BE380204A - - Google Patents

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BE380204A
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C13SUGAR INDUSTRY
    • C13BPRODUCTION OF SUCROSE; APPARATUS SPECIALLY ADAPTED THEREFOR
    • C13B10/00Production of sugar juices

Landscapes

  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Life Sciences & Earth Sciences (AREA)
  • Biochemistry (AREA)
  • Organic Chemistry (AREA)
  • Drying Of Solid Materials (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  "Perfectionnements aux procédés et appareils de diffnsion de matières sucrése oa   antres-   Sons 'les   bénéfices   de la Convention Internationale de 1883 eu égard à la demande de Brevet déposée en France   le 2 Juin   1930 ,   @   
La présente invention   a   pour objet daux   perfea..   tionnements aux procédés de diffusion déjà usités:   1'un   consiste   à'ohauffer   préalablement   dtane   façon convenable les matières qui doivent entrer en diffusion$ de façon à coaguler   certaines,   substances étrangères an sacra avant que l'action de dissolution paisse- s'exercer sur ces substances afin d'obtenir des jus de diffusion plus pars;

   l'autre consiste en des dispositifs   mécaniques,   ré-   alisant     trèa   simplement les conditions   nécessaires-   à   une        bonne "diffusion continue en mouvement", c'est-à-dire 

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 une circulation méthodique et un contact intime des soli- des à diffuser et des liquides diffusants grâce à Un brassage mécanique approprié, ce qai est particulière- ment nécessaire lorsque l'on a traité préalablement les matières par la chaleur;   cest   en effet dans ce cas que l'on a le plus à craindre, dans les diffusions ordinaires, le "collage" des matières et la circulation irréguliè- re de jus à travers la masse de matières, plus ou. moins "collée". 



   L'ensemble de ces   perfectionnements   constituera donc un procédé de "diffusion   continue'*   très homogène et très logique qui vawêtre décrit ci-après : 
Il est évident toutefois qu'on peut scinder le procédé en deux et n'en employer que la première ou la seconda partie séparément ; mais on ne réaliserait de cet- te façon, évidemment aussi, qu'une partie des avantages que donne le procédé intégral. Voici donc la description de l'ensemble du procédé, 
La première opération à effectuer est la   coagu-   lation par la chaleur de matières albuminoïdes, pectiques, gommeuses, etc., avant qu'elle puissent entrer en dissolution dans les bains successifsude la diffusion. 



   Il est bon de rappeler ici qu'un but tout-à-fait semblable était poursuivi par certains procédés antérieurs qui préconisaient la "dessication" complète préalable   des matières sacrées à travailler ; maisces procédés     poursuivaient   aussi et surtout le but de pouvoir rendre "inaltérables" par cette dessication les matières premiè- res des sucreries, de façon que   celles-.ci   puissent les travailler toute l'année. 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 



  Mais aassi en contrepartie de cas avantages 
 EMI3.1 
 recherchées par elle, ane telle "dessiccation' exige ane dépense très grande de chaleur. 



   Le procédé suivant la présente invention préco- 
 EMI3.2 
 nise simplement de chauffere sans viser dn tout à les sécher, les matières, telles que fragments de betteraves, cannes à   sacra,   on antres, à traiter il consiste à por- 
 EMI3.3 
 tzar ces matières à la température optima (soit. par exam ple eatre80tet 100R centigrades pour la betterave) pour obtenir que lë matières albaminoldes, pectiques$ etc..., qui y accompagnent le sacre soient "coagttlees" avant dtentrer dans les bains de dissolution successifs de la "diffasion. 
La dépense de chaleur nécessaire à cette opéra- tion n'est   qae   de quelques dizaines de calories par kilog 
 EMI3.4 
 de matière à traiter, tandis que le Oséchagem en réclame plus de cinq   cents.   



   D'ailleurs ces calories à fournir avant l'entrée en   diffusion   ne doivent même pas être   considérées,comme   une dépende supplémentaire de chaleur  car elles se re- trouvent dans la matière pendant la diffusion, opération 
 EMI3.5 
 pendant laquelle on chauffe habituellement oelle-ol1 dhu part pour y maintenir la température favorable à   l'épais    
 EMI3.6 
 ment du sucre, et dtaatre part pour en sortir le jas chaud paisqa'il doit aller ensuite à l'évaporation. 



