement de la partie 50 commence alors avant que commence   l'épanouissement ,   mais, lorsque le rivet est posé, l'épaulement 58 n'a pas pénétré dans la tête 49 , De préférence , la partie 51 de fig. 7 aura un seoteur extrême travaillé à froid et une zone progressive de travail à froid, comme représenté également dans la fig.

     13 ,  et l'on peut .se servir d'un anneau élargisseur, surtout si les ouvertures 47 sont légèrement trop grandes. Le métal du secteur extrême travaillé à froid est normalement refoulé dans la rainure voisine de la tête 56 jusqu'à ce que l'épanouissement ait été formé et sa pénétration dans cette rainure est plus facile lorsque la zone progressive de travail à froid. est appliquée. 

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   Fig. 16 représente la rivure finale qui peut être obtenue à l'aide de l'un quelconque des rivets représentés dans les figs. 14 et 15.

Claims (1)

  1. RESUME 1. Procédé de rivetage consistant à former un organe tubulaire de façon qu'il traverse des ouvertures d'une charpente ou autre ouvrage et fasse saillie sur un des côtés de ladite charpente, à former une tige agencée pour prendre appui contre l'extrémité saillante de l'organe tubulaire, s'étendre à travers cet organe et faire saillie au delà de son autre extrémité ,à insérer dans lesdites ouvertures les pièces assemblées, à comprimer axialement l'organe tubulaire pour former une tête avec sa partie saillante et à refouler alors un des deux éléments (tige et organe tubulaire) près de l'extrémité opposée du rivet pour le verrouiller à l'autre . Ce procédé peut, en outre, être caractérisé par les points suivants , ensemble ou séparément a) on verrouille la tige dans l'organe tubulaire,
    à l'extrémité dudit organe opposée à la tête , en refoulant du métal d'un de ces éléments dans une creusure de l'autre, par exemple en contractant radialement l'organe tubulaire autour de la tige. b) Le verrouillage des deux éléments (tige et organe tubulaire) est réalisé en refoulant un segment de l'un d'eux dans une creusure de l'autre, tel qu'un collet libre de la tige dans une creusure de l'organe tubulaire. c) On forme la tête avec la saillie de l'organe tubulaire en tirant la saillie de la tige et on continue alors à tirer la tige pour rompre celle-ci en un point intermé- <Desc/Clms Page number 19> diaire, le verrouillage du reste de la tige avec l'organe tubulaire étant réalisé près du point de rupture et avant que la rupture ait eu lieu.
    d) Le verrouillage créé entre la tige et l'organe tubulaire à l'extrémité opposée à la tête formée par rivetage est réalisé après que cette tête a été formée. e) Après avoir inséré la tige dans l'organe tubulaire, on effectue un premier verrouillage entre ces deux pièces à l'une des extrémités dudit organe de façon que lorsqu'on tire la tige vers l'autre extrémité de cet organe, l'extrémité verrouillée dudit organe se meut avec elle, on opère cette traction de la tige pendant qu'on exerce une force de réaotion sur l'extrémité opposée de l'organe tubulaire pour former la tête de cet organe, on effectue alors un second verrouillage en un point longitudinalement espacé du premier pendant que la tige est sous tension et on rompt la tige par un accroissement de la force de traction en un point adjacent au second verrouillage.
    f) La tête de l'organe tubulaire est obtenue en épanouissant une partie annulaire dudit organe par la traction de la tige. g) Le lieu ou la direction de la force de réaction exercée sur l'extrémité de l'organe tubulaire pendant qu'on tire l'extrémité adjacente de la tige sont modifiés pendant le rivetage. h) Le second verrouillage créé entre la tige et l'organe tubulaire pendant que la tige est sous tension est réalisé le long d'une partie de surface de la tige disposée à l'intérieur de. l'organe tubulaire en refoulant du métal de l'extrémité dudit organe dans des creusures superficielles <Desc/Clms Page number 20> de l'extrémité adjacente de la tige de façon à resserrer la rivure et , le cas échéant, augmenter la tension de la tige.