  Ainsio quoique ne demandant que peu ou point de chaleur supplémentaire, le procédé suivant la présente invention procure l'avantage considérable de la plus 
 EMI3.7 
 grande pureté des jus de diffusion recherché dans le "se-! chageH complets Les expériences préalables au dépôt de ce brevet ont prouvé qae la simple élévation de tempera-.

   

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 EMI4.1 
 ture peut, presque aussi bien que la "séchage*, complet, coaguler les matiétes, albnminoides, pectiques et autres, avant la diffusion, 
Bn outre, le chauffage des matières sucrées à 
 EMI4.2 
 la température de coagulation peut âtre obtenue par trans- mission de chaleur dans un bain liquide*   diane   façon   beaucoup   plus facile et avec une installation moins 
 EMI4.3 
 cofttenseg que le Inséchagows qui exige d'immenses appareilfl pour l'exposition des matières à l'action d'air ou gaz chauds, car les coefficients de transmission de chaleur par l'intermédiaire de ceux-ci sont très faibles, tandis   qu'ils   sont beaucoup plus élevés par l'intermédiaire de liquides;

  , 
On petit d'ailleurs également réaliser le   chaaf-     fage   suivant le présent procédé, dans des appareils tout- à-fait semblables aux séchoirs, en empêchant simplement 
 EMI4.4 
 l'air (on les gaz) d'y cireulere der façon à chauffer la matière en vase clos, (tandis quai lorsqu'ils fonction- nent se véritables séchoirsp on y fait circuler abondam- ment air, ou gaz pour évaporer 1'qaô) :

   16, déjà,  de cette façon  on bénéficierait de davantage d'une installation 
 EMI4.5 
 de matériel environ 7 fois moindre pour le simple "chaud- 
 EMI4.6 
 fageo que pour le "séchSge" (le "chauffage" réclamant seulement   70   calories environ par kilog de matière* et 
 EMI4.7 
 le Rodehagêu bzz, 
Mais on arrive à réduire et simplifier encore bien davantage l'installation de matériel pour le 
 EMI4.8 
 OchauffageO si l'on peut emprunter la voie liquide pour transmettre la chaleur à la matière ("Cossetteu de botta- rave, par exemple) en plongeant celle-ci dans un bain de chauffage., pour la porter à la température voulue;

   (alors que ce moyen est radicalement impossible à employer, 

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 lorsqu'il s'agit de   "séchage"),   la seule précaution à prendre pour coaguler les matières étrangères aa sacre et non les   dissoudre   étant de constituer un bain de chauffage impropre à dissoudre celles-ci, par exemple en le saturant dans la mêmeproportion de tontes les matiè- res solubles que contient la matière   qa'on   y mettra   chauf-   fer, Cette conditionnera réalisée d'une façon simple et tout-à-fait automatique en laissant   toujours   le même bain fonctionner en cycle fermé : les matières successives qui y seront baignées et qui en seront ensuite sorties et égouttées, le satureront de toas les produits solubles qu'elles contiennent. 



   Il est à remarquer en   outra   que la réalisation matérielle de ce bain d'échaudage de la matière peut être faite avec an élément presque identique à ceux qui sui-   vront   pour   effectuer   la diffusion, ce qui donne à l'en- semble du matériel du. procédécomplst un caractère de très grande homogénéité 
Le dessin annexé représente à titre d'exemple un mode de réalisation   d'une   installation suivant la présen- te invention. 



   Les fig. l-la en sont uneé élévation   Lesfig*   2-2a en sont un plan. 



   La fig. 3 représente schématiquement   encoape   verticale, une variante de ce mode de   réalisation-.   



   L'élément   d'échaudage   préalable (on "échaudoir") et les éléments successifs assurant la diffusion conti- nue sont identiques, sauf en ce qui concerne la circula- tion en cycle fermé da jus saturé dans le premier, Cette circulation fait l'objet   d'Une   description ci-.après, 

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Un élément comporte un bac de diffusion 1, un   élévateur-séparateur   2 et les conduits de raccordement ramenant les matières et jus séparés.. aux endroits voulus, comme il va être dit. 



   Les bacs 1 peuvent être d'un type quelconque; on a représenté à titre d'exemple des bacs cylindriques verticaux comportant des bras agitateurs horizontaux 4 rotatifs autour d'axes verticaux 5. 



   L'élévateur-séparateur 2 a pour organe essen- tiel une hélice 7 verticale à mouvement ascendant, lotira nant dans une enveloppeentôle perforée 8, au contact même de laquelle ses spires passent en assurant ainsi le raclage de la   surface filtrante   pour maintenir libre le passage du jus dans ses trous. 



   L'admission des matières se fait à la partie intérieure par un tuyau 9 et   un   orifice 10, et l'évacus- tion se fait à la partie   supérieure     'au   moyen de raclettes 11, et à travers un orifice 12 et une canalisation 13. 



     L'enveloppe   en tole perforée 8 est montée dans une enveloppe extérieure pleine constituant un bac en communication par le conduit de raccordement 10 avec le bac 1 : l'espace annulaire entre ces enveloppes (exté- rieure pleine et intérieure perforée 8) est fermé en haut et en   bas,   de sorte que le jus qui a été filtré par la   tôle 8   ne communique plas avec le mélange de matières et de jus du bac 1, passant par le conduit 10 et montant en s'essorant entre les spires de l'hélice. 



   Le fonctionnement d'un élément de diffusion est la suivant : 
La matière à traiter arrive dans la cuve de 

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 diffusion où elle est arrosée par des jas provenant de l'élément suivant, arrivant par ane canalisation 14. 



  Elle y descend tout en   étan   brassée par les bras hori-   zontaux   rotatifs 4 et passe à la partie ibférieurs dans le tuyau 9 jusqu'à la base du prelier élévateur-sépara-   tear   2. 



     La   matière est alors reprise par l'hélice tour nante qui l'élève et l'essore par pression contre la tô- le perforée 8 ; la atière ainsi essorée sort par l'orifi- ce 12 et descend dans l'auge inclinée 13 jusque dans la cave de diffusion   suivante.   un volet de sortie   mani   d'un contrepoids réglable 3, et monté sur   l'ange   13 per- met de régler la pression d'essorage. 



   La jas séparé   s'écoule   entre la taie perforée 8 et la paroi extérieure da séparateur   2   d'ou il va à l'élément précédant (ou., pour le premier élément, à la fabrication) par le tuyau 14. 



   Les matières à diffuser qui arrivent ainsi dans les bacs successifs sont arrosées par des jas demoins en moins concentrés. Dans la dernière cave elles sont arrosées avec de l'esu arrivant par une canalisation 17, mélangée éventuellement avec les jus faibles venant des   presses.   



   Les matières sont alors évacuées dans une tré- mie   18,   généralement après avoir été passées par des presses non représentées. 



   Pour l'échaudoir qui précède la diffusion, il   pourra   de préférence être constitué par un appareil tout semblable à l'élément de diffusion ci-dessus dé- crit ; la seule différence résidera, ainsi qu'il a été 

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 dit, dans la circulation   du.   jus, qui dans ce cas ne sera pas un jus provenant d'un élément suivant et allant à un élément précédent, mais au contraire sera an jus cons- tamment le même, circulant en cycle fermé dans son seul élément et revenant   indéfiniment de.   séparateur à la cave dudit élément. 



   Un   calorisateur   19 (préférablement un appareil à chauffage tabulaire, comme ceux généralement adjoints 
 EMI8.1 
 aux diffaseura ordinaires) sera adjoint à sa cave pour y réchauffer le jus à la température qu'on vendra y main-. 
 EMI8.2 
 tenir : par ce ealorisate!1r passera le jas qui, arrivant du séparateur par   un   conduit 16, s'y réchauffera et   re-   
 EMI8.3 
 tournera à la cuve par un conduit z la eirciiation des matières dans la cave et la séparateur étant   la. même   que dans les éléments de diffusion; si c'est nécessaire pour la quantité de chaleur à transmettre,, une autre quantité de jus prélevée dans la auve et filtrée par an 
 EMI8.4 
 tamis 21 Pourra venir par un eond.ait 22* s'ajouter au jus amené par le conduit 16. 