    2. Une rivure établie par ce procédé, caractérisée par le fait qu'elle comprend, en combinaison avec des éléments de charpente , un organe tubulaire passant à travers des ouvertures desdits éléments, des têtes portées par l'organe tubulaire de part et d'autre de la charpente , une tige traversant ledit organe et des dispositifs comprenant des tenons et mortaises d'assemblage pour verrouiller la tige à des parties extrêmes opposées de l'organe tubulaire.
    Cette rivure peut , en outre, être caractérisé par les points suivants , ensemble ou séparément : a) Un dispositif verrouille la tige à l'organe tubulaire près d'une des têtes de façon à l'empêcher de se mouvoir à travers ledit organe vers le côté opposé de la charpente et un second dispositif comprenant un tenon et une mortaise d'assemblage verrouille la tige à l'organe tubulaire en un point longitudinalement espacé du premier. b) Une des têtes du corps tubulaire est noyée dans une ouverture fraisée de la charpente. c) La tige est munie d'une partie prenant appui contre une des têtes de l'organe tubulaire et un dispositif comprenant une partie refoulée radialement de l'autre tête s'ajuste dans une creusure de la tige pour verrouiller l'autre extrémité de cette tige audit organe.
    3. Rivet pour la mise en pratique du procédé selon 1 , caractérisé par le fait qu'il comprend un organe tubulaire dont une partie est agencée pour être disposée dans des ouvertures d'une charpente à riveter et dont une partie de plus grand diamètre interne est agencée pour faire <Desc/Clms Page number 21> saillie sur un des côtés de la charpente et pour être transformée en un épanouissement annulaire, une tige s'étendant à travers l'organe tubulaire et au delà de l'extrémité externe de la saillie de cet organe,
    un dispositif porté par la tige à un certain écartement de l'extrémité externe de ladite saillie pour entrer en prise avec elle et constituer l'épanouissement après une traction prédéterminée de la tige à travers l'organe tubulaire et un dispositif porté par la tige et servant à élargir radialement la partie mentionnée en premier lieu de l'organe tubulaire lorsque la tige est tirée initialement à travers cet organe, Ce rivet peut, en outre, être caractérisé par les points suivants , ensemble ou séparément a) Le dispositif élargisseur porté par la tige est situé sensiblement à la jonction des deux parties de l'organe tubulaire.
    b) La tige est munie d'une tête servant à exercer une force axiale sur une des extrémités de l'organe tubulaire et un anneau séparé est prévu entre cette tête et l'extrémité adjacente dudit organe, cet anneau étant agencé pour s'élargir radialement lorsqu'on exerce ladite force axiale.
    c) Indépendamment de la tête ou autre dispositif prévu à l'une des extrémités de la tige pour exercer des forces axiales sur l'extrémité adjacente de l'organe tubulaire lors du mouvement communiqué à la tige à travers cet organe, cette tige porte dans une partie intermédiaire un dispositif agencé pour élargir radialement.une partie dudit organe dans ce mouvement de la tige et un troisième dispositif créant sur 'la tige, entre les deux dispositifssusmentionnés , une.section faible permettant à la tige de se <Desc/Clms Page number 22> rompre sous l'effort de traction. d) Ce rivet est muni d'un épaulement ou autre élément permettant d'effectuer lors du mouvement de la tige un élargissement radial de la partie de l'organe tubulaire renfermée à l'intérieur des ouvertures de la charpente sans influencer la saillie dudit organe.
    e) En combinaison avec l'épaulement élargisseur, un dispositif est prévu pour permettre au métal que contient l'organe tubulaire en plus de celui nécessaire pour remplir l'ouverture de la charpente d'être extrudé le long de la tige à l'avant de l'épaulement et de pénétrer dans l'extrémité saillante de l'organe tubulaire. f) L'organe tubulaire comprend une partie extrême et une partie adjacente de plus petit diamètre interne et la tige comprend une partie de plus grand diamètre disposée dans la partie extrême dudit organe et porte à l'une de ses extrémités un dispositif destiné à entrer en contact avec la face extrême de ladite partie extrême de l'organe tubulaire, ce dispositif ( ou la partie large susmentionnée de la tige) étant initialement espacé de ladite face extrême dans la direction axiale.
    g) La tige présente une série de rainures à la partie supérieure de sa partie large.
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