   Il est fait eici remarquer que l'opération 
 EMI8.5 
 dfichaadagè ainsi Pr4coUiséee soit par voie sèche (nté- tait sa complication et son C0' d ,Il$tallatiat soit par voie de trempage dans an bain ne pouvant emporter aucune matière soinble' (par exemple en en interdisant tonte sor-  tie en la faisant   toujours   revenir rigoureusement sur 
 EMI8.6 
 la.i-.mdma se distingue nettement des diverses tentatives déjà faites ponr chauffer la cossatte à son entrée en diffusion soit par de la vapeur, soit par je jas de dif- fusion, lili-même préalablement chauffé : dans le caa de 1a4 vapenr. il y avait dilution nniâibiJ. dn j ns de diffusion;

   

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 et, dans les deux cas, des dissolutions nuisibles de matières avant leur coagulation   pouvaient   encore se faire soit dans l'eau pare résultant de la condensation de la vapeur, soit dans le jus de diffusion employé lequel$ précisément si on prétend ainsi l'obtenir pins pnr, se   troave   d'autant pins apte à   dissoudre   encore de ces ma- tières qu'on voudrait lui faire coaguler sans qu'il en dissolve. 



   Il est fait remarquer   aussi   que l'emploi d'une hélice verticale ascendante pour élever an mélange de matières solides et liquides et séparer en même temps les parties liquides à travers une t6le perforée   qai   l'entoure, tandis que les parties solides continuent à être poussées et pressées vers le haut, est aussi très nettement une nouveauté par rapport aux procédés exis- tants comportant des hélices descendantes, horizentales, on faiblement inclinées:

   ici ce n'est pas, comme dans le cas de libellée inclinée, sur l'avancement "statique" de la matière Incluse dans chaque spire que   1'on   compte pour la faire avancer, mais on se base   sar   "1' inertie" de la matière ainsi que sur son freinage par frottement avec l'enveloppe immobile qui l'entoure,   pour   obtenir le mouvement ascendant de la matière par ane certaine vitesse de l'hélice, vitesse telle   qae   la matière n'ait pas le temps de reprendre sotie Inaction de la pesanteur "la même vitesse en sens   ihverse   en descendant dans les spires de l'hélice, avant d'avoir été déjà   entraînée   et élevée. 



   Il va de soi que   l'on   peut apporter des modi- fications au procédé et aux appareils de diffusion qui 

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 ent été décrits ef représentés à titre purement in-   dicatif   et nullement limitatif sans que l'on s'écarte pour cela du domaine de la présenta Invention. C'est ainsi   que   par exemple l'installation qui comporte 3 cu- ves au dessin pourrait suivant les circonstances'en comporter plus ou moins : généralement beaucoup plus, la dissolution recherchée du sucre   (au   d'autre matière ex-   fonction/   tractible) étantÚdu nombre de bains   successifs..   



   Suivant une variante dans la réalisation du séparateur hélicoïdale on pourrait encore séparer en deux phases le mouvement des matières dans cet appareil : , dans une première phase, une hélice à glus grande vitesse donnerait l'impulsion nécessaire pour son élévation au mélange de liquides et de solides. dans la seconde phase$ une hélice à moins gran- de vitesse essorerait et presserait vers la sortie du haut les matières solides, lesquelles précisément ne   ré-.   clament pas pour cela, comme les liquides, une   vitesse   limite da fonctionnement. 



   Une variante (voir fig. 3) du dispositif ci- dessus de diffusion continue au moyen de bacs successifs et d'hélices faisant passer les matières: et jas des   fins   dans les autres, ne comporte que deux bacs conjugués 23, 24 suffisamment grands pour que leur capacité totale soit égale à celle de tonte la batterie du premier mode de réalisation, Des hélices à axe vertical 8a, 8b assu- rent encore la circulation des cossettes, mais   cette   fois dans les bacs eux-mêmes, liane suivant un mouvement descendant l'antre suivant un mouvement ascendant :dans ce cas, c'est la surface même des spires des hélices qui doit être perforée pour laisser passer le jus en sens 

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 inverse du mouvement imprimé aax cassettes par les hé-   lices.   



   Des sorties et rentrées de jas sont ménagées en des points convenables sur les bacs, et un réchauffear de jus 25 pent être nis en communication avec le bac 23. 



   Les deux bacs   conjugués   formant vases communi-   eants   la pression de l'eaa (on de la vinasse dans le cas de distillerie) envoyée en   26   dans le second assurent la circulation du   liqaide   du second bac vers le pre-   mier   c'est-à-dire en sens inverse du sens de circulation des   cossettes,  
Dans le cas de la   sucrerie   le chauffage préalable spécial préconisé pour les   cossettes   dans du jas saturé pourra encore être aisément réalisé avec ce dernier dispositif :

   Il suffira d'affecter an chauffage le premier bac, où la cossette descend, et à l'épuisement de la diffusion proprement dite le second bac, où la cossette remonte et où le jus descende ce qui assure dans de bonnes conditions la bonne circulation du jus, lequel, en s'enrichissant devient plus dense. Dans ce cas, le second bac doit être plus gaand, puisqu'il doit, à lui secuol, avoir la capacité de tonte une batterie ordinaire,

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS 1# Procédé d'épuration et de diffusion de matières'ancrées ea antres, caractérisé en ce que les matières à diffuser sont chauffées au préalable à une température telle quelle provoque la coagulation des matières albuminoïdes, pectiques, ou autres.
    2# - Procédé suivant la revendication 1#, caractérisé en ce que le chauffage est effectué dans un bain tél qu'il ne dissolve pas les parties solubles de la matière traitée, ce bain consistant par exemple à cet effet, en une solution saturée des dites parties solubles.
    3# Variante du procédé suivant la re- vendication 2#, caractérisé en ce que le chauffage est effectué à sec, 4#. Procédé suivant la revendication 2# caractérisé en ce qu'on emploie touzjours le même li- quide pour constituer le bain chauffante le dit liquide parcourant à cet effet un cycle fermé sur le trajet duquel il est réchauffé.
    5#.- Procédé suivant la revendication 1#, caractérisé en ce que le mélange de matières solides diffusées et de liquides diffusants est élevé à la sor. tie de chaque diffuseur en même temps que ses consti- tuants solides et liquides sont séparés, puis renvoyés dans la série d'appareils de l'installation. qu'ils parcourent en sens inverses. <Desc/Clms Page number 13>
    6#.- Appareil séparateur et élévateur pour la mise'en oeuvre da procédé suivant la revendica- tien 5#' caractérisé par une vis d'Archimède élévatri- ce tournant dans un cylindre à paroi perforée, lai-même monté à l'intérieur d'au cylindre concentrique à paroi pleine, l'admission du mélange de produits solides et liquider se faisant à la base du cylindre perforée l'é- vacuation du. liquide essoré, à la base de l'espace annu- laire compris entre les deux cylindres.
    et l'évacuation des prodnita solides, à la partie supérieure de la vis d'Archimède, 7#- Appareillage pour la mise en oeuvre du procédé suivant la revendication 1#, comportant un réchauffeur et une série de diffuseurs associés chacun avec un appareil séparateur et élévateur, chaque appa- reil séparatear et élévateur envoyant le solide essoré dans le diffuseur du groupe suivant et le liquide dans celai du groupe précédents sauf le premier de ces appa- reils qai envoie le liquide dans le réchauffeur, pais dans le premier diffuseur, et le dernier, qui envoir le solide dans ane trémie d'évacuation, 8#,
    Variante du dispositif suivant la revendication 7#, caractérisé par deux bacs de diffusion communiquant entre eux et avec le réchauffeur de liqui- de chacun de ces diffuseurs étant muni diane vis d'Ar- chimède dont la surface est perforée, ces vis tournant dans des sena tels que la partie solide parcourt succes- sivemant les deux diffuseurs, et l'admission de liquide <Desc/Clms Page number 14> (eau., vinasse etc...) se faisant dans la} second diffa-. seur de manière à provoquer la circulation du liquide diffusant en sens inverse, 9#- Variante du dispositif suivant la revendication 8#,
    caractérisé en ce que la premier bac sert. de réchauffeur, et le secondée diffuseur, la circulation de la partie solide se faisant préférablement de bas en haut dans ce dernier.
    R E S U M E Procédé d'épuration et de diffusion des matières sucrées on autres, principalement caractérisé en ce que les matières à diffuser sont chauffées au Préalable à une température telle que les matières albuminoïdes, pectiques, ou autres sont coagulées, ce chauffage se faisant de préférence par l'intermédiai- re du liquide diffusant, qui circule à contre -courant, en circuit fermé.
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